“COMEDIE EROTIQUE D`UNE NUIT D`ETE” W. Allen
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“COMEDIE EROTIQUE D`UNE NUIT D`ETE” W. Allen
K5060 “COMEDIE EROTIQUE D’UNE NUIT D’ETE” W. Allen Escapades diurnes : 37’02 -42’05 I) ANALYSE DES SEQUENCES : LA FORME ET LE MESSAGE La scène des escapades diurnes se compose de 23 séquences alternées ; c'est-à-dire que W. Allen nous montre en alternance plusieurs actions simultanées. L’alternance n’est pas seulement dans la technique du montage : W. Allen alterne séquences visuelles et dialoguées, extérieurs et intérieurs, à 1 personnage et à 2 personnages. Cet type d’alternance, qui lie le montage aux éléments du récit, est très utile pour donner à l’histoire le rythme nécessaire à capturer l’attention. Cette séquence se compose soit d’action soit de dialogue (dialogue redoublé par la musique) et accélère de plus en plus jusqu’à la fin. Ca oblige le publique à être anxieuse de savoir si les nouvelles passionnes nées arrivent à se réaliser. Comme dans une composition musicale qui alterne « adagio » et « allegro » et arrive à créer des mouvement de cote et descente, W. Allen joue avec un tac au tac entre silence et bruit, entre action et non action pour créer dans le spectateur la sensation de mouvement et attente. Il faut remarquer que cette séquence précède et est suivi par des séquences dialoguées sans musique ni aucune action. On peut donc voir comme l’alternance de pause/marche ou narration/action présente ici est une technique qui concerne tout le film dans une vision plus macroscopique. Un réalisateur qui joue en cet façon avec le rythme veut mettre l’accent sur l’histoire plutôt que sur la psychologie des personnages, les quels, dans cet film, sont utilisés pour explorer le thème de l’amour et de la passion. W. Allen nous donnes plutôt des caricatures, il exagère certains aspects en chacun des ses personnages parce-que pour faire une véritable analyse d’une thématique ou d’un sentiment il faut s’éloigner de la psychologie du single et s’approcher à des catégories plus universelles, créer des modèles, des typologies bien reconnaissables. La caricature, l’exagération ont la fonctionne de permettre au réalisateur et surtout à le spectateur de focaliser l’attention non sur des détails mai sur la question générale mise en scène par ses aspects universels. On a donc la raison en lutte avec l’instinct (Leopold), la pulsion amoureuse et ingénue au même temps (Dulcy), la passion consciente (Ariel), la crainte pudique (Adrien), la curiosité et l’ initiative (Maxuel). Andrew semble résumer en soi toutes ces tendances et en lui, dans sa confusion des sentiments, s’explique la confusion de l’amour même avec toutes ses manifestations. On revient à l’analyse de la scène des escapades diurnes. Le point de vue est celui d’un narrateur extérieur à l’action. La seule exception est pour Andrew, qui est interprété par W. Allen. Nous voyons avec son point de vue quand il regarde Ariel du jardin et pendant le dialogue avec elle. Ici Andrew cherche de convaincre Ariel à rencontrer Maxel et la camera suive les mouvements du petit avion sur le quel est assis Andrew-Allen. Ca crée un jour très intéressant de « meta-cinema » parce-que W. Allen est le réalisateur du film, il nous montre sa vision du dialogue avec Ariel, et toute la séquence en champ-contrechamp entre les 2 se passe parmi une fenêtre. La fenêtre peut bien symboliser le cadre de la camera et on peut voir, dans cette séquence, une sorte de mise-enabyme de l’acte de filmer. C’est un renvoi subtil mais présent. Un renvoi au cinéma plus évident est l’utilise de la « Boite à esprits » de Andrew, que on peut raisonnablement approché à la « lanterne magique », le premier moyen de projection des images avant l’invention du projecteur pour pellicules. En ce moment de l’histoire on trouve toutes les couples finalement réunies à la maison de campagne de Andrew et Adrien. C’est un chaud après-midi d’été et le jour suivant Arielle et Leopold vont se marier. Pendant les scènes précédentes on assiste à 3 dialogues très importantes : le premier, entre Andrew et Ariel, nous offre une des clés d’interprétation du film. Ariel demande à Andrew pourquoi il ne l’aimait pas même s’il avait un fort désir pour elle. La clé est donc la question : AMOUR ET DESIR, POUVONS-NOUS VRAIMENT LES SEPARER ? (je parle de cette question plus avant). Pendant le deuxième dialogue Maxel confesse à Andrew son amour pour Ariel et dans le troisième dialogue Leopold convainc Dulcy à lui donner un rendez-vous de passion dans le bois. La séquence des escapades diurnes commence, donc, avec cette situation : LEOPOLD MAXUEL DULCY ARIEL Adrien, qui veut parler avec Dulcy, et Andrew, qui doit conduire Ariel au rendez-vous mais qui tombe avec elle dans le lac, sont les éléments de dérangement qui empêchent aux deux nouvelles couples de réaliser leurs plans. En plus, toute l’action se passe pendant le jour ; on est sous le royaume du soleil, de la lumière et de la raison. La passion, l’instinct et le désir cherchent de se réaliser mais ne pouvant pas, il faut attendre la nuit (je parle de la dichotomie jour/nuit plus avant). La scéne est accompagné par la musique qui alterne moments de silence et de croissance en correspondance du montage et de l’action qui se passe. On a, donc, une musique qui comment, qui est externe et pas interne à l’histoire. Ca veut dire que la musique n’est pas produit pas une source interne à l’action (comme une orchestre, un gramophone qui marche etc.) . On ne voie pas la source de la musique mais elle est externe, mis dans un deuxième moment, pour commentaire les images en fonction emphatique. La musique a donc ici une fonctionne narrative de démarcation mais qui arrive (si on garde le film entier) à fournir une structure ultérieure à celle des actions. W. Allen utilise la musique aussi pour créer des petits cadres détachés de la structure narrative avec les interludes de Mendelssohn. Encore une fois on retrouve l’alternance entre actionnes et arrêtes. Dans la scène des escapades diurnes le comment musical commence avec tout le monde qui est en train de préparer quelque chose (Andrew s’occupe de la table au dehors, Adrien du diner, Maxuel de son bain chaud..) ; la musique s’arrête quand la porte s’ouvre et Dulcy risque de découvrir les réels intentions de Maxuel, qui est en train de se dresser pour sortir. Après, la musique augment en correspondance d’un montage très rapide des images. Elle s’arrête nouvellement quand Adrien bloque Dulcy et après augment de plus en plus jusqu’à la fin de la séquence. La fin de la séquence correspond à la « fin de l’espoir », pour citer Maxuel. Lui et Leopold ont choisi le même lieu pour leurs rendez-vous passionnels avec les respectives femmes, c'est-à-dire le fleuve. Cet place semble être le lieu privilégié pour cet type des rencontres : c’est ici que Andrew et Ariel on passée une nuit merveilleuse les années passées et qui, plus tard, cherchent de revivre. C’est ici que Maxuel a séduit Adrien. Cet fleuve rapprisse le typique τόπος du locus amoenus ; c’est un lieu avec l’eau qui coule où l’homme est en harmonie avec une nature hospitalier et florissante. Le même fleuve, en ce moment, est le symbole de la rivalité entre Maxuel et Leopold parce-que il les tiens séparés, c’est un obstacle physique qui empêche aux deux de déclarer cette rivalité. En effet, quand Leopold et Maxuel se rejoignent, la haine de Leopold se manifeste (il dit à Maxuel de s’éloigner de sa Ariel) mais il s’agite d’une haine rationnel qui s’exprime, en ce moment, parmi des mots et sans aucune action. II) L’IMPORTANCE DE LA SCENE DANS L’ECONIMIE DU FILM : « TOURNER-POINT » Cet épisode est très importante dans l’économie du film parce-que c’est ici qu’on trouve la naissance, la construction et la désillusion du bouleversement des couples. Il est un « tourner point », le moment qui va changer le cour de l’histoire. Schéma des situations : LEOPOL MAXUEL ADREW ARIEL DULCY ADRIEN Proiection des réels desirs: Situation dans la scène: LEOPOLD MAXUEL ANDREW LEOPOLD MAXUEL ANDREW ARIEL DULCY ADRIEN ARIEL DULCY ADRIEN Comme on peut voir, l’attention se focalise sur les deux femmes plus passionnels de l’histoire. Dulcy a une sensualité impétueuse qui, parmi sa spontanéité, réussi à attirer Leopold. Ariel est aussi une femme « moderne », comme elle dit, elle est pleine de charme et parle librement de des expériences mais cherche toujours de lier sexualité et amour. D’un coté Andrew tombe dans le lac avec Arielle parce-que son petit avion n’arrive pas à soutenir deux personnes. De l’autre coté Adrien bloque Dulcy ; elle veut apprendre comme faire l’amour à son mari. La musique s’arrête et on focalise l’attention sur le sujet du dialogue. Voilà le premier arrêt de l’action qui va modifier le cours des événements. Seulement la couple Andrew-Adrien réussi ses secrets intentions. Andrew, inconsciemment, sans une réels intention de tomber sur le lac, arrive à passer du temps avec Ariel, qui rapprissent le fantôme d’un occasion manqué et d’un mariage qui ne marche plus. Andrew mit en Ariel toutes les espoirs et les fantaisies d’un amour idéel. Adrien, par contre, est en face à une sorte de alter-ego au quel elle pose des questionnes intimes. Elle n’arrive pas à comprendre la cause de des problèmes de mariage. On apprend à la fin du film que elle est seulement bloqué parce-que elle se sente coupable (elle a trompé Andrew avec Maxuel) ; elle est victime de sa propre bonne éducation traditionnelle. Dulcy rapprissent ce que pour Adrien est le fantôme d’une sexualité qui est devenue fuyant, elle rapprissent, car elle est une infermière, la réponse physique et mécanique à son problème de couple. Tous les deux, Andrew et Adrien, donc, arrivent à se confronter avec la projection et la réalité physique de leur problème de couple, un problème que avant de cet moment ils ne sont jamais réussi à comprendre ni aborder. La scène est importante aussi pour l’intrigue. Si Maxuel avait rencontré Ariel il n’avait jamais essayer de se suicider ni il avait demander à Ariel un rendez-vous nocturne dans le bois. Ca avait empêché à Leopold de devenir fou de jalousie et de manifester son fureur, donc de faire sortir son coté le plus instinctive et animal. Encore une fois, la non-réalisation des propres désirs contribue à faire monter ses attentes et l’envie de satisfaire ses instincts et ses curiosités. La procrastination des rencontres amoureux augment encore plus l’espoir et le significat qu’on leur donne. Pour ca Leopold arrive furent à vouloir touer Maxuel et à posséder avec un désir animal et primordial Dulcy. Pour la même raison Maxuel arrive proche à « mourir pour amour » (subtile et ancien la liaison entre έρος et θάνατος) soit quand il essaye de se suicider soit quand Leopold cherche de le touer. Il est en train de mourir (il croit) quand il rencontre l’aimée Ariel. On peut voir, dans la figure de Maxuel, une sorte de réalisation du thème sartrien des occasions perdues et des moments parfaits. Andrew et Ariel sont tourmentés pour n’avoir suivi leurs instincts d’amour les années passés et elle lui augment encore plus le tourment en lui disant qu’il pouvait être la personnes idéel pour elle. Andrew dit alors : « il n’y a rien de plus triste que une occasion perdue ». Le désir nostalgique pour une deuxième occasion enveloppe tout le film. Quand Andrew et Ariel se rencontrent ils sont presque obsédés par leur occasion gaché, ils se voyent l’une l’autre dans les images qui sortent de la « boite à esprits », et ils sont persuadés qui ont eu la possibilité de changer leur vie mais ils ont rien fait. Pour ca ils décident de se donner une deuxième occasion. Le lieu est le même, Adrien à la même robe mais c’est l’occasionne qui n’est plus la même. Maxuel, au contraire, saisit l’importance des moments parfaits, c’est le motif pour le quel il a trompé son meilleur amie avec sa femme, et il explique ca entre les bras d’Andrew. Après il dit à Ariel : « Andrew est un fantôme, un homme du passé ! moi, je suis l’homme de cet moment ! ». En effet, le rencontre entre Ariel et Andrew ne se passe pas comme ils ont imaginé, parceque, selon la théorie de Ariel, entre les deux manque l’élément de l’amour. Evidement l’alchimie des corps n’est pas suffisante parce-que elle n’existe pas ; tous était seulement un rêve, une fantaisie lié à un souvenir du passé. Pour sa nature un souvenir ne peut pas être présente et peut seulement recevoir en soi espoirs et désirs qui peuvent grossir sans mesure en tant que sans liaison avec le réel. Pour ca la collision avec la réalité décevi énormément les attentes. Le moment parfait est passé et aucune reconstruction ne peut pas le redonner. Toutefois on est encore dans la dimension nocturne, on peut encore rever. Comme ca, Andrew peut encore imaginer son moment parfait avec Ariel sans le tourment de vouloir le réaliser, et Ariel, libre du fantôme de l’occasion perdue, peut se jeter sans problèmes à la recherche de son correspondant masculin : Maxuel. La recherche d’Ariel arrive à bon port parce-que, par apport à la scène des escapades diurnes, on est dans le royaume de la nuit, du rêve et de l’action instinctive. Sous le royaume du soleil et de la raison les sentiments et les désir secrets ne peuvent pas se exprimer. On peut voir en ca une forte correspondance entre Allen et Shakespeare dans l’utilisation de la dichotomie jour/nuit. En Shakespeare le jour est lié aux lois des hommes et des amours réglés par elles. Hermia ne peut pas se marier avec Lisandre parce-que son père à promis sa main à Demetrius et la loi d’Athene, représenté par Teseus, impose aux deus amants la séparation ou la morte. Aussi dans le film de W. Allen pendant le jour sont en vigueur les lois morales de la société mais ici ces lois agissent parmi le subconscient des personnages et donc parmi leurs actions (Adrien qui bloque Dulcy pour lui poser des questionnes sexuelles) et leurs erreurs involontaires. Andrew ne veut pas vraiment tomber dans le lac avec Ariel mais cet incident lui permit de rester seul avec elle . Dans la scène des escapades diurnes on voit Andrew qui est en train de préparer avec inquiétude la table au dehors ; il est aussi très indécis, il ne va pas tout de suit chez Ariel car il ne veut pas qu’elle ait un rencontre avec Maxuel. Il croit d’être amoureux d’elle et sa jalousie agit sur son subconscient. Pendant le jour, donc, aussi pour W. Allen les désirs et les passionnes ne peuvent pas trouver leur réalisation. Il faut attendre la nuit. III) ALLEN-SHAKESPEARE : LA QUESTION DE L’EROTISME ENTRE LES DEUX OUVRES : POSSIBLE CONCLUSION. Leopold passe à l’action pendant la nuit ; il descende dans le salon et il trouve Dulcy, qui lui dit que Maxuel n’est pas dans la chambre. Ariel aussi n’est pas là et la jalousie de Leopold explose. Soit Leopold que Dulcy n’acceptent pas les théories morales et préfèrent utiliser leurs énergies, professionnels et personnels, sur ce que peut être empiriquement vérifié. Les conceptions philosophiques de Leopold sont parfaitement compatibles avec l’hédonisme de Dulcy et pout ca il trouve en elle l’amant parfait et avec elle il retrouve sa partie plus inconnue. L’homme des mots tombe sous la puissance de l’homme des actions. Maintenant c’est la nuit, n’est plus le jour, on n’est plus sous le royaume de la raison et sont les pulsions les plus intimes et secretes à sortir. Les deux rivales ont un nouvel rencontre mais cette fois Leopold cherche de tuer Maxuel et lui blesse. Il réalise le songe qu’il dit d’avoir fait : in rentre dans la maison avec arc et flèches, des armes très primitives, après la « chasse », c'est-à-dire après avoir presque toué son rival Maxuel. Il porte seulement sa chemise de nuit et il possède Dulcy avec fureur et sans inhibitions. En comparaissant l’ouvre de W. Allen et celle de Shakespeare, on peut voir comme Leopold résume en soi Teseus et Oberon au même temps. Il est Teseus parce-que il est l’obstacle rationel à l’amour entre Ariel et Andrew et après entre Ariel et Maxuel. Il est l’incarnation du rationnel ; il ne croit point à rien de ce qu’on appelle «métaphasique», au fées, à la vie après la morte. Il ne cherche pas de expliquer le monde, il veut et il peut seulement le décrire. Mais dans Leopold il y a une très fort composante irrationnel qui sort avec toute sa bestialité, et en ca il est Oberon. Dans l’ouvre de Shakespeare souvent la sexualité est liée à la bestialité, et l’attraction crée par elle est la plus fort (voir les vv. 26-33, II, 2 Midsummer night’s dream : “What thou seest when thou dost wake / do it for thy true love take ; / love and languish for his sake. / be it ounce, or cat, or bear, / pard, or boar with brisled hair, / in thy eye that shall appear / when thou wak’st, it is thy dear. / wake when some vile thing is near”). On voit bien comme les amours dites « eternels » des quatre jeunes sont fragiles et modifiables par le jus d’un fleur. Ce qu’on appelle « amour entre esprits analogues » est liée aux sens comme la passion irrationnel, parce-que c’est l’œil le moyen parmi le quel agit l’amour, et l’œil est une forme de connaissance sensorielle qui fallait. Toutefois, dans l’ouvre shakespearienne c’est la ration qui gagne ; l’amour, passé sa phase lunaire d’initiation (composée des équivoques et preuves de jalousie que les amants devaient passer), arrive à sa phase solaire. Teseus s’épouse avec Titania apès avoir lutté avec elle ; Demetrius empoissonné aimet Ermia et Lisandre aimet Hèlene. Tous les dichotomies, en Shakespeare, se résoudre en faveur de ce qu’est rationnel. La ville, la realité, la raison, le jour, l’ordre et le mariage s’imposent sur le bois, le songe, la folie, la nuit, le désordre et l’amour irrationnel. La conclusion dans l’ordre, pour Shakespeare, est sure. Titania, la reine des fées, capable de dominer la Nature et ses manifestations, est soumise au vouloir d’Oberon. Hyppolite, qui rapprissent l’amour indépendant et indomptable, est soumise aux lois rationnelles de la ville d’Athènes et des hommes. Le mariage, l’amour codifié anéanti l’amour libre et passionnel, le mette en cage ; c’est la « mort de l’espoir ». Mais pour Shakespeare il s’agit de rétablir l’ordre selon le vouloir du publique. Au contraire, dans le film de W. Allen, c’est la raison qui meurt. Pendant la collision entre rationalité et pulsion sexuelle est la rationalité à mourir, c’est Leopold qui est écrasé par des forces qu’il a toujours refusé d’admettre comme réels et puissantes. Il devient un esprit lumineuse, une essence au-delà de son corps et de ce qu’est explicable avec la raison. En plus, le film ne termine pas dans le jour, on est encore dans le royaume de la nuit donc on ne peut pas savoir si le couple Ariel-Maxuel arrive vraiment à s’aimer passé cette nuit magique, ni si la couple Adrien-Andrew à résolu définitivement ses problèmes. La conclusion dans l’ordre est seulement apparent.