Retrouvailles et émotion - Recherchez vos ANCETRES SUISSES

À sonerus
PYTHoUD
DES
cousrNADE
etémotion
Retrouvailles
plus de 130 descendantsd'A.ugustePythoud se sont téunis dimanche à sorens, dans
leur village d'origine. L'occasion de se découvrir des cousins dans toute la Suisse,mais
aussi dans le sud de la France et aux Etats-Unis.
.o
d'émotion.Lesanecdotes'
Lesretrouvaillêsde la grandefamllledAugustePythoudont suscltébeaucoup
leschantset le sond'unevieilleclochede la familleont animéI'après-mldi
I'ancêtr€xom.Errn
avait encore des Pythoud qui
vivaient là), explique lean-Michel
Triat-Laval. Ils se sônt ainsi retrouvés devaat la ferme familiale de La
Combaz. *En discutant, on s'est
'oo était
lt pffectiveeltectlve-
on est proches cousines>, relève
I u n e d Ë l l e s e n r i g o l a n t .E J l e sf a i sajeol partie des quelque 130 descendaots d Aususie hrtloud, réunis dimanche é Sorens, leur lieu
d'origine.
Cette rencoDtrea élé initiée par
Jean-Michel Triat-Laval, un Parisien
passionnéde qénéalogie(lbe aussi
ii-dessousi doit la grand-mère avait
en Fraoce.Après avoir effecémigré
-des
lrré
recherches-sur sa lamille
paternelle, une visite€n Gruyère I'a
convaI ncu de se pencDersuTsesoTlginesmaternelles..On était de passageà Gruyères.avecdescousinsde
l,rrcerne.Nous sommesdonc mor,tés à Sorens et avons demandé s'il y
recherche, dans les àrchives du canton et de la commune, a suivi. Petit
à petit, I'arbre généalogique a pris
foime.
<Jedois un grand rnerci à intern e t u . s o u l i g n e ' i eF r a n ç a i s .P a r c e
biais. il a rètrouvé les Lontacls de
dizaines de membtos de la famille.
<J'ai ensuite passé des heures au
que nous
léléphoneDour m assu-rer
élio;s bie;de lamême lamÎlle," Au
fil des discussions, certains lui font
parl de leur envie de rencontre.Le
l'appui d'une
d'une
lrouve alors
alors l'appui
irarisien trouve
Parisien
cousinefribourgeoise.Muiielle Terreaux, qui l'aldé à organiser la journée de âimanche.
<Pour l'ilstant, je n'ai pas trouvé
I
Suivant du doist 1es flèches
reliant les derniers àescendants à
leurs aïeuls, deux dames, la cinquantaine.cberchentquel peut bien
dtre leur lien de pareirté.'Une fois
d'+tdtffildd
de réponse à Ia qrLestion:d oùviennentles Pythoud de Sorens?Probaàlement d'Albeuve, mais je n'ai rien
de plus précis. n La ferme de La
Combaz est en revanche restée un
pofi
branpour -certaines
cerralDes orauport d-atlacne
d'attache pour
de læfamille,notanr'--
ôhesréeented
ment celle établie à Lucerne.
<Quand un enfant était chétif, on
à Sorens.>
I'envo_yaitse r-eqrrinquer,
Si le nom de Pythoud n apparaît
que peu souvent au bas de l'arbre'
i e s t - q u e b e a u c o u pd e f i l l e s s o n l
néesdans les dernières8énérations
<Mais sur les dix enfants d'Auguste
Pythoud' il n'y.a que cinq branches
represenleêsr( Ir. lempereI organrsaleur de ces retrouvailles.Qui va
poursuivre ses recherches pour
iavoir ce que sont devenues les
elle
cousioade. elle
autres (Quant
aùtres
autres.
Quant à la cousinade,
pourrait
o o u r r a i tb i e o s e r e n o u v e l e rn, M a i s
elle doit rester un événement à
caractère exceptionnel ))
Sopbie Roulin