Singuliers Pluriel N°92 - PDF
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u ental d partem é d in t Bulle p-F S U p i U N S Réunions d’information syndicale P 20 Nouveaux programmes P 17 Avenir de la SEGPA P 15 N°92 avril —mai —juin 2015 47 Singuliers Pluriel Les Unitaires SNUipp 47 169 bis av J. Jaurès 47000 AGEN 05 53 68 01 92 06 81 64 77 50 28/05/15 Paritarisme : CAPD du 22 mai. Mouvement départemental, accès à la hors classe, inéats, … etc ... P4 À P 12 MGEN : menaces sur l’avenir Société Vers la fin d’une mutuelle solidaire ? L’idée que « chacun reçoit selon ses besoins » n’est plus d’actualité depuis le désengagement de l’assurance maladie obligatoire. Pour être mieux remboursé, chacun doit maintenant souscrire à une complémentaire santé. Mais l’adhésion à la MGEN n’est plus automatique pour les collègues qui entrent dans le métier (seulement 50 % des entrants adhérent à la MGEN). Les nouvelles générations sont en effet sollicitées par de nombreux organismes d’assurances complémentaires dont les tarifs ne sont pas proportionnels aux revenus mais variable selon l’âge et la gamme des prestations offertes. De plus, la MGEN est confrontée à plusieurs difficultés : - La réforme européenne Solvabilité 2 (dont l’application est prévue en 2016) considère la santé comme une marchandise et les mutuelles, comme des organismes qui exercent une activité concurrentielle de marché, au même titre que les compagnies d’assurance privée. - La taxation de 7 % (destinée à combler le déficit de la Caisse nationale d’assurance maladie) frappe indifféremment les mutuelles solidaires et les assurances privées. - L’aide de l’Etat employeur aux mutuelles de fonctionnaires est dérisoire. Depuis 2003, la France accélère la refonte de son découpage administratif : nombre de directions départementales ont fusionné ou disparu, se sont dissoutes ou régionalisées. Pour l'Éducation Nationale, nous avons vu depuis 2009, la « mutualisation des moyens » qui concentre à Bordeaux les services de gestion individuelle, à Montde-Marsan, le service des pensions… etc … Bien sûr cela engendre ce qu'il est convenu d'appeler des « économies d'échelle ». Mais, cela crée aussi un processus nouveau : les gestionnaires administratifs ne verront plus jamais pour de vrai les gens dont ils traitent les dossiers. Et inversement, aucun prof d'école ne pourra jamais savoir qui se cache derrière le nom de « sa gestionnaire ». Cette spécialisation des Inspections académiques les transforme en « platesformes » téléphoniques pas encore délocalisées hors de l'Europe (ouf !). La nouvelle carte des régions va être l'occasion d'amplifier encore ce phénomène : certaines académies vont fusionner en tout ou partie… les centres de décision et de gestion vont s'éloigner encore un peu plus du terrain. Curieusement, cet éloignement du terrain, cette déshumanisation de la gestion - La population mutualiste vieillit. - Le gel du point d’indice entraîne une moindre rentrée de ressources par rapport aux dépenses de santé en constante augmentation. - L’Accord National Interprofessionnel de janvier 2013 (qui impose aux employeurs du secteur privé de financer au moins 50% de la complémentaire santé devenue obligatoire pour les salariés) fait perdre des adhérents à la MGEN. La MGEN le pense puisqu’elle prépare une refonte globale de son offre. Il s’agit : - d’augmenter les cotisations, - de faire passer au nombre de 4 les contrats de santé, - de moduler les taux de cotisations en fonction des tranches de revenus pour les actifs et de l’âge pour les retraités (avant et après 70 ans). Cela porterait au nombre de 10 les taux de base des cotisations rendant très difficile la prévision sur le salaire ou la pension. De plus les dirigeants de la MGEN envisagent un rapprochement avec la mutuelle privée Harmonie, le but étant « d’être plus fort pour faire pression en unissant les moyens ». Mais le risque est grand de voir la MGEN s’éloigner des principes fondateurs de la solidarité, notamment intergénérationnelle, pour se rapprocher de la logique des assureurs privés et ainsi de perdre son âme ! Pour faire face à ses difficultés de gestion, notre mutuelle a déjà augmenté la cotisation des retraités il y a quelques années ; elle propose depuis janvier 2014 un contrat MGénération pour les jeunes enseignants et une cotisation moins importante pour les moins de 30 ans. Doitelle et peut-elle aller encore plus loin sans trahir ses valeurs mutualistes ? La solution ne serait-elle pas plutôt de revaloriser les salaires et les pensions, permettant ainsi une rentrée de ressources plus importantes et de préserver ainsi les vraies valeurs mutualistes de la MGEN ? Sylvie SALMOIRAGHI Régions : futur antérieur ? sont faits au nom d'une décentralisation… Ce redécoupage administratif s'accompagne de la montée en puissance des « chefs » : les pouvoirs qui se concentrent entre les mains des Préfets de régions sont tout simplement ahurissants. Par certains aspects, ils sont supérieurs à ceux de leur ministère de tutelle. Du côté des Rectorats, nous voyons la même chose se produire : les Recteurs deviennent peu à peu de véritables petits ministres faisant la pluie et le beau temps selon leur « bon vouloir » dans leur académie. Ces très hauts responsables administratifs peuvent même être amenés à interpréter des textes législatifs sans craindre grand démentis de leur ministre. De plus en plus souvent, la gestion des professeurs d'école doit passer maintenant par une décision du recteur. C'est pratique pour les Inspecteurs d'Académie qui ont compris tout le profit qu'ils pouvaient tirer d'une phrase comme :« il y aura un arbitrage rectoral ». Les recteurs auront chacun leurs lubies, Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 pour celui de Bordeaux, cela concerne essentiellement les postes à profil et le téléphone portable. Après avoir profilé les postes de direction d'école de 10 classes et plus ; Après avoir demandé un dossier de motivation aux collègues exerçant en REP+ ; Il en vient à demander aux directeurs d'école de lui fournir leur numéro de téléphone portable personnel au cas où il aurait un SMS urgent à leur envoyer y compris pendant la classe. Depuis quand laisse-t-on un téléphone portable allumé en classe ? Depuis quand un téléphone personnel devient-il un téléphone de service ? Il y a quelques années, cela aurait relevé de l'abus de pouvoir, aujourd'hui, ces lubies sont juste là pour montrer aux petites gens que le chef, c’est le chef ! … Si la décentralisation fait revenir le pays à une époque où les surintendants et les fermiers généraux se croyaient aussi gros que le bœuf, cela risque de nouveau de mal tourner pour certains. Luc MAMIN page 2 Edito Édito Politique libérale, politique inégale ! Après le pacte de responsabilité, la loi Macron, les déclarations du président de la République et de son premier ministre sont venues confirmer une orientation économique pourtant de plus en plus contestée. chômage connaît toujours un taux record, les cadeaux aux entreprises, le Pacte de responsabilité et tous les accords en faveur du patronat ne relancent ni l’investissement, ni l’emploi, mais servent au contraire les intérêts des actionCette politique libérale s’exerce naires. au détriment des salarié-es et Sur le plan international, entre les maintient la population dans un peuples étranglés par les politiétat de précarité et de pauvreté ques d’austérité, ceux qui fuient renforcé. Les renoncements suc- les guerres civiles ou le fanacessifs profitent notamment à tisme, et ceux qui tentent de surl'extrême-droite qui poursuit son vivre et d’échapper à une misère implantation locale, avec son cor- économique indicible, la situation tège de menaces, voire d'atteintes est dramatique. Les récents naudirectes aux libertés et aux droits. frages au large de l’Italie, les milLa FSU est engagée dans la lutte liers de morts de migrant-es ont contre les idées d’extrême porté à la connaissance de l’opidroite ; elle participe à l’observa- nion publique la situation tragique toire intersyndical qui s’est réuni de ces populations. Sur le plan le 6 mai dernier à Béziers. Le tra- européen, la France participe aux vail intersyndical commun doit se pressions financières exercées poursuivre et se renforcer. Béziers pour étrangler le nouveau gouverest à ce titre plus qu’un symbole, nement grec et pour qu’aucune pour dénoncer les propos du Maire alternative politique à l’austérité annonçant le fichage des élèves à ne voie le jour ailleurs, en Espapartir de leur religion ou de leur gne par exemple. En France, la réforme territoriale va accentuer origine supposée. les inégalités territoriales entre La dérive sécuritaire que l’on reespaces urbains et ruraux et rendoutait à l’issue des attentats de forcer l’exclusion, au sein des méjanvier ne sera pas intervenue imtropoles, de populations déjà remédiatement. Pourtant, avec un léguées socialement. Les services décalage dans le temps, c’est publics constituent pourtant une bien de cela qu’il s’agit à travers réponse solidaire, et hors des rèla loi sur le renseignement, prépagles du marché, aux droits et berée bien avant le 7 janvier. Tousoins fondamentaux des populajours au nom de la sécurité, le tions (éducation, santé, protecbudget de la défense sera crédité tion sociale, transport, énergie, de 3,8 milliards d’euros supplémentaires pour les 4 ans à venir… culture, …). De telles rallonges devront évidemment se faire sur le dos d’autres ministères, et ce sont le logement et la santé qui sont visés en premier lieu. La politique sociale de ce gouvernement n’est vraiment plus à l’ordre du jour. La politique sécuritaire sert aussi à détourner l’attention de la population des questions sociales : les plans sociaux se succèdent, le Le 9 avril dernier, un front syndical s’est opposé clairement aux politiques libérales du gouvernement en refusant l’austérité et la loi Macron. Même si la participation des salarié-es n’a pas été à la hauteur de l’enjeu, ce combat doit se poursuivre car la politique d’austérité est toujours là. Trop peu de nos concitoyen-nes estiment qu'il est possible de faire Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 autrement. Plus que jamais, le débat sur les alternatives doit se poursuivre, au plus près du terrain, pour apporter les éléments de contradiction et pour convaincre. C’est dans cette perspective de construction des alternatives aux politiques d’austérité et au libéralisme, et dans les suites du 9 avril, que s’inscrit la mobilisation des 13 et 14 juin 2015 de Guéret, avec la Convergence des Services Publics, pour une grande manifestation nationale, temps fort et étape de la défense, de l’amélioration et du développement des services publics. Le secrétariat départemental du SNUipp-FSU 47 Dans ce numéro : MGEN Régions P2 Édito P3 Paritarisme : CAPD du 22 Mai 2015 P 4 à 12 Formation continue P 13 et 14 Postes réservés aux PES P 14 Avenir de la SEGPA P 15 et 16 Nouveaux programmes P 17 et 18 Loi sur le « Renseignement » Réunions d’Information Syndicale P 19 P 20 SNUipp-FSU 47 , syndicat de toute la profession Plus de 50% des votes exprimés aux élections professionnelles de décembre 2014 4 élu-es sur 7 en commission paritaire 6 élu-es sur 10 en comité technique Singuliers Pluriel Bulletin trimestriel édité et imprimé par : Les Unitaires SNUipp 47 169 bis av J. Jaurès 47000 AGEN : 05 53 68 01 92 : 09 65 17 27 48 : 06 81 64 77 50 Courriel : [email protected] Site : http://47.snuipp.fr/ Prix du Numéro : 1,52 € Directeur de la Publication : Luc Mamin CPPAP : n° 0320 S 07212 ISSN : n° 1243-7484 page 3 CAPD du 22 mai 2015 Paritarisme Le mouvement en chiffres : ça coince de nouveau ?... Après une petite embellie en 2014, le taux de satisfaction repart à la baisse... Nous ne revenons pas au catastrophique mouvement bloqué de 2013, mais la situation n’est pas satisfaisante et les réglementations contraignantes font encore une fois la preuve de leur inefficacité à gérer les besoins de « mobilité » des collègues. 2011 2012 2013 2014 Participants 446 440 449 475 Mutés 207 46,41% 227 51,59% 179 39,87% 242 50,95% dont à TP 44 21,26% 42 18,50% 39 21,79% 35 452 210 46,46% 14,46% Maintenus 142 31,84% 144 32,73% 175 38,98% 132 27,79% Sans Poste 97 21,75% 69 15,68% 95 21,16% 101 21,26% Dix collègues, dans l’obligation de participer au mouvement, n’avaient pas respecté les 20 vœux obligatoires. Neuf ont complété leur fiche de vœux après rappel de l’administration. Une collègue s’est vue imposé un vœu départemental et obtenait un poste demandé par d’autres collègues ayant respecté les règles. Le SNUipp-FSU 47 a obtenu que l’IA-DASEN retire le vœu départemental imposé et affecte sur ce poste la collègue l’ayant demandé. Le SNUipp-FSU 47 dénonce aussi l’incohérence du fait que l’ordre des vœux ne soit pas pris en compte et que seul l’âge départage les égalités de barème. Il demande, de nouveau, à l’administration de remonter au ministère que cette règle est injuste. Nous signalons ce problème tous les ans depuis qu’il existe... 2015 27 12,86% 134 29,65% 108 23,89% Top ten des postes d’adjoint les plus demandés 1 FOULAYRONNES ECOLE ELEM MARC CASTELNERAC 2 ESTILLAC ECOLE ELEM 3 BOÉ ECOLE ELEM JEAN MOULIN 69 4 AGEN ECOLE MAT EDOUARD LACOUR 57 5 ASTAFFORT ECOLE ELEM 56 6 AUBIAC ECOLE PRIM 56 7 BAJAMONT ECOLE PRIM 56 8 AGEN ECOLE ELEM 9 SAINTE BAZEILLE ECOLE ELEM 70 EDOUARD LACOUR 10 DAMAZAN ECOLE MAT Intégration dans la « Hors Liste des collègues intégrés au cours de la CAPD du 22 mai 2015 Classe » 1130 collègues possédant les « droits »… 52 promu-e-s. Le ratio est maintenant de l’ordre de 4,50 %. À noter : les nouveaux points attribués selon le poste occupé renforcent la « masculinisation » de l’intégration dans la Hors Classe. Cet objectif n’était pas forcément voulu, mais … il est atteint… 72 52 52 48 AMBLARD Jocelyne DUPRAT Véronique LEROY Sylvie PERIE Gisèle ARMAND Jean-Luc DURBECQ Evelyne LICHTLE Gilles PETRISSANS Marie-Christine AT Patrick FIGEAC Frédéric LOUART Myriam POLETTO Marie-Christine BLANCHER Sylvie FLORENTIN Sylvie LUCAS Vincent PORTEX Jean-Michel BORDES Audrey GABARROCHE Dominique MAJEAU Marie-Hélène REY Michel BOUILLON Catherine GASTAL Chantal MAMIN Luc SAPINA Antoine CASTAGNET Isabelle GIANELLO Thierry MAUBARET Joël SAUBEBELLE Myriam CHARLES Sylvie GIRAUD Anne MEKERKE Eric SCHMITT Rose-Marie COESTIER Alain HUE Thierry MOROZ Nadine TELLIEZ Catherine CREHEN Hélène JULIAN Martine MUSQUI Claude TRAN Jocelyne DELAGE Eric LACOMBE Pierre NOREILLE Marie-Line VAN LIEFLAND Catherine DEZETTER Christine LAFFORE Claude PASQUION Philippe VANDENBORRE Didier DUCHAINE Marie-Paule LEAL Christine PENIDON Sylvie WANG Alain Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 4 1ère phase du mouvement CAPD du 22/05/15 108 sans poste : Les collègues ci-dessous étaient sur un poste à titre provisoire ou finissaient leur formation initiale ou bien venaient d’un autre département. Ils n’ont rien obtenu parmi leurs vœux, n’ayant pas de poste actuellement, ils doivent par- ticiper à la deuxième phase du mouvement. ABEILLE JESSICA COUTURAS PAULINE ISRAEL CLEM ENT PIANU STEPHANIE ARBONA ARNAULT M ARIE-LAURE ALICE CUZZINI D'AM BROSIO M ARIE LAURE DELPHINE KUREEM AN LABADIE SARAH CORALIE PINEAU POLSENAERE DEBORAH HENRY M AGALIE ARRIS ESTELLE DA BROI SOPHIE LACOSTE AURELIE PONS BARDIN AURELIE DAFFLON ELODIE LACROIX ROM AIN QUILEZ LAETITIA BARTLETT CAROLINE DELAUNAY AM YLENE LADRET CINDY RACZYNSKI FLORINE BELLEAUBRE BENEZECH RONAN M ARIE DEM EER FLORENCE LAFARGUE LAPERNE GUILLAUM E CHARLENE RENAUD RIGAUDIE M ATHILDE FREDERIC M ARIANE BERTHOUM IEU LAURENCE DESPERIES SANDRA LAURET STEPHANIE RODRIGUEZ BOISSIER FLORENCE DOM EC LUDOVIC LAUTIE AM ELIE ROSSI FERRARI M ARION BOLOGNINI FREDERIQUE DONNADIEU LAURE LE GUILLOU AGATHE ROYER EM M ANUELLE BOUSQUET FANNY DUM OND ANNE LAURE LESCENE AUDREY SAGE LUDIVINE BRILLET BUSQUET HELENE JEROM E DUPIN GLEYZE DUPRAT DAPHNEE M ARION LESTRADE LORENZATO CINDY SEBASTIEN SALLABER SANTAM ARIA CAROLE CYNTHIA CAM BON CELINE DUPRE SANDRA LOUBET LESCOULIE VIRGINIE SARRAILLE LUCIE CAM PISTRON PAUL FERNANDEZ M ARINE LOURY CAM ILLE SAURA JEAN CHRISTOPHE CANTEGREL CORALIE FOUGEROLLAS CHARLOTTE LOZANO AUDE SEM ERJIAN SOPHIE CARDOLLE AURELIE FRAUNIER EM ILIE M AGNOUAC JULIE SORASIO AURELIE CATALA CAVAILLES M AILYS CHRISTELLE GALIE GIRAUDET CLAIRE DELPHINE M AURY M ONDON NOEM IE CLEM ENTINE SOULARD SOUM OULOU GERM AIN SIM ON CAVASSE CLOTILDE GRAND AUDREY M OZAS BENOIT SUDRE M ARTIN PIERRE CHANTELOUP VIRGINIE GUIGNON POSTEL FREDERIQUE M UCHADA M ARION TALBOT AM ANDINE CHIPAULT CLEM ENCE GUILHEM POURQUE M ARIE NAUDIN ELODIE TANNER ELSA CIVEL COM BES JULIE KELEN GUILLOT GUYOT NOGUE PAITRAULT SABINE ELODIE THIBAUD TOULZA M AHE SANDRA COM M AILLE M ARIE-PIERRE HASELBAUER EM ILIE PEROT FRANCOISE TOURNEM IRE BERANGERE COUNILH GUILLAUM E HERNANDEZ LAURA PHILIPPE JEAN BAPTISTE ZANARDO KARINE LAURA M ARIE Calendrier de la deuxième phase du mouvement : 05/06 : l’administration procède à l’association des compléments de services liés aux temps partiels et aux diverses décharges. 10/06 : début de la saisie des voeux sur I-Prof 16/06 : fin de la saisie des voeux 30/06 : CAPD de la phase 2 du mouvement Pensez à nous transmettre la fiche syndicale mouvement avant le 25/06. Mouvement alphabétique : 210 muté-e-s de TP : Titre provisoire TD : Titre définitif A G E AGEL KARINE M F APP ELE ECOLE ELEM JASM IN STE LIVRADE SUR LOT TP ANASTAZE LAURENT M F AN ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE CASTELNAU SUR GUPIE TD ANDRIEUX JONATHAN DIR ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE ST ETIENNE DE FOUGERES TD AOUM EUR VANESSA ADJ CL ELE ECOLE ELEM DESCARTES VILLENEUVE SUR LOT TD ARDURAT CELINE TRS ECOLE ELEM PUBLIQUE STE COLOM BE EN BRUILHOIS TD ARM AND VERONIQUE DIR M AT ECOLE M AT PUBLIQUE M IRAM ONT DE GUYENNE TD ARRECGROS VINCENT DIR ELEM 1 ECOLE ELEM PUBLIQUE GALAPIAN TD AUGE CECILE ADJ M AT ECOLE M AT PUBLIQUE DAM AZAN BAILLY BAPST SANDRA NATHALIE M F APP ELE ADJ M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM PONT DE M AROT PUBLIQUE VILLENEUVE SUR LOT LA SAUVETAT SUR LEDE TD TP TD BAQUET GUILLAUM E TIT R BRIG ECOLE M AT PUBLIQUE PORT STE M ARIE TD BARBIER CELINE DIR M AT ECOLE M AT JEAN M ACE VILLENEUVE SUR LOT TD BELOTTI BEATRICE ADJ CL ELE ECOLE ELEM M ARCEL PAGNOL AIGUILLON TD BENETEAU DAVID ADJ CL ELE ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT M ARM ANDE TD BERGOUGNIOUX LAURE ADJ M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE ST ETIENNE DE FOUGERES TD BERGOUNIOUX PATRICK ADJ CL ELE ECOLE ELEM JEAN JAURES VILLENEUVE SUR LOT TD BERLAND AURELIE DIR ELEM 1 ECOLE ELEM PUBLIQUE XAINTRAILLES TD BERNADOU LISA ADJ CL ELE ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT AGEN TD BERNIER JULIE TRS ECOLE ELEM PUBLIQUE FAUILLET TD BERQUE VERONIQUE ADJ CL ELE ECOLE ELEM LOLYA M ARM ANDE TD BIDAN JULIEN TRS ECOLE ELEM PUBLIQUE CLAIRAC TD BIETH BIN FLORIAN M ARYLINE CLIS 1 M EN ADJ M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM EDOUARD LACOUR PUBLIQUE LE PASSAGE ST BARTHELEM Y D AGENAIS BLANCHET BLIN AUDREY KATIA DIR ELEM 1 ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE SOUM ENSAC ASTAFFORT TP TD TD BONGAGE M ARIE ADJ M AT ECOLE ELEM TD BEAUVILLE TD BONNEAU ANNE ADJ CL R E ECOLE M AT JULES FERRY VILLENEUVE SUR LOT TD BOURDELOIS M AXIM E TIT R ZIL ECOLE ELEM PUBLIQUE CASTILLONNES TD BOUTY M ARIE TRS ECOLE ELEM VICTOR HUGO TONNEINS TD BOVIS LAURENT ULIS OPT D COLLEGE KLEBER THOUEILLES M ONSEM PRON LIBOS TD BRANTONNE JOELLE REE RES G ECOLE M AT EDOUARD HERRIOT AGEN TD BRICET BEATRICE TIT R BRIG ECOLE ELEM ELISEE RECLUS AGEN TD BRUNEAU M AGALI ADJ CL ELE ECOLE ELEM JULES FERRY TONNEINS TD Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 5 à B R U CAPD du 22/05/15 de B U R Mouvement alphabétique : … suite BURUCOA CABE CABIROL CAPDEPON CAPOT CARNEJAC LAURA CAROLINE BRUNO M ARIE LAURE M ARIE HELENE M YRIAM ADJ SPE F TIT R BRIG TRS ADJ CL ELE ADJ M AT DIR M AT COLLEGE ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE M AT JEAN M OULIN PUBLIQUE JEAN M OULIN ELISEE RECLUS EDOUARD LACOUR PUBLIQUE M ARM ANDE CEDEX CLAIRAC M IRAM ONT DE GUYENNE AGEN AGEN COLAYRAC ST CIRQ CARRERE CARTEYRON CASAIL CASES CAUSSAT ANNE SYLVIE ERIC JULIE M URIEL ADJ OCC ADJ CL ELE TIT R ZIL ADJ M AT ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM DU PLACIE ANDRE BOUDARD GEORGES BRASSENS ST ARNAUD PUBLIQUE ROQUEFORT STE LIVRADE SUR LOT BON ENCONTRE BAJAM ONT TOURNON D AGENAIS CAVERO CEZAR CHABOT M ERCIER CHAILLOT CHARLES PIERRE FLORENCE FRANCK JEAN LUC PAULINE ADJ CL ELE DIR ELEM 1 TIT R ZIL ADJ CL R E ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN ROSTAND PUBLIQUE ANDRE BOUDARD JEAN M OULIN FERDINAND BUISSON NERAC SAVIGNAC SUR LEYZE STE LIVRADE SUR LOT M IRAM ONT DE GUYENNE LE PASSAGE CHATARD CORBEL CORTET COULON COUTON COUTURAS ANNICK EM ILIE JULIE FREDERIC STEPHANE SOPHIE TIT R ZIL DIR ELEM DIR M AT EDUC EREA TIT R ZIL CLIS 1 M EN ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE M AT EREA ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN M OULIN PUBLIQUE PUBLIQUE M ARIE-CLAUDE LERICHE PUBLIQUE ELISEE RECLUS BOE PAULHIAC TOURNON D AGENAIS VILLENEUVE SUR LOT GONTAUD DE NOGARET AGEN COUVEZ CRASSAT CRUZEL DAL M OLIN GHIZZARDI DAUSSE CAROLE VERONIQUE EM M ANUELLE CYNTHIA M ATHILDE ADJ CL ELE ADJ M AT ADJ CL ELE ADJ M AT CLIS 1 M EN ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM M ARCEL PAGNOL GEORGES LECOM TE EDOUARD LACOUR PUBLIQUE Y.DELBASTY AIGUILLON VILLENEUVE SUR LOT AGEN VILLEFRANCHE DU QUEYRAN CANCON DAUSSE DE PINA DECOSSE DELBOSQ DEM ICHELET NADINE TONI GAETAN SYLVIE CHRISTELLE DIR M AT TIT R BRIG ADJ ELE LV ADJ M AT ADJ CL ELE ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE ELEM PAUL LANGEVIN PUBLIQUE EDOUARD HERRIOT PUBLIQUE PUBLIQUE AGEN M OIRAX M ARM ANDE LAROQUE TIM BAUT PORT STE M ARIE DESCOM PS DOS REIS DRIEUX DUBOS GUELFI DUM AS DUM ONT FREDERIQUE PALM IRE SANDRINE BENEDICTE VERONIQUE ELISABETH ADJ M AT TIT R ZIL TIT R BRIG DIR M AT ADJ CL ELE ADJ SPE F ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE ELEM EREA CAYRAS CARNOT RENE CASSIN SEM BEL J.F. SAM AZEUILH M ARIE-CLAUDE LERICHE STE LIVRADE AGEN COLAYRAC ST CIRQ AGEN CASTELJALOUX VILLENEUVE SUR LOT DUPONT DUPUCH DURR EM ERIT ERIT SANDRA JULIE SANDRINE FABIENNE JIM M Y ADJ M AT TIT R BRIG TIT R ZIL DIR ELEM TIT R ZIL ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE M AT GEORGES BRASSENS PUBLIQUE CASTELNÉRAC PUBLIQUE E.LABRUNIE HAUTEFAGE LA TOUR BOUGLON FOULAYRONNES CAUM ONT SUR GARONNE M ARM ANDE ESCALA ESCOT-SEP ESPOSITO FARESE ESTAY ETCHART FAGET JULIE SEVERINE FABIEN CELINE VALERIE CECILE ADJ CL ELE ADJ CL ELE TIT R ZIL DIR ELEM TRS ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN JAURES PAUL LANGEVIN LE CARRE PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE FUM EL AGEN BEAUVILLE LAGARRIGUE FOURQUES SUR GARONNE ST HILAIRE DE LUSIGNAN FAREZ FAYOLLES FEIJOO CELINE M YLENE ADJ ELE LV ADJ CL ELE ECOLE ELEM PUBLIQUE ECOLE ELEM PUBLIQUE ST LAURENT M OIRAX FILIPOZZI FILLON CAM PGRAND M ELANIE M YRIAM CECILE TRS DIR ELEM 1 ADJ OCC ECOLE ELEM PUBLIQUE ECOLE ELEM PUBLIQUE ECOLE ELEM DU PLACIE PENNE D AGENAIS M AUVEZIN SUR GUPIE ROQUEFORT FORCET GAJAC GARES GAUDIN GEORGES ANNE SOPHIE NATHALIE ERIC VALERIE M ATHILDE ADJ CL ELE DIR ELEM DIR ELEM 1 ADJ M AT TRS ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE ELEM PRIM AIRE PASCALET PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE CASSENEUIL CASTELNAU SUR GUPIE JUSIX STE BAZEILLE CASTILLONNES GONZALEZ GRACE GRAM AGLIA GRIM AL GRIPPON GUIGNARD-LEBRETON ANTHONY VERONIQUE M ARYLINE ANNE LAURA HELENE ADJ CL ELE ADJ CL ELE ADJ CL ELE DIR ELEM TIT R ZIL ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN JAURES GUY DE SCORAILLE PUBLIQUE ECOLE PUBLIQUE PUBLIQUE JEAN JAURES M ARM ANDE VILLENEUVE SUR LOT ST BARTHELEM Y D AGENAIS M ONBAHUS STE BAZEILLE VILLENEUVE SUR LOT HAVRET HAY HECQUEFEUILLE HERBERICHS HUE SANDRINE FLORENCE FRANCOIS M ARIA THIERRY ADJ CL ELE ADJ CL ELE DIR ELEM 1 TIT R BRIG ADJ CL R E ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN M OULIN EDOUARD HERRIOT PUBLIQUE PUBLIQUE EDOUARD LACOUR M IRAM ONT DE GUYENNE M ARM ANDE ST SIXTE LAYRAC LE PASSAGE HUGUE IDOIPE IM BERT IM BERT LABARRERE CAROLINE SARAH DELPHINE JEAN LUC CAM ILLE ADJ CL ELE DIR ELEM 1 ADJ CL M AT PSY RES TIT R BRIG ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE PRIM ECOLE M AT ECOLE M AT PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE JEAN M ACE M ARIE CURIE AUBIAC ST FRONT SUR LEM ANCE AUBIAC TONNEINS TONNEINS LABAT LACHET AM ELIE VIRGINIE TIT R BRIG EDUC EREA ECOLE ELEM JEAN ROSTAND EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE Singuliers Pluriel NERAC VILLENEUVE SUR LOT N°92 — mai 2015 TP TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TP TD TP TD TD TD TD TP TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TP TD TD TD TP TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TP page 6 à L A C Mouvement alphabétique : … suite de L A C CAPD du 22/05/15 LACOM BE LADAURADE PIERRE SANDRINE EDUC EREA DIR ELEM EREA ECOLE ELEM M ARIE-CLAUDE LERICHE PUBLIQUE VILLENEUVE SUR LOT M ARCELLUS TP LAGOURGUE M AURICE ADJ OCC ECOLE PRIM PUBLIQUE COCUM ONT TD LAISNE ISABELLE M F APP ELE ECOLE ELEM GROUPE SCOLAIRE DAM AZAN TP LALEUF YVAN EDUC EREA EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE VILLENEUVE SUR LOT LAM ARQUE CAROLE ADJ CL ELE ECOLE ELEM RENE CASSIN COLAYRAC ST CIRQ TP TD LAM OUROUX AM ELIE ADJ OCC ECOLE M AT ECOLE DU PORT PENNE D AGENAIS TD LANNES JEROM E ADJ SPE F COLLEGE JEAN M OULIN M ARM ANDE CEDEX TD LARCABAL CATHERINE TIT R BRIG ECOLE M AT E.LABRUNIE M ARM ANDE TD LASNIER LAUR M AGALI SEVERINE ADJ CL ELE ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM JULES FERRY EDOUARD HERRIOT VILLENEUVE SUR LOT M ARM ANDE TD LE GLUDIC ERWAN EDUC EREA EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE VILLENEUVE SUR LOT TP LE ROY ANNE SOPHIE DIR M AT ECOLE M AT JEAN DE LA FONTAINE CASTELJALOUX TP LEAL CHRISTINE ADJ CL R E ECOLE ELEM PUBLIQUE VILLEREAL TP LEBRETON PRISCILLA M F APP M AT ECOLE M AT CAYRAS STE LIVRADE LECOSTEY CECILE TIT R ZIL ECOLE ELEM PUBLIQUE ESTILLAC TD TD LEGRIX SANDRINE ADJ M AT ECOLE M AT JEAN DE LA FONTAINE CASTELJALOUX TD LEHM ANN M AGALI ADJ M AT ECOLE PRIM PUBLIQUE LE TEM PLE SUR LOT TD LENESTOUR LEROUVREUR CECILE DOM INIQUE TIT R BRIG TIT R ZIL ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE ESCASSEFORT PORT STE M ARIE TD LEROUX ELODIE ADJ SPE D IM E M ONCLAIRJOIE M ONTPEZAT TP LESCOUZERES AURELIE ADJ M AT ECOLE PRIM PUBLIQUE ALLEM ANS DU DROPT TD LOIRAT FREDERIQUE DIR M AT ECOLE M AT M ARIE-LOUISE CHRETIEN BOE TD LOM ELISABETH ADJ CL ELE ECOLE ELEM PUBLIQUE BIRAC SUR TREC LOPEZ PATRICK ADJ SPE F COLLEGE GERM ILLAC TONNEINS TD TD LORGERIL PATRICE DIR M AT ECOLE M AT CASTELNÉRAC FOULAYRONNES TD LOTIER M ARIE DIR ELEM 1 ECOLE ELEM PUBLIQUE ARGENTON TD M ACARIO M AGNIER XAVIER LEA TIT R ZIL REM P ST FC ECOLE ELEM ECOLE ELEM GEORGES BRASSENS THIVRAS-COUSSAN BON ENCONTRE M ARM ANDE TD M AIFFREDY KARINE EDUC EREA EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE VILLENEUVE SUR LOT TP M ALECOT CECILE DIR M AT ECOLE M AT PUBLIQUE CLAIRAC TD M ALLET SANDRINE TRS ECOLE ELEM J.F. SAM AZEUILH CASTELJALOUX TD M ARCANO JESSICA TRS OCC ECOLE M AT M ARIE SENTINI AGEN M ARINI REGIS TIT R BRIG ECOLE ELEM DU PLACIE ROQUEFORT TD TD M ARTINEZ PHILIPPE EDUC EREA EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE VILLENEUVE SUR LOT TP M AURIN ANNE SOPHIE ADJ SPE F COLLEGE JEAN M OULIN M ARM ANDE CEDEX TP M ELLAC RACHEL ADJ M AT ECOLE M AT PUBLIQUE CLAIRAC TD M ENGONI M ESNIER ISABELLE SANDRINE ADJ CL ELE DIR ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT PUBLIQUE AGEN BAZENS TD M IRANDE CATHY ADJ CL ELE ECOLE ELEM RPI ANTAGNAC-ST M ARTIN ST M ARTIN CURTON TD M ONFRAIX M ARIE NOELLE ADJ SPE D ETAB. SPE. ITEP ST M ARTIN PENNE D AGENAIS TD M OREAU LISE TIT R ZIL ECOLE ELEM PUBLIQUE BIAS M OROZ NADINE TIT R ZIL ECOLE ELEM PUBLIQUE LAVARDAC TD TD NASS ELSA ADJ ELE LV ECOLE ELEM PUBLIQUE BIRAC SUR TREC TD NAU NICOLAS ADJ CL ELE ECOLE ELEM JEAN JAURES M ARM ANDE TD NGUYEN THI PHAT TAM ADJ CL ELE ECOLE ELEM PAUL LANGEVIN AGEN TD NICOLET OSTERGAARD CATHERINE SANDRINE ADJ CL ELE ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN VILLEM IN M ARIE CURIE PONT DU CASSE NERAC TD OXOBY ISABELLE ADJ M AT ECOLE M AT FRANCOISE DOLTO TONNEINS TD PEGLIASCO CHRISTINE ADJ CL ELE ECOLE ELEM PUBLIQUE M ARCELLUS TD PERAT JULIE TIT R ZIL ECOLE ELEM LUFLADE VILLENEUVE SUR LOT TD PERRIOT CATHERINE ADJ M AT ECOLE ELEM JEAN JAURES VIANNE TD TD TD TD TD TD PERRUCHOUD ERIC ADJ CL ELE ECOLE ELEM CASTELNÉRAC FOULAYRONNES TD TD PETIT INES DIR M AT ECOLE M AT PUBLIQUE VILLEREAL TD PEYCELON CHRISTINE DIR ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE M OIRAX TD PIERRE PINAUD M ARIE CECILE BERNADETTE DIR ELEM ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE LAGUPIE STE BAZEILLE TD PINCHON ROM AIN TIT R BRIG ECOLE ELEM JULES FERRY VILLENEUVE SUR LOT TD PION NICOLAS ADJ CL ELE ECOLE ELEM PUBLIQUE ESTILLAC TD PLANTE PAULINE DIR ELEM ECOLE ELEM LOUIS TULET ST VITE TP PLEWA CLAUDE ADJ CL ELE ECOLE ELEM M ARCEL PAGNOL AIGUILLON PONDARRE EM M ANUELLE ADJ M AT ECOLE M AT M ARIE CURIE AIGUILLON TD TD PORTANEL CORINNE TIT R ZIL ECOLE ELEM JEAN JAURES VIANNE TD PUJOL ANNICK ADJ M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE ST HILAIRE DE LUSIGNAN TD RAFFIN RAGOU SANDRA BRICE ADJ M AT TIT R BRIG ECOLE M AT ECOLE ELEM FRANCOISE DOLTO EDOUARD HERRIOT TONNEINS AGEN TD REBEYROTTE BENEDICTE ADJ M AT ECOLE PRIM PUBLIQUE ROUM AGNE TD REDARES CELINE ADJ M AT ECOLE M AT CAYRAS STE LIVRADE TD RIELLO SABRINA ADJ M AT ECOLE M AT JEAN M ACE TONNEINS TD RIGAL AUDREY TRS ECOLE ELEM PETIT BOIS M ONTAYRAL RIGAL M ARIE JOSE ADJ CL R E ECOLE ELEM JEAN JAURES FUM EL TD TP TD TD RIGAUDIE ANNIE ADJ M AT ECOLE M AT GEORGES LECOM TE VILLENEUVE SUR LOT TD RIVIERE EM ILIE ADJ CL ELE ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT AGEN TD ROCA M ONNERET RONDEAU VERONIQUE AUDREY DIR M AT ADJ CL ELE ECOLE M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE LOLYA LAYRAC M ARM ANDE TD ROSSI DANIELE ADJ CL ELE ECOLE ELEM PUBLIQUE BEAUPUY TD ROSSIGNOL NATHALIE ADJ M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE M ONTAGNAC SUR AUVIGNON TD Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 TD page 7 à R O S CAPD du 22/05/15 de R O U Mouvement alphabétique : … fin ROUSSEL M ARIE-LAURE ADJ SPE F COLLEGE LA PLAINE LAVARDAC TD ROUSSEL NICOLAS ULIS OPT F COLLEGE GERM ILLAC TONNEINS ROUX ROUZADE ANNA JOSE ARNAUD ADJ CL ELE TRS ECOLE ELEM IM E JEAN M OULIN FONGRAVE BOE LAYRAC TD TD SANDOU M AGALI ADJ M AT ECOLE M AT PAUL LANGEVIN AGEN SARTHOU SAUBEBELLE LUCILE M YRIAM TIT R BRIG ADJ CL ELE ECOLE M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE JASM IN M EZIN STE LIVRADE SUR LOT SCHAEFER CELINE TIT R BRIG ECOLE ELEM GUY DE SCORAILLE VILLENEUVE SUR LOT SCHRAM M SORINA FLORENCE RAYM OND ADJ M AT LV ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM R. DUPOUY JEAN M OULIN BUZET SUR BAISE BOE STRYJAKOWSKI GAELLE ADJ M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE VERTEUIL D AGENAIS SURY TAILLARD LAURIANNE CATHERINE ADJ CL ELE ADJ CL ELE ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE BRAX FAUILLET TAM ISIER JEAN PHILIPPE ADJ SPE D IM E M ONCLAIRJOIE M ONTPEZAT THIBAUD TODESCO CARINE LAETITIA ADJ SPE D DIR M AT 1 ETAB. SPE. ECOLE M AT ITEP FOURTY PUBLIQUE PONT DU CASSE LOUBES BERNAC TOVO PEREZ CECILE CLIS 4 C ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT AGEN VAUTRIN VAYSSIERES SOPHIE SONIA ADJ CL ELE DIR M AT ECOLE ELEM ECOLE M AT CASTELNÉRAC PUBLIQUE FOULAYRONNES M ONSEM PRON LIBOS VILARELLE M ICHELE DIR ELEM ECOLE ELEM DESCARTES VILLENEUVE SUR LOT WATTRELOS M URIEL ADJ CL ELE ECOLE ELEM JEAN JAURES VILLENEUVE SUR LOT TP TD TD TD TD TD TD TD TD TD TP TP TD TP TD TD TD TD à W A T Mouvement par écoles de A G E N AGEN ECOLE ELEM CARNOT TIT R ZIL DOS REIS PALM IRE TD AGEN ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT ADJ CL ELE BERNADOU LISA TD AGEN ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT ADJ CL ELE M ENGONI ISABELLE TD AGEN AGEN ECOLE ELEM ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT EDOUARD HERRIOT TIT R BRIG ADJ CL ELE RAGOU RIVIERE BRICE EM ILIE TD TD AGEN ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT CLIS 4 C TOVO PEREZ CECILE TP AGEN ECOLE ELEM EDOUARD LACOUR ADJ CL ELE CRUZEL EM M ANUELLE TD AGEN ECOLE ELEM ELISEE RECLUS TIT R BRIG BRICET BEATRICE TD AGEN ECOLE ELEM ELISEE RECLUS ADJ CL ELE CAPDEPON M ARIE LAURE TD AGEN ECOLE ELEM ELISEE RECLUS CLIS 1 M EN COUTURAS SOPHIE TP AGEN ECOLE ELEM PAUL LANGEVIN ADJ CL ELE ESCOT-SEP SEVERINE TD AGEN AGEN ECOLE ELEM ECOLE M AT PAUL LANGEVIN EDOUARD HERRIOT ADJ CL ELE REE RES G NGUYEN BRANTONNE THI PHAT TAM JOELLE TD TD M ARIE HELENE TD AGEN ECOLE M AT EDOUARD LACOUR ADJ M AT CAPOT AGEN ECOLE M AT M ARIE SENTINI TRS OCC M ARCANO JESSICA TD AGEN ECOLE M AT PAUL LANGEVIN DIR M AT DAUSSE NADINE TD AGEN ECOLE M AT PAUL LANGEVIN ADJ M AT SANDOU M AGALI TD AGEN ECOLE M AT SEM BEL DIR M AT DUBOS GUELFI BENEDICTE TD AIGUILLON AIGUILLON ECOLE ELEM ECOLE ELEM M ARCEL PAGNOL M ARCEL PAGNOL ADJ CL ELE ADJ CL ELE COUVEZ PLEWA CAROLE CLAUDE TD TD AIGUILLON ECOLE M AT M ARIE CURIE ADJ M AT PONDARRE EM M ANUELLE TD AIGUILLON ECOLE ELEM M ARCEL PAGNOL ADJ CL ELE BELOTTI BEATRICE TD ALLEM ANS DU DROPT ECOLE PRIM PUBLIQUE ADJ M AT LESCOUZERES AURELIE TD ARGENTON ECOLE ELEM PUBLIQUE DIR ELEM 1 LOTIER M ARIE TD ASTAFFORT ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ CL ELE BLIN KATIA TD AUBIAC ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ CL ELE HUGUE CAROLINE TD AUBIAC BAJAM ONT ECOLE PRIM ECOLE ELEM PUBLIQUE ST ARNAUD ADJ CL M AT ADJ M AT IM BERT CASES DELPHINE JULIE TD TD BAZENS ECOLE ELEM PUBLIQUE DIR ELEM M ESNIER SANDRINE TD BEAUPUY ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ CL ELE ROSSI DANIELE TD BEAUVILLE ECOLE ELEM LE CARRE TIT R ZIL ESPOSITO FARESE FABIEN TD BEAUVILLE ECOLE ELEM ADJ M AT BONGAGE M ARIE TD BIAS ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R ZIL M OREAU LISE TD BIRAC SUR TREC BIRAC SUR TREC ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE ADJ CL ELE ADJ ELE LV LOM NASS ELISABETH ELSA TD TD BOE ECOLE ELEM JEAN M OULIN TIT R ZIL CHATARD ANNICK TD BOE ECOLE ELEM JEAN M OULIN ADJ CL ELE ROUX ANNA JOSE TD BOE ECOLE ELEM JEAN M OULIN ADJ CL ELE SORINA RAYM OND TD BOE ECOLE M AT M ARIE-LOUISE CHRETIEN DIR M AT LOIRAT FREDERIQUE TD BON ENCONTRE ECOLE ELEM GEORGES BRASSENS TIT R ZIL CASAIL ERIC TD BON ENCONTRE ECOLE ELEM GEORGES BRASSENS TIT R ZIL M ACARIO XAVIER TD BOUGLON BRAX ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE TIT R BRIG ADJ CL ELE DUPUCH SURY JULIE LAURIANNE TD TD BUZET SUR BAISE ECOLE ELEM R. DUPOUY ADJ M AT LV SCHRAM M FLORENCE TD CANCON ECOLE ELEM Y.DELBASTY CLIS 1 M EN DAUSSE M ATHILDE TP CASSENEUIL ECOLE ELEM PRIM AIRE PASCALET ADJ CL ELE FORCET ANNE SOPHIE TD CASTELJALOUX ECOLE ELEM J.F. SAM AZEUILH ADJ CL ELE DUM AS VERONIQUE TD CASTELJALOUX ECOLE ELEM J.F. SAM AZEUILH TRS M ALLET SANDRINE TD CASTELJALOUX CASTELJALOUX ECOLE M AT ECOLE M AT JEAN DE LA FONTAINE JEAN DE LA FONTAINE DIR M AT ADJ M AT LE ROY LEGRIX ANNE SOPHIE SANDRINE TP TD CASTELNAU SUR GUPIE ECOLE ELEM PUBLIQUE M F AN ELEM ANASTAZE LAURENT TD CASTELNAU SUR GUPIE ECOLE ELEM PUBLIQUE DIR ELEM GAJAC NATHALIE TD CASTILLONNES ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R ZIL BOURDELOIS M AXIM E TD CASTILLONNES ECOLE ELEM PUBLIQUE TRS GEORGES M ATHILDE TD CAUM ONT SUR GARONNE ECOLE ELEM PUBLIQUE DIR ELEM EM ERIT FABIENNE TP Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 8 à C A U M O N T / G A R O N N E CAPD du 22/05/15 Mouvement par écoles : … suite de C L A I R A C CLAIRAC ECOLE ELEM PUBLIQUE TRS BIDAN JULIEN TD CLAIRAC ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R BRIG CABE CAROLINE TD CLAIRAC CLAIRAC ECOLE M AT ECOLE M AT PUBLIQUE PUBLIQUE DIR M AT ADJ M AT M ALECOT M ELLAC CECILE RACHEL TD TD COCUM ONT ECOLE PRIM PUBLIQUE ADJ OCC LAGOURGUE M AURICE TD COLAYRAC ST CIRQ COLAYRAC ST CIRQ ECOLE ELEM ECOLE ELEM RENE CASSIN RENE CASSIN TIT R BRIG ADJ CL ELE DRIEUX LAM ARQUE SANDRINE CAROLE TD TD COLAYRAC ST CIRQ ECOLE M AT PUBLIQUE DIR M AT CARNEJAC M YRIAM TD DAM AZAN ECOLE ELEM GROUPE SCOLAIRE M F APP ELE LAISNE ISABELLE TP DAM AZAN ESCASSEFORT ECOLE M AT ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE ADJ M AT TIT R BRIG AUGE LENESTOUR CECILE CECILE TD TD ESTILLAC ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R ZIL LECOSTEY CECILE TD ESTILLAC ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ CL ELE PION NICOLAS TD FAUILLET FAUILLET ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE FOULAYRONNES FOULAYRONNES ECOLE ELEM ECOLE ELEM CASTELNÉRAC CASTELNÉRAC TRS ADJ CL ELE TIT R ZIL BERNIER TAILLARD DURR JULIE CATHERINE SANDRINE TD TD TD ADJ CL ELE PERRUCHOUD ERIC TD FOULAYRONNES FOULAYRONNES ECOLE ELEM ECOLE M AT CASTELNÉRAC CASTELNÉRAC ADJ CL ELE DIR M AT VAUTRIN LORGERIL SOPHIE PATRICE TD TD FOURQUES SUR GARONNE ECOLE ELEM PUBLIQUE TRS ETCHART VALERIE TD FUM EL ECOLE ELEM JEAN JAURES ADJ CL ELE ESCALA JULIE TD FUM EL GALAPIAN ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN JAURES PUBLIQUE ADJ CL R E DIR ELEM 1 RIGAL ARRECGROS M ARIE JOSE VINCENT TP TD GONTAUD DE NOGARET ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R ZIL COUTON STEPHANE TD HAUTEFAGE LA TOUR JUSIX ECOLE ELEM ECOLE M AT GEORGES BRASSENS PUBLIQUE ADJ M AT DIR ELEM 1 DUPONT GARES SANDRA ERIC TD TD LA SAUVETAT SUR LEDE ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ M AT BAPST NATHALIE TD LAGARRIGUE ECOLE ELEM PUBLIQUE DIR ELEM ESTAY CELINE TD LAGUPIE LAROQUE TIM BAUT ECOLE ELEM ECOLE M AT PUBLIQUE PUBLIQUE DIR ELEM ADJ M AT PIERRE DELBOSQ M ARIE CECILE SYLVIE TD TD LAVARDAC COLLEGE LA PLAINE ADJ SPE F ROUSSEL M ARIE-LAURE TD LAVARDAC ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R ZIL M OROZ NADINE TD LAYRAC LAYRAC ECOLE ELEM ECOLE M AT PUBLIQUE PUBLIQUE TIT R BRIG DIR M AT HERBERICHS ROCA M ONNERET M ARIA VERONIQUE TD TD LAYRAC IM E FONGRAVE TRS ROUZADE ARNAUD TP LE PASSAGE ECOLE ELEM EDOUARD LACOUR CLIS 1 M EN BIETH FLORIAN TP LE PASSAGE LE PASSAGE ECOLE ELEM ECOLE ELEM EDOUARD LACOUR FERDINAND BUISSON ADJ CL R E ADJ CL ELE HUE CHARLES THIERRY PAULINE TD TD LE TEM PLE SUR LOT ECOLE PRIM PUBLIQUE ADJ M AT LEHM ANN M AGALI TD LOUBES BERNAC ECOLE M AT PUBLIQUE DIR M AT 1 TODESCO LAETITIA TD M ARCELLUS M ARCELLUS ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE DIR ELEM ADJ CL ELE LADAURADE PEGLIASCO SANDRINE CHRISTINE TD TD M ARM ANDE ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT ADJ CL ELE BENETEAU DAVID TD M ARM ANDE M ARM ANDE ECOLE ELEM ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT EDOUARD HERRIOT ADJ ELE LV ADJ CL ELE DECOSSE HAY GAETAN FLORENCE TD TD M ARM ANDE ECOLE ELEM EDOUARD HERRIOT ADJ CL ELE LAUR SEVERINE TD M ARM ANDE ECOLE ELEM JEAN JAURES ADJ CL ELE GONZALEZ ANTHONY TD M ARM ANDE M ARM ANDE ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN JAURES LOLYA ADJ CL ELE ADJ CL ELE NAU BERQUE NICOLAS VERONIQUE TD TD M ARM ANDE ECOLE ELEM LOLYA ADJ CL ELE RONDEAU AUDREY TD M ARM ANDE ECOLE ELEM THIVRAS-COUSSAN REM P ST FC M AGNIER LEA TD M ARM ANDE M ARM ANDE ECOLE M AT ECOLE M AT E.LABRUNIE E.LABRUNIE TIT R ZIL TIT R BRIG ERIT LARCABAL JIM M Y CATHERINE TD TD M ARM ANDE CEDEX COLLEGE JEAN M OULIN ADJ SPE F BURUCOA LAURA TP M ARM ANDE CEDEX COLLEGE JEAN M OULIN ADJ SPE F LANNES JEROM E TD M ARM ANDE CEDEX M AUVEZIN SUR GUPIE COLLEGE ECOLE ELEM JEAN M OULIN PUBLIQUE ADJ SPE F DIR ELEM 1 M AURIN FILIPOZZI ANNE SOPHIE M YRIAM TP TD M EZIN ECOLE M AT PUBLIQUE TIT R BRIG SARTHOU LUCILE TD M IRAM ONT DE GUYENNE ECOLE ELEM JEAN M OULIN TRS CABIROL BRUNO TD M IRAM ONT DE GUYENNE M IRAM ONT DE GUYENNE ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN M OULIN JEAN M OULIN ADJ CL R E ADJ CL ELE CHAILLOT HAVRET JEAN LUC SANDRINE TD TD M IRAM ONT DE GUYENNE ECOLE M AT PUBLIQUE DIR M AT ARM AND VERONIQUE TD M OIRAX ECOLE ELEM PUBLIQUE TIT R BRIG DE PINA TONI TD M OIRAX M OIRAX ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE ADJ CL ELE DIR ELEM FAYOLLES PEYCELON M YLENE CHRISTINE TD TD M ONBAHUS ECOLE ELEM ECOLE PUBLIQUE DIR ELEM GRIM AL ANNE TD M ONSEM PRON LIBOS M ONSEM PRON LIBOS COLLEGE ECOLE M AT KLEBER THOUEILLES PUBLIQUE ULIS OPT D DIR M AT BOVIS VAYSSIERES LAURENT SONIA TD TD TD M ONTAGNAC SUR AUVIGNON ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ M AT ROSSIGNOL NATHALIE M ONTAYRAL ECOLE ELEM PETIT BOIS TRS RIGAL AUDREY TD M ONTPEZAT M ONTPEZAT IM E IM E M ONCLAIRJOIE M ONCLAIRJOIE ADJ SPE D ADJ SPE D LEROUX TAM ISIER ELODIE JEAN PHILIPPE TP TP NERAC ECOLE ELEM JEAN ROSTAND ADJ CL ELE CAVERO PIERRE TD NERAC ECOLE ELEM JEAN ROSTAND TIT R BRIG LABAT AM ELIE TD NERAC PAULHIAC ECOLE ELEM ECOLE M AT M ARIE CURIE PUBLIQUE ADJ CL ELE DIR ELEM OSTERGAARD CORBEL SANDRINE EM ILIE TD TD Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 9 à P A U L H I A C CAPD du 22/05/15 de P E N N E d’ A G E N A I S Mouvement par écoles : … fin PENNE D AGENAIS PENNE D AGENAIS ECOLE ELEM ECOLE M AT PUBLIQUE ECOLE DU PORT TRS ADJ OCC FEIJOO LAM OUROUX M ELANIE AM ELIE PENNE D AGENAIS PONT DU CASSE PONT DU CASSE ETAB. SPE. ECOLE ELEM ETAB. SPE. ITEP ST M ARTIN JEAN VILLEM IN ITEP FOURTY ADJ SPE D ADJ CL ELE ADJ SPE D M ONFRAIX NICOLET THIBAUD M ARIE NOELLE TD CATHERINE TD CARINE TP PORT STE M ARIE PORT STE M ARIE ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE ADJ CL ELE TIT R ZIL DEM ICHELET LEROUVREUR CHRISTELLE DOM INIQUE TD TD PORT STE M ARIE ROQUEFORT ROQUEFORT ROQUEFORT ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE DU PLACIE DU PLACIE DU PLACIE TIT R BRIG ADJ OCC ADJ OCC TIT R BRIG BAQUET CARRERE FILLON CAM PGRAND M ARINI GUILLAUM E ANNE CECILE REGIS TD TD TD TD ROUM AGNE SAVIGNAC SUR LEYZE SOUM ENSAC ST BARTHELEM Y D AGENAIS ECOLE PRIM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE ADJ M AT DIR ELEM 1 DIR ELEM 1 ADJ M AT REBEYROTTE CEZAR BLANCHET BIN BENEDICTE FLORENCE AUDREY M ARYLINE TD TD TD TD ST BARTHELEM Y D AGENAIS ST ETIENNE DE FOUGERES ST ETIENNE DE FOUGERES ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE ADJ CL ELE DIR ELEM ADJ M AT GRAM AGLIA ANDRIEUX BERGOUGNIOUX M ARYLINE JONATHAN LAURE TD TD TD ST FRONT SUR LEM ANCE ST HILAIRE DE LUSIGNAN ST HILAIRE DE LUSIGNAN ST LAURENT ST M ARTIN CURTON ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE RPI ANTAGNAC-ST M ARTIN DIR ELEM 1 ADJ CL ELE ADJ M AT ADJ ELE LV ADJ CL ELE IDOIPE FAGET PUJOL FAREZ M IRANDE SARAH CECILE ANNICK CELINE CATHY TD TD TD TD TD ST SIXTE ST VITE ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE LOUIS TULET DIR ELEM 1 DIR ELEM HECQUEFEUILLE PLANTE FRANCOIS PAULINE TD TP STE BAZEILLE STE BAZEILLE ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE TIT R ZIL ADJ CL ELE GRIPPON PINAUD LAURA BERNADETTE TD TD STE BAZEILLE STE COLOM BE EN BRUILHOIS STE LIVRADE STE LIVRADE STE LIVRADE STE LIVRADE SUR LOT STE LIVRADE SUR LOT STE LIVRADE SUR LOT ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE PUBLIQUE CAYRAS CAYRAS CAYRAS ANDRE BOUDARD ANDRE BOUDARD JASM IN ADJ M AT TRS ADJ M AT M F APP M AT ADJ M AT ADJ CL ELE TIT R ZIL M F APP ELE GAUDIN ARDURAT DESCOM PS LEBRETON REDARES CARTEYRON CHABOT M ERCIER AGEL VALERIE CELINE FREDERIQUE PRISCILLA CELINE SYLVIE FRANCK KARINE TD TD TD TD TD TD TD TP STE LIVRADE SUR LOT TONNEINS TONNEINS TONNEINS TONNEINS TONNEINS TONNEINS TONNEINS TONNEINS TONNEINS TOURNON D AGENAIS TOURNON D AGENAIS VERTEUIL D AGENAIS VIANNE VIANNE ECOLE ELEM COLLEGE COLLEGE ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE M AT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JASM IN GERM ILLAC GERM ILLAC JULES FERRY VICTOR HUGO FRANCOISE DOLTO FRANCOISE DOLTO JEAN M ACE JEAN M ACE M ARIE CURIE PUBLIQUE PUBLIQUE PUBLIQUE JEAN JAURES JEAN JAURES ADJ CL ELE ADJ SPE F ULIS OPT F ADJ CL ELE TRS ADJ M AT ADJ M AT PSY RES ADJ M AT TIT R BRIG ADJ CL ELE DIR M AT ADJ M AT ADJ M AT TIT R ZIL SAUBEBELLE LOPEZ ROUSSEL BRUNEAU BOUTY OXOBY RAFFIN IM BERT RIELLO LABARRERE CAUSSAT CORTET STRYJAKOWSKI PERRIOT PORTANEL M YRIAM PATRICK NICOLAS M AGALI M ARIE ISABELLE SANDRA JEAN LUC SABRINA CAM ILLE M URIEL JULIE GAELLE CATHERINE CORINNE TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD TD VILLEFRANCHE DU QUEYRAN VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM PUBLIQUE DESCARTES DESCARTES GUY DE SCORAILLE GUY DE SCORAILLE ADJ M AT ADJ CL ELE DIR ELEM ADJ CL ELE TIT R BRIG DAL M OLIN GHIZZARDI AOUM EUR VILARELLE GRACE SCHAEFER CYNTHIA VANESSA M ICHELE VERONIQUE CELINE TD TD TD TD TD VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JEAN JAURES JEAN JAURES JEAN JAURES ADJ CL ELE ADJ CL ELE ADJ CL ELE BERGOUNIOUX PATRICK GUIGNARD-LEBRETON HELENE WATTRELOS M URIEL TD TD TD VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT ECOLE ELEM ECOLE ELEM ECOLE ELEM JULES FERRY JULES FERRY LUFLADE ADJ CL ELE TIT R BRIG TIT R ZIL LASNIER PINCHON PERAT TD TD TD M AGALI ROM AIN JULIE TD TD VILLENEUVE SUR LOT ECOLE ELEM PONT DE M AROT M F APP ELE BAILLY SANDRA TP VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT ECOLE M AT ECOLE M AT ECOLE M AT GEORGES LECOM TE GEORGES LECOM TE JEAN M ACE ADJ M AT ADJ M AT DIR M AT CRASSAT RIGAUDIE BARBIER VERONIQUE ANNIE CELINE TD TD TD VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT VILLENEUVE SUR LOT ECOLE M AT EREA EREA JULES FERRY M ARIE-CLAUDE LERICHE M ARIE-CLAUDE LERICHE ADJ CL R E EDUC EREA ADJ SPE F BONNEAU COULON DUM ONT ANNE FREDERIC ELISABETH TD TP TP VILLENEUVE SUR LOT EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE EDUC EREA LACHET VIRGINIE TP VILLENEUVE SUR LOT EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE EDUC EREA LACOM BE PIERRE TP VILLENEUVE SUR LOT EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE EDUC EREA LALEUF YVAN TP VILLENEUVE SUR LOT EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE EDUC EREA LE GLUDIC ERWAN TP VILLENEUVE SUR LOT EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE EDUC EREA M AIFFREDY KARINE TP VILLENEUVE SUR LOT EREA M ARIE-CLAUDE LERICHE EDUC EREA M ARTINEZ PHILIPPE TP VILLEREAL ECOLE ELEM PUBLIQUE ADJ CL R E LEAL CHRISTINE TP VILLEREAL ECOLE M AT PUBLIQUE DIR M AT PETIT INES TD XAINTRAILLES ECOLE ELEM PUBLIQUE DIR ELEM 1 BERLAND AURELIE TD Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 10 à X A I N T R A I L L E S Commissions d’entretien CAPD du 22/05/15 Pour la première Postes sur entretien : fois, des postes de Référent scolarisation MDPH POURAJAUD ÉRIC TD direction d’école Éducateur principal EREA VILLENEUVE/LOT BROUILLET CAROLINE TP échappent au mouDirection 10 classes ECOLE ELEM BRASSENS BON ENCONTRE MARTY CATHERINE TD vement et passent donc par une com- Direction 10 classes ECOLE ELEM JEAN JAURES FUMEL HERNANDEZ SYLVIE TD mission d’entretien. C’est là une volonté du recteur qui position de l’IA-DASEN. On va encore nommer de jeunes collèsemble avoir une appétence particuLe SNUipp-FSU 47 dénonce et argugues sur de grosses directions. Ils ne lière pour le profilage des postes… mente, une fois de plus, sur le fait que les assureront pas et il y aura de nousi les commissions se tenaient plus tôt veau des délégations… L’IA-DASEN refuse d’affecter deux col- cela permettrait d’affecter un plus L’IA-DASEN répond que notre demande lègues à titre définitif sur les postes grand nombre de collègues à titre dé- est très censée mais qu’il ne souhaite qui sont libérés suite aux commissions finitif : c’est le but du premier mouve- pas faire de modifications... d’entretien. Le SE-UNSA soutient la ment. Congés de Formation Le SNUipp-FSU 47 rappelle que le congé de formation doit être attribué aussi aux personnels qui ont des projets de reconversion. L’IA-DASEN répond qu’il n’a pas de crédits suffisants et donc qu’il procèdera en fonction des nécessités de service du premier degré… Au fil de la CAPD ... Congés Formation accordés à : Pour une durée de : BESNIER Muriel 5 MOIS FOURGEAUD Sylvie 8 MOIS et 8 JOURS MICHAUD Karine 7 MOIS Liste supplémentaire en cas de défection sur la liste principale : PEGLIASCO Christine 9 MOIS et 15 JOURS BERQUE Véronique 10 MOIS La CAPD s’ouvre sur la seule déclaration tions au droit des collègues, d’autant des élu-e-s du SNUipp-FSU 47. plus que, encore une fois, ce sont les femmes qui sont victimes de cette dis1)-Mouvement des enseignants du crimination indirecte (cf. par exemple http://www.senat.fr/rap/r07-252/r071er degré. 2523.html#toc61). Nous obtenons, grâce Postes libérés suite aux commissions aux démarches menées en amont de la CAPD qu’une collègue ayant un temps d’entretien : Le SNUipp-FSU 47 demande à ce que ces partiel de droit obtienne satisfaction postes donnent lieu à des remontées de mais les collègues demandant des temps chaîne. L’administration refuse d’étu- partiels sur autorisation se voient trop dier la question préalablement et remet souvent opposer la nécessité de service… Elles seront néanmoins toutes cette étude à la fin de la séance. reçues par l’administration à partir du 27 mai afin de trouver une solution. Non respect du nombre de vœux : Dix collègues n’ont pas respecté les 20 vœux obligatoires et ont donc été appe- Collègues victimes de mesures de carte scolaire : lées par l’administration. Tou-te-s les collègues victimes d’une Voir en page 4. fermeture de classe ont obtenu un Incompatibilité supposée des temps poste à titre définitif sauf une collègue qui a demandé un poste en ASH sans partiels avec certains postes : Des collègues vont se voir proposer un être titrée. poste en délégation car leurs postes ne sont pas compatibles, selon l’adminis- Postes de maître formateur : tration, avec un temps partiel. Nous Le SNUipp-FSU 47 demande à ce qu’il rappelons à l’administration qu’elle n’a soit précisé dans la note de service pas le droit (ce qui a été confirmé par mouvement que les postes de maître le tribunal administratif) de déclarer formateur peuvent être demandés que certains types de postes sont in- même sans titre. Ils ne pourront alors compatibles avec le temps partiel. Elle être obtenus qu’à titre provisoire. doit examiner les possibilités d’organi- Les décharges de maître formateur qui sation du service pour chaque demande. sont mutés restent dans les circonscripLe SNUipp-FSU 47 dénonce ces limita- tions d’origine et seront redistribuées. Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 Postes occitan : Le SNUipp-FSU 47 demande à ce que les postes occitans soient pourvus même si les personnes n’ont pas le titre afin qu’ils ne restent pas vacants. Le demiposte de Monsempron-Libos sera pourvu par un stagiaire qui a l’habilitation et l’administration annonce qu’elle fera appel à des habilités « dormants ». Appels à candidatures : Il y aura un appel à candidature pour la décharge REP d’Agen . Il y aura également un appel à candidature pour le poste FLE d’Aiguillon ainsi que pour le poste de maître G d’Aiguillon. Égalité de barème : Voir en page 4. Erreur de barème : Une collègue arrivant par les permutations n’avait pas le bon barème : points REP non comptabilisés. C’est parce qu’elle a contacté le SNUipp-FSU 47 que nous avons réussi à faire rétablir son barème et qu’elle obtient alors son premier vœu au lieu de rester sans affectation... (Suite page 12) page 11 CAPD du 22/05/15 Au fil de la CAPD ... suite L’administration explique qu’elle traite les dossiers qu’elle reçoit mais que cerL’IA-DASEN s’engage à ce que les com- tains départements ne transmettent pas missions aient lieu plus tôt l’année pro- les dossiers à temps… Le SNUipp-FSU 47 conseille aux collègues d’envoyer aussi chaine . directement les dossiers aux départeVoir page précédente. ments qu’ils souhaitent obtenir . (Suite de la page 11) 2)- Commissions de recrutement. L’administration indique que l’exercice du droit syndical est conditionné au bon fonctionnement du service et s’engage à ce que les personnels qui ont eu un refus cette fois-ci soient prioritaires pour un prochain stage. - ATSEM de la ville d’Agen : un poste 3)- Congés de formation professionL’IA-DASEN réserve sa décision à plus d’ATSEM par école va être supprimé. Il nelle. n’existe aucun texte sur le nombre d’ATSEM mais madame Delage rencontrera la mairie. Nous serons vigilants 7)- Questions diverses. Seuls les représentants des personnels sur les répercussions que cette mesure du SNUipp-FSU 47 ont posé des ques- aura sur les conditions de travail des tions. Les autres organisations n’en enseignants et des autres ATSEM. avaient pas… - écoles sortant du dispositif de l’éduca- organisation de la formation des PES tion prioritaire : il y aura deux réunions, de l’année : il y aura deux groupes qui l’une pour Monsempron-Libos, l’autre se partageront la semaine de classe. Ils pour Port-Sainte-Marie, pour la signaassureront la rentrée et leurs tuteurs ture des CAPE (Convention Académique auront, si possible, le même niveau de de Priorité Éducative) au début du mois classe. Le SNUipp-FSU 47 demande à ce de juin. L’IA-DASEN convoquera les qu’il soit possible que les deux collè- chefs d’établissements, les IEN, les maigues soient présents le jour de la ren- res des communes concernées ainsi que les représentants des parents d’élèves. trée. Cela sera demandé à l’ESPE. Les coordonnateurs ne seront pas stage RAN (remise à niveau) : suite à la conviés car ils ne sont pas signataires de demande du SNUipp-FSU 47, une ana- la convention. Les CAPE concerneront lyse qualitative a été enfin faite et 48 essentiellement les taux d’encadrement écoles ont répondu. Voir la synthèse sur et l’accueil des moins de 3 ans. notre site. - indemnité pour les maîtres d’accueil - EVS/AVS et Validation des Acquis d’Ex- temporaire : ils seront payés en juin et périence : le SNUipp-FSU 47 demande à juillet suite à un problème à la DSDEN ce que l’administration fasse savoir aux 33. personnels qu’ils peuvent obtenir des renseignements en contactant un numé- - horaire du temps scolaire en materro indigo au rectorat. L’administration, nelle à Villeneuve-sur-Lot : la mairie entre autre, découvre l’existence de ce demande aux collègues de rester ¼ d’heure de plus pour que les parents numéro… puissent venir chercher leurs enfants. Force est de constater que seuls les L’IA-DASEN est saisi du problème. Il dereprésentants du SNUipp-FSU 47 se pré- mande aux collègues de recevoir les occupent des conditions de travail de parents en retard et suivra l’affaire. L’IA adjointe et l’équipe de circonscripces personnels ! tion rencontreront la mairie très pro- consultation des nouveaux program- chainement. mes : Le SNUipp-FSU 47 dénonce le fait qu’il n’y ait pas eu de temps dégagé. L’IA-DASEN pense que la consultation en ligne est plus facile pour les collègues… Ces pages de compte-rendu de la CAPD ont été réalisées grâce qu travail des - stage syndical « souffrance au tra- élu-e-s paritaires du SNUipp-FSU : vail » : il y avait 57 inscrits. 23 collèCHABOT-MERCIER Franck, gues ont obtenu l’autorisation et 34 ont GUILLEM Philippe, été refusés. Nous demandons pour MILHET Sandrine, quelles raisons la participation à ce TOKATLIAN Séverine, stage, organisé par le SNUipp-FSU 47, PRADINES Michelle, a été refusée à certains collèPUJOS Anne-Laure, gues. tard… Voir page précédente. 4)- Liste d’aptitude des professeurs des écoles. Une candidate institutrice est intégrée dans le corps des professeurs d’école. Il reste, à ce jour, 11 instituteurs dans le département. 5)- Accès à la hors-classe. 52 collègues sont promus à la horsclasse. Dans cette liste, il y a plus d’hommes que de femmes alors qu’il y a beaucoup plus de collègues femmes que de collègues hommes… Encore un exemple de la discrimination indirecte dont les femmes font les frais. Rappelons que l’accès à la hors-classe est l’un des seuls moyens d’obtenir une augmentation en fin de carrière. Rappelons que le SNUipp-FSU 47 demande l’avancement au meilleur rythme pour tous garantissant un accès à l’indice 783 pour tous les collègues. Le SNUipp-FSU 47 demande l’élévation du plafond de note corrigée en cas de retard d’inspection. L’administration refuse de porter la limite à 20. L’IADASEN accepte néanmoins que le plafond soit porté à 19,75 tant pour le passage à la hors-classe que pour les promotions. 6)- Ineat et exeat. Le SNUipp-FSU 47 demande à ce que tous les exeats soient accordés qu’ils soient pour un département de l’académie ou pour une autre académie. Une permutation a été annulée et cela permettrait d’accorder, tout de suite, un ineat. Une discussion s’engage sur le choix de la personne qui obtiendrait cet ineat : - FO explique que le barème est inégalitaire et demande à ce que l’IA-DASEN accorde les ineats en fonction de l’ancienneté de la demande. - le SNUipp-FSU 47 n’est pas d’accord avec cette position. Le barème est seul garant de l’égalité entre les collègues. De plus, l’ancienneté de la demande est déjà prise en compte dans le calcul des barèmes. Singuliers Pluriel SALMOIRAGHI Sylvie Toutes les infos sur : http://47.snuipp.fr N°92 — mai 2015 page 12 Formation continue ? Paritarisme Conseil de formation du 22 mai Dispositif « Plus de maîtres que de classes » (PDMQDC) : L'administration nous présente le plan Ces stages sont réservés aux enseide formation pour l'année scolaire gnant-e-s PDMQDC qui n'exercent pas 2015/2016 qui a été élaboré en fonc- en REP. tion de priorités définies nationalement, académiquement et départe- Stage directeurs-trices : La formation des directeurs-trices durementalement. Cette année, seulement 16 remplaçants ra dorénavant 5 semaines et 3 jours. sont prévus pour assurer les départs en Cette année, il y aura 1 semaine en formation continue sur le département. septembre pour les directeurs-trices à C'est également pour cette raison la rentrée 2015 (informations minimales qu'une partie de la formation continue pour débuter l'année), puis l'équivalent de 4 semaines réparti jusqu'au mois de se fera à distance... mai. 3 semaines sont prévues en juin pour Éducation prioritaire : Ce plan de formation accorde une prio- les entrants en fonction à la rentrée rité à la formation des enseignant-e-s 2016. en éducation prioritaire. Cette forma- Une partie de cette formation se fera à tion sera basée sur un référentiel natio- distance (le directeur/la directrice sera nal et ne concernera que les titulaires déchargé-e de sa classe pour faire d'une classe en éducation prioritaire cette formation à distance). ainsi que les « plus de maîtres que de Les directeurs-trices par intérim auront classes » exerçant en REP. L'administra- une formation de 2 jours en septembre. tion nous informe que les autres intervenant-e-s en éducation prioritaire Maîtres d'accueil temporarire (MAT) : (TRS, Brigade, ZIL…) ne sont pas Rien n'est prévu pour eux/elles dans le concerné-e-s par cette formation, car plan de formation. Leur formation se le nombre de remplaçant-e-s est limité. fera sur les animations pédagogiques. Les formateurs-trices demandent que Stages écoles Labrunie et Herriot de les MAT soient inclus-e-s dans le stage Marmande (ciblées politique de la « formation des formateurs » (5 jours) afin d'harmoniser les pratiques. Cela ville) : Ces stages seront similaires aux stages n'est pas possible dû au nombre de REP puisque basés sur le même référen- remplaçant-e-s disponibles, répond l'administration. tiel. ment qu'ils/elles ne connaissent pas encore le plan de charge de travail pour l'année prochaine. Suite à la présentation par l'administration des stages mis au plan de formation continue, le SNUipp-FSU 47 l'interpelle sur plusieurs points : REP : une enveloppe budgétaire estelle mise en place par l'éducation nationale pour assurer les projets pédagogiques des équipes en REP ? Non, les efforts budgétaires concerneront l'accompagnement éducatif. Cependant, une enveloppe spéciale permet la mise en place des stages Dispositif – de 3 ans : une dizaine de Formation T1 : REP au plan de formation. stagiaires sur le département. Sur les 18 heures de formation prévues, seules 10h30 seront prises sur le plan Projets éducatifs territoriaux (PEDT) : de formation. Les 7h30 restantes seront Stages occitan : qu'est-ce que ce stage ? effectuées sur les animations pédagogi- Habilitation : 4 jours sur 2 années MAÏADAS : cette année, formation sur 16 enseignant-e-s volontaires seront ques. cycle 3/collège associé-e-s à 16 collectivités territoEnseigner l'occitan : formation cycles 1 riales pour participer à la mise en Tuteurs-trices directeurs-trices : œuvre des PEDT. Ce stage est nouveau, mis en place et 2. suite à la modification des textes concernant la prise de fonction des Liaison école/collège : suite aux diffi- Beaucoup de stages sont à public désicultés de mise en œuvre des liaisons les gné. Quels sont ceux qui se feront sur directeurs-trices d'école. Les IEN vont choisir les tuteurs-trices années précédentes, la mise en place appel à candidature ? des directeurs-trices en fonction d'une ne se fera que s'il y a des demandes Les stages PEDT (1 jour), apprendre proximité géographique, de l'expé- conjointes du collège et des écoles par les maths (1 jour), EPS en materrience du directeur/de la directrice, et l'intermédiaire de l'IEN. nelle (3 jours dont 1 à distance), et de ses qualités relationnelles. CHSCT (2 jours) ne sont pas des staIl y aura 1 tuteur-trice pour 1 direc- Lien administration/ÉSPÉ : l'adminisges à public désigné. Ils feront l'obteur-trice. Les indemnités s'élèveront à tration informe les représentant-e-s de jet d'un appel à candidature. 300 € pour l'année, il n'y aura pas de l'ÉSPÉ que les professeurs peuvent se frais de déplacement (la plupart des porter candidats pour assurer les stages Animations pédagogiques : elles n'apcommunications devant se faire par du plan de formation, même s'ils n'ont paraissent pas dans le plan de formapas au préalable été consultés pour tion. Que vont-elles concerner ? mail ou téléphone). mettre au point ce même plan de for- Il y aura 3 heures obligatoires l'anmation. née prochaine (programmes materLes représentant-e-s de l'ÉSPÉ infor- (Suite page 14) Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 13 Paritarisme (Suite de la page 13) nelle), et l'année suivante 6 heures obligatoires (programmes élémentaires). En plus, d'autres animations pédagogiques seront proposées sur des parties du programme (Éducation morale et civique, ...) Adaptation des parcours PES : cette année, la formation initiale des PES a été chaotique. L'adaptation des parcours de formation des stagiaires a été compliquée à mettre en œuvre. Qu'estce qui est prévu pour coordonner les parcours de formation, du côté de l'administration et du côté de l'ÉSPÉ ? Les PES pourront-ils être en classe en binôme pour la rentrée ? l'ÉSPÉ annonce une baisse des horaires de formation en présentiel pour l a r e n t r é e 2 0 1 6 . Rien n'est prévu pour l'année prochaine. Formation continue ? … suite L'IEN en charge de la formation demande que les PES soient en cours et que les feuilles d'émargement soient précises par rapport aux cours suivis. Information de l'ÉSPÉ : pour adapter les parcours, il faut obligatoirement établir dès la rentrée un bilan de compétences des stagiaires, dans la réalité ce n'est pas fait. Ça devrait se réguler cette année. L'année prochaine, les PES seront en binôme pour la plupart sur un poste classe (18,5 postes bloqués au 1er mouvement). L'affectation des stagiaires, et donc la constitution des binômes, se fera en fonction du rang au concours, mais la répartition du stage sur la semaine (début ou fin de semaine en classe) permettra peut-être de faire deux groupes ÉSPÉ plutôt homogènes par rapport à l'adaptation des parcours de formation que nous demandons. L'affectation sera faite en juillet si on connaît les résultats des concours avant les vacances. La demande du SNUipp-FSU 47 que les stagiaires puissent assurer la rentrée en binôme sera étudiée. Stage C2I2E : nous nous réjouissons de voir au plan de formation l'apparition du stage C2I2E à destination des lauréat-e-s des concours 2012, 2013 et 2014 exceptionnel. L'obligation de la mise en place de cette formation avait été rappelée aux recteurs-trices suite aux interventions du SNUipp-FSU national. Cependant le nombre de places n'est pas précisé. Quel est le nombre de places disponibles et quels sont les besoins sur le département ? Le nombre de places sera subordonné aux remplaçant-e-s disponibles. Nous n'avons pas encore évalué les besoins sur le département. Anne-Laure PUJOS Le SNUipp-FSU 47 remarque que la plupart des stages du plan de formation sont des stages institutionnels, à public désigné et sur de courtes périodes. Nous nous étonnons aussi qu'avec l'arrivée des nouveaux programmes, la formation des enseignant-e-s à ceux-ci ne soit pas au centre du plan de formation (seulement un stage sur les programmes maternelle pour Casteljaloux, stage à public désigné). Lorsque nous évoquons le retour des stages longs en pédagogie et didactique, l'IA nous explique que pour lui, ce ne sont pas les collègues qui doivent choisir en fonction de leurs besoins, mais que les stages proposés doivent répondre aux besoins de l'éducation nationale. Le SNUipp-FSU 47 rappelle son opposition à ces pratiques managériales qui ne permettent pas une réelle formation continue. Paritarisme Affectation des PES Depuis cette année, la formation initiale des professeurs des assurer un mi-temps en responsabilité de classe est beaucoup écoles stagiaires (PES) s'organise en un mi-temps à l'ÉSPÉ et un trop lourd. mi-temps en responsabilité de classe. Le SNUipp-FSU demande la diminution du temps de stage à un L'administration prévoit une quarantaine de PES à la rentrée maximum de tiers-temps de façon à permettre aux stagiaires prochaine. Malgré notre opposition, elle a décidé de bloquer d'analyser leur pratique de classe, d'assimiler les apports théorides postes classes dès la première phase du mouvement. ques et de préparer les temps de classe dans des conditions Initialement il y avait 21 postes classes bloqués, nos intervencorrectes. tions ont permis de baisser ce nombre à 18. Postes réservés pour l’affectation des PE stagiaires Voici la liste des écoles qui accueilleront des PES à la rentrée : ENSEIGNANT CLASSE MATERNELLE ENSEIGNANT CLASSE ELEMENTAIRE À noter : 18, 5 postes bloqués à la phase 1 du mouvement. L'IA-DASEN bloquera encore 5,5 postes à la phase 2 du mouvement. Le SNUipp-FSU 47 rappelle son opposition sur le fond et sur la forme à cette mise en œuvre de la formation initiale. Sur le fond, les fonctionnaires stagiaires doivent pouvoir bénéficier d'une entrée progressive dans le métier, avec des stages d'observation et de pratique accompagnée, puis des stages en responsabilité. Ils ne doivent pas être en responsabilité de classe dès la rentrée, sans formation. Devoir sur la même année se former au métier d'enseignant, valider un master et AGEN E.M.PU Sembel BOE E.E.PU Moulin BEAUPUY E.P.PU BON ENCONTRE E.E.PU Brassens BOURRAN E.P.PU ESTILLAC E.P.PU CAUMONT/GARONNE E.P.PU HAUTEFAGE LA TOUR E.P.PU LAVARDAC E.M.PU LAYRAC E.E.PU MARMANDE E.P.PU Beyssac LE PASSAGE E.E.PU Bétuing MONFLANQUIN E.M.PU MEZIN E.E.PU PUJOLS E.M.PU Petit tour PUJOLS E.E.PU Petit tour SOS E.P.PU ST PASTOUR E.E.PU Singuliers Pluriel ENSEIGNANT OCCITAN 1/2 MONSEMPRON LIBOS E.E.P.U N°92 — mai 2015 page 14 Quel avenir pour les SEGPA ? Des discussions sont en cours, le ministère de l'éducation nationale souhaite réformer le fonctionnement des SEGPA et publier pour une nouvelle circulaire pour la rentrée 2016. Le SNUipp-FSU a lancé une consultation des enseignants qu'il vient de remettre au ministère le 18 mai dernier à l'occasion du second groupe de travail consacré aux SEGPA. Des premières avancées ont été obtenues mais en l'état le projet de réforme n'est pas acceptable, il doit être amélioré. Dès le printemps 2015, ce projet de circulaire se voit refusé par les syndicats, la copie était à revoir sérieusement. Où en est-on ? Une plus grande inclusion de tous ? L'évolution du traitement de la grande difficulté scolaire tend vers une vision individualisée alors que jusqu'à présent plutôt collective. Pour engager la concertation le MEN s'est appuyé sur les deux rapports récents portant sur la grande difficulté scolaire : Le rapport Delaubier de novembre 2013 et l'avis de Sylvie Tolmont d'octobre 2014 (1) . Ce dernier répond à une demande l'OCDE pour une harmonisation des classifications : en France, nous disons «élèves en grande difficulté scolaire » alors qu'il faudrait dire « élève à besoin éducatif particulier » (EBEP) selon la classification de l'OCDE... Indispensable pour pouvoir comparer les résultats scolaires de chaque pays à travers les enquêtes PISA ! Elle a souhaité s'interroger plus particulièrement sur l'avenir des SEGPA et des EREA à l'heure de la refondation du collège et en s'appuyant sur le rapport Delaubier. Allant jusqu'à évoquer l'extinction à long terme des SEGPA sous de strictes conditions, précisément celles d'avoir réussi la refonte du collège unique en préalable. De quoi rassurer les collègues de ces structures ... L'objectif de ces écrits est d'évaluer le rapport entre la difficulté, son traitement et le coût de l'intégration avec une volonté de simplifier le traitement par plus d'inclusion dans les classes ordinaires. Le coût de la scolarisation d'un élève de SEGPA est de 7000 € alors que celui d'un collégien est de 4200€. On constate un passage de la grande difficulté (adaptation) vers un traitement médicalisé (handicap). Sans contester l'efficacité, ni l'utilité de la structure SEGPA, les rapports évoqués précédemment dénoncent l'aspect dérogatoire de ces structures vis-à-vis du principe de l'inclusion scolaire promu par la loi du 8 juillet 2013 (refondation de l'école). La SEGPA : une structure qui donne plus à ceux qui ont le moins. En moyenne les élèves scolarisés en SEGPA représentent près de 3 % des collégiens (moyenne indiquée sur le rapport Tolmont qui pour notre Recteur d'Académie a tendance à devenir une variable d'ajustement au moment des attributions de postes alors qu'aucun cadrage national n'existe à ce sujet). A la rentrée 2013, les SEGPA accueillaient 94 384 élèves. Depuis 10 ans, on constate une baisse des effectifs ( 17% entre la rentrée 2002 et celle de 2013 ce qui représente près de 20 000 élèves en moins). Le démantèlement des RASED durant le précédent quinquennat n'y est pas pour rien et il a accentué les difficultés des enseignants à mettre en œuvre la procédure d'orientation des élèves en grande difficulté après le CM2. Et pourtant, la SEGPA est une voie de réussite scolaire et de reprise de l'estime de soi pour ces élèves dont plus de 60 % sont enfants d'ouvriers ou d'inactifs. Plus de la moitié des élèves inscrit en SEGPA font ensuite leur scolarité en lycée professionnel. Pour les autres, près de 90 % de ces élèves issus de SEGPA vont en CAP, ils ne sont plus en décrochage scolaire et parmi eux 8 sur 10 obtiennent leur diplôme. Le maillage géographique des SEGPA constitue une difficulté supplémentaire car ces élèves sont soumis à des temps de transport de plus en plus longs. Les premières avancées obtenues par le SNUipp-FSU Définition de la SEGPA : La circulaire acte la SEGPA comme une structure « qui a toute sa place dans le traitement de la grande difficulté scolaire » et « permet aux élèves de poursuivre leurs apprentissages tout en préparant leur projet professionnel ». Le nombre maximal d'élèves par classe plafonné à 16 devrait être écrit noir sur blanc. Du temps pour les personnels : Deux heures de coordination-synthèse de la 6e à la 3e pour tous les PE sont introduites pour permettre le travail en équipe pédagogique. Jusque-là, les PE bénéficiaient en moyenne d'1H30 de coordination et de synthèse. Reste le montant de rémunération de ces heures qui est toujours injustement inférieur de 30 % à celui des certifiés. Sur ce sujet, le SNUippFSU a eu l'assurance que des discussions au point mort depuis novembre allaient reprendre prochainement. Nous y porterons les revendications d'obtenir le même taux pour les HSE que l'ensemble des col- Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 École lègues, ainsi que le versement de l'ISAE au niveau de l'ISOE et le passage à 18h. Clarification sur le public concerné : La circulaire précise que : « la SEGPA n'a pas vocation à accueillir des élèves au seul titre du trouble du comportement ou des difficultés liées à la compréhension de la langue française » Quelle classe de 6e ? Le fonctionnement de la classe de 6éme reste encore à clarifier. Si le SNUipp a obtenu l'inscription des élèves en classe de 6e SEGPA (et non dans une classe 6éme de référence), le flou sur son organisation pédagogique et sur les missions des PE spécialisées demeurent. Classe d'enseignement adapté ou dispositif d'aide à la grande difficulté scolaire ? Le projet ministériel reste confus et irréaliste. Le ministère n'est d'ailleurs pas en mesure de fournir des exemples d'emploi du temps pour expliquer le fonctionnement concret de son projet. En l'état, tous les élèves de la SEGPA ne peuvent pas être lâchés dans le grand bain au sein d'une 6e. Sans moyens supplémentaires et sans formation et avec la réalité du collège aujourd'hui (effectifs chargés dans les classes de 6e , multiplication des enseignant dans les collèges, multitudes des divers emplois du temps, …), cela ne pourrait fonctionner qu'au détriment des élèves qui ont besoin d'un cadre adapté permettant réassurance, reprise de confiance en soi et réussite. Pour le SNUipp, la 6e SEGPA doit être réaffirmée comme une classe permettant les enseignements adaptés aux besoins des élèves. Dans le même temps, l'intégration des élèves au sein du collège doit être développée et facilitée. De plus, la co-intervention entre PE et PLC (professeurs de collège) peut-être une modalité d'enseignement au choix des équipes mais ne peut être imposé comme le seul modèle d'apprentissage. Sur ces points, le SNUipp-FSU a demandé des modifications et des éclaircissements dans l'écriture de la circulaire. L'inclusion de tous les élèves reste un vrai défi à réussir pour notre système éducatif. Pour cela, il faut les moyens et les formations nécessaires pour qu'elle soit source de réussite pour les élèves et de travail de qualité pour les enseignants. Le SNUipp-FSU continue de porter l'exigence d'une SEGPA organisée avec une structure à quatre divisions incluant la classe de 6e SEGPA permettant le fonctionnement d'un groupe-classe stable et ouvert avec une équipe enseignante resserrée. (Suite page 16) page 15 École SEGPA ? … suite (Suite de la page 15) Que disent les enseignants de SEGPA : les résultats l'enquête FSU(2) Premier enseignement, si 86 % se déclarent très attachés à la structure organisée en quatre divisions de la 6e à la 3e, 87 % demandent une meilleure articulation avec le collège dans la vie scolaire des élèves. Des évolutions structurelles attendues La SEGPA doit conserver sa structure à 4 divisions et l’organisation des enseignements dans des classes de la 6e à la 3e. En l’état, il est souhaitable, pour ces élèves aux difficultés scolaires avérées et persistantes, de conserver le format actuel de classe SEGPA. L’articulation SEGPA/collège peut être renforcée à condition de bénéficier de moyens supplémentaires fléchés (temps pour préparer en équipe, effectifs allégés pour les classes qui intègrent des élèves sur certains enseignements…) Le projet de transformer la classe de 6e SEGPA en un dispositif d’aide et de cointervention auprès d’élèves scolarisés en 6e, comme l’envisage pour l’instant le ministère lors du premier round de discussion, ne fait pas recette. Seuls 17 % y sont favorables et uniquement pour certains élèves. L’attachement à la classe de 6e SEGPA est fort. Elle est considérée comme le bon format pour construire un enseignement adapté aux besoins de ces élèves en grande difficulté. 83 % souhaitent en revanche voir se développer une meilleure intégration au sein collège, par des projets communs d’enseignement pour par exemple l’EPS, les arts, la technologie, mais aussi les maths ou le français, par la mise en place de groupes de besoins et de projets culturels par niveaux de classes et avec les moyens nécessaires. dalité d’orientation liée à la mise en place du cycle CM1-CM2-6e, le projet de circulaire prévoyant une pré-orientation en SEGPA en fin de CM2, confirmée ou pas en fin de 6e. 42 % y sont favorables et 51 % opposés, préférant une orientation dès la fin du CM2 et une réévaluation possible ensuite. Sandra TUFFAL (1) Les deux rapports sont : - Le rapport de l'inspecteur général de l'EN Jean-Pierre Delaubier datant de novembre 2013 portant précisément sur « Le traitement de la grande difficulté au cours de la scolarité obligatoire ». Consultable avec les références suivantes sur internet : Rapport n°2013-095. - Sylvie Tolmont est députée en charge de la commission des affaires culturelles et de l'éducation pour le projet de loi de finance 2015. Rapport N°2261 Tome IV consultable sur le site de l'assemblée nationale. (2) Enquête en ligne réalisée par le SNUipp-FSU auprès de 728 enseignantes et enseignants de SEGPA entre le 2 et le 9 avril 2015 Leur avis est par ailleurs très partagé sur une nouvelle mo- Courrier Point de vue ENSEIGNEMENT SPÉCIALISÉ (nouveautés ?) Très attentive à l’évolution de mon ancien métier d’enseignante spécialisée, je ne manque pas de me tenir informée de ses évolutions. Parents et enseignants déplorent à chaque carte scolaire l’absence de nouveaux postes d’enseignants spécialisés qui avaient été décimés du temps du « sarkosysme ». Or j’apprends qu’une nouvelle réforme des cycles va être mise en place (un recul aurait été obtenu jusqu’à la rentrée 2016). Le 3e cycle serait composé des classes de CM1 , CM2 et 6e ! Le second , des classes de Cours préparatoire, CE1 et CE2 et le premier de la grande section maternelle, de la moyenne et de la petite section. Tiens les tous petits ont disparu ! Or en 2012, elle avait été rétablie et préconisée en priorité dans les écoles situées dans un environnement social moins favorisé : zones urbaines , zones rurales et zones de montagne. Des économies faites sur le dos des jeunes enfants ! Mais ce qui me laisse abasourdie, c’est que les élèves en très grandes difficultés en CM2 pourraient ne plus être orientés en SEGPA (Section d’ Enseignement Général et Professionnels Adaptés). Ils seraient en « inclusion » dans les classes de 6e déjà surchargées où ils recevraient des aides ponctuelles et adaptées, apportées par un enseignant spécialisé . Les SEGPA (anciennement SES : Section d’Éducation Spécialisée) ont été conquises par les luttes après 1968 (!) pour apporter un enseignement général et une initiation professionnelle aux élèves en très grande difficulté scolaire. Ils sont 16 maximum par section et les maîtres spécialisés ont fort à faire pour aider ces élèves présentant des parcours scolaires difficiles, ancrés dans l’échec avec des niveaux hétérogènes et dysharmoniques. Je le sais par expérience. Ils renouent avec l’envie d’apprendre et se retrouvent dans une dynamique de réussite scolaire en construisant une estime de soi . A mon sens il serait judicieux de rendre la scolarité obligatoire pour tous jusqu’à l’âge de 18 ans afin que ces élèves en particulier puissent continuer leur cursus en enseignement professionnel dans les lycées ou en apprentissage. Ils obtiendraient ainsi le niveau 5 avec diplôme à la clef au lieu d’être, à la sortie du collège orientés vers un marché de l’emploi peu qualifié, précaire et polyvalent dans le cadre d’un marché du travail soumis aux intérêts patronaux. Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 L’Éducation Nationale n’a pas à adapter l’Éducation aux lois du marché et de la concurrence. Et si privée de leur socle, les SEGPA s’effondraient, il en serait terminé avec l’enseignement adapté aux adolescents et on en reviendrait avant 1970. Les conséquences seraient désastreuses : démobilisation scolaire, décrochage, violence sociale. Il faut constater que l’école française est de plus en plus inégalitaire or nous aurons besoin demain de plus en plus de citoyens et de travailleurs émancipés face aux défis nouveaux de l’Économie et de la Démocratie. Une véritable école de l’égalité, c’est apporter à chaque élève l’aide individualisée dont il a besoin , en un mot de donner plus à ceux qui ont le moins. Évidemment cela suppose d’autres choix politiques : des moyens investis dans l’École et non au service des banques privées et des actionnaires choyés par la loi Macron. En un mot mettre en place une véritable politique de Gauche pour mettre en place le « tous capables » de la loi d’Orientation de 2005. Marie-Renée GÉRARD page 16 École Les nouveaux programmes ANTI Parce qu’il va falloir sérieusement démêler tout ça Parce que les remarques des enseignant-es risquent de piquer Parce qu’on espère qu’ils ne finiront pas aux abattoirs dans deux ans Parce qu’on est plutôt pour l’idée de nouveaux programmes Réécrire les programmes scolaires, en prenant l’avis des enseignant-es, est une bonne idée. Mais aucun temps n’est dégagé pour participer à cette consultation. Le morcellement des textes ne permet pas une vision globale de ce qu’il faudra faire en classe, et leur logique d’articulation est bien peu compréhensible. La date d’application prévue pour les programmes d’éducation morale et civique est incohérente. Bref, c'est le binz ! Parce que pour le moment ils sont un peu lourds - Des programmes de maternelle publiés au BO et applicables à la rentrée 2015 ; - Un socle commun de connaissances, de compétences et de culture, concernant la scolarité de 6 à 16 ans, publié au BO et applicable à la rentrée 2016 ; - Des programmes d'Education Civique Morale et Civique (EMC) qui seraient mis en place en septembre 2015 mais qui ne sont pas encore publiés ; - Pour les cycles 2 et 3, des programmes soumis à une « consultation » en ligne du 11 mai au 12 juin, pour une mise en application prévue à la rentrée 2016 ; - Aucun document annoncé pour le moment concernant l’évaluation. Consultation sur les projets de nouveaux programmes cycles 2 et 3 Le SNUipp-FSU a fait savoir au ministère que sans une journée banalisée les équipes enseignantes ne pourraient ni s’approprier ces projets de programmes, ni échanger collectivement sur leurs contenus. En effet, combien d’entre nous iront, seul-e devant leur ordinateur et sur leur temps personnel, prendre le temps de lire et de s'exprimer sur ces textes ? Alors, pour vous motiver à vous dégourdir les doigts sur vos claviers, le SNUipp-FSU 47 vous propose quelques remarques, non objectives, et à charge, puisqu’il s’agit de critiquer pour améliorer. Malgré la longueur, rien qu’en regardant les titres on voit qu’il n'y a rien sur l’instruction civique. Il faut alors se rappeler que nous avons reçu un courriel en janvier sur nos boîtes professionnelles qui causait des nouveaux programmes d'Education Morale et Civique et d’une « consultation » en ligne. Voyons voir à quoi ils ressemblent Il faut tout d’abord rassembler le matériel, 42 pages en Cycle 2, et 47 en Cycle 3. Premier constat : le découpage des cycles est donc modifié, le cycle 2 va du CP au CE2, et le cycle 3 du CM1… à la sixième ! L'idéal pour le boulot en conseil de cycle non ? Allons même jusqu’à les lire Sont mélangés les attendus de fin de cycle, les compétences et les connaissances à acquérir avec des Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 exemples d’activités, des propositions de progressions sur le cycle. Que sont devenus les savoirs, savoirs faire et savoir être ? Les différents rédacteurs de ces textes ne mettent pas les mêmes choses derrière les entrées imposées, alors comment les enseignant-es feraient pour s’y retrouver dans tout ce fatras ? Et quand les entrées des tableaux sont les mêmes, leurs contenus ne sont pas toujours du même niveau : conseils, autres compétences, connaissances, activités, tout est mélangé. Il faut simplifier tout cela, sans le rendre simpliste, les enseignant-es ont besoin d’un document qui soit lisible et clair. Que des indications de progressions et des exemples d’activités (plus explicites et développés) soient donnés dans des documents d’accompagnement c’est une très bonne idée, mais pas dans des textes officiels qui font force d’obligation. (Suite page 18) page 17 École Nouveaux programmes : … suite (Suite de la page 17) Quelques points saillants sur le cycle 2 Etaler des formulations pompeuses, particulièrement flagrantes dans la partie français, ne permet pas de mieux enseigner. En Langue Vivante, on comprend bien où il faut en venir, le gros du problème se situe du côté de la formation des enseignant-es… Le contenu de la partie « questionner le monde » contient de nombreuses redondances entre le 1er tableau général et les tableaux suivants, et à l’intérieur de ceux-ci, un scientifique mélange de notions, savoirs et compétences. Quant à la dite compétence « constater l’irréversibilité du temps qui passe » !!!, il faudra la reformuler (et éviter de regarder Retour vers le futur) ! Et sur le cycle 3 Obligation d’un PEAC (projet d’éducation artistique et culturelle) chaque année ? ! Objection ! Jusqu'à présent, les projets de classe relèvent de la liberté pédagogique des enseignant-e-s ! Six pages pour la partie Langue Vivante Etrangère ou Régionale : Longarut ! … et toujours la question de la formation des enseignant-es. Des outils numériques pour produire du son, bien vu mais il n’y a pas que la voix et l’ordinateur qui produisent du son, les instruments et percussions aussi. Le seul endroit où on parle un peu de méthodologie c’est dans la partie histoire et géographie. Ecrire pour communiquer c’est seulement là aussi, pas vu en français ! Les premiers bouquins de classe à changer seront sans doute ceux d’histoire et de géographie, là il y a du changement ! Dans le monde numérique : « Mettre en œuvre des moyens de prototypage, de réalisation, de modélisation à travers des applications variées et programmées », euh, si ça se trouve on sait le faire… mais de quoi parlent-ils en clair ! Dans les deux cycles, il manque tout un pan concret sur méthodologie et autonomie, quand on entre à la « grande école », puis quand on se prépare à entrer au collège. Voilà pour une analyse courte et à la hache ! Mais nous fournissons aussi dans Fenêtres sur Cours, revue nationale du SNUipp-FSU envoyée aux syndiqué-es et aux écoles, un dossier avec une analyse plus développée par discipline ainsi que des avis de chercheurs. Une chose est sûre, le ministère a bien fait de nous montrer les projets et de nous demander notre avis avant de publier des textes de cette importance. Il semblerait que pour les programmes de maternelle, le ministère ait joué le jeu et pris en compte des avis et remarques formulés lors de la consultation. Alors ouvrons-la avant que le serveur soit fermé ! Singuliers Pluriel Mylène DENIZOT N°92 — mai 2015 Les programmes d’Education Morale et Civique Suite à la « consultation » de janvier, une nouvelle version a été présentée aux représentants des personnels au CSE (Conseil Supérieur de l’Education) le 10 avril. En présentant des « connaissances, compétences et attitudes visées » saucissonnées en quatre parties cloisonnées (la sensibilité, la règle et le droit, le jugement, l’engagement) le projet d’ensemble apparaît totalement éclaté. Cela donne encore un effet d’empilement réduisant l’enseignement à un travail sur des connaissances et compétences juxtaposées, au contraire de la transversalité nécessaire. Ces programmes ne fixent pas clairement ce qui est attendu en fin de cycle et n’offrent pas de repères de progressivité. On fait mieux pour aider à la mise en œuvre. Sachant que certaines compétences liées à la sensibilité et aux comportements (empathie, prendre soin de soi...) ne sont pas évaluables comme le rappelle l’introduction des programmes, pourquoi alors les avoir laissées dans les tableaux ?! Le SNUipp-FSU a donc refusé de voter ce projet de programmes, demandé qu’ils soient retravaillés pour être opérationnels et qu’ils soient reportés à la rentrée 2016 pour entrer en vigueur en même temps que l’ensemble des programmes. Il serait regrettable que le ministère impose un texte insuffisamment abouti pour la rentrée prochaine avec le seul souci d’afficher dans les médias un changement de programme comme une réponse aux attentats de janvier dernier. Le temps politique prendrait encore le pas sur les intérêts pédagogiques et professionnels… page 18 Loi sur le « renseignement » La loi sur le Renseignement : menace pour les libertés politiques et les mobilisations à venir Le projet de loi était en préparation depuis un an mais la procédure de vote a été accélérée en réaction aux attentats du 11 janvier 2015. Le mardi 5 mai 2015, le texte du projet de loi a été adopté à une large majorité de 436 voix pour, face à 86 voix contre et 42 abstentions. Malgré cette écrasante majorité, ont été observés des votes dissidents de la part de la quasi totalité des groupes politiques. Les opposants au texte dont la FSU misent à présent sur le Sénat, où la loi devrait être examinée à partir du 20 mai prochain, pour remanier le texte. Dès à présent, une saisine du conseil constitutionnel a déjà été annoncée. Les nouveaux dispositifs de renseignements vont fonctionner sur la base d’une mise à disposition pour le gouvernement des données recueillies par les opérateurs internet, des fournisseurs d’accès, des moteurs de recherche et des réseaux sociaux… Par ce biais, en temps réel, les services de renseignements pourront ainsi avoir accès aux données techniques de connexion des internautes jugés « suspects ». Cette surveillance se réalisera par un processus de traçage des connexions (exprimées par des adresses IP), dans le but de savoir quel individu, à quelle heure, a consulté tel site, a envoyé tel message et à qui. Seront à cette fin particulièrement espionnées les connexions sur les réseaux sociaux et la recherche de mots clés sur Google. La loi du 5 mai 2015 prévoit des mesures de surveillance à la fois pour les suspects mais également pour les personnes appartenant à leurs entourages sans définition claire : famille, ami réel, connaissance, ami facebook ? C'est l'ensemble de la vie numérique des citoyens (données de navigation, géolocalisation, mots de passe, correspondants, achats en ligne, etc.) qui va être collectée afin d'être analysée pour détecter des "comportements suspects". La menace terroriste est brandie comme le principal moteur de ce projet de loi sur le renseignement. Or, le champ d’application des interceptions de sécurité va bien au-delà. Il concerne également de manière plus large la « sécurité nationale », un terme bien vague dans lequel on peut mettre un peu tout et n’importe quoi. Et ce n’est pas fini : « les intérêts essentiels de la politique étrangère » et « les intérêts économiques et scientifiques essentiels de la France » ouvrent la voie à l’espionnage économique et politique. L’Inria (établissement public de recher- Société la NSA dénoncés par Edward Snowden, sans garantie pour les libertés individuelles et le respect de la vie privée. https://sous-surveillance.fr/#/ che dédié aux sciences du numérique) met en garde : un programme informatique, même bien réglé, produit systématiquement des erreurs, qui sont d’autant plus nombreuses que la masse de données à traiter est importante. « Ce phénomène scientifique bien connu (…) a des conséquences que le texte du projet de loi ne prend pas en compte », L’Inria relève également l’inefficacité de la surveillance numérique introduite par les algorithmes, « facilement contournables même sans connaissance technique élaborée ». Ce projet, affirme la ligue des droits de l’Homme, « entérine les pratiques illégales des services et met en place, dans de vastes domaines de la vie sociale, des méthodes de surveillance intrusives ». Il laisse, en effet, les mains libres aux services de renseignement, à l’instar de la NSA, dénoncée par Edward Snowden. L'appel contre la légalisation massive des pratiques illégales des services de renseignement, permettant une surveillance large et très intrusive pour la vie privée des citoyens. Extension du champ d’action du renseignement intérieur et extérieur, y compris dans des objectifs sans aucun lien avec le terrorisme. Collecte généralisée des données sur Internet, traitées par des algorithmes. Surveillance sans aucun contrôle des communications qui passent par l’étranger, alors que de très nombreux serveurs utilisés par des Français sont installés à l’étranger. Signataires (au 24 avril) : Observatoire des libertés et du numérique (Cecil, Creis-Terminal, LDH, La Quadrature du Net, Syndicat de la magistrature, Syndicat des avocats de France) – ATTAC – Amnesty International – Mrap – CSF – CGT – CGT Police Paris – DAL – Fondation Copernic – Genepi – SNPES/PJJ – SNEPAP/FSU SUD – SOLIDAIRES – SNJ – SNJ/CGT – SNUCLIAS/FSU – FSU CNIL : Une difficulté commune à l'Europe et aux Etats-Unis, c'est de faire prendre conscience au public de l'importance de ce sujet de la protection des données, dans le secteur public comme dans le secteur privé. Nous parlons d'une surveillance qui est invisible, que le grand public ne voit pas toujours, mais ce n'est pas parce qu'il y a un impératif de sécurité qu'on doit oublier l'Etat de droit. Un des objectifs que nous avons maintenant, c'est de donner de la chair à tout ça, de rendre visible l'invisible et de rendre l'individu plus maître de l'utilisation de ses données. Nos données personnelles, c'est notre « corps numérique », notre identité. Nos sociétés se virtualisent de plus en plus ; pourquoi pas, mais il faut que l'individu puisse y être un pilote, pas un objet. Sans vie privée, il n’est point de libertés La sécurité totale (risque zéro) n’est ni possible, ni souhaitable car protéger la liberté en supprimant la liberté est un non-sens, une contradiction. Une sécurité totale ne pourrait être mise en place sans un contrôle total sur la vie des citoyens comme dans une société totalitaire. C’est pourquoi le gouvernement ne peut pas nous protéger contre toute forme de violence. Il ne doit pas non plus nous protéger à n’importe quel prix. Sandrine TASTAYRE Conservation très longue des données collectées. Contrôle des services de renseignement aux seules mains du pouvoir politique (premier ministre), avec avis consultatif d’une commission. La communication gouvernementale ne doit pas nous tromper : en fait d’encadrement, ce projet entérine les pratiques illégales des services et met en place, dans de vastes domaines de la vie sociale, des méthodes de surveillance lourdement intrusives. Le texte donne aux services de renseignement des moyens de surveillance généralisée comparables à ceux de Singuliers Pluriel N°92 — mai 2015 page 19 Réunions information syndicale : Agen 00 h 0 -1 9 0 h re 6 1 entai m e l é Ecole angevin P. L Néra9ch45 -1 16h45 le Eco nelle mater u lin J. Mo To nn ei n s 17 h0 Imm 0-20h00 euble Tapo Salle l 9 P en n e d’A gena is 16h3 Ecole 0-19 h30 J. M oulin Comment récupérer ces heures sur le temps de travail ? Vous pouvez déduire ces heures des animations pédagogiques, quelles qu’elles soient, en envoyant une lettre d’information 8 jours avant la réunion syndicale par la voie hiérarchique (adressée au Directeur d’académie sous couvert de l’IEN). Qui peut participer aux réunions d’information syndicale ? Tous les profs d’école, adjoints, directeurs, directrices, spécialisés, syndiqués ou non, titulaires ou stagiaires, AE ont le droit de participer à ces demi-journées. Il n’y a pas d’autorisation à demander. Que dois-je faire pour y participer ? Adresser la lettre à l’IEN de la circonscription une semaine avant la réunion. Plus d’infos sur 47.snuipp.fr Opération jeunesse au plein air : des colos pour tous ! En France, près de trois millions d’enfants ne partent pas en vacances. Pourtant, le départ en colos, en permettant de découvrir de nouveaux horizons et de nouvelles activités, offre des expériences complémentaires à celles de l’école et participe de la réussite éducative des élèves. Aujourd’hui, ce départ est une chance à laquelle beaucoup de familles défavorisées ou de classes moyennes n’ont pas accès faute de ressources financières suffisantes. Pour que tous les enfants puissent partir, le réseau de la Jeunesse au plein air (JPA), avec le soutien du SNUipp-FSU, lance l’opération « des colos pour tous ». Les organisateurs de séjours membres de la JPA proposent des places à tarif spécifique de 10 à 50% moins chers. La JPA, qui mobilise de son côté des fonds spécifiques pour l’aide au départ assure ensuite le montage financier du séjour avec les familles. Le SNUipp-FSU invite les enseignant-es des écoles à diffuser l’information et à proposer le catalogue spécifique aux familles. Pour défendre l'école et ses personnels, agir pour la réussite de tous les élèves, se syndiquer, c’est une marque de solidarité avec la profession, un engagement vis-à-vis de notre métier, du Service Public et du système social français. C’est aussi un moyen de se sentir moins seul, dans une profession difficile, dans une société où l'individualisme prime si souvent sur la solidarité. Nous devons encore et toujours mener bataille. L’implication de toutes et de tous est nécessaire. Singuliers Pluriel Renforcer le SNUipp-FSU par son adhéCrédit d’impôt de 66% sion c’est permettre à toutes et à tous du montant de d’être plus forts. la cotisation syndicale C’est permettre aux salarié-es q u e nous sommes d’avoir des moyens Se syndiquer au SNUipp-FSU d’information et de défense inrevient à 5€ par mois en moyenne. dépendants de l’administration, Paiement échelonné jusqu’à dix de tout pouvoir, de toute philosomensualités selon votre choix. phie et de tout parti politique. N°92 — mai 2015 page 20