Les Batinettes - Du Rififi aux Batignolles

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Les Batinettes
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La Batinette
La gazette du Rififi des Batignolles aux Épinettes
partenaires
Nova, partenaire média exclusif et de choix du Rififi 2011 !
Bonjour Nova, qui êtes-vous ?
Nova est surtout connue pour la radio avec ses spécificités musicales et
journalistiques mais c’est également une plateforme Web dédiée à la
radio complétée d’une Web radio.
Nova est un service de régie publicitaire pour Radio Nova, TSF Jazz et
Novaplanet.com.
C’est aussi une expertise de production audiovisuelle pour la télévision et les marques qui constituent le pôle
Nova.
Pour terminer, Nova c’est une maison d’édition d’essais et de documents et une application Internet mobile pour
Radio Nova et Novaplanet.
Nova est un tremplin pour toutes les formes de communications et d’expressions créatives.
Un peu d’histoire !
Nova a été créée en 1981 avec l’avènement des radios libres. Depuis 30 ans, elle est restée indépendante,
vivante, curieuse, libre, créative, cinglée et toujours aussi moderne !
En analogique ou en numérique, son défi reste le même : faire vivre les musiques et pratiquer le journalisme sans
complaisance.
Radio Nova compte aujourd’hui 396 000 auditeurs quotidiens et 1,5 million d’auditeurs par semaine (source
Médiamétrie 2010).
Quelques sont les caractéristiques de Nova ?
Nova est concernée, attentive aux pulsations de la ville, utopique, engagée…elle est aussi surréaliste, absurde et
poétique !
Elle s’anime d’un esprit de découverte, de jeunesse, pratique l’activisme, l’enthousiasme, toujours dynamique,
dans un souci d’exigence et d’avant-gardisme…
Une ambition ?
L’ambition de Nova est de faire découvrir ce que l’immense production musicale aujourd’hui recèle comme
trésors cachés. Elle cherche, défriche de nouveaux talents, accompagne l’émergence de nouveaux
mouvements...
Un public fidèle et passionné !
Oui, Nova, c’est une communauté de fans réunis autour d’une même ligne éditoriale et artistique.
Revendiquant sa fierté d’appartenir à une culture forte et indépendante, Nova s’impose comme un véritable
symbole identitaire pour son public.
Plus qu’un média, Nova est devenue au fil des années une marque affinitaire.
C’est une productrice de contenus, de sens et d’engagements. C’est un média de contrat : contrat symbolique
passé avec son auditeur, ses lecteurs et ses internautes.
Elle comptabilise 120 000 fans sur Facebook.
Un public de niche ?
Nova revendique effectivement un public de niche marginale, branchée, et élitiste.
Un peu bobo ?
Ce n’est plus la question. Aujourd’hui on ne cherche pas à fidéliser nos auditeurs mais à leur rester fidèles.
Nova n’est pas un média de contre-culture mais de subculture. Nova c’est une histoire de culture partagée, un
goût avéré et permanent pour la nouvelle création, partagé avec ses auditeurs constituant un public de créatifs
culturels.
Le public Nova est moderne dans ses choix.
Depuis 1981, les radios libres ont beaucoup évolué ?
Curieuse, passionnée, érudite, Nova se pose en dernier bastion contre le formatage rétrécissant des radios
musicales. La ligne Nova, c’est une programmation musicale éclectique et pointue, un habillage on ne peut plus
décalé et un suivi toujours critique de l’actualité…
Merci Nova, la Batinette reviendra vers vous début septembre pour informer nos lecteurs du lien qui unit le Rififi
à Nova.
Propos recueillis par JF
http://www.novaplanet.com/
édito
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Les Batinettes
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Août 2001
Les vacances se terminent pour les uns, continuent ou commencent pour les autres.
Pour les premiers, c’est retrouver Paris au mois d’août, la meilleure saison, dit-on, pour
aimer la Capitale.
Les parisiens au travail sont reposés et profitent de la tiédeur tranquille des rues désertées.
Les terrasses sont accueillantes. Il fait bon vivre, même sous la pluie, Paris prend des
allures de province assoupie.
Batignolles et Epinettes sur la façade nord-ouest de la belle endormie ne somnolent que
d’un oeil : le Rififi prépare la rentrée.
Artistes et bénévoles de l’association sont à pied d’oeuvre !
Le programme des festivités sera disponible très prochainement chez les commerçants du
17è et partenaires du Rififi ou à télécharger sur le site.
Sur le site, chacun trouvera développés les quatre rendez-vous proposés pour la fin de l’été et le début de
l’automne.
Concerts, théâtre, parade, marché aux livres, repas de quartier, contes, soirée cabaret, balades historiques et
courts métrages...
seront au rendez-vous, à prix ultra réduit pour les grands et les petits.
Coup chaud sur les Batignolles et les Epinettes, l’annonce est prometteuse !
La Batinette vous présente en avant-première quelques manifestations à venir et notre partenaire parisien NOVA.
JF
Le sommaire 2011
Temps forts
’’Chaque époque rêve la suivante’’, Jules Michelet par Lucien Maillard
Zoom sur les artistes
L’ESTRAN, le Rififi vous propose du théâtre, gratuit !
Le groupe "CkickenTown" et son rock champêtre sur le Rififi
Partenaire
Nova, partenaire média exclusif et de choix du Rififi 2011 !
Bénévoles
Réunion d’information le 1er septembre
temps forts
’’Chaque époque rêve la suivante’’, Jules Michelet
Conférence-promenade de Lucien Maillard dans le nouveau Paris, de l’Arc de Triomphe à la rue Guersant
Après l’évocation d’Alexis de Tocqueville, rue de Tocqueville, l’an dernier, Lucien Maillard
organise, durant les journées du Patrimoine, les 17 et 18 septembre, une conférencepromenade sur la transformation de la capitale et du quartier de l’Etoile entre 1839 et 1852
autour du journal de Jules Michelet, qui séjourna entre 1849 et mai 1852, au 43 rue de
Villiers, l’actuelle rue Guersant.
La Batinette : Après les anarchistes, les saint-simoniens, Tocqueville, Zola et Dreyfus,
pourquoi Jules Michelet, l’historien de la Révolution ?
L. Maillard : « C’est sans doute le désir immodeste de donner la parole aux grandes figures
de la pensée humaniste, aux âmes fortes qui ont changé notre regard sur la civilisation.
Michelet, comme Tocqueville, est l’un de mes auteurs de chevet. Je me souviens de
l’époque où il était imprudent de le lire impunément au lycée. Son ‘Journal’, comme celui de Delacroix, est l’un
des textes les plus puissants du XIXè siècle. Comme les correspondances de Tocqueville et de Flaubert, ou les
‘Choses vues’ de Victor Hugo, c’est un chef d’œuvre que je souhaite partager avec le plus large public.
La Batinette : Pourquoi cette période ?
L. Maillard : A peine l’Arc de Triomphe était-il achevé et inauguré, en 1839, que Jules Michelet était monté,
avec sa fille, sur la terrasse du monument pour contempler le Paris d’alors, encore ceint par le Mur des Fermiers
Généraux. Déjà, il pressentait que l’avenir du nouveau Paris s’écrirait là… Il devinait la nouvelle
économie et les forces qui gouverneraient un jour la cité-capitale. Après son mariage avec
Athénaïs Mialaret, Michelet s’installa avec sa jeune épouse au 43 rue de Villiers, l’actuelle rue
Guersant. C’est là qu’il écrivit, en partie, son « Histoire de la Révolution Française ».
La Batinette : Le quartier de l’Etoile n’a-il pas complètement changé ?
L. Maillard :Le Journal de Michelet raconte tout cela : comment le quartier fut livré aux
terrassiers, aux spéculateurs avisés et aux utopistes de tout poil, industriels ou inventeurs. Il
raconte aussi la vie quotidienne de ces Parisiens excentrés et leurs espoirs. C’était un piéton,
un grand marcheur et un rêveur. Un amoureux des villes et un visionnaire. C’est en proscrit,
exclu du Collège de France et banni par Napoléon III, qu’il quittera, en mai 1852, les Ternes, les
Batignolles, le Paris populaire, lui qui se sentait « toujours en conformité avec la France, déchiré quand on la
déchire, déraciné quand on la déracine » ! Mais c’est surtout l’humanité tonique et bienveillante que j’ai voulu
retenir de son ‘Journal’. « Chaque époque rêve la suivante », affirmait ce poète de l’histoire, Homère des temps
modernes. »
En savoir plus : Samedi 17 et dimanche 18 septembre
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Rendez-vous à quinze heures à l’angle de la place de l’Etoile et de l’avenue Carnot.
Et d’ici là, lisez "le journal" de Jules Michelet !
Propos recueillis par Barberine
zoom sur les artistes
L’ESTRAN, le Rififi vous propose du théâtre, gratuit !
Création collective du Théâtre de l’Echelle à la Jonquière
Entre le « mythe » du Prince Charmant et la Réalité, l’espace d’une plage entre
marée haute et marée basse…
Synopsis
Nell s’est nourrie de rêves d’enfant, de contes, de tout ce qu’ « ON » raconte aux
petites.
Nell s’est nourrie de rêves d’amour, de « Je t’aime pour toujours », de « On vivra
éternellement heureux », de « Promesses indéfiniment tenues », de…, de…….
Nell avait dans sa tête une envie comme une eau pure où se baigner, se glisser, se
laisser emporter, jaillir dans une gerbe d’écume transparente… comme le fait le
dauphin…
Alors quand elle l’a rencontré « Lui » elle s’est donnée, sur cette plage, entre liquide et ciel, comme on se jette
dans une mer fraîche, vierge… Elle a donné son corps, son amour, son être, ses désirs, ses rêves….
Et puis, et puis………. « Lui » s’est envolé, a disparu, s’est évaporé, comme çà, oui comme çà…
Nell revient alors sur cette plage en bordure de cette mer où, quelque part son corps, son amour, son être, ses
désirs, ses rêves se sont engloutis… Dans le creux des vagues défilent, défilent encore les images de ce qui fut…
Qu’est-ce que l’Estran ?
L’Estran est la portion du littoral, laissé libre entre la plus haute et la plus basse marée. On peut imaginer que là
échouent les fortunes de mer, les naufragés de toute sorte, les souvenirs, les bouteilles à la mer, les illusions, les
objets du passé, les lettres reçues, jamais envoyées, les dernières lueurs du couchant…
Le lieu scénique est donc à la fois la chambre de Nell et cet estran….
Les 9 et 10 septembre à 20h au théâtre de la Jonquière
88, rue de la Jonquière
Paris 17
Le groupe "Ckicken Town" et son rock champêtre
Dimanche 11 septembre 2011 - 14h45 - Square des Epinettes
Le groupe de rock champêtre Ckicken Town participera à son premier "Rififi".
Interview de Julie, la chanteuse du groupe.
La Batinette : Quel est l’origine du groupe - votre style de musique ?
Julie : Ce groupe a été créé en 2010 par Arnaud le guitariste et François le batteur. Bruno le
saxophoniste et moi les ont rejoint. Le groupe a donné son premier concert le 2 avril dernier.
Nous qualifions notre musique de "rock champêtre" parce qu’elle est plutôt acoustique, sans
trop d’effets... et puis "rock champêtre", ça nous plait bien !"
La Batinette : Pourquoi ce nom amusant de "Chicken Town" ?
Julie : Ce nom de "ville des poulets" provient d’une blague faite entre les membres du groupe.
Et puis j’ai été inspirée par la lecture du livre "Abarat" de Clive Barker racontant les aventures
de la jeune Candy Quackenbush dans la ville de Chickentown".
La Batinette : Julie, une question plus personnelle. Pourquoi être devenue chanteuse ?
Julie : "J’ai une passion, la chanson sous la douche ! Je suis devenue la chanteuse du groupe après avoir
rencontré les membres du groupe."
La Batinette : "Avez-vous des projets d’enregistrement ?".
Julie : "Nous avons d’abord un projet d’enregistrement "maison", prévu pour la rentrée".
Merci à Julie (propos recueillis par Patricia)
Venez les écouter le dimanche 11 septembre, à 14h45, au square des Epinettes.
Et dans l’attente, pour une première découverte, écoutez "la complainte des pieds" sur sur le site.
Contacts
Concepteur et administrateur du site : Guillaume Tirard
Responsable de la publication : Barberine d‘Ornano
Rédacteur en chef : Jean-François Beaucher
Rédacteur Adjoint : Patricia Foucher
Contacts : [email protected]
Site Internet : www.durififi.com
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Les Batinettes
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Publié le 1er septembre 2011
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