Belle année 2016

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m a g a z i n e
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c o m m u n e
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d é c e m B RE
A v i r o n s
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Belle année 2016
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édito
é d i t o
L’année 2015 a été une année d’investissement important au profit des enfants qui
sont l’une de nos grandes précocupations : une nouvelle école dans le quartier du
Ruisseau et des restaurants scolaires entièrement réhabilités leur sont dédiés. Le
bilan des activités culturelles menées dans les écoles est également très positif. Plus
de 1000 élèves ont été concernés par l’un des dix ateliers coordonnés par le service
culturel de la Ville dans le cadre du contrat local d’éducation artistique. Les jeunes
sont les adultes et les citoyens de demain : nous nous devons de les accompagner.
Soucieux des autres, certains ont participé cette année au Téléthon. D’autres ont
dansé et chanté pour fêter la liberté le 20 décembre. Tous ont été émerveillés par les
fêtes de Noël organisées par la Ville. Nous souhaitons à tous ces jeunes, également
à tous leurs parents et à vous tous, Avironnais, une belle année 2016. Qu’elle vous
apporte le bonheur et la sérénité.
Bonne lecture,
Votre Maire
Michel DENNEMONT
Joyeux Noël les enfants !
Mardi 8 et jeudi 10 décembre, les 516 élèves des quatre
écoles maternelles de la commune – maternelle du centre,
Ravine Sèche, Ruisseau et Tévelave – ont eu la joie d’assister à
un Noël anticipé offert par la Ville. Au menu de cette journée
pas comme les autres : Le chemin des 4 aventures, un
spectacle de magie qui mêle théâtre, poésie et marionnettes
proposé par la compagnie des 4 Mondes ; puis, la distribution
de cadeaux par le père Noël en personne, dans le hall de
la salle Georges Brassens décoré pour l’occasion. Dans les
paquets des petites sections on pouvait trouver des voitures
sonores et des sacs à dos garnis de poupons, dans ceux des
moyennes sections des coffrets Spiderman et des châteaux de
princesses Petit Poney et enfin, dans les paquets des grandes
sections il y avait des boîtes de poupée Jenny Pédiatrie et des
boîtes Tiens Bon Spiderman. La Ville a consacré 13600 euros
au budget cadeau. Les enfants sont repartis avec des étoiles
dans les yeux.
Information
Période cyclonique :
rappel des numéros d’urgence
En cas de besoin, n’hésitez pas à contacter les numéros d’urgence de votre commune :
- Permanence ORSEC Mairie : 02 62 38 02 66
- Centre d’hébergement école Paul Herman : 02 62 43 64 53
- Centre d’hébergement école Thérésien Cadet : 02 62 54 92 01
- Centre d’hébergement école Marcel Le Guen : 02 62 38 30 40
Pour préparer au mieux la saison cyclonique qui s’annonce, il est nécessaire de procéder à
quelques gestes utiles pour la sécurité de tous.
Ainsi, autour des voies ouvertes au public, il est recommandé de procéder à l’élagage des végétaux.
Les branches des arbres situés sur des propriétés privées ne doivent pas déborder et doivent être élaguées à
l’aplomb du domaine public. Il s’agit d’assurer la visibilité pour les conducteurs et la sécurité des routes en évitant
que celles-ci ne soient bloquées par des branches ou des arbres.
Une vigilance toute particulière doit être apportée autour des lignes téléphoniques et électriques, qu’il s’agisse
des branchements situés sur le domaine public ou sur des propriétés privées.
Il est fortement recommandé de procéder avant le début de la période cyclonique à l’élagage des arbres et des
plantations menaçant ces branchements.
Les Touts petits fêtent
Noël au son du maloya
Les enfants des deux micro-crèches Caramiel et Berlingot
ont fêté Noël en musique cette année. Les intervenants de
l’association Simangavol sont venus animer deux ateliers
d’éveil musical sur le thème de la musique créole dans
chacune des crèches les 2, 3 et 10 décembre. Au programme
: découverte des instruments comme le kayamb et comptines
adaptées à la rythmique maloya. Ainsi familiarisés avec cet
univers, les 36 enfants des deux crèches et leurs parents se
sont retrouvés, habillés en tenue maloya, à la maison de
quartier du Ruisseau mercredi 16 décembre pour un spectacle
donné par l’association. A l’issue du spectacle, goûter créole et
distribution de cadeaux attendaient les enfants.
Les 4 phases d’alerte :
La pré-alerte (menace potentielle dans les jours à venir) : suivez les bulletins d’informations, évitez les
sorties en mer ou en montagne, vérifiez vos réserves en eau, en nourriture, en piles et en médicaments si besoin ;
L’alerte orange (danger dans les 24 heures) : tenez-vous informé, rentrez les objets qui peuvent s’envoler
ainsi que les animaux, protégez vos portes et vos fenêtres, les établissements scolaires sont fermés mais l’activité
économique est maintenue ; L’alerte rouge (danger imminent) : tenez-vous informé, profitez du préavis de
3 heures avant le début de l’alerte rouge pour regagner votre domicile ou vous mettre à l’abri, ne sortez plus,
évitez de téléphoner, ne paniquez pas. Attendez la levée de l’alerte rouge pour sortir de chez vous et ne prenez
votre véhicule que si le réseau routier est annoncé praticable ;
La phase de sauvegarde (la menace est écartée mais il reste des dangers) : tenez-vous informé, ne
franchissez pas les radiers submergés, ne touchez pas les fils électriques tombés à terre, n’encombrez pas
les lignes téléphoniques, préférez l’eau en bouteille, ne prenez votre véhicule qu’en cas de nécessité, les
établissements scolaires restent fermés mais l’activité économique peut reprendre.
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Marché LAKOUR sur le parking de l‘école du centre-ville
Tous les samedis matin de 07h00 à 13h00
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Diversité et diététique
Cuisinés au jour le jour et non réchauffés, les plats sont
naturellement gouteux. Les menus sont élaborés en général
trois mois en avance et validés par une diététicienne. Ils
respectent les obligations nutritionnelles prévues par la loi.
Cinq composantes nutritionnelles sont servies régulièrement
aux convives : entrée, plat chaud, accompagnement,
légume, dessert. Les élèves peuvent ainsi déguster des
crudités fraiches, des caris de toutes sortes, sautés de mines,
riz cantonnais, mais également de nombreux légumes et
fruits. Récemment, le traditionnel gâteau patate a été réalisé
par les cuisiniers eux-mêmes plutôt qu’achetés tout fait.
Dans les coulisses de la cuisine centrale
Bienvenue au cœur de la cuisine centrale, le lieu où
sont fabriqués 1500 repas par jour et distribués dans
six restaurants scolaires. Un outil moderne pour une
cuisine de qualité.
« L’objectif de notre service est la qualité, souligne d’emblée
Laurent Gorrillot, directeur de la restauration scolaire des
Avirons. Avec l’équipe, nous mettons tout en œuvre
pour livrer dans les restaurants scolaires, chaque midi,
des repas chauds à base de produits de qualité fabriqués
le matin même à la cuisine centrale. » Depuis cinq
ans, Laurent Gorrillot dirige avec une grande rigueur ce
service indispensable qui touche 97% des enfants scolarisés
dans les écoles maternelles et primaires de la ville. Une
démarche de qualité qui a été reconnue par la Direction de
l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt qui a délivré à
cette unité de production son agrément sanitaire.
Marche en avant : gage de qualité et de sécurité
Livrée en 2009, la cuisine centrale des Avirons respecte la
« marche en avant ». C’est-à-dire qu’elle est organisée de
façon à pouvoir suivre les étapes de fabrication des plats en
respectant des règles d’hygiène et de sécurité alimentaire.
De la livraison des marchandises à la distribution des
denrées dans l’assiette des enfants, les produits suivent un
cheminement très strict : réception des denrées, stockage,
pré-traitement, préparation froide à +15°, zone de cuisson,
zone de conditionnement, mise en container isotherme
des plats en zone d’expédition et, charge des camions de
livraison (chauffeurs : Stéphane et Bernard).
En chiffre
En 2015, 170 446 déjeuners ont été fabriqués par la cuisine
centrale des Avirons.
Informations
Tous les menus sont affichés à l’entrée de chaque école et
sur le site internet de la Ville.
Personnel dédié et enjeux éducatifs
Le service de la restauration scolaire compte 13 personnes
en production et 51 personnes en distribution répartis sur
les 6 restaurants scolaires (Responsables : Josiane, Suzelle,
Emilia, Véronique, Sophie et Willy). 31 animateurs du
service temps libre viennent surveiller les enfants lors de
la pause méridienne (de 11h30 à 13 H 00). Les enfants de
maternelles sont servis à table tandis que les primaires ont
accès au self service.
« La qualité de l’accueil et du service, la gestion du temps
du repas sont également des points très importants. Les
valeurs enseignées lors du temps du repas sont essentielles,
souligne le directeur. Les élèves sont les adultes et les
citoyens de demain. »
2015 : tous les sites réhabilités
« Un gros travail de réhabilitation et de construction des
restaurants scolaires a été fait par la Ville ces six dernières
années, ce qui leur permet de respecter aussi la « marche
en avant ». Tout est neuf à l’école Paul Hermann, à l’école
du Ruisseau et à la maternelle du Centre. Pour les autres,
la réhabilitation des bâtiments et l’implantation du matériel
neuf a été effectué lors de ces derniers mois, souligne
Laurent Gorrillot.
Qualité gustative
La qualité de la restauration municipale n’est pas qu’une
question de matériel et de technique. La qualité gustative
des repas est également un objectif essentiel pour l’équipe
de la cuisine centrale.
La magasinière (Marie-Joe) contrôle et réceptionne l’arrivée
des denrées, tout en étant l’adjointe au directeur elle est
également la responsable des restaurants scolaires et des
manifestations exceptionnelles.
Trois cuisiniers (Jacky, Jimmy et Alain) et sept agents
polyvalents (Marie Luce, Marie Rose, Dominique, Josine,
Pamela , Gwendoline et Olivier) veillent chaque jour à
l’élaboration des repas selon les fiches recettes élaborées
par les cuisiniers.
Les produits achetés sont essentiellement des produits frais
et locaux quand cela est possible. Le poulet, les œufs et le
porc sont péi. Les filets de poissons surgelés (qualité sans
arétes) viennent d’Europe. Les légumes frais viennent du
marché local autant que possible, de l’import quand c’est
nécessaire. L’usage des boîtes de conserve est restreint. «
Nous travaillons également avec les saisons et nous nous
adaptons aux aléas climatiques, comme les cyclones »,
précise Laurent Gorrillot.
En général, les produits frais sont réceptionnés la veille de
leur transformation, les produits secs et surgelés environ une
semaine avant.
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Sophie Elizéon : du collège des Avirons
à la préfecture de Lille
A l’occasion de son déplacement dans le cadre du
congrès de l’ACCD’OM, Line BAILLIF, 2ème adjointe
au maire, a eu l’occasion de féliciter, au nom du
Maire, Sophie Elizéon pour sa nomination de préfète
déléguée pour l’égalité des chances auprès du préfet
de la région Nord-Pas-de-Calais.
Née le 3 novembre 1970 d’un père réunionnais
(facteur à la retraite) et d’une mère corrézienne
(ancienne directrice d’agence postale), Sophie Elizéon
a effectué sa scolarité au collège Adrien Cadet aux
Avirons, puis au Lycée de Saint-Louis, celui des
Avirons n’étant pas encore construit. Après un bac C
(à La Réunion), une école de commerce (à Pau) et un
Master en sociologie appliquée au développement
local (à Lyon), Sophie Elizéon a été nommée Déléguée
régionale aux droits des femmes et à l’égalité entre
les femmes et les hommes de La Réunion en 2007,
puis Déléguée interministérielle pour l’égalité des
chances des Français des Outre-mer en 2012. Sa
nomination en qualité de Préfète à Lille est intervenue
en octobre 2015.
La Ville des Avirons tient à lui témoigner ses vœux de
réussite et de plein succès à ce nouveau poste.
Football :
les vétérans sont des champions !
L’équipe de football vétéran (plus de 42 ans) des Avirons
remporte en 2015 le titre de champion de La Réunion.
Une première pour cette équipe qui s’entraîne tous les
vendredis soirs sur le stade du centre ville. Eloi NaguinCoupin, l’entraineur, a su fédérer et motiver une équipe
qui a pu compter sur de nouvelles recrues cette année
et qui cultive un bon esprit. Pour la vingtaine de joueurs
qui la constitue, foot rime avec plaisir du sport et 3eme
mi-temps. C’est d’ailleurs dans les locaux du club du
3eme âge que l’équipe se retrouve pour débriefer et
fêter ensemble leur match. « L’équipe des Avirons
est une équipe joueuse, motivée et festive, que notre
entraîneur a su coordonner, souligne Fabrice Técher,
l’une des recrues de 2015. On a du plaisir à se retrouver
presque tous les vendredis. Champions de La Réunion,
c’est bien, mais la prochaine étape, c’est la Coupe ! »
Espace de l'opposition
L’article L 2121-27-1 du CGCT stipule qu’un espace destiné à l’expression de chaque groupe de conseillers
n’appartenant pas à la majorité municipale est réservé dans le magazine municipal. La délibération du Conseil
du 11 avril 2014 fixe cet espace à une demie page.
Bonne et heureuse année 2016 à toutes les Avironnaises et à tous les Avironnais
Au nom du groupe «Les Avirons, un Nouvel Elan », nous souhaitons à toutes les Avironnaises et à tous les Avironnais
d’excellentes fêtes de fin d’année.
Que l’année 2016 soit bien meilleure et prospère pour vous et tous vos proches !
Nous souhaitons pour 2016 des vœux pour une ville plus solidaire. En ce sens, il faut :
La commune roule pour le Téléthon
Cette année, la commune des Avirons, par le biais de ses
écoles et de ses associations, a témoigné de sa solidarité
avec les familles des enfants malades.
Deux écoles ont participé au Téléthon –Ravine Sèche et
Paul Hermann- en organisant des jeux de chamboule-tout
pendant deux semaines et en récoltant pas moins de
600 euros ! La mascotte du téléthon et son parrain
Jean-Laurent Faubourg sont même venus voir les enfants
et les remercier.
Quant aux associations, elles sont nombreuses à s’être
mobilisées la journée du 28 novembre au complexe sportif :
aïkido, pétanque, athlétisme… Elles étaient toutes là pour
soutenir l’action du Téléthon. 352 euros ont été récoltés :
un résultat encourageant qu’il faudra conforter dans
l’avenir.
Pour mémoire, le Téléthon est organisé depuis 1987 par
l’association française contre les myopathies pour financer
la recherche et aider les familles de malades.
- S’occuper davantage des quartiers abandonnés, illustrés par la détérioration du réseau routier, par la désaffection des services de proximité
ou par l’inexistence de services, et aussi, des secteurs enclavés tels que la ruelle Carméry, le Sentier Mara, l’Impasse Volange Rivière, l’Impasse
Capucines,…
- Créer les conditions d’un développement économique générateur d’emplois en redynamisant le centre-ville et en favorisant le développement
touristique, notamment au Tévelave, territoire des hauts de plus en plus délaissé.
- Aménager la ville en recréant du lien social au cœur des habitations. L’accompagnement des familles dans les nouveaux logements est une
nécessité impérieuse.
- Veiller à ce que notre jeunesse ne soit pas abandonnée. Le Relais de l’insertion doit disposer de moyens adéquats par favoriser l’insertion
professionnelle des publics les plus éloignés de l’emploi. Face à la montée des actes de délinquance sur la ville depuis plusieurs mois, il ne faut
pas fermer les yeux et continuer à dire que tout va bien. Il faut se retrousser les manches, avec les acteurs concernés, pour répondre au mieux
aux problèmes existants.
- Permettre aux personnes âgées et aux personnes handicapées de bénéficier d’un service de proximité susceptible de les accueillir et les orienter
dans les meilleures conditions. Ce public n’a pas à faire les frais des restrictions budgétaires.
Malgré les contraintes financières, les politiques publiques gagneraient à encourager toutes les initiatives de la collectivité en faveur de plus de
solidarité, plus de dynamisme dans la vie sociale locale et d’une meilleure utilisation de l’espace foncier.
Jean Daniel DENNEMONT pour le groupe d’élus d’opposition « Les Avirons, un Nouvel Élan »
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Marché de Noël :
place aux artisans
L’association Marché La kour organisait cette année
un grand marché de Noël les 19 décembre sur la
place de l’école Paul Hermann et le 20 décembre
sur le parvis de la mairie.
Objectif : valoriser le fait main et les produits péi.
Une dizaine d’artisans ont répondu à l’appel de
l’association : le ferblantier Alain Hippolyte, Ophélie
création avec son linge de maison et ses objets de
décoration, madame Hoarau et ses confitures péi,
Elsa et ses accessoires de mode, monsieur Bertrand
et ses bijoux en aluminium, monsieur Lin et ses
objets en bois, Fabrice et ses samoussas, monsieur
Mercier et ses épices…
20 décembre : la commune fête la liberté !
Centre Ville
Courir pour la liberté ! L’amicale des sapeurs pompiers a
organisé pour la première fois « Fé relai mon z’avirons »,
un relai de 2km dans le centre ville pour lancer les festivités
du 20 décembre. Cinq équipes de cinq coureurs (trois
équipes du club d’athlétisme des Avirons Run’ Altitude, une
équipe d’Étang-Salé-les-Bains et une équipe de l’Amicale
des sapeurs pompiers) ont participé et c’est l’équipe de
l’Etang-Salé qui a remporté la victoire en 30 minutes 59
secondes ! Un spectacle de danse avec ADAC et les Swagga
girls et un spectacle de chant sur le thème des chansons de
Granmoun Lélé avec les enfants du périscolaire, sur la place
de la mairie, ont suivi la course des pompiers.
À 18h, place au concert, avec le maloya de Willy Philéas,
puis Olivier Brique et Tivic, Dimix Staya et Kaloubadya.
Tévelave
L’association JSCT a également fêté la liberté toute la
journée sur la place de la Centralité au Tévelave, avec des
groupes (Sista Flo, Marylou, Groupe Lumière, Virgile…) et
de nombreux stands de restauration, de fleurs, de bijoux,
etc.
Ruisseau
Pour fêter le 20 décembre, l’association LACS a organisé une
journée entière d’animations dans le quartier du Ruisseau
avec course de VTT –trois km en six fois-, pique-nique, défilé
charrette bœufs et enfin soirée kabar. Une belle journée qui
a attiré de nombreux participants.
Les Avirons / Magazine Municipal de la Commune des Avirons / Décembre 2015, n° 74 / Directeur de la publication : Michel Dennemont
Conception - Réalisation :
/ Photographies : Mairie des Avirons, 18 Editions / Rédaction : Astrid Bourdais
Impression : Print2000 / Impression sur papier écologique PEFC / FSC - Tirage 4200 exemplaires / Dépôt légal :
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BOUGE !
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Supplément n°12 au journal municipal des Avirons
Mes chers concitoyens,
P é r i s c o l a i r e
Alors que 2016 démarre, il est temps pour
nous de dresser un bilan de l’action de la Ville,
comme nous le faisons chaque année.
À travers ce bulletin, nous souhaitons parcourir
avec vous un an de travail à votre service,
feuilleter à vos côtés l’album 2015 des Avirons.
Travaux, action culturelle, fiscalité, équipement,
vie associative, sport… Les services de la Ville
se sont cette année encore surpassés pour être
présents à vos côtés et répondre au mieux à
vos besoins.
2015 a notamment été marqué par notre
volonté d’offrir ce qu’il y a de mieux aux jeunes
avironnais : une nouvelle école, des réfectoires
entièrement réhabilités, mais également des
actions culturelles coordonnées et ciblées.
Enfin, notre ville ne serait pas ce qu’elle
est sans l’implication de tous : les services
municipaux bien sûr, mais également tous
ces citoyens, anonymes ou non, qui font
vivre la commune en tant qu’associatifs,
commerçants, artisans, artistes ou simples
bénévoles. Merci à vous tous.
Bonne lecture,
La Ville mise sur un accueil
de qualité
En 2015, 657 enfants et adolescents ont été accueillis
dans les centres de loisirs mis en place par la mairie
pendant les vacances scolaires. Deux thématiques
principales ont été abordées, à travers de nombreux
ateliers et activités : une sensibilisation aux arts du
spectacle (rencontres d’artistes, théâtre de miniatures,
réalisation de fresques, arts du cirque, préparation d’un
spectacle) pendant l’été austral et la découverte du
monde du sport et de l’Océan Indien à travers le thème
des Jeux des îles pendant l’hiver austral.
Les activités proposées aux adolescents sont quant à
elles tournées vers les sports de pleine nature (kayak,
paddle, randonnée, VTT…).
Votre Maire,
Michel Dennemont
Mais le service animation de la Ville n’œuvre pas
seulement pendant les vacances. Tout au long de
l’année, il pilote le Projet Educatif Territorial (PEDT)
mis en place en 2014. Cette année, 450 enfants sont
inscrits à ces activités du vendredi après-midi, pour un
taux de fréquentation de plus de 90%. Le PEDT est
mis en place dans les quatre écoles de la commune (les
enfants scolarisés dans la nouvelle école du Ruisseau
sont amenés en bus à l’école Paul Herman). De
nombreuses thématiques sont abordées : faune et flore,
monde du sport, littérature, santé…
Impôts locaux
Une équipe de 33 animateurs diplômés (BAFA) du
service animation, aidés par quelques animateurs
contractuels, assurent la mise en place et l’animation
de l’ensemble des activités.
La fiscalité a été maintenue à des taux
identiques aux années précédentes à savoir :
Taxe Habitation
12,83 %
Taxe Foncier Bâti
16,61%
Taxe Foncier non bâti
38,27%
Le budget global des centres de loisirs est de 260 000
euros, celui du PEDT est de 215 000 euros. Ils sont
financés par les familles, la CAF, l’Etat et la Commune.
G R A ND S
TR A V A U X
Près de 5,5 millions d’euros
investis pour améliorer le cadre
de vie des Avironnais
Remise aux normes sanitaires de trois réfectoires, construction d’une
école, réhabilitation du chemin Mazeau, bouclage des travaux de
voirie de la future zone d’aménagement du bas du Tévelave et
création d’un nouveau réseau d’assainissement des eaux usées
dans le secteur Mélina : l’année 2015 affiche un beau bilan en ce qui
concerne l’amélioration du cadre de vie des Avironnais.
- Réfectoires
De juin 2015 à décembre 2015, trois écoles des Avirons – l’école élémentaire Marcel Le
Guen au Tévelave et les écoles élémentaire et maternelle Thérésien Cadet du quartier de
Ravine Sèche- ont bénéficié d’une remise aux normes sanitaires complète pour respecter
le protocole de « la marche en avant ». Celui-ci organise la chaine de travail du réfectoire
de façon à respecter des règles d’hygiène et de sécurité alimentaire. Propreté des murs
et des plafonds, nouveau matériel d’équipement pour l’office, sols souples, plafonds
acoustiques et peintures pour les réfectoires. Coût total : 532 000 euros HT financés à
90% par la Région.
Désormais, les six restaurants scolaires sont rénovés ou neufs, ce qui permet d’accueillir
les enfants dans des conditions d’hygiène et de confort optimales.
- École du Ruisseau
Construite pour désengorger l’école Paul Herman et la maternelle du Centre, la nouvelle
école du Ruisseau a été construite en un temps record, de janvier à juillet 2015, pour une
ouverture dans les temps, à la rentrée d’août 2015. Cinq classes en structures modulaires
et un réfectoire de 100 m2 ont été livrés, de même qu’une aire de jeu pour les petits et
un plateau sportif. L’école a ouvert avec une petite section et un CP, soit 52 élèves. Dès
2016, des travaux devraient démarrer pour compléter l’école, avec la création de trois
classes supplémentaires qui seront ouvertes petit à petit. L’école du Ruisseau sera alors
équipées de 8 classes, soit un cursus complet de la Petite Section au CM2.
Coût total : 1,5 millions d’euros financés à hauteur de 900 000 euros (60%) par la Région.
- Réhabilitation du chemin Mazeau
Parallèlement à l’école, les 800 mètres du chemin Mazeau, qui la dessert, ont
entièrement été réhabilités. Cette voie était en effet sous dimensionnée par rapport aux
nouveaux besoins du quartier. À l’occasion de ce chantier, un raccordement au réseau
d’assainissement des eaux usées a été créé, le réseau d’éclairage public a été enterré et
un parking pour l’école a été aménagé. Coût total : 1,5 millions d’euros pris en charge
par la Ville.
- Voirie de la zone AUS
Les travaux d’aménagement de la zone AUS, en bas du Tévelave, ont été bouclés en
août 2015. Il s’agissait de créer une nouvelle voie de liaison, baptisée chemin Bertin, avec
l’ensemble des réseaux nécessaires pour desservir la future ZAC.
Coût total : 1,9 millions d’euros (avec une participation de 670 000 euros de l’Etat et
230 000 euros de la CIVIS).
- Assainissement secteur Mélina
Pour préserver le captage Banane, très important pour la commune, des travaux
d’assainissement des eaux usés pour une vingtaine d’abonnés du quartier ont été réalisés.
Coût total : 252 000 euros pris en charge en partie par l’Europe et par l’Office de l’Eau.
E d u c a t i o n
a r t i s t i q ue
1000 élèves sensibilisés
à la culture en 2015
De la maternelle au lycée, de l’école aux équipements culturels de la ville, du temps scolaire
au temps périscolaire, l’éducation artistique est une réalité aux Avirons. En 2015, plus de 1000
élèves ont été sensibilisés à l’art et à la culture, dans les trois écoles primaires, l’école maternelle
et le collège de la ville. À la tête de cette sensibilisation : le service culturel des Avirons.
Depuis mars 2012, un outil formidable permet à
la ville de coordonner la sensibilisation des élèves à
la culture : le Contrat Local d’Education Artistique
(CLEA). Ce plan d’éducation artistique, signé par
la Ville, la DACOI, la CIVIS et la DAAC, favorise
les initiatives d’actions et de projets dans le cadre
d’un parcours d’éducation artistique et culturelle,
au bénéfice des enfants et des jeunes, de la crèche
au lycée. Le moteur et le coordonateur du CLEA est
le service culturel de la Ville, dont Miguy Payet est
la responsable. « Notre objectif est de sensibiliser
les enfants à la culture pour les emmener vers la
fréquentation de nos lieux, comme la salle Georges
Brassens ou la médiathèque », explique-t-elle. Les
enfants sont le public de demain. La culture fait
partie de leur éducation et leur permet de s’ouvrir
au monde.
Le CLEA favorise donc la rencontre entre les jeunes
et les artistes en permettant l’intervention de ces
derniers en milieu scolaires : une dizaine d’ateliers
différents ont été menés dans les établissements
scolaires. Inscrits dans la durée, ils permettent
d’accompagner un véritable projet de classe jusqu’à
la valorisation finale du travail des élèves.
La Ville des Avirons finance l’essentiel du budget
du CLEA, soit 24 165 euros – sans compter les
20 sorties en bus financées par la CIVIS pour un
budget de 4000 euros-. Mais l’implication de la Ville
se manifeste aussi et surtout dans l’engagement
infatigable du service culturel de la ville, à la fois
coordonateur, mais également initiateur de projets.
Quelques exemples
Six projets culturels sur les thématiques des arts du spectacle et des arts visuels ont été réalisés dans les
écoles primaires de la ville. Production et écriture de saynètes par Catherine Saget de Théâtrenfance,
sensibilisation aux percussions et au chant avec Willy Philéas du groupe Groove Lélé, sensibilisation
aux spectacles vivants, avec trois spectacles proposés dans les écoles, création d’une bande dessinée
avec Danielle Merca, sensibilisation à la calligraphie proposée par la médiathèque, sensibilisation à la
photographie avec Thomas Giraud.