Dossier de presse - Le bureau de Sarah

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Dossier de presse - Le bureau de Sarah
«NOUS AVONS DÉCIDÉ DE FAIRE UN DEUXIÈME ALBUM CAR ON AVAIT
DÉJÀ FAIT LE PREMIER». POUR SON ACTE II, FM LAETI PASSE LA SECONDE ET ACCÉLÈRE. SON NOUVEL ALBUM
AUX SONORITÉS POP ÉCLATANTES EST DOPÉ AUX SYNTHÉS. ALBUM RÉSOLUMENT
ÉNERGIQUE, IL S’ÉCOUTE AUTANT QU’IL SE DANSE.
A deux reprises, fin 2012 et au printemps 2013, la famille s’est retrouvée. Et pour écrire la
suite de sa belle histoire, elle s’est isolée en Provence, le temps de deux retraites créatives.
Dans cette nouvelle aventure, chacun a trouvé sa place. Laeti avait composé des textes,
François-Marie en jouait avec sa guitare ou des claviers, Pierre-Marie les accompagnait
avec un instrument de fortune. «Le plaisir d’être à nouveau réunis à trois et coupés du
monde nous a aidé à retrouver notre inspiration, disent-ils d’une même voix. De là, des
heures d’improvisations, des dizaines de bouts de mélodies ont été sauvegardées sur un
petit magnéto.
«L’idée était d’écrire en flux tendu, de manière intuitive, pour le simple plaisir de jouer et de
chercher ensemble. Une chanson, à nos yeux, est le reflet d’un moment que l’on a célébré
ensemble, comme une projection inconsciente vers un autre présent. C’est un élixir qui
aide à mieux faire passer la réalité, pour nous reconnecter aux autres à travers un rêve
harmonique commun». De retour à Paris, le trio a écouté et retravaillé ce qui lui plaisait.
Laeti a monté sa voix et, sans perdre ce qui l’a fait connaître ni ses racines, le groupe a
changé de braquet. «Le premier album était résolument soul, folk et acoustique. Le second
plus pop, coloré et orchestral, avec des sonorités d’aujourd’hui, est destiné à faire bouger.
Sans se renier, puisqu’on garde des clins d’œil à la old school, on s’est amusé, on a joué avec
toutes sortes de tonalités et quantités d’instruments».
«On cherchait des sons de claviers et des samples de batteries plus synthétiques que les
sons acoustiques que nous avions utilisés jusque là. Souvent, Laeti dansait tout en écrivant
les premiers mots à chanter. FM était debout au piano ou à la guitare tout en envoyant des
rythmiques et PM insufflait de nouvelles directions dans nos inspirations».
Le propos est plus enlevé, mais parfois grave. Toutes ensemble, les chansons composent
les différentes stances d’une histoire d’amour, avec ses attentes et ses joies, ses orages et
ses manques, et l’envie, au delà des peines, de recommencer. Une envie positive.
I N F LU E N C E S
Le trio derrière FM LAETI est constitué d’enfants de la musique. Ils y ont baigné depuis
leur berceau. Et ils en ont gardé le meilleur, un sacré mélange à base de noir et blanc
qu’on perçoit à l’écoute ou en filigrane : Mick & Keith bien sûr, mais aussi Michael Jackson
ou John Lennon, Cindy Lauper, Kid Créole, Quincy Jones, Paul Simon, Michel Berger, The
Funk Brothers, Bill Withers, Sly Stone & Stevie Wonder, mais aussi les Fugees et leur rap
cool, les surdoués de Phoenix, la Sud-Africaine Miriam Makeba et son ethno-jazz, Fabien
Maman et son tao du son, ou encore les ambiances suggérées par Cassavetes, Atlantis,
Ian Fleming ou Mata Hari. FM LAETI a bu à toutes ces sources sans jamais les resservir de
façon appliquée.
1 2 TIT R E S
WA N N A DA N CE
Nous avions passé l’après-midi à chercher des mélodies, assis dans le canapé. On tournait
autour de rythmiques de batterie inspirées de la Motown de Detroit, époque Supremes.
Soudainement, Laeti s’est levée et a tout simplement crié «I wanna dance...!». FM a envoyé
un sample de batterie assez rapide, Laeti s’est mise à danser et Wanna Dance est né. L’idée
avec cet air pop et un peu girlie, c’est de dire : il y a des moments où il faut savoir lâcher
prise et retrouver la légèreté du pur mouvement.
Après cette composition très spontanée, les autres titres ont suivi pour former un album de
pop kaléidoscopique, nourri des couleurs, des humeurs et des influences de chacun.
(D O ES N ’T H AV E TO) B E T H AT WAY
est une fable un peu sérieuse mais inspirante, sur des claviers qui lorgnent du côté de la
french touch post-années 80, et emplie des accents émouvants et bluesy de Laetitia. Sa
morale, qui parle à tout le monde? On peut rester soi sans manipuler ni perdre son intégrité
(Doesn’t have to be that way / I don’t have to lose my way…)
FOR THE MUSIC
qui donne son nom à l’album est le titre qui en résume l’idée et le traverse : de manière
assez laid back, déconnectée, minimaliste et légère, un peu west coast. Il clame le bonheur
simple de jouer de la musique ensemble et de la partager, comme on le ferait d’un bon
moment à paresser sur une plage au coucher du soleil. Il dit et redit comme une roue
chamanique ou un mantra : For the music, for the music, for the music / Tell him what he’s
feeling is your heart/ Tell her that you will never be too far.
PING PONG
Ainsi nommée, cette chanson, au final légère et enfantine, reflète bien notre façon d’écrire.
Laeti commence une phrase et FM la finit. Ou inversement. Les couplets joyeux contrastent
avec un refrain plus mélo, un peu comme les humeurs paradoxales qui traversent une
histoire d’amour, toujours fragile, où l’un peine à soulager la douleur de l’autre. L’un chante
la première partie, l’autre lui répond dans une humeur décalée. On dialogue. On se renvoie
la balle.
R O CK M ATATA
C’est les Rolling Stones dans la jungle, un air violent et moite, l’histoire d’un enfant soldat
qui fuit, on ne sait quoi.
SA N CT UA RY et T E L L M E A STO RY
SANCTUARY et TELL ME A STORY sont des thèmes qui reviennent aussi souvent
qu’inconsciemment dans nos textes. Ils racontent le besoin de voler et de chanter avec la
même liberté que les oiseaux, qui ont tout compris, eux. Was a rainbird / Was a rainbird /
Spreading my wings ‘cross the sky / Taking a flight… a thousand lives, dit la première. Et la
seconde : Hear the voices in the wind / Waking Birds unfolding wings / They’ re rushing out,
just rushing out… Dans nos vies passées, nous avons sûrement été des oiseaux de toutes
les couleurs.
T H E N I G H T H AS B EG U N TO CA L L
C’est une histoire d’amour sur fond de roman d’espionnage, inspirée de Mata Hari et des
atmosphères de Ian Fleming, que l’on s’est amusé à recréer. On y joue avec les codes du
polar et des arrangements de cordes à la John Barry, le compositeur de la musique de
James Bond.
W E G O S LOW
est un Eloge de la Lenteur qui s’adresse à tous ceux qui ressentent le besoin de ralentir
un peu le tempo. S’arrêter, regarder autour de soi, retrouver sa capacité à s’émerveiller
et à buller au fond du lit. «Woke up in a big fat feather bed, dit la chanson à son début.
Assez proche du chill out année 90, elle nous est venue après avoir vu cette incroyable
vidéo d’un violoniste virtuose, Joshua Bell, jouant comme un dieu dans un couloir de métro
à Washington. Les gens qui passent sont tellement pressés, enfermés dans leur monde
et leurs préoccupations, qu’ils ne perçoivent pas la beauté de la musique de cette bulle
d’oxygène... Ils courent, ils courent, et ils vont où? Seuls quelques uns, interpellés par les
mélodies et la beauté du jeu, s’arrêtent pour apprécier ce moment suspendu.
T H E COV E
FM a commencé à écrire en anglais, Laeti a suivi en créole. C’est l’histoire d’un navire qui fait
route vers les Caraïbes à la recherche d’un trésor. En chemin, les navigateurs sont surpris
par une tempête dont ils sortent très abimés... A la dérive, ils prennent conscience de leur
fragilité face aux forces de la nature. Leur unique moyen de s’en remettre est de procéder
à une alchimie spirituelle : se mettre en quête de leur or intérieur. Avec force percus et Gros
Ka, on a joué de l’image et des rythmes du carnaval, avec tous ces corps qui se pressent les
uns contre les autres pour n’en faire qu’un.
YO U I N S P I R E M E
est une déclaration d’amour en mode slow. C’est aussi l’expression de l’amour que l’on
peut partager à travers la musique. Pierre-Marie se souvient. «La campagne était froide,
je remplissais la cheminée de bûches. On tournait un peu en rond. J’ai voulu sortir prendre
l’air et j’ai dit : “Quand je reviens, je veux un tube” et ça a donné ça». Ca, c’est-à-dire un
magnifique blues croisé de chœurs amples. L’été précédant l’enregistrement en studio,
Pierre-Marie a voulu retravailler la chanson avec Fred Avril. Celui-ci s’est tout de suite montré
enthousiaste, a proposé des idées de rythmiques et d’arrangements pour qu’elle s’envole
avec l’aide du chœur. En studio pour diriger tout ce petit monde, Fred a savamment su
insuffler une intensité et un brin de folie qui l’ont fait décoller.
Reprise de Phoenix, le groupe star.
RUN, RUN, RUN
U N E VO IX , U N CO M P O S IT E U R , U N T R I O
Elle, c’est Laeti, Laetitia Bourgeois, la voix. Une voix qui fait tout et joue comme elle veut.
Lui, c’est FM, François-Marie. Mais For the music est un disque composé à trois mains si l’on
ajoute Pierre-Marie, frère de FM et producteur de l’album, omniprésent depuis le début du
projet et jusque dans ses dernières finitions.
UN GROUPE
« Cet album, c’est aussi la chance d’avoir pu travailler avec Marlon B., le co-réalisateur de l’album
avec FM. En septembre et octobre 2013, nous avons enregistré dans son studio Magnetica
à Ménilmontant. Une vraie complicité s’est rapidement instaurée. Il a réussi à donner ce qui
manquait aux démos : une vraie direction artistique pour chacun des titres. De là, nous les avons
retravaillés (structure, clefs, énergie, tempo). Marlon étant lui même batteur, il a su nous offrir
une approche rythmique bien plus élaborée et ressentie que dans nos premiers essais. Comme
lui, quantités de musiciens -et pas des moindres!- se sont progressivement agrégés autour de ce
second projet de FM LAETI pour prodiguer leurs conseils For the Music. En tête de liste, au cœur
de l’été 2013, Christophe «Disco» Minck a ouvert à l’équipe son Kraked Unit, lieu magique qu’il
partage avec Loïk Dury, son complice qui a lui aussi tendu une oreille bienveillante aux différents
morceaux. Autant que Jean-Max Méry (claviers), Ludo Bruni (guitare) et tous les autres. »
FI C H E A R TI S TI Q U E
-
Laetitia Bourgeois : chant, chœurs
François-Marie Dru : guitares, keyboards, chœurs
Marlon B. : batterie, percussions
Christophe « Disco » Minck : basse, contrebasse, harpe
Jean-Max Méry : piano, keyboards, vocoder
Ludovic Bruni : guitares
Fabrice « Cub1 » Colombani : percussions
Steve Argüelles : batterie
Fred Avril : arrangements, guitare
Vincent Mougel : choeurs
Thomas Naïm : guitares
Guillaume Briard : saxophones
Didier Bolay : trompette, trombone
Guillaume Eyango, Fanny Llado, Valérie Belinga et Obam Zoé-Obianga : choeurs
Ronan Maillard : orchestrations
Matthieu Noé : sound design
F.A.M.E.’S. Project : orchestre
- Paroles et Musiques : François-Marie Dru & Laetitia Bourgeois © Pigalle Production sauf
Run Run Run : Paroles et Musiques par Phoenix © Ghettoblaster Publishing.
- Réalisé par Marlon B. et François-Marie Dru sauf You Inspire Me : Marlon B. et Fred Avril.
- Arrangements : François-Marie Dru sauf You Inspire Me et Rock Matata : Fred Avril &
François-Marie Dru.
- Prise de son et editing : Marlon B. et Geoffroy « Djouf » Berlioz au Studio Magnetica.
- Mixé par Marlon B. au Studio Magnetica.
- Masterisé par Chab au Studio Translab.
-
Photos : Mathieu Tonetti
Supervision Image : APAR / Cécile Montigny & Aurélien Poirson-Atlan
Artwork : The Letter O / Olivia Jourde & Agathe Briot
Dossier de presse : Aurélien Poirson-Atlan & Pascal Dupont
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Promo TV & Radio : Bruno Philippart / [email protected]
Promo Presse : Sarah Ababsa / [email protected]
Promo Web :…Charles Clément / [email protected]
Marketing : Gregory Lebreton / [email protected]
Booking : Matthieu Baligand / [email protected]
Produit par Pigalle Production / Pierre-Marie Dru assisté par Géraldine Nadal.
Sous licence exclusive Un Plan Simple, une division de Sony Music Entertainment.
Merci à Leslie Dubest et Laurent Manganas.
www.fmlaeti.com