La Wehrmacht et le Parti Les facteurs de puissance Idéologie

Préface de l'édition allemande
Note des traducteurs
INTRODUCTION
La Wehrmacht et le Parti
Militarisme ou défense nationale ? p. 21. — Deux tour­
nants, p. 25. — Vertus de la vieille Prusse, p. 29. — Les
« Fondés de pouvoir » de la guerre: État-major général et
Écoles de guerre, p. 32.
PREMIÈRE PARTIE
LE SYSTÈME
Les facteurs de puissance
LE S.D.: SERVICE DE SÉCURITÉ DE REICHSFUHRER S.S. . .
Idéologie
Les Hommes-soleil, p. 41. — Organisation et cadres du
S.D., p. 43. — Le S.D. et les commandants territoriaux,
p. 46. — Le Dr Best, organisateur, p. 48. — Le S.D. au
travail, p. 51. — Les tentacules de la pieuvre: espions et
mouchards, p. 52. — Le secteur principal Est de Berlin et
son importance, p. 55. — Résumé, p. 59.
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218
TABLE
POLICE SECRÈTE D'ÉTAT
I. Sa fondation
La police dans l'Allemagne de Weimar, p. 61. — Les com­
missaires spéciaux de l'État, p. 65. — Naissance de la
Gestapo, p. 69. — Une épreuve de force: l'incendie du
Reichstag, p. 70. — Changements dans le commandement,
p. 73.
II.
L'organisation
Les dirigeants, p. 76. — La centrale, p. 80.
III.
Résnmé
LES CAMPS DE CONCENTRATION
Introduction
I.
I. L'ORIGINE DES CAMPS DE CONCENTRATION ....
Le premier camp officiel, p. 87. — Le commandant des S.S.
« têtes de mort », p. 88. — L'inspectorat des camps, p. 89.
II. LE TRAITEMENT DES PRISONNIERS
L'équipe de garde, p. 89. — Pénalités officielles, p. 94. —
Brimades, p. 96. — Travail, p. 98.
III. QUESTIONS ET RÉPONSES
Où était l'opposition allemande ? p. 99. — Que savait [le
peuple allemand ? p. 101.
LES ÉCOLES NATIONALES-SOCIALISTES
I. Problèmes d'éducation
Le christianisme n'est pas en cause, les chrétiens seuls ont
failli, p. 105. — La jeunesse allemande est-elle vraiment
incurable ? p. 105.
II.
Le parti national-socialiste etles organisations de Jeunesse
Les écoles de junker, p. 109.
TABLE
219
DEUXIÈME PARTIE
PREMIER DÉVELOPPEMENT DE LA PUISSANCE
NATIONALE-SOCIALISTE
I. INTRODUCTION
115
II. VERS LE 30 JUIN 1934
117
La Reichswehr, p. 117. — Ludendorff et Hoffmann à
Berlin, p. 118. — Le « clan munichois » contre le ministère
de la Reichswehr, p. 120. — La soldatesque du Parti: S.A.
et S.S., p. 122. —1932: année d'élections, p. 123. — Hitler
au pouvoir, p. 124. — L'a île des délicats s, p. 126. — In­
trigues, p. 127. — Le bureau spécial Stein, p. 128. — Le
putsch contre la Reichswehr, p. 129. — Rohm, ministre de
la Reichswehr, p.130. — La trahison, p. 131. —Von Papen
prend le vent, p. 132. — On arrête l'auteur du discours de
Marburg, p. 133. — Le rôle du « Casque d'acier », p. 134. —
Le S.D. espionne Goering, p. 135. — Au soir du 28 juin
1934, p. 136.
III. L'HEURE DU DESTIN
:
137
La journée du 30 juin 1934, p. 137. — La situation à Ber­
lin, p. 139. — Le commissariat spécial chargé de l'affaire
Rôhm, p. 141. — Conséquences, p. 141.
TROISIÈME PARTIE
CALÉIDOSCOPE POLITIQUE
I. ESPIONNAGE ET CONTRE-ESPIONNAGE
Généralités, p. 145.
Les organisations étrangères
Le service anglais ou «Intelligence Service», p. 146. —
Le « deuxième bureau » français, p. 148. — L'espionnage
soviétique, p. 149. — Les espionnages des autres pays,
p. 151. — L'espionnage en Italie fasciste, p. 151.
145
TABLE
220
II. L'ESPIONNAGE ALLEMAND
154
L'espionnage militaire au temps de Guillaume II, p. 154.
— Une parenthèse nécessaire, p. 156. — L'espionnage sous
la république de Weimar, p. 157. — Le socialiste Noske et
ses successeurs, p. 158. — Le service de sûreté dans l'indus­
trie des armements, p. 160. — L'industrie des armements
et ses représentants à l'étranger, p. 162. — L'espionnage
allemand après l'avènement d'Hitler, p. 164. — Les asso­
ciations « interétatiques », p. 166. — Journalistes alle­
mands à l'étranger, p. 168. — Deux exemples. Une répé­
tition générale: la conquête de la Sarre, p. 170.
LE PREMIER BLUFF DE GRAND STYLE: UN CAS DE «DÉSINFOR­
MATION »
177
AVANT LA GUERRE
179
Le bureau Ribbentrop, p. 179. — Schalwa Karumidze et
le Pacte antikommintern, p. 181. — La guerre d'Espagne
et la Légion Condor, p. 185.
LA GUERRE
189
Prélude, p. 189. — La voix dans le désert, p. 192. — La
guerre contre la Russie, p. 195. — La légende du « coup
ae poignard dans le dos » renaît, p. 197.
CONCLUSION
La loi du dynamisme
205
207