Washington, Paris et l`Onu sur le qui

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Washington, Paris et l`Onu sur le qui
Washington, Paris et l’Onu sur le qui-vive, dès l’annonce d’un référendum, un gel des avoirs de Denis Sa
Écrit par Michèle Sylvère Délévoye
Mardi, 25 Août 2015 14:00 - Mis à jour Mardi, 25 Août 2015 15:10
Sassou et son entourage risquent un gel de leurs avoirs pour leur entêtement…
Sassou et son entourage sont déjà sous le coup d’une enquête sur les BMA. Mais ils
pourraient dans très peu de temps voir leurs avoirs en Europe, tout simplement gelés. Si ce
dernier s’obstine dans l’organisation d’un référendum, dont Washington ,Paris et l’Onu jugent,
de l’avis de leurs experts et représentants au Congo, source d’une déstabilisation de la paix et
de la sécurité.
« Je ne vous ai jamais rien dit. Mais sachez que le président Hollande est constant et
tout comme Barack Obama et même l’Onu, outre leur souhait de dépêcher un
médiateur au Congo, n’excluent plus d’aller tout simplement jusqu’au gel des avoirs
de Denis Sassou Nguesso, de ses proches et des barons de son régime, civils et
militaires. S’il ne passe pas la main. Et s’entête à organiser un référendum, lequel
entraînerait le chaos au Congo-Brazzaville» .
Celui qui balance est sous les lambris du palais de l’Élysée. Notre correspondant est clair et
précis. Il ne plaisante pas. Ce qu’il lâche c’est du solide. Ils sont un carré dans son genre à
encadrer le locataire de l’Élysée. Ils ne se sont jamais faufilés dans les appartements privés de
Denis Sassou Nguesso à Paris, pendant ses séjours. Ils pensent avec leur cerveau, ils donnent leurs avis au président français sans parti pris. Ils analysent et conseillent le président
Hollande, pour lui éviter de « fauter, ils savent bien que le Congo-Brazzaville est en danger, le
serait davantage dès l’annonce d’un référendum, les esprits sont surchauffés, tous les câbles
l’affirment.
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Washington, Paris et l’Onu sur le qui-vive, dès l’annonce d’un référendum, un gel des avoirs de Denis Sas
Écrit par Michèle Sylvère Délévoye
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Alors, ils ont conseillé à celui pour qui, ils travaillent à intervenir, et fissa ! Ce ne serait pas de
l’ingérence, mais de la prévention. Ce d’autant plus que les fonds et biens gelés ne le sont
souvent que le temps de s’assurer que le danger serait empêcher. Des conversations entre
Washington, Paris et l’ONU l’idée fait son chemin. On attend plus que le comité des sanctions
soit mis en place. Des noms sont proposés, des personnalités civiles et militaires du Congo qui
pourraient être sur la « blacklist ».
Le dernier discours de Sassou devant le congrès a été pris pour un entêtement. En dépit des
conseils du « messager » Boni Yayi.
Fort des courriers qui inondent depuis quelque temps déjà la Maison-Blanche, le Congrès
américain, l’ONU ; l’Elysée et le Palais Bourbon et même l’Union européenne, Sassou et son
monde se verront bientôt servir des « coupe-faim ». Sont visés tous ceux qui l’entêtent d’y
aller, envers et contre la constitution dont il a lui lui-même donné à son pays. A organiser un
référendum à risque et à rempiler jusqu’à la mort. Pour gâcher les chances d’une alternance au
Congo.
Sassou et son entourage risquent donc un gel de leurs avoirs. Ils ne pourront d’ailleurs jamais
en prouver l’origine. La mesure serait préventive et même indépendante des règles pénales de
droit. Des généraux, des ministres, sa famille vont devoir rendre gorge. À cause de ce
référendum qu’ils veulent organiser et qui pourrait déstabiliser la paix et la sécurité au Congo.
Brazzaville. Le risque de violence et de mises en dangers d’autrui ne fait l’ombre d’aucun doute.
Un comité de sanction va être constitué, en même temps qu’un médiateur sera envoyé.
Le président Denis Sassou Nguesso et tout son entourage ne prennent pas la mesure du
danger qu’ils s’apprêtent à faire prendre au Congo. Il y a une constitution au Congo, qui doit
être respectée. ils parlent de paix et de sécurité, mais ils sont déjà sur le point de les mettre en
péril. Par leur appétit. Ils veulent délibérément mettre en danger un pays qui sort de très loin. Avec les risques d’une glissade. Et maintenant ils vont subir ce que l’ONU, les USA et la France
s’apprêtent à tout faire pour prévenir tout danger au Congo.
Michèle Sylvère Délévoye
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