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Notre adresse Internet : http://www.mouvement-retrouvailles.qc.ca
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Mot de la présidente
Une nouvelle saison recommence
Info-Retrouvailles
MOUVEMENT RETROUVAILLES
ADOPTÉ(E)S – NON ADOPTÉ(E)S – PARENTS
Août-Septembre
2014 – IR5-1
Nous voilà de retour pour une nouvelle saison. La
moitié de l’été est déjà derrière nous, l’Expo-Québec
débutera sous peu, les Cegeps ouvriront leurs portes
dans quelques jours, les tout-petits feront le pied-de-grue au coin de la rue
pour reprendre leur routine scolaire et les parents mettront fin à leur court
répit estival pour entamer une autre année à un rythme effréné afin de
répondre aux désirs de toute la maisonnée. Ouf! Cette pause énergisante
qu’est la période estivale est toujours trop courte. Le temps file, les jours
passent, les mois s’envolent et les années… n’en parlons pas! Nous
espérons que vous avez toutes et tous passé du bon temps et que les
chauds rayons du soleil vous ont revigorés. De notre côté, les équipes sont
prêtes à débuter une nouvelle saison et à vous offrir les services requis
afin de répondre adéquatement à vos demandes.
Les activités régulières débuteront en septembre et octobre, selon les
régions. Suivez-nous sur notre site Internet et/ou sur notre page Facebook
pour les horaires et les lieux de rencontre. Il est à noter que certaines
activités ont été déplacées d’endroit. Soyez vigilent lorsque vous prendrez
l’information.
D’autres acteurs reprendront également le boulot bientôt. Oui, nos
dirigeants seront de retour à l’Assemblée nationale. Soyez assuré que
nous leur ferons un petit geste afin de relancer nos demandes. Le nouveau
gouvernement est maintenant bien installé et se doit de régler les dossiers
laissés en suspend. Nous leur réitérerons nos demandes et nous vous
tiendrons au courant des développements.
Nous vous souhaitons un bon retour parmi nous et vous souhaitons une
belle saison 2014-2015.
Caroline Fortin, présidente
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Le Mouvement-Retrouvailles demande des changements en matière d'adoption
Publié le 17 juillet 2014 – Le Journal de Lévis
Par Mariane Bergeron-Courteau
Apprendre à 60 ans que l'on a été adopté, ou connaître son statut d'adopté et ne pas pouvoir accéder aux
informations de son dossier d'adoption sont des circonstances difficiles à vivre, mais plus fréquentes qu'on
ne le pense. C'est pour éliminer de telles situations que le Mouvement-Retrouvailles demande au
gouvernement libéral de modifier la législation actuellement en vigueur.
Le Mouvement-Retrouvailles s'adresse aux personnes adoptées ou qui ont été placées dans un
orphelinat sans ne jamais être adoptées, aux parents biologiques et aux parents adoptifs. Il vise à la
fois à offrir un soutien à ces trois groupes de personnes, mais également à aider ceux-ci à
entreprendre des démarches pour retrouver leurs proches biologiques.
Actuellement, selon le Code civil et les dispositions législatives en matière d'adoption et d'autorité
parentale, une personne qui tente de retrouver son parent ou enfant biologique doit attendre le
consentement de l'autre avant de pouvoir accéder à l'information. Des réformes à la loi ont été
déposées en 2012 et en 2013, mais le déclenchement d'élections a bloqué à deux reprises ces projets
de loi.
«Ce n'est pas nécessairement tous les adoptés qui ressentent le besoin de connaître leurs origines,
mais en creusant, on se rend compte que chacun garde des blessures causées par le bris du lien
d'attachement», explique la nouvelle coordonnatrice du Mouvement-Retrouvailles, Caroline Fortin, qui
espère que la stabilité du gouvernement libéral majoritaire permettra d'aller de l'avant avec ces
modifications. Ne serait-ce que pour des questions plus techniques, comme être au fait de leurs
antécédents médicaux, il est important que les personnes adoptées puissent connaître leur histoire,
estime-t-elle.
Le Mouvement-Retrouvailles recommande également aux législateurs d'inclure un mécanisme qui
permettrait à une personne, lorsqu'elle atteint la majorité, de connaître son statut d'adoptée. «On a une
dame qui nous a écrit récemment qu'elle avait su à presque 60 ans qu'elle avait été adoptée. Une telle
situation, ça remet tout en doute. On se dit qu'on s'est fait mentir toute notre vie», raconte la présidente
du mouvement.
L'organisme existe depuis une trentaine d'années et
regroupe plus de 13 000 membres partout au Québec.
Depuis janvier, le Mouvement-Retrouvailles est parvenu à
relier cinq enfants à leur parent biologique. Chaque fois,
une vérification est faite auprès des centres jeunesse pour
éviter qu'une erreur se glisse dans les jumelages.
Selon Caroline Fortin, la plupart des retrouvailles se
déroulent très bien. «Le lien est là. Même si l'enfant a été
élevé dans un milieu totalement différent, il se passe
quelque chose en présence de notre parent biologique. Il y
a un courant qui passe», raconte celle qui a elle-même retrouvé sa mère biologique en 1996 grâce à
l'organisme.
Depuis le mois de juin, le siège social du Mouvement-Retrouvailles a officiellement déménagé de
Longueuil à Saint-Jean-Chrysostome. Dès septembre, des activités seront organisées dans la grande
région de Québec sur des thèmes relatifs à l'adoption.
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Tristes histoires d’adoption internationale
Nous vous suggérons ci-après 4 articles à lire dans La
Presse, traitant de l’adoption d’enfants à l’étranger dont
l’histoire se termine plutôt mal. Nous vous présentons le début
de ces quatre articles et nous vous incluons le lien pour les
retrouver sur Internet. Ces articles ont été écrits par Isabelle
Hachey.
Quand l’adoption tourne au cauchemar :
Au Québec, des dizaines, voire des centaines d'enfants
adoptés à l'étranger finissent par être placés en centres
jeunesse. Leurs parents ne sont pas sans-cœur. Ils sont
désespérés. Et incompris. Les ruptures d'adoption sont
pourtant nombreuses, ici comme ailleurs.
Les jumeaux se sont mis à suer abondamment et à trembler de tous leurs membres à bord de l'avion
qui les ramenait de Russie. On les aurait crus en transe. Désemparés, Josée et Sylvain* n'ont rien pu
faire, à part attendre que ça passe. On ne leur avait rien dit, mais ils ont vite compris que leurs enfants
étaient en plein sevrage. À froid. Ils avaient 3 ans.
Josée et Sylvain avaient rencontré les jumeaux pour la première fois six jours plus tôt, à l'orphelinat.
Les deux enfants étaient assis sur une chaise, sans rien dire, sans bouger. Josée était mal à l'aise,
mais a tenté de se raisonner: cette froideur extrême, c'était peut-être la coutume; les jumeaux étaient
peut-être simplement intimidés devant des étrangers.
Plus tard, on lui a expliqué que pour gérer les crises, les orphelinats russes n'hésitaient pas à
assommer leurs petits pensionnaires à coups de fortes doses de médicaments. LIRE LA SUITE
Adoption : « Les parents devraient être préparés »
Afin d'éviter abandons, placements et autres échecs, Québec songe à imposer une formation
obligatoire à ceux qui souhaitent se lancer dans l'aventure parfois chaotique de l'adoption
internationale, a appris La Presse.
«Tous les parents devraient être préparés à l'adoption pour comprendre à quoi ils s'engagent. La
réflexion au sujet du caractère obligatoire de cette formation est en cours», confie Josée-Anne Goupil,
directrice du Secrétariat à l'adoption internationale du Québec (SAI).
«Nous voulons faire en sorte que le plus de gens possible aient accès à une formation qui va
sensibiliser les parents, mais aussi les préparer à l'adoption
internationale. On est là-dessus», confirme Lucie Charlebois, ministre
déléguée à la Protection de la jeunesse.
«Parfois, les parents ont des lunettes roses. Ils ont un désir d'enfant.
Mais ils doivent comprendre qu'ils s'engagent à quelque chose de
plus grand. Ils doivent être capables d'envisager toutes les
possibilités», prévient Mme Goupil.
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La ministre Charlebois promet que la formation sera «bientôt» offerte d'un bout à l'autre du Québec.
Mais elle dit encore «réfléchir» à la pertinence de l'imposer aux futurs parents adoptifs. «Je ne suis pas
convaincue que le fait de rendre cette formation obligatoire ferait nécessairement de meilleurs
parents.»
Avec l'accumulation de ratages parfois tragiques un peu partout dans le monde, la pression s'accentue
pour que les pays d'accueil préparent mieux les futurs parents à ce qui les attend. «De plus en plus de
pays d'origine exigent une préparation obligatoire. Mais au Québec, ça fait des années que ça traîne.
Les gens du SAI n'ont pas la colonne vertébrale pour imposer ces cours», dénonce Johanne Lemieux,
qui offre une formation privée aux futurs parents. LIRE LA SUITE
Adoption : un rêve qui a mal tourné
Wilfrid et Marie-Denise Solages avaient tout pour être heureux. De bons emplois, une grande
maison à Boucherville, un bébé en route. Mais les choses ont mal tourné pour eux. Très, très
mal tourné.
Marie-Denise a perdu l'enfant. Son médecin a été clair: elle était incapable de concevoir. Anéantis, les
Solages se sont tournés vers l'adoption internationale. Et c'est tout naturellement qu'ils ont opté pour
Haïti, leur pays d'origine, qu'ils avaient quitté pour le Québec, dans les années 60.
«On savait ce qui se passait en Haïti, dit Marie-Denise. On connaissait la souffrance des enfants.» Le
couple a voulu en sauver deux. En 1994, ils ont trouvé Henry, 4 ans, et Marie-Christine, 5 ans, qui
végétaient dans un orphelinat sordide de Port-au-Prince.
À leur arrivée au Québec, les enfants étaient dans un état pitoyable. «Henry était presque mort, se
rappelle Marie-Denise. Il souffrait de malnutrition. Son abdomen était proéminent, ses cheveux
tombaient par poignées. Il avait 4 ans, mais il ne parlait pas. Il grondait.»
Bientôt a commencé la ronde des médecins, orthopédagogues et pédopsychiatres. Les enfants étaient
profondément traumatisés par leurs années d'orphelinat. Marie-Christine semblait encore plus affectée
qu'Henry. «Quand je la prenais pour l'embrasser, elle n'était pas capable, elle fuyait», raconte MarieDenise.
Le comportement de la petite fille était aussi déroutant que
destructeur. «Elle soulevait son matelas pour faire caca en dessous.
Elle démembrait ses poupées. J'avais un oiseau, elle l'a écrasé
vivant entre ses mains. Elle ne pouvait mettre les pieds dans un
autobus scolaire, parce qu'elle en ouvrait les portes pour pousser
les enfants dehors...»
L'intimité d'une famille lui étant insupportable, la fillette a tout fait
pour rompre le fil ténu qui la reliait à ses parents adoptifs. Elle a
réussi. «On n'en pouvait plus, dit Marie-Denise. Un jour, elle m'a dit:
«Je n'aime pas ça, ici, je veux retourner en Haïti.» On ne pouvait
pas la retenir. On l'a retournée là-bas.» LIRE LA SUITE
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Rupture d’adoption : retour à l’expéditeur
Ses parents adoptifs avaient arraché Henry Solages à un orphelinat sordide de Port-au-Prince
pour lui offrir une vie confortable à Boucherville. Et puis, un jour, ils en ont eu assez. Ils l'ont
renvoyé en Haïti. Émues, les autorités ont remué ciel et terre pour rapatrier le garçon au
Canada. Mais où se trouve la vérité? Des parents peuvent-ils être aussi cruels? Retour sur une
histoire tragique, en deux versions à jamais inconciliables.
C'était la première fois qu'Henry Solages retournait en Haïti depuis qu'il avait été adopté, tout petit,
dans un orphelinat de Port-au-Prince. Le garçon était aux anges. «Mes parents ne m'avaient jamais
emmené nulle part. Je trouvais ça excitant. Wow, on partait en voyage! J'avais 11 ans.»
C'était en août 2001. Cet été-là, Henry a sans doute passé les plus belles vacances de sa vie. Plages
ou restos, ses parents adoptifs ne lui refusaient rien. Le bonheur. Mais un bonheur éphémère. Après
les vacances, ses parents sont rentrés au Québec... en le laissant derrière.
«J'ai pleuré. Ils étaient tout ce que j'avais au monde. Je ne connaissais personne en Haïti», raconte
Henry, aujourd'hui âgé de 24 ans. «Ils m'ont laissé sans papiers. S'il m'était arrivé quelque chose,
personne ne l'aurait jamais su.»
Henry a passé des années à attendre que ses
parents reviennent le chercher en Haïti, survivant
de peine et de misère dans les rues de Port-auPrince. «Pendant tout ce temps, j'ai eu espoir de
revenir au Québec. Dans ma tête, c'était des
vacances. Dures. De dures vacances.»
Au bout de cinq ans, Henry s'est rendu à
l'évidence. «Mes parents ne m'appelaient pas,
refusaient de me parler, n'envoyaient plus
d'argent... tout indique qu'ils m'avaient
abandonné.» Pour la seconde fois de sa courte
existence, il était orphelin. Seul au monde. LIRE
LA SUITE
Période de vacances estivales
Le siège social sera fermé du 11 août au 1er septembre inclusivement, pour la période de vacances
estivales.
Si vous nous appelez, n'hésitez pas à nous laisser un message et nous vous rappelerons dès notre
retour. Nous vous rappelons qu'il est important de bien laisser vos coordonnées téléphoniques lors de
votre appel. Certains appels pourront être retournés le soir et/ou au cours de la fin de semaine. Vous
pouvez également nous contacter par courrier électronique ou par la poste régulière.
Par contre, nos bénévoles sont là pour vous aider. N'hésitez pas à contacter les responsables de
région pour obtenir des informations.
Musée du Bon Pasteur (Québec) – FERMETURE
Une visite du Musée du Bon Pasteur a eu lieu en juin dernier. Les quelques
personnes présentes ont grandement apprécié la visite de cet espace réservé à
l’histoire de la communauté et de leurs œuvres, dont la Crèche St-Vincent-de-Paul
et l’hôpital de la Miséricorde de Québec. Malheureusement, nous avons appris que
le musée fermerait ses portes en septembre prochain. Alors faites-vite si vous désirez le voir ou le
revoir.
Afin de préserver la mémoire historique de la Crèche et surtout permettre à plusieurs enfants de la
Crèche de retrouver une trace de leur enfance, veuillez lire l’avis ci-après :
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URGENT - APPEL À TOUS
Recherche de témoignages
La chaîne Historia a demandé à la maison de production Avanti Ciné
Vidéo, productrice de la série de fiction intitulée « Le Berceau des
Anges » qui sera diffusée sur la chaîne Séries+, de préparer un
documentaire d’une heure sur le sujet traité dans ladite série, soit le
marché noir des enfants à Montréal et les adoptions et mœurs des
années 1940-1950... au Québec.
Mme Monique Fournier, recherchiste et scénariste, a été mandatée
pour cet aspect spécifique du travail.
Dans le cadre d'un documentaire, les besoins sont différents de ceux
requis pour une série. Elle est donc à la recherche des véritables
acteurs de cette époque, qui peuvent raconter l’histoire telle qu’elle l’a été vécue. Elle désire rencontrer
des personnes toujours vivantes qui ont vécu cette période et qui pourront l’aider à retracer les
contextes historique, social et humain.
Si vous êtes l’une des personnes recherchées ci-après et que vous aimeriez partager votre vécu et
participer au documentaire, contactez Madame Fournier par courriel à : [email protected] ou par
téléphone au 1-819-275-5006 :
- une jeune mère célibataire ayant dû confier votre enfant à l’adoption via une clinique privée ou via la
crèche dans les années 1940-1950;
- un parent adoptif s’étant adressé à la crèche ou à une autre voie pour l’adoption;
- une personne adoptée née dans les années 1940 ou 1950, à la recherche de vos parents naturels;
- un médecin ou infirmier(ère) en clinique privée ou à la crèche;
- un historien intéressé par cette histoire et sur les lois de l’adoption;
- un juriste s’étant penché sur la situation du marché noir de bébés ou sur le contexte des adoptions et
mœurs de cette période,
Le documentaire devra être tourné tôt cet automne et les personnes rencontrées au cours des
prochaines semaines. Si vous êtes intéressé(e)s, n’hésitez pas. Votre témoignage en aidera plus d’un.
Si vous connaissez quelqu’un qui pourrait être intéressé et qui ne voit pas ce message,
n’hésitez pas à lui en parler.
Nous vous remercions de votre habituelle collaboration dans ce genre de demande.
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Suggestions de lecture ou autres
Vous avez des suggestions de lecture, de films, de documentaires et/ou
d’activités, envoyez-nous les coordonnées par courrier électronique au :
[email protected] et nous en prendrons bonne note.
(En français) Au-delà de l’abandon – d’Édith Mercier, Les Éditions Première
chance, 2014. Un jour, vers l’âge de 8 ans, les parents d’Édith décident de lui dire
la vérité au sujet de sa naissance. Ça dû être terriblement angoissant pour eux de
lui annoncer la nouvelle, car ils auraient tout aussi bien pu garder ce secret mais
ils pensaient qu’elle avait le droit de savoir. L’auteure se demande encore
aujourd'hui si des parents adoptifs devraient garder ce secret. Elle croit que sa vie
aurait été différente si elle n’avait pas su, elle n’aurait pas vécu ce maudit rejet. On
dit que Dieu ne nous envoie jamais des épreuves auxquelles nous ne pouvons
faire face, qu’elles nous font grandir et qu’il en ressort toujours du positif.
Aujourd’hui, elle est encore à la recherche du côté positif de cette situation, mais
elle continue de cheminer en espérant qu’un jour, dans un futur pas trop lointain,
elle découvrira les bienfaits de cette expérience.
(En français) Des maux parmi ses mots – de Richard Lemire, Les Éditions
Première chance, 2014. Une histoire remplie d’amour, de jalousie, de tristesse et
de secrets honteux jalousement gardés. Il nous transporte dans une époque qui
est encore fraîche dans la mémoire de certaines personnes, mais qu’elles
voudraient bien oublier. Pour les plus jeunes, c’est un pas dans l’histoire souvent
mal racontée. Dans son style qui lui est unique, il dénonce une fois de plus une
société puritaine et hypocrite sous le joug d’une Église austère et dominatrice.
L’auteur nous revient avec un sujet qu’il affectionne tout particulièrement et qu’il
connaît bien. Après nous avoir présenté le monde des orphelinats, de l’adoption
et des retrouvailles dans son premier roman « Et si ma mère avait un nom »,
voilà que maintenant il nous présente celui des filles-mères. Ces femmes
rejetées de leur famille et bannies de l’Église. Dans son langage cru et coloré, il
fait fi des tabous et pénètre pieds joints dans cet univers souvent considéré comme sale et honteux.
(En français) Citoyen de Ville Joie, Souvenirs d'un orphelin – de Steve
marchand, 2014-08-01
Il s’agit du premier ouvrage de Steve Marchand et se veut le fruit d'une intense
réflexion de l'auteur sur les quelques quatre années de son enfance pendant
lesquelles il fut orphelin. Son histoire, écrite au temps présent et dans un
français international, nous fait passer par toutes les émotions alors qu'il
raconte la longue et difficile quête pour qu’on lui trouve une famille. La vie de
tous les jours à l'orphelinat et les expériences, tantôt bonnes tantôt choquantes,
avec les différentes familles dans lesquelles l'auteur a vécu sont décrites en
mettant d'avantage l'accent sur les émotions du temps que sur les évènements
eux-mêmes, ce qui permet à tous de s'immiscer dans l'histoire pour en vivre
ses effets.
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Renouvellement 2015
Comme chaque année, le temps est venu de renouveler votre carte
de membre. Compte tenu que nous sommes un organisme à
caractère bénévole, nos principales sources de financement sont
les frais d'inscription au Mouvement Retrouvailles (35 $) et la
carte de membre, renouvelable à tous les ans au coût de 12 $.
Les fonds ainsi recueillis nous aident à faire fonctionner la région et nous
permettent de vous offrir une gamme plus vaste de services :
1.
2.
3.
4.
5.
Café-rencontre (gratuit pour les membres et 3 $ pour les non-membres) ;
Service de relation d'aide, groupes de support, accueil des nouveaux membres;
Service d'accompagnement avant, pendant et après vos retrouvailles ;
Service d'information par l'entremise des chaînes téléphoniques;
Service d'accueil et d'écoute téléphonique du lundi au vendredi.
Si vous ne recevez pas de renouvellement postal, vérifiez la date sur votre dernière carte et contactez-nous
pour renouveler le tout au coût de 12 $ pour l’année.
Il est important d'aviser le Mouvement Retrouvailles de même que le Centre jeunesse détenteur de
votre dossier de vos changements d'adresse et de numéro de téléphone. S'il-vous-plaît, nous aviser
également si vous avez effectué vos retrouvailles.
N’oubliez pas de promouvoir notre organisme auprès de vos connaissances, votre famille, vos collègues de
bureau… sait-on jamais, d’autres pourraient se joindre à nous. Merci de votre collaboration.
Le nombre d'inscriptions diminue contrairement à nos besoins financiers. Pour maintenir et améliorer les services ci-haut
mentionnés, nous sollicitons votre aide financière en vous demandant d'ajouter un montant supplémentaire lors du
renouvellement de votre carte de membre. Tous les dons que vous ferez seront directement et entièrement utilisés pour
améliorer les services que nous vous offrons. Nous vous remercions à l'avance de votre aide précieuse et nécessaire.
Dernier avis - Relocalisation du siège social :
Adresse postale :
Téléphone :
Télécopieur :
Casier postal 2
St-Jean-Chrysostome (Québec)
G6Z 2L3
418 903 9960
1-888-646-1060 (sans frais)
418 834 9627
Courriel : [email protected] / Site Internet : www.mouvement-retrouvailles.qc.ca
IMPORTANT : Lorsque vous nous contactez par téléphone, laissez-nous votre nom, numéro de
téléphone et votre ville de résidence. Nous vous rappellerons rapidement. Les appels pourront être
retournés les soirs de semaine, le vendredi et/ou le samedi. Votre appel est important pour nous et
il nous fera plaisir de vous aider dans vos démarches. Si vous désirez rencontrer un(e) responsable,
n’hésitez pas à nous appeler et nous pourrons faire en sorte de vous fixer un rendez-vous.
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Votre exécutif provincial
Présidente :
Vice-présidente :
Trésorier (par intérim) :
Relationniste :
Secrétaire :
Caroline Fortin – [email protected]
Lucille Gosselin
André-Georges Toupin
Lise Émond
Réjane Genest
Prochaines activités
Région de Québec / Portneuf / ChaudièreAppalaches / KRTB / Bas St-Laurent /
Gaspésie/Les Îles
Région Montérégie /
Mauricie, Bois-Francs / Montréal / Laval /
Laurentides / Lanaudière
Café-rencontre
Le mardi, 9 septembre 2014, 19h00
Café-rencontre
Le vendredi, 3 octobre 2014, 19h30
Informations générales
Discussions ad-lib
Centre Pierre & Bernard Lucas
2060, rue Holmes
St-Hubert
Café-rencontre
Le mardi, 14 octobre 2014, 19h00
Pour plus de renseignements : 450 678 5975
Informations générales
Témoignage
ATTENTION : CHANGEMENT DE LIEU :
Centre des loisirs St-Sacrement
Salle de réunion
1360, boul. de l’Entente, Québec G1S 2T9
(stationnement dans la rue, accès pour personnes à
mobilité réduite, grande salle éclairée)
Région Saguenay / Lac St-Jean /
Chibougamau / Côte-Nord
Prochaine activité à confirmer
Région Frontenac/Estrie
Café-rencontre
Le vendredi, 19 septembre 2014, 18h00
Toujours vérifier sur le site Internet
pour tout changement de dernière minute.
Rôtisseries St-Hubert
203, boul. Frontenac Ouest
Thetford
« Prochaine parution –Octobre 2014 »

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