Programme - Centre Philae

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Programme - Centre Philae
Le processus psycho-somatologique du « Mal-a-dit »
Programme 2016 – 2017
La santé est avant tout un état d'équilibre.
Par l'approche originale des liens entre la psychologie et la biologie, issue
des travaux de nombreux chercheurs et scientifiques, comprendre pourquoi
nous sommes malades, c'est déjà commencer à guérir.
Jean-Claude FAJEAU est diplômé de la faculté de médecine de Paris en
1976. Docteur en médecine, Psychothérapeute, Naturothérapeute, conférencier, il a étudié et approfondi la plupart des thérapies énergétiques.
Eternel chercheur de la vérité, il a fini par rencontrer un début d'explication.
Pourquoi les « choses » arrivent-elles ?
Après quelques mois de pratique médicale, ses interrogations le conduisent à entreprendre des études
de médecine chinoise, puis d'homéopathie, de médecine manuelle, de phytothérapie, de chromatothérapie,
etc.
Sa curiosité est insatiable et il côtoie de nombreux thérapeutes, médecins et non médecins, curieux et chercheurs comme lui. Il s'intéresse à des thérapies comme la sophrologie, la relaxation et la réflexologie. Et
d'autres encore, pas toujours « conventionnelles » et pourtant reconnues dans d'autres pays !
Des séjours en Afrique, comme responsable de missions humanitaires, lui permettent de s'intéresser à la
très riche phytothérapie africaine. Il rencontre là-bas des « sorciers » et « marabouts », qui malgré leur
analphabétisme font preuve d'une grande clairvoyance et de dons exceptionnels.
C'est pour retrouver sa liberté de pensée et d'action qu'il décide, en 1997, de cesser d'exercer la médecine
« officielle » pour s'installer comme psychothérapeute.
Il a alors l'occasion de rencontrer Claude SABBAH. Et d'être son élève en Biologie Totale.
Cette rencontre va être une renaissance exceptionnelle, grâce à l'enseignement exceptionnel de Claude.
Ce qu'il soupçonnait depuis toujours est une évidence. Les travaux du Dr Hamer, enrichis par les découvertes de Claude Sabbah et de Gérard Athias lui permettent de continuer à exercer sa passion de chercheur.
La lecture des œuvres du Dr Georg Groddeck, dont les travaux au début du XX° siècle furent déterminants
dans l'approche psychosomatique des troubles organiques, ainsi que la relecture des grands classiques, S.
Freud et C.G. Jung, lui confirment que la Psycho-Somato-Généalogie est une ouverture d'une exceptionnelle portée.
Depuis 1997, Jean Claude FAJEAU a beaucoup travaillé et apporte à tous ces travaux sa note personnelle.
C'est ce qui le décide dès 1999 à vouloir partager cette connaissance par des conférences, des ateliers de
travail et des stages de Psycho-Généalogie.
La réponse est dans la nature. L'observation du monde vivant montre bien que tout arrive sans hasard.
Les stages proposés sont une progression régulière vers la connaissance. Au fil des séminaires, les clés
vous seront transmises pour gérer votre capital santé, apprendre à mieux vous connaître, mettre en place
votre propre projet de vie.
Comprendre le SENS de la maladie.
La maladie (ce que le « mal-a-dit ») ne serait que la solution la plus économique de notre cerveau pour
résoudre les conflits psychologiques qui nous submergent.
Les conflits psychologiques de nos parents et ancêtres s'inscriraient en nous et se révéleraient, sous certaines conditions, sous forme de maladies organiques.
Le cerveau, d'une précision d'ordinateur, ne laisse rien au hasard, et trouve pour nous des solutions.
Cette approche biologique, globale et profonde, permet de reconnaître les véritables mécanismes de la
santé et de la maladie.
Toute chose a un Sens parce qu'elle a été créée. Elle est née d'un Projet. Tout le monde vivant est issu d'un
projet. Il en est ainsi de la maladie et de sa guérison.
La Connaissance nous libère de la peur par la prise de conscience.
L'Amour guérit par la transformation de soi et l'évolution de notre niveau de conscience.
« Plus je sais, moins je sais. L'essentiel est
de ne jamais cesser de chercher. »
(Albert Einstein)
INFORMATION
Jean-Claude FAJEAU a cessé son activité en France (juin 2012). Il sera toutefois
présent de temps à autre sur invitation pour animer des conférences ou des ateliers.
Pour être informés des activités de J-C Fajeau en France, contactez directement
son bureau en Suisse par mail : [email protected] ou par téléphone :
0041 78 758 57 49
Conférences
Conférence d'information générale
La déprogrammation du « Mal-a-dit ».
Le sens de la Guérison.
Lausanne le mardi 13 septembre 2016 à 19h30
Chemin de Renou 2 – Lausanne
Renseignements : Maria NIETO – Tél. : 079 223 75 60
Bienne le jeudi 22 septembre 2016 à 19h30
Restaurant Romand – Chemin du Parc 10 - Bienne.
Renseignements : Jean-Claude FAJEAU – Tél. : 078 758 57 49
Moutier le jeudi 15 septembre 2016 à 19h30
Restaurant de la Gare – Moutier
Renseignements : Valérie Jeanguenin – Tél. : 079 646 45 72
Yverdon le mardi 20 septembre 2016 à 19h30
Rive-Gauche - Maison des Associations – Quai de la Thièle 3
Renseignements : Jean-Claude Fajeau – Tél. : 078 758 57 49
Carouge (Genève) le lundi 19 septembre 2016 à 19h30
12 rue de la Tambourine - Carouge
Renseignements : Franziska Gudel – Tél. : 079 474 45 78
Conférences à thèmes
Bienne : Restaurant Romand – Chemin du parc 10
Jeudi 10 novembre 2016 à 19h30 : « La peur, poison émotionnel »
Jeudi 8 décembre 2016 à 19h30 : « Le sens du Mal-a-dit »
Jeudi 12 janvier 2017 à 19h30 : « L’histoire de naissance (Projet/Sens) »
Jeudi 9 février 2017 à 19h30 : « Mémoires cellulaires, cycles biologiques »
Moutier : Restaurant de la Gare
Mercredi 9 novembre 2016 à 19h30 : « La peur, poison émotionnel »
Mercredi 7 décembre 2016 à 19h30 : « Le sens du Mal-a-dit »
Mercredi 11 janvier 2017 à 19h30 : « L’histoire de naissance (Projet/Sens) »
Vendredi 10 février 2017 à 19h30 : « Mémoires cellulaires, cycles biologiques »
Lausanne : Chemin de Renou 2
Mardi 15 novembre 2016 à 19h30 : « L’histoire de naissance (Projet/Sens) »
Yverdon : Rive-Gauche - Maison des Associations – Quai de la Thièle 3
Mardi 8 novembre 2016 à 19h30 : « La peur, poison émotionnel »
Mardi 10 janvier 2017 à 19h30 : « L’histoire de naissance (Projet/Sens) »
Carouge (Ge) : 12 rue de la Tambourine
Mercredi 2 novembre 2016 à 19h30 : « La peur, poison émotionnel »
Mercredi 4 janvier 2017 à 19h30 : « L’histoire de naissance (Projet/Sens) »
La fibromyalgie
Yverdon : mardi 7 mars 2017 à 19h30
Bienne : jeudi 9 mars 2017 à 19h30
Moutier : mercredi 8 mars 2017 à 19h30
Carouge : 2017 à 19h30
La diététique biologique – Problèmes de poids
Yverdon : mardi 11 avril 2017 à 19h30
Bienne : jeudi 13 avril 2017 à 19h30
Moutier : mercredi 12 avril 2017 à 19h30
Carouge : 2017 à 19h30
La guérison intérieure
La guérison intérieure, la fin d’un deuil.
Yverdon : mardi 9 mai 2017 à 19h30
Moutier : mercredi 10 mai 2017 à 19h30
Bienne : jeudi 11 mai 2017 à 19h30
Carouge : 2017 à 19h30
Guérir, un acte d’Amour.
Yverdon : mardi 13 juin 2017 à 19h30
Bienne : jeudi 15 juin 2017 à 19h30
Moutier : mercredi 14 juin 2017 à 19h30
Carouge : 2017 à 19h30
Les conférences à thème auront lieu sur
inscription préalable 8 à 10 jours avant.
L’entrée aux conférences à thème est libre.
Collecte de participation à la fin
des conférences.
Pour tous renseignements sur les dates, les
lieux et les horaires, les mises à jour du programme sont sur le site Internet :
www.centrephilae.com
Une conférence à l’Université Populaire de Porrentruy :
Le mercredi 1° mars 2017 : Thème : « L’histoire de naissance (Projet/Sens) »
Inscription : Mme Hanneke Aalbers –
Tél. : +41 32 466 61 67 - portable +41 79 446 95 84
E-mail : [email protected]
Une conférence à l’Université Populaire de Neuchâtel :
Le jeudi 29 septembre 2016 : Thème : La psycho-Généalogie – Etude de l’arbre.
Inscription : M. André Feller – Tél. : +41 32 725 50 40
E-mail : [email protected]
Ateliers
Chemin de Vie, Chemin de Guérison
Les ateliers s’adressent à toute personne désireuse de comprendre les causes et
les origines de son mal-être, de ses échecs, de ses maladies.
Ils permettent de répondre de façon appropriée aux questions existentielles et de retrouver la joie de vivre.
« Le chemin de Guérison » permet de revenir sur le chemin de Vie, progression vers
la Connaissance de soi, la Liberté, l’Amour et la Sagesse.
Lieux et dates :
Yverdon : 5&6/11/2016 – 10&11/12/2016 – 7&8/01/2017 – 11&12/02/2017 –
4&5/03/2017 – 8&9/04/2017 – 13&14 05/2017 – 10&11/06/2017
Renseignements : Jean-Claude FAJEAU
Tarif (hors hébergement) : 450.-chf l’atelier par personne.
Redoublants, étudiants et personnes au chômage (sur justificatif) : 360.-chf.
Arrhes : 200.-chf à régler à l’inscription.
Toute annulation moins de 14 jours avant la date de l’atelier ne donne pas droit à la restitution des arrhes.
Bruxelles : 4 ateliers de 4 jours :
Du 6 au 9 octobre 2016 – du 1° au 4 décembre 2016 – du 2 au 5 février 2017 – du 30
mars au 2 avril 2017.
Pour tous renseignements et les inscriptions, voir avec le secrétariat de NéoSanté :
Ann Biatour : mail : [email protected] / 0032-(0)2-345-04-78
Ateliers pratiques
Complément indispensable aux ateliers de bases, les ateliers pratiques représentent la déprogrammation des conflits à travers l’histoire de naissance et la généalogie,
étape essentielle pour retrouver le Chemin de Vie, via le Chemin de la Guérison.
Déprogrammation du Projet-Sens et Généalogie (3 jours)
Comprendre ce que la mémoire généalogique et l’histoire de naissance
a programmé en chacun permet de faire la paix avec soi,
de cesser de vivre une lutte intérieure, et d’être en harmonie avec soi-même.
Ce travail intensif en ateliers de groupes permet de
lever les derniers barrages à la prise de conscience
grâce à un passage par l’émotionnel.
Lieu et date : Yverdon - Du 11 au 13 novembre 2016
Tarif (hors hébergement) : 150.-chf par jour - Maximum 8 personnes.
Arrhes : 150.-chf à régler à l’inscription.
Toute annulation moins de 14 jours avant la date de l’atelier ne donne pas droit à la restitution des arrhes.
Déprogrammation des problèmes de poids (3 jours)
Comprendre ce que la mémoire généalogique et l’histoire de naissance
a programmé en termes biologiques de survie permet de faire le deuil du ressenti
d’abandon, conflit émotionnel majeur.
C’est ce ressenti qui conduit aux problèmes de poids (surpoids comme maigreur).
Lieu et date : Yverdon : du 23 au 25 septembre 2016 / du 13 au 15 janvier 2017.
Tarif (hors hébergement) : 150.-chf par jour - Maximum 8 personnes.
Arrhes : 150.-chf à régler à l’inscription.
Toute annulation moins de 14 jours avant la date de l’atelier ne donne pas droit à la restitution des arrhes.
Stages de perfectionnement
et de déprogrammation
Ces ateliers de perfectionnement vous proposent d'aller plus loin
dans la compréhension de la Psycho-Somatologie.
Ce décodage plus fin vous amènera à des prises de conscience en conscience,
seule façon de positiver les cassettes biologiques transmises par vos ancêtres.
Symbolisme du corps humain.
Os - Articulations - Muscles (3 jours)
D'un point de vue purement biologique, l'être vivant n'est que l'expression
de la matérialisation de multiples univers symboliques qui s'expriment
dans chaque pièce osseuse, chaque cellule qui le compose.
Le décodage symbolique du corps humain sera vu à travers
les pathologies osseuses, articulaires et musculaires.
Lieu : A définir
Date : A définir en 2017
Tarif 2016 (hors hébergement) : 150.-chf par jour
Arrhes : 150.-chf à régler à l’inscription.
Toute annulation moins de 14 jours avant la date de l’atelier ne donne pas droit à la restitution des arrhes.
L’enregistrement des ateliers est libre, la personne s’engage à ne pas diffuser les enregistrements.
Symbolisme du corps humain.
Pathologies digestives (3 jours)
Cet atelier à la fois théorique et pratique passe en revue le système digestif
avec une interprétation psycho-somatique des pathologies.
Lieu : A définir
Date : A définir en 2017
Tarif 2015/2016 (hors hébergement) : 150.-chf par jour
Arrhes : 150.-chf à régler à l’inscription.
Toute annulation moins de 14 jours avant la date de l’atelier ne donne pas droit à la restitution des arrhes.
L’enregistrement des ateliers est libre, la personne s’engage à ne pas diffuser les enregistrements.
Journées de perfectionnement
Ces ateliers de perfectionnement sont réservés aux personnes ayant déjà effectué
les ateliers de base en Psycho-Somato-Généalogie.
Bienne ou Yverdon : Dates : 3/10/2016 – 7/11/16 – 12/12/16 – 9/01/2017 – 13/02/17 –
6/03/17 – 10/04/17 – 15/05/17 – 12/06/17
Renseignements : Jean-Claude FAJEAU
Tarif : 150.-chf
Lieu et horaires : Bienne ou Yverdon de 14h à 18h
Renseignements
Jean-Claude et Corinne FAJEAU
Rue de Boujean 34
2502 BIENNE
Tél. : (+41)-(0)78 758 57 49
E-mail : [email protected]
Site Internet : www.centrephilae.com
INFORMATION
Jean-Claude FAJEAU a cessé son activité en France (juin 2012). Il sera toutefois
présent de temps à autre sur invitation pour animer des conférences ou des ateliers.
Pour être informés des activités de J-C Fajeau en France, contactez directement
son bureau en Suisse par mail : [email protected] ou par téléphone :
0041 78 758 57 49
Livres déjà parus :
La maladie, un deuil inachevé.
Guérir, un acte d’Amour.
Chemin de Vie, Chemin de Guérison
Le malade face à la maladie.
La diététique biologique.
Pathologies ostéo-articulaires et musculaires
Pathologies digestives – Interprétation psychosomatique
Pathologies urinaires et gynécologiques
En préparation :
Les pathologies neurologiques (2016)
Les pathologies dermatologiques (2016)
Les pathologies cardio-vasculaires (2016)
Dernière de couverture des prochains livres à paraître en novembre 2016.
Interprétation psychosomatique des pathologies dermatologiques.
Les pathologies dermatologiques sont très fréquentes, le plus souvent totalement anodines. Toutefois, elles sont mal perçues par les malades, car
elles sont visibles, inesthétiques, voire invalidantes pour certaines.
Les traitements sont le plus souvent symptomatiques, c'est-à-dire qu’ils
permettent peu de guérisons.
Par contre, en s’intéressant au malade comme une entité à part entière,
comme le permet la Psycho-Somato-Généalogie, des guérisons parfois spectaculaires et définitives sont possibles.
Le corps étant l’exutoire des conflits biologiques « animaux » que vivent
les humains, il faut comprendre l’intérêt de la maladie, que permet-elle de
comprendre de soi-même et de son histoire généalogique ?
Interprétation psychosomatique des pathologies neurologiques.
Les pathologies neurologiques sont très fréquentes, et probablement les
moins bien comprises en médecine.
En effet, l’exploration du cerveau est relativement récente, et malgré les
grands progrès de la technologie pour le sonder, il reste bien des difficultés diagnostiques, mais surtout thérapeutiques.
Dans ce livre sur les pathologies neurologiques, je n’aborderai pas les maladies psychiatriques qui feront l’objet d’un livre à lui tout seul, tant le sujet
est complexe.
Les maladies neurologiques font peur, car tout ce qui touche le cerveau a
gardé une connotation péjorative. D’autant que les séquelles sont fréquentes. Les diagnostics continuent à effrayer la population, et pourtant,
des solutions existent pour changer la situation catastrophique à laquelle
sont confrontés les malades. Avec beaucoup de souffrances inutiles.
Si l’on s’intéresse au malade comme une entité à part entière et pas seulement comme un organe, des guérisons parfois spectaculaires et définitives
sont possibles.
Le corps étant l’exutoire des conflits biologiques « animaux » que vivent
les humains, il faut comprendre l’intérêt de la maladie, que permet-elle de
comprendre de soi-même et de son histoire généalogique ?
Témoignages
Je m'appelle Gisèle. J'ai 70 ans l'été 2015 et 22 ans de polyarthrite rhumatoïde (PR)
lorsque je découvre chez une amie la revue Néosanté et les articles du Dr Fajeau. Je n'ai
jamais entendu parler des causes des maladies de cette façon. Je reçois ces informations
comme une évidence: cette thérapie est faite pour moi. D'ailleurs, à cette période, je commence à oublier de prendre les médicaments. Mon cerveau n'en veut plus car les traitements sont de plus en plus lourds. Je lis deux livres du Dr Fajeau. Cela résonne en moi. Je
prends rendez-vous, transmets par e-mail mon arbre généalogique et fin octobre commence
la première séance de travail. J'apprends que la PR est l'aboutissement d'un conflit de
direction, le conflit du mouton. Rester ou partir? Chez les animaux, la brebis égarée
meurt vite. Chez les humains, le cerveau envoie une maladie pour bloquer le mouvement,
blocage et destructions des articulations: pour moi, les cervicales d'abord, puis les épaules,
les pieds et chevilles, les poignets et les doigts, les genoux, et enfin les mains, la droite
surtout.
Le Dr Fajeau recherche d'abord le conflit déclenchant. 8 mois avant les premiers symptômes, j'ai une grosse panique lorsque, au cours d'une randonnée, je dois traverser un ruisselet car j'ai la phobie de l'eau, mon cerveau disjoncte, je ressens une très grande fatigue,
j'ai l'impression de commencer une dépression, je ne parle plus.... Puis tout ça s'enfouit
dans l'inconscient et j'oublie cet épisode. Panique renouvelée 8 mois plus tard lorsque, au
cours d'un voyage en Chine, je traverse un long pont suspendu: agrippée au bras de mon
mari, je parle sans arrêt tout au long de la traversée et je n'ai jamais eu aucun souvenir de
ce que j'ai dit. Les premiers symptômes de la maladie se déclarent lors du voyage de retour
de Chine.
Il faut chercher ensuite le conflit programmant, dans l'enfance. J'avais 2 ans lorsque,
allant à pied sur un sentier avec mes parents, j'ai refusé de passer le long d'une mare. Ma
mère a dû me porter et j'ai tourné la tête du côté opposé à la mare. Attention: eau = danger. Je sais que ma mère a eu, elle-même, une très grosse panique le jour où elle a retrouvé
ma sœur aînée, âgée d'à peine 2 ans, debout dans la vase au fond d'une mare.
Le Dr Fajeau me guide pour chercher, dans ma généalogie, qui a été dans une situation
réellement dangereuse avec risque de noyade. J'ai pris conscience que c'est mon grand-père
maternel qui a été en danger quand, très jeune, il a quitté son village natal de Turquie
pour se rendre par bateau à Constantinople puis en Bulgarie, en traversant la Mer de
Marmara où il peut y avoir des tempêtes redoutables. Mon cerveau a alors compris que
c'est stupide de croire qu'on peut se noyer dans une flaque d'eau. J'en ai beaucoup ri.
Le conflit de direction est très présent dans ma généalogie. Ma mère, arménienne de Bulgarie,
voulait être religieuse mais s'est mariée à Sofia avec mon père français, parti travailler à
l'étranger où, en tant que handicapé, il est mieux reconnu que dans son propre pays. La traversée de l'Europe par mes parents, en train, en temps de guerre en 1944, jusqu'au village natal de
mon père, dans la France profonde, fut pour ma mère un très grand conflit de direction qui la
conduisit dans une impasse où elle fut prisonnière, totalement coupée de sa famille et sans
espoir de retour (et ce voyage se trouve dans mon histoire de naissance). Conflit accompagné
pour elle d'une très grande dévalorisation, de par ses origines. Ma famille paternelle, très sédentaire, accueillit fort mal une étrangère. Dévalorisation accentuée encore car ma mère n'était
même pas capable de donner un garçon à mon père. Ce conflit de direction et cette grande dévalorisation se retrouvent chez ma grand-mère maternelle, contrainte par son père à un mariage arrangé avec mon grand-père. De même pour mon grand-père maternel, obligé de fuir la
Turquie, s'engageant dans l'armée bulgare contre les Turcs, pour s'intégrer dans son nouveau
pays, la Bulgarie, au risque de trahir son peuple. Toute sa vie, mon grand-père a émigré d'un
pays à un autre avec femme et enfants, à la recherche d'un pays accueillant où la vie serait
plus facile pour ces apatrides. Dans ma famille, on survit quand on se déplace. J'ai moi-même
beaucoup voyagé à travers le monde et toujours en respectant la loyauté familiale: on voyage
par besoin, non par plaisir. C'est en Chine où j'ai trahi cette loyauté (voyage d'agrément) que se
sont déclarés mes problèmes de santé. Cette dévalorisation, conséquence d'actes, d'engagements
signés à regret, se retrouve dans le conflit de la PR, conflit de dévalorisation par le geste, et
dans mes doigts les plus abîmés de la main droite.
C'est dans la période du Projet-Sens que m'ont été programmées peurs et dévalorisation. En
effet, voyant sa fille au fond de la mare, la frayeur de ma mère fut si grande de perdre son enfant qu'elle voulut avoir un deuxième enfant, moi. J'ai été conçue pour remplacer ma sœur au
cas où "il lui arriverait quelque chose". Et pour la PR, comme pour toutes les maladies autoimmunes, la vie est au conditionnel. Mais une fois la grossesse confirmée, cela n'empêcha pas
ma mère d'avoir l'intention d'avorter, comprenant bien qu'avec deux enfants en bas-âge s'envolaient définitivement ses possibilités de retourner auprès des siens. Et moi devenue adulte, j'ai
fait une IVG et n'ai pas eu d'enfant. D'ailleurs, dans ma généalogie, nombreux sont les
fausses couches, les enfants mort-nés ou morts en bas-âge. Pour mon père, le projet était
d'avoir un garçon. Il fut si déçu d'avoir une fille qu'il ne me regarda pas pendant plusieurs
jours.
Cette analyse de mon histoire de naissance, de ma généalogie m'a fait prendre conscience des
peurs, des conflits et dévalorisation qui m'ont été transmis de génération en génération: prises
de conscience réalisées à travers des "crises" de larmes assez éprouvantes, qui se sont terminées
dans un état d'exaltation, comme une révélation, une illumination transmises par mon cerveau, me permettant d'embrasser toute mon histoire, lumineuse, apaisée. Je m'en suis trouvée
allégée, en paix avec moi-même, réconciliée avec mon père, gaie, ne cessant de rire (Gai-Rire),
heureuse sans motif particulier si ce n'est de me sentir bien "dans mon intérieur".
Je m'appelle Gigi. J'ai 71 ans l'été 2016 et je reviens d'un voyage en Bulgarie. Je viens de
faire, seule, en train, le voyage de retour à Sofia que ma mère n'a pas réussi à faire. Et moi, j'ai
réussi, tout comme je suis en train de réussir à guérir. J'ai arrêté les médicaments avec l'accord
du rhumatologue. J'apprends le bulgare. Je n'ai plus la phobie de l'eau et je suis inscrite à un
cours de natation. J'ai rejoint une association dans le but d'aider les réfugiés. Je m'autorise
enfin à voyager pour mon plaisir.
Un très grand merci à toi, Jean-Claude, de m'avoir guidée sur ce chemin qui m'a rendu la vie.
Le 15/09/2016.
Alors que je souffrais de fibromyalgie sévère devenant de plus en plus handicapante, j’ai
consulté plusieurs médecins. Tous m’ont affirmé que cette maladie était incurable et que personne ne savait d’où elle venait. Par contre, tous les traitements dits «de confort » - pour ce
cas - étaient très lourds (anti-inflammatoires, antidouleurs, antidépresseurs !!, etc.) et qui
plus est ne traitaient pas la fibromyalgie, puisque la médecine la déclare incurable. Seules les
contre-indications de ces médicaments agissaient de façon impitoyable. Après plusieurs années passées à végéter dans cet état, une question commençait alors à me trotter en boucle
dans la tête : « comment peut-on prescrire des cocktails de médicaments tous plus impuissants les-uns que les-autres alors que la maladie est incurable ? » J’avais le sentiment d’être
un cobaye. Un jour, n’y pouvant plus, ma vie sociale ayant atteint le degré zéro, de même
que toutes mes activités, aussi simples soient-elles, ayant été condamnée à rester en friche
par mes douleurs qui me clouaient au lit ou à la maison, je pris la décision de m’en sortir. Je
fis alors mes propres recherches sur les moyens auxquels je pourrais recourir pour guérir de ma
fibromyalgie (il est vrai, je suis têtue). Bien m’en a pris, car je découvris une science que je ne
connaissais pas : la psycho-bio-généalogie. J’ai alors pu rencontrer le Dr Fajeau avec qui je
pus entamer un travail en profondeur dans cette science. Et là, enfin, je vis la fin du tunnel.
Je pus enfin comprendre ce qui m’arrivait et GUERIR - oui, guérir - de ce mal soi-disant
incurable.
Enfin, je peux décider de faire des projets quand je veux, m’engager dans la société, et vaquer à mes occupations normalement. En un mot, je peux enfin prendre responsabilité de ma
vie, tout cela n’ayant plus été possible lorsque j’étais en proie à la fibromyalgie.
Merci Dr Fajeau, je vous dois la vie.
B.F.
Je m’appelle Karine et j’ai 46 ans.
Cela fait près de 5 ans que je connais Jean-Claude et son approche du décodage et de la déprogrammation des maladies. Il connait mon histoire et ma généalogie par cœur comme il en
connaît bien d’autres.
Le 8 septembre 2014, n’y tenant plus, je me décide enfin de prendre « en main » mon coude
qui me fait souffrir depuis le mois de juillet.
J’ai une grosse boule de la taille d’une bille sur l’articulation extérieure de mon coude droit.
Chaque mouvement est douloureux et je dois de plus en plus me servir du bras gauche, ce qui
ne m’avantage pas puisque je suis droitière. Je n’arrive plus à soulever un pot plein d’eau par
exemple ou porter une casserole, bref j’ai très mal.
Le médecin que je croise sur un chantier lors de rénovation dans son cabinet (je travaille avec
mon conjoint menuisier), me dit qu’il faut quelques semaines, voire des mois de repos et
mettre du froid et prendre des anti-inflammatoires si besoin...!
Je suis active et j’arrive difficilement à rester sans rien faire puisque c’est mon conflit donc...
Avec l’aide de Jean-Claude par e-mail, je fais ma fiche.
Le conflit de l’épicondylite est la dévalorisation dans la volonté du travail (retenir ou ne pas
lâcher le morceau).
Je reprends le drame de ma généalogie. Une grand-tante du côté paternel s’est fait tuer d’un
coup de fusil, par son beau-frère simplet qui lui reprochait de ne pas être venue l’aider au
travail ce matin-là.
Malgré toute la bonne volonté qu’elle mettait au travail chaque jour. En reprenant l’histoire
de cette femme, il est évident qu’elle aurait préféré tout lâcher mais qu’elle tenait bon pour
ses 2 enfants. Cela a engendré de nombreuses peurs. Mais celle qui nous intéresse pour
l’épicondylite c’est celle qui a fondé la loyauté suivante : on survit dans cette famille lorsqu’on travaille beaucoup sans se relâcher même si c’est pénible car il y a danger de ne pas se
soumettre au chef en prenant du bon temps.
Au fil de ma fiche je prends conscience que les évènements vécu dans cette famille ont formaté ma vie. Et en revivant leurs histoires, je ressens au plus profond de moi-même leurs angoisses, leur tristesse, leur terreur...Je pleure et vis de grandes émotions.
Par exemple, pour mes parents lorsque j’étais en voie de conception, cette loyauté à respecter
qui a fait que je naisse, était pour ma mère de travailler péniblement dans les tâches innombrables qu’incombe une vie à la campagne avec une grande volonté malgré sa grossesse et ses
2 autres enfants, sachant qu’avant moi il y avait eu un avortement. On se rend bien compte
que cette nouvelle grossesse est plutôt involontaire...mais elle travaille sans relâche dans la
soumission au mâle. Mon père travaille sans relâche pour subvenir aux besoins de la famille,
cela lui permet ainsi de lâcher un peu son tempérament jaloux.
Mon conflit programmant se situe vers l’âge de 5 ans, alors que nous jouons à cache-cache
avec d’autres enfants. C’est à mon tour de compter et je guigne pour avoir plus de facilité à
les trouver. Je monte sur une échelle et en redescendant je manque un échelon et je lâche tout,
sans pouvoir me retenir, et je suis tombée sur la tête, inconsciente. Diagnostic : fracture du
crâne.
Mon conflit déclenchant, cet été 2014 je brosse des poutres, en étant perchée sur un échafaudage un peu instable. Je tiens une perceuse munie d’une brosse rotative assez lourde et je dois
la retenir sans la lâcher car elle a plus de force que moi et si je vais à contre-sens elle
m’emporte et je risque de tomber. Ce travail me fait parfois peur et je préfèrerais avoir du bon
temps.
Grâce aux liens que j’ai faits entre ces évènements, la prise de conscience de cette loyauté m’a
aidé à déprogrammer ce comportement de soumission que je croyais devoir à mon conjoint ou à
un autre chef.
Et par Amour pour moi-même, je romps cette loyauté fondée sur la peur. Je m’autorise donc à
lâcher prise au travail si j’en ai envie, je ne me force plus à faire des travaux pénibles pour
plaire au chef, je me respecte ainsi que mes limites et suis respectée en retour. D’ailleurs dès
que j’ai mis en pratique cette nouvelle attitude, j’ai eu bien sûr des tests de mon cerveau, mais
aussi des synchronicités, telles que des personnes qui entrent dans l’atelier de menuiserie au
moment où j’ai un objet lourd à déplacer, ou une proposition d’aide spontanée d’une tierce
personne. J’ose même prendre du bon temps tout en sachant que mon conjoint a des travaux en
cours ou en attentes jusqu’en 2020... (Ça c’est son conflit, atomes crochus). Et je ne ressens
aucune culpabilité. C’est comme un poids qui est tombé, je me sens si légère, la joie et la bonne
humeur sont permanentes et je vous promets que je n’embellis pas le tableau. La liberté m’est
apparue comme une évidence que je ne soupçonnais même pas. Je me traitais vraiment comme
une esclave !!!
Ainsi après avoir vraiment changé de comportement envers le travail et en ayant un nouveau
projet pour une nouvelle activité prévue en 2016. Depuis fin octobre 2014, je ne ressens plus
aucune douleur dans mon coude, je peux à nouveau porter des choses à bout de bras et beaucoup d’autres tensions ont aussi disparus. Je me sens en parfaite harmonie avec ce que je vis,
la paix est revenue dans mon cœur. Je suis dans l’Amour avec moi-même et ça fait un bien
énorme.
Merci à toi cher Jean-Claude pour tes enseignements, et merci à toi mon corps pour cette merveilleuse collaboration avec mon cerveau, qui ensemble forment un Tout très puissant.
Karine, déc. 2014.
« Je suis comblé d’avoir pu participer
aux stages de bases de Biologie totale/
Psycho-Bio-Généalogie.
J’ai la certitude absolue du bien-fondé
de tout ce que j’ai entendu.
C’est l’enseignement que j’ai le plus
aimé de ma vie (et dieu sait si j’en ai
suivi) » !
B.G.
« J’ai eu mon intervention du mélanome. Ce qui est intéressant, c’est
que le mélanome avait considérablement diminué de volume depuis
ma consultation avec vous. Un
grand merci ».
E.O.
« Grâce à cette extraordinaire thérapie, je commence à comprendre
ce qui s’est passé, mon mal être, etc.
La Psycho-Bio-Généalogie est un outil de travail fantastique qui
permet de prendre conscience du rôle de chacun. Je me sens libérée
malgré le choc des révélations ».
A.S.
A propos des livres de Jean-Claude FAJEAU
« La maladie, un deuil inachevé »
Sans renier les progrès de la médecine moderne, l’auteur nous propose dans ce
livre un retour aux sources. L’étude et la connaissance des lois Biologiques permettent
d’éclairer d’un jour nouveau ce qu’avait déjà écrit, il y a près d’un siècle, le Docteur
Georg Groddeck.
L’approche des véritables causes de la maladie sous cet angle novateur de la Psycho-Bio-Généalogie est une évolution naturelle de la recherche pour une meilleure compréhension du sens de la vie.
La transmission trans-générationnelle des conflits, source des maladies est dans
l’inconscient familial. L’importance de l’inconscient dans le déclenchement du « Mal-adit » devient une évidence.
L’auteur nous montre le cheminement qui conduit une personne vivant un choc conflictuel à une maladie à travers son enfance, sa naissance et le drame généalogique chez
un de ses ancêtres.
Toute maladie est ainsi le résultat d’un deuil inachevé, en relation avec un
drame survenu dans les générations précédentes.
« Guérir, un acte d’Amour »
Après son premier livre, consacré au deuil de la maladie (« La maladie, un deuil
inachevé »), dans lequel Jean-Claude FAJEAU résume les lois de la Biologie qui conduisent à la maladie, il aborde dans ce second livre la guérison.
A partir de son expérience personnelle, l’auteur nous conduit à travers la Biologie,
vers le retour à un équilibre, à un bien-être psychologique.
La transmission trans-générationnelle des conflits, source des maladies, étant
dans l’inconscient familial, comment faire le deuil de la maladie ?
Il est impératif pour « gai-rire » de faire tous les deuils et de retrouver l’Amour
inconditionnel de soi.
Cet Amour existe, il est parfois enfoui très loin. A chacun de faire ses prises de
conscience pour le faire émerger et le ressentir.
Toute maladie étant le résultat d’un deuil inachevé, en relation avec un drame
survenu dans les générations précédentes, la guérison est toujours le résultat de
l’Amour retrouvé ».
« Chemin de Vie, Chemin de Guérison »
Depuis sa plus jeune enfance, l’auteur cherche à comprendre le « pourquoi » des
choses. De santé fragile, il voudrait comprendre pourquoi les gens sont malades. Et
pourquoi certains malades meurent et d’autres non. Cela va le mener tout naturellement à réaliser son rêve : devenir « docteur ».
Jeune diplômé, médecin généraliste, il est très vite insatisfait de la pratique médicale
enseignée qui ne répond pas à ses questions. Il s’oriente alors vers les médecines alternatives beaucoup plus proches du malade.
La soif de Connaissance le pousse à poursuivre ses recherches car il y a encore
trop de non réponses.
Plusieurs rencontres vont provoquer un tournant décisif et l’entraîner sur le Chemin.
C’est enfin la compréhension que la maladie est liée à une transmission transgénérationnelle de conflits. Ce sont les conflits enfouis dans l’inconscient familial qui
sont la réelle source de tous les maux de l’individu, mais aussi de tous les malheurs de
l’humanité.
Toute maladie est donc le résultat d’un deuil inachevé. Cette constatation étant faite,
comment faire pour faire ce deuil et « gai-rire » ? Le comment ne suffit pas, c’est le
pourquoi qui permet de retrouver le Chemin.
Il s’agit de retrouver l’Amour inconditionnel de soi. Et pour cela, développer la
Connaissance qui seule permet la Liberté et l’Amour afin d’arriver à la Sagesse.
Tout cela nécessite un grand changement, un vrai chambardement dans la vie un peu
trop routinière des humains, avec toutes les peurs héritées de nos ancêtres, y compris animaux !
Voilà le Chemin de Guérison qui ramène sur le Chemin de Vie.
« La diététique biologique »
Dans le monde entier, pas seulement occidental, l'obésité est devenue
un problème de santé publique.
Pourtant, il y a de nombreuses personnes, à travers la planète, qui souffre
de malnutrition et vivent au-dessous du seuil d’extrême pauvreté.
Le surpoids n’est donc pas lié uniquement à une alimentation pléthorique. Il y a aussi les conflits biologiques, comme l’auteur l’a déjà montré
dans son précédent livre, « La maladie, un deuil inachevé ».
Pour toute maladie, il existe un conflit et il convient avant toute chose
de solutionner ce conflit. La diététique est un appoint non négligeable pour
le retour à la santé, mais ne peut en aucun cas guérir une quelconque maladie.
L’auteur propose une alimentation logique, « bio-logique », fondée sur
les lois de la Biologie Totale.
« Le malade face à la maladie »
« Le profil psychologique du malade »
Après s’être intéressé au processus biologique du « Mal-a-dit », puis à
la guérison par le retour à l’Amour de soi, véritable renaissance, l’auteur
nous entraîne dans l’intimité du malade.
L’individu confronté à la maladie doit être traité comme une entité,
avec humanité, en l’aidant à retrouver son axe, son centre, afin qu’il se
prenne en charge.
Fragile, vulnérable, stressé, dépressif, en proie au doute, le malade est un
être singulier, différent de l’individu prétendument en bonne santé.
La personne malade est malade de la société, de son clan, et, au final, de
sa propre croyance que l’amour ne peut venir que de l’extérieur.
L’auteur nous montre que même si chaque individu est unique, il existe un
ressenti commun pour chaque groupe de maladies.
Après avoir passé de nombreuses années à l’écoute de malades, à la recherche d’un moyen de mieux accompagner ces personnes si fragiles, mais
ô combien attachantes, l’auteur nous livre le fruit de ce travail.
Pathologies ostéo-articulaires et musculaires
Interprétation psychosomatique
Face à chaque lésion, qu’elle soit d’origine traumatique ou « dégénérative », la question importante à se poser, si l’on veut éviter les récidives
et véritablement guérir, est : pourquoi cela m’arrive-t-il maintenant et à
cet endroit-là ?
En l’absence de ce questionnement et de la réponse adaptée, l’individu
ne parviendra au mieux qu’à une rémission.
Le corps est l’exutoire des conflits biologiques « animaux » que vivent
les humains. Pour vivre en bonne santé, en pleine condition physique, il
convient d’avoir pris de la distance par rapport aux peurs. Et avoir une
bonne hygiène corporelle grâce à une activité physique et une saine alimentation.
Pour chaque partie du squelette, il faut comprendre l’intérêt de la lésion, que permet-elle de comprendre de soi-même et de son histoire généalogique ?
Pathologies digestives
Interprétation psychosomatique
Les pathologies digestives sont parmi les plus fréquentes dans la population, et ceci quel que soit l’âge.
Les explications les plus saugrenues, et pourtant reconnues et cautionnées,
par exemple sur les allergies ou les intolérances, sont le plus souvent avancées. Et bien évidemment avec de bien maigres résultats thérapeutiques.
Et beaucoup de souffrances inutiles.
Il y a pourtant matière à réflexion scientifique sur le sujet pour les chercheurs. Si l’on s’intéresse au malade comme une entité à part entière et pas
seulement comme un organe, les explications concernant les nombreux
troubles digestifs deviennent tellement évidentes. Avec des guérisons parfois spectaculaires et souvent définitives.
Le corps étant l’exutoire des conflits biologiques « animaux » que vivent les
humains, il faut comprendre l’intérêt de la lésion, que permet-elle de comprendre de soi-même et de son histoire généalogique ?
Pathologies urinaires et gynécologiques.
Interprétation psychosomatique.
Les pathologies urinaires et gynécologiques font partie des maladies les
plus répandues, notamment par la fréquence des cancers du sein chez la
femme et de la prostate chez l’homme.
Les statistiques les plus alarmantes en matière de cancers continuent à effrayer la population, et pourtant, des solutions existent pour changer la situation catastrophique à laquelle sont confrontés les malades. Avec beaucoup de
souffrances inutiles.
Il y a matière à réflexion scientifique sur le sujet pour les chercheurs.
Si l’on s’intéresse au malade comme une entité à part entière et pas seulement
comme un organe, les explications concernant les nombreuses maladies urinaires et gynécologiques deviennent tellement évidentes. Avec des guérisons
parfois spectaculaires et définitives.
Le corps étant l’exutoire des conflits biologiques « animaux » que vivent les
humains, il faut comprendre l’intérêt de la maladie, que permet-elle de comprendre de soi-même et de son histoire généalogique ?