SOMMAIrE - SNEP
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SOMMAIrE - SNEP
Dépot légal n° 218 N° 5 Mars 2006 ISSN 03993329 Prix 30cts d’euros Imprimerie Spéciale FSU Directeur de la publication: M. LARGET CPPAP 1007 S 06246. Battre le fer tant qu’il est chaud ! C’est un printemps des plus chauds que nous vivons aujourd’hui dans le pays. Après plus de deux mois, la mobilisation contre le CPE et la précarité ne cesse de grandir. En effet, le mardi 28 mars a vu défiler près de 3 millions de personnes dans les rues de France dont 40M à Caen, 10M à Cherbourg, 3M à St Lo…du jamais vu de mémoire de militants. A cela s’ajoute la chute vertigineuse de la cote de popularité de Villepin (29% de favorable) et Chirac (33%). Les résultats des sondages expriment que 70% des français sont opposés à ce contrat. Nous avons du mal à comprendre pourquoi le Gouvernement Villepin reste obstinément sourd aux aspirations et revendications portées par une majorité de Françaises et Français. Caen Ensemble ils exigent un autre avenir pour la jeunesse mais au-delà pour tous les salariés, qu’ils soient du Privé ou du Public. Cette obstination porte en elle la crainte, qu’a ce gouvernement, du mouvement social. Il faut absolument étouffer la révolte qui gronde . Pour preuve, le Cabinet du Ministre de Robien, invite oralement les Recteurs à faire évacuer les lycées encore occupés, y compris en ayant recours aux forces de l’ordre. Car il va de soi que la victoire, pour le retrait du CPE, donnerait des ailes aux mobilisations et aux luttes futures. Car d’autres revendications, nous en avons ! Quelles soient générales : Déposé le vendredi 31 mars 2006 • Au delà du C.P.E. c’est le retrait de la loi sur « légalité » des chances qu’il faut exiger. • Défense et amélioration des services publics, de la protection sociale • Remise à plat de la loi sur les retraites , • Indexation des salaires sur le coût de la vie avec rattrapage immédiat en augmentant le point d’indice de 25%… Ou quelles soient spécifiques : • retrait de la Loi Fillon sur l’école • véritable « relance des ZEP » et pas celle à la sauce de Robien, • augmentation des postes aux concours, 1500 pour le C.A.P.E.P.S. • place de l’EPS qui soit dit en passant a rassemblé le 16 mars à Paris 10 000 Staps et PEPS…. La victoire qui se construit en cache bien d’autres. Pour cela, il ne faut pas lâcher la pression. S MMAIrE O Au contraire il faut appuyer sur l’accélérateur des luttes et enfin gagner face à ce gouvernement de combat. Nous en avons les moyens, pour cela il nous faut convaincre celles et ceux qui ne sont pas encore P.1 Edito entré-es dans l’action. P.2 Ambition L’ A.G. dans les établissements est le moment à privilégier pour évoquer les suites à donner au mouvement, il faut envisager la reconduction de la grève. L’intersyndicale nationale regroupant 12 organisations (salariés, étudiants et lycéens) appelle à une nouvelle journée d’action de grève Interprofessionnelle le mardi 4 avril. Il revient à chacun d’entre nous de faire que cette journée soit encore plus énorme que celle du 28. Pour un autre avenir pour la jeunesse, pour une autre société : Tous ensemble ! Tous ensemble ! Pour faire plier le gouvernement car la victoire est en Nous ! réussite P.3 C.N.E., C.P.E. ... P.4 FPC et mouvt inter P.5 Mouvement intra P.6 Les S.T.A.P.S. contre la précarité P.7 et 8 Syndicalisation Polo Lemonnier COLLEGES « AMBITION REUSSITE » : français, math, ……...chinois ) !!! N ous sommes content-es d'apprendre que 249 "réseaux" ont l'ambition de réussir. On pourrait croire à de vraies mesures afin de s'attaquer pour de bon au fléau que représente l'échec scolaire, d'autant plus quand il est concentré et massif. L'analyse des mesures, au-delà des effets d'annonce, montre une autre réalité. La limitation à 3 EP1 pour notre Académie 1) Collège Albert QUARD de CAEN. JAC- 2) Collège Les Provinces de CHERBOURG. 3) Collège Louise d’ALENCON. MICHEL (au lieu des 13) indique une première régression dans la prise en compte des difficultés. Les 10 autres devront-ils se contenter de ce qu'il reste d'ambition et de moyens ? Mais ne nous y trompons pas… ces établissements ne nageront pas dans le bonheur ! Comme tous les collèges, ils perdront d'abord un certain nombre d'heures (réduction des DHG, heures libres en 5ème et 4ème) avant de recevoir éventuellement "le plus" prévu dans le dispositif (les super-profs). A l'heure actuelle, nous ne connaissons pas le profil de ces postes pour notre Académie. Du côté des enseignements, la note de service préparant la rentrée (nous attendons toujours celle concernant les "ambitions réussite") indique une orientation quasi exclusive sur le socle. Le développement de l'apprentissage prend une place conséquente à tous les niveaux d'enseignement du collège et pour tous les établissements. Lors des assises nationales sur les ZEP, nous avions dénoncé la triple arnaque de ce dispositif : 1) Il réduit le nombre d'établissements concernés avec l'objectif (inavoué) de diminuer les moyens des autres dès la rentrée 2007. 2) Il substitue à tous les collèges les moyens nécessaires pour les redistribuer à quelques uns. 3) Il met en œuvre une déréglementation aussi bien pour les élèves (abandon de la totalité des enseignements pour tous-tes les élèves] que pour les personnels[mesures spécifiques de carrière] Ah! Si une vraie nouveauté ! "un effort devra être réalisé pour implanter l'enseignement du chinois notamment dans les établissements de l'éducation prioritaire" [circulaire de rentrée] Pour mieux délocaliser ? Nina CHARLIER C oncrètement au Collège Albert Jacquard (Chemin Vert à Caen), seul EP1 du Calvados, c’est une DHG présentée avec moins 13h…qui fait suite au retrait d’heures des années précédentes. Les 3 E.T.P * qui nous sont attribués hors DHG couvrent les moyens retirés. Ainsi nous ne pouvons « jouer » sur les structures : nombre de classes, groupes à effectifs allégés … Sur ces 3 ETP, un demi est affecté à la coordination du réseau et le reste pour profil. Que veulent les enseignants de l’établissement pour faire réussir leurs élèves ? Cette question n’est jamais posée dans ces termes !!! Il y aura des « super profs » en charge de préparer ce qui est bien de faire et les collègues « de base » appliqueront. D’enseignants concepteurs nous devenons enseignants applicateurs. Ce n’est pas cela dont les élèves, et nous, avons besoin. Polo LEMONNIER 2 CNE, CPE, vacataires, contractuels, postes aux concours, même (s) combat (s) !!! «Puisque la vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail ne le serait-il pas ? » N e nous mé- prenons pas, concernant le monde du travail, l’objectif plus ou moins Déclaration de Lau- dissimulé est rence Parisot Prési- très clair ; il dente du Medef.. s’agit de vider de sens les codes et règles actuels pour aboutir à une libéralisation totale du travail en France. Pour réussir, toujours la même stratégie, on culpabilise les plus faibles, on divise les catégories de travailleurs (PME, fonctionnaires, jeunes, diplômés…), on ment sur les intentions, on prend des bouts d’exemples extérieurs difficilement vérifiables par tout un chacun, souvent décontextualisés, on dit qu’on est les derniers au monde à être aussi ringards et stupides , on n’organise surtout pas le débat et la concertation qu’on juge par ailleurs essentiels, on passe les lois en force et on reste sourd aux manifestants auxquels on envoie les forces de l’ordre. Voilà la réalité et cette stratégie se retrouve à tous les niveaux décisionnels de l’état, y compris dans notre ministère : • La régionalisation des TOS, • Les nouvelles règles de remplacement, • L’apprentissage dès 14 ans, • La loi Fillon et son socle minimaliste, • La méritocratie pour l’accès à la hors classe, • La baisse des DGH, • La casse des ZEP, • Les assistants d’éducation recrutés par les chefs d’établissement • Le recours à la précarité (vacataires, contractuels…) Et pour l’EPS, • Le soit disant « trop de professeurs d’EPS », • Les mauvais spécialistes que nous serions, • La baisse de 50% des postes au CAPEPS, Aucun doute possible, après les mauvais coups reçus pour nos retraites, notre santé, c’est toute la société qui est revue et corrigée à la mode libérale et capitaliste. L’idée que nous avons et défendons de L’EPS à l’école repose sur une autre idée de la société basée sur la solidarité et le partage des richesses dont font partis les savoirs et les connaissances. Ne nous faisons pas non plus d’illusion, d’autres mauvais coups se préparent comme la remise en cause de la valeur des diplômes sur le marché de l’emploi. Et même si nous gagnons de temps en temps sur un point, • Les attaques de notre les combats ne seront pas terminés pour FPC… autant, surtout L’idée que nous avons Ne pas donner pour l’EPS que les moyens à et défendons de L’EPS nous serons soul’EPS de réussir à l’école repose sur vent seuls à dépermet à nos une autre idée de la fendre parce que détracteurs de société basée sur la loin des préoccuconstruire les solidarité et le partage pations immédiaarguments pour des richesses dont font tes de nos concinous fragiliser… partis les savoirs et les toyens (trouver Combien sommes connaissances. du travail, de la nous à avoir penourriture, un tit à petit acceptés de tra- logement…). vailler dans des conditions de Être uni-e-s pour défendre plus en plus insatisfaisantes notre profession c’est aussi (à deux dans un gymnase, APS s’engager et participer aux dans des espaces non prévus luttes plus générales, c’est pour elles (champs, salle de aussi lutter pour la place de classe, préfabriqués…), eml’EPS dans notre société. plois du temps des élèves non-conformes, bénévolat Alors ensemble ne baissons pour permettre à nos élèves pas les bras et luttons !!! d’apprendre à nager, skier, Francis LABY naviguer….) ? 3 FORMATION CONTINUE … OU FORMATION INTERROMPUE ? E xtrait de propos du Recteur le 7 octobre 2005 lors du conseil académique consultatif de la formation continue : dans notre académie : « Nous avons de grandes marges de progression dans le domaine de la formation continue » Et aujourd’hui ? Les dernières infos adressées à nos chefs d’établissement (courrier de M.BOISNARD responsable formation continue, mars 2006): Annulation des stages qui n’ont pas commencé pour arriver à une diminution de 20% de la formation !!! C’est là l’ambition affichée par notre gouvernement : travailler avec nos élèves sur nos acquis sans avoir le droit d’apprendre à renouveler nos pratiques, sans remettre à jour nos connaissances, sans prendre le temps de réfléchir à l’organisation de notre discipline. Dernière journée de l’Observatoire en suspens : notre IPR fait appel à notre militantisme. C’est certes montrer que nous sommes attaché-es à notre discipline mais c’est aussi accepter que l’EPS a peu d’importance et n’a plus guère de reconnaissance institutionnelle. Pour l’institution EPS rime avec TROP - trop de profs d’EPS. - ils participent beaucoup trop à l’UNSS (ils s’absentent de leurs établissements pour organiser et encadrer les compétitions). - ils se forment trop (nous sommes 80% à nous former tous les ans). ET POUR NOUS ? ALLONS NOUS RÉAGIR ? Si nous pensons que ça vaut le coup, alors il faut dénoncer les annulations de stage, la non prise en charge des frais de déplacements. Faisons des courriers, engageons des actions pour montrer notre mécontentement, et informez nous des situations pour que nous réussissions ensemble à les renverser. C’EST ENSEMBLE QUE NOUS PÈSERONS. C’EST ENSEMBLE QUE NOUS DEVONS REVENDIQUER NOTRE DROIT À LA FORMATION. N.FRANCOIS MOUVEMENT INTER-ACADEMIQUE BACLE COINUS DELATTRE DESPAS DRIES FOULLOUS GARANDEAU GUESDON Entrants dans l’académie EMILIE LYDIE'PA AURELIE BENJAMIN CELINE VALERIE SALWA MORGANE VERONIQUE Académie départ AMI CAE PAR VER ROU REN CAE ROU Sortants de l’académie AUTRICQUE PIERRE BERTHO-AMICE GERALDINE BRETON CELINE CARRE AGNES COURTEAUX STEPHANE COUTURIER ELODIE DEMOULIN JEAN-LUC DIVERRES YANN Acad. d'arrivée PAR REN CRE POI REN NAT GUA NAT HAMON HEUZE JOULIE-METIVIER LAGADEC LAMER-BADRE LAMIRE LE DANTEC LE HERISSE LE PADELLEC LEBARON LECARPENTIER LECUREUR FREDERIC JEAN-PHILIPPE GWENAELE JEAN MARIE SABINE VIRGINIE CECILIA MATHILD GILLES GAELLE MAXY BAPTISTE STEPHEN REN CAE CAE VER REN VER VER CRE ORL REN PAR CRE FLOUR GOEL GOUEZEC GROLEAU HAMEL LE MOIGN LEFORESTIER MARCHAND MESNIER MOREL NICOLAS PACEY ALAIN ALAIN BEATRICE JULIAN FRANCOIS DANY DOMINIQUE DAVID ERIC ALEXANDRE EMMANUEL ALINE REN NAT REN BOR CRE REN GRE DIJ REN VER LIL NAT LEGROS LEGROS LELONG LEROYER LEVILLAIN MACHETEAU MAGUET PUBREUIL RUHLMANN SAFFON VINCLAIR JEAN MARC SOAZIC VANESSA GERARD MATHIEU STEPHANE LAURENT NICOLAS OLIVIER JULIE PATRICIA VER VER PAR MAR ROU VER CAE ROU AMI CAE NAT PANTALEON PERRIN RICARD ROBIOLLE ROGER SEGAUD SERANDREI THUAL VALLAEYS MATHIEU GILDAS ANTOINE NICOLAS KEVIN JEROME NICOLAS VIANNEY FABIEN PAR REN VER VER ROU CRE VER NAT ROU 4 Mutations Intra…CALENDRIER 2006… DATE LIMITE DE PRISE EN COMPTE DES SITUATIONS FAMILIALES ET CIVILES 1er septembre 2005 (les années de séparation des années antérieures sont à considérer au 1er septembre) DOSSIERS MEDICAUX 7 avril date limite de dépôt des dossiers médicaux auprès du médecin conseil de l'académie de CAEN PHASE INTRA La saisie est fixé du 30 mars au 13 avril 2006 ACCUSE de RECEPTION 14 avril édition (dans les établissements) des formulaires de confirmation des demandes. Ne pas oublier de signer et retourner cette confirmation avant le 21 avril DEMANDES TARDIVES – MODIFICATIONS et ANNULATION des DEMANDES du 15 au 22 mai, Affichage sur SIAM des barèmes des candidats. En cas de désaccord avec le barème retenu, la correction doit être demandée par écrit, un coup de fil au service du Rectorat est recommandé. Bien évidemment, il faut en avertir les commissaires paritaires siégeant au groupe de travail. (C. Baës et M. Maguet) uniquement dans les cas de force majeure énumérés ci-dessous : - décès du conjoint ou d’un enfant - perte d’emploi ou mutation imprévisible et imposée du conjoint ; - mutation du conjoint dans le cadre d’un autre mouvement de personnels fonctionnaires - situation médicale aggravée. 24 mai date limite de réception des demandes tardives de participation, de modification ou d'annulation de mutation. RE-AFFICHAGE DES BAREMES MODIFIES 23 et 25 mai CAPA et FPMA 12 au 15 juin + publication des résultats REVISION D'AFFECTATION Dépôt dans les 8 jours après la publication des demandes de révision d'affectation relevant des cas de force majeure énumérés dans l'article 3 de l'arrêté du 14/10/2005. 5 Les étudiants de l'UFR STAPS de Caen rejoignent la lutte contre le CPE et la précarité. D ans le passé, les étudiants de l'UFR STAPS de Caen ont souvent mené des luttes de façon solitaire. Régulièrement taxés de "grévistes professionnels", ils se sont investis dans de nombreux combats, conscients que leurs conditions d'étude et d'emploi se dégradaient d'année en année. H é las, ces combats sont trop souvent resD'un simple point de tés corporaou vue pratique, maté- tistes alors, canriel mais aussi médiaà tique, la lutte propre tonnés notre UFR, aux STAPS ne peut malgré nos exister de façon disvolontés et sociée, en parallèle nos efforts ou en marge, des pour élargir manifestations les mouvecontre la précarité. ments et pour trouver du soutien auprès des autres UFR au sein de l'Université. Les grèves et les blocages autour des questions générales des réformes universitaires telles que le LMD ou la note taquet qui peut se définir comme une absurdité pédagogique, en sont des illustrations. Seulement aujourd'hui, alors que se dessinent les traits d'un grand mouvement, on ne peut plus faire cavalier seul. Après la grande manifestation parisienne du 16 Mars, où les STAPS et les enseignants d'EPS ont réussi un grand coût d'éclat grâce à une forte mobilisation, mais 6 où ils sont aussi restés en de s'interroger sur l'avenir marge de la manifestation de ceux qui échoueront au contre le CPE et la précarité, concours (un taux de réussite il apparaît désormais indis- qui avoisine les 5%) et sur la pensable de rejoindre ce mou- prolifération des contrats vement qui se veut unitaire, précaires dans l'Education Nationale. initié par les étuC'est pourdiants. L'EPS ne peut se quoi, les étudiants D'un simple défendre que si de STAPS ont fait point de vue pratique, nous défendons le choix de rejoinmatériel mais aussi l'école dans dre le mouvement médiatique, la lutte son intégralité. contre le CPE et propre aux STAPS ne contre la précarité, peut exister de façon dissociée, en parallèle ou en sous toutes ses formes d'exmarge, des manifestations pression. Alors que nous comprecontre la précarité. Il faut préciser que ce nons que notre mécontentemouvement, accompagné de sa ment général est dû à une povague de contestations, auto- litique globale fortement inrise largement l'expression fluencée par l'idéologie libéde nos revendications et l'af- rale et capitaliste, nous nous efforçons d'unir les luttes firmation de notre identité. On retrouve dans la pour massifier l'engagement. L'EPS ne peut se déplate-forme de revendications adoptée par l'assemblée fendre que si nous défendons générale de l'Université de l'école dans son intégralité. L'école quant à elle, Caen, la volonté de supprimer la loi d'orientation de F. Fillon dépend étroitement des choix avec sa définition du socle et des grandes lignes politicommun de connaissances ques de nos dirigeants. C'est un véritable profondamentales, qui exclut l'EPS et qui la relègue au sta- jet de société que nous désirons défendre au travers de tut d'optionnelle. De plus, une augmenta- ce mouvement avec des servition du nombre de postes ces publics de qualité, avec un dans la fonction publique à la réel code du travail, avec une hauteur des besoins est exi- protection sociale pour tous,... Ce mouvement et son gée. Ainsi, la diminution in- influence certaine sont peuttolérable des postes au CA- être une porte ouverte, une PEPS est prise en compte et occasion pour enfin reconquétrès vivement contestée. rir nos droits et nos acquis Enfin, s'il faut ajouter jusqu'aujourd'hui remis en des arguments pour prouver cause. que le combat des STAPS et BESNIER Sylvain étudiant de l'EPS s'intègre à celui (syndiqué à la FSE) contre la précarité, il suffit A lire absolument pour suivre l'actualité locale 14 et au delà. http://sd14.fsu.fr Parce que l’E.P.S. n’existe qu’historiquement à l’école, nous devons toujours la justifier (et aujourd’hui plus fortement encore!). Ensemble, nous sommes plus forts pour affirmer ce que nous pensons tous: l’E.P.S. contribue énormément au développement de l’individu. Parce que les revendications des collègues doivent être entendues pour leur discipline (programmes, installations…). L’Expérience syndicale ne doit jamais être oubliée pour aller de l’avant. La profession doit aussi être représentée dans différentes instances pour rappeler les règles et droits des personnels (mutations, choix politiques, budgétaires…). Parce que le SNEP est le syndicat des profs d’E.P.S. pour les profs d’E.P.S. Sans collègues qui le font vivre, il ne peut exister et se développer. A travers une cotisation, on participe au budget pour les bulletins, pour les transports, pour les hébergements des militants (etc…). Nous rejoindre, à travers sa syndicalisation, certes, mais aussi en nous rencontrant, en prenant la parole, afin de se faire entendre et de faire évoluer « NOTRE » SNEP…. Voici quelques axes de travail (possibles grâce à l’organisation collective des profs d’E.P.S.) auxquels le SNEP participe activement à tous les niveaux… Besoin d’ un « R » plus solid’« R »? Concevoir le SNEP comme un espace de liberté, de dialogue et de réflexion sur la discipline; en s’extrayant des contraintes du métier de tous les jours (installations, classes surchargées…) Pour Accompagne « R » Se servir des expériences et connaissances pour accompagner les collègues pour résoudre leurs problèmes et faire avancer l’EPS (statuts, forfaits AS, installations, budget, etc…) Pour communique « R » Informer la discipline : comment fonctionne notre système, ce qui s’y passe. Que ce soit pour des choix nationaux ou locaux. Par les bulletins, mais aussi les sites internet nationaux et académiques… http://www.snepfsu.net http://www.snepfsu-caen.net Sites incontournables… à visiter Pour améliore « R » En intervenant dans différentes instances (Inspection Académique, Conseil Général, Régional…), le SNEP propose des solutions pour améliorer l’enseignement de l’EPS. Pour Forme « R » Donner les outils et expliquer aux collègues comment défendre la discipline dans leurs actions locales (Conseil d’Administration, installations, enjeux du métier…) Pour Agi « R » Pour être entendus, le SNEP doit être en mesure de se faire entendre. Par l’action (construite et réfléchie ensemble), à plusieurs, nous revendiquons une EPS de qualité pour nos élèves et une Éducation plus juste. C. BAËS • • • • • Nous « R » ejoindre... La cotisation ne coûte que 34% du prix annoncé (66% déductibles du montant imposable) Participer financièrement à cette entreprise solidaire Venir nous rejoindre pour participer avec vos idées, vos convictions Développer, renouveler (mutations obligent) l’outils départemental, faire entendre sa voix et ses idées... Le SNEP a toujours besoin d’augmenter son nombre de syndiqué-es (possibilité d’étaler les paiements). Sa représentativité dans toutes les instances s’en retrouve renforcée. 7 8