CAFPI : Les courtiers ont l`obligation légale d`offrir un service plus

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CAFPI : Les courtiers ont l`obligation légale d`offrir un service plus
12 mai 2014
CAFPI : Les courtiers ont l'obligation légale d'offrir un service plus
complet aux emprunteurs immobiliers
Un emprunteur augmente ses chances d’obtenir le
meilleur prêt en passant par un courtier en crédit
immobilier. Ce n’est pas une étude qui le dit, ni un
sondage, mais la loi ! Celle-ci exige en effet du courtier
qu’il se livre à une analyse objective du marché pour y
trouver les meilleures offres à proposer à ses clients.
Pour l’emprunteur, s’adresser à CAFPI est l’assurance d’obtenir la meilleure offre de crédit
immobilier en provenance, non pas d’une seule banque, mais d’un ensemble
d’établissements de la place, au terme d’un travail de comparaison et de sélection
rigoureux mené par le courtier.
« Dans les faits, le respect scrupuleux de la loi se traduit, chez CAFPI, par la signature de
deux documents écrits avec chacun de ses clients : d’abord un mandat, puis une
confirmation », précise Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint de CAFPI.
> Le mandat est signé dès l’entrée en relation entre le futur emprunteur et CAFPI. Le
courtier recueille certaines informations sur le client, son projet et la nature du prêt
recherché. Le mandat indique clairement le montant des frais de dossier ou
d’intermédiation prévus à la charge du client.
> La confirmation de mandat est signée par le client lorsque la sélection des prêts est faite
et l’accord de banque obtenu. CAFPI y récapitule les propositions faites au client en
précisant bien les conditions de montant, de durée et de taux du crédit. Une nouvelle fois,
est précisée le montant des frais à payer par le client.
« Pour préciser à notre client les raisons qui ont motivé nos propositions de crédit et leur
parfaite adéquation avec ses besoins et permettre ainsi au client de faire son choix en
parfaite connaissance de cause, CAFPI établit une simulation financière pour chaque
proposition. Une copie de ces simulations est conservée dans le dossier, en toute
transparence », conclut Philippe Taboret.