annexes - Département d`Ille-et

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annexes - Département d`Ille-et
Conférence des financeurs :
PREVENTION DE LA PERTE D’AUTONOMIE DES PERSONNES AGEES DE 60 ANS ET
PLUS ET SOUTIEN AUX PROCHES AIDANTS :
ANNEXES
à la synthèse générale du diagnostic sur les initiatives et les perspectives
Table des matières
Les comptes-rendus par Pays des temps de concertation territorialisés ................................................................................................................................................... 2
Les participants aux groupes de travail territorialisés (par Pays).............................................................................................................................................................. 23
Le récapitulatif des organismes et structures sollicités dans le cadre de l’enquête sur les initiatives locales ......................................................................................... 30
Les comptes-rendus par Pays des temps de concertation territorialisés
Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Brocéliande
Description des besoins et priorités
Le développement des solutions de
déplacement, notamment afin de lutter
contre l’isolement.
La lutte contre l’isolement des personnes
âgées.
Le renforcement de l’accès à l’information
sur les aides, les droits, les acteurs… au profit
des personnes âgées et de leur entourage
mais aussi des élus locaux, des agents
Moteurs – Facilitateurs de l’action
-Le transport à la demande à Montfort (un
jour par semaine).
-Une offre de transport solidaire est en
cours de mise en place sur le territoire via
l’ADMR.
-Le transport à la demande sur la
Communauté de communes de SaintMéen Montauban (sur réservation (aller et
retour) : AJ, santé, hôpital…
-Le rôle important joué par les Clubs des
anciens.
-La présence sur le territoire des
ambassadeurs de solidarité (bénévoles),
d’une résidence autonomie, d’activités de
visite à domicile (via ADMR)…
-La charte MONALISA sur la commune de
Montfort : une équipe citoyenne bénévole
a été mise en place et est coordonnée
grâce à une personne en service civique.
-L’existence d’un dispositif permettant de
géolocaliser la personne âgée et d’appeler
quelqu’un.
Freins – Obstacles à l’action
-La desserte parfois difficile d’une
commune à l’autre : le transport à la
demande sur Montfort est limité par les
frontières communales.
Propositions, exemples d’expériences…
-Alerter sur un positionnement parfois
décalé par rapport aux attentes des
seniors.
-Renforcer le déplacement à la demande.
-Soutenir le développement du transport
solidaire avec un réseau de bénévoles (cf.
expérience « Voitur’âge » dans le dépt 49
par ex.).
-La difficulté parfois à pousser la porte
des clubs.
-Les solutions existantes ne sont pas
toujours satisfaisantes.
-La présence et le rôle important du CLIC.
-Les méandres et la complexité des
multiples circuits d’information.
-Développer les activités au domicile, en
établissement ou encore dans un lieu
collectif (pour des repas, ateliers santé,
jeux (AnimàDom)…). Par exemple via
l’utilisation d’un minibus qui va chercher
une à une les personnes concernées pour
les amener sur le lieu d’animation (ateliers
itinérants).
-Favoriser le transfert de compétences
vers certains participants : faire d’anciens
participants des animateurs de l’action.
-Généraliser MONALISA sur le Pays ainsi
que d’autres formes comme par exemple
des visiteurs à domicile avec des équipes
solidaires (visites de courtoisie…).
-Informer les CCAS et les clubs sur les
dispositifs et actions locales afin de faire de
ces derniers des relais.
-Déterminer la bonne échelle territoriale
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
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Description des besoins et priorités
municipaux, des clubs…
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
La poursuite des actions sur l’adaptation de
l’habitat.
-Les OPAH.
-Le retour à domicile après
hospitalisation n’est pas pris en compte
suffisamment tôt. Il y a peu
d’anticipation sur les besoins d’aides
techniques ou humaines.
La prise en charge du risque suicidaire chez
les aînés.
-Des actions qui portent leurs fruits sur les
publics plus jeunes, actifs.
-L’existence du Contrat local de santé en
cours (présence d’un groupe de travail
« santé mentale et prévention du
suicide »).
-Le développement des tablettes info santé
par la Carsat.
-Les activités autour de l’informatique se
sont développées sur le territoire (via les
communes, bibliothèques, clubs).
-L’existence de « La longère » (lieu
ressource).
- La « Semaine Bleue » sur Montfort
notamment.
-Le peu de résultat de ces actions auprès
des personnes âgées.
Le développement des ateliers
« informatique » pour les seniors : recherche
internet, usage des mails…
Le développement de lieux ressources
d’accueil et d’écoute des seniors.
La préservation du sentiment d’utilité
Propositions, exemples d’expériences…
pour la diffusion des informations.
-Développer l’accès aux informations sur
les directives anticipées, le mandat de
protection future, la personne de
confiance, les questions de successions…
-Sensibiliser les publics (par exemple les
enfants éloignés) sur les ressources d’aide
à l’anticipation du vieillissement.
-Etudier des actions autour de l’habitat :
diagnostic autonomie habitat,
aménagement… (notamment à la suite
d’une sortie d’hôpital).
-Faciliter, fluidifier les interventions et les
partenariats pour être plus efficace en
contexte d’urgence.
-Développer l’hébergement temporaire
d’urgence (afin d’avoir le temps de
préparer le retour dans un domicile
réaménagé).
-Renforcer les compétences des
intervenants à domicile (formation sur la
gestion de la crise suicidaire comme sur
l’écoute en amont).
-Développer ces actions après avoir
recensé l’existant ; afin de favoriser les
complémentarités.
-Le Pays de Brocéliande est un territoire
diversifié et éclaté (5 cantons).
-La « Semaine Bleue » n’est pas assez
dynamique sur le territoire et reste à
une échelle communale.
-La place importante des seniors dans le
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
-Renforcer le maillage du territoire,
l’égalité territoriale.
-Organiser des actions et les faire tourner
sur les différents cantons qui composent le
territoire.
-Former des professionnels à l’écoute.
-Valoriser la contribution des personnes
3
Description des besoins et priorités
sociale.
Moteurs – Facilitateurs de l’action
bénévolat, dans les CA associatifs par
exemple.
Le développement de la visibilité et de la
lisibilité de ce qui se fait sur le territoire,
et ce à des fins de coordination et
d’efficience opérationnelle.
-Le site oscarsante.org.
-La conférence des financeurs souhaite
développer un outil de partage et de
présentation des actions.
-Le site Gmouv (ainés ruraux).
L’Ingénierie de projet et l’offre de
projets.
Freins – Obstacles à l’action
Propositions, exemples d’expériences…
âgées à la vie sociale locale (dans les
associations en particulier), mais aussi à
l’économie domestique (par ex. leur rôle
dans la garde d’enfants).
-Développer des actions qui valorisent
l’expérience et les habiletés
(compétences…) des seniors.
-Développer des actions du type Ateliers
de transmission des savoirs, Systèmes
d’échange locaux…
-Le cloisonnement parfois des
champs d’intervention (social,
sanitaire, médico-social, médical).
-Disposer d’un outil pour identifier les
acteurs, leurs activités, les ateliers…
-Inciter au décloisonnement.
-Le problème du financement du
temps d’ingénierie.
-La nécessité d’actions
pluriannuelles (l’idée d’actions
inscrites dans la durée est
importante, autant pour les acteurs,
les usagers que les financeurs).
-Les coûts importants parfois.
-Prendre en compte l’ingénierie dans
les projets d’action.
-Favoriser les remontées de projet.
-Favoriser la possibilité d’appels à
projets souples et de
conventionnement sur 3 à 5 ans sous
réserve du maintien des niveaux de
financement public.
-Favoriser les actions partenariales
pour toucher tous les territoires.
-Laisser une place pour les
microprojets avec un impact sur le
territoire.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
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Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Fougères
Description des besoins et priorités
La prévention des déficiences sensorielles
(notamment auditives), mais aussi de leurs
conséquences.
(voire aussi la prévention des pertes
cognitives)
Elles limitent à la mobilité de la personne,
peuvent entrainer ou accentuer son
isolement et nuire à son accès aux droits.
Elles accentuent les risques de chutes.
Les risques sont accentués lorsque la
personne vit seule dans son logement.
La compensation de la perte des relations
sociales et la lutte contre le repli sur soi.
Le repli sur soi fait partie des premiers
signaux d’alerte fort.
En fragilisant les personnes, les moments de
ruptures dans les parcours de vie tendent à
accroitre le risque de repli/renfermement sur
soi.
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
-L’éloignement des services médicaux.
-L’impossibilité pour la personne
d’« être déplacée ».
-Le coût très élevé des prothèses,
notamment auditives, et la faible prise
en charge par l’assurance maladie et les
mutuelles complémentaires.
-Le dispositif de téléalarme.
-La rencontre en Centre social pour créer
du lien ; et donc la capacité à mobiliser des
réseaux (réseau de voisinage, réseau
familial…) par le biais d’actions, d’activités.
-L’action de « voisiner » (dans le sens
utilisé par les Québécois) : bon sens
commun du vivre ensemble.
-La préservation du cadre de vie de la
personne âgée.
-La difficulté à repérer les personnes
elles-mêmes, mais à identifier aussi des
relais susceptibles de suppléer à la
diminution des contacts sociaux.
-Le coût de la conception d’une action
dans ce domaine.
-Les moments de ruptures dans le
parcours de vie des personnes.
La lutte contre le non-recours et le
renoncement des personnes âgées à faire
valoir certains de leurs droits.
-L’appui sur les professionnels pour alerter.
-L’isolement social des personnes.
-L’isolement géographique.
La prévention des chutes.
L’action sur les facteurs d’aggravation du
risque : perte de sommeil, déficiences,
dénutrition, inadaptation du logement…
-Le manque d’hébergement temporaire.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Lever les freins principaux.
-Prendre conscience et former à être
acteurs de sa vie et de sa santé (repérage
des 5 formes de réseaux
d’échanges possibles : familial,
professionnel, amical, affinitaire et de
voisinage).
-Renforcer actions « Café-débat ».
-Renforcer ateliers d’échanges de savoirs.
- Renforcer/développer toutes actions
favorables à la mobilité (« se déplacer » ou
« être déplacé »).
-Renforcer accompagnement par un tiers
(travailleur social, bénévole) pour faire le
classement des papiers, etc.
-Travailler sur le réseau social : voisins,
balluchonnage, les pairs…
-Mettre en place des réseaux de veille et
d’alerte (« sentinelles ») et donc créer des
méthodes et outils de repérages des
publics.
-Soutenir les facteurs facilitants.
-Lever les freins principaux.
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Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
La mise en place de réponses face au
vieillissement des aidants eux-mêmes.
La capitalisation des « bonnes pratiques », la
valorisation et l’essaimage des actions
efficientes, la mutualisation des ressources
et la construction d’actions en transversalité
avec les partenaires.
Freins – Obstacles à l’action
-Le manque de solutions de répit.
-Le manque de places en hébergement
temporaire, notamment face à des
situations d’urgence.
-Le besoin de formation auprès des
familles d’accueil.
-Les habitudes partenariales (peu ou prou
formalisées) qui existent déjà sur le
territoire.
-La valorisation des modes d’action qui
impliquent les personnes âgées ellesmêmes dans la définition de leurs besoins.
-Le déficit ou la défaillance des relais
d’information.
-La logique de financement annuel par
appel à projet et conjointement parfois
la diminution du financement des
fonctions supports, qui démobilisent
voire précarisent certaines structures.
La logique de financement par appel à
projet prend de moins en moins en
compte les coûts de fonctionnement et
d’ingénierie (qu’elle induit de fait) ;
d’autant qu’elle pousse les structures à
s’engager sur des projets qui restent
incertains.
Les structures-supports ayant des
fonctions logistiques courent un risque
accru de précarisation avec cette logique
d’appels à projet.
Par ailleurs, cette dernière tend parfois à
mettre les structures davantage en
concurrence qu’en coopération.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Développer actions type
« baluchonnage ».
-Développer les accueils temporaires (et
notamment l’hébergement temporaire, en
privilégiant une gestion à l’échelle
départementale).
-Promouvoir une articulation entre
hébergement temporaire et accueil
familial.
-Mettre en place une instance locale de
concertation-coordination et d’ingénierie
sociale qui pourrait idéalement produire
des plans d’action.
-Déconstruire les logiques de mille-feuille
qui complexifient l’identification des
acteurs idoines à mobiliser ainsi que les
prises de décisions sur les actions à mettre
en place.
-Développer une possibilité de
financement pluriannuel des projets (sur 2
ou 3 ans).
-Sécuriser les subventions de
fonctionnement.
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Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Redon
Description des besoins et priorités
La poursuite et le renforcement des actions
engagées en 2014-2015 sous l'impulsion de
la MSA et du CLIC.
Moteurs – Facilitateurs à l’action
Freins – Obstacles à l’action
-Un diagnostic de territoire déjà réalisé.
-Les actions communes déjà engagées.
-Les habitudes partenariales déjà
existantes sur le territoire.
-La participation des personnes âgées ellesmêmes dans la mise en place d'un site
internet d'information à leur destination.
-La lisibilité des structures, acteurs et
actions est parfois insuffisante ; alors
qu’elle est essentielle pour informer et
se faire comprendre.
-La logique de « découpage » des
publics (personnes âgées de plus de 60
ans, personnes handicapées et
personnes de moins de 60 ans) tend à
cloisonner sur le plan administratif
(ex : entre ARS / départements).
-La logique de financement annuel par
appel à projet (qui créé de l’incertitude).
-La stagnation du financement des
fonctions supports, qui démobilisent
voire précarisent certaines structures
(faire toujours plus avec autant voire
moins).
La logique de financement par appel à projet
prend de moins en moins en compte les coûts
de fonctionnement et d’ingénierie (qu’elle
induit de fait) ; d’autant qu’elle pousse les
structures à s’engager sur des projets qui
restent incertains.
Les structures-supports ayant des fonctions
logistiques courent un risque accru de
précarisation avec cette logique d’appels à
projet.
Par ailleurs, cette dernière tend à rigidifier les
réponses en obligeant à « rentrer dans des
cases » au lieu de privilégier une logique de
territoire ascendante.
Préconisations, exemples de
propositions…
-Poursuivre et renforcer le programme
engagé et porté par le CLIC-Codem et les
partenaires.
-Permettre parallèlement le
développement d'actions émanant
d'autres structures.
-Développer une possibilité de
financement pluriannuel des projets (sur 2
ou 3 ans).
-Sécuriser les subventions de
fonctionnement.
-Développer la coordination entre les ARS
Bretagne et Pays de la Loire et les trois
départements (35-44-56) car le territoire
est au confluent de deux régions.
-Mettre en place une pépinière
d'opérateurs associatifs apportant un
soutien d'ingénierie et logistique (par ex.
lors d’une réponse à appel à projet).
-Mettre en place une Bourse d'actions par
la publication des évaluations des actions
sur internet (ex. de type OSCARS :
http://www.oscarsante.org/).
-Favoriser le décloisonnement des secteurs
d’intervention (social, sanitaire, jeunesse
et sports, etc.).
-La difficulté pour les associations à
faibles moyens de mobiliser des
ressources sur la réponse aux appels à
projets.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
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Le développement/renforcement des
« nutrition » et « activités physiques »
pour/chez les personnes âgées fragilisées.
La prise en charge du risque suicidaire : le
besoins d’outils, d’animation, de
formations… dans ce domaine.
Axe 1 : Promotion de la santé
-La présence sur cet enjeu d’un comité de
pilotage (élus, MSA, CLIC).
-Une action jugée globalement prioritaire.
-Les formations en cours ou prévues à
r
partir des travaux du P Jean-Louis TERRA
sur le repérage des risques suicidaires.
Le besoin d’apporter de la visibilité/lisibilité
à l'existant.
La lutte contre le non-recours et le
renoncement des personnes âgées à faire
valoir certains de leurs droits ; en particulier
sur les questions de santé, d’accès aux soins
(aide à la complémentaire santé, accès à
l'information…).
-L’existence d’un groupe de travail
composé de personnes âgées.
-L’appui sur les professionnels pour alerter.
-La présence de Domisiel (SielBleu) sur le
territoire, notamment lors de sorties
d’hospitalisation.
La prévention des chutes.
-L’action sur les facteurs d’aggravation du
risque : perte de sommeil, déficiences,
dénutrition, inadaptation du logement…
-L’insuffisance des possibilités
d’accompagnement psychologique
auprès des seniors concernés sur le
territoire.
-L’isolement social des personnes.
-L’isolement géographique.
-Le sous-équipement numérique des
seniors (plus de 50% des 70 ans et plus
non pas d’accès internet à leur
domicile).
-La couverture internet lacunaire sur le
territoire su Pays.
-La complexité des démarches
administratives.
-Les politiques de dématérialisation des
démarches administratives.
-La difficulté de répondre pour des
informations confidentielles de la part
de personnes en service civique
(analyses médicales, impôts, …).
-Le vieillissement de la démographie
médicale : des médecins partent à la
retraite et ne sont pas remplacés.
-Le manque de kinésithérapeutes sur le
territoire, notamment pour aller à
domicile.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
-Poursuivre en développant les actions sur
l'ensemble du territoire.
-Soutenir les actions de formation en
cours.
-Développer les possibilités
d’accompagnement psychologique par des
intervenants sociaux ou médico-sociaux,
voire la présence de psychologues sur le
territoire.
-Créer par exemple un site internet
d’information à destination des publics.
-Développer l'aide à l'accès de la
complémentaire santé.
-Développer les ateliers informatiques et
d’aide à l'accès aux services sur internet
(déclaration fiscale, l'information, usages
des mails et de Skype pour les contacts
avec la famille…).
-Proposer aux aînés et aidants des
formations aux premiers secours.
-Rechercher la mobilisation des
compétences existant déjà au sein des
EHPAD.
-Développer les actions.
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Le développement du forum des acteurs de
l'habitat.
Le développement des possibilités offertes
aux aînés de choisir librement et en
conscience leur toit (et donc leur parcours
résidentiel).
Axe 2 : Adaptation de l'espace de vie
-La fragilité financière des personnes
-La présentation et le recensement des
âgées sur le territoire, plus
ressources territoriales en matière
d'aménagement des logements et des
particulièrement sur l'EPCI du Grand
aides possibles.
Fougeray.
-La possibilité de mobiliser des acteurs
privés comme « Mon Toit et Moi »
-Les actions de recensement déjà engagées
des réponses en matière d'accueil,
d'habitats adaptés ou encore de formules
de cohabitation
Intergénérationnelle…
Le développement de la communication sur
les aides techniques existantes et les aides
pour les financer.
La lutte contre l’isolement des personnes
âgées.
La préservation voire le développement de la
mobilité des personnes âgées.
Le développement des logiques de
répertoire des actions.
Axe 3 : Prévention de l'isolement
-Le réseau local de bénévoles.
-Le manque de temps pour l’animation
des groupes sur les territoires.
Le maillage territorial qui mériterait
d’être renforcé.
-La présence d’un dispositif de transport
solidaire, du centre hospitalier, de
dispositifs du type « Chèques Sortir plus »
(Agirc-Arrco), des actions « sécurité
routière » déjà engagées en direction des
seniors…
-L’existence localement d’une assez bonne
solidarité familiale et de voisinage.
-Un site internet en cours de construction.
-L’insuffisante coordination des moyens.
-La préférence des personnes âgées
pour le transport personnalisé.
-La faible connaissance des dispositifs
existants.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
-Poursuivre les actions engagées.
-Développer les possibilités de
financement des matériels et de
l’adaptation de l'habitat au vieillissement.
-Accroitre chez les personnes âgées leur
connaissance des différentes solutions
possibles de logement et d’hébergement
(prioritairement celles existant sur le
territoire).
-Proposer un guide sur les aides techniques
possibles et leur possibilité de
financement.
-Poursuivre les actions engagées.
-Financer des temps d'encadrement et
d'ingénierie.
-Former les bénévoles et plus largement la
population sur la connaissance du
vieillissement (accompagner son parent
fragile par exemple).
-Décliner localement le dispositif
MONALISA (repérage des personnes et de
leurs besoins par un réseau de bénévoles
sentinelles).
-Former les bénévoles aux gestes de
premiers secours.
-Proposer un guide sur les prestations et
services existants concernant le transport
et l’aide à la mobilité.
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Le développement/renforcement des actions
d’aide et de soutien aux aidants :
l’information sur les aides à domicile, le
repérage des structures de répit, la mise en
place d’activités de détente et de
divertissement (jeux, spectacles…).
La prévention des chutes.
Axe 4 : Aide aux aidants
-La faible acceptation chez certaines
-Des réponses existantes : 17 places
personnes âgées du besoin d'une aide
d'hébergement temporaire (seulement 3
sur l'EPCI de Grand Fougeray) ; 22 places
extérieur (elle compte sur leurs enfants
en accueil de jour ; 2 ESA (absence sur
et/ou pense pouvoir faire par ellel'EPCI de Grand Fougeray) ; 2 plateformes
même).
de répit.
-La difficulté des personnes âgées à
accepter le changement de personnel.
-Le refus de certaines personnes âgées
d’aller en accueil de jour.
-Le sentiment de culpabilité des enfants
à faire faire par d’autres.
-La méconnaissance des plates-formes
de répit.
-L’action sur les facteurs d’aggravation du
risque : perte de sommeil, déficiences,
dénutrition, inadaptation du logement…
-Développer les réponses de répit :
hébergement temporaire, accueil
d'urgence, plateforme de répit…, mais
aussi des réponses à domicile (ex. :
baluchonnage).
-Développer le recours aux médecins pour
repérer des aidants potentiels.
-Développer les actions.
Question de la légitimité pour coordonner les actions : proposition de s'appuyer sur le CODEM qui pourrait mettre les acteurs autour de la table et faciliter le
montage d'actions locales coordonnées (cohérence). Ce qui éviterait de faire se percuter des actions identiques sur le territoire.
Cf. projet « Vieillir et s'épanouir en Pays de Redon » MSA-CLCI du territoire : http://www.msaportesdebretagne.fr/lfr/action-pays-redon
Voir le rôle de filtre que pourrait jouer le CODEM avant transmission des programmes d'actions à la Conférence des financeurs.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
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Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Rennes
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
Le renforcement des actions d’accès aux
droits et à l’information.
-Les dispositifs de logements
intergénérationnels existant sur le
territoire (ex. : association « La maison en
ville ») sont de bons outils de médiations
dans l’accès à l’information.
-Dans certaines communes, des agents
publics (souvent au sein des CCAS) sont en
cours de formation via la Caf sur l’accès au
numérique des publics fragiles. Cette
formation devrait continuer à se déployer.
-L’existence d’Espaces multimédias.
Le développement de la prévention routière.
-L’existence, sur le Pays de Rennes,
d’alternatives importantes à la conduite de
son véhicule personnel (ne serait-ce
qu’avec les transports en commun).
-L’existence de structures type
« AnimàDom ».
-La démarche MONALISA (MObilisation
NAtionale contre L’ISolement des Agés)
dont le but est de promouvoir les actions
bénévoles de proximité et de favoriser les
coopérations entre acteurs associatifs,
professionnels et institutionnels pour
encourager les liens intergénérationnels et
rompre l’isolement des personnes âgées.
-La diffusion de courriers par les caisses de
retraite (ex. : infos juridiques, transmission
-La diversité des publics seniors et de
leurs conditions de vie. Elle rend
nécessaire l’adaptation des actions a
minima en fonction de l’âge des
personnes et des moments de rupture
qu’elles ont pu connaître.
-Moins de 50% des personnes âgées de
plus de 70 ans ont une connexion
internet à domicile (source : Crédoc).
Les plus précaires sont souvent aussi
moins connectés.
-La première cause de non-recours aux
droits est la méconnaissance.
-L’activité d’accompagnement
administratif est souvent très
chronophage.
-La difficulté parfois à trouver un relai
dans l’entourage des aînés.
-La difficulté à faire prendre conscience
aux aînés de leurs pertes de capacité à
conduire.
La lutte contre l’isolement et le
développement de la vigilance entre pairs.
La prévention des conséquences des
accidents de la vie et des moments de
-La précarité financière de certaines
personnes âgées.
-La difficulté parfois à prendre
conscience de son propre vieillissement.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Accompagner la tendance générale à la
dématérialisation des démarches
administratives.
-Développer les accompagnements à
l’accès au numérique.
-Développer la veille sur les besoins des
aînés en accompagnements administratifs
(notamment après un veuvage).
-Prendre en compte les besoins de relais
psychologiques.
-Développer les logements
intergénérationnels.
-Renforcer les actions « prévention
routière » déjà existantes.
-Communiquer davantage sur les solutions
locales de transports adaptées aux aînés.
-Développer le lien social avec des activités
collectives à domicile (domicile tournant) :
jeux, repas, médiation animale…
-Soutenir la déclinaison locale de la
démarche MONALISA.
-Mailler le territoire avec des bénévoles
constitués en équipes citoyennes.
-Développer l’usage des NTIC auprès des
aînés pour maintenir les liens avec
l’entourage.
-Accompagner les personnes dans
l’appréhension des conséquences des
11
Description des besoins et priorités
rupture dans le parcours de vie : fin de
l’activité professionnelle, décès du conjoint
(veuvage), arrêt de l’usage de la voiture,
décès/retrait/éloignement d’un proche
potentiellement aidant, chute brutale ou
maladie invalidante, retour d’hospitalisation,
etc.
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
du patrimoine, vivre son deuil, etc.).
-L’existence d’ateliers thématiques.
-L’existence de groupes de paroles pour les
personnes en deuil.
-La peur du vieillissement est parfois la
source d’une dépression.
-La faible d’anticipation souvent des
événements pourtant inéluctables.
-La peur parfois des aidants de mal
utiliser le matériel technique mis à
disposition au domicile.
-Le manque de financement sur
l’ingénierie de projets permettant le
développement des actions et leur
évaluation mais aussi sur le repérage du
besoin en amont.
Préconisations, exemples de
propositions…
accidents de la vie afin qu’elles soient plus
à même de réagir et de mobiliser dans les
temps du conseil ou de l’aide.
-Proposer des consultations en
ambulatoire pour des interventions
spécialisées (psy, ergo) du type « panier de
services » pour accompagner (maintien à
domicile, changement de domicile).
-Développer auprès des seniors et des
proches aidants les formations à l’usage
des aides techniques et du matériel installé
(ex. du lève-personne).
-Produire des supports d’information
adaptés concernant les sujets graves (ex.
dans la prévention des AVC).
La prise en charge du risque suicidaire chez
les aînés.
-Le déficit de réponses à ce sujet sur le
pays de Rennes.
-Le manque de formation des
professionnels sur ces questions.
-Développer vers les professionnels à
domicile et les bénévoles des formations
sur le repérage du risque et la prévention
du suicide ; notamment afin que les
acteurs se sentent plus légitimes à prendre
en charge de cette question.
-S’appuyer sur les actions de lutte contre
l’isolement.
-Prévoir dans les plans d’aide le temps de
présence lié au soutien moral et
psychologique.
La prise en charge du sentiment d’insécurité
(peur) chez certains aînés.
-L’avancée en âge va souvent de pair
avec l’augmentation d’un sentiment de
vulnérabilité (à domicile, mais aussi dans
la rue ou quand on part en vacances…).
-La présence importante du
démarchage, du porte-à-porte…
-Développer des réunions d’information
avec police-gendarmerie, notaires… sur des
conseils simples.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
12
Description des besoins et priorités
Le développement de l’accueil/hébergement
temporaire et de répit.
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
-L’existence de réponses sur le territoire :
accueil temporaire, résidences-services,
habitat groupé (ex. : « Maison Helena »),
habitat intergénérationnel (ex. :
association « La maison en ville »),
résidences autonomie, baluchonnage (ex.
Les aidants de l’Ille), plateforme de répit
(au nombre de 2 sur le département dont 1
sur le pays de Rennes)…
-Le manque de places en accueil
temporaire en Ehpad.
-La difficulté des acteurs à trouver des
solutions pour les aînés (problème de
l’urgence souvent).
-Le coût des solutions envisageables est
souvent élevé.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Réfléchir aux alternatives (quid, par
exemple, de l’implication des résidencesservices dans l’augmentation des réponses
possibles ?).
-Développer les alternatives entre domicile
et Ehpad.
-Développer les interventions en urgence
au domicile pour du ponctuel : pour 1 ou 2
nuit ou un WE… par des professionnels
formés qui connaissent les relais et
peuvent donc informer/orienter.
13
Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Saint-Malo
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Les difficultés du transport et les
déplacements empêchés ou contraints.
+
L’accompagnement physique de la personne
à une consultation santé, pour des courses,
etc.
-Des outils existent.
Le développement d’actions coordonnées
d’éducation à la santé et à l’hygiène de vie,
et ce au profit d’une couverture équitable du
territoire.
-L’existence d’habitudes de travail
partenariales.
-La bonne articulation entre le social, le
sanitaire et le médicosocial.
-L’importance des axes routiers pour
désenclaver un territoire rural peu ou prou
sous-doté en services de proximité et
offres de santé en particulier (ex. : CC du
Pays de Brocéliande).
La visibilité des associations de santé
susceptibles d’informer, de soutenir et
d’orienter les personnes âgées.
-Un réseau d’associations dense mais
difficilement lisible.
La lutte contre l’isolement et le
maintien/développement des sociabilités, du
lien social.
-Le dispositif à St-Malo de « veilleurs
solidaires » : des habitants membres
d’associations caritatives (23 asso) jouent
un rôle de veilleurs dans leur quartier
(dans le respect des personnes et d’une
éthique).
Freins – Obstacles à l’action
-Les outils sont dispersés.
-La non-prise en compte de cette
question de l’accompagnement
physique dans les plans d’aide.
-L’incertitude sur l’adhésion de tous les
partenaires du territoire.
-L’incertitude sur le mode de
communication.
-Certains territoires (particulièrement
sur le Pays de Dol et la CC de la Baie du
Mont St-Michel) voient leur
démographie médicale en
baisse (médecins partant en retraite et
non remplacés ; territoires ruraux
manquant de services de proximité peu
attractifs pour de jeunes médecins…).
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Financer les déplacements dans le cadre
de l’accès aux actions (conférences,
ateliers, …).
-Créer un guide des intervenants existants
sur le territoire dans le transport des
personnes âgées à mobilité réduite et
vivant à domicile.
-Développer les possibilités
d’accompagnement physique des
personnes ; et ce sans créer des services
spécifiques mais en s’appuyant sur
l’existant (par ex. Les aides à domicile).
-Créer un inter-CLIC pour sensibiliser sur
l’ensemble du territoire.
-Créer une « maison des associations de
santé » pour rassembler et apporter une
visibilité (avec à terme des antennes ou
permanences délocalisées et un site
internet).
-Développer les dispositifs de type
« veilleurs-solidaires » sur tout le territoire
et former les bénévoles concerner à la fois
à la veille et au rôle de relais
d’informations.
14
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
L’anticipation même des besoins de
prévention de la perte d’autonomie via des
compagnes d’information précoces lorsque
le sujet conserve encore toute son
autonomie.
-La difficulté pour des générations plus
jeunes et largement autonomes de se
projeter dans leur propre vieillissement
à venir.
Le manque de proches aidants.
-L’éloignement géographique des
enfants principalement.
Une réalité plus marquée pour les
personnes âgées venant de loin pour
s’installer sur le littoral.
-Les faiblesses ou insuffisances sur
l’hébergement temporaire, l’accueil de
jour, les plateformes de répit… (pas
d’accueil de jour à Cancale par
exemple).
La santé des aidants (gros besoin de
prévention).
L’aménagement de l’habitat et la question
du diagnostic des besoins d’adaptation du
logement ou d’aides techniques…
-Le dispositif Pact Arim 35 et d’autres.
-Le projet à l’étude de la conférence des
financeurs d’un site internet sur le
repérage des acteurs et de ce qu’ils font.
-Le manque de visibilité des acteurs et
des financements possibles sur les
possibilités et prise en charge de la
phase de diagnostic sur les besoins
d’adaptation de l’habitat.
-Le manque d’informations sur ce sujet
en direction des acteurs de la réponse.
-Le manque de réponses unifiées.
-Le manque d’équité entre les territoires
infra-pays.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Communiquer auprès des seniors
(notamment des jeunes retraités, voire
d’actifs) sur des thèmes tels que la
préparation à la retraite, l’engagement
bénévole des retraités, les directives
anticipées, la désignation d’une personne
de confiance, etc.
-Faire aussi des campagnes
d’information/prévention en direction de
l’entourage familial (souvent les enfants),
même lorsque celui-ci est éloigné
géographiquement.
-Mettre en place des groupes de paroles
favorisant la déculpabilisation des aidants.
-Organiser la mise en place de bilans de
santé en direction des aidants (voir le
recours des centres d’examen de santé).
-Renforcer les actions de soutien aux
proches aidants afin qu’ils ne flanchent
pas.
-Elargir le périmètre géographique
d’intervention de l’ESA (Equipe Spécialisée
Alzheimer) à tout le Pays de Saint-Malo
afin de soulager les aidants concernés et
d’améliorer les relations patient/aidant.
-Financer le diagnostic.
-Développer la visibilité de l’offre pour une
information claire sur l’ensemble du territoire
(ex : un site internet inter-CLIC).
-Mettre en place les matériels nécessaires à la
sortie d’hospitalisation.
-Bénéficier d’un ergothérapeute à domicile pour
la prévention (cela se fait déjà en sortie
d’hospitalisation).
-Créer un guide pour le matériel.
-Labelliser un groupe d’artisans pour les
interventions techniques dans le cadre d’une
charte (notion de réseau).
15
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
La mutualisation d’une grille de repérage des
fragilités et le partage de son usage par les
acteurs du territoire.
-L’existence e de grilles déjà peu ou prou
en service (ex. : grille de FRIED ou autres,
RAI…).
La méconnaissance des démarches de
repérage déjà existantes chez des
professionnels du maintien à domicile.
Le manque de temps parfois des
professionnels du maintien à domicile à
consacrer à se repérage des fragilités.
Le développement de la veille, du repérage
et de l’alerte sur les déficiences sensorielles
(en particulier auditives) ; essentiel dans la
prévention des chutes, de l’isolement, du
repli cognitif, de la dépression, etc.
-Des actions sont déjà réalisées.
-Le coût très élevé des prothèses,
notamment auditives, et la faible prise
en charge par l’assurance maladie et les
mutuelles complémentaires.
Préconisations, exemples de
propositions…
-S’appuyer sur des grilles déjà existantes
(ex : grille de FRIED).
-Former les professionnels du maintien à
domicile sur le repérage et l’orientation
vers les acteurs idoines.
-Développer une démarche de collecte des
signalements et de leur analyse en croisant
les observations des divers acteurs
intervenant auprès de la personne
(croisement des regards) ; et ce pour
pouvoir ensuite mieux alerter et mettre en
place les actions de prévention
pertinentes.
-Être attentif aux moments-clés de rupture
dans la vie sociale des aînés (fin de
l’activité professionnelle, décès du
conjoint, arrêt de l’usage de la voiture,
retrait/éloignement d’un proche
potentiellement aidant…).
-Développer une information coordonnée
et ciblée sur les conséquences des pertes
auditives ou visuelles, des problèmes
buccodentaires… ; et ce autant vers les
bénéficiaires que vers les professionnels
(formation).
-Former au repérage et à l’alerte.
-Mettre en place des actions en rapport
avec les problèmes repérés.
Trois axes forts et transversaux dans l’organisation de la réponse de prévention existante : 1-Coordonner, 2-Rendre plus lisible, 3-Assurer l’égalité territoriale.
Deux axes forts en matière d’anticipation des besoins de prévention : 1-Se doter d’outils et méthodes de repérage des facteurs de risque, 2-Savoir qui et comment
alerter selon les circonstances.
Deux modalités (qui ne s’opposent pas) pour développer des actions : 1-Répondre à des appels à projet (logique descendante), 2-Faire émerger et remonter du
terrain des projets via une coordination/concertation locale (logique ascendante).
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
16
Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Vallons de Vilaine
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Le renforcement des ateliers de prévention
d’une manière générale et particulièrement
en Santé-Bien vieillir (équilibre, nutrition…) ;
et ce à la suite de repérages plus efficients.
-Des actions existent déjà.
Le développement de l’intergénérationnel.
-Cf. l’expérience du Théâtre débat :
« Mathieu et Mireille deviennent vieux… et
alors ! ».
Le développement d’actions à domicile
associant conjointement les aidés et les
aidants, afin d’améliorer le fonctionnement
du binôme.
-Une programmation DomiSiel au domicile
est en projet.
Freins – Obstacles à l’action
-Le problème de financement par les
collectivités.
-Les jeunes seniors sont moins présents
sur les actions (prévention-agir). Avec
eux, on est davantage dans la
prévention-informer. C’est un public qui
va sur les sites internet…
-Le repérage est freiné par les
problèmes de non-recours voire de
renoncement aux droits.
-Non-recours et renoncement sont liés à
la méconnaissance des aides et droits
mais aussi aux difficultés pour se
déplacer, à l’éloignement géographique,
à la dématérialisation des démarches…
-Le coût est souvent élevé (prestations
individuelles et au domicile).
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Mettre en place des ateliers permanents
thématiques : nutrition mémoire,
équilibre, adaptation de l’habitat… ; avec
un calendrier pré-établi pour pouvoir
orienter rapidement et bien informer les
professionnels prescripteurs (lisibilité sur
ce qui va se faire et à quel moment).
-Accentuer les actions d’accès aux droits en
direction de publics ciblés (les plus en
risque de non-recours) : seniors précaires,
aînés très isolés, aînés dans le déni…
-Développer les activités
intergénérationnelles autour de la notion
de vieillissement.
-Lier ces actions sur les liens
intergénérationnels avec celles portant sur
la lutte contre l’isolement, mais aussi sur la
mémoire.
-Développer des actions associant des
enfants (écoles) et des aînés sur « la vie
autrefois », le recueil d’expériences et
d’histoires (ex : l’école à l’époque de mes
grands-parents).
-Développer les actions d’activités
physiques (gym adaptée) associant aidants
et aidés.
-Développer les actions à domicile sur les
gestes et postures (notamment intéressant
en sorite d’hospitalisation).
17
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
La préservation du sentiment d’utilité sociale
et la lutte contre l’isolement (notamment en
conséquence d’un veuvage).
-Les actions existantes sur la préparation à
la retraite.
-La démarche MONALISA (MObilisation
NAtionale contre L’ISolement des Agés)
dont le but est de promouvoir les actions
bénévoles de proximité et de favoriser les
coopérations entre acteurs associatifs,
professionnels et institutionnels pour
encourager les liens intergénérationnels et
rompre l’isolement des personnes âgées.
-La place importante des seniors dans le
bénévolat, dans les CA associatifs par
exemple.
-Les actions déjà existantes
d’accompagnement administratif (aide à
domicile).
-Le coût peut être parfois élevé.
Le développement d’une
information/communication sur les
différentes solutions de parcours résidentiel
ou d’aides à l’adaptation du logement
offertes et accessibles aux aînés.
-La possibilité d’un diagnostic financé par
des collectivités en OPAH (sous couvert
d’éligibilité à l’ANAH).
-L’absence de lieu d’information sur ces
sujets aujourd’hui sur le territoire.
-L’instabilité ou l’incertitude des
financements de l’ANAH.
-L’existence sur le territoire de
propriétaires âgés vivant dans des
logements anciens plus ou moins
précaires voire insalubres parfois.
-Le manque de logements sociaux sur le
territoire, malgré l’existence de
logements en locatif privé faisant office
de logements sociaux.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Encourager la déclinaison locale de la
démarche MONALISA.
-Monter des réseaux d’équipes citoyennes
(voisiner) pour veiller et informer.
-Former les membres de ces réseaux.
-Valoriser la contribution des personnes
âgées à la vie sociale locale (dans les
associations en particulier), mais aussi à
l’économie domestique (par ex. leur rôle
dans la garde d’enfants).
-Développer des actions qui valorisent
l’expérience et les compétences des
seniors.
-Soutenir les personnes ayant subi un
veuvage (informations sur les questions de
revenus, de transmissions de patrimoine
(avec un notaire) de deuil, etc.) en
proposant des conférences collectives
pouvant se déclinées ensuite en ateliers ou
groupe de paroles plus réduits voire en
orientations individualisées. (cf. par ex. les
actions de soutien psychologique que peut
proposer le service Parent’Âge de
l’association Parentel).
-Proposer des lieux et supports d’informations
sur ces sujets.
-Développer les possibilités de prise en charge
financière des diagnostics autonomie-habitat
hors OPAH.
-Développer plus largement les financements
de conseils auprès des personnes âgées et
d’accompagnement dans la réalisation de leur
projet sur la durée (via l’intervention
d’ergothérapeutes par exemple ; une ressource
souvent présente en EHPAD).
-Encourager l’implication des
intercommunalités (EPCI) sur ces questions en
fonction de leurs compétences.
18
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
Préconisations, exemples de
propositions…
-Encourager une implication encore plus
importante des intercommunalités (EPCI)
sur cette question (champ de
compétences).
Le renforcement et la diversification des
solutions facilitant les déplacements des
personnes âgées.
-L’existence d’une solution de transport à
la demande (via les EPCI).
-L’existence d’actions autour de la
prévention routière.
La prise en charge du risque suicidaire chez
les aînés.
-Une information existe déjà sur ce sujet.
-Des formations sont en cours ou prévues
sur le repérage des risques suicidaires.
-Accompagner la mise en place de réseaux
de bénévoles (en lien avec des
professionnels) de repérage et
d’orientation des personnes ayant des
idées suicidaires.
-Soutenir la formation des professionnels
et des bénévoles sur ces questions.
Le développement des actions autour des
déficiences sensorielles (audition, vision).
-La présence de l’association Keditu sur le
territoire.
-Développer des actions adaptées
d’information, de conseil et d’orientation.
Le développement des accueils temporaires.
-Des places en hébergement temporaire
existent sur le pays (moins de 10).
-Le manque de places en hébergement
temporaire (particulièrement en
urgence).
-Le manque de places d’accueil de jour,
notamment sur Guipry-Messac et
Maure-de-Bretagne.
-L’insuffisance des possibilités de
transport.
-Augmenter le nombre de places en
hébergement temporaire et accueil de
jour.
-Accentuer l’information sur ces
prestations et leur importance dans la
prévention et pour le répit des aidants.
Le renforcement d’une coordination locale permettant d’engager des actions pose au moins deux questions :
- celle de la légitimité : qui à légitimité localement pour assurer cette coordination ?
- et secondairement celle du financement de ces temps de coordination et d’ingénierie de projets.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
19
Compte-rendu du Groupe de travail territorialisé sur le Pays de Vitré
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Le renforcement des actions autour de la
perte de mémoire.
-L’existence de places en accueil de jour
(« La Passerelle »…).
Le repérage des publics en voie de
fragilisation.
-Les publics qui viennent facilement sont
potentiellement des prescripteurs.
-L’existence des fichiers avec mailing.
-La commune est l’échelle de proximité
plébiscitée par les aînés, c’est un lieu de
rencontre.
-Les actions à proximité sont plus efficaces.
-La mairie reste le lieu privilégié par les
aînés en demande d’informations.
-L’existence de dépliants dans les CLIC.
-L’existence du Carrefour des associations.
-La possibilité d’utiliser le service civique
volontaire.
-les professionnels du portage de repas,
Saad , SSIAD… constituent des acteurs
relais dans le repérage des publics.
Freins – Obstacles à l’action
-Le besoin de différencier/d’adapter les
accueils selon que le public est jeunes
seniors ou dans le grand-âge.
- Les publics qui ne viennent jamais,
ceux qui ne se font pas connaître.
-Les difficultés du premier pas, du
premier contact.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Réfléchir à des solutions adaptées à des
publics différents.
-Mettre en place un bus infos santé
(coordonné par des acteurs locaux et en
lien avec les municipalités) : lieu de
rencontre et d’échanges, espace d’activités
thématiques attractives pour les seniors
permettant de « capter » les publics,
diffuser de l’information, orienter, voire
rendre le droit…
-Proposer « le pot des retraités de
l’année » : présentation des acteurs, des
dispositifs… pour créer de la confiance lors
de relations futures (lors de l’intervention
de techniciens, psycho, ergo… par ex. sur
l’adaptation du logement, le bien-être
psychologique…).
-Mettre en place un réseau de bénévoles
dans chaque quartier, chaque hameau,
susceptible d’être relais d’informations :
par ex. pour des visites à domicile (usage
du service civique) ou pour des atelierscuisine au domicile des aînés (ateliers
tournants)…
-Proposer aux aînés la possibilité de faire
un autodiagnostic de leur situation à
domicile (questionnaire-test) et donner
conjointement des informations sur les
acteurs/structures susceptibles de les
conseiller, de les aider (concernant par ex.
l’adaptation du l’habitat ou les possibilités
de transport…). Ce « questionnaire-test »
pourrait être mis à disposition dans le
bulletin municipal.
20
Description des besoins et priorités
La prise en charge des difficultés de
déplacement sur le territoire et donc de la
question du transport.
Le développement des actions autour des
déficiences sensorielles (audition, vision).
La prévention des accidents médicamenteux
du fait d’une prise de médicaments
défaillante (oubli, surdosage…).
Moteurs – Facilitateurs de l’action
Freins – Obstacles à l’action
-La compétence des EPCI du territoire.
-L’existence de Taxi.com sur le territoire
(service de transport à la demande).
-L’existence d’expérimentation du type
« Au bout du fil » (temps collectif
d’échange au téléphone sur le bien vieillir).
Les aînés restent chez eux.
-L’absence de réponses sur certains
secteurs du territoire favorise le risque
d’isolement des aînés.
-La possibilité d’intervention par les
médecins conseils de l’Assurance maladie,
des professeurs d’université…
-Le rapport aux médicaments et aux
médecins chez les aînés.
-La tendance à la délivrance
systématique de médicaments chez
certains médecins.
La prévention des conséquences des
accidents de la vie et des moments de
rupture dans le parcours de vie : fin de
l’activité professionnelle, décès du conjoint
(veuvage), arrêt de l’usage de la voiture,
décès/retrait/éloignement d’un proche
aidant (ou potentiellement aidant), chute
brutale ou maladie invalidante, etc.
-La diffusion de courriers par les caisses de
retraite (ex. : infos juridiques, transmission
du patrimoine, vivre son deuil, etc.).
-L’existence d’ateliers thématiques.
-L’existence de groupes de paroles pour les
personnes en deuil.
Le renforcement des actions « Santé » les
plus essentielles : nutrition, équilibre,
activités physiques, mémoire, …
-L’existence des ateliers nutritionnels
proposés par la Maison de la Nutrition, du
Diabète et du Risque Vasculaire (MNDRV).
-La présence des porteurs de repas qui
peuvent être des relais d’information sur
les questions de nutrition.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
Préconisations, exemples de
propositions…
-Mettre en place des réseaux de bénévoles
pour du transport solidaire de proximité
(cf. expérience de la MSA des Côtes
d’Armor).
-Sensibiliser les ainés au besoin de
participer à des ateliers « sécurité
routière » pour reprendre confiance dans
leur capacité à conduire… (ex : de femmes
n’ayant pas conduit depuis de nombreuses
années).
-Développer des actions d’information, de
conseil et d’orientation.
-Développer les communications sur les
effets et risques du médicament.
-Mettre en place des ateliers sur les risques
médicamenteux dans le cadre du « bienvieillir » en ayant recours aux compétences
déjà existantes sur le département
(médecins-conseils, professeurs…).
-Elargir le contenu des actions déjà
existantes d’éducation à la santé.
-Accompagner les personnes dans
l’appréhension des conséquences des
accidents de la vie afin qu’elles soient plus
à même de réagir et de mobiliser dans les
temps du conseil ou de l’aide.
-Renforcer les actions d’information ou
d’accompagnement sur l’adaptation des
logements dans la perspective de
réduction des risques de chutes à domicile.
-Redonner le goût de se nourrir avec les
ateliers à domicile diffusant des messages
de prévention.
-Former les bénévoles et professionnels du
maintien à domicile à la thématique de la
nutrition chez les personnes âgées.
21
Description des besoins et priorités
Moteurs – Facilitateurs de l’action
La prise en charge du risque suicidaire : le
besoins d’outils, d’animation, de
formations… dans ce domaine.
La prise en compte du besoin de répit de
l’aidant durant la nuit et donc de la
préservation de son sommeil.
-Une information existe déjà sur ce sujet.
-Des formations sont en cours ou prévues
sur le repérage des risques suicidaires.
-Des infirmières à la retraite acceptent
ponctuellement d’intervenir (du gré à gré).
Le renforcement des actions d’aide aux
aidants.
-Des actions existent : Bistrot mémoire,
Café des mémoires…
-La présence de temps de loisirs récréatifs
sur lesquels aidants et aidés sont
conjointement conviés, peuvent partager
autre chose que le quotidien et sortir de
leur rôle respectif.
Freins – Obstacles à l’action
-Les situations d’urgence.
-L’absence de solutions actuellement.
-La nécessité d’une solution à proximité.
-Le coût élevé des solutions
généralement envisageables.
Préconisations, exemples de
propositions…
-Développer les liens avec la psychiatrie.
-Proposer des accueils de nuit pour le répit
des aidants (voir par ex. les Ehpad qui
seraient en mesure d’accepter).
-Développer un réseau d’intervenants
ponctuels.
-Développer un service de garde de nuit.
-Proposer un accueil de jour au sein d’un
EHPAD pour permettre le répit de l’aidant
-Développer des temps de loisirs
accueillant ensemble aidés et aidants.
-Trouver des solutions pour la prise en
charge de l’aidé pendant la formation de
l’aidant.
Les conditions favorables à une réponse pertinente aux besoins de prévention de la perte d’autonomie des seniors sur le Pays :
- La capacité de repérage des risques ou fragilités susceptibles d’affecter l’autonomie des personnes âgées.
- La recherche d’un maximum d’adhésion des aînés aux actions qui leur sont proposées voire de leur implication dans la construction des actions elles-mêmes.
- La préférence pour une logique d’intervention de proximité (avec les populations âgées).
- Le maillage du territoire ou la question de l’égalité territoriale.
- L’existence d’une dynamique locale de coordination partenariale.
- Les possibilités de transport et de déplacements des publics âgés.
- La valorisation du temps d’ingénierie lié à l’élaboration de projets d’action (temps de conception de l’action, de coordination partenariale, de recherche de
financement, d’évaluation…).
- La préférence pour une logique de sécurisation financière des actions dans la durée (un financement pluriannuel renouvelable par exemple).
- La possibilité de valoriser parfois des actions aux frontières des champs d’intervention institutionnalisés : cf. l’exemple d’actions non spécifiquement
destinées aux 60 ans et plus, mais dont le public bénéficiaire regroupe malgré tout en grande majorité ce type de population.
- La prévision d’une phase d’évaluation dans l’ingénierie des actions engagées.
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
22
Les participants aux groupes de travail territorialisés (par Pays)
Pays de Brocéliande : vendredi 10 juin 2016 à Montauban-de-Bretagne
Ouverture par Valérie Lecomte-Tribehou
16 personnes :
Structure - Organisme
Prénom Nom
Agent de développement local social
Marylène Hignet
Clic du Pays de Brocéliande à Montauban de Bretagne
Nathalie Pierre, coordinatrice
Travailleurs sociaux CDAS
Lionel Agay, conseiller social en gérontologie
Carsat / MSA /RSI
Mathilde Ruellot
Foyer Logement de Montfort-sur-Meu Résidence de l'Ourme Martine Le Gosles
Mutualité Bretagne
Yann Menot, Responsable Activité promotion de la santé
Coderpag
Daniel Erhel
CCAS Montauban de Bretagne
Charlotte Massicot, Gestionnaire CCAS, Coordinatrice de la vie sociale-Résidence Héléna
Complémentaires retraite
Jean-Marc Labbée, Délégué Régional des Activités Sociales
ADMR Fédération départementale
Claire Castellan
Siel Bleu
Archipel Habitat - OPH Rennes Métropole
CIAS à l'Ouest de Rennes
Centre social de Plélan
office des sports montauban bretagne
Mael Garros
Isabelle Clément
Jacques Thomas, Directeur Général du CIAS
Chantal Le Floch, Directrice
Anne-Sophie Le Crom, chargée de mission santé
Frédérique Mercier
CDHAT
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
23
Pays de Fougères : vendredi 20 mai 2016 à Javené
Ouverture par André Philipot
13 personnes
Structure - Organisme
Agent de développement local social
Clic des Trois Cantons à Fougères
Clic en Marches à St Brice en Coglès
Travailleurs sociaux CDAS
Carsat / MSA /RSI
Foyer-logement
Services d'aide à domicile
Coderpag
CCAS Fougères
Animateurs territoriaux de santé
Médecins conseillers ou infirmiers
Centre social
OFPAR
Prénom Nom
Elise Drappier
Hélène Mocquard, Directrice Clic
Thérèse Lebrun, Directrice Clic
Laurence Ledauphin, conseillère sociale en gérontologie (CDAS Fougères)
Denis Poulain assistant social MSA
Camille Sonrier, Directrice remplaçante de la résidence Rebuffé
Marie Annick Balluais, Cadre de secteur Domicile Action pays Fougères
Daniel Erhel
Christine Le Soudeer, Directrice DAS-CCAS
Mathilde Lenain
Christine Rudant, médecin (CDAS Fougères)
François Diaz, Directeur du centre social de Fougères
Geneviève Le Guillou
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
24
Pays de Redon : mardi 24 mai 2016 à Redon
Ouverture par Nathalie Le Formal
12 personnes :
Structure - Organisme
Prénom Nom
Agent de développement local social
Véronique Hallier, contrôleur lois aide sociale
Clic du Pays de Redon à Redon
Solène Séchet, coordinatrice
Travailleurs sociaux CDAS
Brigitte Legendre, conseillère sociale en gérontologie
Carsat
Habiba Ledain (chargée de prévention sociale Carsat)
Carsat
Michèle Goby
MSA
Marie-Andrée Richard
Services d'aide à domicile - Assad réseau Una Isabelle Storms, Directrice générale
Sandrine Lux, Chef du Pôle Services
Coderpag
Gwenn Broudic
Complémentaires retraite
Jean-Marc Labbée, Délégué Régional des Activités Sociales
Médecins conseillers ou infirmiers
Stéphanie Baron, IDE
Association Bretagne Arc-en-ciel
Monsieur Delaplace
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
25
Pays de Rennes : jeudi 9 juin 2016 à Thorigné-Fouillard
Ouverture par Gilles Kretz
18 personnes :
Structure - Organisme
Prénom Nom
Yves Laurent
Odile Vollaud
M. Lemesle
Agnès Danset, élue à pacé
Clic Noroît à Montgermont
Delphine Langevin
Clic de Rennes à Rennes
Clic de l’Ille-et-l’Illet à St Aubin d'Aubigné Pierre-Yves Le Bail, président de l'association de gestion du CLIC
Estelle Nivet Le Bars, Conseillère Sociale en Gérontologie
Travailleurs sociaux CDAS
Dominique Renouard, Conseillère sociale en Gérontologie
Monique Michelet
Carsat / MSA /RSI
Yann Menot, Responsable Activité promotion de la santé
Mutualité Bretagne
Gaëlle Pigeon, responsable du secteur sud du SAAD (CCAS Rennes)
Services d'aide à domicile
Michel Macé
Coderpag
Marie Chevalier
Complémentaires retraite
Valérie Cornec, médecin (CDAS de Villejean et du Centre)
Médecins conseillers ou infirmiers
Christel Castaing, Coordinatrice administrative
OPAR
Angelique Bougeard, psychologue
Centre de prévention Bien vieillir
R Lozachmeur
Assia Réseau UNA
Axelle Verny
La Maison en Ville
Agent de développement local social
Clic ALLI’AGES à Chantepie
Synthèse générale du diagnostic PPA - © Compas juin 2016
26
Pays de Saint-Malo : jeudi 26 mai 2016 à St-Père-Marc-en-Poulet
Ouverture par Jacky Daviau
14 personnes :
Structure - Organisme
Prénom Nom
Agent de développement local social
Annick Boizard
Clic AGECLIC à Combourg
Anne-Flore Glory,
Clic de la Côte d’Emeraude à Dinard
Sandrine Le Borgne
CLIC de St Malo à St Malo
Solenn Monnerie
CODEM Secteur Rive gauche de la Rance
Christophe Hervé, Président
CODEM Terre et Mer
Suzanne Mainguy, Présidente
Travailleurs sociaux CDAS
Véronique Allix, Conseillère en gérontologie CDAS pays malouin
Résidence Jean XXIII
Sandrine Guerrand, Directrice
Foyer Logement du CCAS Le Clos Breton - PLEURTUIT Sophie Guislard, Directrice
Mutualité Bretagne
Sandrine Goizet, chargée de prévention
Coderpag
Bernard Clouwez
Médecins conseillers ou infirmiers
Christine Quémerais, infirmière
France Alzheimer 35 / Réseau gérontologique François Canneva, Président de France Alzheimer 35
Centre hospitalier Cancale et St Malo
Madame Radureau
Association Valentin Haüy–comité d'I&V
Madame Roussel
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27
Pays des Vallons de Vilaine : lundi 6 juin 2016 à Bain-de-Bretagne
Ouverture par Alain Piton
14 personnes :
Structure - Organisme
Prénom Nom
Département Ille-et-Vilaine
Virginie Perherin, Agent de développement social local
Estelle Zouhal, chef de service vie sociale
Benoît Thuaudet, Directeur Agence départementale
Clic des 4 rivières à Guichen
Milène DELAMAIRE-PELTIER, coordinatrice
Travailleurs sociaux CDAS
Nelly Josse, Conseillère sociale en gérontologie
Josiane Yuan, Conseillère sociale en gérontologie
Carsat
MSA
Laurence Martin (Responsable adjointe département partenariat et prévention sociale Carsat)
Mutualité Bretagne
Perrine Le Bouffant, chargée de prévention
Coderpag
Michel Macé
ANCV
PACT HD
Maison de la Nutrition, du Diabète et du Risque Vasculaire
Jordie Bion, chargée de développement Action Sociale
Pascal Roulin, Responsable du service Adaptation
Camille Rigaudeau
Couny Anne, élève EHESP
Jeanne Juton
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28
Pays de Vitré : jeudi 2 juin 2016 à Vitré
Ouverture par Marie Yeu
22 personnes
Structure - Organisme
Prénom Nom
Bertrand David
Agent de développement local social
Clic de la Roche aux Fées à la Guerche de Bretagne Bérengère Turmel, coordinatrice
Cécile Lodé, coordinatrice Clic, CCAS Vitré
Clic des Portes de Bretagne
Sandrine Sauvage, Conseillère Sociale en Gérontologie
Travailleurs sociaux CDAS
Marie-Annick Martin
MSA
Yann Menot, Responsable Activité promotion de la santé
Mutualité Bretagne
Lyse Peyrouset, Directrice
Association ADMR des Dolmens JRS
Jean Le Duff
Coderpag
Gaël Jouvry, Directeur
CCAS d'un pôle central du pays
Hélène Mazenq
Animateurs territoriaux de santé
Pierrick Primault
Complémentaires retraite
Betty Cappio Rio, médecin conseil territorial CDAS Janzé
Médecins conseillers ou infirmiers
Isabelle Duplomb, médecin PA/PH du CDAS de Vitré
Isabelle Boucherie, Directrice ADSPV
Bistrot Mémoire du pays de Vitré
Monsieur Delaplace
Association Bretagne Arc-en-ciel
Antoine Potier
Brain up
Madame Mener, Cadre supérieur de santé
CH La Guerche de Bretagne
Laura brunet, stagiaire Clic
Magali COLLEAUX et Mélanie CLOUE
ARS
André Gendry, Référent bénévole
Croix rouge française HRDA
Anne Charlot, présidente de l'UDCCAS, adjointe à Vitré
CCAS Vitré
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29
Le récapitulatif des organismes et structures sollicités dans le cadre de l’enquête sur les initiatives locales
Type de structure
Etablissements pour personnes âgées
CLIC
SAAD
Services prestataires agréés
Bistrots mémoire
Communes
CCAS
Habitat
Autres
Total
nb
179
14
28
58
5
351
356
15
69
1075
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30