"Just a Kiss" de Ken Loach
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"Just a Kiss" de Ken Loach
"Just a Kiss" de Ken Loach Extrait du Projectibles http://www.projectibles.net/spip.php?article30 "Just a Kiss" de Ken Loach - Collège au cinéma - Collège au Cinéma 2004/2005 - Premier Festival "Du tableau à l'écran" (2005) - Les films de la programmation - Date de mise en ligne : mardi 8 mars 2005 Description : Film anglais. Une histoire d'amour entre un jeune Pakistanais et une jeune Anglaise... Copyright © Projectibles - Tous droits réservés Copyright © Projectibles Page 1/5 "Just a Kiss" de Ken Loach Casim Khan, émigré pakistanais de la deuxième génération, travaille comme DJ dans une discothèque de Glasgow et rêve de monter son propre club. Ses parents, Tariq et Sadia, musulmans pratiquants, ont décidé de le marier à sa cousine, Jamine, dont ils attendent l'arrivée en Ecosse. Leur projet semble bien compromis quand Casim s'éprend de Roisin. Jeune enseignante, Roisin est différente de toutes les filles que Casim a fréquentées jusqu'alors. Elle n'est pas seulement belle et intelligente, mais aussi volontaire, indépendante et catholique. [JPEG - 14.1 ko] Réalisateur : Ken Loach Acteur(s) Casim Khan : Atta Yaqub Roisin Hanlon : Eva Birthistle Tahara Khan : Shabana Bakhsh Sadia Khan : Shamshad Akhtar Scénario, production Scénariste Paul Laverty Productrice : Rebecca O'Brien Production Sixteen Films : Grande-Bretagne Equipe Technique Directeur de la photographie Barry Ackroyd Chef décorateur Martin Johnson Chef monteur Jonathan Morris Copyright © Projectibles Page 2/5 "Just a Kiss" de Ken Loach Distribution :Diaphana Distribution, France [JPEG - 12.7 ko] Echos du tournage Présenté à Berlin Just a kiss a été présenté en sélection officielle au Festival de Berlin 2004. 5e collaboration Ken Loach / Paul Laverty Just a kiss marque la cinquième collaboration de Ken Loach avec le scénariste Paul Laverty, les deux hommes ayant auparavant travaillé ensemble sur Carla's song (1996), My name is Joe (1998), Bread and roses (2000) et Sweet sixteen (2002). Le 11 septembre 2001 comme point de départ L'idée de cette histoire basée sur le thème de l'affrontement entre appartenances religieuses et élans du coeur vint à l'esprit du scénariste Paul Laverty suite aux attentats du World Trade Center et à la vague de xénophobie qui se développa ensuite aux Etats-Unis. Ce dernier confie : "La perception que le monde a de nous peut changer d'un instant à l'autre. Cela m'a fait réaliser la fragilité de toute chose". Inspiré par le poète Robert Burns Le scénariste Paul Laverty a également été inspiré par le poète Robert Burns : "Just a kiss est un poème de Robert Burns, dédié à l'être aimé qu'on oblige à abandonner. C'est une ode plutôt qu'un cri de protestation contre la société qui sépare ceux qui s'aiment. Sa mélancolie plane sur l'histoire d'amour de Casim et Roisin". Un casting authentique Souhaitant une famille non seulement pakistanaise mais aussi typique de Glasgow par son langage et ses références, Ken Loach chercha des natifs de cette ville sans se préoccuper du fait qu'ils aient oui ou non une expérience de la comédie. Kathleen Crawford, de Big Fish Casting, commença ses prospections par l'entremise de Bombay Cinema. Ils placardèrent ensuite des affichettes en ville et visitèrent les libraires, disquaires, boutiques de prêteurs, mosquées et centres communautaires asiatiques en s'efforçant de respecter les usages et préjugés communautaires. La plupart des candidats furent retenus comme figurants et apportèrent au film leur propre vécu. Critiques Presse Copyright © Projectibles Page 3/5 "Just a Kiss" de Ken Loach Le Point - Olivier De Bruyn Dans ce film subtil et émouvant, le metteur en scène, une fois de plus, fait preuve de son immense talent de directeur d'acteurs. L'une des meilleures raisons d'aller au cinéma cet été... MCinéma.com - Marc Kressmann Le film présente brillamment le point de vue des deux protagonistes déchirés entre amour-propre et amour tout court. Mais Loach tisse doucement sa toile en l'enveloppant d'une sensualité inhabituelle, en partie grâce aux deux comédiens dont l'alchimie à l'écran est réellement palpable. Le Figaro - Emmanuèle Frois Ken Loach, l'athée, dénonce toute forme d'intégrisme dans un film sensible et poignant. Télérama - Cécile Mury A vouloir trop en dire, le film n'échappe pas totalement aux pesanteurs de la démonstration. Sur un fil ténu entre candeur et délicatesse, le film a quelque chose de vulnérable, de profondément touchant. aVoir-aLire.com - Rania Hoballah Toutes les contradictions des enfants d'immigrés dans un film qui confirme, une fois de plus, le talent et la sensibilité de Ken Loach. TéléCinéObs - Olivier Bonnard Il jaillit du dispositif mis en place par le cinéaste une vérité humaine bouleversante, d'autant que les acteurs sont au diapason. Un Ken Loach de haute tenue. Le Monde - Jean-Luc Douin Ken Loach distille une forte émotion dans son film, tout en donnant une leçon de mise en scène. Le nouveau Ken Loach, un film à ne pas manquer. L'Express - Eric Libiot Une mise en scène brillante à force d'être évidente, une direction d'acteurs comme toujours incroyablement juste. Just a Kiss tient un discours simple mais essentiel sur la tolérance, et on reste admiratif devant cette capacité de Loach à livrer une oeuvre personnelle, touchante, émouvante sur un tel canevas. Respect. Cahiers du Cinéma - Thierry Méranger Le nouveau Ken Loach n'est qu'une histoire de rencontres. Une comédie sociale, sensible et efficace. Définitivement Copyright © Projectibles Page 4/5 "Just a Kiss" de Ken Loach un bon cru. Positif - Fabien Baumann Un portrait toujours réaliste et poignant. Un film sensible, moins brutal que les précédents. Première - Olivier de Bruyn Un film simple et sensible servi par des comédiens d'une incroyable sincérité émotionnelle. Studio Magazine - Sophie Benamon Si cette idylle entre un musulman d'origine pakistanaise et une catholique irlandaise nous touche au coeur, c'est surtout parce que le réalisateur les enveloppe d'une sensualité bouleversante. Drôle et émouvant. Aden - La rédaction Ken Loach après la dureté de Sweet Sixteen, filme cette histoire d'amour comme un Roméo et Juliette moderne mais débarrassé de tout romantisme. Ses comédiens sont remarquables, son approche humaine toujours aussi fine. On sort du film la gorge serrée. Les Inrockuptibles - Amélie Dubois Le naturalisme humaniste de Loach ne marche pas à tous les coups. Dommage. Ciné Live - Sandra Benedetti Le défenseur des classes ouvrières choisit la carte de la facilité avec cette histoire d'amour sur fond de conflit culturel et religieux. Copyright © Projectibles Page 5/5