Compte rendu de la réunion du PEDT du 4 février 2014

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Compte rendu de la réunion du PEDT du 4 février 2014
MAIRIE DE CLAIX
Direction Education Jeunesse & Sport
REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES
COMPTE RENDU de la commission du mardi 4 février 2014
OBJET : PROJET EDUCATIF TERRITORIAL - REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES
PRÉSENTS :
DIRECTRICES D’ECOLES : MESDAMES BERGER, ROSIER, PANFILI ET BLACHE.
INSPECTION DE L’EDUCATION NATIONALE : MADAME VERNET.
REPRESENTANTS DE PARENTS D’ELEVES : MESDAMES DELIGNY, GUIGNARD ET COSTA.
ASSOCIATIONS CULTURELLES ET SPORTIVES : MESSIEURS CHIARAMELLA, BASSINI, COMBAZ ET LE GLOAHEC.
AGENTS COMMUNAUX : MESDAMES MICHAUD, BARRIER, BRUYERE, BELIN, GUAGLIATA, TACHKER ET MESSIEURS
GORGOGLIONE, BEAUME, CHAMOND ET PERRIER.
ELUS : MESDAMES IMBERT ET ALPHONSE. MONSIEUR BERARD.
EXCUSÉS :
Madame Couturier, représentant de parents d’élèves de l’école Saint Pierre
Monsieur Chaudourne, représentant des DDEN
Madame Imbert ouvre la séance en remerciant les personnes présentes et en excusant l’absence de
madame Couturier et de monsieur Chaudourne.
Monsieur Gorgoglione enchaine en présentant madame Vernet et madame Tachker qui n’étaient pas
présentes lors des réunions précédentes. Il précise que le groupe se réunira une 3ème et dernière fois
avant septembre 2014 ; Cette réunion aura pour objet de présenter le projet définitif. Jusque-là un
travail en sous-groupes, notamment entre la commune et les associations, s’opèrera.
Il présente l’ordre du jour :
1. Rappel des objectifs et principes du PEDT
2. Projection sur les dispositifs parascolaires
3. Organisation de l’accueil périscolaire: les temps libres et les Temps d’Activités Périscolaires
(TAP)
4. Les activités associatives: l’existant et les projections
5. Transport scolaire : résultat du sondage
6. Prochaines étapes
1. RAPPEL DES OBJECTIFS ET PRINCIPES DU PEDT
Monsieur Gorgoglione rappelle les objectifs éducatifs et principes généraux du PEDT énoncés lors de
la dernière réunion. Il insiste sur la cohérence et la complémentarité des dispositifs mis en œuvre dans
le cadre du PEDT par les acteurs principaux : éducation nationale, associations et commune.
Ceci dans le respect des champs de compétence de chacun.
Un diagnostic des activités organisées par la Mairie a été présenté lors de la dernière réunion. Ce
diagnostic est sur le point d’être étendu aux associations. Le résultat de ce travail doit permettre
d’aboutir à une organisation complémentaire et cohérente.
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2. PROJECTION SUR LES DISPOSITIFS PARASCOLAIRES
M Gorgoglione présente les différents dispositifs potentiels à la sortie de classe de 15h45.
Les familles auront le choix de venir récupérer leurs enfants, de les inscrire au transport scolaire, ou
aux accueils périscolaires. Pour les activités associatives et l’école des sports, le transport des enfants
des écoles vers les sites pose question.
C’est au sein des accueils périscolaires, que les temps d’activités périscolaires (TAP) s’organiseront.
Concernant l’organisation des activités pédagogiques complémentaires (évolution de l’aide
personnalisée) qui relève de la compétence de l’éducation nationale, M Gorgoglione laisse la parole à
madame Vernet.
Mme Vernet précise que ces APC s’intègreront au nouveau projet d’école qui devra être réactualisé
pour la rentrée 2014.
Mme Rosier intervient pour préciser que les horaires actuels des APC sont différents selon les écoles
de Claix.
A Malhivert elles sont positionnées le soir après la classe. Elle précise que ces horaires ne doivent pas
pénaliser les enfants qui souhaitent pratiquer une activité le soir.
De plus, leur planification devient complexe lorsque les enseignants sont à temps partiels ; Certains
parents refusant une mise en place le vendredi soir.
A la demande de Mme Michaud, Mme Rosier confirme que ces APC ont pour but d’aider les élèves en
difficulté scolaire.
Mme Panfili précise qu’effectivement la priorité est aux enfants en difficulté scolaire mais aussi aux
élèves qui nécessitent un accompagnement plus spécifique dans certains domaines. (Par exemple, la
méthodologie, ou en maternelle, la timidité).
Mme Berger indique que le choix de l’école Claix Centre s’est porté à 3 fois 30 minutes les mardi, jeudi
et vendredi midi, ce qui permet une gestion plus simple que le soir. Suite aux conseils des maîtres,
l’équipe de Claix Centre souhaite maintenir cette organisation.
Mme Panfili souhaite également poursuivre les APC de 11h30 à 12h sur 3 jours.
En maternelle, les APC ont été refusées par certaines familles dont les enfants étaient inscrits au
transport scolaire.
Elle évoque également des problèmes d’organisation avec l’entretien des locaux.
Mme Rosier soulève le problème des locaux à l’école Malhivert.
Mlle Blache explique que la mise en place des APC le midi est avantageuse car beaucoup d’élèves de
l’école Saint Pierre sont résidents extérieurs.
M Gorgoglione questionne madame Vernet sur l’organisation future des APC et demande si une
cohérence locale peut être envisagée. Mme Vernet donne un accord de principe selon lequel chaque
école puisse organiser ses APC sur le temps de midi. Elle souhaite néanmoins une continuité des
actions pour qu’elles soient efficaces ce qui suppose des schémas de 3 fois 30 minutes au moins
chaque semaine ou 4 fois 30 minutes.
M Gorgoglione approuve ce principe mettant en avant que cette organisation permettra aux enfants
de terminer leur activité scolaire plus tôt. Cela permettra à tous les élèves d’allier activité scolaire et
activité périscolaire ou associative.
3. ORGANISATION DE L’ACCUEIL PERISCOLAIRE: LES TEMPS LIBRES ET LES TEMPS D’ACTIVITES PERISCOLAIRES
(TAP)
Concernant les accueils périscolaires du soir, plusieurs points sont évoqués : le découpage des
différents temps d’accueil, l’organisation du goûter, l’organisation des TAP et l’étude surveillée.
Mme Michaud indique que l’organisation du périscolaire est confiée sur chaque école à un
responsable de site.
Elle propose un découpage en trois : un temps récréatif de 15h45 à 16h30 ; des TAP de 16h30 à 17h30
et un accueil libre de 17h30 à 18h30. Elle précise que les TAP nécessiteront une participation des
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enfants du début à la fin et que, par conséquent, un accueil périscolaire libre de 16h30 à 17h30
permettra aux parents de récupérer leurs enfants quand ils le souhaitent.
M Gorgoglione rappelle les statistiques du périscolaire du soir :
- 20% des enfants quittent le périscolaire avant 17h30
- 30% des enfants restent après 18h
- 50% des départs se situent entre 17h30-18h.
Afin d’éviter d’accroître la fréquentation des enfants après 17h30, il propose que les TAP puissent finir
à 17h30.
Il rappelle également que l’horaire de fin du périscolaire a été évoqué lors des précédentes réunions.
Le constat est qu’il y a un réel besoin des parents qui se contredit avec la nécessité de raccourcir au
maximum les temps collectifs pour les enfants notamment les plus petits. Le débat reste ouvert à ce
sujet.
M Le Gloahec demande si les activités associatives ou périscolaires se réaliseront sur les écoles et à
quels horaires.
M Gorgoglione propose de figer les TAP de 16h30 à 17h30. Mme Guignard s’interroge sur la durée
d’une heure de TAP et demande si ce temps est suffisant pour réaliser une activité.
M Le Gloahec lui confirme qu’une heure de musique est largement suffisant.
M Gorgoglione le confirme également et précise que ces activités se dérouleront après une journée de
classe. Le point de vue de Mme Michaud va dans le même sens : il faut éviter de surcharger la journée
de l’élève autant que possible.
M Chiaramella se questionne sur le fait de figer une plage horaire.
M Le Gloahec demande si les associations pourront délocaliser ces TAP sur les sites associatifs.
M Gorgoglione apporte à nouveau des éléments sur ce sujet. Les TAP s’organiseront dans les écoles ou
à proximité (moins de 5mn à pied). Dans ce cadre, les enfants seront récupérés à l’école et la
commune pourrait faire appel aux associations pour encadrer ces temps sous forme de prestations.
A contrario, les associations continueront à proposer leurs activités sur leur site. Il leur appartient de
revoir leur organisation en fonction des nouveaux horaires scolaires.
L’ORGANISATION COMPLEXE DU GOUTER COLLECTIF
Mme Michaud explique que l’organisation du goûter collectif sera plus complexe à mettre en place en
raison du doublement des effectifs accueillis sur la tranche 15h45-16h30. Ceux-ci nécessiteront deux
services de goûter. Par conséquent, il faudra au moins 45mn pour que tous les enfants aient goûté.
Mme Bruyère explique plus précisément l’organisation à l’école Claix Centre où les effectifs déjà élevés
rendent obligatoire une prise sous forme de self pour les élémentaires. Elle indique que certains
enfants préfèrent aller jouer plutôt que goûter assis. Les enfants maternels sont, quant à eux, répartis
dans deux réfectoires afin de goûter au calme et assis. Soucieuse de la qualité de ce temps, elle reste
très dubitative sur l’organisation d’un goûter en deux services.
M Gorgoglione rappelle que les contraintes de chaque école sont différentes et que les organisations
ne peuvent pas être transposables de l’une à l’autre. Cependant, les services doivent être équitables.
M Perrier évoque également les problèmes de locaux sur Malhivert : il sera impossible de faire gouter
les enfants en même temps et de gérer les allers et venues des élèves entre le réfectoire et les salles
de périscolaire.
Par ailleurs M Gorgoglione précise qu’au-delà des problèmes d’organisation, se pose celui des enfants
qui goûteront au deuxième service mais qui seront récupérés par leurs parents avant même d’avoir
goûté.
Pour lui ce temps doit apporter un confort aux enfants. Il craint que ce ne soit plus le cas l’an prochain.
Un goûter tiré du sac serait une réponse possible où seuls les enfants maternels seraient assis à table.
Les élémentaires le prendraient sous le préau ou dans la cour.
Il questionne les parents sur cette possibilité.
Mme Deligny, consciente de la complexité de cette organisation, demande si le goûter collectif peut
être maintenu pour les maternels. Selon elle, ce système permettrait à tous les enfants d’avoir les
mêmes goûters.
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Mme Guignard ajoute qu’il y a des risques de vols entre les enfants.
Mme Costa trouve dommage de supprimer ce temps convivial.
Mme Berger intervient en expliquant que les enfants se comportent bien dans l’ensemble et savent
partager.
Mme Michaud précise que les fruits, yaourts, et autres desserts non consommés à midi pourraient
être proposés à ceux qui n’en ont pas.
M Gorgoglione comprend la position des parents, il précise que ce n’est pas le principe du goûter
collectif qui est mis en cause mais seulement son organisation complexifiée qui va à l’encontre d’un
temps d’accueil de qualité.
ETUDE SURVEILLEE
M Gorgoglione revient sur l’organisation de l’étude surveillée qui est actuellement organisé de 16h30
à 17h30, les enfants ayant ¼ d’heure de temps libre.
Il soulève plusieurs problèmes : premièrement le fait que les devoirs écrits soient interdits, et le
second que l’apprentissage de leçons ou la lecture nécessitent un accompagnement plus individuel des
élèves, ce qui est contraire à son objet. M Gorgoglione remarque que le fait de proposer une étude
surveillée légitime les devoirs à la maison.
Il questionne les enseignants et parents sur le sujet.
Mme Berger explique que les études surveillées consistent à encadrer les devoirs.
Mme Panfili souligne que l’enseignant qui encadre l’étude surveillée est rémunéré par la commune et
est de ce fait un agent communal. A la demande de certains parents elle s’oppose au départ des élèves
de l’étude avant la fin de la séance car cela perturberait le groupe et l’organisation.
Mme Rosier précise qu’il n’y a pas d’étude surveillée proposée sur Malhivert car aucun enseignant ne
s’est porté volontaire.
Mme Vernet rajoute qu’une heure d’étude surveillée est trop longue pour les CP et CE1 qui n’ont que
très peu de devoirs à faire. Elle admet que les devoirs pour le cycle 3 puissent nécessiter plus de temps
(lectures, calcul mental, mémorisations diverses…) et que par conséquent les études surveillées sont
plus adaptées à ces élèves.
Elle comprend le souhait des parents d’élèves de vouloir bénéficier d’un endroit calme pour que les
enfants puissent faire leurs devoirs.
Pour les parents d’élèves, les études permettent aux enfants qui rentrent tard le soir de ne plus avoir à
se mettre à leurs devoirs. Les enseignants précisent que les devoirs ne sont pas donnés le jour pour le
lendemain et qu’ainsi les parents peuvent s’organiser.
TAP
Mme Michaud ouvre le débat en rappelant les points suivants :
Les objectifs des TAP sont de favoriser l’éveil, le développement et la sensibilité des enfants en
préservant les notions de plaisir, de bien-être, d’épanouissement et d’implication dans la vie en
collectivité.
Pour cela il est nécessaire de donner accès à tous les enfants à la pratique d’activités ludiques et
éducatives dans des domaines divers et variés.
Cependant elles ne doivent pas créer un « effet d’aubaine » qui aurait pour conséquence d’augmenter
les temps collectifs de l’enfant. Pour ce faire, une répartition des TAP sur la semaine est indispensable.
Pour permettre aux enfants d’avoir accès à plusieurs domaines d’activités, ceux-ci pourraient être
organisés selon des cycles de 9 semaines : par exemple le 1er cycle serait destiné au sport, le second
aux arts, le 3ème à l’environnement et le 4ème aux sciences ou aux NTIC.
Pour assurer une qualité de service, les encadrants doivent être qualifiés et/ou compétents : donner la
priorité aux acteurs éducatifs locaux s’avèrent opportun. Cependant, les associations pourront-elles en
plus de leurs activités encadrer des TAP?
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Ils doivent être organisés dans des espaces adaptés, leurs contenus et leurs durées doivent être
adaptés à l’âge (les cycles), les horaires doivent prendre en compte les rythmes quotidiens (la notion
de suractivité doit être au maximum évitée).
Les activités doivent être accessibles à tous : accessibilité géographique et financière.
Le choix de l’enfant doit être privilégié.
M Gorgoglione pose le problème de lisibilité en cas d’interventions des acteurs associatifs. Il cite
l’exemple de la musique en précisant que cette activité pourrait être proposée dans deux voire trois
cadres différents : le périscolaire, l’associatif et le temps scolaire. Cela impose une différenciation en
termes de contenu lisible par les familles. Le coût pour les familles serait également différent selon le
cadre choisi.
Pour les partenaires, ce problème de lisibilité ne se pose pas.
M Gorgoglione rajoute que l’on ne peut pas limiter le périscolaire. Avec la réforme, les effectifs vont
augmenter. Il sera étudié la mise en place de conventions d’utilisation des locaux et des personnes
seront nommées responsables de la gestion des salles. Il se questionne sur l’occupation d’autres
équipements que les écoles.
4. LES ACTIVITES ASSOCIATIVES : L’EXISTANT ET LES PROJECTIONS
M Chamond présente une analyse globale des activités en direction des enfants de 6 à 11 ans
organisées après l’école sur les sites associatifs.
Il en ressort une bonne mixité entre activités sportives et culturelles ; Une répartition cohérente des
activités dans la semaine ; et une offre à mieux répartir géographiquement.
Les activités sportives se pratiquent majoritairement sur le site de la Bâtie (6 associations) : seules 2
associations évoluent sur Pompidou – aucune à Malhivert.
Les activités culturelles et artistiques sur 3 sites :
- La Bâtie : 1 association
- Le Bourg : 2 associations
- Malhivert : 2 associations
- Peu d’activités culturelles sur pont rouge
M Gorgoglione souligne que le fait que certaines pratiques ne soient pas organisées sur un site
n’empêche pas les enfants de ces secteurs de les pratiquer.
Il évoque tout de même la possibilité de mieux répartir l’offre quand cela est possible.
PROJECTIONS
Pour le tennis, il s’agit de compenser la perte de public du mercredi matin. Il évoque la possibilité de
faire découvrir le tennis aux enfants dans les écoles, mais pose le problème des conditions météo.
C’est en ce sens que le club privilégie une organisation sur la bâtie.
Il propose que les activités démarrent à 16h pour que plusieurs groupes puissent être accueillis et
envisage une récupération des enfants directement à la sortie des écoles et un transport par minibus.
Pour l’école de musique, la priorité est de transposer les cours d’éveil du mercredi matin. Cette activité
pourrait être organisée dans le cadre des TAP afin d’ouvrir l’accès au plus grand nombre.
M Le Gloahec estime que délocaliser l’activité nécessite des locaux, il demande si des solutions
existent.
Accueillir les enfants à l’espace musical demeure la solution idéale.
Pour la MJC, il est possible de proposer un panel d’activités sportives ou culturelles sur les écoles.
M Chamond ajoute que pour les autres associations, telles Pirouette, GV, Dojo Claixois, des solutions
existent également mais qu’il convient que chaque association sonde ses adhérents afin que les
projections soient les plus justes possibles.
Pour conclure, M Chamond présente une hypothèse d’organisation sur les différents sites associatifs.
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Mme Berger soulève le problème des locaux dans les écoles et exprime sa crainte que les classes
soient utilisées. Ce point revient fréquemment de la part du corps enseignant.
M Gorgoglione note qu’il faudra que les conventions d’occupation des locaux scolaires soient les plus
précises possibles, et que les responsabilités de chacun soient respectées et assumées. Cependant, il
rappelle que la commune ne pourra pas limiter le nombre de places des accueils périscolaires. Les
espaces utilisés dépendront du nombre d’enfants accueillis et des activités proposées.
5. LE TRANSPORT SCOLAIRE
M Beaume présente le résultat du sondage que la commune a réalisé.
Il note le fort intérêt des familles sur le sujet en précisant le nombre important de retours (50% des
effectifs scolaires).
Les familles ont été questionnées sur l’utilisation de ce service à la prochaine rentrée.
Sur le transport du soir, 40% des familles affirment qu’elles utiliseront le transport scolaire à 15h45,
40% ne savent pas et 20% disent qu’elles ne l’utiliseront pas.
Sur la suggestion des parents de proposer ce service à 16h30, M Gorgoglione pointe plusieurs
problèmes : primo le nombre d’enfants à accueillir sur la tranche 15h45-16h30 déjà doublé
augmentera encore plus ; deuxièmement, cela obligerait aux 40% d’enfants de rester ¾ d’heure de
plus à l’école alors qu’ils pourraient rentrer chez eux.
Et enfin, cette organisation modifierait le service proposé aux familles, on passerait d’un service de
transport à un service d’accueil et de transport : ceci remettant en question la gratuité du service.
Pour le mercredi, 150 familles souhaitent l’utiliser.
6. PROCHAINES ETAPES
M Gorgoglione fait le point sur les prochaines étapes qui nécessiteront de travailler en sous-groupes.
-
Etude des autres dispositifs (garderie, navette centre de loisirs)
Validation des services et des organisations
Avancement de l’organisation des TAP
Avancement du partenariat avec les associations
Écriture du PEDT
Tarification des services
Convention d’utilisation des locaux scolaires
Monsieur Gorgoglione remercie tous les participants.
La séance est levée à 21h.
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