Procès Verbal du Conseil du 16/12/2014
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Procès Verbal du Conseil du 16/12/2014
Conseil du 16/12/2014 PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE GRAND LIEU - SEANCE DU 16 DECEMBRE 2014 L’an deux mille quatorze, le seize décembre, LE CONSEIL DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DE GRAND LIEU, dûment convoqué, s’est réuni en session ordinaire, à 18h30, salle du conseil au siège de la Communauté de Communes de Grand Lieu – Parc d’Activités de Tournebride à LA CHEVROLIÈRE sous la présidence de Monsieur Johann BOBLIN Mme Manuela GUILLET a été désignée secrétaire de séance. Date de convocation du conseil : 10 décembre 2014 Nombre de conseillers en exercice : 42 Présents : COMMUNE DU BIGNON : M. Serge HEGRON Mme Myriam BOURCEREAU M. Jean-Yves MARNIER Mme Stéphanie NEUVILLE-BERNIER COMMUNE DE LA CHEVROLIERE : COMMUNE DE PONT SAINT MARTIN : M. Yannick FETIVEAU Mme Martine CHABIRAND M. Christophe LEGLAND Mme Bernadette GRATON M. Christian CHIRON M. Michel BRENON M. Johann BOBLIN Mme Marie-France GOURAUD M. Roger MARAN Mme Martine DORE M. Yvon LESAGE Mme Sophie CLOUET COMMUNE DE SAINT COLOMBAN : COMMUNE DE GENESTON : COMMUNE DE SAINT LUMINE DE COUTAIS : COMMUNE DE LA LIMOUZINIERE : COMMUNE DE SAINT PHILBERT DE GRAND LIEU : Mme Karine PAVIZA M. Laurent COCHARD Mme CORGNIET Marie-Thérèse M. Anthony MARTEIL M. Frédéric LAUNAY Mme Evelyne RAVAUD COMMUNE DE MONTBERT : M. Jean-Jacques MIRALLIE M. Gilles CHAUVEAU M. Manuela GUILLET M. Patrick BERTIN Mme Nicole BATARD M. Sylvain JALLOT Mme Catherine FILLAUDEAU M. Bernard COUDRIAU Mme Magali VARENNES M. Bernard GUILLET M. Stéphan BEAUGE Mme Magaly GOBIN (présente des points 1 à 9 / délibérations 1 à 8) M. Alain VACHON M. Arnaud PERIN Mme Colette CHARIER Mme Béatrice MAUDET, absente, a donné pouvoir à M. Jean-Jacques MIRALLIÉ Mme Virginie VERSCHELLE, absente, a donné pouvoir à M. Stéphan BEAUGÉ Mme Nathalie DIAS, absente, a donné pouvoir à M. Arnaud PERIN M. Claude DENIS, absent, a donné pouvoir à Mme Colette CHARIER 1 Conseil du 16/12/2014 Installation d’un nouveau conseiller communautaire suite à la démission de Mme RABIN Par courrier du 9 décembre 2014, reçu à la Communauté de Communes de Grand Lieu le 10 décembre 2014, Mme Monique RABIN, conseillère communautaire représentant la commune de Saint Philbert de Grand Lieu, a informé le président de la CCGL de sa démission de son mandat de conseillère communautaire. La démission de Mme Monique RABIN est effective au 10 décembre 2014, date de réception de son courrier. Le conseiller démissionnaire est remplacé par le premier conseiller municipal de même sexe qui le suit sur la liste des candidats au conseil communautaire dont il est issu ; il s’agit en l’occurrence de Mme Colette CHARIER. ADMINISTRATION GENERALE 1. APPROBATION DES PROCES VERBAUX DES REUNIONS DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 07 OCTOBRE ET DU 04 NOVEMBRE 2014 Rapporteur : M. Johann BOBLIN Les procès verbaux des réunions du conseil communautaire des 7 octobre et 4 novembre 2014 ont été approuvés à l’unanimité. 2. COMPTE RENDU DES DECISIONS PRISES PAR LE BUREAU ET LE PRESIDENT DANS LE CADRE DE LEURS DELEGATIONS Rapporteur : M. Johann BOBLIN Depuis la dernière réunion du conseil communautaire, plusieurs décisions ont été prises par le Bureau et le Président dans le cadre des délégations qui leur ont été accordées par le conseil. Le Bureau a pris les décisions suivantes : Le 18 novembre 2014, pour confier à la société GFI Progiciels la mise en œuvre de la solution SIG (Système d’Information Géographique) de la CCGL. Le contrat souscrit avec la société SIRAP OUEST depuis 2010 arrivant à échéance, une consultation a été lancée pour un nouveau marché comprenant la mise en œuvre d’un SIG en mode full web, la migration des données existantes, l’hébergement et la maintenance de la solution pour une durée de 4 ans. La proposition de la société GFI Progiciels, pour un montant de 31 998.25 € HT a été retenue. Le 2 décembre 2014, pour : - refinancer auprès de la SFIL (Société de Financement Local) le prêt structuré contracté pour la construction du centre aquatique, dont le capital restant dû représente 378 774.59 € au 01/02/2015 ainsi qu’une partie de l’indemnité compensatrice de 38 000 €. L’offre de refinancement de la SFIL porte sur un montant de 416 774.59 € sur 8 ans et 10 mois au taux fixe de 0.97 % à la date de l’offre (cette offre indicative est définitivement arrêtée le jour de l’entretien avec la salle des marchés de la SFIL – le taux d’intérêt annuel a été arrêté le 9 décembre 2014 à 1.01 %). Ce refinancement permet à la CCGL de sortir l’emprunt contracté des prêts dits « à risques ». - renouveler les conventions d’utilisation du centre aquatique par les collèges de St Philbert de Grand Lieu pour les années scolaires 2014-2015, 2015-2016, 2016-2017. Ces conventions souscrites entre la CCGL, le Conseil général et les collèges, prévoient en particulier que la participation du Conseil général est calculée sur la base du nombre de séances réservées et que le tarif horaire d’utilisation de la piscine est de 16 € par couloir de 25 m. 2 Conseil du 16/12/2014 Le Président a pris les décisions suivantes : Le 12 novembre 2014 pour confier à la société SCE une étude de faisabilité du projet d’extension de la zone d’activités de Grand Lieu à St Philbert pour un montant de 11 155 € HT. La communauté de communes souhaite étendre la ZA de Grand Lieu sur une dizaine d’hectares. Le site présentant de fortes contraintes hydrauliques, une étude de faisabilité permettant d’envisager les différentes solutions techniques et financières a été demandée ; Le 24 novembre 2014, pour fixer la nouvelle grille des redevances d’occupation à percevoir pour les locaux de l’hôtel d’entreprises et de la pépinière d’entreprises situés sur le parc d’activités de Tournebride à la Chevrolière. La Communauté de Communes de Grand Lieu souhaite faire évoluer l’hôtel d’entreprises n° 2 (situé au 17, rue de la Guillauderie) en pépinière d’entreprises. Cette pépinière d’entreprises a pour vocation de favoriser l’implantation des entreprises nouvellement créées en limitant la durée d’occupation à 36 mois avec une redevance d’occupation progressive. L’hôtel d’entreprises n° 1 permet aux jeunes entreprises en voie de pérennisation de développer leur activité sur le territoire intercommunal sans limitation de durée avec une redevance d’occupation fixe. Afin de tenir compte de cette évolution, une nouvelle grille de redevances d’occupation à percevoir pour l’hôtel d’entreprises et la pépinière d’entreprises a été préparée pour les nouvelles conventions à intervenir avec les futurs locataires. Les tarifs de location de ces bâtiments ont été fixés à : Pour l’hôtel d’entreprises, maintien des tarifs actuellement applicables, à savoir : - 7,07 € HT / m² de bureaux 4,53 € HT / m² d’ateliers Pour la pépinière d’entreprises, fixation d’une redevance progressive : - - ère ème Pour les bureaux : 5,72 € HT/ m² la 1 année ; 6,39 € HT / m² la 2 année ; 7,25 € HT / m² à compter de la ème 3 année ère ème Pour les ateliers : 3,82 € HT/ m² la 1 année ; 4,27 € HT / m² la 2 année ; 4,90 € HT / m² à compter de la ème 3 année S’ajoute à ces tarifs, la refacturation des charges (fluides, services commun et entretien…). Le 25 novembre 2014, pour approuver l’avenant à intervenir avec l’Etat pour le renouvellement de l’aide à la gestion des aires d’accueil des gens du voyage de St Philbert de Grand lieu et de Geneston en 2015. Le montant de l’aide accordée représente 132.45 € par place de caravane et par mois soit un montant annuel prévisionnel de 44 503.20 € ; Le 28 novembre 2014, pour approuver l’avenant à intervenir au contrat d’assurance souscrit avec la société GROUPAMA pour prendre en compte la nouvelle superficie des bâtiments à assurer sur le site de l’ancien CHS à Montbert (surface ramenée de 12 554 m² à 5 585 m²). 3. COMPOSITION DES COMMISSIONS THEMATIQUES DE LA CCGL - MODIFICATION Rapporteur : M. Johann BOBLIN Lors de sa séance du 24 juin 2014, le conseil communautaire a arrêté la composition des 8 commissions thématiques de la CCGL. Suite à la démission de Mme Marianne BURLOT, le conseil municipal de la commune de St Lumine de Coutais a décidé, par délibération du 17 novembre 2014, de désigner Mme Armelle GATHE en tant que déléguée suppléante à la commission « Transport et déplacements » de la CCGL. Le conseil communautaire a modifié, à l’unanimité des membres présents, la composition de la commission « Transport et déplacements » dans ce sens. 3 Conseil du 16/12/2014 HABITAT ET URBANISME 4. PLH (PROGRAMME LOCAL DE L’HABITAT) – PRESENTATION DES ORIENTATIONS Rapporteur : M. Yannick FETIVEAU En 2012, la Communauté de Communes de Grand Lieu a décidé d’élaborer un Programme Local de l’Habitat (PLH) sur son territoire conformément aux articles L.302-1 et suivants du Code de la construction et de l’habitation. Ce PLH, qui permet de définir et de programmer la politique de l’Habitat, fixe pour une durée de 6 ans les enjeux, les objectifs et les actions permettant à la communauté de communes et à ses 9 communes membres, de répondre aux besoins en logements et en hébergements, de favoriser le renouvellement urbain et la mixité sociale et d’améliorer l’accessibilité du cadre bâti aux personnes handicapées. Le P.L.H. se compose : - d’un diagnostic sur le fonctionnement du marché local ; - d’un document d’orientation comprenant l’énoncé des principes et objectifs du programme ; - d’un programme d’actions détaillé pour l’ensemble du territoire auquel il s’applique et pour chaque secteur géographique défini à l’intérieur de celui-ci. Pour l’aider à élaborer son PLH, la communauté de communes est assistée des cabinets Terre Urbaine et Square. Le diagnostic du territoire a été réalisé en 2013 et les orientations stratégiques du PLH étudiées lors des réunions de la commission « Urbanisme et Habitat » et du comité de pilotage sur le PLH ont été présentées au conseil communautaire. Les membres du conseil communautaire ont pris acte des orientations stratégiques du PLH de la communauté de communes synthétisées dans le document ci-joint. Au cours de sa présentation, M. Yannick FETIVEAU a précisé qu’il ne s’agissait que d’orientations sur lesquelles il était encore possible de travailler. Il a également rappelé que ces intentions pourront être revues avec la mise en place d’un observatoire (= outil permettant d’évaluer et de réajuster les objectifs et les moyens d’actions du PLH). Il a invité le conseil communautaire et la commission habitat à mettre en place un observatoire qui permette, annuellement, d’évaluer et d’ajuster le PLH tout au long de sa durée soit 6 ans. Plusieurs observations ont été formulées à l’issue de la présentation des orientations du PLH : M. Serge HEGRON a fait remarquer que la constitution de la Métropole nantaise allait capter une bonne partie des financements pour la construction des logements sociaux, le coût du logement y étant plus faible que sur le territoire de Grand Lieu pour les bailleurs sociaux. M. Johann BOBLIN a rappelé que les politiques de type OPAH, PIG (programme d’intérêt général) contre la précarité énergétique avaient permis de repérer certains bâtis vétustes et de remettre des biens sur le marché locatif privé. M. Yannick FETIVEAU a attiré l’attention sur le fait que ces politiques ont des impacts budgétaires importants. M. Stéphan BEAUGE a fait les remarques suivantes : - Les intercommunalités sont aujourd’hui dans un contexte économique et financier difficile (récession économique, raréfaction des dotations) pour déployer une stratégie ambitieuse en matière d’habitat 4 Conseil du 16/12/2014 - - les objectifs quantitatifs du PLH et l’arrivée de nouveaux habitants ont un impact sur : o les déplacements et les mobilités (nécessité de mener une réflexion globale, qui dépasse le paramètre « voiture » avec les différents partenaires =Nantes métropole, Conseil général) o les services publics qui pourront ou pas être développés (collèges lycées …) l’aspect qualitatif de l’habitat ne devra pas être oublié Imposer le classement de la commune de Pont Saint Martin dans l’unité urbaine de Nantes avec les obligations qui en découlent est regrettable M. Michel BRENON et M. Yannick FETIVEAU ont précisé que le classement de la commune de Pont Saint Martin dans l’unité urbaine de Nantes découlait des critères définis par l’INSEE (continuité du bâti avec l’agglomération nantaise). Pour M. FETIVEAU, l’obligation pour Pont Saint Martin de disposer de 25% de logements sociaux au sein des résidences principales pose question car il faut trouver la place et les budgets mais il faut tendre à cet objectif. 5. PLH – AVENANT AU MARCHE SOUSCRIT AVEC SQUARE-HABITAT ET TERRE URBAINE ET ACTE DE SOUS-TRAITANCE Rapporteur : M. Yannick FETIVEAU Par délibération du 4 juin 2013, le conseil communautaire a confié au Groupement d’entreprises composé des sociétés TERRE URBAINE et SQUARE une mission d’aide à l’élaboration du PLH de la communauté de communes pour un montant de 30 000 € HT, réparti entre les 2 cabinets de la manière suivante : PHASE 1 réalisation du diagnostic PHASE 2 réalisation des documents d’orientations stratégiques PHASE 3 élaboration du programme d’actions TOTAL TERRE URBAINE Montant H 5 500 € 3 450 € 6 050 € 15 000 € SQUARE Montant HT 3 800 € 4 350 € 6 850 € 15 000 € Les prestations relatives à la phase 1 ont été exécutées et réglées. Le 2 juillet 2014, l’entreprise SQUARE a été placée en liquidation judiciaire. Il convient donc de mettre fin au marché avec le co-traitant SQUARE et d’arrêter les comptes à la somme de 3 800 € HT correspondant au montant réglé au cabinet SQUARE. De son côté, la société TERRE URBAINE a fait savoir qu’elle entendait poursuivre la mission comme titulaire unique du marché, ses prestations s’élevant désormais à 26 200 € (30 000 – 3 800 € HT) Par ailleurs, compte tenu des élections municipales et de la liquidation judiciaire de l’entreprise SQUARE, la mission a été suspendue, à la demande de la communauté de communes, du 21 janvier 2014 au 1er septembre 2014. Il convient en conséquence de prolonger le délai d’exécution du marché de 12 à 20 mois (jusqu’à l’adoption du projet de PLH). Enfin, la société TERRE URBAINE a fait savoir qu’elle souhaitait confier par un acte de sous-traitance les missions précédemment assurées par le cabinet SQUARE à l’EURL ECHO, pour un montant de 11 200 € HT, correspondant aux phases 2 et 3. Le conseil communautaire, à l’unanimité des membres présents, a autorisé le Président et les viceprésidents à signer : - l’avenant à intervenir au marché relatif à l’élaboration du PLH pour tenir compte de la modification du groupement en titulaire unique et de la prolongation des délais d’exécution de la mission ; - l’acte spécial de sous-traitance à intervenir avec la société TERRE URBAINE pour confier une partie de sa mission à l’Eurl ECHO. 5 Conseil du 16/12/2014 6. AIRES D’ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE : TARIFS 2015 Rapporteur : M. Yannick FETIVEAU Les membres du conseil communautaire, après délibération et à l’unanimité des membres présents ont fixé les tarifs applicables aux aires d’accueil des gens du voyage de Geneston et de St Philbert de Grand Lieu, à compter du 1er janvier 2015 à : LIBELLES Droit de places Electricité Eau Caution Avance sur consommation Par jour et par emplacement Par KWh Par m3 Par emplacement Forfait TARIFS au 01/01/2015 2.00 € 0.21 € 2.75 € 100.00 € 50.00 € FINANCES ET MUTUALISATION 7. ADMISSION EN NON VALEUR DE PRODUITS IRRECOUVRABLES ET CREANCES ETEINTES Rapporteur : M. Frédéric LAUNAY Par courriers des 22 janvier 20 février, 18 juin, 1er juillet, 8 juillet 2014, Madame le Trésorier de Machecoul a informé la communauté de communes qu’elle n’avait pas pu procéder au recouvrement de différentes recettes sur le budget principal pour un montant total de 8 171,93 €. Il s’agit des sommes suivantes : Exercices Produits 2011 à 2013 Redevance spéciale ordures ménagères 2011 Collectes des cartons 2007 Composteurs 2012 Redevance assainissement TOTAL PRODUITS IRRECOUVRABLES Montant 1 624,00 € 6 482,41 € 60,00 € 5.52 € 8 171,93 € Une partie de ces créances relève de l’admission en non valeur et l’autre de créances éteintes. Admissions en non valeurs : L’admission en non valeur des créances est décidée par l’assemblée délibérante de la collectivité sur demande du comptable, lorsqu’il rapporte les éléments propres à démontrer que malgré toutes les diligences qu’il a effectuées, il ne peut pas en obtenir le recouvrement. L’admission en non valeur prononcée par l’assemblée et la décharge prononcée par le juge des comptes ne mettent pas obstacles à l’exercice des poursuites. Le titre émis garde son caractère exécutoire et l’action en recouvrement demeure possible. En cas de refus d’admettre en non valeur, l’assemblée doit motiver sa décision et préciser au comptable les moyens de recouvrement qu’elle souhaite qu’il mette en œuvre. Créances éteintes : Les créances éteintes sont des créances qui restent valides juridiquement en la forme et au fond, mais dont l’irrécouvrabilité résulte d’une décision juridique extérieure définitive qui s’impose à la collectivité créancière et qui s’oppose à toute action en recouvrement (jugement de clôture de liquidation judiciaire pour insuffisance d'actif dans le cadre d'une procédure collective ou de rétablissement personnel sans liquidation judiciaire faisant suite à une procédure de surendettement). 6 Conseil du 16/12/2014 Le conseil communautaire, à l’unanimité des membres présents a décidé : 1- d’admettre en non valeur, sur le budget principal, les produits irrécouvrables suivants : Exercices Produits 2011 à 2013 Redevance spéciale ordures ménagères 2011 Collectes de carton 2007 Composteurs TOTAL ADMISSIONS EN NON VALEUR Admission en non valeurs 933,40 € 3 356,86 € 60,00 € 4 350,26 € 2- de prendre acte des créances éteintes suivantes, sur le budget principal : Exercices Produits 2011 à 2013 Redevance spéciale ordures ménagères 2011 Collecte des cartons 2012 Redevance assainissement TOTAL CREANCES ETEINTES Créances éteintes 690,60 € 3 125,55 € 5,52 € 3 821,67 € 8. AJUSTEMENT DE LA PROVISION CREEE SUR LE BUDGET ANNEXE GESTION IMMOBILIERE Rapporteur : M. Frédéric LAUNAY Depuis 2001, une provision a été créée au budget annexe « Gestion Immobilière » pour faire face à une éventuelle perte de loyers sur les bâtiments loués par la communauté de communes. Par délibération du 26 juin 2012, le conseil communautaire a décidé de passer cette provision du régime optionnel (provision budgétaire) au régime de droit commun (provision semi-budgétaire) et de porter son montant à 135 000 €. A la demande des services de la Trésorerie de Machecoul, cette provision doit faire l’objet d’un ajustement annuel. Au vu de l’évaluation des éventuelles pertes de loyers à prévoir, la commission Finances et le bureau communautaire proposent au conseil communautaire de porter le montant de la provision du budget annexe « Gestion Immobilière » de 135 000 € à 145 772 €. Le conseil communautaire, a décidé, à l’unanimité des membres présents de porter le montant de la provision du budget annexe « Gestion Immobilière » de 135 000 € à 145 772 €. 9. PROJET DE DECISIONS MODIFICATIVES POUR LE BUDGET PRINCIPAL ET LE BUDGET ANNEXE « GESTION IMMOBILIERE » Rapporteur : M. Frédéric LAUNAY Le conseil communautaire a approuvé les décisions modificatives à intervenir au budget principal et au budget annexe Gestion immobilière suivant les tableaux ci-joints. 10. DOTATION DE SOLIDARITE COMMUNAUTAIRE ET FONDS DE CONCOURS Rapporteur : M. Johann BOBLIN Compte tenu du fléchissement de la croissance des recettes fiscales et afin d'améliorer le Coefficient d’Intégration Fiscal (CIF), le Bureau propose de figer le montant de l'enveloppe de la Dotation de Solidarité Communautaire à celui versé en 2013, soit 3 051 008 €. Pour 2014, le bureau propose de prélever une somme de 300 000 € sur le montant de l'enveloppe figée de la DSC, pour la constitution d'une enveloppe destinée au versement de Fonds de Concours. A l’unanimité des membres présents, le conseil communautaire a décidé d’arrêter la nouvelle enveloppe de la DSC à verser à compter de 2014 à 2 751 008 €, détaillée entre communes comme suit : 7 Conseil du 16/12/2014 COMMUNES LE BIGNON RAPPEL DOTATION DE SOLIDARITE COMMUNAUTAIRE 2013 338 016 € REFACTION DE LA DSC DE 300 000 € POURCENTAGE 20% potentiel financier 80% population DOTATION DE SOLIDARITE COMUNAUTAIRE 2014 (DSC) TOTAL 10,53% -31 597 € LA CHEVROLIERE 539 996 € 13,84% -41 508 € GENESTON 280 532 € 9,96% -29 873 € LA LIMOUZINIERE 227 357 € 6,82% -20 469 € MONTBERT 227 847 € 8,70% -26 098 € PONT SAINT MARTIN 404 612 € 14,71% -44 136 € ST COLOMBAN 251 212 € 8,71% -26 137 € ST LUMINE DE COUTAIS 169 664 € 6,09% -18 270 € ST PHILBERT DE GD LIEU 611 772 € 20,64% -61 912 € 3 051 008 € 100,00% -300 000 € TOTAL 306 419 € 498 488 € 250 659 € 206 888 € 201 749 € 360 476 € 225 075 € 151 394 € 549 860 € 2 751 008 € M. Johann BOBLIN a précisé que les échanges sur le pacte financier se poursuivent au sein du Bureau communautaire et que des propositions seront présentées à la commission finances et au conseil communautaire pour débat. Au vu des échanges qui ont eu lieu en bureau, il pourrait être proposé que le Fonds de concours soit versé aux communes en fonction des critères suivants : - 80% population 20% potentiel financier inversé Par ailleurs une décote sur le fonds de concours pourrait être opérée pour les communes de la Chevrolière et du Bignon compte tenu du fait qu’elles bénéficient d’un foncier bâti plus important avec les parcs communautaires. Pour M. Sylvain JALLOT, la mise en œuvre de ce fonds de concours de 300 000 € est un premier pas vers une nouvelle répartition des finances mais il reste modeste (cela ne représente que 10 % de la dotation de solidarité). Il espère que cela ne va pas s’arrêter là et demande s’il n’est pas également possible de travailler sur l’attribution de compensation. M. Johann BOBLIN a répondu que l’attribution de compensation était figée et correspond aux transferts opérés lors du passage en TPU (Taxe Professionnelle Unique). Cette attribution peut évoluer lors d’un nouveau transfert de compétence entre les communes et la CCGL. A cette occasion, les transferts de charges sont évalués par la CLECT (Commission Locale d’évaluation des Charges Transférées) et les montants de l’attribution de compensation versés par la CCGL sont diminués en fonction de ces évaluations. Concernant l’évolution et l’utilisation du fonds de concours, M. BOBLIN a précisé que la volonté du bureau était que ce fonds de concours augmente et que son utilisation par les communes soit souple. Des propositions seront faites à la commission Finances et au conseil communautaire. Pour M. Michel BRENON, la répartition des dotations communautaires est un sujet difficile parce que cette répartition est très déséquilibrée entre les communes de Grand Lieu. Il prend note que la création de ce fonds de concours est une sorte de proposition d’attente, un premier pas dans l’attente des propositions et des discussions à venir sur le pacte financier. Il fait remarquer que geler les déséquilibres ce n’est pas rétablir l’équilibre et que dans le pacte financier il faudra aller plus loin, de façon progressive vers un rééquilibrage. Pour M. Serge HEGRON, on ne peut pas faire fi de l’histoire ; un bon nombre d’investissements sur les parcs d’activités ont été faits par les communes (ex. station d’épuration, aménagements spécifiques à l’économie, échanges et engagements de longue date avec le monde agricole pour réserver des surfaces pour l’économie…). Il n’est pas raisonnable de dire que les ressources produites sur les parcs d’activités, en partie grâce à ces investissements communaux, doivent être mises dans un pot commun et partagées de façon égalitaire. Il est plus sain de travailler sur l’avenir et sur le caractère incitatif pour que la partie des ressources à partager grandisse. M. Michel BRENON a précisé qu’il ne parlait pas de répartition égalitaire mais de rééquilibrage progressif. 8 Conseil du 16/12/2014 M. Sylvain JALLOT a ajouté que les communes avaient également pu tirer des bénéfices de l’investissement de la CCGL sur les parcs d’activités par l’intermédiaire de la taxe d’aménagement (TA) ou de la taxe locale d’équipement (TLE) par exemple. Il semblerait évident, dans le cadre de la réflexion, que ces ressources puissent revenir logiquement dans le pot commun. M. Johann BOBLIN a demandé à ce que du temps soit encore laisser au Bureau pour affiner la proposition de pacte financier pour qu’il y ait un vrai débat à partir d’éléments travaillés en bureau communautaire. M. Stéphan BEAUGÉ a souligné l’importance de ne pas oublier l’objectif initial de la CCGL qui est le développement économique. Pour parler de la répartition des recettes, il faut d’abord créer des richesses. Il faut avant tout faire la promotion des parcs d’activités et consacrer de l’énergie à les développer et à les commercialiser rapidement et ainsi dégager des recettes. 11. ALLONGEMENT DE LA DUREE D’AMORTISSEMENT DES SUBVENTIONS D’EQUIPEMENT (TRANSFERT DES CENTRES DE SECOURS) Rapporteur : M. Frédéric LAUNAY Conformément à l’instruction M14, le conseil communautaire a décidé, à l’unanimité des membres présents de fixer la durée d’amortissement des subventions d’équipement versées, de la manière suivante : - 5 ans lorsqu’elles financent des biens mobiliers, du matériel ou des études ; - 15 ans lorsqu’elles financent des biens immobiliers ou des installations ; - 30 ans lorsqu’elles financent des projets d’infrastructures d’intérêt national. 12. AUTORISATION POUR ENGAGER, MANDATER ET LIQUIDER DES DEPENSES D’INVESTISSEMENT AVANT LE VOTE DU BUDGET PRIMITIF 2015 Rapporteur : M. Frédéric LAUNAY Au budget 2014, des crédits ont été prévus pour des dépenses d’investissement. Certaines de ces dépenses seront engagées avant le 31 décembre 2014 et feront en conséquence l’objet de crédits à reporter sur l’exercice 2015. Par contre, d’autres dépenses ne seront engagées qu’au début de l’année 2015, avant le vote du budget primitif. En application de l’article L 1612-1 du Code Général des Collectivités Territoriales, le conseil communautaire peut autoriser le Président et les vice-présidents à engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement, avant le vote du Budget Primitif 2015, dans la limite du quart des crédits ouverts au budget précédent (2014). Les crédits inscrits en investissement s’élevant à : 3 139 012 € au budget principal 2014, les dépenses d’investissement pouvant être engagées en 2015, avant le vote du budget, se limitent à 784 753 €, 1 302 922.29 € au budget annexe Gestion Immobilière 2014, les dépenses d’investissement pouvant être engagées en 2015, avant le vote du budget, se limitent à 325 730 €. Le conseil communautaire, à l’unanimité des membres présents, a autorisé le Président et les viceprésidents à engager, liquider et mandater les dépenses d‘investissement correspondant aux opérations suivantes, à hauteur des montants suivants : 9 Conseil du 16/12/2014 Budget principal : - Administration générale (mobilier, matériels informatiques, logiciels, matériels et provision pour travaux divers) : 28 000 € - Service ADS (matériel informatique, mobilier, véhicule) : 42 000 € - Piscine de Montbert (provision pour investissements divers nécessaires à l’ouverture saisonnière de la piscine) : 20 000 € - Centre aquatique (acquisitions de matériels et travaux divers) : 15 000 € - Environnement (acquisitions de colonnes, bacs et travaux divers) : 15 000 € - Voirie communautaire (études relatives à la requalification des ZAE, études diagnostics des réseaux d’eaux usées des ZAE, travaux divers de voirie) : 150 000 € Soit un total de : 270 000 €. Budget annexe Gestion Immobilière : - Hôtels d’entreprises (travaux divers) : 20 000 € - Bureaux du Parc d’activités de la Bayonne (travaux divers) : 20 000 € Soit un total de : 40 000 €. 13. FIXATION DU TARIF DE LA REDEVANCE ASSAINISSEMENT A PERCEVOIR EN 2015 AUPRES DES ENTREPRISES IMPLANTEES SUR LE PARC D’ACTIVITES DE TOURNEBRIDE A LA CHEVROLIERE Rapporteur : M. Frédéric LAUNAY Sur proposition de la commission Finances, le conseil communautaire a décidé, à l’unanimité des membres présents, que le tarif de la redevance assainissement à percevoir à compter du 1er janvier 2015 auprès des entreprises implantées sur le parc d'activités de Tournebride à la Chevrolière comprendrait une part fixe et une part variable. Le conseil communautaire a fixé le tarif de cette redevance assainissement à : - 20 € par compteur d’eau pour la part fixe - 1.90 € par mètre cube d'eau pour la part variable 14. PROJET D’AVENANT AU CONTRAT DE TERRITOIRE DEPARTEMENTAL Rapporteur : M. Johann BOBLIN Par délibération du 3 septembre 2013, le conseil communautaire a approuvé le Contrat de Territoire Départemental (CTD) pour la période 2013-2015. Dans le cadre de ce CTD, l’enveloppe financière allouée par le Département, pour le territoire de la communauté de communes, s’élève à 2 476 115 €. Afin de pouvoir procéder à des ajustements sur le contrat en cours et réaffecter des crédits rendus disponibles en raison : - d’un coût d’opération inférieur aux prévisions initiales pour certains projets - d’abandon de certains projets il est proposé au conseil communautaire de souscrire un avenant au CTD avec le Conseil général. Ce projet d’avenant prévoit : - - l’abondement de la provision nécessaire pour atteindre l'objectif de 25 % fixé par le Département sur la priorité « Habitat – Foncier », soit 97 500 €, la réaffectation des crédits supplémentaires disponibles sur les autres priorités à des projets revus ou nouveaux. Le conseil communautaire, à l’unanimité des membres présents a validé la liste des actions à prévoir dans le projet d’avenant à intervenir au CTD avec le Conseil Général suivant le tableau ci-joint et a autorisé le président et les vice-présidents à signer cet avenant ainsi que les pièces s’y rapportant. 10 Conseil du 16/12/2014 15. ADHESION AU GROUPEMENT DE COMMANDE CREE PAR LE SYDELA POUR L’ACHAT DE GAZ NATUREL Rapporteur : M. Patrick BERTIN Depuis le 1er juillet 2007, le marché de l’énergie est ouvert à la concurrence. Conformément aux articles L. 333-1 et L. 441-1 du Code de l’Energie, les consommateurs de gaz naturel peuvent librement choisir un fournisseur sur le marché. Il convient de constater que la plupart des consommateurs sont restés aux tarifs réglementés de vente proposés par les opérateurs historiques. Cependant, certains de ces tarifs réglementés de vente sont amenés à disparaître selon le calendrier suivant : • A compter du 1er janvier 2015, (dérogation jusqu’au 30 juin 2015) pour les sites dont la consommation de gaz naturel est supérieure à 200 000kWh par an ; • A compter du 1er janvier 2016, pour les sites dont la consommation de gaz naturel est supérieure à 30 000kWh par an ; Dans ce contexte, le SYDELA propose de constituer un groupement de commandes d’achat de gaz naturel et des services associés afin de permettre aux adhérents au groupement de se mettre en conformité avec la loi, tout en optimisant la procédure de mise en concurrence. Le groupement d’achat proposé ayant pour objet un achat répétitif, il est constitué pour une durée illimitée. Cependant, un membre qui le souhaite peut quitter le groupement, en annonçant son intention un an au plus tard avant l’échéance d’un contrat en cours. La commission d’appel d’offres du groupement sera celle du SYDELA, coordonnateur du groupement. Le conseil communautaire, à l’unanimité des membres présents a : accepté les termes de la convention constitutive du groupement de commandes pour le gaz, autorisé l’adhésion de la communauté de communes au groupement de commandes ayant pour objet l’achat de gaz naturel et des services associés. autorisé le Président et les vice-présidents à signer la convention de groupement autorisé le représentant du coordonnateur à signer les marchés correspondants issus du groupement de commandes pour le compte de la Communauté de Communes de Grand Lieu. PISCINES ET EQUIPEMENTS AQUATIQUES 16. AVENANT AU MARCHE AVEC L’ENTREPRISE DALKIA POUR LA MAINTENANCE TECHNIQUE DU CENTRE AQUATIQUE Rapporteur : M. Serge HEGRON Par délibération du 7 décembre 2010, le conseil communautaire a confié le marché relatif aux prestations « conduite et entretien des installations de chauffage, de traitement d’air et de traitement d’eau, réalisation de prestations légionnelles, astreintes et dépannage des matériels, fourniture des produits de traitement et des matériels courants – Centre Aquatique « Le Grand 9 » - St Philbert de Grand Lieu », à la société DALKIA pour un montant de 172 264,62 € HT pour 4 années, soit 206 717,54 € TTC. Ce marché, d’une durée de 4 ans, a débuté le 1er janvier 2011 et doit se terminer au 31 décembre 2014. Les services de la communauté de communes ont étudié les termes d’un nouveau contrat et ont lancé une nouvelle consultation le 19 novembre dernier. La date de remise des offres est prévue début janvier 2015. Ces délais ne permettant pas de démarrer un nouveau contrat au 1er janvier, un projet d’avenant, d’un montant de 7 177.70 € HT (+4.17%) a été établi pour prolonger le délai d’exécution du marché DALKIA de 2 mois. Le montant du marché est ainsi porté de 172 264,62 € HT à 179 432,32 € HT. Le conseil communautaire, à l’unanimité des membres présents, a autorisé le Président et les viceprésidents à signer cet avenant. 11 Conseil du 16/12/2014 RESSOUCES HUMAINES 17. RECRUTEMENT DU FUTUR RESPONSABLE DU SERVICE INSTRUCTEUR ADS (APPLICATION DU DROIT DES SOLS) : SUPPRESSION DE L’EMPLOI D’ATTACHE TERRITORIAL CREE PAR DELIBERATION DU 04/11/2014 Rapporteur : M Yannick FETIVEAU Afin de permettre d’effectuer assez rapidement le recrutement du futur responsable du service ADS (Administration du Droits des Sols) qui sera mis en place à la communauté de communes au cours du 1er semestre 2015, le conseil communautaire a décidé, lors de sa séance du 4 novembre dernier, la création de 2 emplois de catégorie A : 1 dans la filière technique (ingénieur) ; 1 dans la filière administrative (attaché). Le candidat qui a été recruté sur le poste de responsable du service ADS est ingénieur TPE (Travaux Publics de l’Etat) et sera placé en détachement sur l’emploi d’ingénieur territorial créé par délibération du conseil communautaire du 4 novembre dernier. Aussi, comme prévu lors de la réunion du 4 novembre, le conseil communautaire a supprimé, à l’unanimité des membres présents, l’emploi d’attaché territorial non pourvu à l’issue de ce recrutement. M. Yannick FETIVEAU a précisé que la personne recrutée était Mme Nadine LOCHON, actuellement employée à la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement). Elle rejoindra les services de la CCGL à l’issue de son préavis de 3 mois mais pourra bénéficier de quelques heures en détachement pour commencer à travailler sur le profil du futur service ADS. Ce travail commencera en janvier par l’inventaire auprès des communes des pratiques et du travail de chaque service urbanisme afin de déterminer, après échanges avec les élus et les services, quelles seront les compétences de ce futur service communautaire. En réponse à M. Sylvain JALLOT sur la constitution de ce nouveau service qui doit être opérationnel au 1er juillet 2015, M. Yannick FETIVEAU a détaillé le planning envisagé : 1er trimestre 2015 : inventaire des pratiques dans le service urbanisme des communes (janvier) visites dans des collectivités qui ont déjà mis en place ce service proposition de scénarii sur le profil du futur service Travail de la commission Habitat-Urbanisme et du bureau de la CCGL pour déterminer les compétences de ce futur service 2ème trimestre 2015 : recrutement des personnels M. Yannick FETIVEAU a précisé qu’un tuilage avec les services de la DDTM pourrait éventuellement être envisagé dans le cas où la CCGL ne serait pas prête. INFORMATIONS ET AFFAIRES DIVERSES 18. ENVIRONNEMENT : OPERATION DE COLLECTE DES DECHETS DE COQUILLAGES PENDANT LES FETES DE FIN D’ANNEE Rapporteur : M. Bernard COUDRIAU A l’occasion des fêtes de fin d’année, la communauté de communes met en place une collecte des déchets de coquillages (coquilles d’huîtres, bulots, bigorneaux, moules, coquilles St Jacques,...). Une benne sera mise à disposition du 15 décembre 2014 au 12 janvier 2015 dans les 4 déchetteries de la communauté de communes. Cette collecte est une première sur le territoire. Les coquilles collectées seront broyées pour servir ensuite d’amendement agricole. Afin de faciliter au mieux cette collecte, les coquilles devront être bien propres ; bien séparées des rincedoigts, assiettes en carton, têtes de langoustines... 12 Conseil du 16/12/2014 19. AUTRES POINTS : OPERATION DE VIAIS DU 15 DECEMBRE 2014 A l’issue de la réunion du conseil communautaire, M. Johann BOBLIN a souhaité revenir sur l’opération menée par les élus, chefs d’entreprises et usagers, le 15 décembre 2014 pour rappeler au Conseil général ses engagements pour l’aménagement d’un échangeur à Viais d’ici à 2017. Le Président a rappelé qu’à plusieurs reprises, la CCGL a sollicité le Conseil Général sur cette problématique : - - lors du précédent mandat, mais aucune réponse n’a été apportée, lors des rencontres avec M. Jean-Yves PLOTEAU, Vice-Président du Conseil général, délégué aux mobilités, le 2 juin 2014 et lors de la commission Transports et déplacements de la CCGL le 18 septembre 2014 lors de la conférence territoriale organisée par le Conseil général pour le Pays de Retz le 29 septembre 2014 A cours de ces dernières rencontres, les représentants du Conseil général ont indiqué que rien ne serait engagé avant 2019 (date de fin de la déclaration d’utilité publique) et M. Johann BOBLIN, lors de la conférence territoriale est intervenu vivement pour faire valoir les problématiques rencontrées par les entreprises et les usagers du territoire (plusieurs kilomètres de bouchon matin et soir, stress au quotidien, insécurité, retards des salariés et des livraisons …). M. BOBLIN a alors précisé qu’au vu de la pression qui existait sur le territoire, les acteurs locaux (élus mais aussi entreprises et usagers) ne manqueraient pas de se mobiliser contre cette échéance qui n’est pas acceptable. Des échanges ont ensuite eu lieu en bureau et avec les chefs d’entreprises du territoire. Les démarches entreprises lors du précédent mandat et après la mise en place du nouveau conseil n’ayant pas abouties, il a été décidé de mener cette action qui était d’être présents sur le rond point de Viais lundi matin 15 décembre pour distribuer un tract et inviter les usagers à signer une pétition pour l’aménagement d’un échangeur en 2017. En quelques heures, il y a eu près de 1500 signatures. Cette action a mobilisé environ 200 personnes (élus, chefs d’entreprises et usagers) dont les 9 maires de la CCGL. Forts de cette mobilisation, les 9 maires redemandent une audience au Conseil général, qui reste un partenaire, pour lui demander non pas d’engager les choses en 2017 mais une livraison de l’échangeur en 2017. M. Patrick BERTIN a indiqué qu’il est pour un échangeur à Viais ; échangeur dont il est question depuis longtemps. Il pense que le Conseil général est en accord avec ce vœu mais que le problème est un problème de calendrier ; le Conseil général mettant en avant des raisons budgétaires et foncières. M. BERTIN a précisé que le seul bémol qu’il met à cette action de Viais, comme il a pu le dire en bureau à deux reprises, c’est la méthode et le prix de la communication. Pour lui, même s’il est vrai qu’il y avait urgence (pour ne pas tomber dans la campagne pour les élections départementales) le conseil communautaire aurait dû être associé. De plus, la somme engagée pour cette action lui a paru trop importante, même s’il ne fallait pas faire d’impasse sur les aspects de sécurité. M. Sylvain JALLOT s’est exprimé au nom de plusieurs élus colombanais qui doutent de la pertinence de cette action. S’il est évident qu’il y a un réel problème de circulation à Viais et qu’il est normal que la CCGL s’empare de ce sujet, c’est la méthode utilisée qui est désapprouvée. L’action même a été décidée une quinzaine de jours avant la manifestation sans aucun débat en commission Transport ou en conseil communautaire. Pour lui, cette action, clairement menée contre le Conseil général s’est déroulée à 3 mois des élections départementales. Ce rapprochement est troublant. M. JALLOT a interpelé le Président sur plusieurs éléments : - Le cadre dans lequel la communauté de communes pouvait mener ce type d’action ; il s’interroge sur le fait qu’une collectivité invite les habitants et les entreprises à signer une pétition contre une autre collectivité.. Sur l’aspect budgétaire : il n’y a pas eu de compte rendu au titre des décisions prises par délégation, sur le contrat signé avec une agence de communication pour environ 20 000 €, La condamnation de toute récupération ou appropriation de ce sujet par des candidats aux élections départementales Sur le fond, M. JALLOT a trouvé la réponse de la CCGL « primaire » lorsqu’elle se limite à dire : « il y a des bouchons, nous voulons un échangeur ! ». La CCGL dispose de compétences en matière de transport et d’économie ; des actions corolaires auraient dû être menées pour favoriser le covoiturage par exemple. Avec la somme dépensée pour la communication, une étude aurait pu être menée sur l’intermodalité des 13 Conseil du 16/12/2014 transports ; les mesures à mettre en place pour développer le covoiturage, le transport en commun et éviter tous ces bouchons… M. JALLOT a également attiré l’attention, quelques jours après la conférence environnementale, sur les problèmes des gaz à effet de serre et sur les engagements à prendre pour les limiter. Pour lui, au niveau de la CCGL cet aspect devra également être pris en considération. Sur la forme, M. Johann BOBLIN, reconnait que plus d’informations internes et de débats auraient été préférables mais la réussite de cette action nécessitait également de la discrétion. De plus, cette action a été menée dans un calendrier bien resserré afin de ne pas interférer avec la période de réserve électorale préalable aux élections départementales de mars 2015. Le Président a tenu à confirmer que cette action n’était pas contre le Conseil général mais pour un échangeur ; le Conseil général reste un partenaire avec qui la communauté de communes et les communes travaillent tous les jours. Sur la méthode, M. BOBLIN a rappelé les démarches effectuées en amont auprès du Président et du VicePrésident du Conseil général. La réponse a toujours été que rien ne serait fait avant 2019. Il a fallu que le Conseil général soit informé de l’action qui se préparait pour qu’il réagisse en indiquant qu’un montant de 1 million d’euros serait consacré à la réalisation de 200 m de voie dédiée pour le transport en commun en amont de l’échangeur et que les travaux commenceraient en 2017 pour une livraison en 2019. Concernant le coût, M. BOBLIN a indiqué qu’en décidant cette action, le souhait avait été de travailler avec des professionnels pour que cette action porte et que le message soit entendu. Il a précisé que le coût global de cette action est de 21 500 € (14 000 € d’honoraires pour le site internet la pétition, la préparation des banderoles, l’accompagnement presse … ; le reste correspondant à de la fourniture. NB. la mise à disposition du car a été faite à titre gracieux). Concernant la question des compétences de la CCGL sur lesquelles cette action se fondait, le Président a rappelé que la CCGL est compétente en matière d’aménagement de l’espace et de transport et qu’elle a toute légitimité à porter ces questions. Mme Stéphanie NEUVILLE est intervenue au nom du groupe de l’opposition. Elle s’interroge sur l’intérêt de cette action pour les habitants et de ce qu’il en restera. Sur la forme, il ne lui paraît pas acceptable que des élus locaux décident d’engager une collectivité et des fonds publics pour mener une action coup-de-poing avec un blocage des usagers. Pour elle, la justification de cette méthode inédite est en rapport avec la proximité des échéances électorales de mars 2015. Elle dénonce la forme et la méthode employées ; ce n’est pas à une collectivité de prendre ce genre d’initiative. Sur le fond, Mme NEUVILLE reconnait que se pose à Viais un véritable problème de fluidité de la circulation qui impacte les communes environnantes avec un délestage des voitures dans les centre-bourgs aux heures de pointe. L’échangeur à Viais est acté et programmé mais résoudra-t-il tous les problèmes de circulations (augmentation des habitants, arrivée de nouvelles entreprises) ? Elle souhaite que la commission Transport travaille plus globalement sur les questions de mobilités durables. Pour elle, à l’heure où il est question du déménagement du MIN, il est également temps de travailler avec les partenaires (Etat, autres collectivités locales) pour avoir une vision plus globale des déplacements, qui dépasse l’échangeur de Viais. Ce travail important sera moins visible médiatiquement que l’action de Viais mais plus efficace à long terme pour les habitants du Territoire. En préalable, M. Stéphan BEAUGÉ a rappelé qu’il était important que les élus, qui sont des citoyens avant tout, écoutent les autres citoyens : salariés, chefs d’entreprises … M. BEAUGÉ a ensuite rappelé les priorités fixées par les élus pour les déplacements sur le territoire du Pays de Retz ; priorités inscrites dans le SCOT, à savoir : - - La déviation de Vue (en cours de réalisation) La mise en 2X2 voies de l’axe Nantes - Côte vendéenne, commencée depuis 20 ans avec : o Le doublement de la partie Machecoul – St Philbert (réalisée) o Le doublement de l’axe Viais-Tournebride avec la réalisation de l’échangeur à Vais (mais aujourd’hui rien n’est inscrit au budget du Conseil général) La possibilité d’un nouveau franchissement de la Loire entre Nantes et St Nazaire L’urgence de la création d’un échangeur à Viais est reconnue, une Déclaration d’Utilité Publique pour ce projet existe depuis 2009, il faut donc, pour lui, que les actes suivent avec des inscriptions budgétaires. 14 Conseil du 16/12/2014 A ce sujet, M. BEAUGÉ s’interroge sur la démarche du Département qui a d’abord été d’inscrire le doublement de la voie sur la partie Machecoulaise alors que le verrou est à Pont Saint Martin… M. BEAUGÉ reconnait que la mobilisation des élus aux côtés des usagers et des chefs d’entreprises est une démarche nouvelle, assez singulière mais c’est une démarche que l’on verra désormais peut-être plus quand il y a un intérêt public ; en l’occurrence la nécessité de faire avancer ce type de dossier. M. BEAUGÉ est d’accord pour une politique globale des déplacements mais, pour lui, aujourd’hui, il y a urgence et nécessité de faire cet échangeur de Viais. M. BEAUGÉ a souhaité également redire que lors de la commission transport de la CCGL, en septembre dernier, à laquelle il avait convié M. Jean-Yves PLOTEAU, Vice Président du Conseil général, celui-ci avait confirmé que l’échangeur de Viais ne serait pas réalisé avant 2019. Aujourd’hui, le Conseil général annonce une échéance en 2017 ; M. BEAUGÉ attend que cela soit confirmé. Pour M. BEAUGÉ, il est très important de faire avancer la question du transport public pour que le transport public soit concurrentiel de la voiture et permette de rejoindre rapidement la métropole nantaise. Une fois l’action passée, les élus ont le devoir de décliner une nouvelle politique des mobilités avec les différents partenaires tout en étant lucides. M. BEAUGÉ ne pense pas que toute la réponse viendra du covoiturage et du transport public mais que ce sont des voies à explorer pour les années à venir. C’est à travers l’intercommunalité que de telles politiques pourront être développées. Il a ajouté qu’il était indispensable de développer de vrais partenariats entre la communauté de communes, l’Etat, Nantes Métropole, la Région et le Département pour étudier ensemble la question des déplacements. Parmi ces questions, il a cité l’exemple de la RD 65 qui comptabilise 7 500 à 9 000 véhicules/jour qui viennent saturer le bourg de Pont Saint Martin, il a également évoqué l’arrivée du MIN en sud Loire…). Pour M. BEAUGÉ, au niveau communautaire, il faut, lors de ce mandat, lancer une étude globale sur les mobilités et les interactions avec Nantes métropole pour disposer d’un éclairage sur ce qu’il faut faire et à quels coûts. M. Arnaud PERIN est intervenu, au-delà de l’élu, en tant que chef d’entreprise pour rappeler combien le contexte est tendu pour les entreprises à qui l’on demande d’être compétitives efficientes avec des coûts contraints. Le secteur de Viais représente un réel problème pour les entreprises du Sud Loire (retard des salariés, des fournisseurs, problèmes de logistiques …). L’économie est une compétence de la CCGL ; M. PERIN est fier d’avoir participé à l’action de Viais et que les élus se soient également mobilisés pour les entreprises qu’ils représentent. M. Yannick FETIVEAU a souhaité faire un focus sur 4 points : - Sur l’aspect politique de cette action : il récuse toute instrumentalisation des élus de Pont Saint Martin par d’éventuels candidats aux élections départementales. Les élus de Pont Saint Martin et le Maire qui les représente au sein du bureau communautaire ont clairement indiqué être favorables à cette action médiatique pour sensibiliser le Conseil général sur l’importance de l’échangeur à Viais. - Sur l’action en elle-même : M. FETIVEAU et son équipe municipale, quasiment au complet sur le rond point de Viais, ont été agréablement surpris d’y retrouver autant d’artisans, commerçants et chefs d’entreprises des zones d’activités de Viais mais aussi de la Nivardière qui se trouvent également impactés par le délestage de la circulation dans le centre-bourg de Pont Saint Martin. M. FETIVEAU reconnait que l’échangeur de Viais ne règlera pas tous les problèmes d’accès à Nantes mais il aura, dans le sens des retours (Nantes- la Vendée), une réelle efficacité. M. FETIVEAU a également mentionné des appels de soutien de plusieurs chefs d’entreprises de Pont Saint Martin et la légitimité des élus de Pont Saint Martin à représenter leur population et les chefs d’entreprises lors de cette action. - Sur une question que se pose M. FETIVEAU et son équipe, question qui se posait également lors du précédent mandat, à savoir : si certaines collectivités n’auraient pas intérêt à faire en sorte que les personnes qui doivent aller sur Nantes ou au nord Loire subissent un premier filtre à Viais le temps de faire d’autres aménagements pour relier le périphérique à l’A83… - Sur la problématique du MIN : c’est un sujet qui interpelle les élus de Pont Saint Martin qui sont favorables à l’arrivée du MIN sur la zone de la Brosse. Ce déménagement permettra au sud-Loire d’avoir 15 Conseil du 16/12/2014 une économie dynamique mais M. FETIVEAU souhaite que ce développement soit accompagné d’une vraie réflexion en termes de déplacements. Il souhaite que la CCGL puisse être associée et invitée à des tables rondes avec les différents partenaires : Nantes Métropole, le Département, la SEMMINN… pour essayer d’organiser les déplacements en Sud Loire et réussir le développement économique du Sud Loire au travers le déplacement du MIN mais également le développement du D2A. Pour M. Sylvain JALLOT, il ne faut pas se contenter d’interpeler le Conseil général, il faut être inventif et imaginatif pour proposer une multitude de solutions. M. JALLOT regrette également que sur le site de la pétition créée pour l’échangeur de Viais, il n’y ait pas la possibilité de laisser un message notamment pour ceux qui sont intéressés par le covoiturage et qui souhaitent que la communauté de communes développe cette solution en lien avec le transport public. M. BOBLIN a indiqué que le site de la pétition a été conçu pour permettre sa signature uniquement mais que des messages peuvent être adressés via la page Facebook ou via l’adresse de messagerie de la CCGL. A l’issue de cet échange, le Président a demandé aux conseillers communautaires de se prononcer sur la question du soutien à cette action. Sur 40 conseillers communautaires votants, 32 se sont prononcés en faveur de cette action, 4 élus se sont abstenus (Mme Marie-Thérèse CORGNIET, Mme Catherine FILLAUDEAU, Mme Colette CHARIER qui disposait également d’un pouvoir de M. Claude DENIS), 2 ont voté contre (M. Sylvain JALLOT, Mme Nicole BATARD) et 2 élus n’ont pas souhaité participer au vote (M. Michel BRENON, Mme Stéphanie NEUVILLE-BERNIER). 20. PROCHAINES REUNIONS Rapporteur : M. Johann BOBLIN - Mardi 6 janvier 2015 à 18h : BUREAU Mardi 13 janvier 2015 à 18h : BUREAU Mardi 20 janvier 2015 à 18h30 : CONSEIL COMMUNAUTAIRE * reporté au mardi 27 janvier 2015 Fait à la Chevrolière, le 19 décembre 2014 Le Président, Johann BOBLIN 16 PROGRAMME LOCAL DE L’HABITAT Phase 2 – Orientations stratégiques Conseil Communautaire du 16 décembre 2014 Cadrage des besoins en logement (2011-2022) Constats sur la période 1999-2011 : Des besoins en logement générés par • Une croissance rapide de la population (2.34% par an) : 270 logts par an • Et le desserrement des ménages : 55 logts par an Evolution du parc existant : impact nul sur le besoin en logement Somme des besoins : 325 logements par an Enjeux : Conserver le dynamisme démographique du territoire • pour garantir le renouvellement de la population • pour garantir le fonctionnement des équipements Produire suffisamment de logements pour répondre aux besoins • pour accueillir de nouveaux ménages • pour maintenir la population en place Optimiser les capacités du parc existant • pour limiter les besoins en construction neuve Ce que dit le SCoT pour la CCGL : • Produire entre 250 et 310 logements chaque année 2 Cadrage des besoins en logement (2011-2022) Bilan 1999 – 2011 Scénario 2011 – 2022 Population en début de période Population en fin de période Croissance annuelle 27 220 35 617 2,27% 35 617 41 375 1,37% TMM en début de période TMM en fin de période Variation annuelle 2,80 2,62 -0,55% 2,62 2,47 -0,55% Besoins liés à la croissance démographique 270 215 Besoins liés au desserrement des ménages 55 75 Besoins liés à l’évolution du parc existant 0 - 10 325 280 Besoins en construction neuve Estimation CN 2011-2015 260 Objectif annuel du PLH (2016-2022) 295 Conséquences sur la politique locale de l’habitat : Mobiliser le foncier nécessaire : • Mettre en place une politique foncière ambitieuse Optimiser le parc existant : • Mobiliser le bâti vacant • Faciliter les changements d’usage et de destination 3 Cadrage des objectifs du PLH Catégorie Densité moyenne (en logts/ha) Scénario PLH Objectif PLH annuel Consommation foncière annuelle St Philbert de Grandlieu > 7 500 hab. 18 à 20 65 3,42 ha Pont St Martin 5 000 à 7 500 18 45 2,50 ha La Chevrolière 5 000 à 7 500 15 45 3,00 ha Le Bignon 2 500 à 5 000 15 30 2,00 ha Geneston 2 500 à 5 000 15 30 2,00 ha Montbert 2 500 à 5 000 15 25 1,67 ha St Colomban 2 500 à 5 000 15 25 1,67 ha St Lumine de Coutais < 2 500 hab. 15 15 1,00 ha La Limouzinière < 2 500 hab. 15 15 1,00 ha 16,16 295 18,25 ha Total Conséquences sur la politique locale de l’habitat : Travailler sur les aménagements fonciers pour réduire la taille des parcelles Travailler sur la typologie des logements pour diminuer la part de l’individuel pur Optimiser le tissu existant : • Mobiliser en priorité les opportunités foncières dans les zones déjà urbanisées • Réhabiliter pour favoriser le maintien des ménages dans le parc ancien 4 Cadrage des objectifs du PLH Segmentation et territorialisation des objectifs du PLH Objectif PLH annuel Objectif PLH sur 6 ans dont locatif social en dont accession sociale PLS/PLUS/PLAI en PSLA dont autres logements St Philbert de Grandlieu 65 390 58 15% Maximum 85% Pont St Martin 45 270 90 33% Maximum 67% La Chevrolière 45 270 30 11% Maximum 89% Le Bignon 30 180 20 11% A déterminer avec Maximum 89% Geneston 30 180 20 11% les partenaires Maximum 89% Montbert 25 150 16 11% et les opérateurs Maximum 89% St Colomban 25 150 16 11% Maximum 89% St Lumine de Coutais 15 90 10 11% Maximum 89% La Limouzinière 15 90 10 11% Maximum 89% Total 295 1770 270 15% Maximum 85% Conséquences sur la politique locale de l’habitat : Offrir du foncier bon marché • Via la mise en place d’une politique réglementaire ambitieuse • Via la participation financière des collectivités et/ou des aménageurs Contractualiser avec les partenaires • Pour mobiliser les financements • Pour la réalisation et la gestion des programmes 5