My Two Daddies

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My Two Daddies
1
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PRESSE
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MY TWO DADDIES
Un film de Travis Fine
ALAN CUMMING
GARRET DILLAHUNT
Dans la Californie des années 80, un
couple d’homosexuels se bat contre
la justice et les préjugés pour
conserver la garde d’un enfant qui
leur a été confié.
Durée 1h38 - format 2:39 - USA - titre original ANY DAY NOW
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Synopsis
En Californie, au début des années 80, Paul et Rudy débutent une relation amoureuse,
quand le destin met sur leur chemin Marco, un enfant handicapé, malmené par sa mère
toxicomane. Alors qu’elle est incarcérée, elle confie à Rudy et Paul la garde de son fils,
qui va enfin trouver un foyer stable avec « ses deux papas ». Mais lorsque qu’on découvre
que Rudy et Paul sont homosexuels, la société s’acharne contre eux pour leur retirer la
garde de Marco. Ils vont combattre une justice qui a des préjugés sur leur mode de vie,
dans l’espoir de continuer à élever cet enfant.
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Entretien avec
Travis Fine
réalisateur
D’où vient l’idée de MY TWO DADDIES?
Dans les années 80, Le scénariste George Arthur Bloom, vivait sur Atlantic Avenue, à
Brooklyn, dans un environnement social chaotique. Il connaissait un type, Rudy, un
homosexuel avec une belle personnalité, qui vivait dans le quartier, dans le même
immeuble qu’un gamin handicapé dont la mère était une junkie. Parfois Rudy s’occupait
de ce garçon. George Arthur Bloom s’est inspiré de cette relation, et a écrit une fiction sur
l’adoption. Le film a failli voir le jour à plusieurs reprises. Tommy Lee Jones et Sylvester
Stallone ont même été pressentis pour interpréter les personnages principaux.
Finalement, George Arthur Bloom a abandonné le projet. Vingt ans plus tard, son fils,
P.J. Bloom, a appris que j’étais en recherche d’un script. Il m’a parlé de ce scénario que
son père avait écrit. Le personnage de Rudy me faisait penser à celui de Ratso Rizzo dans
Maccadam Cowboy. Il y avait des éléments qui me rappelaient le cinéma que j’aime, j’ai
mis une option sur le script.
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Le script de départ est-il celui que vous avez tourné?
Pas exactement. Il y a eu un travail de réécriture. J'ai développé le personnage de Paul
qui dans le scénario original n’apparaissait que dans la scène d’ouverture. J'ai voulu créer
une véritable histoire d'amour et surtout je voulais que Rudy soit un artiste, un interprète
de revue qui chante en playback et qui devient par la suite un chanteur à part entière. J'ai
également voulu donner plus de poids au combat juridique d’un couple homoparental à
cette époque.
Le film met en scène des personnages atypiques qui renvoient à tous ceux qui sont
marginalisés, comme Marco, en raison de son handicap, ou encore à Rudy et Paul, en
raison de leur sexualité. Comment s’est fait le casting?
J’ai envisagé de collaborer avec Ricky Martin, mais son agent m’a informé qu’il n’était pas
disponible. Nous avons échangé sur le film et il m‘a parlé d’ Alan Cumming. j’avais vu ce
qu'il faisait dans la revue Cabaret à Broadway, un jeu d’une puissance incroyable et je
cherchais un acteur avec ce potentiel, pour développer le personnage de Rudy :
quelqu'un de fougueux, intelligent, drôle, et sexy. Je lui ai envoyé le script, nous avons eu
une conversation et il a aussitôt accepté de porter le rôle à l’écran.
Comment avez-vous trouvé le garçon, Isaac Leyva, pour le rôle de Marco.
Nous avions transmis une annonce à l’association «Down Syndrome Association» qui l’a
aussitôt relayée dans tous le pays. Nous cherchions un garçon de treize ans ou plus. Nous
avons rencontré et auditionné beaucoup de jeunes. La plupart d'entre eux étaient des
acteurs non professionnels. Et puis j'ai vu Isaac sur un enregistrement, il y avait chez lui
quelque chose de spécial qui se dégageait et il avait déjà joué, il avait une expérience du
travail d’acteur. Dans une scène du film, Isaac devait s’énerver et dire des grossièreté. Et
les personnes Trisomiques n’aiment pas la violence, la colère et de manière général tout
ce qui est susceptible de les bouleverser. Nous avons essayé de le pousser dans cette
direction de jeu, mais il a commencé à trembler. Nous avons compris que ça ne
marcherait pas. Kristine Fine, la productrice, m'a suggéré de travailler à partir des silences
exprimés par son personnage. Nous avons réécrit les scènes, et le «Marco» final est
devenu bien plus convainquant que celui de la version initiale.
Le film aborde les difficultés que rencontrent les hommes et les femmes
homosexuels qui veulent adopter des enfants dans un cadre juridique légal.
Je suis un gars plutôt classique, marié avec trois enfant, dans une maison de banlieue, et
j’ai toujours été sensible à ceux qui sont défavorisés ou qui n’ont pas les mêmes droits
devant la loi. Si une personne est stable, psychologiquement, si elle a un lieu de vie, des
moyens financiers, et si elle est capable de donner de l'amour à un enfant, cette personne
devrait être autorisée à adopter. Et cela indépendamment de ce qu’elle fait dans l'intimité
de sa chambre à coucher.
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FILMOGRAPHIE TRAVIS FINE
Réalisateur
2012
2010
1997
MY TWO DADDIES (Any Day Now titre original)
THE SPACE BETWEEN
THE OTHERS
Acteur
2010
2001
2001
2000
1999
1998
1997
1991
THE SPACE BETWEEN de Travis Fine
TOMCATS de Gregory Poirier
JACK THE DOG de Bobby Roth
WE MARRIED MARGO de J.D. Shapiro
UNE VIE VOLEE de James Mangold
LA LIGNE ROUGE de Terrence Malick
THE OTHERS de Travis Fine
CHUCKY 3 de Jack Bender
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Entretien avec
Allan
Cumming
La personnalité de Rudy est flamboyante, parfois exagérée, mais ce qui touche dans
votre performance c'est la manière dont vous montrez la solitude du personnage.
J'ai longuement réfléchi à la manière d’interpréter la dualité qu’il y a dans le personnage
de Rudy : à la fois l'impétuosité et la confiance qu'il montre au début du film et toute la
tendresse, qu’il témoigne à Marco et à Paul. J'ai réalisé que quelqu'un comme Rudy avait
besoin d'une armure, d’un bouclier de protection pour l'aider à avancer. Je voulais lui
donner une sorte d’arrogance qui soit nécessaire pour sa survie, puis faire appel à
d’autres choses comme l'humour et l'autodérision. Donc je pense que vous avez raison, la
solitude est une grande partie de ce que j'essayais d’exprimer. Quand on le découvre au
début du film, c’est la première fois qu’il n’est plus seul et c'est quelque chose de tout
nouveau pour lui.
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Le fait de travailler sur un passé récent, à savoir la fin des années 1970, était-ce une
expérience qui autorisait une créativité particulière en tant qu’acteur?
Oui, complètement parce l'expérience est moins reliée au présent et par conséquent on
se sent autorisé à se lâcher un peu. Un film historique, même sur une période récente
comme celle-ci, vous offre la liberté d'inventer et d'imaginer, et ça j'adore. Très souvent la
notion d’être contemporain, signifie que le jeu de l’acteur est mis en sourdine au sens
propre comme au figuré, et je n'ai jamais compris pourquoi.
Le film aborde plusieurs thèmes, le contexte social, la discrimination, les questions
juridiques. Pour vous y a t-il d’autres éléments important dans cette histoire?
Je pense que tout grand drame comporte un sentiment d’étrangeté, face à des gens qui
nous sont différents dans un certains sens, mais qui arrivent à nous toucher. Dans MY
TWO DADDIES, nous avons trois étrangers qui essaient tous de s'aimer, ce qui ne devrait
être interdit à personne. Et ils vivent ensemble une aventure magique dans laquelle le
public va être emporté. Le film a beaucoup à dire sur les droits des homosexuels,
l’adoption, et la façon dont on considère les personnes handicapées. C'est surtout un film
qui parle de la famille et du désir que nous avons tous de vouloir aimer et de prendre
soin les uns des autres.
Quelle a été la nature de votre relation affective avec Isaac Leyva, qui joue Marco?
Vous sentiez-vous protecteur à son égard en raison de son inexpérience, ou aviezvous envie de lui laisser son propre espace pour que sa personnalité puisse
émerger ?
Isaac n'avait pas besoin d'espace pour que sa personnalité s’exprime. Celle-ci, le
précédait. C'est un garçon absolument incroyable et magnifique et on s'est entendu dès
notre rencontre. Je me sentais protecteur à son égard, mais uniquement comme face à
quelqu'un qui n'avait jamais fait un film avant ou qui n’a jamais été dans ce type de
situation. De toute cette expérience, le fait de travailler avec Isaac a été pour moi la
meilleure chose. Ce qu'il ressentait était pur et immédiat. Il m'a vraiment rappelé ce que
jouer veut dire. Je l’adore et je lui serai toujours reconnaissant.
Au delà du combat juridique pour l’obtention de la garde de l'enfant, le film relate
une histoire d'amour très réaliste et pleine de tendresse. Comment avez-vous
construit cette relation avec Garret Dillahunt?
Parfois les choses se produisent simplement. Garret et moi ne nous étions jamais
rencontrés auparavant, à peine un jour ou deux avant notre première scène. Mais je me
suis senti immédiatement à l'aise avec lui. Je pense que nous avons échangé un regard et
aussitôt pensé, «Je te fais confiance. C'est énorme, émotionnellement et spirituellement,
ce que nous sommes sur le point de vivre ensemble, mais je te fais confiance». Et je ne
me suis jamais senti déconnecté de lui, pas une seule seconde. C’était vraiment pour
nous deux, une chance de se faire confiance l’un à l’autre et de s’apprécier dès le début.
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La musique tient une place importante dans le film, comment avez vous abordé
votre interprétation de la chanson de Bob Dylan, « I Shall Be Released »?
J’ai découvert un enregistrement de Bette Midler qui interprétait le titre à New York dans
les années 70, accompagnée par Barry Manilow. Je me suis demandé, « Est-ce possible
de faire plus intense? » C’est l’interprétation la plus incroyable et la plus poignante de ce
titre. Quand le moment est venu pour moi d'enregistrer, j'ai laissé le personnage de Rudy
avec son histoire et ses émotions interpréter la chanson. Quand je chante «Je te jure mon
amour. Nous allons être libérés», c’est un moment tellement fort. C'est troublant de voir à
quel point la chanson évoque parfaitement leur histoire.
Que pensez-vous de l’accueil du film par les spectateurs, marqué par de nombreux
prix du public dans les festivals ?
Je pense que cela provient du fait que les gens voient ces trois personnages qui
évidemment sont bienveillants les uns envers les autres, et qui sont empêchés d'être
ensemble à cause de préjugés, et de la haine. Malheureusement, bien que cela se soit
considérablement amélioré, ces réactions existent encore dans notre monde aujourd'hui.
Le public sait que Rudy, Paul et Marco devraient être réunis, mais il sait aussi que nous
vivons dans un monde qui empêche que cela puisse se produire. Le public se sent
proche de cela et c'est pourquoi je pense que le film le touche profondément.
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Filmographie Alan Cumming
2014
2014
2014
2013
2012
2010
2010
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2009
2007
2006
2006
2005
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2005
2005
2003
2003
2002
2002
2002
2001
2001
2001
2000
2000
2000
2000
1999
1999
1999
1997
1997
1997
1996
1995
1995
1994
1992
THE GOOD WIFE (série, saisons 1 à 6)
CHU AND BLOSSOM de Charles Chu, Gavin Kelly
IN THE WOODS de Jennifer Elster
ALMOST IN LOVE de Sam Neave
MY TWO DADDIES de Travis Fine
BURLESQUE de Steve Antin
THE TEMPEST de Julie Taymor
DARE de Adam Salky
BOOGIE WOOGIE de Duncan Ward
SUFFERING MAN’S CHARITY de Alan Cumming
GRAY MATTERS de Sue Kramer
FULL GROWN MEN de David Munro
MR RIPLEY ET LES OMBRES de Roger Spottiswoode
SWEET LAND de Ali Selim
EIGHTEEN de Richard Bell
BAM BAM AND CELESTE de Lorene Machado
NEVERWAS de Joshua Michael Stern
LE FILS DU MASK de Lawrence Guterman
MISSION 3D : SPY KID 3 de Robert Rodriguez
X-MEN 2 de Brian Singer
NICHOLAS NICKLEBY de Douglas McGrath
SPY KID 2 de Robert Rodriguez
INVESTIGATING SEX de Alan Rudolph
THE ANNIVERSARY PARTY de Alan Cumming, Jennifer Jason Leigh
JOSIE AND THE PUSSYCATS de Harry Elfont, Deborah Kaplan
SPY KID de Robert Rodriguez
GET CARTER de Stephen Fay
COMPANY MAN de Douglas McGrath, Peter Askin
LES PIERRAFEU A ROCK VEGAS de Brian Levant
URBANIA de Jon Shear
TITUS de Julie Taymor
EYES WIDE SHUT de Stanley Kubrick
GUNS 1748 de Jake Scott
SPICE WORLD de Bob Spiers
FOR MY BABY de Rudolf Van den Berg
BUDDY de Caroline Thompson
EMMA de Douglas McGrath
GOLDEN EYE de Martin Campbell
THE CIRCLE OF FRIENDS de Pat O’Connor
SECOND BEST de Chris Menges
PRAGUE de Ian Sellar
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Entretien avec
Garret
Dillahunt
Il semble que le personnage de Paul soit finalement assez subversif, bien que par sa
profession d’avocat il soit lié en quelque sorte à une autorité institutionnalisée.
Bien sur, je revendique ça. Il est comme en train de négocier un nouveau territoire dans
sa vie. Je pense que dans le type de société dans lequel il vit, il est simplement subversif
en étant lui-même.
Une force du film c’est le couple que vous constituez avec Alan Cumming. Dès le
début, avec la scène dans la voiture, votre complicité apparaît. Comment avez-vous
travaillé cette relation ?
Je n’avais pas rencontré Alan avant le tournage. Je venais juste de terminer un autre film
et j’hésitais à m’engager immédiatement dans un rôle aussi exigeant. Ma femme, qui sait
que j’aime changer de registre d’un personnage à l’autre, a lu le scénario et m’a
encouragé à le faire. Alan et moi avons échangé quelques emails pour sentir un peu
comment cela pouvait se passer. Je n’ai jamais été inquiet, j’ai toujours pensé qu’il était
très talentueux et j’avais envie de travailler avec lui. Sur le tournage, c’était vraiment très
facile.
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Alan est la joie personnifiée et nous travaillons d’une manière assez semblable, ce qui
facilite les choses. Il disait «Prétendons juste d’être quelqu’un d’autre pendant une
minute, c’est marrant». Je pense qu’aucun de nous deux ne se prenait vraiment au
sérieux. Il est très facile d’aimer Alan, et en tant que Paul, c’est tout ce que j’avais
vraiment à faire.
Le réalisateur Travis Fine a eu une carrière d’acteur avant de devenir réalisateur.
Pensez vous que cela agit dans sa relation avec les comédiens ?
Certains comédiens font des directeurs d’acteurs épouvantables. Travis, lui est bon. Il
reste émotionnellement connecté à l’histoire qu’il a choisie, et il s’engage vraiment par
rapport à sa vision. Il est sensible aux besoins des acteurs, il sait quand intervenir et
quand rester en retrait. Je retravaillerai avec lui avec plaisir.
Comment, avec Alan et Isaac Leyva, avez-vous surmonté les aspects dramatiques du
film ?
Le sujet du film n’est pas évident à accepter, dans ses aspects émotionnels. Je pense que
pour éviter d’être trop sentimental avec ce type de sujet, il est important de rester vrai.
Nous connaissions les dangers de glisser vers la mièvrerie, et nous avons essayé d’éviter
ça en étant les plus sincères possibles.
Filmographie de Garret Dillahunt
2014
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2013
2012
2012
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2010
2010
2010
2010
2009
2009
2008
2007
2007
2001
1999
AGAINST THE SUN de Brian Falk
JUST BEFORE I GO de Courteney Cox
THE SCRIBBLER de John Suits
12 YEARS A SLAVE de Steve McQueen
HOUSTON de Bastian Gunther
LOOPER de Rian Johnson
REVENGE FOR JOLLY! De Chad Harbold
ANY DAY NOW de Travis Fine
OLIVER SHERMAN de Ryan Redford
DANS L'OEIL DU TIGRE de Carlos Brooks
AMIGO de John Sayles
WINTER'S BONE de Debra Granik
LA ROUTE de John Hillcoat
LA DERNIERE MAISON SUR LA GAUCHE de Dennis Ilianis
PRETTY BIRD de Paul Schneider
L'ASSASSINAT DE JESSE JAMES PAR LE LACHE ROBERT FORD de Andrew Dominic
NO COUNTRY FOR OLD MEN deJoel et Ethan Coen
DANNY BALINT de Henry Bean
LAST CALL de Christine Lucas
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Equipe artistique
ALAN CUMMING - Rudy Donatello
GARRET DILLAHUNT - Paul Fleiger
ISAAC LEYVA - Marco Deleon
FRANCES FISHER - Judge Meyerson
GREGG HENRY - Lambert
CHRIS MULKEY - DA Wilson
DON FRANKLIN - Lonnie Washington
JAMIE ANNE ALLMAN - Marianna Deleon
KELLI WILLIAMS - Miss Fleming
ALAN RACHINS - Judge Resnick
MINDY STERLING - Miss Mills
DOUG SPEARMAN - Johnny Boy
RANDY ROBERTS - PJ
MIRACLE LAURIE - Monica MICHAEL
NOURI - Miles Dubrow
JEFFREY PIERCE - Officer Plitt
LOUIS LOMBARDI - Mr. Blum
DONNA W. SCOTT - Kelly Wilson
CLYDE KUSATSU - Dr. Nakahura
ANNE O’SHEA - Mrs. Lowell
JOE HOWARD - Dr. Watkins
KIRK FOX - Beaux
EZRA BUZZINGTON - Larry
KAMALA LOPEZ - Agent Martinez
EDWARD JAMES GAGE - Sergent Johnson
RANDY THOMPSON - Coco
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Equipe technique
TRAVIS FINE - Auteur, producteur et réalisateur
GEORGE ARTHUR BLOOM - Auteur, producteur associé
KRISTINE HOSTETTER FINE - Producteur
MAXINE MAKOVER - Producteur exécutif
ANNE O’SHEA - Producteur exécutif
WAYNE LARUE SMITH - Producteur exécutif
DAN SKAHEN - Producteur exécutif
CHIP HOURIHAN - Producteur
LIAM FINN - Producteur
ALEC CHORCHES - Co-producteur
STEVEN ROBERT KOZLOWSKI - Co-producteur
SARAH TRIPPE - Producteur associé
STEPHEN TRIPPE - Producteur associé
RACHEL MORRISON - Directrice de la photographie
TOM CROSS - Chef monteur
JOEY NEWMAN - Compositeur
PJ BLOOM - Supervision musicale
ANYA COLLOFF - Directeur de casting
MICHAEL NICOLO - Directeur de casting
ELIZABETH GARNER - Chef décorateur
SAMANTHA KUESTER - Costumière
SCOTT MARTIN GERSHIN - Supervision montage son et mixage
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Musiques
“Come To Me”
Ecrit par Tony Green
Interprété par France Joli
Courtesy of Cicada Music/The Tony Green
Organization / Spirit Music Group, Inc.
“The Stud”
Ecrit par Biddu
Courtesy of Cherry Red Records
By arrangement with Natural Energy Lab
“It Would Be A Shame”
Ecrit par B. Mitchell and M. Wright Interprété par
Betty Padgett Courtesy of Ubiquity Records
By arrangement with Sugaroo
“Telegram Sam”
Ecrit par Marc Bolan
Interprété par T. Rex
Courtesy of Spirit Music Group, Inc.
“Super Stupid”
Ecrit par George Clinton Jr., Edward Hazel,
William Nelson, Lucious Ross
Interprété par Funkadelic
Courtesy of Westbound Records
Used with permission by arrangement
through Fine Gold Music
“One Monkey Don’t Stop The Show, Part 1” Ecrit
par General N. Johnson and Gregory S. Perry
Interprété par The Honey Cone
Courtesy of Invictus Records
Holland Dozier Holland Productions, Inc.
“Nighttime Ramble”
Ecrit et Interprété par Jeff Lass
“Inside The Crowd”
Ecrit et Interprété par Jeff Lass
“Backstory Blues”
Ecrit par Travis Fine & Jeff Lass
Interprété par Jeff Lass and Alan Cumming
“Shake Down”
Ecrit par Eddie Horan, Hadley Murrell
and Dwight J. Emile
Interprété par Black Ice
Courtesy of HDM Records
“It’s All About Love”
Ecrit et Interprété par Teddy Rabb
Courtesy of Songs For Film & TV obo Lee
Silver Productions
“Miracles”
Ecrit par Martyn Buchwald Interprété par
Marty Balin Courtesy of The Bicycle Music
Company
“Green Haze”
Ecrit et Interprété par Miles Davis
Courtesy of Concord Music Group, Inc.
“Come To Me”
Ecrit par Tony Green
Interprété par Alan Cumming
“America The Beautiful”
Ecrit par Katharine Lee Bates and
Samuel A. Ward
“Don’t Leave Me This Way”
Ecrit par Kenneth Gamble,
Leon Huff, Cary Grant Gilbert
Interprété par Thelma Houston
Courtesy of Motown Records
Under license from Universal Music
Enterprises
"Getting Hot"
Ecrit et Interprété par Teddy Rabb
Courtesy of Songs For Film & TV obo Lee
Silver Productions
“Love Don’t Live Here Anymore”
Ecrit par Gregory Miles
Interprété par Alan Cumming
“Buick Mackane”
Ecrit par Marc Bolan Interprété par T. Rex
Courtesy of Spirit Music Group, Inc.
“I Shall Be Released”
Ecrit par Bob Dylan
Interprété par Alan Cumming
“Metaphorical Blanket”
Ecrit et Interprété par Rufus Wainwright
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Prix et Festivals • Prix du Public, Meilleur long métrage de fiction – Festival du Film de Tribeca, 2012
• Meilleur film – Festival International du Film de Canberra, Australie 2013
• Prix du Public – Festival International du Film de Chichester, Royaume-Uni 2013
• Prix du Public – Festival international du Film Gaze LGBT, Dublin 2013
• Meilleur film, Catégorie génération 18 – Festival du Film de Giffoni Italie 2013
• Prix du public – Festival international du Film de Chicago 2012
• Prix du Public, Meilleur Film et Meilleur Acteur – Festival du film de Seattle 2012
• Prix Golden Key, Meilleur Acteur et Prix du Public, Meilleur long métrage de fiction
Festival du Film de Key Ouest 2012
• Prix du Public, Meilleur long métrage de fiction – Festival du Film de Woodstock 2012
• Meilleur long métrage de fiction – Grand prix du jury, Meilleur Acteur – Festival du Film de Outfest 2012
• Film exceptionnel – GLAAD Media Awards 2013
• Prix du Réalisateur, Meilleur long métrage – Festival international du film de Sedona 2013
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