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Philosophie TS
Quentin Boyer - M. Grange
2015-2016
Contents
0.1
Introduction à la philosophie . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0.1.1 Définition de Lalande . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0.1.2 La philosophie comme recherche du savoir et de la vérité
0.1.3 La philosophie, exigence morale et personelle . . . . . .
0.1.4 Lectures possibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2
2
2
3
4
1 Raison, Réel, Vérité, Doute, Sciences, Démonstration. Expérience. Languague et vérité
5
1.1 Comment l’homme peut-il se délivrer de l’ignorance et de
l’illusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.1.1 De l’ignorance de l’enfance à la construction d’un savoir
solide et assuré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.1.2 Pourqui le doute, activité fondamentale de l’esprit, s’imposet-il à tout homme ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.1.3 Le courage de penser par soi même . . . . . . . . . . . 8
1.2 Les propriétés de la vérité scientifiques , a quoi reocnnait on
un science ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.2.1 Description des méthodes scientifiques . . . . . . . . . 8
1.2.2 La science est-elle la seule forme possible de connaisance ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
1.2.3 Vérité et sciences humaines . . . . . . . . . . . . . . . 10
1
0.1
0.1.1
Introduction à la philosophie
Définition de Lalande
"La philosophie est une connaisance vraie du réel dans sa totalité, nécessaire
pour permettre à l’homme de trouver sa place en ce monde et d’y assurer
son salut"
"La philosophie désigne l’amour de la sagesse, d’un savoir harmonieux
susceptivle d’indiquer à l’homme comment il doit conduire sa vie"
La philosophoe est une discipline intelectuelle et morale, qui vise l’épanouissenement
le plus complet de la personne que je suis. Elle sait la richesse de tout
homme, les capacités d’intelligence et d’actions qui sont les siennes, elle veut
nous apprendre à en faire un bon usage de telle sorte que notre adaptation à
l’existence soit résussie. C’est parceque l’homme prend consience de ses limites et de ses imperfections qu’il doit s’efforcer de les corriger, Philosopher
c’est s’efforcer de se perfectionner.
0.1.2
La philosophie comme recherche du savoir et de
la vérité
La notion de savoir est encore incertaine ( ou équivoque ), c’est pourquou
les philosophes ont ressenti le besoin de distinguer deux formes de savoir : le
savoir empirique (savoir que) et le savoir rationnel (savoir pourquoi).
"Je sais que le ciel est bleu ce matin sur Paris", exemple de savoir empirique
Savoir Empirique Une connaisance fondée sur la perception, la sensibilité. Savoir accesible à tout le monde, le svoir empirique releve du fait, du
constat. C’est un savoir immédiat, aucun délai de reflexion n’est nécessaire,
c’est un savoir sans effort.
Savoir Rationnel Savoir nécessitant une relexion, avec des connaisances
précises. ce savoir n’est accesible qu’a un spécialiste du domaine, il demande
des connaisances rationelles qui sont difficiles à aquerir.L’on est généralement
incapable de répondre sérieusement. Situation d’ignorance.
Par quoi commence la démarche philosophique ? Par l’expérimentation
d’un échec, d’un embaras intelectuel, qui nous interdit de répondre précisement à la question, tout être humain à accès simplement au savoir empirique,
mais la philosophie se désinteresse d’un tel savoir. Elle entends toujours
poser la question "pourquoi ?". Elle recherche les causes, les raisons, les
justifications de nos propres convictions. Dans ces conditions une double
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démarche est nécessaire au philosophe: effort de questionement, effort de reflexion et recherche intelectuelle. La philosophie commence toujours oar un
aveu d’ignorance, par la reconnaisance de son incompétence.
Le savoir empirique est un faux savoir, car savoir sans comprendre, sans
être capable d’expliquer, ce n’est pas savoir. Au contraire le savoir rationnel
est le fruit de la pensée, de la raison, de la recherche, c’est un vrai savoir
car il permet de comprendre, de clarifier, d’expliquer ce qui était intialement
confus ou ignoré. Expliquer c’est donc toujours justifier, argumenter, exposer
de maniere précise les raisons de votre propors.
"J’avais un extrème désir d’apprendre à distinguer le vrai du faux afin
de voir clair en mes actions et de marcher avec assurance dans cette vie",
Descartes
"Par l’espace, l’univers me comprends et m’engloutit comme un point,
par la pensée je le comprends", Pascal.
0.1.3
La philosophie, exigence morale et personelle
Il est entendu que la philosophie à pour objectif de construire un savoir
rationnel mais c’esy également le cas pour les scienses exactes et pour les
sciences humaines. La spécificité de la philosophie réside dans l’objet à connaître, dans son domaine de reflexion : L’Homme, le monde, l’existence.
Tout ce qui se rapporte à la condition humaine. L’originalité de la reflexion
philosophique réside dans le fait qu’il est impossible de séparer l’existence de
la pensée. La philosophie fait réference à la totalité de la personne que je
suis (experiences, sensibilité, sentiments, désirs, idées, projets). La philosophie naît du réel, de notre experience du monde, de la relation singuliere
que nous entretenons avec l’existence. C’est parcequ’en ce monde je fais
l’experience de la violence, de l’injustice, du bonheur ... que je ressens le
besion de m’interoger sur les causes de la violence, ou sur la nature du bonheur. Le fait d’être consient de l’injustice ou de la violence n’apporte aucune
solution, la philosophie est nécessaire pour expliquer qu’est ce que l’injustice
en ce monde, et possiblement la corriger.
La philosophie est égalment une exigence morale, car il serait indigne
de se contenter d’être spectateur du monde dans lequel je vis. L’homme se
doit d’être acteur et responsable de son existence, c’est à dire ne pas faire
n’importe quoi. Se préocupper de l’avenir de la societé dans laquelle je vis.
Se précocupper des autres qui acompagnenent mon existence. Ainsi sartre
disait qu’il ne pouvais s’estimer libre si d’autres dans le monde sont esclaves.
"Une vie sans examen ne merite d’être vécue", Platon.
Ces anaylses soulignent le fait que la philosophie entends reflechir sur le
sens et la valeur de la vie humaine.
3
"Comme un homme qui marche seul et dans les tenebres je me resolu
de distinguer le vrai du faux et de marcher avec assurance en cette vie",
Descartes.
"Le but de la philosophie rejoint le but de l’humanité : il s’agit de faire
en sorte que l’homme s’épaouisse de la maniere la plus complete possible",
Gusdorf
0.1.4
Lectures possibles
• Roger Pol Droit : " La philosophie expliquée à ma fille"
• Arendt : "La crise de la culture"
• Bergson : "Le rire"
• Kant : "Qu’est ce que s’orienter dans la pensée?"
• Kant : "Qu’est ce que les lumieres ?"
• Platon : "L’apologie de Socrate"
• Platon : "Criton"
• Rousseau : extraits de son oeuvre
• Pascal : "Les pensées"
• Freud : "Malaise dans la civilisation"
• Nietzsche : "Le crépuscule des idoles"
• Sartre : "L’existencialisme est un humanisme"
4
Chapter 1
Raison, Réel, Vérité, Doute,
Sciences, Démonstration.
Expérience. Languague et
vérité
1.1
Comment l’homme peut-il se délivrer de
l’ignorance et de l’illusion
1.1.1
De l’ignorance de l’enfance à la construction d’un
savoir solide et assuré
Pourquoi selon Descartes l’enfance se confond elle avec l’experience de l’ignorance
?
Les qualités rationelles ne sont pas encore éveillées lors de l’enfance.
Fragilité du jugement porté par l’enfant, incapable de s’appuyer sur des
connaisances solides. C’est un être incapble de s’appuyer sur des connaisances solides. C’est un être incapable de recul d’ou sa tendance naturelle
à l’affirmation, à la précipitation. Rapprochement de la précipitation et du
préjugé. La cause principale de l’ignorance c’est le caractère impersonel du
jugement. L’erreur est inévitable des lors que le jugement de l’enfant est
porté sur la sensiblité. Privilège de l’imagination des enfants, ce qui lui interdis de connaître la réalité et la vérité (=> sujectivité). Passivité de la
consience de l’enfant qui accepte tout. Incapable de faire preuve d’esprit
critique.
La thèse de Descartes est paradoxale, en ce qu’il condamne définitivement l’enfance, période de la vie exclusivement caractérisée par la confusion,
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la maladresse, l’erreur. L’enfance est une période de la vie, un moment
detestable car nous prennons alors de mauvaise habitudes dont il sera tres
difficile de se défaire une fois adulte.
L’enfance est condamnée définitivement par Descartes, car selon lui la
puissance de juger est infirme, l’enfant est incapble de maitriser ses opinions.
"Selon Descartes l’experience ne nous apporte aucune sagesse, aucune
connaisance précise. C’est pourquoi l’homme mûr doit prendre la décision
de tout repenser par la raison", Michel Serres
Descartes constate que le commencment de la vie ne coincide pas avec le
commencement du savoir, l’homme doit progressivement prendre consience
de ses faiblesses et se delivrer de son ignorance initiale.
"Le doute, conséquence de la prise de consience de son ignorance, est une
rupture définitive avec l’enfance", Michel Serres
Le texte de Descartes fini d’ailleurs par l’association du doute et de la
liberté : "[...] nous en delivrer, si nous n’entrepenons pas de douter une fois
dans notre vie". Le doute permet de determiner le faux du vrai. Descartes
associe toujours enfance, erreur, esclave. Descartes déshumanise l’enfant.
Définition du doute: Etat de l’esprit incertain de la realité d’un fait, de la
vérité d’une proposition de la conduite à adopter, entrainant une suspension
de jugement.
On adopte donc une attitude attentive aux différents propos, pouvant
être contradictoire. Le doute est libérateur en ce qu’il nous permet d’eviter
définitivement l’erreur. Le doute est une étape provisoire sur le chemin de la
vérité. Selon Descartes le doute est indispensable pour acquerir une maturité
nécessaire à tout adulte.
"Douter c’est se detacher, c’est manifester notre personalité et notre force
de resister", Louis Lavelle
Descartes établit une relation entre doute, vérité, volonté. Dès lors que
l’homme à suspendu son jugement il est engagé dans la bonne direction,
encore faut-il respecter les regles méthodologiques de la pensée pour parvenir
à la vérité.
1.1.2
Pourqui le doute, activité fondamentale de l’esprit,
s’impose-t-il à tout homme ?
Comment conquerir la certitude ? Pourquoi une pensée qui rejeterais le doute
methodique serait dans l’incapacité de progresser ? A quelles conditions la
raison peut-elle atteindre des certitudes stables et définitives ?
Le doute tel que Descartes l’envisage ici est un doute provisoire qui
s’eteindre lorsque l’esprit aura atteint quelque certitude. Le doute sceptique
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est au contraire définitif en ce que leur doctrine prétends qu’il est impossible
à l’esprit humain de parvenir à quelques certitudes.
Il faut substituer à la démarche affirmative un esprit d’examen, d’analyse,
d’enquete qui doit nous permettre de rejeter les interpretations superficielles.
Respecter les regles méthodiques du doute c’est vouloir en finir définitivement avec notre passé. Il saurait impossible, selon Descartes, de faire le tri
entre ce qui certain, probable et incertain dans nos opinions. D’ou la néssaicité de détruire tout ce qu’on a appris et de reconstruire "dès les fondations"
l’ordre du savoir. Le chemin vers la vérité implique donc deux contraintes
: la capacité de se détacher ou de se délivrer de nos mauvaises habitudes
et la nécessité de s’imposer uen methodologie précise pour s’orienter vers la
connaisance ou la certitude.
Le doute selon Alain (Deuxième paragraphe) Mettre en évidence le
caractère contradictoire du doute selon Alain. C’est une remise en cause de
la définition traditionnele du doute (cf Descartes). Le doute est il nécessairemenjt vertueux ? Comment comprendre le jugement critique d’Alain ?
Comment comprendre que le doute puisse ici être affiliée à une faiblesse , à
une violence ?
Apologie du doute avec Descartes à une définition paradoxale avec Alain
: Comment comprendre que le doute puisse apparaître comme une forme de
pasivité de consciense (vocabulaire tromperie) ?
On peut douter a posteriori , mais c’est un doute issu d’une erreur préalable , c’est donc un doute nécessaire puisque on peut se rendre compte que
l’on s’est trompé. Le doute véritable doit être fait de prudence , de reflexion
, d’attention. Le doute décrit ici par Alain est nuisible , dans la mesure
ou il est la conséquence de la maladresse de ma pensée de ma propre négligence.Alain dénonce le recours au doute dans la mesure ou il est inutile ,
trop tardif quand il est a posteriori.
Alain met en evidence les conséquences nuisibles pour moi même de
ma maladresse. La personne apparait intelectuellement comme coupable
dans la mesure ou mon exitense est desormais troublée par cette situtation
d’inconfort , de violence et parceque l’homme est un être pensant et qu’il
avait les moyens d’eviter l’erreur.
Le doute apparaît sous l’angle psycologique et moral , personel. Un tel
homme risque progressivement de perdre confiance en lui, de se mésestimer
, de ne plus avoir l’envie et la volonté pour partir a la recherche de la vérité.
C’est un doute qui risque de détruire durablement l’équilibre de ma personalité.
La tristesse est un sentiment douloureux qui entrave notre désir d’agir
7
et menace notre désir de liberté. Un tel doute est deshumanisant , puisqu’il
affaiblit l’ensemble des facultés qui s’offrent a nous , et qui pourrait nous
conduire à un perfectionnement remarquable.
Mise en cause de la responsabilité personelle et morale de de la personne qui détient en elle même les moyens efficaces pour se débarasser de
l’ignorance.
Ce doute est inséparable d’une reflexion sur la temporalité. La personne
qui doute est une personne qui à fait un mauvais usage du temps présent.
1.1.3
Le courage de penser par soi même
INCLURE LA FEUILLE
Nietzsche Le courage selon lui est la volonté de refuser , refuser de croire
ce qu’on nous impose. Nietzsche dénonce la vision moniste de la religion
ou de la pensée. Elle est néfaste parcequ’elle nous fait croire qu’il n’existe
dans le domaine de la morale ou de la vérité qu’une solution. Le but de la
philosophie est au contraire de faire apparaître une multipilicité de convictions ou d’interprétations contradictoire. Selon Nietzsche le monisme permet
un processus autoritaire ou un processus d’asservisement.
Sartre Être courageux c’est ressentir le besoin de savoir et de vérité auquel
rien ne saurait nous faire renoncer. Cette recherche de vérité est pourtant
incertaine pour deux raisons : la complexité d’une pensée attachée à la conquête d’une certitude. Le fait de la condition humaine limité par la mort ,
être courageux c’est s’engager dans une voie qui se revelera peut-être sans
issue , c’est a dire incapable de combler le désir de vérité. Être courageux
c’est renoncer à s’appuyer sur toute explication religieuse du monde car celles
si est définitive et n’exige nullement l’action ou l’intervention de l’homme
1.2
1.2.1
Les propriétés de la vérité scientifiques ,
a quoi reocnnait on un science ?
Description des méthodes scientifiques
POLYCOPIE
8
1.2.2
La science est-elle la seule forme possible de connaisance ?
La science par sa démonstration rationelle et l’objectivité à laquelle
elle s’efforce de tendre est un mode de connaisance supérieur à tout
les autres
Proximité des sciences et des mathématiques Selon Platon et
Descartes les mathématiques sont un modèle de rationalité et de certitude.
Au XVII ciècle les sciences ne se sont dévelloppées que lorsque elles on eu
recours aux mathématiques. Ecole de rigeur , souci de connaître l’ordre du
monde , d’exprimer par des symboles mathématiques les relations nécéssaires
entre les phénoménes.
"Les mathématiques alliés à la physique expliquent la nature par ce que
le livre de l’univers est écrit en language mathématique" , Gallilée.
C’est pourquoi la connaisance scientifique doit être reconnue comme le
modèle vers lequel doit tendre toute connaisance sérieuse.
Sciences et vérifications experimentales Les sciences ont véritablement progréessées lorsquelles ont mis en place un dispositif expérimental
qui corrobore une hypothèse. L’experimentation est décisive car elle seule
permet d’apprecier la véritè ou la fausseté des verités scientifiques.
"Si une série d’experiences indéfinimenets reproduites n’infirme pas l’hypothése
avancée , si la formule mathématique rends compte des phénomènes , l’hypothèse
est réfutée vraie", Gaston Bachelard.
Sciences et éfficacité Pour démontrer la supériorité de la science il
faut insister sur ses effets , c’est a dire les profondes transformations qu’elle
fait subir à la nature. Grâce au sciences et aux techniques , la domination
de l’homme sur le monde matériel s’accroit sans cesse . L’histoire des sciences est jallonée par des résultats tangibles comme la machine à vapeur
de Denis Papin ou le vaccin contre la rage trouvé par Pasteur. Efficacité incontesable des sciences notamment car elles tranforment les conditions
matérielles d’existence de l’homme dans l’histoire.
"Les sciences exactes contribuent incontestablement à forger l’histoire de
l’humanité. Elles exercent uen action réelle sur le monde naturel et matériel"
, Henri Bergson.
Cette supériorié , cette survalorisation culturelle provient de l’esprit des
Lumieres qui estimaient que le progrès de l’humanité reposait sur la compémentarité des sciences et des techniques.
9
Pourquoi l’apologie des seules sciences exactes comme modèle de
vérité et d’humanité doit être contestée ?
1.2.3
Vérité et sciences humaines
POLYCOPIE
L’histoire désigne deux réalités différentes , d’une part l’existence historique et d’autre part la connaisance historique.
L’histoire désigne un mode d’existence de l’homme dans le temps , Il
est légitime de définir l’homme comme un être biologique , comme un être
religieux , comme un être social , comme un être pensant. mais il est tout
aussi pertinent de définir l’homme comme un être historique. L’humainté
se comprends au fur et a mesure de ses relations avec les evenements , les
transformations succècive des mentalitées au cours du temps. Nous sommes
marqués par l’époque dans laquelle nous vivons , par les idées , les techniques
propres à notre societée.
"Le temps exerce un réele influence sur le devenir de l’humanité. Le
devenir , la durée snt la manière propre de l’homme de manifester son être
dans le temps. Le devenir de chaque homme est inséparable du devenir des
autres hommes" ,R.Aron
L’histoire désigne içi un ensemble de phènomène , d’evenemnts , de fait ,
d’actions par lesquelles l’humainté se manifeste et qui existe réelement dans
le temps et dans l’espace.
L’histoire désigne un mode de connaisance de l’homme dans le temps.
Origininalité de la condtition humaine capable simultanément de conjuger
l’existence et la mémoire. Seul l’homme est capable de vivre et de retenir
ce qu’il a vécu , de traduire sous la forme d’un récit les evenements passés.
Dimension historique de l’humanité en mesure de leguer , de transmettre par
dela la mort des traces des documents.
La force du language est de luter contre ce qui disparais , de lutter contre
l’anéantissement , de lutter contre la mort.
"C’est bien parceque l’homme est un être de language qu’il peut saisir son
existence comme historique. Il peut des lors connaître , retenir comprendre
l’histoire" , Gusdorf
L’histoire est ici une discipline d’enseignement , un savoir explicatif et
communcatif des réalités et des sociétés humaines. C’est une analyse de
savante du devenir de l’humanité , un ensemble de procédes et de méthodes
qui contribuent à la connaissance de l’homme dans son universalité . Une
reflexion critique qui a pour vocation à chercher ce qu’il s’est vraiment passé.
"Les hommes pourrait se contenter de vivre et de savoir qu’ils vont mourrir , que le cours de leur existence est irréversible. L’histoire démontre au
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contraire que l’homme ressens le besoin de souligner son historicité n et de
rappeler le passé révolu" , Michel de Certeau.
La notion de narration est trop large , trop équivoque , elle suggère la
possibilité d’une narration subjective , sans méthode ,sans l’apprentissage lié
a des [trucs] étudiés. C’est une représentation partielle de l’histoire car il y
manque l’essentiel du projet de l’historien : comprendre , expliquer le passé
humain.
Sa condamation de l’association du travail historique à une oeuvre littéraire se justifie au nom de la [truc] suivante : Il ne faut plus considerer
l’histoire comme une discipline littéraire mais comme une discipline scientifique. Dès lors il faut dénoncer toute définition qui rapporcherais l’essai
historique de la démarche romanesque. L’un privilégie la fiction , l’autre la
vérité des faits.
La distinction entre connaisance et recherhce à une ambition précise : assurer la crédibilité des sciences humaines , de l’histoire. L’auteur condamne
cette représentation puérile , estudiantine de l’histoire comme recherche sans
cette exigence de résultat et de vérité. Il s’agit de hausser l’objectivité du
travail historique au niveau de la méthodologie consacrée par les sciences
exactes. Un historien comme un physicien doit avoir le même souci de rigeur
d’interprétation , de vérité , seul peut être qualifié d’historien celui qui se
démarque des représentations deja connues. Et s’avere capable de créer uen
vision radicalement nouvelle de l’evenement. A ces conditions l’histoire deviendrea une discipline scientifique féconde par les résulats réguilers qu’elle
nous apporte.
La falsification du passé à bien souvent une origine politique il s’agit pour
le pouvoir de justifier le bien fondé de son orientation politique. Falsification
dangeureuse car elle prends appui sur les moyes coercitifs , autoritaires de
l’Etat. Cette falsification se rapporche bien souvent d’uen volonté d’imposer
a la population un mode de vie , de pensées que l’Etat estime légimtime
pour la réussite de son action ( proximité de falsification et de la négation
de la liberté de pensée). Il est toujours dangereux de laisser l’interprétation
de l’histoire au politiques car ceci n’est pas leur fonction et ils ne proposent
quune seule interprétation. Le travail des historiens contredit cette vision
unique et dogmatique du passé humain , ils proposent toujours des interprétatiosn diverses et contradictoires.
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