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DIRECTEUR PROPMLTAIIUt \.influence de fia soi-disant ii/uninn publique sur 1rs actes d un gouvernement doit Hrt très limitée , eest-"-dire nue ce ne sont pat les masses qui doiœnt diriger le gouvern •meid. mais MM c'est le gouvernement qui doit ennduire les massa le prln eipe de Liberté, 1res joli en ///■ '■> rie, n'est plus assez efficace comme règle de conduite îles peuples ; il doit être remplace par le principe de l'Autorité. Primo de HIVER A IMPRIMEUR-, Clément MAGL01RE BOIS-VEHV. 1358, Hue Américaine, 1858 LE NUMERO jQcrae ANNÉE SO QUOTIDIEN CENTIMES TÉLÉPHONE N° 242 N" 5887 PORT-AU-PRINCE ( HAÏTIJ MARDI 31 AOUT 1920 La Saintem Rose m La nouvelle Corona » •M La Machine m m écrire personnelli ' ajnurd'l'iii. une neuvclle ipoona CCBBrooa pour !«<•(! ur o n a » .h*-» i'*«'«' l(- »"> 'été >. Oi| nuire » qn ^i, eeri" en IM) eariicl^rt-a .1 J 11. renia el 'P/ peut comptai de 1 à i loin lie mor ! Depuis quelques iutirs. se ■Marque, chiiis presque loin (je milieux huïtiens, une Icnjsco nettement m arquée a s? ■tourner des questions purement |îOI il iq u es pour ne necupe " que de l.i silunli ni ■onamiquedu Pays.question, «tous les points de vue, cent Us plus impo .tante | Cesllorl heureuse,nenl que. dans l'Opposition, I on comprime enfin que le salut dé!ii:iit.f dj la nation dépe.i.l Httdessoliilions" :'i apporter |iu\ problèmes éeon uniques jait'iles dis Missions aea I ': ui2Ici toujours pas données e (lieuses, (|iii ont été jus ju'ici ■utilement poursuivies s.ir es questions politiques que ■Moins ctairvovuuls d'en Ire tous ont, depuis considéré (tQoime définiliveuient solulionr.ées. Il était vraiment désolant • constater que tous ceux ^«iprétenduie.it, de leur prort initiative, se charger de jUtatedes intérêts dii PeuWeluilien n'aient jamais vou|*Qaj dans la qucition haï— ienoe (jo'une ail ,ire où la politique tenait et devait tenir it'premiirn.le. («W D .lieuse concepiion m egoses actuel les de notre rjyi mènerait certainement *"' e' ceux qui voulaient juand même I élever à la iiau «M une doctrine et le pays. •M l~* v". l'autre jour, un jeune ■yçrçwl bien connu dé cette I;«.J«uant à h, toupie sous la IP»rie «fie voisine du magasin de L.a<|"'ira.l l'adresse avec iaP*"e lejeune eoin.n-reml lai- hii n? er :l * ll)U il P '- '««'«R»' Ë!„ ïna^"-«'ur de vies et ME?!™ ,|Ui ,;'l'l>Ha à sou ; lïtq'.lc |CU ""l'"'l |)as ,|es ,lusil se li Itaù " l '•»>»• Kr' ' »*'Uiiil:idivss(; de sa l |,, i, ll r la ,m| k m£E7 '" ' 'du magasin i» ' CJils devanture Car u Nous sonur sa un. épocfl e où toutes les nations, tous Us peuples, toutes les races reje.lenl au dernier plan les questions piireniei I politiques, pour ne rechercher leur salut ipie dans la solution (les problèmes économiques et financiers. Voyez la France. Depuis l'avénementau pouvoir du Car tel des Gauches, groupement essentiellement politique, balj lolée par les ouragins politiques, elle connut tous les malheurs: le quasi-abandon de ses alliés, les exigences souvent vexa loi res de ses créanciers. Elle côtoya là débâcle. Mais rompre tant à la Qnque seul un gouvernement «linan Cier* I aiderai! à sortir de ce dangereux pas, force l'jl d'appeler au pouvoir A|. Poincare ipii constitua, sans tarder, un ministère de défense de la monnaie trançaise et de redressement financier, comme il l'a Itii iii/ine appelé. Ce qui est vrai pour la France,nation puissante, l'est davantage pour nous, petit peuple r.dl>le à ressources économiques restreinte!, ("est vers les questions économiques que nous devons to.it d'abord diriger nos efforts, c'est par une discussion raisonna* l>1e et mesurée de ces (pieslions que l'OpposiliOL peut vé itablement apporter une seuse dominicaine lu*er avec sa main les cheveux de son cavalier. Ella trempa il ses doigts dans sou verre de bière polissait et repolissait les cheveux de son galant qui, à la fin, eut la liguasse tout humide. Véritable coq mouillé! ... voit, elle/ Lope, (îran.l'Hue, le servi e de vente des pains cuits à l'éloclricité. C'esl E mie Cuebas qui le dirige. Ce servies est irréprochable, il fonctionne à souhait. On est servi à temps, avec la plus grande politesse el chacun part toujours salislait emportant un excellent pain chaud el croquant ... envoie un bon coup d'ted à Kimlc Cuebas. Pf«reel luire v.iler les Oilres m lv l;iim :K ,,r w&$; ' i«»»" Knime l>«K-lier tristement 0!n u BÇi «IremiMuIre loche- raVui1- U' ,e VU 1,5 bonheur de ■Cela J" !"aliu-ur des autres. I *N»«itàlaNace(ieflrard. I ... a vu. vendredi soir, des gen lai nies dominicains qui s'amusaient à Lalino. Tenue 1res correcte. Ilsélaient joyeux de revoir dans un dancing a Port-auPrince des «payses» avec qui ils s'entretenaient gaiement. ... a vu, dimanche matin, rue (ieffrard, u:i émule de Théard. In sportuiaa en herbe qui nialcliait contre un petit ...cycliste. Le gamin n'élaii-il pas de taille? Le lait est que, a^enaque course - el il en y eut plusieurs I' louiine l'emporta sur la inaC i"c. A quand l'c-s hi hit ion de ic phénomène ? ... regarde le chevalier André. ■•£*£ ««nedi soir, dans un ■«Icinga chics, une dan- ... voit, toujours rue Getfrard, entre les rails de Is l'. C. s, ans belle végétation Iraiche et drue. Sur cette herbe qui verdoie, le dur soleil poudroie et Noms 3 •p* Il y a 17 ans que « Corona fabriqua et vu'gjii e la ^ J. maeliine H écrire légère. '. DeLuis lors "Corona»prend pronressivinient la place de» VSmacliine* lourdes al vo aniaesses. *w* 1 'î- . * CORONA TOW APPORTS un BCOHOMUI. *i*3* •£',MAWVKLL& MOIIR tjb $\'j I'OM: :i7.') £& i — i ces lois, de grands travaux pupublics v o n | être culrcpris dans diverses villes de la Réptlbliqiie, de |] IUVCUUX Dispensaires riiiao ; vont être établis, de grau les améliorations seront apportées uux Hôpitaux, etc. ('e S«:i| In des réalisations d > il l'iiitérèl économique el social es! c insi lerabl î p Kir I avancement du ►*uys. Certes, eerta ns d 'eut r e nous, les plus passionnés, aveugles qui reiusenl de voir, tenteront encore de mêler la politique à ces entreprises gouvernementales; mais, il faut d'avance rendre u;i hommage bien mérité au Président tforno qui, certainement, saura ne point se laisser troubler par tes clameurs de ces voix intéressées el poursuivra, jusqu'au bout,avec fermeté et conviction, les grandes oeuvres économiques el sociales (pli aideront plus à l'avance ment de notre peuple que toutes les discussions politiques stériles el passionnées, ŒiL voit venir un vieux car poussif el délabré. C'est, peutêtre, chai niant et idyllique; mais, si la Cie. envoviii alto équipe sarcler un peu'celte pelouse et cette mauvaise lier!)', ce serait mieux. La Maison irmvi l* les Journaux hiîtiais Le Procura te a r de la M lis >Q Armoursà Port-au-Prince, a annoncé à l'adini lisir.ilion 03 tous les journaux de la Capitale que cette importa île Maison s ispeadail ses a bon u-aieiils à tous les quotidiens. ' Les motifs de celle dét"iMli'iation sont, parait-il, des rais )'is d'économie; cependant alla n'a pas manqué de nous s irprendre de même que tous nos conliv.vs; car, vu la situation llorisiaiile de la Maison Armouis, celle question d'économie mise en avant n'est qu'on prétexte et nous ne voyons pas qu est-ce (pli B Valu à la Presse portail priatienne ce boycottage en régie. CRlb m n: F. MOREAI lires articles nçais détail, 'chez . s FENELl IN'. Montalais. î?? «*'X**i'*X»»!'• •!'« •!« 'î'i''I*»2>»1*»i* •!• •l'i •'l'-'i' »î,»î,,X*'2?*t A L'Csine à Glace ace fient D'après les renseignements que nous avons pu, ça et la, recueillir le service de vente de la glace au débit de llsine. Une hautes Destouchea, marche ù la pleine satislaelion des clients et acheteurs. On est servi avec promptitude et d'autre part, il nous a été expliqué que le service de pesées de la glace que nous demandions à la Direction de Usine de l'aire observer constituerait une inutile perte de temps, vu que l'employé qui débite la glace a une si grande habitude de la chose qu'il brise toujours les morceaux au poids demandé. Nous prolitons de l'occasion pour léliciter Ja Direction et le personnel de I l'sine du souci rrn'iia ont et des efforts qu'ils déploient afin de donner pleine et entière satisfaction au Public. Samedi dernier, un tragique accident eut lieu sur la route de l'oi l-au-l'riuce à Saint-Mare. M. I'. Shielda, l'aimabls propriétaire du g.and /Intel Central, a Saint Marc rentrait a l'orl-auPrince. en automobile, lorsque, à la suite, sans doute, de quel(|ii imprudence le réservoir a gazohuepril soudain l'eu. M.Shielda recul de fortes brûlures. Transporté à l'Hôpital Général, à Portau-Prince, il y est mort hier mutin. C'est un bien tragique accid-nt que tous déploreront certainement ; car, M. Shields laisse parmi tous ceux qui le connurent le souvenir d'un panait gentilhomme. Conseil pratique A la Croix-Rouge Américaine en Haïti Considérant qu'il n'y a pas lieu de profiter des diiticuftés de la situation actuelle, la mai son Kawas HKUMAXt )S se l'ail le devoir d'aviser ses clieutsel le public en général (praiicuiic Augmentation ne sera faite sur les articles qu'clc a en stock, vu (pic ces articles n'ont pas eu a subir les couse quence du nouveau tari.. C'SSt pourquoi nous conseil Ions les pères el mères de familles de se haler de faire leurs C'est M. H. Hyden qui a remplacé, depuis quelque temps M. I.assale. comme Directeur de la Croix-Rouge Américaine en Haïti. \l. Hulen qui est revenu d'un voyage dans la Mépubliipie Dominicaine où il était allé visiter les pnpuleiiona éprouvées par le cyclone du -I Juillet dernier, a pris la direction du service de la Croi i-Rougeà Port-eu-Prlnce. Nous présentons nos vives léI citai.ou au nouveau Directeur de la Croix-Rouge Américaine en Haïti. emplettes chei Kaws II KM.M A NOS 17$i, Hue du Magasin de TEIat, Hier, .'il! Août, était la fêle de Sainte Itosr de Sainle-Marie, Vierge de i ima, Religieuse du Tiers-Ordre de Saint-Dominique née en 158(1, morte eu 1617. C'eal la I alroiine île la ville de Léogflne dont l'église est placée sous le vocable de celle Sainte et, chaque année, sa fête est célébrée avec grand éclat. Dés samedi api cs-niuli un grand nombre de pèlerins el defidelis prenaient d assaut les camions qui lout le service de transport l'ort-au-1'i i née- Léoga ne, dimanche le nombre des voyageuis augmenta encore. Dans la petite ville d'ordinaire si tranquille, CS fut. pendant ces jours, une altluence, nue gaieté inaccoutumées. Hier, à S heures du matin, il y eut grand'messe célébrée en présence d'une assistance qui emplissait toutes les nets i!< de l'église. \ l'évangile un beau sei mon lut prononcé sur Sainte Roee, magnifique exemple ds vie pieuse el de belles vertus. Après la ce ii inouïe religieuse^ les groupes joyeux se répandirent dans la ville qui clic/ des parents, qui elle/ des amis loiljoui s hospitaliers où l'on passa les moments les plus chai m.mis. Comme chaque année. Sainte Hose a été grandiosemenl fêtée M Léogane. JttURICE ETIENNE fils Angle des Hues du Magasin de l'Elut et nés bronls-toiis NOUVEAUTK.SJ McRcsMis; I'AHFWMERIK. Il n'y a pas eu de concert au Cnamp de Murs Dimanche, comme d'ordinaire un giand nombre de promeneurs s'étaient donné rendez-vous au Champ de Mus pour assister au concert dominical de la Musique du Palais. M.ns le kiosque resta silencieux ; car, la musique était allée prendra part à la réception offerte a S. K. M. D'Ar-. lillacl linll par M. André Chel rallier, Présidenl de l'L'. S. S. | Correspondante Vendredi '21 Août 1998 ( Mirebalaia ) A l'Iionoi ible Directeur du journal « Le Malin aj Poit-au-Prince. Clier Directeur, .le vous annonce qns le père ijChip^ne Duc de Montebllol •ï*/ •&} qfr M 9 Cordon noir augoOl Iran^ais Cordon blanc au goût américain. I le la Maison ALFRKD OK ;M( 1NTEBELUI ^ C" t ondée en 1834. Cliàleau de .Marcuil-sui Ay ( Marne) jA ££ VlONOBLMl i»l.s |)ics D'OIUUMM MONOPOLE DE ANCIKXS CH llli. Hue Iraversiere pfii l'ort-au-Prince, Haïti. j En vente: Au i marché Cristal» à l'Ifotel Sea-Vicw ^et dans les principaux cales et restaurants. *: i :eMe marque est parmi celles qui mit tail leurs prae> ■ ves, qui ont donné leur chef é'oeuvra et'obtenu lenra ■ lettres de noblesse, ^'Q« ..t..». t«'X»-"i*<!y 1* *\ ç iÇ» $ £ £ $ «> f\ *> % v ,,» ... ? ■ *• w»m Pnnicl Chanouie honoraire il;ins sç)ii discoure après le baptême «lu dispensaire île Mirebahis a «dressé îles complimenta, aux ssédecins américains el haïtiens qui l.availlcnl dans le district de Hinche, .-u cherchant A eonssrveT ks cadevrea Le docteur l'.C. Il,||, |e docteur Buroham el la docteur P CSta ont assiste a celte petite cérémonie. Dena la grandi ssJls ,\u ,bspensa.re. „., ;, v„ aussi le lieutenant Paul Burney de M nelialais et plusieurs autres améri■Uns distingués. Us.nombreux prétree qui ont contribue a donner de IV, M à cette petite fête. e„ disant de belles hvmnce n'eut pas reclamé de lardent, ,,;,ree ,,,„. |e dispensaire «|i; ils „„, |,,,, ,iso est une .euvred',,1,1,^ ,,„,„;,„ L honorable préfet l |, en| Jtagjmra ns pu ,.„ ,,. , d assister A ce baptême, parce qu.l a été rendre visite* la ,)rZ pulal.on ,]e Las r.,f1()bas '^ — La musique i!c lljjim h e, i u l ^ i