Fabricant de compositions florales - Institut National des Métiers d`Art

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Fabricant de compositions florales - Institut National des Métiers d`Art
Chaumier
Les métiers liés
à l'architecture
Ardoisier
Briquetier
Chaumier
Couvreur : fabricant et
restaurateur de toitures
spéciales
Couvreur ornemaniste
Escaliéteur
Fabricant de girouettes et
d’éléments de faîtage
Fabricant et restaurateur
de charpentes
Charpentier de marine
Fabricant et restaurateur
de dallages
Fabricant et restaurateur
de toitures
Lauzier
Maçon
Maître-âtrier
Menuisier
Métallier-serrurier
Parqueteur
Paveur-dalleur
Chaumier
Métier
Utilisant les matériaux naturels disponibles dans un environnement proche, nos ancêtres ont
très tôt couvert leurs toitures de différents végétaux tels que la brande (terme désignant les
diverses plantes des sous-bois comme les bruyères, les ajoncs, les genêts ou les fougères), le
chaume ou le roseau.
Issu du latin calamus (tige de roseau), le terme générique de chaume désigne toutes sortes de
tiges de céréales, et notamment la paille de blé ou de seigle, propres à couvrir les toits des
bâtiments. Ainsi, le chaumier tient son nom du matériau qu’il mettait traditionnellement en
œuvre. Aujourd’hui, cette diversité de végétaux employés pour couvrir les toits a quasiment
disparu au profit du roseau.
L’emploi du chaume ou du roseau comme matériau de couverture nécessite que la toiture
présente une pente supérieure ou égale à 45°. En effet, le toit doit être pentu afin de
favoriser l’écoulement de l’eau de pluie le long des tiges.
Le support de la couverture se compose des chevrons de la charpente sur lesquels le chaumier
cloue des liteaux en les disposant perpendiculairement à la ligne de pente. Les liteaux sont
des pièces de bois de petite section carrée ou rectangulaire, sortes de tasseaux.
L’espacement entre les liteaux dépend de la longueur des roseaux : si le roseau est court,
l’espacement est réduit. Provenant de la récolte de roselières, les brins de roseaux sont liés
en bottes dites javelles mesurant environ 25 cm de diamètre et au minimum 1,20 m de
longueur et sont ainsi prêts à l’emploi.
Il existe différentes méthodes de pose.
Selon la méthode verticale, le chaumier dispose les bottes de roseaux sur les liteaux par
« passées » ou rangées verticales successives, en commençant par la rive latérale droite du
toit (ligne délimitant le bord latéral droit du pan de toiture). La progression du travail se fait
depuis l’égout (ligne basse du versant d’un toit) jusqu’au faîtage (intersection de deux
versants formant la ligne la plus haute du toit). Le chaumier aligne d’abord trois ou quatre
bottes de roseaux côte à côte, le pied des tiges orienté vers le bas. Ces bottes forment
l’égout du toit. Ensuite, il pose à nouveau trois ou quatre bottes légèrement décalées vers le
haut, celles-ci recouvrant les roseaux précédemment posés. Il poursuit ce travail de
recouvrement jusqu’au faîtage. Au fur et à mesure de son avancée, le chaumier enfonce des
piquets d’arrêt dans les bottes afin de maintenir le roseau. Puis, il recommence un nouveau
rang à partir de l’égout. Pour fixer le roseau sur les liteaux, le chaumier se munit d’une
aiguille (souvent un fer à béton incurvé) autour de laquelle a été enroulé du fil de fer
galvanisé ou parfois du fil de cuivre ou d’inox. Il fait passer l’aiguille à travers toute
l’épaisseur de roseau et en dessous des liteaux et la fait ressortir de façon à former des
ligatures entourant chacune des bottes de roseaux. Les bottes sont ensuite tapées au niveau
du pied des roseaux à l’aide d’une palette puis leur lien est définitivement serré. Afin
d’obtenir une pente très régulière, le chaumier tasse, harmonise et lisse le chaume en le
battant avec une palette, batte ou taloche, puis peigne longuement le roseau avec un racloir
métallique.
Si la méthode de pose est horizontale, la progression du travail se fait par rangs horizontaux
de l’égout jusqu’au faîtage, la première rangée posée formant le talon de la couverture.
Les méthodes de pose horizontale et verticale sont les plus répandues mais on peut observer,
en fonction des traditions régionales, d’autres méthodes et notamment la méthode
camarguaise suivant laquelle la progression se fait en escalier. Quelle que soit la méthode
utilisée, l’épaisseur constante du matériau, la qualité de serrage des roseaux et le principe
de recouvrement des bottes sont toujours respectés, assurant ainsi l’étanchéité de la toiture.
Le chaumier se charge de l’entretien, de la réparation ou de la réfection des toitures en
chaume ou en roseaux. Pour l’entretien, il procède au démoussage de la toiture (opération
consistant à enlever les mousses qui peuvent se former sur le roseau) et lisse le roseau.
Lorsque des zones du toit sont endommagées, il réalise un repiquage, opération qui consiste à
remplacer des bottes de roseaux de la couche supérieure trop abîmée. Pour les couvertures
en très mauvais état, le chaumier procède à l’opération de dépose, c’est-à-dire qu’il enlève
le chaume érodé, puis il fixe de nouveaux liteaux sur lesquels il posera une nouvelle
couverture de chaume ou de roseaux.
Formations
Formation initiale
Différentes formations préparent au métier de couvreur, en revanche, il n’existe aucune
formation dédiée au métier de couvreur chaumier.
Niveau V (Niveau équivalent au brevet d'études professionnelles - BEP, au certificat d'aptitude
professionnelle - CAP)
CAP couvreur, 2 ans.
BEP technique du toit, 2 ans.
Niveau IV (Niveau équivalent au Bac, au bac technologique, au brevet de technicien - BT, au
brevet des métiers d'art - BMA, au bac professionnel - Bac Pro)
Baccalauréat professionnel patrimoine bâti, 2 ans (mise en application prévue en 2008).
BP couvreur, 2 ans.
Niveau III (Niveau équivalent au Bac + 2, au brevet de technicien supérieur - BTS, au diplôme des
métiers d'art – DMA)
BTS charpente-couverture, 2 ans.
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Sur le site http://www.onisep.fr, consultez la liste des établissements qui proposent ces
formations.
Formation professionnelle continue
L’Association nationale des couvreurs chaumiers a mis en place une formation spécifique afin
de répondre aux difficultés de recrutement et pallier l’absence de formation qualifiante en
chaume. Cette formation destinée aux salariés d’entreprises de couverture est dispensée au
CFA du bâtiment d’Evreux (27), se déroule en alternance sur une année et permet d’être
reconnu couvreur chaumier de niveau II correspondant au titre d’ouvrier professionnel dans la
convention collective du bâtiment.

Retrouvez toutes les adresses des organismes de formations initiales et professionnelles
continues dans les métiers d’art en consultant notre base de données sur notre site Internet :
http://www.institut-metiersdart.org/
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Retrouvez le schéma des formations aux métiers d’art sur notre site Internet :
http://www.institut-metiersdart.org/
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Sur le site http://www.moveart.org/, retrouvez toutes les adresses des centres de
formations en Europe.
Environnement
De tradition ancestrale, les toitures végétales étaient très répandues sur la totalité du
territoire. En effet, le chaume était le matériau de couverture le plus couramment employé
depuis les Gaulois jusqu’à la fin du XVIII e siècle. Ce type de toiture a progressivement été
remplacé par des toitures en tuiles et en ardoises. De nos jours, il subsiste des toitures en
chaume localisées essentiellement en Normandie, en Brière et en Camargue mais aussi dans
quelques régions comme la Bretagne, l’Auvergne, le Nord-Pas de Calais, le Limousin…
Cependant, elles ne représentent qu’une part infime du marché global de la couverture.
S’attachant à valoriser le patrimoine bâti et notamment les chaumières, certains parc
naturels régionaux ont mis en place différentes actions. Ainsi, le Parc naturel régional des
Boucles de la Seine Normande a créé la « Route des chaumières » jalonnée par une centaine
de chaumières. Le Parc naturel régional du Vercors a lancé l’opération « Toit de chaume »
ayant notamment pour objectifs d’encourager le caractère traditionnel du patrimoine bâti
par la réalisation de toits de chaume et de retrouver les savoir-faire traditionnels du Vercors
en les adaptant aux exigences économiques actuelles. Pour répondre à la nécessité de
préserver son patrimoine bâti, le Parc naturel régional de Brière a mis en place un service de
conseil architectural dédié aux propriétaires de chaumières souhaitant construire ou rénover
ces bâtiments typiques. Il propose également des subventions d’aide à l’emploi du chaume.
Ce programme de sauvegarde a permis le maintien et la revalorisation de ce patrimoine
spécifique et l’on dénombre aujourd’hui, sur l’ensemble du territoire du Parc, plus de 3000
toitures végétales couvrant aussi bien des habitations que des annexes et représentant 60%
des chaumières françaises.
On recense actuellement en France une centaine de chaumiers salariés et 75 entreprises
artisanales inscrites au répertoire des métiers.
Organismes professionnels
Association nationale des couvreurs chaumiers (ANCC),
67, rue Tal Coat, 27000 Evreux.
Tél. : 02 32 23 50 58. Fax : 02 32 28 10 45.
[email protected]
http://www.chaumiers.com/
Créée en 1996, l’Association nationale des couvreurs chaumiers a pour objectifs de regrouper
l’ensemble des chaumiers exerçant en France et de représenter et défendre leurs intérêts ;
de définir une politique professionnelle ; de mener des actions d’informations et de
formations. Elle promeut les toitures en chaume, le travail des chaumiers et la qualité
professionnelle à travers sa participation à des salons, des expositions et des démonstrations.
Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB),
2, rue Béranger, 75140 Paris Cedex 03.
Tél. : 01 53 60 50 00. Fax : 01 45 82 49 10.
[email protected]
http://www.capeb.fr/
Organisation professionnelle représentant les professionnels de l’artisanat du bâtiment. Elle
défend les intérêts matériels et moraux du secteur, promeut et représente les métiers devant
les instances de concertation et de décision et auprès du grand public. Elle organise des
journées nationales d’étude et édite la revue «Le bâtiment artisanal ». La CAPEB possède une
bibliothèque comprenant plus de 2000 ouvrages techniques sur tous les corps de métiers du
bâtiment et dont l’accès est réservé uniquement à ses adhérents.
Fédération française du bâtiment (FFB),
33, avenue Kléber, 75784 Paris Cedex 16.
Tél. : 01 40 69 51 00. Fax : 01 47 23 58 77.
http://www.ffbatiment.fr
La fédération qui regroupe 56000 entreprises adhérentes dont 41000 artisanales représente
les salariés de la profession, les défend auprès de l’administration, des pouvoirs publics, des
décideurs économiques et des acteurs de la construction. Elle comporte en son sein le Conseil
de l’artisanat, instance créée en 1959 et entièrement dédiée aux entreprises artisanales. Elle
édite la revue technique « Bâtimétiers » diffusant les informations issues d’une veille
technologique et réglementaire portant sur l’ensemble des métiers du secteur du Bâtiment.
Groupement français des entreprises de restauration de monuments historiques (GMH),
7, rue la Pérouse, 75784 Paris Cedex 16.
Tél. : 01 40 69 51 68. Fax : 01 47 20 06 62.
[email protected]
http://www.groupement-mh.org
Instance nationale représentative qui assure notamment la liaison entre les professionnels de
la restauration de monuments historiques et du patrimoine ancien avec leurs donneurs
d’ouvrages : direction de l’architecture et du patrimoine du Ministère de la Culture, DRAC,
collectivités locales, propriétaires privés, associations…
Qualibat,
55, avenue Kléber, 75784 Paris Cedex 16.
Tél. : 01 47 04 26 01.
[email protected]
http://www.qualibat.com
Organisme professionnel de qualification et de certification du bâtiment qui a mis en place
une nomenclature détaillée par activité et niveau de technicité.
Salons et manifestations
Journée du patrimoine de pays,
Annuel, juin,
Fédération Patrimoine-Environnement, LUR-20 rue du Borrégo, 75020 Paris
Tél. 01 42 67 84 00. Fax 01 42 67 53 46.
[email protected]
http://www.journeedupatrimoinedepays.com
Organisée notamment par la Fédération nationale des associations de sauvegarde des sites et
ensembles monumentaux (Patrimoine-Environnement), cette manifestation, lancée en 1998, a
pour vocation de faire connaître le patrimoine régional français : le bâti et les paysages ainsi
que les savoir-faire et les métiers traditionnels. Elle est l’occasion de visiter certains sites
historiques, des ateliers d’artisans, des chantiers de restauration du patrimoine…
Salon international du patrimoine culturel à Paris,
Annuel, novembre,
Atelier d’Art de France, 6, rue Jadin, 75017 Paris.
Tél. : 01 44 01 08 30.
http://www.patrimoineculturel.com
Plus particulièrement consacré à l'origine aux restaurateurs, le salon du patrimoine culturel
s'est progressivement ouvert à tous les acteurs de la conservation, de la restauration et de la
mise en valeur du patrimoine mobilier et immobilier. Salon tout public.
Concours
Prix de sauvegarde VMF,
93, rue de l'Université, 75007 Paris.
Tél. : 01 40 62 61 71. Fax : 01 45 51 12 26.
http://www.vmfpatrimoine.org/
L’association Vieilles maisons françaises décerne chaque année différents prix lors de son
concours national de sauvegarde du patrimoine bâti, réservé aux adhérents. Les thèmes des
prix sont variés et correspondent à la diversité des besoins des adhérents et aux souhaits des
mécènes.
Prix Avenir Métiers d’Art - INMA,
Annuel, remise de prix : date variable.
Remise des dossiers : 31 mai de l’année en cours.
Institut National des Métiers d’Art - 23, Avenue Daumesnil, 75012 Paris.
Tél. : 01 55 78 85 85. Fax : 01 55 78 86 17.
[email protected]
http://www.institut-metiersdart.org
Les Prix Avenir Métiers d’Art – INMA, en partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD, sont destinés à mettre en valeur de jeunes talents futurs acteurs de la vie
économique dans ces métiers d'excellence.
Ils ont pour objectif d'encourager et de valoriser les savoir-faire spécifiques aux métiers d'art
à travers les œuvres réalisées par les élèves de lycées professionnels, d’écoles techniques, les
jeunes en formation en alternance et les étudiants des écoles d'art, de niveau V, IV et III.
Le 1er Prix de chaque région et de chaque niveau recevra de l’INMA un chèque d’une valeur de
250€ ainsi qu’un diplôme. Les lauréats régionaux bénéficieront également des avantages du
CLUB Avenir Métiers d’Art, grâce au partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD : séjour de deux jours à paris, rencontres avec des professionnels, visite de musées,
ateliers, etc. et exposition de leurs œuvres à Paris, en vue du prix national.
Les 1ers Prix nationaux recevront 750€ ainsi qu’une bourse de 6000€ de la Fondation Michelle
et Antoine RIBOUD. Les deuxièmes Prix nationaux seront dotés d’une somme de 450€ et les
troisièmes d’une somme de 300€. Ces dotations seront complétées par un diplôme et un appui
en termes de communication et de promotion.
Sources d’information
Organismes
Fondation du Patrimoine,
Hôtel de Vigny, 10, rue du Parc royal, 75003 Paris.
Tél. : 01 53 67 76 00. Fax : 01 40 70 11 70.
[email protected]
http://www.fondation-patrimoine.com
Ayant pour objectif de promouvoir la connaissance et la conservation du patrimoine national,
la Fondation du Patrimoine s’attache à l’identification, à la préservation et à la mise en
valeur du patrimoine non protégé. À travers les différentes actions qu’elle mène, elle
contribue à la sauvegarde des monuments, édifices, ensembles mobiliers ou éléments
remarquables des espaces naturels ou paysagers menacés de dégradation, de disparition ou
de dispersion.
Maisons paysannes de France,
8, passage des Deux Sœurs, 75009 Paris.
Tél. : 01 44 83 63 63. Fax : 01 44 83 63 69.
[email protected]
http://www.maisons-paysannes.org/
Fondée en 1965, l’association Maisons paysannes de France a pour but de participer à la
sauvegarde des maisons paysannes traditionnelles en encourageant et favorisant leur
entretien et leur restauration selon les techniques et les savoir-faire propres à chaque
région ; de protéger le cadre naturel et humain des maisons paysannes ; de promouvoir une
architecture contemporaine de qualité, s’intégrant dans les sites et utilisant des matériaux
sains.
Vieilles maisons françaises,
93, rue de l'Université, 75007 Paris.
Tél. : 01 40 62 61 71. Fax : 01 45 51 12 26.
http://www.vmfpatrimoine.org/
Fondée en 1958 et regroupant aujourd’hui près de 20 000 adhérents, l’association Vieilles
maisons françaises intervient auprès des pouvoirs publics afin de faire respecter l’intégrité
des édifices anciens et leurs abords.
Par la mise en place de nombreuses actions (revue, concours, participation aux Journées du
Patrimoine, création d’un label Patrimoine Historique…), elle joue un rôle de connaissance et
de sauvegarde du patrimoine historique et paysager auprès d’un large public. Elle mène aussi
des actions d’information et de formation auprès des jeunes, scolaires et futurs
professionnels du patrimoine.
Lieux ressources
Association ouvrière des compagnons du devoir du Tour de France (AOCDTF),
82, rue de l'Hôtel de Ville, 75004 Paris.
Tél. : 01 44 78 22 50. Fax : 01 42 71 10 19.
[email protected]
http://www.compagnons-du-devoir.com/
Parallèlement à ses activités de formation, de recherche et de publication, l'association
informe sur les métiers du compagnonnage à travers la Bibliothèque des compagnons du
devoir et la Librairie du compagnonnage.
Fédération compagnonnique des métiers du bâtiment (FCMB),
7, rue Petit, 75019 Paris.
Tél. : 01 42 02 06 23. Fax : 01 42 03 23 03.
[email protected]
http://www.compagnons.org
Outre son rôle de formation à différents métiers du bâtiment dans la tradition du
compagnonnage, la fédération retrace au sein de ses musées l’histoire des compagnons et de
leurs métiers et possède une librairie dédiée au compagnonnage. Avec les Meilleurs ouvriers
de France, elle est à l’initiative de la création de la Cité des métiers et des arts à Limoges,
celle-ci possédant un centre de documentation ouvert au public, présentant les chefsd’œuvre réalisés par des compagnons et organisant des expositions temporaires sur les
métiers de la main.
Institut de la couverture,
Thomas Lesne, 2, rue Jules Verne, 35000 Rennes.
Tél. : 06 26 76 60 12. / 02 99 65 51 96.
[email protected]
http://www.institut-couverture.com
Fondé par l’Association ouvrière des compagnons du devoir du Tour de France, ce centre de
ressource et de recherche en couverture a pour objectif de développer les actions de
rencontre, de recherche, de mémoire et de formation.
Presse
Le Bâtiment artisanal,
Mensuel,
CAPEB, 2, rue Béranger, 75140 Paris Cedex 03.
Tél. : 01 53 60 50 00. Fax : 01 45 82 49 10.
[email protected]
http://www.capeb.fr/
Magazine des artisans du bâtiment présentant des sujets d’actualité, des dossiers de fonds,
des informations fiscales et sociales et une rubrique formation.
Maisons paysannes de France,
Trimestriel,
Maisons paysannes de France, 8, passage des Deux Sœurs, 75009 Paris.
Tél. : 01 44 83 63 63. Fax : 01 44 83 63 69.
[email protected]
http://www.maisons-paysannes.org/
Cette revue présente la diversité des architectures de pays. Elle fournit des exemples de
réalisation, des notes techniques de construction, des conseils d’entretien ou d’aménagement
respectueux des traditions et des informations juridiques. Elle renseigne aussi sur l’actualité
de l’association tant au niveau départemental que national.
Vieilles maisons françaises,
5 fois par an,
93, rue de l'Université, 75007 Paris.
Tél. : 01 40 62 61 71. Fax : 01 45 51 12 26.
http://www.vmfpatrimoine.org/
Cette revue comporte une étude d’une quarantaine de pages menée par des spécialistes sur
l’ensemble de l’architecture ancienne d’un « pays » de France et propose différentes
rubriques concernant les acteurs du patrimoine, les jardins, l’actualité (fiscalité, sauvegarde,
restauration, expositions, livres) et les actions de l’association.
Sites Internet
http://www.chaumiers.com/
Ce site présente l’Association nationale des couvreurs chaumiers et les différentes actions
qu’elle mène. Il dresse la liste des adhérents de l’association et fournit des informations sur
la formation de couvreur chaumier. Dans ses différentes rubriques, il propose l’historique du
chaume et une description du roseau et de la paille de blé ou de seigle.
http://www.capeb.fr/
Site de la Capeb : historique et missions du syndicat, organisation, professions représentées à
travers les UNA (unions nationales artisanales), chiffres clés de l'artisanat du bâtiment,
agenda, notes de conjoncture, dossiers thématiques.
http://www.compagnons-du-devoir.com/
Site de l’Association ouvrière des compagnons du devoir du Tour de France. Rubriques :
présentation de l'association, ses formations, les 21 métiers du compagnonnage, le réseau
d'accueil, agenda des manifestations, présentation de la librairie, la bibliothèque et les
publications de l'association.
Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif et ne sauraient prétendre à
l’exhaustivité.
Pour en savoir plus…
Consultez le Centre de ressources de l’Institut National des Métiers d’art, une ressource
unique sur les métiers d’art :

Des bases de données documentaires sur l’actualité des métiers d’art et des bases de
données sur les formations, accessibles sur son site internet.

Un fonds documentaire spécialisé : revues, dossiers, ouvrages et plus de 750 films sur
ce secteur.
Institut National des Métiers d’art,
23 avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85
Ouvert du mardi au vendredi de 14 à 18 heures
[email protected]
http://www.institut-metiersdart.org/
© Centre de ressources, Institut National des Métiers d’Art, 23, avenue Daumesnil 75012 Paris, 2010