l`énergie dans les logements en provence-alpes

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l`énergie dans les logements en provence-alpes
L’ÉNERGIE DANS LES LOGEMENTS
EN PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
Le secteur du bâtiment est le plus gros consommateur d’énergie (44 % du bilan global national) et un gros
émetteur de gaz à effet de serre. La lutte contre le réchauffement climatique passe par une meilleure
efficacité énergétique des logements et une diminution de leurs consommations. Une connaissance précise
des caractéristiques énergétiques des logements est nécessaire : isolation thermique des parois opaques et
vitrées, isolation de la toiture, modes et systèmes de chauffage. Il convient également de connaître les travaux
d’amélioration énergétique réalisés afin d’identifier le potentiel d’amélioration du parc. Par rapport à l’enquête
nationale des spécificités existent, tant au niveau de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur que de ses zones
locales. Ces spécificités ont pu être étudiées au moyen de l’enquête logement réalisée en 2006 par l’Insee
(voir encadré « Source »).
ISOLATION THERMIQUE
En matière d’isolation thermique d’un logement, l’enquête logement
délivre les informations suivantes : la présence ou non de fenêtres
avec double-vitrage, l’état des menuiseries, l’isolation thermique du
toit et des façades.
45 % des résidences principales de Provence-Alpes-Côte d’Azur sont
sous-équipées en fenêtres à double-vitrage.
En Provence-Alpes-Côte d’Azur, 45 % des résidences principales, soit
936 000 logements, possèdent moins de 50 % de fenêtres à doublevitrage. contre 31 % en France. Au sein de la région, c’est sur le littoral
azuréen qu’il y a le plus de résidences principales sous-équipées
en fenêtres à double-vitrage : 51 %, contre 43 % sur l’agglomération
avignonnaise ou sur la région urbaine Marseille-Aix-en-Provence.
Parmi ces 936 000 logements 748 000 sont des logements achevés
avant 1975, Concernant le statut d’occupation, on constate que les
résidences proposées à la location par des bailleurs sociaux sont mieux
équipées que celles proposées par des propriétaires indépendants.
Ainsi 60 % des résidences principales des locataires à loyer libre
(soit 323 000) sont sous-équipées en fenêtres à doubles-vitrages
contre 43 % pour les locataires du secteur social (soit 130 000). Enfin
cette proportion est de 44 %, soit 343 000, pour les propriétaires non
accédants (c’est-à-dire n’ayant pas de remboursement de crédit en
cours) et 25 %, soit 91 000, pour les propriétaires accédants (c’est-àdire ayant un remboursement en cours).
En Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce sont majoritairement les
immeubles collectifs (599 000 soit 51 %) qui sont sous-équipés en
double-vitrage contre 36 % des maisons (soit 316 000).
34 % des résidences principales de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont
des fenêtres en moyen ou mauvais état.
En Provence-Alpes-Côte d’Azur, 34 % des résidences principales
ont des fenêtres en moyen ou mauvais état, soit 702 000 résidences
principales. Sur l’ensemble de la France métropolitaine, cette
proportion est de 29 %, soit 7 520 000 résidences principales.
19 % des maisons de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont une isolation
du toit insuffisante ou inexistante.
Sur les 875 000 maisons individuelles de la région Provence-AlpesCôte d’Azur, 19 %, soit 162 000, ont une isolation thermique du toit
insuffisante ou inexistante, contre 22 % en France métropolitaine.
Plus de la moitié des logements ont eu leur dernier ravalement de
façade il y a au moins 10 ans.
En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, 11 % des logements, soit
225 000, ont des façades dont l’état est médiocre (fissures ouvertes
ou revêtement dégradé). Cette proportion est proche de celle de
l’ensemble de la France métropolitaine (10 %). De plus, pour 58 %
des résidences principales de la région achevées avant 1997, soit
1 103 000, le dernier ravalement de façade date d’au moins 10 ans ou
n’a jamais eu lieu.
Une minorité de double-vitrage
dans 45 % des logements
France
métropolitaine
Région Paca
une minorité de double-vitrage
31
45
des fenêtres en moyen ou mauvais état
29
34
une façade dont l’état est médiocre
10
11
une isolation du toit insuffisante
(maisons individuelles seulement)
22
19
Nombre total de résidences principales
26 280 000
2 078 000
dont maisons individuelles
14 657 000
875 000
Part de
résidences
avec :
Source : Enquête logement 2006
9 % des logements de Provence-Alpes-Côte d’Azur utilisent des
poêles.
LES MODES DE CHAUFFAGE
Le recours au chauffage électrique est plus fréquent en ProvenceAlpes-Côte d’Azur.
En région, 36,5 % des logements (soit 758 000) disposent du chauffage
individuel électrique contre seulement 27 % pour l’ensemble de
la France métropolitaine (soit 7 165 000). En revanche, 33 % des
logements de Provence-Alpes-Côte d’Azur (soit 693 000) utilisent
une chaudière individuelle contre 47 % pour la France métropolitaine
(soit 12 262 000). Enfin, 21 % des logements régionaux (soit 473 000)
utilisent une chaudière collective contre 17 % pour la France
métropolitaine (soit 4 493 000). L’utilisation du chauffage urbain et
celle du chauffage mixte restent peu répandues.
Les poêles sont les appareils indépendants les plus utilisés sur
la région Provence-Alpes-Côte d’Azur : 9 % des logements, soit
196 000, en disposent. Parmi ceux-ci, 53 % fonctionnent au pétrole
lampant et 22 % seulement au bois alors que ces proportions sont
de 39 % pour ces deux types de combustibles pour l’ensemble de
la France métropolitaine. Enfin, 8 % des résidences principales de
Provence-Alpes-Côte d’Azur disposent de cheminées à foyer fermé,
4 % de cheminées à foyer ouvert et 6 % de radiateurs ou convecteurs
mobiles.
1/3 des logements utilisent des appareils
indépendants de chauffage
Le chauffage individuel électrique
privilégié en région Paca
%
50
45
40
35
30
25
20
15
10
5
0
Logements utilisant un ou plusieurs
appareils indépendants de chauffage
Radiateur ou
convecteur mobile
Poêle
dont :
Chaudière
individuelle
Source : Enquête logement 2006
Chaudière
collective
Chauffage
individuel
électrique
France métropolitaine
Aucun de
ces moyens
Région Paca
Au sein de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, on observe de fortes
disparités. Ainsi, les chaudières individuelles sont le moyen de chauffage
le plus utilisé sur l’agglomération avignonnaise (45 % des logements) et
sur la région urbaine Marseille-Aix-en-Provence (37 % des logements).
Sur le littoral azuréen, c’est le chauffage individuel électrique qui est le
plus souvent utilisé : 35 % des logements en disposent.
Le mode de chauffage varie fortement selon que l’on se situe en maison
individuelle ou en logement dans un immeuble collectif. Ainsi, en région
Provence-Alpes-Côte d’Azur, 44 % des maisons individuelles disposent
d’une chaudière gaz ou fioul et 42 % du chauffage individuel électrique.
Pour les appartements, 61 % disposent d’un mode de chauffage
central avec chaudière et 33 % du chauffage individuel électrique.
Au niveau des combustibles utilisés dans des chaudières individuelles
ou collectives, on constate qu’environ 6 chaudières sur 10 utilisent le
gaz de ville, 30 % le fioul domestique et 10 % le butane-propane, le
bois ou l’électricité. Ces proportions sont sensiblement les mêmes
entre l’ensemble de la France métropolitaine et la région ProvenceAlpes-Côte d’Azur.
30 % des logements de Provence-Alpes-Côte d’Azur utilisent des
appareils indépendants de chauffage.
En complément ou en remplacement de ces modes de chauffage
centralisés, 30 % des ménages de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur
(33 % sur l’ensemble de la France métropolitaine) utilisent des appareils
indépendants de chauffage : cuisinières chauffantes, radiateurs ou
convecteurs mobiles, poêles, cheminées à foyer ouvert (avec ou sans
récupérateur de chaleur), cheminées avec foyer fermé ou insert. Pour
11 % des logements de Provence-Alpes-Côte d’Azur (12 % pour l’ensemble
de la France métropolitaine) ces appareils indépendants constituent le
chauffage de base. Au sein de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, c’est
l’agglomération avignonnaise qui utilise le plus souvent des appareils
indépendants comme chauffage de base : 12 % contre 9 % sur la région
urbaine Marseille-Aix-en-Provence et 8 % sur le littoral azuréen.
Cheminée à foyer ouvert
Cheminée à foyer fermé
ou insert
Nombre total de logements
France
métropolitaine
Région
Paca
%
%
Total
33
30
dont servant de
chauffage de base
11
12
7
6
Total
chauffage de base
1
1
Total
8
9
chauffage de base
4
6
Total
4
4
chauffage de base
Total
chauffage de base
1
ns
11
8
4
3
26 280 000
2 078 000
Source : Enquête logement 2006
Pour conclure sur ces parties relatives à l’isolation et aux modes de
chauffage, on notera que les ménages de la région Provence-AlpesCôte d’Azur déclarent un peu plus souvent que les autres avoir souffert
du froid pendant au moins 24 heures l’hiver précédant l’enquête
logement 2006 : 19 % contre 16 % sur l’ensemble de la France
métropolitaine. D’autre part, les ménages pauvres ou modestes [1]
ont plus souvent froid dans leur logement que les autres : en France
métropolitaine, 24,5 % des ménages pauvres déclarent avoir souffert du
froid au moins 24 heures contre 19 % des ménages modestes et 13 %
pour les autres. Enfin, il y a environ 3 fois plus de ménages locataires
qui déclarent avoir souffert du froid que de ménages propriétaires.
95 000 logements de Provence-Alpes-Côte d’Azur sont climatisés
malgré une isolation défectueuse.
12 % des résidences principales de Paca (soit 258 000) sont
climatisées, contre 3 % seulement sur l’ensemble de la France
métropolitaine. Parmi ces 258 000 logements climatisés de la
région, 37 %, soit 95 000, présentent au moins un défaut majeur
d’isolation thermique : minorité de fenêtres avec double-vitrage,
fenêtres en mauvais état ou isolation du toit insuffisante.
DÉPENSES D’ÉNERGIE
TRAVAUX
Les ménages de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur privilégient
l’électricité.
En un an, un quart des ménages a réalisé des travaux dans leur
résidence principale.
Globalement, les ménages de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont
dépensé en moyenne 1 087 € d’énergie par an en 2006 dans leur
résidence principale. Cette dépense moyenne totale est inférieure
au niveau constaté en France métropolitaine (1 233 € par an). Ces
dépenses incluent l’ensemble des dépenses du logement en énergie :
chauffage, climatisation, production d’eau chaude, cuisson, et
électricité spécifique.
La part du budget consacrée à l’électricité est plus élevée en
Provence-Alpes-Côte d’Azur que sur l’ensemble de la France
métropolitaine : 62 % contre 52 %. On notera sa part particulièrement
élevée sur le littoral azuréen : 67 %. Viennent ensuite les dépenses
de gaz de ville (15 % du budget en Provence-Alpes-Côte d’Azur,
21 % sur l’ensemble de la France métropolitaine) puis de fioul (12 %
en Provence-Alpes-Côte d’Azur, 17 % sur l’ensemble de la France
métropolitaine). Les dépenses de butane-propane, bois, charbon ou
autres occupent une place de moindre importance : entre 1 et 6 % du
budget des ménages.
Sur les 12 mois précédant l’enquête, 26 % des résidences principales
(soit 543 000) de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ont bénéficié
de travaux à la charge de leur occupant (locataire ou propriétaire).
Totalisant 1 033 000 travaux différents, pour un montant moyen de
2 800 € par type de travaux. Ces données sont assez proches de
l’ensemble de la France métropolitaine.
Les ménages de Provence-Alpes-Côte
d’Azur dépensent 1 087 € d’énergie en un an,
dont 62 % en électricité
Dépenses en
énergie
France
métropolitaine
Région
Paca
%
%
Agglomération
avignonnaise
Région
urbaine
MarseilleAix-enProvence
Littoral
azuréen
%
%
%
Électricité
52
62
56
60
67
Gaz de ville
21
15
17
20
17
Fioul
17
12
17
11
8
Butane-propane
6
6
7
5
6
Bois
3
3
2
3
2
Charbon, autres
1
1
1
1
1
Dépenses totales
100
100
100
100
100
(en k€)
1 233
1 087
1 228
1 080
912
Source : Enquête logement 2006
La structure du parc de logements de Provence-Alpes-Côte d’Azur,
majoritairement composé à l’inverse de l’hexagone, de logements
collectifs et non de maisons individuelles, explique en partie la
différence de dépenses énergétiques. Le climat a peut-être également
sa part. On constate que les dépenses d’énergie sont plus élevées
d’environ 350 € dans les maisons que dans les appartements.
De nombreux paramètres influencent les dépenses d’énergie dans un
logement, qu’il s’agisse de facteurs relatifs à son mode de chauffage,
aux combustibles utilisés, à la surface, au comportement du ménage,
au climat ou encore à la qualité de l’isolation du logement. Au niveau
de l’isolation du logement, on constate que seuls les logements
pour lesquels l’ensemble des facteurs d’isolation sont bons ont des
dépenses d’énergie sensiblement inférieurs aux autres. Ainsi, en cas
de travaux d’isolation thermique dans un logement, ceux-ci doivent
être globaux pour être réellement efficaces.
1/ On considère qu’un ménage est pauvre dès que son niveau de vie est inférieur au
seuil de pauvreté, soit moins de 817 € par mois pour une personne seule en 2005.
Un ménage est considéré comme modeste si son niveau de vie est compris entre le
seuil de pauvreté et le 3ème décile des niveaux de vie des individus de la France, soit
compris entre 817 et 1 087 € par mois pour une personne seule en 2005.
Les 3/4 des travaux réalisés sont
des travaux de confort
Nombre de travaux
Provence-Alpes-Côte d’Azur
Total
Travaux
isolation
améliorant dont
l’efficacité thermique
énergétique dont chauffage
central individuel
Travaux
améliorant
éventuellement
l’efficacité
énergétique
Total
Travaux de
confort
Total
dont
menuiseries
extérieures
Travaux de rénovation ou de
réhabilitation
Ensemble
Effectif
%
dont réalisés par
Montant
moyen
en k€
Propriétaires
48 000
6 000
93 000
5 000
Locataires
58 000
6%
2,2
24 000
2%
1,8
20 000
2%
3,6
102 000
10 %
3,2
63 000
6%
3,2
769 000
74 %
1,5
515 000
234 000
104 000
10 %
12,6
82 000
22 000
1 033 000
100 %
2,8
738 000
267 000
Source : Enquête logement 2006
Seulement 16 % de ces travaux sont susceptibles d’améliorer
l’efficacité énergétique des logements en Provence-Alpes-Côte
d’Azur.
Seulement 6 % des travaux (soit 58 000) améliorent de façon certaine
l’efficacité énergétique des logements. Leur montant moyen est de
2 200 €. Il s’agit de travaux d’isolation thermique (2 % des logements),
du remplacement d’un chauffage indépendant par un chauffage
central individuel (2 %) et enfin pour moins de 1 % des logements, de
travaux d’installation de cheminées ou d’inserts, d’amélioration de la
ventilation, ou encore mais très rarement, d’installation de chaudières
collectives.
Par ailleurs 10 % des travaux (soit 102 000) améliorent éventuellement
l’efficacité énergétique des logements. Leur montant moyen est
de 3 200 €. Il s’agit, pour 6 % des logements, de travaux sur les
menuiseries extérieures (fenêtres, portes ou volets) et pour moins
de 2 % des logements, de travaux de charpente, de couverture ou
d’étanchéité, de ravalement de façade ou encore d’installation d’eau
chaude.
10 % des travaux peuvent générer des retombées quant à
l’amélioration de l’efficacité énergétique de l’habitat.
Parmi la totalité des travaux, 104 000 ont consisté en une rénovation
ou une réhabilitation du logement, pour un montant moyen de
12 600 €. Il n’est cependant pas exclu que ces travaux, qui ne
concernent que les immeubles collectifs et qui portent aussi bien sur
les fondations que sur la charpente par exemple, puissent améliorer
l’efficacité énergétique du logement.
Enfin, 74 % des travaux (soit 769 000) sont des travaux de confort
(travaux induits ou non). Leur montant moyen est de 1 500 € en région
Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il s’agit de travaux de peinture, pose de
parquets, papiers peints, pose de cuisines équipées…
Il existe un gisement important d’amélioration énergétique des
résidences principales.
De fortes différences d’une zone à l’autre.
Parmi les 3 zones étudiées plus en détail sur la région ProvenceAlpes-Côte d’Azur, l’agglomération avignonnaise est celle où il y a
le plus de travaux améliorant éventuellement ou de façon certaine
l’efficacité énergétique du logement : 23 % contre 17 % sur l’aire
urbaine de Marseille-Aix-en-Provence et environ 15 % sur le littoral
azuréen.
Très peu de locataires effectuent des travaux améliorant l’efficacité
énergétique.
L’essentiel des travaux améliorant de façon certaine ou probable
l’efficacité énergétique des logements sont réalisés par les
propriétaires : 141 000 sur un total de 160 000 en Provence-AlpesCôte d’Azur. A l’inverse, seulement environ 10 000 locataires ont
réalisé des travaux de ce type. Il reste cependant la possibilité que les
bailleurs effectuent des travaux dans les logements qu’ils mettent en
location, mais l’enquête logement ne couvre pas ce domaine.
La source des données : l’enquête logement 2006
L’enquête logement est réalisée par l’Insee tous les quatre ou
cinq ans sur le parc des résidences principales. La dernière s’est
déroulée tout au long de l’année 2006. Afin d’obtenir des résultats
sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et ses territoires, des
logements supplémentaires ont été enquêtés sur :
- la région urbaine Marseille-Aix-en-Provence
- l’agglomération avignonnaise
- le littoral azuréen.
Cela a été rendu possible grâce à 13 partenariats signés avec
l’Insee dont la Direction régionale PACA de l’ADEME et le Conseil
régional Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Analyse et rédaction réalisées par Sébastien CHÉRON, pour le compte
de l’Observatoire régional de l’Énergie de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Pour en savoir plus :
Observatoire régional de l’Énergie de Provence-Alpes-Côte d’Azur,
www.ademe.fr/paca
Janvier 2010 // Édité dans le respect des principes de l’éco-conception et imprimé sur du papier éco-labelisé (Cyclus).
La majorité des travaux ne concernent que le confort.