Bruit de Terroirs N° 36 - rue.pmd

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Bruit de Terroirs N° 36 - rue.pmd
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N° 36
Les coups de coeur des étapes du camion pédagogique
COULEURS
DE
TERROIRS
Rue
Lycée du Marquenterre
du 12/11/2007 au 16/11/2007
ÉDITORIAL
LA BAIE
DE
SOMME: UNE
DES PLUS BELLES
Le Club des plus belles baies du
monde est un club très fermé.
Seules les baies les plus magnifiques ont le droit d’y figurer. C’est
ainsi que notre « baie de Somme » y côtoie la baie de San
Francisco, la baie du Mont SaintMichel ou encore la baie de Nha
Trang au Viêt Nam. Une balade en baie de Somme est une extraordinaire initiation aux beautés
du littoral sommois, sa faune et
sa flore d’une richesse sans pareilles. C’est aussi un merveilleux
bain de jouvence où tout concourt à vous donner l’illusion
qu’ici, le temps suspend son vol
pour offrir quelques instants de
réelle quiétude et d’insondable bonheur contemplatif.
Pour en profiter pleinement, mieux vaut parcourir la baie à pied,
en faisant toutefois attention à ne pas se laisser surprendre par les
marées. Mais on pourra aussi se laisser tenter par le petit train de
la baie, ou, pour les plus sportifs, par une escapade en kayak de
mer ou même en pirogue...
Que de joies et de découvertes en perspective !
Le petit train de la baie de Somme est une curiosité en soi ; il
offre en outre un voyage bien
sympathique et dépaysant au travers d’un parcours touristique. Le
chemin de fer de la baie de Somme (CFBS) est géré par une association sans but lucratif, qui
circule uniquement en saison estivale. Il dessert trois stations balnéaires de la baie de Somme : le Crotoy, Saint-Valéry-sur-Somme
et Cayeux-sur-Mer, au moyen de locomotives à vapeur d’un
autre temps. En montant dans l’un des wagons, vous vous embarquez pour un voyage extraordinaire dont vous garderez longtemps le souvenir.
Après la région Centre, nous prenons
la direction de la Picardie pour y travailler avec 6 classes de 1ère Bac Pro
de 6 lycées différents.
Le rendez-vous picard est désormais
devenu presque un rituel; en effet, cela
fait maintenant 10 ans que la Picardie compte au nombre de nos principales régions partenaires. J’ajouterai
aussitôt que c’est aussi un plaisir que
nous attendons chaque année avec
une certaine impatience. C’est avec
une vive émotion et une nostalgie certaine que je repense à notre dernière
promotion, qui nous avait enchantés
par ses performances, son implication,
sa motivation et son envie de bien faire. Les stagiaires s’étaient alors dépassés, nous avaient même surpris, tant leurs progrès avaient été
spectaculaires.
En arrivant en baie de Somme, pour
notre 1ère étape picarde, nous n’espérions qu’une seule choses: que la promotion de juin prochain soit l’égale
de sa devancière.
Rue et son lycée professionnel du
Marquenterre nous attendaient donc
de pied ferme. Depuis 3 ans que les
élèves ruens participaient à l’opération jamais nous n’étions allés nous installer chez eux. L’an dernier, nous avions donc promis d’inscrire Rue au nombre de nos étapes et nous ne le regrettons nullement, d’autant que le soleil
était de la fête.
Le Président
Philippe Gombert
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LE
PARC DU
MARQUENTERRE: LA
NATURE AU FOND DES YEUX
l’écosystème et les oiseaux observables selon les saisons
vages qui passent, s’ébattent et
Que de beauté et que de douse reposent sur ces terres : Cigoceur réunies dans ce parc ornignes, oies cendrées et spatules
thologique du Marquenterre. Ici,
élégantes,
la nature a repris ses
droits
et
les
En passant par blanches,
l’Histoire avocettes
...
aigrettes garzettes, évoluent ici
oiseaux migrateurs sont rois.
en toute liberté. Les regarder est
C’est un tourbillon de couleurs
un véritablement enchantement,
et d’ailes déployées, un ballet
un bonheur renouvelé à chaque
magnifique qui s’offre à nos yeux
instant, tant ces volatiles sont
émerveillés. Tous les oiseaux
beaux lorsqu’ils vivent en paix.
voyageurs font ici une halte saVous pourrez aussi y recueillir
lutaire dans leur voyage au long
force détails et informations sur
cours qui les mène de Scandinavie à la Mauritanie, à moins que
ce ne soit l’inverse.
Un parcours balisé est dissimulé
dans la verdure environnante afin
de ne pas effrayer les oiseaux.
Ils ont besoin de calme, ils sont
chez eux. D'une longueur de six
kilomètres, il traverse forêts, marais, dunes et prairies, soit autant
de joyaux naturels à parcourir
dans un silence respectueux.
Eparpillés tout au long de ce
parcours, 13 postes d’observation privilégiés – cabanes posées
sur les berges des plans d’eau -,
vous permettront de découvrir et
d’apprécier les 300 espèces sau-
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Au hasard de la balade, on rencontre aussi nombre d'espèces
de batraciens, d’insectes et de
mammifères qui se meuvent
dans une flore reflétant l’extrême diversité des habitats.
Chaque saison réserve ses
surprises, ses rencontres, ses
sensations.
Une journée en Marquenterre
est un véritable bain de nature
qui contraste agréablement
avec les vicissitudes de la vie
quotidienne et son lot de contrariétés. L’espace de quelques
heures, on se sent ressourcé,
ragaillardi par tant de beauté
et de quiétude.
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LE
BEFFROI DE
RUE
munal exercé par les bourgeois
de la Ville. Au second, la salle
des gardes était utilisée par des
militaires qui assuraient la surveillance de la cité. De là, les
guetteurs veillaient à la sécurité
des ruens et avaient pour mission
de faire tinter les cloches pour
prévenir la population de l’imminence du danger.
Inscrit au Patrimoine de
l'UNESCO, comme 4 autres
beffrois picards – Amiens, Doullens, Lucheux, St-Riquier –, le
beffroi de Rue constitue certainement l’une des curiosités principales de la petite cité de la baie
de Somme.
Il ne reste plus rien du 1er beffroi, construit en 1214, tant les
dommages subis pendant la guerre de cent ans ont été importants.
Reconstruit après cette très longue guerre, le beffroi actuel présente une partie basse datant du
15ème siècle. Un escalier à vis
de 75 marches conduit le visiteur à deux salles superposées
puis au chemin de ronde où l'on
découvre, par beau temps, de
vastes paysages, de la forêt de
Crécy – dont le champ de bataille rappelle l’un des épisodes
les plus sombres de notre histoire – à la Baie de Somme.
Au premier étage, la salle des
échevins abritait le pouvoir com-
Mais, en réalité, qu’est ce vraiment qu’un beffroi? Quelle fonction a-t-il? En fait, ce symbole
architectural des pays du Nord
a connu plusieurs destinations
tout au long de son histoire.
L'origine des beffrois remonte au
Moyen-Âge. À cette époque, les
villes voient le jour grâce aux
marchands qui installent des entrepôts. Ceux-ci deviennent vite
des lieux de foires permanentes
qu'il faut protéger contre les attaques des pillards.
Le beffroi devient progressivement
la tour communale par excellence. A travers son édification, la
commune cherche à donner la
preuve matérielle de son pouvoir,
de sa puissance et de son indépendance nouvellement acquis.
Plus le beffroi est imposant, plus
la ville est réputée prospère.
Le développement des villes et
le pouvoir sans cesse croissant
des marchands pousse ces derniers à s'affranchir de l'étroite
tutelle féodale. Le seigneur possède château et donjon, les
«bourgeois» décident de lui opposer un contre pouvoir. Ils font
donc édifier des beffrois, sortes
de donjons du peuple. Les beffrois deviennent rapidement le
symbole de l’indépendance et
des libertés des bourgeois. Plus
question désormais d'obéir aveuglément au suzerain: ils veulent
administrer leur ville eux-mêmes
et former une commune. On leur
accorde bientôt le droit d'avoir
des échevins (juges élus par les
membres de la commune qui font
appliquer les lois acceptées par
la communauté) et un maire dont
le rôle est de gérer la commune.
Mais au-delà de son aspect symbolique, le beffroi a une utilité
pratique et remplit diverses fonctions: tour de guet, salle des cloches, arsenal, corps de garde,
lieu de réunion échevinale, prison, tribunal, archives…
Son organisation est toujours similaire : la tour repose sur une
cave surmontée d'une prison. À
l'étage, une salle accueille les
réunions du conseil municipal.
De la bretèche, petit balcon placé sur la façade, se font les proclamations au peuple. Au-dessus,
près de l'horloge, est installée une
loge pour le guetteur. C'est aussi dans le beffroi que sont conservées les richesses et l'artillerie
communales.
Le beffroi est aujourd’hui associé à toutes les fêtes locales. C’est
en effet du haut de celui-ci que
l’on jette à la population des artifices de la fête municipale très
prisés des autochtones: des Nieulles (petits biscuits secs) à Armentières, des louches à Comines,
des harengs à Dunkerque...
Symbole de richesse, le beffroi
porte le lion ou la girouette, le
dragon ou la sirène Mélusine
annonciatrice des dangers. C’est
le symbole de toute la région.
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C’EST
À
RUE
QUE L’AVIATION FIT SES PREMIERS PAS...
dotées pour des périodes plus
ou moins longues. Plusieurs
d’entre ces escadrilles participeront même à la sanglante bataille de la Somme en 1916.
Monsieur le Président de l’office de Tourisme de Rue nous
ayant fait le plaisir de dîner sur
notre camion le mercredi soir,
nous avons eu la chance de
pouvoir visiter le musée consacré aux enfants du pays, Gaston et René Caudron, dès le lendemain... Et le Président nous
fait l’honneur de nous commenter la visite lui-même.
C’est ainsi que notre matinée
est riche en découvertes et en
anecdotes.
Agriculteurs eux-mêmes, les frères Caudron se passionnent très
tôt pour l'aviation naissante. Ils
réalisent d'abord un planeur
qu'ils font voler sur la plage du
Crotoy. Tiré par un cheval, il
parcourra quelques centaines
de mètres. Ils savent déjà qu’ils
viennent de mettre le doigt dans
une spirale infernale qui les
entraînera inlassablement vers
les sommets. Ils décident alors
de créer (1909) l'Association
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"Aéroplanes Caudron Frères"
qui devient, dès 1910, la «Société des avions Caudron» initialement installée au Crotoy.
Dans le même temps, ils créent
aussi la toute première école
de pilotage au monde, attirant
dans la Somme de futurs as de
l’aviation. Ils comprennent en
effet que ces nouveaux engins
volants devront être pilotés par
des virtuoses intrépides.
En 1912, ils créent le tout premier hydravion de l'histoire.
Mais la guerre arrive vite et
l'école civile se double alors
d'une école militaire de pilotage. Les frères Caudron mettent
au point, pour l'armée française, plusieurs avions de reconnaissance. C’est ainsi qu’en mai
1914, le célèbre G.3 est conçu. Dès le début de la grande
guerre, le G.3 sera utilisé par
l'armée. Suivront les R.4, G.4,
G.6 et R.11 seront fabriqués.
Bientôt 56 escadrilles en seront
Devant l'avancée des troupes
allemandes, l'usine quitte la
Somme pour s’installer à Lyon.
C’est du reste sur l'aérodrome
de Lyon-Bron, que Gaston Caudron se tue à bord d'un Caudron R-4 lors d'un essai, le 10
décembre 1915. Il avait
d’ailleurs enfreint une règle figurant dans le contrat que les
frères avaient avec l’armée, interdisant aux ingénieurs constructeurs de piloter. Mais la tentation de Gaston était trop forte… Il mourut d’avoir trop aimé
le pilotage.
Après guerre, René Caudron
reprend seul le flambeau de
la famille et crée de nouvelles écoles de pilotage. Le
G.3 sera encore utilisé pour
la formation de pilotes civils
ou militaires. Certains d’entre eux, tels Jules Vedrines
ou Adrienne Bolland, s’illustreront à bord d’avions Caudron, battant de nombreux
records ou gagnant des meetings réputés.
C’EST
À
RUE
QUE L’AVIATION FIT SES PREMIERS PAS... (SUITE)
Le 1er avril 1921, Adrienne
Bolland réalise même un
authentique exploit en étant la
première à traverser la cordillère des Andes, aux commandes
d’un…Caudron.
Le 1er juillet 1933, l'entreprise
Caudron, qui est dans une situation financière difficile, est rachetée par le groupe Renault.
En 1939, plus de 10000 avions
Caudron auront été fabriqués.
Pourtant! Qui se souvient
aujourd’hui des frères Caudron?
Le Musée, qui vient d’ouvrir ses
portes, nous retrace l’extraordinaire épopée de ces deux
passionnés visionnaires au travers de documents, de bronzes,
de photos et de maquettes fort
bien réalisées.
Un grand moment d’histoire et
de découverte.
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LE
GÂTEAU BATTU
lui donne sa forme si particulière. Sa réalisation demande doigté et précaution,
à savoir une température et
une humidité constantes.
Il était autrefois un gâteau
nommé "Gasteau mollet" ou
"Pain aux oeufs" par les Flamands pour devenir finalement « gâteau battu ». L’histoire retiendra que déjà à
l’époque, il avait la spécificité de contenir une très forte proportion de jaunes
d'oeufs et de beurre.
C'est au début du 20 ème siècle qu’il entre dans le patrimoine gourmand de la Picardie comme l’une des spécialités associées aux fêtes
de village et aux grandes
fêtes familiales.
Mais n'est vrai «Gâteau Battu» qui veut ! Encore faut il
pour cela qu’il soit réalisé
et cuit dans un moule à gâteau battu. Pas si simple !
Spécialité de la Picardie maritime, et plus particulièrement d’Abbeville, le gâteau
battu est un gâteau brioché
très riche en forme de toque
de cuisinier. Il cuit dans un
moule cannelé spécial qui
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Sa composition est assez simple: 300g de farine, 200g
de beurre, 100g de sucre,
50g de levure de boulanger,
du lait et de l'eau en fonction de la consistance de la
pâte, et 10 à 12 jaunes
d'oeufs... Toute la réussite
vient du fait de pétrir ensemble les ingrédients pendant
15 minutes sauf le beurre
qu'on ajoute après pour pétrir de nouveau pendant 15
minutes... Elle nécessite
également du temps... la pâte
doit "pousser" environ deux
heures dans un endroit tiède.
Sa croûte est brun foncé, sa
mie très alvéolée est jaune
dorée.
Le must est de le déguster
chaud avec de bonnes confitures maison, car le gâteau
battu est très peu sucré !
LE PODIUM
DE L’ÉTAPE
Lors de chaque étape, 8 menus thématiques sont servis aux 40 convives qui
nous font le plaisir de participer aux soirées gastronomiques organisées à
bord du camion Patrimoine et terroirs.
Ces soirées sont autant d’occasions de faire un parcours initiatique dans la
France des Terroirs, mais aussi, pour les élèves, de montrer l’étendue de leur
talent, de leur volonté et de leurs progrès.
Chaque soirée est consacrée à un terroir différent et donc à une des facettes de notre gastronomie. Tous ces menus
sont notés par les convives, ce qui nous permet, au terme de l’étape, de dresser le bilan des préférences des
invités, tant au niveau des mets que des boissons. Cela nous apporte également un bon instrument pédagogique
pour débattre avec les élèves de la soirée de la veille.
Le menu que nous vous proposons de découvrir ci-dessous est donc la synthèse de la semaine passée en terre
picarde, au lycée professionnel du Marquenterre de Rue.
LE PALMARÈS
CULINAIRE
Gougères comtoises
(Soirée Franche-Comté)
Tourin à l’ail rose de Lautrec
(Soirée Aquitaine)
Filet de truite à la Bleue de Fougerolles
(Soirée Franche-Comté)
Symphonie périgourdine en foie gras majeur
(Soirée Aquitaine)
Crème de bleu de Gex et sa couronne de poires
(Soirée Franche-Comté)
Granité de Macvin du Jura au suprême d’agrumes
(Soirée Franche-Comté)
LE
PALMARÈS BA
CCHIQUE
BACCHIQUE
Bière Page 24
(Bière du Nord - Soirée Nord-Pas de Calais)
AOC Pacherenc du Vic Bilh moelleux
AOC Côte d’Auvergne blanc
(Vin blanc du Sud-Ouest – Soirée Aquitaine)
(Soirée Franche-Comté)
AOC Menetou-Salon blanc
AOC Gaillac doux
(Vin blanc du S-O – Soirée Franche-Comté)
(Vin blanc du Val de Loire – Soirée Centre)
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ILS
SE SONT DISTINGUÉS LORS DE L’ ÉT
APE
ÉTAPE
Certains des élèves qui nous ont été confiés se sont particulièrement distingués, par leur envie,
leur volonté et leur comportement général.
Nous avons travaillé avec les deux classes de Terminale Bac Pro de l’établissement.
Rappelons ici que 16 élèves formeront la Promotion «Auguste Escoffier» (session de stage d’hiver)
et 16 autres la Promotion «Joseph Favre» (session de stage de printemps). Les élèves picards
formeront l’essentiel des bataillons de cette seconde session, réservée aux élèves de 1 ère année
de Bac Pro.
La sélection a débuté ici au lycée du Marquenterre de Rue et se poursuivra jusqu’à Noël auprès
des élèves d’Amiens Edouard Gand et Amiens St Martin, de Château-Thierry, de Soissons et de
Compiègne.
La liste définitive des élèves sélectionnés en Picardie sera donc connue à l’issue de la dernière
étape picarde. Toutefois, des options seront levées au fur et à mesure de l’avancement de la
tournée, et ce en fonction de la qualité des classes qui nous seront confiées.
Pour l’heure, nous avons mis des options sur 4
élèves du lycée «du Marquenterre» de Rue:
Ces stages intensifs sont l’occasion pour nos
élèves de démontrer leurs qualités
professionnelles, leurs capacités d’adaptation
ainsi que leurs aptitudes à travailler en équipe.
Tout au long de ces 6 semaines, ils auront
l’occasion de rencontrer nombre de
professionnels. Ils seront évalués tout au long de
leur stage et tous ceux qui se seront distingués
durant ces 6 semaines partiront avec une
promesse d’emploi chez l’un de nos partenaires professionnels, dès l’obtention de leur diplôme.
Dimitri CAPLIEZ (1ère Bac Pro restaurant)
Benoît DOYEN (1ère Bac Pro cuisine)
Maximilien DUPUIS (1ère Bac Pro cuisine)
Jessica VASSARD (1ère Bac Pro restaurant)
Ces stages intensifs sont l’occasion pour nos élèves de démontrer leurs qualités professionnelles,
leurs capacités d’adaptation ainsi que leurs aptitudes à travailler en équipe. Tout au long de ces
6 semaines, ils auront l’occasion de rencontrer nombre de professionnels. Ils seront évalués tout
au long de leur stage et tous ceux qui se seront distingués durant ces 6 semaines partiront avec
une promesse d’emploi chez l’un de nos partenaires professionnels, dès l’obtention de leur diplôme.
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SOUVENIRS DE L’ÉT
APE
ÉTAPE
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SOUVENIRS DE L’ÉT
APE ( SUITE)
ÉTAPE
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ILS
NOUS ONT HONORÉS DE LEUR PRÉSENCE
Tanneguy LARZUL – Recteur académie d’Amiens
Gilbert MATHON – Député de la Somme
Patrick CHERON – Proviseur Lycée Professionnel du Marquenterre de Rue
Marybel CHEVALIER – Directrice d’école
Martine COURTOIS – Principale Collège de Ponthieu
David DELANNOY – Principal de Collège de Saint-Valéry
Pascal DELVIGNE – Conseiller technique auprès du Recteur d’Amiens
Dany DESCHAMPS – Inspecteur d’académie - IPR
Serge DESCHAMPS – Maire de Rue
Blandine DUVERLIE – Principale de collège Millevoy d’Abbeville
Dominique DUVERLIE – Proviseur Lycée Boucher de Perthes d’Abbeville
Didier FRANCOIS – Principal de Collège d’Etouvie
Irène ILEF – Inspecteur DAET
Gilles MAILLET – Directeur maison de retraite « Les jardins de Cybèle ».
Jean-René MIANNAY – Directeur de cabinet du recteur d’Amiens
Jean-Marc PAGE – Inspecteur Education national
Pierre ROTEUX – Président de l’office de tourisme de Rue
Jean-Jacques STOTER – Inspecteur – DAFCO
Ainsi que les 139 autres convives qui sont venus dîner à bord
de notre camion pédagogique itinérant.
Qu’ils soient remerciés de leur présence. Sans eux, les élèves n’auraient pas pu exercer
leurs talents ni montrer leur compétence.
2, rue de l’aubrac - V.1.P - 94595 Rungis Cedex 517
Tél.: 01.55.52.16.11 - Fax : 01.55.52.16.17
Site internet : http://www.patrimoine-et-terroirs.fr