cannibales - Mme Claude DIOT

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cannibales - Mme Claude DIOT
LA COMPAGNIE DE LA COMEDIE NOIRE
présente
CANNIBALES
de
JOSE PLIYA
Mise en scène
JACQUES MARTIAL
Avec
MARIE-NOËLLE EUSEBE
YUMI FUJIMORI
MARTINE MAXIMIN
Scénographie
PIERRE ATTRAIT
Régie
MARC MARTINEZ
Coproductions
La compagnie de la comédie noire - Théâtre National de Chaillot –
L'Artchipel Scène Nationale de la Guadeloupe –
Le Centre Martiniquais d'Action Culturelle Scène Nationale de Martinique
Avec les soutiens de DRAC Ile de France – Ministère de la Culture – Ministère de l'Outre Mer
Ville de Paris (antenne Outre Mer) – Conseil Général de la Guadeloupe
Correspondance: La Compagnie de la Comédie Noire, 7 villa Marceau, 75019 Paris; tél : +33 6 22 51 28 18
email: [email protected]
Chargée de diffusion
Claude DIOT/Vertige Productions
02 43 70 55 74/06 81 02 59 33
[email protected]
http://www.vertigeproductions.com
La Compagnie de la Comédie Noire
CANNIBALES de José Pliya
mise en scène Jacques Martial
DOSSIER DE PRESSE
• Cette belle pièce de José Pliya nous offre sur un plateau d'argent trois comédiennes peu
ordinaires. Est-ce la pièce qui sert avantageusement les comédiennes ou les comédiennes qui
servent la pièce à merveille ? Quoi qu'il en soit, l'alternative est heureuse.
Il y a (…) trois tempéraments de femmes qui s'affrontent, s'unissent, se déchirent ou
s'accordent, à travers l'écriture limpide de José Pliya.
Jacky Viallon, Journal des Spectacles, décembre 2004
• (…) Cette pièce touche quelque chose d'enfoui au plus profond de l'intimité, elle remue la
secrète question du choix de donner la vie, elle raconte le supplice inique de ne pouvoir
engendrer.
Gwénola David, La Terrasse, décembre 2004
• Une drôlerie fugace qui glace aussi vite. (…)Loin des poncifs sur l'instinct maternel, la
langue de Pliya interroge, dérange. Elle est servie par la mise en scène épurée, réglée au
cordeau de Jacques Martial et par Christine Sirtaine, Martine Maximin et Marie-Noëlle
Eusèbe. Des présences pleinement irriguées du texte laissant dans leur sillage, des jours après,
cette impression de mieux voir l'humanité nichée comme elle peu dans la frustration et ses
folies
Aude Brédy, L'Humanité Décembre 2004
• Sauf indisponibilité majeure et caractérisée, il n'est pas permis de rater
ce spectacle riche, ahurissant, nourri par un texte dense, une mise en scène haletante et un jeu
d'actrice intense et palpitant. (…) La mise en scène de Jacques Martial est sans failles. Zébrant
le drame d'une bonne pincée d'humour. (…) Les trois comédiennes, (…) sont tout simplement
prodigieuses, cruelles, écoeurantes, hilarantes, glauques, pitoyables, poignantes, terriblement
humaines…
Marie-Line Ampigny, France-Antilles, janvier 2005
• Les heureux spectateurs de ces trois soirées s’en souviendront… Un cri retentit : ma fille,
mon bébé a disparu ! Dans une langue limpide, sans afféteries, José Pliya va nous promener
d’une femme à l’autre, brouillant les pistes, alternant intrigue policière, conte fantastique,
légende urbaine et tragédie antique. Tout en rebondissements, la mise en scène colle aux
déplacements, aux atermoiements des personnages et aux revirements de l’action… La pièce
est d’une construction habile, distillant le chaud et le froid, résolvant l’énigme en apparence
pour mieux nous dérouter. Et surtout l’interprétation est irréprochable. Dans cette œuvre
vampirisante, Jacques Martial a décelé une tragédie « retrouvée » et poétique, un projecteur
impitoyable sur nos besoins, nos crimes et nos frayeurs. Un plaisir primitif brillant comme un
diamant noir.
Rolross, Les Infos (Nouvelle Calédonie), mai 2006
• Jacques Martial revient donc au Centre Culturel Tjibaou en tant que metteur en scène pour
nous offrir un temps fort artistique dans lequel se mêlent jubilation, perplexité, amusement,
compassion et même effroi. Le tout porté par l’écriture universelle d’un auteur jamais enfermé
dans les écueils de l’esthétisme ou de l’exotisme. Et les mots claquent ainsi comme des fouets,
dits avec talent par les trois « cannibales » de l’histoire…
ST, Télé 7 J. Nouméa, mai 2006
Instincts et violences maternels
« Le deuil d’un enfant est l’expérience la plus insolite qui soit », dit Nicole. Trois
femmes se font prêtresses d’un rite initiatique centré sur l’épreuve ou le désir de la
maternité. Elles se rencontrent dans un parc de quelques centaines d’hectares, jardin
municipal, vaste espace qu’une mère parcourt en criant : « Ma fille a disparu ! »
Magiciennes, fées rêvées ou sorcières ordinaires, les trois femmes de Cannibales
observent les aspirations et les pulsions maternelles, interrogent la transmission comme
l’appropriation de la vie. Elles fouillent ensemble les voies énigmatiques de l’accès à
soi-même. Instigateur du projet, acteur, figure familière de la série Navarro dont il
incarne Bain-Marie, Jacques Martial apprécie « la dimension ouverte, universelle de
l’écriture de José Pliya, jamais enfermée dans les écueils de l’esthétisme ou de
l’exotisme ».
Metteur en scène, fondateur de la compagnie de la Comédie Noire, il passe commande à
l’écrivain d’un texte au thème libre destiné à trois voix de femmes. Lecteur assidu de
Koltès et de Claudel, impressionné par l’Échange que présente la Comédie Noire, José
Pliya livre en moins de quatre mois cet affrontement de trois Parques, Bacchantes ou
Médée en puissance. Professeur de lettres modernes, il fut directeur de l’Alliance
française de Roseau à la Dominique, avant de s’installer à la Martinique. L’écrivain
franco-béninois compose une langue singulière, minutieuse, où des associations
inattendues de mots finissent par composer une musique détonante qui appelle notre rire
avant de le figer. Auteur notamment d’Une famille ordinaire et du Complexe de
Thénardier, José Pliya tient le lyrisme à distance surveillée pour aborder de front les
désastres de mondes d’aujourd’hui.
Dans cette dernière œuvre, Jacques Martial décèle « la tragédie retrouvée : pas
l’ensanglantée, mais la poétique, celle qui nous éclaire sur nos besoins irrépressibles, sur
nos propres crimes, et nous purge de nos frayeurs ».
Pierre Notte
Cannibales de José Pliya a été créé en décembre 2004 au Théâtre National de Chaillot dans une co-production
avec L’Artchipel Scène nationale de Guadeloupe, le CMAC Scène nationale de Martinique et la Compagnie de
la Comédie Noire. Jacques Martial, le directeur artistique de la Comédie Noire avant de devenir Président de la
Villette deux ans plus tard, avait demandé à José Pliya un texte original avec comme unique consigne de réunir
sur scène trois actrices d’exception. Depuis sa création, l’exploitation de la pièce n’a pas connu d’interruption,
permettant un work in progress au fil de représentations dans différentes structures, notamment des tournées
CCAS et avec Cultures France. C’est le fruit de ce travail au long cours avec Marie-Noëlle Eusèbe, Martine
Maximin et Yumi Fujimori que la Compagnie de la Comédie Noire invite à découvrir au Théâtre de Halles à
l’occasion de cette nouvelle édition du Festival d’Avignon.
Mot du metteur en scène
… Parfois, nous oublions que les dieux existent. Peut-être les ayant oubliés, pensons-nous les avoir fait
disparaître à jamais. Mais alors que nous pourrions les croire morts définitivement, ils se rappellent à
nous. Parfois.
Avec Cannibales, nous redécouvrons à quel point José Pliya est un auteur flamboyant et inspiré. La pièce, à
l’image de tout son théâtre, prend à bras le corps cette demande de sens qui taraude nos sociétés occidentales. Et
sa réponse résonne à travers la profération d’une langue et d’un cri qui font acte car ils nous bouleversent et nous
transforment.
Trois femmes sont assises sur trois bancs dans un jardin municipal.
Christine, Martine, Nicole.
Le jardin est vaste. Plus de mille hectares.
A côté de Martine, un landau.
Tout pourrait être calme et tranquille si Christine ne s’écriait : « Ma fille a disparu »…
L’absence et le manque sont au cœur du propos de Cannibales. Ils nous entraînent dans une quête que Pliya
ancre dans un XXIe siècle quotidien, globalisé, globalisant, où toute dimension du sacré semble avoir été
évacuée, y compris des écritures théâtrales, pour être remplacée par la sur-proposition d’images et
d’informations effrayantes ou pas, sensationnelles ou pas, abrutissantes ou pas
« Les dieux n’existent pas »s’exclame Nicole. Les Cannibales de Pliya se saisissent comme d’un sésame du
postulat nietzschéen pour pénétrer par effraction au plus profond de notre modernité et de notre intimité. Les
trois femmes, Parques d’un genre inédit, s’efforcent alors de vivre dans notre monde, d’être comme tout(e) un(e)
chacun(e), femme ou mère, qui s’assiérait sur un banc, dans un jardin public. Mais cet effort même les trahit et,
dans ce « parc de plus de mille hectares », leur effroi, leurs questionnements, leurs quêtes secrètes ou bien réelles
nous font toucher à des interrogations qui sont l’essence de notre nature humaine, trop humaine.
Le spectacle, lors de sa création, a rencontré son public. Pour autant, la richesse et la singularité de ce mythe
révélé par Pliya nous ont donné envie de poursuivre notre exploration de cette pièce. Chaque nouvelle
représentation, les tournées auxquelles la CCAS nous a invités ont été autant d’occasions de mettre ce texte en
contact avec les publics les plus divers, des plus avertis aux plus néophytes. Les actions de médiation liées à
chacune des représentations, ces frottements de publics ont permis de vérifier et de réinterroger en permanence
nos intuitions et nos hypothèses. Elles ont permis de découvrir des strates, des significations, des interprétations
nouvelles comme seuls les très grands textes savent le faire.
La vie de Cannibales se poursuit donc en Avignon, passant par le Théâtre des Halles qui nous est fidèle et que la
Compagnie de la Comédie Noire retrouve avec joie.
Jacques Martial
Scénographie…
Quel est ce jardin ? Quel est cet enfer ? Quel est cet Eden ?
Quel est cet enfant ou ce rêve d’enfant ? Et qui sont ces femmes ?
Quel est ce théâtre sur lequel s’accomplit quel rite expiatoire de quelle culpabilité ?
Ma fille a disparu…
Notre espace scénique figure ce qu’un moment j’ai appelé des limbes et que j’imagine, au moment où
j’écris ces lignes, le lieu d’un temps arrêté, premier vestige d’une société que nous reconnaissons, lieu
où les mutations opèrent. Femmes, Parques, Ménades, Cannibales. Trois désirs brûlants de maternité ?
Deux désirs brûlants ? Un désir? Une mère ? Un enfant ? Un désir d’enfant ? Le souvenir de ce désir ?
Plus nous découvrons ces trois femmes et plus leur mystère s’empare de nous.
Questionnement des personnages. Questionnement des spectateurs. Qui nous interpelle ? Quel est ce
hasard qui Les/Nous a réunis là ?
Christine ? Martine ? Nicole ? Nous ?
Sommes-nous témoins de la scène qui se déroule sous nos yeux ou sommes-nous les adeptes d’un rite
auquel nous convie Pliya ? Pour l’enfant disparu, pour l’enfant à venir, pour Christine, pour Martine,
pour Nicole, pour Nous ? Une fois encore, faire face à nos peurs fondamentales en interrogeant l’en-vie
et la vie ?
Mais attention, chez les Cannibales de Pliya, la parole est dangereuse. Elle infecte de son sens tous
ceux que se laissent prendre à sa musique.
Décors…
Trois bancs, un landau ou rêve de landau…, ce parc municipal ne se veut pas réaliste. Espace
recomposé, chacun peut s’en approprier les contours au fur et à mesure que l’histoire nous les révèle,
allées, bassins, recoins d’ombre, de frayeur. Il est un théâtre. Celui où se joue une nouvelle Passion.
Celle de ces femmes dont nous reconnaissons les émois comme étant les nôtres alors que nous sommes
confrontés à une expérience ultime…
Personnages…
Et cette femme, Nicole, qui semble rêver, assise sur ce banc, depuis combien de temps ? Est-elle bien
la maîtresse incontestée de ce coin de jardin ?
Et Christine, est-elle bien la mère à la distraction dangereuse que nous croyons découvrir ?
Et Martine, est-elle bien la mère appliquée à protéger le sommeil de son fils, comme nous le pensons ?
Cannibales invente un nouveau jeu de miroirs déformants dont règles et dérèglements nous entraînent
irrésistiblement vers nos terreurs.
Ma fille a disparu… Une quête, une enquête s’engage à laquelle nous participons avec perplexité,
jubilation, amusement, compassion, effroi. Effroi. Effroi. Cannibales !
Le sens premier de la tragédie nous est restitué.
JOSE PLIYA
Né au Bénin, professeur Lettres Modernes, José PLIYA est aujourd’hui Directeur de L’Artchipel, Scène
Nationale de Basse-Terre.
En décembre 2003, il reçoit le prix de l'Académie Française du "Meilleur Auteur Dramatique", tandis que ses
pièces sont jouées dans de nombreux pays, et traduites dans plusieurs langues. Nourrit d’une culture plurielle,
métisse, son écriture est l’une des plus riches que nous puissions entendre sur les scènes contemporaine.
Metteur en scène et directeur de compagnies, il crée la troupe Arena Blanca en Guinée Equatoriale, la troupe
Danata à Ngaoundéré au Cameroun, organisateur de Festivals de cinéma, NOIR TOUT COULEUR, de musique,
Festival Mondial des Musiques Créoles, et de théâtre, le Festival de Théâtre en Créole de la Dominique.
En janvier 2004, il met en scène à la Comédie Française, sa pièce "les Effracteurs".
En mars 2002, répondant à une commande de la Compagnie de la Comédie Noire, il écrit :
« Cannibales », mise en lecture par Jacques MARTIAL au TOMA, Festival Avignon Off 2002, avec
Nicole DOGUE, Martine MAXIMIN, Christine SIRTAINE. Publication en cours, création en 2004 à
L'Artchipel, scène nationale de la Guadeloupe.
Auparavant, il a donné :
« Le complexe de Thénardier », théâtre aux éditions L’avant-Scène Théâtre, collection des 4 vents,
décembre 2001 ; lecture publique au festival d’Avignon 2001 par Catherine HIEGEL de la Comédie
Française ; création en novembre 2002 au théâtre du Rond-Point dans une mise en scène de Jean-Michel
RIBES avec Marilu MARINI ; traduction en anglais à Banff au Canada par le PLAY RITES COLONY,
mai 2002
« Une famille ordinaire », sélectionné par le groupe des vingt et le THECIF au festival « Courants
d’hiver » février 2002, mise en lecture par Frédéric-Bélier GARCIA ; publié aux éditions L’avant-Scène
Théâtre, collection des 4 vents juillet 2002
« Parabole », théâtre, lecture publique organisée par la DRAC Guadeloupe dans le cadre du festival de
théâtre des Abymes en Guadeloupe, mai 2002
« Le masque de Sika », théâtre aux éditions ACORIA, mai 2001, écrit en résidence d’écriture à
Limoges dans le cadre d’une bourse d’auteur du Festival des théâtres francophones ; créée par JeanFrançois PREVAND à Roubaix en octobre 2000 et repris dans le cadre du FITHEB, festival de théâtre
du Bénin, mars 2002
« Nègrerrances », Théâtre aux éditions L’Harmattan, mai 1997 ; création au Cameroun (1998), au
Bénin (2000), à la Martinique (2000) par la Scène Nationale ; pour les trois créations, nombreuses
tournées internationales dont Avignon 2000 ; traduit en anglais par l’Ubu Repertory Theater de New
York.
Depuis septembre 2002, José PLIYA est invité comme auteur associé à la Scène Nationale de Martinique.
Jacques MARTIAL
Nommé Président de l’Etablissement public du parc et de la grande halle de la Villette
en 2006, Jacques Martial est un homme de théâtre. Il débute sa carrière en suivant les
cours de l'atelier Sarah Sanders dont il deviendra l’assistant. Leur collaboration durera
six années. Dans le même temps, il met en place et anime à Cayenne une série de stages
de formation et de développement d'acteurs. Il crée l'association Rond Point des
Cultures qui présentera en partenariat avec le Théâtre du Rond Point et dans divers
théâtres de parisiens, (Théâtre de la Bastille, Théâtre du Rond-Point, Les Déchargeurs,
etc.), des manifestations mettant en valeur les cultures d’outremer et plus généralement,
la créativité des artistes issus des minorités visibles. Alors qu'il met en scène différents
spectacles à Paris tels que La Piaule de Pascal Vrebos, Une Femme est un Diable de
Mérimée ou Poil de Carotte de Jules Renard, il ne néglige pas sa carrière d'acteur. Il
joue avec le Théâtre Noir Gouverneur de la Rosée de J. Roumain, lorsque M. Gleason
lui propose le rôle principal de son film Broken English. Il travaillera ensuite au cinéma
avec des réalisateurs aussi différents que John Berry (Il y a Maldonne), Claire Devers
(Noir et Blanc qui reçoit le Caméra d'or au festival de Cannes en 1987), Samuel Fuller
(Sans Espoir de Retour), Robert Kramer (Walk the Walk), Alain Maline (Jean Galmot
Aventurier), Sam Karman (Omnibus qui reçoit la Palme d’Or au Festival de Cannes en
1992 et l'Oscar du meilleur court métrage 1993). A la télévision, il travaille avec Louis
Grospierre ou Robin Davis ou Pierre Trividic et Patrick-Mario Bernard mais il est connu
du grand public pour son rôle dans la série Navarro. Au théâtre, il interprète James
Saunders, Les Voisins, J-F Prévand, William 1er, Athol Fugart, Liens de sang, Marivaux,
L'Île des Esclaves qu'il met en scène, Electre, Jean Giraudoux, Juliette et Roméo,
d’après Shakespeare. En 2000, il crée la Compagnie de la Comédie Noire qui a pour
objet de favoriser la représentation des personnes issues des minorités visibles dans les
métiers du spectacle. Il amène L’échange, de Paul Claudel, qui sera donné pour la
première fois en Guadeloupe. Le spectacle sera repris en 2007 au Vingtième théâtre En
2003, il met en scène et interprète Cahier d’un retour au pays natal, d’Aimé Césaire.
Après quelques 150 représentations sur les cinq continents, le spectacle continue d’être
demandé. En 2012 il le donnera au Forum du Blanc-Mesnil, à l’Espace Louis Aragon de
Tremblay en France, à la Scène nationale de Bayonne, à Melbourne. En 2004, il met en
scène Cannibales, une pièce nouvelle de José Pliya, au Théâtre National de Chaillot. En
2010, Jacques Martial a été reconduit à la présidente de la Villette.
Jacques Martial : acteur
Au théâtre, travaille sous la direction de
I. BROOK
– Roméo et Juliette de W Shakespeare – Vidy Lausanne/Chaillot
S. SANDERS – L'échange de P. Claudel – Festival des Abymes
S. RACO
– Confessions de St Augustin – Villeneuve la Garenne
J. DALRIC
– Electre de J. Giraudoux – Sèvres, Rueil Malmaison etc…
J.F. PREVAND – Le Masque de Sika de J. Pliya – Gymnase de Roubaix,
– William 1er de JF Prévand – Théâtre La Bruyère Paris
J.P. WEISS
– De toutes les couleurs de B. Granger – Gaîté Montparnasse
J.M. MARTIAL – Liens de Sang d'A Fugard – Théâtre de la Tempête – Paris
J MARTIAL – 150 ans : Abolition de l'Esclavage d'O. Silou – Sarlat
J.M. GALEY – Nuit Blanche de M. Keita – T.I.L.F.
L. RONCONI – Oberon de K.M. von Weber – Scala de Milan
J.P. ROUSSILLON – Demain un fenêtre sur rue de J.C.Grimberg - La Colline Paris
P. FOSTER
– Marcus Brutus – les Célestins Lyon
S. EMMANUEL – Pension Les Alizés de M. Condé - Sentier des Halles Paris,
– Jeux pour Deux de T. Rhone – Sentier des Halles Paris
A. MARCEL – La petite boutique des horreurs de H. Ashman – Théâtre de la Porte St Martin Paris
M. CALLERGIS – Les Voisins de J. Saunders – les Déchargeurs Paris
G. WILSON – Un Otage de B. Bihan – Théâtre de la Madeleine Paris
R. KATZ
– La Boutique de J. Worms – Théâtre Noir Paris
G. RATIB
– Scherazade de T el Hakim – le Lucernaire Paris
B.J. ROSETTE – Gourverneur de la Rosée de J. Roumain – Théâtre Noir
Il met en scène et joue
Cahiers d'un retour au pays natal d'Aimé Césaire – Guadeloupe, Singapour, Tasmanie, Fidji, Océanie,
Martinique, Réunion, New York, Washington, Philadelphie, Miami etc…
Au cinéma, travaille sous la direction de
J-P SALOME – Belphegor
P. LEGITIMUS – Antilles sur Seine
R. KRAMER – Walk The Walk
P.VECCHIALI – Wonder Boy
S. KARMAN – Omnibus (court métrage Palme d'Or Cannes 1992. Oscar 1993)
A. MALINE – Jean Galmot Aventurier
V. SCHLONDORFF – Dernier appel pour le Colonel Faber
S. FULLER – Street of no return
J. BERRY – Maldonne
C. DEVERS – Noir et Blanc (Caméra d'Or, Cannes 1987)
E. HASS – Les Saints et les Anges
J.A. LAOU – La vieille Quimboiseuse –
– Solitaire à micro ouvert – Lion d'Or du court métrage, Venise 1984
C. GION – Les Diplômes du dernier rang
C. BERRI – Le Maître d'école
M. GLEASON – Broken English
L. GILBERT – James Bond 007 " Moon Raker"
A la télévision, travaille sous la direction de
P. JAMAIN
D. GRANIER-DEFERRE
G. MARX
S. LEROY
J. DAYAN
Y. BUTLER
N. RIBOWSKI
J. ERTAUD
M. ANGELO
J. PINHERO
G. BEHAT
pour 99 épisodes de NAVARRO
A. ISSERMAN – Le premier pas
R. DAVIS – Force de frappe
J. MILL – La Baie des fugitifs
J. LAING – The Hitch Hiker
R. HANIN – Le pavé du gorille
D. MOOSMANN – Talkie – Walkie (pour 7 films)
J.P. DESAGNAT – Les chérubins ne sont pas des anges
J. L'HOTE – Le diable dans le bénitier
C. NEMES- Tous en boite
J. ERTAUD – Julien Fontaines, magistrat
M. SARRAUT – Marianne, une étoile pour Napoléon
L. GROSPIERRE – De guerre lasse
Pierre Attrait : Scénographe
Né en Martinique et élevé en Guadeloupe, Pierre Attrait a ensuite obtenu une Maîtrise
de Lettres et un DEA d'Histoire de l'Art à Nice. Sa carrière au théâtre l'amène au MC93,
à l'Opéra de Paris, au Théâtre de Chaillot (Tombeaux de Poupées), et de Grenoble (avec
Georges Lavaudant), avant de partir pour le Canada, où il met en scène et crée les décors
pour les opéras André Chénier (Award du meilleur spectacle 1989) et La Traviata à
Toronto. Plus récemment, il s'oriente vers le cinéma et la télévision, travaillant avec des
réalisateurs tels que Benegui, Altman, Silveira, Ottmezguine, Beraud, Santoni... Pierre
Attrait est aussi un créateur d'évènements de prestige, parmi lesquels on notera le Bal de
la Rose à Monaco, l'inauguration de la tour LVMH à New York ou la soirée inaugurale
du Festival de Cannes.
MARIE-NOELLE EUSEBE
Guadeloupéenne, née à Paris, Marie-Noëlle Eusèbe poursuit une carrière de comédienne à l'écran
comme à la scène depuis près de trente ans. Quelques repères de son parcours professionnel...
Théâtre : Le Soulier de satin (Claudel), L'Amour de l'amour, Antigone toujours, dans la compagnie
RENAUD-BARRAULT. Ruy-Blas (V. Hugo), Don Juan, Le Bourgeois gentilhomme (Molière), dans
la compagnie Jean-Pierre BOUVIER. Le Balcon (Jean Genet), mis en scène par G. Germain. Les
Femmes avec leur amour (P. Jacques), mis en scène E.G. Lorvoire, Cannibales (J. Pliya), pour sa
création au Théâtre National de Chaillot et mis en scène par J. Martial, qui a fait l'objet de tournées sur
les scènes nationales de Guadeloupe, Martinique et Nouvelle-Calédonie. Pas de prison pour le vent (A.
Foix), spectacle mis en scène par Antoine Bourseiller, joué en Guadeloupe, Martinique et au Théâtre du
Lucernaire, L'Amour foot (R. Lamoureux), mis en scène par F. Joffo, La Voyageuse (M. Condé), mis
en scène par J.M. Martial.
Cinéma et télévision : Entre autres... Toutes griffes dehors, de Michel Boisrond, La Méthode rose, de
Claude de Givray, Do Mi Si La Do Ré, de Philippe Condroyer, Touch and Die, de Pierre-Nico Solinas,
Nestor Burma, de Claude Grumberg, Beaumanoir, de Catherine Roche, Les Enfants du miracle, de
Sébastien Grall, La Grande Béké, d'Alain Maline, Madeline, de Daisy Mayer, Tu peux garder un
secret..., d'Alexandre Arcady, Le Baltringue, de Cyril Sebas, ou encore Adresse inconnue, d'Alain
Wermus.
Chant : Elle a également fait partie du groupe de world music MAN D'DAPPA, en tant que chanteuse
lead, pour des concerts internationaux et l'enregistrement d'un album, L'ESPRIT QUI DANSE
(Musidisc).
Au théâtre, travaille sous la direction de
ROMAIN PICOLET – Haïti chérie de Maryse Condé - Art-chipel, Scène Nationale de Guadeloupe, Basse-Terre,
Festival Enfances du monde
G. GERMAIN – Monsieur Toussaint de E.Glissant - Fort de Joux
– Voyage au cœur d’un rebelle de L-G Damas - Espace Reuilly
– Le Balcon de Jean Genet - Festival des Abymes, Festival d’Avignon, Théâtre de l’Epée de bois
– Hommage à Sony (Sony Rupaire) - Centre des Arts, Pointe à Pitre
E-G LORVOIRE – Les Femmes avec leur amour, de P. Jacques - Théâtre 13
J-A LAOU – Monsieur Zobel, textes de J.Zobel - Théâtre municipal de Fort de France
– La Fin du rêve du Roi Narmer, Rencontres caribéennes théâtrales Fort de France
M. LESAGE – Dernier Hôtel avant la Pentecôte de Gilles Tourman - Espace Carpeaux, Courbevoie
PATRICK HAGGIAG – Le Pas de Denis Guénoun - Théâtre Européen d’Aujourd’hui, Petit Odéon
B.MAIGROT – Le Peuple en marche Oratorio - bicentenaire de la Révolution Française, Saint Priest
J-P BOUVIER – Don Juan de Molière, Don Quichotte d’Yves Jamiaque - Festival de Sète
– Ruy-Blas de Victor Hugo Festival d’Anjou, Carcassonne, Vaison la Romaine, Sète
J-L BARRAULT – Antigone Toujours de Pierre Bourgeade, L’Amour de l’amour,
Le Soulier de satin de Paul Claudel - Théâtre d’Orsay, Compagnie Renault-Barrault
ANNE DELBEE – La Ville de Paul Claudel - Festival de Brangues
SYLVIE DERVIN – Conte à rebours de Sylvie Dervin - Café-Théâtre le Sélénite
À la télévision, travaille sous la direction de
D. THIEL – Mr Toussaint
S. GRALL – Les Enfants du miracle
E. FONLLADOSA – Le Trésor ou la vie
A. MALINE – La Grande Béké
C. ROCHE – Beaumanoir
D. GIULIANI – Les Glaçons de Murano
C. GRUMBERG – Nestor Burma - Casse pipe à la Nation
P. N. SOLINAS – Touch and Die
D. MASSON – Tribunal -Noir et Blanc
Y. A. HUBERT – Le Bourgeois Gentilhomme
J. SAGOLS – Cantara
J. VARELLA – Caraïbes - Poissons mortels
S. BERTIN – Loft Story, La Croix de Berny
P. GOUTAS – Allô je t’aime
C. BARROI – Hôtel de police
P.CONDROYER – Do Mi Si La Do Ré
C.de GIVRAY – La Méthode rose
J-M COLDEFY – L’Ame des poètes, Agora
B. MAIGROT – Juliette et Roméo, Ruy-Blas
A. TARTA – Le Soulier de satin
S. MOATI – Les Sept jours du marié
S. FRIEDMAN – Adieu ma chérie
J-L MOREAU – La Part des ténèbres
Au cinéma, travaille sous la direction de
C. HAOUY – Au Nom de la race humaine
D. MAYER – Madeline
M. LANG – Club de rencontres
B. BAHLOUL – Le Thé à la menthe
YUMI FUJIMORI
Yumi Fujimori est formée à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (rue
Blanche) puis au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique. Roger Mollien et Teddy Bilis,
puis Michel Bouquet et Michel Bernardy sont les professeurs qui ont marqué ces années
d’apprentissage.
Comme metteur en scène, elle présente « Les étangs de Sarusawa », récit épique japonais, en ouverture
au Festival des arts martiaux au Palais Omnisport de Paris-Bercy.
A la Maison de la culture de Rennes, elle met en scène « 24C » de Jacques Rémus.
Avec l'Ensemble musical Olivier Opdebeeck, elle monte d'abord « Les leçons de Job » de Roland de
Lassus au Centre Wallonie-Bruxelles.
Puis c’est « Paméla », d'après Goldoni et Piccini, au Théâtre de Vevey en Suisse, au Théâtre Impérial à
Compiègne et au Théâtre Montansier à Versailles.
Comme comédienne, elle interprète Corneille, Racine, Molière, Shakespeare, Boulgakov, Thomas
Heywood, Elsa Solal, Michel Simonot… sous la direction notamment de Roger Mollien, Gérard
Vergez, Andrei Serban, Pierre Debauche, Nicolas Bataille, Thierry Atlan… et dernièrement José Pliya
sous la direction de Jacques Martial.
Formée à l’ENSATT (rue Blanche) et au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD),
au théâtre, travaille notamment sous la direction de
ROGER MOLLIEN – Le Cid de Corneille
GERARD VERGEZ – Le pont japonais de Barillet et Grédy - Théâtre Antoine
CHRISTIAN BRENDEL – Britannicus de Jean Racine
ANDREI SERBAN – Le maître et Margherite de Boulgakov - Théâtre de la Ville
PIERRE DEBAUCHE – Andromaque de Jean Racine - CDN du Limousin, Théâtre des Deux rives
NICOLAS BATAILLE – Tokyo de Jean Peyrol - Théâtre de la Huchette
BERNARD DJAOUI – Le dibouk de Chalom Anski - 18 théâtre
THIERRY ATLAN – Le cœur brisé de John Ford - Théâtre du Chaudron
– Gibier de potence et L’homme de paille de Georges Feydeau - Théâtre du Chaudron, Festival de Provins
– Histoire d’un meurtre de Hermann Ungar - Théâtre de La main d’or
– Avatar de Théophile Gautier - Théâtre de l’Atalante
– Une femme tuée par la douceur de Thomas Heywood - Théâtre du Chaudron
– Méduse d’Elsa Solal - Théâtre de la Tempête
– Hôtel des lunes de Michel Simonot - Théâtre de la Cité Internationale, Chartreuse de Villeneuve-les-Avignons
En concert, se produit comme récitante avec
OLIVIER OPDEBEECK – Office des ténèbres de Victoria, Le cantique des cantiques de Palestrina, Scènes de la
passion de Bouzignac, Scènes de la nativité de Bouzignac - Eglise des Billettes, Eglise Saint Eustache, Eglise
des Invalides, Eglise Notre Dame du travail, Eglise de Marly, Eglise de la Gloriette à Caen, Eglise d’Agde,
Eglise Saint François à Montpellier…
MICHELE TELLIER – Le jardin des souffles, musiques de Geminiani, Lully, Marin Marais - Maison André
Derain, Chambourcy
Au théâtre, adapte et met en scène
– Les étangs de Sarusawa d’après le Dit des Heike - Palais Omnisports de Paris-Bercy
– 24C, double quatuor à cordes de Jacques Rémus - Maison de la Culture de Rennes
– Le coco est au rococo ce que le kiki est au rikiki d’après Jean Tardieu - Espace Elec
– La femme des sables de Ake Kobo - mise en scène Alain Paris - Théâtre de Meaux
– Les leçons de Job de Roland de Lassus - Centre Wallonie-Bruxelles
– Pamela, ou l’honnête fille de Goldoni et Piccinni - Théâtre impérial de Compiègne,
Théâtre Montansier à Versailles, Théâtre de Vevey
Au cinéma, travaille sous la direction de
ELIE CHOURAQUI – Paroles et musique
GABRIEL BENATTAR – Sécurité publique
A la télévision, travaille sous la direction de
RAOUL SANGLA – Sombre affaire, rue Watt
DANIEL MOOSMAN – Talkie walkie, Ibrahim met les gaz - TF1
JEAN ANTOINE – Yasushi Inoue, les sentiers de la mémoire - FR3
RENE MANZOR – The hitchhicker, Made in Paris (VO) / le voyageur, Fait main (VF)
NICOLAS COHEN – Salut Gaston - TF1
MARIE-ANNICK LE GUERN – Notes de chevet - INA
PATRICK JAMAIN – L’ex - TF1
HUGHES DE LAUGARDIERE – Un chantage en or - FR3/Canal+
MARTINE MAXIMIN
Elle suit les cours de Soizik Moreau au Lycée Voltaire. En 1979, elle joue Mathias 1er de Janusz
Korczak sous la direction de Bernard Bétrémieux. En 1985, ce dernier lui écrit le rôle de Maxi dans la
pièce S.O.S. En 1984, elle joue l’Opéra de quat’sous de Bertolt Brecht mis en scène par Jean-Louis
Martin-Barbaze. En 1989, elle joue Tempo de Richard Harris qui remporte le Molière du spectacle
musical. Après Chutes de Gregory Motton mis en scène par Claude Régy en 1992 , elle joue Combat de
nègres et de chiens et Tabataba de Bernard-Marie Koltès, dans une mise en scène de Moïse Touré
qu’elle retrouvera en 1998-2000 dans l’anthologie Orphée Noir. En 1994, elle interprète Nancy
Mannigoe dans Requiem pour une nonne de William Faulkner mis en scène par Jean Macqueron et
qu’elle rejouera en 2005 sous la direction de Jacques Lassalle. En 2001 et 2008, elle est Marthe dans
l’Echange de Paul Claudel monté par Sarah Sanders. Entre 2003 et 2007, elle joue dans Le cœur à rire
et à pleurer de Maryse Condé, mise en scène d’Alain Courivaud, qu’elle a elle-même adapté. En 2004,
Jacques Martial la met en scène dans Cannibales José Pliya au Théâtre national de Chaillot. De 2004 à
2009, elle est l’Africaine dans le spectacle Ils habitent la Goutte d’Or de et mise en scène par Laurence
Février. En 2009, elle joue Trames écrit et mis en scène par Gerty Dambury.
Au cinéma et à la télévision, elle a tourné dans des filmes dirigés entre autres par Paul Vecchiali,
Jacques Fansten, Roger Pigaut, Edouard Molinaro, Patrick Dewolf, François Luciani…
Au théâtre, travaille sous la direction de
LAURENCE FEVRIER – Quartiers nord - Maroquinerie Paris
SARAH SANDERS – L'Echange - Théâtre de Saint Germain en Laye
MOÏSE TOURE – Orphée noir - Avignon, Bibliothèque Nationale de France, Guadeloupe
– Tabataba Combat de nègres et de chiens de JM Koltès - Grenoble
PATRICE MOHR – La fable du cloître - Genève
ALAIN OLLIVIER – Ange Noir - MC93 Bobigny
JEAN MACQUERON – Requiem pour une nonne de W. Faulkner - 18 Théâtre Paris
MICHEL DURAND – Nono Nanette (Opérette)
CLAUDE REGY – Chutes - TGP de St Denis
PIERRE TRAPET – Les chaussures de Madame Gilles
PHILIPPE OGOUZ – Tempo - Théâtre Fontaine Paris
BERNARD BETREMIEUX – S.O.S. - 18 Théâtre Paris
– Défense d'en parler de Martin Harrie Rote Grutse
– Mathias
SONIA EMMANUEL – Jeux pour deux de Trévor Thone - Sylvia Montfort
LAURENT PELLY – NN chambres calmes, vue sur mer de M Jourdheuil - Th de la Plaine
JL MARTIN BARBAZ – L'Opéra de quat'sous - CDN du Nord
MICHEL CESAIRE – Le grand zoo de Nicolas Guillen - Festival de la Martinique
NICOLE ANDRE – Jeanne et la voie lactée de Jean Louis Bauer - Comédie de Paris
GUY RETORE – Prométhée - TEP Paris
PIERRE TRAPET – Les Chaussures de Madame Gilles - TEP Paris
Au cinéma, travaille sous la direction de
LUTZ KONNERMANN – Lieber Brad (en allemand)
LAURENT BOUHNIK – Madeleine
EDOUARD MOLINARO – A gauche en sortant de l'ascenseur
A la télévision, travaille sous la direction de
JEROME FOULON – Maintenant ou jamais
MARION SARRAUT – Julie Lescaut
N . RIBOWKI – Navarro : Froid devant
PH LEFEVRE – Renseignements généraux
G.KIKOINE – Commissaire Moulin
BERNARD BETREMIEUX – Histoire d'en parler - S.O.S.
ROGER PIGAUT – Coma dépassé
J.C. CHARNAY – Panique aux Caraïbes
P. PLANCHON – Commissaire Moulin
JACQUES FANSTEN –Souris noire
PAUL VECCHIALI – Cœur de Hareng
JACQUES KRIER – On n'a tué personne
La Compagnie de la Comédie Noire
La Compagnie de la Comédie Noire, fondée en 2000, a pour objet de favoriser la représentation des
personnes issues des minorités visibles dans les métiers du spectacle. Pour ce faire, elle développe et
réuni les moyens permettant la création, la production, la promotion et la diffusion d’évènements
culturels, notamment de spectacles de théâtre et de cinéma.
Président : Richard Boitel-Stein
Trésorier : Olivier Bonnet
Secrétaire : Osange Silou
Directeur artistique : Jacques Martial
Siège social : 60 Bd de Rochechouart, 75018 Paris
Adresse pour correspondance : 7 villa Marceau, 75019 Paris
e-mail : [email protected]
Tél : +33 1 42 94 15 84 Ptble : +33 6 22 51 28 18
Projets Réalisés
° Cahier d’un retour au pays natal d’Aimé Césaire
Une présentation théâtrale du célèbre texte d’Aimé Césaire avec Jacques Martial (concept et
comédien), Pierre Attrait (décor), Jean-Claude Myrtil (éclairage et son), Tim Greacen (assistant
pour la version anglaise). Première lecture publique à Avignon Off (juillet 2002), création à
L’Artchipel Scène Nationale de Guadeloupe (2003), le festival Ten Days on the Island,
Tasmanie (2003), Nouméa, La Réunion, New York (2003). Festival Avignon Off, Théâtre des
Halles (2005). Tournée en France, Océan Indien, Afrique du Sud (2006). Amiens, Slovaquie,
Frankfurt, Martinique (2007). Perpignan, Besançon, Paris Théâtre de l’Odéon, Madrid, La
Réunion, Dakar (2008), Lisbonne (2009). Spectacle disponible en français et en anglais.
° Cannibales de José Pliya
Première lecture publique au Festival Avignon Off 2002 avec Marie-Noëlle Eusèbe (Nicole),
Martine Maximin (Martine), Christine Sirtaine (Christine). Création novembre 2004, Théâtre
National de Chaillot, mise en scène de Jacques Martial. Tournée Nouvelle Calédonie (2006),
Nord Pas de Calais (2007), Pyrénées-Languedoc Roussillon (2008), Rhône Alpes-PACA (2009)
° Hänsel et Grétel d'après Engelbert Humperdinck
Opéra chanté en français, pour jeune et tout public, à partir de 5 ans, durée 1h, avec Kristin SaxJansen (Hänsel), Cécile de Cossé-Brissac (Grétel), Annie Degrand-Magnac (la mère et la
sorcière), Agnès Watson, (piano et direction musicale), Jacques Martial (mise en scène et
scénographie). Création en Mars 2005 au Théâtre du Tambour Royal à Paris. Tournée Ile-deFrance (2005).
° L’Echange de Paul Claudel
Cette pièce classique est présentée sous un nouvel éclairage. Marthe, l’épouse, et Louis Laine,
le poète, forment ce couple noir confronté à l’Occident représenté par l’homme d’affaires
américain Pollock, (Jean-François Prévand), et sa femme, la sophistiquée et séductrice Léchy,
(Laurence Février). Christine Sirtaine en alternance avec Martine Maximin (Marthe), Jacques
Martial (Louis Laine) ; Sarah Sanders (mise en espace), Pierre Attrait (décor), Jean-Claude
Myrtil (éclairage). Festival international de théâtre des Abymes, Guadeloupe (2001) ; Création
janvier 2007 Vingtième Théâtre à Paris. Tournée : Syrie (mars 2007), Antilles (novembre 2007)