extrait du registre des délibérations du conseil municipal procès
Transcription
extrait du registre des délibérations du conseil municipal procès
PVCM-2013-11 ²DÉPARTEMENT DE LA SEINE MARITIME __ ARRONDISSEMENT DU HAVRE __ RÉPUBLIQUE FRANÇAISE __ EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL __ SÉANCE DU 18 NOVEMBRE 2013 VILLE DE GONFREVILLE L’ORCHER Place Jean Jaurès – B. P. 95 76 700 – Gonfreville l’Orcher __ SECRÉTARIAT GÉNÉRAL Objet : PROCÈS-VERBAL L’an Deux Mil treize le 18 novembre à dix neuf heures, le Conseil Municipal légalement convoqué le 5 novembre 2013 et le 14 novembre 2013, s’est réuni en session ordinaire à la Mairie sous la présidence de Monsieur LECOQ JeanPaul, Maire Étaient présents : Monsieur LECOQ Jean-Paul, Maire – Monsieur GUÉRIN Marc – Monsieur GARCIA Michel – Madame COUCHAUX-RÉMOND Nathalie – Madame PIQUENOT Annick – Monsieur BRUNEAU Alban – Madame HAUCHECORNE Sandra (à partir de 20 h 05) – Madame DOUMBIA Marie-Claire – Monsieur VATTIER Daniel, adjoints – Monsieur PIMOR Fabrice – Madame MALANDAIN Colette – Madame FOISSEAU Andrée – Madame LEROYER Yvette – Madame JOLY Chantal – Madame BEKHEDDA Marie-Aline – Monsieur LEBAS Pierre – Monsieur COLLET Marc – Monsieur CHAPELLE Bruno – Monsieur IMZI Ahcène (à partir de 19 h 45) – Mademoiselle RUSSO Julia – Madame DUBOSQ Fabienne – Monsieur ROLLAND Thierry – Madame NORDET Catherine Absents ayant donné pouvoirs : Madame HAUCHECORNE Sandra pouvoir à LECOQ Jean-Paul (jusqu’à 20 h 05) - Monsieur LEGOUT Gérard pouvoir donné à Monsieur VATTIER Daniel - Monsieur PELLETIER Cédric pouvoir à Madame RUSSO Julia - Madame FOURNIL Béatrice pouvoir à Monsieur GUÉRIN Marc Monsieur BONALAIR Pierre pouvoir à Madame COUCHAUX-RÉMOND Nathalie Monsieur PALFRAY Daniel pouvoir à Madame NORDET Catherine Absents excusés : Madame CADEC Carole – Monsieur IMZI Ahcène (jusqu’à 19 h 45) Secrétaire de séance : Madame RUSSO Julia p. 1 / 91 PVCM-2013-11 Monsieur le Maire Je vous demande de donner votre avis sur le procès-verbal de la dernière séance. Il n’a pas été rédigé ? Ce sera pour la prochaine fois alors. Le deuxième sujet concerne, vu l’urgence, le fait d’accepter d’ajouter une délibération à l’ordre du jour. Cette délibération concerne l’entreprise ISOPLAS. Vous connaissez la situation de l’entreprise, je vais la développer après. Des informations nous sont arrivées vendredi après-midi, et nous n’étions pas matériellement en situation de vous les faire porter 24 heures ouvrées avant cette séance. Donc nous la déposons sur table, mais il faut, comme le prévoit la loi, que le Conseil Municipal accepte la notion d’urgence. Accepter l’urgence ne veut pas dire que nous votons pour, mais que nous acceptons la question d’urgence. Ce qui place la délibération en toute légalité dans l’ordre du jour du Conseil et après nous débattrons sur le contenu. Chacun votera en son âme et conscience. Acceptez-vous l’urgence ? Personne ne s’oppose à cette question ? Accepté à l’unanimité. Merci beaucoup. Avant de dérouler l’ordre du jour, je vais vous proposer de regarder un film portant sur les constructions en face du magasin Leclerc, sur le Parc de l’Estuaire. Sur le terrain, une première pierre sera posée dans les prochaines semaines. La société qui développe ce projet est REDEIM. Ce projet a été présenté au MAPIC, le rassemblement international de tous les centres commerciaux organisé à Cannes, jeudi dernier. La Russie, le Kazakhstan, le Brésil, l’Argentine étaient présents …. Ainsi que les marques et les personnes qui font des affaires dans le commerce. REDEIM a choisi de présenter le projet de Gonfreville l’Orcher en utilisant des nouvelles technologies qui permettaient de s’y promener virtuellement, avec des lunettes, des ordinateurs, comme dans les jeux vidéo. Nous avions l’impression de nous « balader » dans le magasin. Ils avaient développé cela pour le présenter à tous les investisseurs qui pourraient s’installer ici. Vous allez voir dans le film le nom de marques de magasins qui ont déjà confirmé leur présence sur le site. Les autres ne sont pas encore annoncées dans le film car elles sont en cours de négociation. Certaines ont été signées vendredi soir. (Commentaires pendant la projection du film). La société qui a validé sa présence est GIFI qui quitte Montivilliers pour venir s’installer sur Gonfreville l’Orcher. Ce sont les conséquences des inondations. Une vraie dynamique s’installe sur ce parc. p. 2 / 91 PVCM-2013-11 Les promoteurs essaient de déplacer « CAP PNEU ». L’idée générale qui, pour l’instant se réfléchit, est de leur proposer, l’endroit qui se trouve sur les arrières de CONFORAMA – CASTORAMA, car il y a une zone logistique. Les promoteurs souhaitent aménager l’arrière de ces magasins, situés à l’entrée de la ville, pour en faire des devantures. Les nouveaux magasins auront leur devanture vers la route, leurs arrières face à face avec les arrières des magasins existants. Nous allons travailler, sur le terrain, au déplacement des uns et des autres, car il y a aussi la question de la Clinique Vétérinaire. Dans les prochains mois, nous aborderons ces sujets en détails. Ces enseignes sont enthousiastes, elles s’intéresseront aussi, et ce qui est plutôt bien, à ceux en difficultés situées sur le Camp Dolent. C’est un beau projet. Nous mettons aussi en place un forum pour l’emploi, en accord, après rencontre avec les futurs commerçants, de manière à avoir, soit des embauches définitives soit des embauches liées au déménagement. Par exemple, pour ceux qui déménagent, il y aura besoin de main d’œuvre, même si ce n’est que pour 2 ou 3 mois. L’idée, c’est de mettre en relation la population avec ceux qui investissent. Nous l’avons déjà fait sur le chantier avec des heures d’insertion pour des personnes habitant à Gonfreville l’Orcher, mais nous souhaitons aussi de l’emploi durable. J’ai défendu cela auprès des acteurs qui mesurent l’intérêt d’avoir des employés qui habitent à proximité de leur travail. Ils le mesurent avec leurs critères, qui ne sont pas forcément les miens, en disant que cela permet une certaine flexibilité. Derrière le mot flexibilité, pour les gens qui font du commerce, je sais ce qu’il y a, et ce n’est pas forcément qualité de vie pour celui qui travaille dedans. Chacun défend ses droits, avec force et ils nous auront à leur côté. Madame Catherine NORDET Avec un pôle comme celui qui va s’ouvrir, allons-nous réussir à animer notre centre ville ? Monsieur le Maire D’abord, nous ne sommes pas sur les mêmes sujets. Dans le centre ville, nous ne perdons aucun commerce. Un changement de gérants va bientôt s’opérer chez SHOPI. C’est le groupe CARREFOUR qui reprend la main et qui désignera un gérant. L’idée est qu’à l’occasion du déménagement et de la création des nouveaux commerces, CARREFOUR installe une supérette, comme sur Graville. Cela donne une force, car généralement c’est un commerce attractif et c’est intéressant. Tous les autres commerçants ne font pas valoir le fait d’avoir une baisse de leur chiffre d’affaires. Les seuls qui ont fait valoir la baisse du « chiffre d’affaires », c’était la Banque. Ils nous avaient dit qu’ils prévoyaient 700 comptes en banque et qu’ils n’en avaient eu que 400. Cela n’était pas une baisse de chiffre d’affaire, p. 3 / 91 PVCM-2013-11 avec le distributeur de billet, le plus performant de l’agglomération havraise. Ce dernier leur rapportait le plus. Nous avons du mal à garder le contact à ce sujet avec la banque. Nous y sommes allés avec Monsieur Daniel PALFRAY, et je peux vous dire que quand vous cherchez quelqu’un qui ne veut pas qu’on le trouve, on voit ce que c’est. C’est à se demander quel rôle est joué par la banque. Nos services attendent, appellent régulièrement, pour faire des suggestions d’installations dans le cadre du futur quartier. En le faisant dès maintenant, la ville est prête à faire des choses mais pour l’instant, nous n’avons pas d’interlocuteur en face. La Banque s’était engagée à trouver la solution avec nous. Nous ne désespérons pas. Donc, pour l’instant au Colombier, nous n’avons pas de baisse d’activité. Parmi les commerçants (pas les propriétaires, puisqu’il y a des endroits où il y a un propriétaire différent de celui qui exploite), certains désireraient acheter l’emplacement auprès de leur propriétaire. À ma connaissance, il n’y a aucun commerçant qui nous a fait valoir de la baisse de l’activité. Le seul qui avait réagi, c’était la boulangère. Réaction par rapport au manque de distributeur de billets, et cela se comprend. Quand vous n’avez pas de monnaie sur vous, c’est rare de régler le pain avec votre carte bleue. Ensuite, elle a réagi quand la Boulangerie Louise s’est installée. Je pense qu’elle retrouvera des clients, car il y a eu, je crois du changement dans le laboratoire. Il faut que chacun regarde son travail. Les creux de vague, pour PROXI et la Boulangerie de Gournay, étaient liés aux commerçants eux-mêmes. Ce n’était pas lié directement aux clients qui ne venaient pas, mais au service, car si vous proposez un mauvais service, les clients vont ailleurs. Si vous voulez tuer un commerce, vous commencez par dégrader le service. Pas d’autre question ? Cela va me permettre de faire la transition en terme de dégradation d’activité. Mais nous ne sommes pas sur un commerce. Mais la question que Monsieur Pierre LEBAS présentera lors d’un vœu sera liée à l’évolution de notre bureau de poste. DÉCISIONS dec-2013-65- SERVICE INFORMATIQUE – MAINTENANCE DU LOGICIEL ÉTUDICE – NOVATICE VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code des Marchés Publics. p. 4 / 91 PVCM-2013-11 - La délibération du 16 Mars 2008 relative à la délégation du pouvoir du Conseil Municipal au Maire. - La délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2009, approuvant le règlement local « 2009 », relatif au code des marchés publics, s’appliquant aux services municipaux. - Le Budget Primitif 2013. CONSIDÉRANT - Que la Ville de Gonfreville l’Orcher a décidé depuis 2011 l’installation d’un logiciel éducatif (ETUDICE) dans les écoles primaires, la médiathéque, le PIJ, les mairies annexes, la colonie Les Ailes Blanches, l’EHPAD, l’école de musique et deux classes électroniques, soit au total 124 postes. - Que ce logiciel nécessite une maintenance annuelle afin d’assurer son bon fonctionnement (mis à jour de la solution, maintenance et support, assistance téléphonique). - La proposition de la société NOVATICE pour assurer la maintenance des 124 postes à compter du 25 août 2013 pour un an, renouvelable trois fois par décision expresse, pour un montant annuel de 6 200,00 € HT. LE MAIRE APPROUVE - Le contrat de maintenance de la société NOVATICE pour un montant annuel HT de 6 200,00 €. DIT - Que la dépense sera imputée au budget compte Nature 6156 Fonction 20. dec-2013-68 - SERVICE CULTUREL – REPORT DE LA DATE DU CONCERT DE L’ARTISTE « DA SILVA » - REMBOURSEMENT ÉVENTUEL DES PLACES DE SPECTACLE VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment l’article L 2122-22. - La délibération du 16 Mars 2008 relative à la délégation du pouvoir du Conseil Municipal au Maire. p. 5 / 91 PVCM-2013-11 CONSIDÉRANT - Que d’après la délibération 2013-05-32, le concert de l'artiste "Da Silva" est prévu le mardi 5 novembre 2013 à 20 h 30 à l’Espace Culturel de la Pointe de Caux. - Que ce concert est reporté en raison du départ de l'artiste pour une autre maison de production. - Que ce spectacle est annoncé dans la plaquette culturelle 2013/2014 et de nombreuses places ont été vendues. - Que la nouvelle maison de production de l’artiste propose de reporter ce concert au mardi 21 janvier 2014. - Qu’au vu de ce changement de date, une partie du public n’aura pas la possibilité d’assister à ce concert. LE MAIRE DÉCIDE - D’accepter le report du concert de l’artiste « Da Silva » au mardi 21 janvier 2014. - D’autoriser le remboursement occasionnel des places de spectacles pour les personnes qui souhaitent être remboursées. DIT - Que la date butoir pour le remboursement des places est fixée au 22 novembre 2013 inclus. - Que la dépense sera inscrite au compte Nature 658 Fonction 332. DÉLIBÉRATIONS Monsieur le Maire Une longue décision modificative, « musclée », comme je vous l’avais dit lors du dernier Conseil. Me permettez-vous, Madame Nathalie COUCHAUX-RÉMOND, de donner le cadre de cette Décision Modificative ? Dans la préparation du budget 2014, certains services ont fait des demandes. Nous nous sommes aperçus qu’il restait sur certaines lignes des crédits 2013 alors qu’ils avaient besoin du budget de l’année prochaine pour des choses assez urgentes. Nous avons suggéré dans chaque service, de proposer une décision modificative, en leur disant : « déplacer une somme d’un endroit à un autre de manière que nous puissions la dépenser dès maintenant ». Ce sont des petits achats de matériel qui rendent bien service. Madame Nathalie p. 6 / 91 PVCM-2013-11 COUCHAUX-RÉMOND a travaillé avec le Service Financier de manière à satisfaire au maximum les demandes. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME NATHALIE COUCHAUX-RÉMOND del-2013-11-01 - FINANCES – DÉCISION MODIFICATIVE – BUDGET PRINCIPAL – NOVEMBRE 2013 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - L’instruction codificatrice M14. - Le budget primitif 2013 et ses décisions modificatives. CONSIDÉRANT - Qu’il est nécessaire de procéder à des ajustements de crédits budgétaires. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - Les virements de crédits suivants : IMPUTATION Libellé Nature Opérat. Fonction 020 01 Dépenses imprévues DÉPENSES -271 970,00 1328 824 Autres Subventions non transférables 2161 312 Œuvres d'art 824 20 321 Aménagement Plateau de Bévilliers Mobilier Mobilier 2184 422 Mobilier 2188 212 Autres immobilisations corporelles -1 600,00 2188 24 Autres immobilisations corporelles 300,00 2188 251 Autres immobilisations corporelles 2 100,00 2188 311 Autres immobilisations corporelles -50,00 2188 314 Autres immobilisations corporelles -3 600,00 2188 33 Autres immobilisations corporelles 8 220,00 2315 01 2318 01 2764 022 020 01 Installations techniques - Matériels et Outillages Installations techniques - Matériels et Outillages Créances s/part. et aut. Pers. Dr. Priv. Dépenses imprévues 400 000,00 -21 280,00 60632 020 Fournitures petit équipement -15 000,00 2031 2184 2184 9082 RECETTES 28 500,00 -2 400,00 - 100 000,00 -1 200,00 -600,00 -700,00 30 000,00 30 000,00 p. 7 / 91 PVCM-2013-11 60632 20 Fournitures petit équipement -10 000,00 60632 311 Fournitures petit équipement -2 500,00 60632 33 Fournitures petit équipement -1 170,00 60632 412 Fournitures petit équipement -5 000,00 60633 813 Fournitures de voirie -6 000,00 60633 822 Fournitures de voirie 10 000,00 6064 020 Fournitures administratives 6065 321 Livres, disques, etc. 1 000,00 6067 212 Fournitures scolaires 2 800,00 6068 020 Autres fournitures -10 000,00 6068 311 Autres fournitures 2 500,00 61551 813 Entretien et réparation 6156 020 Maintenance -600,00 6156 20 Maintenance 7 450,00 6184 020 Formations 2 400,00 6226 020 Honoraires -3 600,00 6228 321 Autres honoraires -1 000,00 6228 422 Autres honoraires 1 800,00 6232 022 Fêtes et cérémonies 150,00 6232 40 Fêtes et cérémonies 5 100,00 6257 024 Réceptions 6574 025 Subventions aux associations 658 71 Charges diverses de gestion courante 6714 22 Bourses et prix 2 200,00 6714 23 Bourses et prix 1 500,00 6714 421 Bourses et prix -250,00 6714 422 Bourses et prix 250,00 IMPUTATION Opérat. 25 000,00 11 000,00 TOTAL Nature -150,00 2 950,00 450,00 58 500,00 € Explications de la Décision Modificative DEPENSES 58 500,00 € RECETTES Fonction 020 01 NOUVEAUX BESOINS Equilibre de la DM 1328 824 Aides aux communes - CODAH - Construction logements 2188 2512 Chambre froide - Cantine A. FLEURY 2315 01 Opérations patrimoniales 2318 01 Opérations patrimoniales 022 01 Equilibre de la DM 6156 20 MAINTENANCE Solution Etudice 6574 025 Subvention de fonct. Association BOUGEZ AVEC A.B.C.D. 28 030,00 28 500,00 2 100,00 30 000,00 30 000,00 -16 180,00 7 450,00 250,00 p. 8 / 91 PVCM-2013-11 6574 025 Subvention de fonct. Secours Catholique - Typhon Philippines 1 000,00 6574 025 Subvention de fonct. Secours Populaire - Typhon Philippines 1 000,00 6574 025 Subvention BUCHENWALD DORA - Délibération du 17/12/12 700,00 658 71 Remboursement loyer novembre - logt 7 Pl. J. Jaurès 450,00 6714 23 Appoint bourses communales 1 500,00 6714 22 Appoint bourses communales 2 200,00 2161 312 Bascule de crédits entre sections culturelles -2 400,00 2184 422 Bascule de crédits entre sections culturelles -700,00 2184 3212 Bascule de crédits entre sections culturelles 200,00 2184 3212 Bascule de crédits entre sections culturelles -150,00 2184 3212 Bascule de crédits entre sections culturelles -650,00 2184 20 Bascule au 6067/2124 2188 33 3 Bascule de crédits entre sections culturelles 4 000,00 2188 33 2 Bascule du 60632/332 et entre sections culturelles 4 220,00 2188 314 Bascule de crédits entre sections culturelles -3 600,00 2188 3113 Bascule de crédits entre sections culturelles -1 350,00 2188 3111 Bascule de crédits entre sections culturelles 1 300,00 2188 24 2 Bascule de crédits entre sections culturelles 300,00 2188 2124 Bascule au 6067/2124 -1 600,00 022 01 Bascule au 6232/40 -5 100,00 60632 412 Bascule au gestionnaire Manifestations -5 000,00 60632 33 2 Bascule au 2188/332 -1 170,00 60632 3111 Bascule au 6068/3111 -2 500,00 60632 20 Bascule au gestionnaire Garage -10 000,00 60632 0203 Bascule au gestionnaire Garage -15 000,00 60633 822 Bascule du gestionnaire Magasin 10 000,00 60633 813 Bascule au gestionnaire Manifestations -6 000,00 6064 0208 Bascule au 6232/022 60654 3212 Bascule du gestionnaire Animation hors sections 1 000,00 6067 2124 Bascule du 2188/2124 et 2184/20 2 800,00 6068 3111 Bascule du 60632/3111 2 500,00 6068 0201 Bascule au gestionnaire Propreté -10 000,00 61551 813 Bascule du gestionnaire Magasin 25 000,00 6156 0208 Bascule au 6184/020 6184 020 Bascule du 6156/0208/Informatique 6184 020 Bascule du 6228/42212 6226 0208 Bascule au 6228/422 - Projet H. Barbusse -3 600,00 6228 42212 Bascule au 6184/020 -1 800,00 6228 422 Bascule du 6226/0208 - Projet H. Barbusse 6228 3212 Bascule au 60654 - Multimédia VIREMENTS DE CREDITS -1 200,00 -150,00 -600,00 600,00 1 800,00 3 600,00 -1 000,00 p. 9 / 91 PVCM-2013-11 6232 40 Bascule du 022/01 5 100,00 6232 022 Bascule du 6064/022 6257 024 Bascule du gestionnaire Magasin 6714 422 Bascule du 6714/421 250,00 6714 421 Bascule au 6714/422 -250,00 150,00 TOTAL 11 000,00 58 500,00 58 500,00 Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME NATHALIE COUCHAUX-RÉMOND del-2013-11-02 - FINANCES – DÉBAT D’ORIENTATION BUDGÉTAIRE – BUDGET PRINCIPAL ET BUDGETS ANNEXES VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. Mes Chers Collègues, Cette année, nous avons fait le choix de voter le budget communal en décembre. Cette volonté relève de deux raisons : • La 1ère : cela nous permet de gérer au plus près sur l’exercice de l’année, d’avoir une vision encore plus précise, plus affinée pour anticiper l’exercice suivant. En pratiquant ainsi, nous n’anticipons pas les dépenses au 1er trimestre de l’année suivante. Comme vous le savez, quand nous votons le budget en mars, il est logique que nous engagions des dépenses (même si bien sûr elles ont été évaluées en amont) du 1er janvier jusqu’au vote du budget, sinon nous ne pourrions plus fonctionner. Et c’est particulièrement vrai pour les subventions accordées aux associations qui, pour fonctionner, ont besoin de disposer des fonds dès le début d’année. • La 2ème raison : c’est que nous ne souhaitons pas que le budget que nous votons habituellement en mars, coïncide avec l’élection municipale qui aura lieu aussi en mars. Nous tenons à bien les dissocier pour la plus grande transparence. Ainsi, c’est même un « avantage » pour nos adversaires politiques qui pourront voir quel sens politique le Maire donne pour l’année à venir. p. 10 / 91 PVCM-2013-11 Le Débat d’Orientation Budgétaire (D.O.B.) prévu par le Code Général des Collectivités Territoriales pour les communes de plus de 3500 habitants a lieu dans les deux mois qui précèdent le vote du budget primitif de la Ville. Ce débat a pour objectif de permettre à l’exécutif de présenter les grandes tendances du budget primitif aux élus locaux, et par-delà aux habitants ; Il porte sur les orientations générales de l’exercice ainsi que sur les engagements pluriannuels envisagés. Le D.O.B. doit permettre à l’assemblée délibérante : 1- d’être informée sur le contexte externe et la situation financière propre de la collectivité. 2- de discuter des orientations qui préfigurent les priorités affichées au budget primitif. Le D.O.B. est un débat et n’est pas le vote du budget. Lui-même n’est d’ailleurs pas suivi d’un vote. Au terme du D.O.B. aucune décision ne s’impose à l’exécutif local. Il n’a donc pas en lui-même de caractère décisionnel. Il doit simplement donner lieu à une délibération qui, en prenant acte de la tenue du débat, permet aux services préfectoraux de s’assurer de sa tenue. Le budget 2014 de notre collectivité est une étape cruciale de la vie communale. Et cette année, il va être soumis encore à une pression forte et, comme l’annonce la Cour des Comptes dans son dernier rapport, à de nouvelles économies substantielles, rappelant que les collectivités territoriales ne sauraient s’exonérer des contraintes résultant du rétablissement de l’équilibre des comptes publics, permettant à l’État d’assumer pleinement les responsabilités découlant des engagements européens de la France. La domination du système politique financier mondial se répercute sur l’Europe, puis sur les États, et in fine sur le local. Et celui qui est au bout de cette chaîne, « la commune », est la plus frappée. Et notre Ville n’est pas épargnée. Même si il est important de citer la conclusion du dernier rapport de la Chambre Régionale des Comptes, qui atteste que notre Ville est très bien gérée : gestion rigoureuse, saine. D’ailleurs, la majorité des communes est dans l’ensemble bien gérée et pourtant, c’est à ces mêmes communes que les gouvernements font payer la dette de l’État, alors qu’elles ne sont pas responsables des déficits de la France. Elles ne peuvent être considérées comme des variables d’ajustement pour résorber les dettes de l’État, elles qui n’empruntent, et de façon modérée, que pour des investissements utiles aux activités de leur territoire, au service de leur population. Ce sont elles qui génèrent de l’activité pour les entreprises et en retour des richesses. p. 11 / 91 PVCM-2013-11 Il faut le dire haut et fort en rappelant à tous les détracteurs qui n’ont de cesse d’accuser les collectivités locales et les élus de dépenser inutilement l’argent public. C’est une bataille idéologique qui a pour objectif d’ouvrir toujours plus d’activités humaines à la concurrence pour alimenter encore et encore les profits de quelques-uns au détriment de la justice sociale et de l’égalité de traitement et de l’accès aux services publics pour tous. Nous tenons à l’affirmer avec conviction et sans ambiguïté, les mesures d’austérité à répétition et leur impact sur les collectivités sont de nature à mettre en cause les missions mêmes qui leur sont confiées. Les efforts de rigueur mis en œuvre par le précédent Gouvernement, poursuivis par la majorité socialiste, se font au détriment des politiques de solidarité, sociales et territoriales et bien entendu, ont des conséquences négatives sur la politique en direction des personnels, les premières victimes, et donc sur la qualité du service public. Ainsi, pour les personnels communaux, s’installe progressivement le ressentiment de non reconnaissance du travail accompli qui débouche sur une dévalorisation du travail lui-même. Et c’est humain ! Pour notre part, nous considérons que les agents qui travaillent au service de notre collectivité sont une richesse et non une charge. Le vrai « capital » d’un pays, ce sont ses travailleurs du public comme du privé. Ce sont eux qui créent la richesse sans jamais en bénéficier ou si peu. Et le peu leur est ôté toujours davantage au nom de la rentabilité financière, du coût du travail, de la compétitivité, au seul motif de satisfaire la haute finance et le grand patronat. En réduisant d’année en année les dotations d’État, en ponctionnant les collectivités locales par le biais de la péréquation horizontale, nos budgets souffrent de cette course effrénée à la rigueur. Cette conception politique austéritaire ne semble pas être derrière nous, mais risque de se poursuivre à l’horizon, puisque la ministre de la décentralisation « n’exclut pas la poursuite de la baisse des dotations aux collectivités après 2015 » contrairement aux annonces faites précédemment. Et pourtant tout prouve que l’austérité n’est pas le remède à la crise mais bien la cause. En asphyxiant les finances locales, c’est une attaque au service rendu aux populations, c’est aussi refuser de créer les conditions d’un redressement de la France au seul motif récurrent de continuer à obéir aux diktats de l’Europe et à la haute finance. Car n’oublions jamais que les collectivités assurent 71 % de l’investissement public total. Ce sont donc aussi elles qui font tourner l’emploi privé, notamment dans le Bâtiment et les Travaux Publics, chez les artisans. C’est dire combien leurs rôles économique, social sont forts et, malgré leur impact elles sont p. 12 / 91 PVCM-2013-11 contraintes de renoncer à des projets utiles aux citoyens, utiles à l’intérêt général. C’est donc dans ce contexte politique, financier, que nous avons du élaborer notre budget communal, toujours plus compressé. Nous avons du faire des choix parfois drastiques, voire abandonner certains projets, à l’image de l’école de musique, afin de poursuivre le développement de notre Ville et pour garantir un mieux être à sa population. Après ce bref bilan morose, disons-le, entrons dans la base du D.O.B. LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE : La France se retrouve une nouvelle fois rétrogradée par une des ces fameuses agences de notation qui se permettent de juger les politiques des États. La croissance n’est vraiment pas au rendez-vous. Quant à la Haute-Normandie, dans un contexte national déjà morose, la HauteNormandie fait partie des régions dans lesquelles les évolutions sont les moins favorables. Tous les indicateurs sont au rouge ! Et si les évolutions sont moins brutales qu’en 2009, la situation économique est plus dégradée. En 2012, les suppressions et créations d’emplois se traduisent par une perte nette de 7 000 emplois salariés marchands. La chute est beaucoup plus importante dans notre région : -1,7 % qu’en moyenne en France métropolitaine : -0,6 %. C’est l’illustration de ce décrochage qui confirme l’adage populaire selon lequel en matière de conjoncture le bâtiment donne le ton. La Haute-Normandie est la région dans laquelle le secteur de la construction a le plus souffert. Alors que les effectifs avaient qu’ici été préservés, la forte baisse d’activité pour la construction affecte le logement collectif comme l’individuel. Au 2ème trimestre 2013, une diminution de 7,5 % par rapport au trimestre précédent contre une hausse de 1,8 % en France. Quant aux entreprises, contrairement à leurs prévisions initiales, elles ont revu leurs investissements à la baisse, entraînant une augmentation du chômage. Dans notre région et notamment sur notre territoire local, à fort potentiel logistique et portuaire, la contraction des échanges de marchandises qui va de pair avec le ralentissement de l’activité se ressent plus durement. Mais il est vrai que pour exporter il faut produire, et quand on ferme des entreprises, qu’on délocalise, il ne reste que peu de marchandises sur les quais pour l’export. Dans les entreprises, les procédures de redressement et les liquidations judiciaires continuent. C’est le commerce qui est le plus touché dans notre département, pour le 3ème trimestre consécutif : + 7,7 % de défaillances supplémentaires. p. 13 / 91 PVCM-2013-11 LE MARCHÉ DE L’EMPLOI : Un taux national jamais atteint. En Seine-Maritime : 11,8 % au 2ème trimestre. Et ici, dans la région havraise un taux record du chômage : 13,2 %, (soit en 5 ans : +4,3 % de chômeurs). Un taux bien plus élevé que la moyenne nationale. Exemple : en Seine-Maritime (toutes catégories confondues) - en septembre 2012 : 113 648 demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi - en août 2013 : 118 567 - en septembre 2013 : 120 045, Soit +1,2 % en 1 mois et + 5,6% en 1 an. C’est énorme ! Et encore plus localement, les menaces de fermetures de l’entreprise ISOPLAS PRO et ses 174 emplois et la quarantaine de salariés chez le transporteur TRANSMAVIN que l’on jette comme des kleenex, n’augurent rien de bon. Ce sont encore des familles qui vont venir grossir le trop grand nombre d’entre elles déjà confrontées aux difficultés. L’INFLATION : Des facteurs inflationnistes persistants en zone euro malgré le très fort ralentissement économique. 1. Forte dépendance énergétique (flambée des prix énergétiques : pétrole, électricité, gaz…). 2. Hausse de certaines matières premières liées à la forte demande des pays émergeants (Chine, Inde). 3. Le taux de TVA qui va passer de 19,6 % à 20 %, grevant une nouvelle fois les budgets des ménages et ceux des collectivités locales. Mais dans le même temps, il n’est pas prévu de revoir le taux de F.C.T.V.A. (Fond de compensation Taxe Valeur Ajoutée) qui est aujourd’hui à 15,482 %. D’où une charge supplémentaire. LES TAUX D’INTÉRÊTS : Le rôle des banques aux ordres de la Banque Centrale Européenne : elles font la pluie ou le beau temps. Elles prêtent à qui bon leur semble et contrairement à ce que l’on pourrait croire, une bonne gestion et une capacité de remboursement correcte comme notre ville, ne sont pas, pour elles, des critères pour nous accorder un prêt. « Allons-nous mourir en bonne santé ? » Le comble de l’absurde ! Et pourtant, si nous avons pu et su maîtriser au maximum l’emprunt (pas d’emprunt en 2013), nous sommes contraints d’avoir recours à l’emprunt pour la p. 14 / 91 PVCM-2013-11 2ème phase de la rénovation du quartier de Teltow. La loi nous oblige à emprunter puisque nous sommes dans un dispositif ANRU. Encore, faut-il qu’une banque accepte de nous prêter de l’argent. Et quand elles en prêtent, le taux est souvent prohibitif. C’est dire le pouvoir qu’elles ont, non seulement sur les ménages, mais aussi sur les investissements publics. Et quand les investissements publics sont en panne c’est l’emploi qui trinque, c’est la croissance qui se paralyse, c’est prendre le risque d’entrer en récession. Par contre, dans le même temps, il est bon de rappeler que la fraude fiscale coûte à la France 60 à 80 milliards d’euros par an et que les cadeaux fiscaux aux multinationales sont toujours de mise pendant que les PME, PMI ne cessent d’être confrontées aux carnets de commandes et aux trésoreries trop vides. Sauf pour certaines qui au nom de la crise en profitent pour licencier et fermer rideaux. Quant aux dividendes versées aux actionnaires des grands groupes, ils florissent d’année en année. LA SITUATION DES FINANCES COMMUNALES : Parce que nous avons su anticiper les effets de la crise, celles des politiques européennes et gouvernementales, nous maintenons notre budget à un niveau encore raisonnable. Si nous n’avions pas pris cette décision, nous serions en grande difficulté financière. - Les données 2013 sont fournies sous réserve du pointage avec le percepteur et la finalisation des écritures comptables. p. 15 / 91 PVCM-2013-11 - Le budget primitif 2014 sera voté sans la reprise des résultats de l'exercice 2013. p. 16 / 91 PVCM-2013-11 LES ORIENTATIONS D’INVESTISSEMENTS POUR 2014 : Avant d’énumérer nos futurs projets, parmi nos futurs investissements, trois chantiers seront effectués en partenariat avec le Conseil Général avec qui nos relations sont bonnes. Il participera au financement pour : ● L’accès au Manoir de Bévilliers (question de sécurité) ; ● À la réfection de la Route d’Oudalle ; ● Aux travaux de réaménagement pour la réouverture de la bretelle d’accès à l’autoroute à Mayville. Les travaux d’investissement 2014 envisagés sont : • Rond-point du Saint-Laurent : 250 000,00 € • Extension du columbarium – Cimetière de Gournay : 110 000,00 € • Rénovation du Gymnase de Gournay (étude : 80 000,00 € - travaux sur les années suivantes) • Aménagement du nouveau lotissement des Cambrettes : étude : 100 000,00 € • Construction d’une cuisine centrale : LE PLUS GROS INVESTISSEMENT DE LA VILLE : 4,2 millions d’€ (2015 : 400 000,00 €) • Réhabilitation de 11 pavillons à Mayville : 500 000,00 € • Accès au Manoir de Bévilliers : 100 000,00 € • Mise en conformité de l’éclairage public : 50 000,00 € (puis 500 000,00 € en 2015 ; 500 000,00 € en 2016 et idem pour 2017) • Audit énergie : étude : 40 000,00 € (travaux sur les années suivantes selon le diagnostic) • Rénovation de l’école Jacques Eberhard : 500 000,00 € (puis 300 000,00 € en 2015) • Jardins familiaux Marcel Cachin : 500 000,00 € • Chemin Vert : secteurs des Villas : 150 000,00 € • Chemin Vert : les Triangles : 100 000,00 € • Rénovation des collectifs Barbusse / Victor Hugo / Anatole France : étude : 100 000,00 € et travaux en 2015 pour 500 000,00 € p. 17 / 91 PVCM-2013-11 • Accessibilité aux divers bâtiments communaux : étude : 40 000,00 € (travaux en 2015 : 1,2 million, puis même montant pour les années 2016, 2017, 2018, 2019). • Accessibilité divers voirie : étude : 40 000,00 € (travaux 700 000,00 € et sommes identiques en 2016, 2017, 2018). • Désamiantage de l’Hôtel de Ville : (travaux en 2015 : 300 000,00 €) • Travaux du quartier de Teltow sud : 1,2 million d’€ (puis 500 000,00 € chaque année sur les exercices 2015, 2016, 2017, 2018) • Quartier de Teltow sud (pôle santé) : 950 000,00 € (et 1 750 000,00 € en 2015) • Quartier de Teltow sud (pôle commercial) : 1,105 million d’€ (puis 1,15 million sur les années 2015 et 2016 et 400 000,00 € en 2017) en 2015 : Permettez-moi de m’arrêter quelques instants sur le quartier de Teltow sud. Nous avions programmé qu’à ce jour les travaux seraient achevés. « Parce que c’est bien connu, il vaut mieux une Ville belle, bien propre pendant une campagne municipale !!! » Je vous rassure, c’est de l’humour ! La vérité est malheureusement tout autre. Elle est beaucoup plus grave : c’est la crise qui est passée par là et les difficultés avec ! Trouver un promoteur pour un tel chantier n’était pas aisé. Vu la conjoncture, aucun ne voulait s’aventurer dans ce projet. Et quand nous avons réussi à en trouver un, il eut bien du mal à monter son bilan d’opération (financements). Avec l’aide de la Ville, le promoteur s’est donc tourné vers un bailleur social qui a accepté de s’engager dans ce beau projet urbain. Voici donc la raison de ce retard. PERSPECTIVES FINANCIÈRES EN RECETTES : LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES EN RECETTES DE FONCTIONNEMENT. L’enveloppe normée qui représente les principaux concours de l’État vers les collectivités locales, décroît de 3,1 %, soit -1,5 milliard €. Le bloc communal sera touché par la réduction de cette enveloppe normée à hauteur de 840 millions d’€ (pour l’ensemble de la France évidemment). Les dotations de l’État (sur 5 ans) : p. 18 / 91 PVCM-2013-11 La Dotation Globale de Fonctionnement (DGF) a diminué de 8,7 % entre 2008 et 2013. Cumulée sur la période, la perte de recettes pour la Ville de Gonfreville est de 442 496,00 €. La Dotation de Solidarité Urbaine (DSU) a été supprimée du fait que le nombre d’habitants se situe en dessous de 10 000 : Cumulée sur la période, la perte de recettes est de -1 286 798,00 € Les participations et dotations de l’État connaissent une diminution prévisionnelle de 19,94 % entre 2008 et 2013. Mais, sur la période, le cumul des recettes est de : + 231 125,00 € de ressources en plus. Seul poste en positif, tout en sachant qu’une baisse de 38 339,00 € s’est amorcée en 2013. Les participations et dotations d’autres partenaires (exemple : la CAF) connaissent une diminution prévisionnelle de 11,63 sur 5 ans. Cumulée sur la période, la perte de recettes est de -78 691,00 € À noter que s’agissant de la CAF, cela nous interpelle sur le fond au regard de son action envers les familles, mais aussi concernant le lien qui nous unit avec l’AGIES. Puisque la Ville de Gonfreville l’Orcher et la CAF financent l’association à hauteur de 50 % chacune. La défaillance de l’une des parties peut entraîner soit des difficultés pour l’association ou un surcoût pour la partie restante. Nous suivons donc l’évolution de la situation pour l’avenir. Les allocations compensatrices versées par l’État sur la Taxe d’Habitation, la Taxe foncière et la Taxe professionnelle ont diminué de 46,47% sur 5 ans. Cumulée sur la période, la perte de recettes est de : - 974 710,00 €. LE CAS PARTICULIER DE LA PÉRÉQUATION HORIZONTALE Souvenez-vous, il y avait la péréquation verticale : aide de l’État vers les collectivités. Sous l’ancien Gouvernement, il y a eu la création de la péréquation horizontale : aide des communes entre elles. Les collectivités sont soient bénéficiaires, soit contributrices, ou les deux à la fois. Pour 2012 : la Ville s’est acquittée de 116 409,00 € Pour 2013 : la Ville s’est acquittée de 139 533,00 € Le Gouvernement a introduit dans la loi de finance depuis 2013, un nouveau critère « revenu moyen par habitant » à hauteur de 20 % pour déterminer le montant de la contribution, ainsi que la modification du seuil de l’effort fiscal. p. 19 / 91 PVCM-2013-11 Ce critère devrait théoriquement être favorable à notre commune, puisque le niveau de vie par habitant est particulièrement faible. Mais nous sommes en attente de confirmation. De 2007 à 2013, les dotations d’État accordées à la Ville de Gonfreville l’Orcher ont régressé de – 2 807 512,00 €. C’est une situation qui crée autant de pression sur les budgets locaux pour pratiquer des économies de gestion avec éventuellement des incidences sur le service rendu à la population. Pression également sur la fiscalité locale par une augmentation des taxes locales. À cela, il faut ajouter une inflation qui se situe pour l’instant à 1,17 % pour 2013. Je pense que vous mesurez l’impact direct sur nos finances communales, sachant qu’aucune accalmie n’est annoncée à ce jour par le Gouvernement qui, au contraire, souhaite aller plus loin dans les restrictions budgétaires allouées aux communes, au nom du déficit public. LES DOTATIONS DE LA CODAH : Elles devraient se situer à la même hauteur que 2013. Il est à noter qu’en 2013, nous avons eu une dotation exceptionnelle qui, comme le mot l’indique, ne se renouvellera pas en 2014. TAXE D’HABITATION Il est à noter que la municipalité a fait le choix de ne pas augmenter la Taxe d’Habitation afin de ne pas encore amputer le faible budget de la majorité des ménages gonfrevillais. Et après simulation d’une augmentation, la recette pour la Ville serait dérisoire, mais conséquente pour la population qui subit déjà les hausses de loyer, d’énergie, d’alimentation, de santé, d’impôts sur le revenu… Car ce n’est pas un constat dans le vide. La réalité, c’est l’accroissement de la précarité. Il faut voir combien le nombre de nos concitoyens qui demandent de l’aide au CCAS a augmenté. C’est significatif de la « mal vie » qui s’installe. ORIENTATION DE L’ÉPARGNE : L’épargne brute appelée aussi « capacité d’autofinancement » est un outil incontournable des budgets locaux. p. 20 / 91 PVCM-2013-11 L’épargne brute, appelée aussi « capacité d’autofinancement » (CAF) correspond à la différence entre les recettes réelles et les dépenses réelles de fonctionnement. Cet excédent de liquidités récurrentes permet à une collectivité locale de : • faire face au remboursement de la dette en capital, • financer tout ou une partie de l’investissement. L’épargne brute/Recettes réelles de fonctionnement permet : • d’identifier l’aisance de la section de fonctionnement, • de déterminer la capacité à investir de la collectivité. À ce titre, l’épargne brute constitue le premier indicateur de pilotage financier des budgets locaux. En dessous du seuil de 10/12 %, elle s’avère généralement insuffisante et expose la collectivité locale à un risque de déséquilibre budgétaire à court terme. À Gonfreville l’Orcher, le taux de l’épargne brute est estimé aujourd’hui à 21,43 %. Un très bon niveau ! La capacité d’autofinancement est contenue, un peu plus de 8 millions en 2013 et on prévoit environ 7 millions pour 2014. p. 21 / 91 PVCM-2013-11 Le taux d’épargne brute, qui rapporte l’épargne brute aux recettes réelles de la section de fonctionnement, permet d’effectuer des comparaisons d’une collectivité à l’autre. LA FISCALITÉ DIRECTE : LA FISCALITÉ – HYPOTHÈSE n° 1 – Exercice 2014 HYPOTHÈSE RECETTES DE FONCTIONNEMENT 1 2012 Bases déf. Taxe d'Habitation Taxe Foncière Bâti Taxe Foncière Non Bâti Taux 2013 Bases prév. Produits Taux Produits Bases prév. 2014 2014 Taux Produits 7 286 755 10,44 % 760 737 € 7 511 000 10,44 % 784 148 € 7 511 000 10,44% 784 148 € 36 044 714 17,97 % 6 477 235 € 38 440 000 17,97 % 6 907 668 € 38 440 000 17,97% 6 907 668 € 44 569 28,56 % 12 729 € 43 900 28,56 % 12 538 € 43 900 28,56% 12 538 € TOTAL 7 250 701 € TOTAL Diff. (BP à BP) 7 704 354 € TOTAL +453 653 € Diff. (BP à BP) 7 704 354 € + 0,00 € Les bases définitives de 2013 ne nous ont pas encore été notifiées. Produits perçus en 2012 – État 1288 M Produits prévisionnels en 2013 – État 1259 La Loi de Finances 2014 n’a pas encore été votée p. 22 / 91 PVCM-2013-11 LA FISCALITÉ – HYPOTHÈSE n° 2 – Exercice 2014 HYPOTHÈSE RECETTES DE FONCTIONNEMENT 2 2012 Bases Déf. Taxe d'Habitation Taxe Foncière Bâti Taxe Foncière Non Bâti Taux 2013 Bases déf. Produits Taux Produits Bases prév. 2014 2014 Taux Produits 7 286 755 10,44% 760 737 € 7 511 000 10,44 % 784 148 € 7 511 000 10,64 % 799 170 € 36 044 714 17,97% 6 477 235 € 38 440 000 17,97 % 6 907 668 € 38 440 000 18,32 % 7 042 208 € 44 569 28,56% 12 729 € 43 900 28,56 % 12 538 € 43 900 29,13 % 12 788 € TOTAL 7 250 701 € TOTAL Diff. (BP à BP) 7 704 354 € +453 653 € TOTAL Diff. (BP à BP) 7 854 166 € + 149 812 € Les bases définitives de 2013 ne nous ont pas encore été notifiées. Produits perçus en 2012 – État 1288 M Produits prévisionnels en 2013 – État 1259 La Loi de Finances 2014 n’a pas encore été votée Taux constants Taux augmentés de 2 % LA TAXE D’HABITATION : Par rapport à l’ensemble des communes de la CODAH, la Ville de Gonfreville l’Orcher est en 7ème position avec un taux de 10,44 %. Je rappelle que la municipalité n’a pas relevé le taux pour ne pas amputer le budget des ménages, dont beaucoup se retrouvent cette année à payer des impôts sur le revenu, notamment des retraités, alors qu’ils en étaient exemptés, vu leurs faibles ressources. Et qui dit payer des impôts sur le revenu, la loi dit aussi payer la redevance télévision et des impôts locaux. p. 23 / 91 PVCM-2013-11 LA TAXE SUR LE FONCIER BÂTI Sur la taxe foncière, nous sommes en 4ème position avec un taux de 17,97 % LA TAXE SUR LE FONCIER NON BÂTI : Nous sommes en 3ème position avec un taux de 28,56 % Ici, à Gonfreville l’Orcher, sur la feuille d’impôt, pour la part communale, il n’y a pas d’augmentation. C’est un choix. Par contre, chacun peut constater sur sa feuille d’impôt une augmentation qui est du pour partie à une évolution des bases (décidée par l’État) et une autre par le Département. CAPACITÉ DE DÉSENDETTEMENT AU 31 DECEMBRE 2013 Le niveau d’endettement d’une collectivité locale se mesure à partir d’un ratio, appelé capacité de désendettement. Ce ratio, qui rapporte l’épargne brute au stock de dette permet d’identifier en nombre d’année d’épargne brute l’endettement de la collectivité locale. Il permet de répondre à la question suivante : en combien d'années une collectivité pourrait-elle rembourser la totalité du capital de sa dette en supposant qu'elle y consacre tout son autofinancement brut ? Notre capacité de désendettement est estimée au 31 décembre 2013 à 3 ans. C’est le nombre d’années que notre collectivité pourrait rembourser la totalité du capital de sa dette, en supposant qu’elle y consacre tout son autofinancement brut. Un chiffre excellent quand on sait que la zone dangereuse pour une collectivité commence autour de 11 à 12 années. p. 24 / 91 PVCM-2013-11 Les derniers emprunts réalisés ont été comptabilisés sur l’exercice 2012 pour 5 millions d’euros, puisque nous n’avons pas fait appel à l’emprunt sur l’exercice 2013. L’ENCOURS DE LA DETTE : C’est le capital de nos emprunts restant dû au 31 décembre 2013 qui s’élève à 26 495 891,00 € et l’extinction est prévue pour 2031. EXTINCTION PRÉVISIONNELLE DE LA DETTE ACTUELLE p. 25 / 91 PVCM-2013-11 LA TARIFICATION DES SERVICES LOCAUX : L’augmentation des tarifs communaux est à 2 %. PERSPECTIVES FINANCIÈRES EN DÉPENSES : LES ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES EN DÉPENSES DE FONCTIONNEMENT : • Soutien accru aux familles en difficultés • Maintien du niveau et de la qualité du service public communal LES ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES EN DÉPENSES D’INVESTISSEMENT : PROGRAMMATION PLURIANNUELLE comme je l’ai évoqué sur les orientations d’investissements pour l’année 2014 : Il s’agit donc : • Projet ANRU Teltow sud • Création d’une cuisine centrale • Maintien du patrimoine communal en bon état de fonctionnement Les difficultés financières de la Ville ont induit la mise en œuvre d’une gestion drastique qui s’est traduit comme suit : p. 26 / 91 PVCM-2013-11 1. Baisse annuelle des moyens généraux donnés aux structures et services 2. Encadrement de la masse salariale 3. Ajournement de la création de l’école de musique Les propositions pour l’élaboration du budget primitif 2014 sont les suivantes : 1. Encadrement de l’évolution de la masse salariale 2. Évolution des charges de fonctionnement limitée à l’inflation 3. Subventions aux associations reconduites à l’identique (pour celles ayant fournies un dossier complet). Écritures et conventions avec celles-ci pour plus de transparence, valoriser le coût des services municipaux auprès des associations. Dans le domaine sportif, pour l’année 2014, disparition de subventions haut niveau. 4. Estimer les recettes de manière prudentes, particulièrement celles de l’État qui baissent d’année en année ; celles de la Région et du Département qui subissent elles aussi des baisses de dotations d’État. 5. Améliorer notre capacité de financement nette de la commune de manière à limiter les emprunts, car je le répète, les banques organisent le racket des collectivités territoriales, avec l’assentiment du gouvernement. Le seul emprunt je vous rappelle sera dédié à celui de Teltow sud qui est obligatoire. Monsieur le Maire Toutes ces explications sont utiles à la compréhension du vote du budget qui aura lieu le mois prochain. Nous pourrons donc nous « affranchir » des explications sur l’ensemble du contexte politique. Nous étudierons cependant les lignes budgétaires dans le détail. Madame Nathalie COUCHAUX-RÉMOND montre dans quel état d’esprit nous réalisons le budget. Sur la question des emprunts, le problème est l’attitude des banques. Il sera utile, en plus de l’emprunt pour Teltow Sud, d’inscrire un emprunt dans le budget. En effet, cela fait 2 ans que nous n’avons pas renouvelé de matériel roulant, de matériel utile aux agents communaux dans le cadre de leur travail comme des ordinateurs. Aujourd’hui nous commencerions à avoir de réelles grosses difficultés pour fonctionner dans certains services, si l’état des véhicules ne garantit plus complètement la santé des agents. Nous avons reçu la Banque Postale au mois de juillet avec laquelle nous avons eu des échanges assez intéressants. Cette banque fonctionne, à ma grande surprise, comme toutes les banques. Nous aurions pu penser que cette banque avait d’autres valeurs. Lorsque nous leur demandons le taux d’intérêt pour un prêt, il nous est répondu que ce n’est plus comme cela maintenant. p. 27 / 91 PVCM-2013-11 La banque nous dit qu’elle va regarder nos capacités, notre budget, nos orientations. En fonction de ces critères, la banque sera à même de nous informer du taux proposé pour un prêt. Pour exemple, la Ville d’Harfleur obtiendra un taux moins élevé que la Ville de Gonfreville l’Orcher. Peu d’argent leur sera prêté, le taux sera plus faible que pour la Ville de Gonfreville l’Orcher, puisqu’elle n’a que peu de budget. En effet, la Banque Postale considère qu’une Ville comme Harfleur sera sûre de pouvoir rembourser puisque son budget étant bas, il ne pourra pas baisser d’avantage. La Banque Postale veut bien prêter à la Ville de Gonfreville l’Orcher mais avec un taux plus élevé car elle considère qu’il y a plus de risque. Une projection est faite sur 15 ans et considérant que l’État prélèvera de plus en plus d’argent sur le budget de la Ville, nous ne serions peut être plus en capacité de rembourser le prêt accordé à un moment où les finances étaient correctes. Lorsque vous entendez ce genre de discours, la question se pose : « Quel est ce système où le prix de l’argent est déterminé comme bon leur semble » ? « L’enveloppe à prêter » est un autre aspect qui pose questionnement. Toutes les demandes ne pourront pas être satisfaites, il y en a trop. Si l’on inscrit un emprunt pour quelque chose d’indispensable, les banques peuvent nous racketter, nous devrons subir les taux élevés. Nous serons obligés d’accepter les taux proposés. Si nous n’arrivons pas à changer certains matériels avec l’autofinancement, nous risquons de faire un emprunt complémentaire à celui de Teltow Sud. Nous annoncerons dans les services que nous ferons un prêt, mais uniquement si nous obtenons un prêt à taux « normal ». Dans ce cas, nous procéderons à un renouvellement de matériel et il y a urgence. Nous travaillons encore avec le percepteur sur les emprunts, sur l’état de notre ligne de trésorerie, qui va très bien. Nous allons encore regarder les choses, tout cela n’est pas complètement affiné. Nous regardons les listes des demandes, nous allons faire nos équilibres budgétaires dans les jours à venir. Quand nous avions prévu, il y a peu, d’emprunter 10 millions d’euros, nous n’avions au final emprunté que 5 millions d’euros. Nous avons bloqué cette situation sur les investissements pendant 2 ans et aujourd’hui cette situation se paie sur la dégradation du matériel, sur les frais d’entretien. Nous ne devons pas franchir la limite où l’entretien va coûter plus cher que l’investissement. Ce Débat d’Orientation Budgétaire n’appelle pas de vote, mais la parole est ouverte à tous évidemment comme dans tous les débats. p. 28 / 91 PVCM-2013-11 Monsieur Alban BRUNEAU Le budget, c’est l’avenir de notre commune. Bien que le budget soit contraint et ce malgré notre volonté, ces orientations budgétaires sont responsables, maîtrisées, elles ne renient pas l’investissement. Les investissements prévus seront utiles aux gonfrevillais, ils permettront de dégager des marges de manœuvre pour l’avenir, ceci afin de conserver des capacités d’investissements. Quand je parle d’investissements réfléchis, je parle notamment de la cuisine centrale. Je pense aussi aux questions liées à la gestion de l’éclairage de notre commune, où nous devrons pouvoir dégager des économies d’énergie. En tant qu’adjoint en charge de l’environnement, je pense que c’est important pour notre planète et pour nos finances. J’espère que nous pourrons conserver les capacités d’investissement pour l’avenir. Je suis cependant inquiet si je considère les annonces du Gouvernement en matière de dotations pour les années à venir. Notre Ministre du budget a annoncé que le prélèvement des milliards sur les collectivités locales allait continuer. Même si nous faisons des efforts, cela devient de plus en plus compliqué pour les agents, pour qu’ils puissent effectuer le travail utile aux populations. Jusqu’où allons-nous aller ? Ce budget est celui d’une ville qui ne se résigne pas, qui prépare l’avenir. Monsieur le Maire Y a t il d’autres opinions ? Je souhaiterais ne pas entendre que nous ne réalisons pas l’école de musique. En effet, nous avons déjà une école de musique, ce que nous ne faisons pas, c’est un bâtiment neuf pour l’école de musique. Nous avons une école de musique, nous la conservons, nous allons faire en sorte que les conditions d’accueil y soient meilleures chaque année pour répondre aux attentes. Par ailleurs, un plan est à votre disposition concernant la route d’Oudalle. Ce projet est ancien mais nous n’avions pas jusqu’à présent l’assurance, l’engagement, que le Conseil Général allait nous aider à financer ce projet. Lorsque nous avons un projet, nous faisons les grandes lignes. Nous rencontrons ensuite les personnes concernées par le projet, de façon à le corriger si nécessaire, comme par exemple dans la Côte d’Orcher. Au fil des années, même en procédant de la sorte, même en travaillant très sérieusement, il reste des imperfections. Ce projet sera porté par le SIEHGO (Syndicat Intercommunal d’Équipement des Villes d’Harfleur et de Gonfreville l’Orcher), mais il concerne cependant la commune. Les travaux commenceront au Rond Point à Harfleur, c’est la Ville d’Harfleur qui donnera le « top départ ». La Ville d’Harfleur est en attente de la fin des travaux d’assainissement sous les voies de la CODAH pour relier le nouveau quartier en construction « Les Coteaux », à côté de notre quartier de la Belle p. 29 / 91 PVCM-2013-11 Aurore. Des tuyaux vont être passés sous l’Avenue Charles de Gaulle, la Route d’Oudalle, sous la rue de la Lézarde prolongée, pour relier le pluvial au canal. La Ville d’Harfleur réalisera ensuite le Rond Point à la place des feux, au bout de l’Avenue Schneider (pour les plus anciens) ou Avenue Charles de Gaulle (pour les plus jeunes), au bout du Boulevard du Midi et de la Route d’Oudalle. Le chantier sera ensuite engagé sur deux phases comme le préfère le Conseil Général. Cela veut dire que nous devrons avoir les « reins solides » financièrement. Le SIEHGO ne pourra pas financer l’ensemble grâce à notre dotation. Nous allons devoir abonder le budget du SIEHGO avec un fonds de concours. Toutes ces informations sont récentes, nous devons les intégrer à notre budget, nous allons donc regarder dans le détail la notion d’emprunt. Ces travaux ont pour but de créer une piste cyclable dans la continuité de celle construite Rue Marcel Le Mignot. Elle sera plus urbaine, moins paysagère dans sa partie Nord, là où se trouvent, le commerce et la station service. Il y aura une zone partagée sans décrochés. A chaque carrefour, pour chaque route se raccrochant à la Route d’Oudalle, des plateformes, des passages piétons sont prévus à l’image de ce que nous avons dans la Côte d’Orcher et Avenue Maurice Thorez, cela afin de faire ralentir la circulation. Il va y avoir un renforcement du stationnement, la création d’un espace en dessous de la Rue Pablo Picasso. Un petit morceau de route a été fait, il sert actuellement de zone chantier. Nous avons proposé à l’Office de Tourisme qui recherchait des lieux, la mise à disposition de cet espace pour créer une aire d’accueil service pour les campings cars. En effet, cet espace se trouve à la sortie de l’autoroute à Harfleur. Les personnes souhaitant visiter Harfleur, qui sont en camping car pourront vidanger leurs eaux usées, se ravitailler en eau dans cette aire de service. Ce n’est pas une aire de stationnement de campings cars, c’est une aire de service qui fonctionne à l’aide de jetons. Ces aires de campings cars sont indiquées sur des cartes routières. Si vous souhaitez voir ce genre d’aire, il y en a une à coté de Tancarville, à Saint Nicolas de la Taille. Nous y ferons un minimum d’espaces verts pour minimiser l’entretien, car nous ne pouvons réduire les effectifs des services et augmenter la quantité d’espaces à entretenir. Il y aura tout un travail sur l’éclairage public économique. L’ancien éclairage était dangereux, il a donc été changé il y a quelques années. Nous allons travailler au recyclage et à la réutilisation de l’existant de manière à ne pas générer de perte. Un gros travail va être fait aussi sur le positionnement des arrêts de bus, leur accessibilité pour les personnes handicapées, ainsi que sur l’accessibilité de cette route aux aveugles. Cette route devra remplir toutes les conditions pour le traitement des déchets, pour l’accessibilité, pour l’accès aux bus, pour le stationnement, pour la sécurité des piétons et des cyclistes. Un premier plan va être présenté lors d’une première réunion avec Harfleur, en début d’année. Nous devons être très prudents car nous sommes en période de campagne électorale. La vie ne s’arrête cependant pas et nous ne sommes pas p. 30 / 91 PVCM-2013-11 responsables de la date choisie par le Conseil Général pour la réalisation des travaux, à savoir 2014. Ces travaux seront faits dans le cadre du SIEHGO et pas dans le cadre des communes, Harfleur et Gonfreville l’Orcher. De sorte, nous ne valorisons personne. Les services présenteront aux habitants les travaux envisagés au droit de leur maison, de façon à ce qu’ils puissent en faire la critique. Nous gagnerons déjà du temps à ce moment là en permettant aux bureaux d’études de dessiner la réalité. Après les élections qui auront lieu en Mars, nous ne serons pas encore engagés, car la CODAH nous fait prendre du retard. Nous ferons une réunion publique avec les habitants pour vérifier que nous sommes bien « calés ». Un plan sera alors présenté aux habitants dans le détail. Nous n’allons pas arrêter de travailler pendant 5 mois si nous devons commencer ce chantier en 2014. La Ville d’Harfleur donne le « tempo » et nous nous engageons, donc nous ne devons pas perdre de temps. Pas d’autres observations ? Madame Nathalie COUCHAUX-RÉMOND vous pouvez continuer le Débat d’Orientation Budgétaire sur les autres budgets. LES BUDGETS ANNEXES : Le budget des transports : Ce budget annexe est alimenté par une subvention d’équilibre versé par le budget principal qui s’élevait à hauteur de 128 660 € en 2013, ainsi que par son excédent de fonctionnement de l’exercice N-1. Les deux cars ayant été achetés en 2013, pour l’année 2014, ce budget sera consacré à l’entretien de ces deux cars. Il est à noter que nous avons revendu les anciens cars. Le budget annexe du Chemin Vert : Il est exclusivement réservé à la vente des terrains. Le Conseil Municipal prend acte du Débat d’Orientation Budgetaire. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR DANIEL VATTIER del-2013-11-03 - SERVICE FINANCES / MARCHÉS PUBLICS – GARANTIE D’ÉQUILIBRE – AVIS D’AUGMENTATION DES LOYERS – HABITAT 76 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Les conventions signées entre HABITAT 76 et la Ville de Gonfreville l’Orcher en 1963, 1966, et 1973, relatives à la garantie d’équilibre d’exploitation des programmes sociaux de relogement de Gournay-en-Caux et Arthur Fleury, ainsi que la cité de promotion familiale Arthur Fleury. p. 31 / 91 PVCM-2013-11 - Le courrier en date du 23 septembre 2013 d’Habitat 76 demandant l’avis de la municipalité sur une éventuelle augmentation des loyers applicable au 1er janvier 2014. CONSIDÉRANT - Que cette augmentation ne peut pas être supérieure à l’Indice de Référence des Loyers (IRL) du troisième trimestre 2013 soit 0,9 % ; - Qu’aucune augmentation des loyers n’a été appliquée au 1er janvier 2013 ; - Que l’exercice 2013 fait ressort un résultat net excédentaire de 360 347,00 € ; LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, SE PRONONCE - Pour le maintien des loyers sans augmentation à compter du 1er janvier 2014 sur les programmes concernés par la garantie d’équilibre. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-04 - SERVICE FINANCES / MARCHÉS PUBLICS – TRANSFERT DE CHARGES « ENTRETIEN ET MAINTENANCE DES VOIES ADJACENTES AU TRAMWAY » COMMISSION D’ÉVALUATION DES TRANSFERTS DE CHARGES - CODAH – AVIS VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code Général des Impôts et notamment son article 1609 nonies C. - Le rapport de la Commission d’Évaluation des Transferts de Charges (C.E.T.C.) réunie le 15 octobre 2013 relatif à l’entretien et la maintenance des voies adjacentes au tramway. CONSIDÉRANT - Que la Commission d’Évaluation des Transferts de Charges s’est réunie le 15 octobre dernier afin d’évaluer le montant du transfert de charges relatif à l’entretien et la maintenance des voies adjacentes au tramway. - Que l’ensemble des Conseils Municipaux des communes membres de la Communauté d’Agglomération Havraise doit se prononcer sur le rapport de la C.E.T.C. dans un délai maximum de trois mois à compter de sa notification. p. 32 / 91 PVCM-2013-11 - Qu’il convient de délibérer sur le nouveau transfert de charges relatif à l’entretien et la maintenance des voies adjacentes au tramway, notifié le 17 octobre 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - De neutraliser la période de travaux du tramway et donc de prendre en compte le coût moyen 2008-2009-2010. - D’appliquer le transfert de charges à partir du 1er janvier 2013, soit aux termes des travaux de finition postérieurs à l’inauguration. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR DANIEL VATTIER del-2013-11-05 - FINANCES – LOCATION DU LOGEMENT COMMUNAL 7 PLACE JEAN-JAURÈS – REMBOURSEMENT DU LOYER NOVEMBRE 2013 AU LOCATAIRE VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Budget Primitif 2013 et ses décisions modificatives. CONSIDÉRANT - Que le logement de l’école primaire Jean-Jaurès sis 7 place Jean-Jaurès nécessitait une réfection complète, couverture et zinguerie, désamiantage, menuiseries, réseaux, isolation, revêtements... - Que l’évaluation des délais, à l’approche du dernier trimestre de travaux, laissait supposer une livraison fin octobre, permettant au futur occupant Monsieur DIALLO Mamadou - de donner son préavis. - Que des travaux supplémentaires de la charpente ont nécessité une prolongation des délais de travaux nous conduisant à ne pouvoir livrer l’ensemble du logement dans le délai prévisionnel. - Que pour permettre l’hébergement du locataire, dont le successeur dans son logement actuel est désigné et entre dans les lieux le 4 novembre, il a été admis que la livraison du logement Jean-Jaurès s’opèrerait fin octobre. - Que les travaux n'étant pas terminés, le locataire va devoir subir durant 2 à 3 semaines quelques contraintes de cohabitation, au cours du mois de novembre. p. 33 / 91 PVCM-2013-11 - Que le bail a été signé au 1er novembre 2013. - Que le montant du loyer est de 446,39 € et les charges s'élèvent à 85,00 €. - Qu’au vu de ces désagréments un remboursement du loyer du mois de novembre 2013 pourrait être effectué. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE - Le remboursement du loyer du mois de novembre 2013 d’un montant de 446,39 € au locataire. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 658 Fonction 71. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME MARIE-CLAIRE DOUMBIA del-2013-11-06 – FINANCES – SUBVENTION DE FONCTIONNEMENT L’ASSOCIATION « BOUGEZ AVEC A.B.C.D. » POUR AIDE À LA CRÉATION À VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - La loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations. - Le décret n° 2001-495 du 6 juin 2001 pris pour application de l'article 10 de la loi précitée et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques. - La demande de subvention de l’association « BOUGEZ AVEC A.B.C.D. » en date du 3 septembre 2013 sollicitant une subvention de fonctionnement pour ses frais de création. CONSIDÉRANT - La création de l’association « BOUGEZ AVEC A.B.C.D. », déclarée en Souspréfecture le 9 juillet 2013, dont le siège social est situé au 5 route d’Orcher – 76700 Gonfreville l’Orcher. - Que le but de cette association est d’animer et de valoriser l’image du quartier de PABLO PICASSO, en créant un lien entre les habitants par le biais d’activités et de sorties. p. 34 / 91 PVCM-2013-11 - L’intérêt public local que constitue l’activité de cette association pour la Ville de Gonfreville l’Orcher. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - D’attribuer une subvention de fonctionnement à l’association « BOUGEZ AVEC A.B.C.D. » pour un montant de 250,00 €. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 6574 Fonction 025. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire C’est une subvention qui permet l’inscription au Journal Officiel, l’assurance etc.… Et cela fait bien plaisir d’avoir une association sur Pablo Picasso. Madame Marie Claire DOUMBIA Association déjà très active entre autre avec le Service Jeunesse et l’AGIES QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR MARC GUÉRIN del-2013-11-07 - DRH - MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS SUITE AUX AVANCEMENTS DE GRADES 2014 ET RÉUSSITES AUX CONCOURS VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - L’avis de la commission du personnel en date du 11 et du 20 septembre 2013. - L’avis du conseil des adjoints du 30 septembre 2013. CONSIDÉRANT - Les possibilités d’avancement de grades pour l’année 2014. - Que les avancements de grades 2014 seront validés par le Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de Seine-Maritime pour les catégories : ● A : le 19 décembre 2013 ● B : le 17 décembre 2013 p. 35 / 91 PVCM-2013-11 ● C : le 12 décembre 2013 LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - De modifier le tableau des effectifs en créant les postes suivants : ● Adjoint administratif principal de 1ère classe : 1 poste ● Adjoint administratif principal de 2ème classe : 1 poste ● Adjoint Technique Principal de 2ème classe : 5 postes ● Assistant de conservation Principal de 1ère classe : 1 poste ● Adjoint du Patrimoine principal de 2ème classe : 1 poste ● Animateur principal de 1ère classe : 1 poste DIT - Que compte tenu de l’avis obligatoire du Comité Technique Paritaire concernant les suppressions de postes, un réajustement du tableau des effectifs se fera au cours du premier semestre 2014. - Que la dépense sera imputée au budget chapitre 012. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR MARC GUÉRIN del-2013-11-08 - DRH – ADHÉSION ANNUELLE ET INSCRIPTION À LA JOURNÉE ANNUELLE AUPRÈS DE L’ASSOCIATION « ALCOOL ADDICTIONS ET TRAVAIL » ANNÉE 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment l’article L2121-29. CONSIDÉRANT - Que dans le cadre de sa politique de lutte contre l’alcool sur le lieu de travail et du soutien qu’elle apporte au groupe de prévention du risque d’alcool au sein de la collectivité (Cellule de reclassement) et auprès de divers partenaires dont l’Association « ALCOOL ADDICTIONS ET TRAVAIL », la Ville souhaite renouveler son adhésion auprès de cette association, comme depuis 2005 et s’inscrire à leur journée annuelle. p. 36 / 91 PVCM-2013-11 - Que dans l’intérêt de la collectivité, il y a lieu d’adhérer et de participer avec cette association à cette journée annuelle. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, APPROUVE - Le principe d’adhésion à l’Association « ALCOOL ADDICTION ET TRAVAIL », - L’inscription de deux Agents à la journée annuelle 2014 pour un montant de 70,00 € : ● Adhésion individuelle pour 2 Agents : 30,00 € ● Participation de 2 Adhérents avec repas : 40,00 € DIT - Que la dépense correspondante sera imputée au budget de la Ville chapitre 012. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR MARC GUÉRIN del-2013-11-09 - DRH – RECRUTEMENT DE PERSONNELS CONTRACTUELS – BESOINS TEMPORAIRES ET SAISONNIERS D’ACTIVITÉ – RENOUVELLEMENT – ANNÉE 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment l’article L2121-29. - La loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires. - La loi 84-53 du 26 janvier 1984, modifiée par la loi n° 2012-347 du 12 mars 2012, relative à l’accès à l’emploi titulaire et à l’amélioration des conditions d’emploi des agents contractuels dans la fonction publique, à la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives à la fonction publique, notamment son article 3. - Le décret n° 88-145 du 15 février 1988 modifié, pris pour l’application de l’article 136 de la loi du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et relatif aux agents non titulaires de la fonction publique territoriale. - L’avis de la Commission du Personnel en date du 13 novembre 2013. - Le budget primitif 2014. p. 37 / 91 PVCM-2013-11 - Le tableau des effectifs. - La déclaration de vacance d’emploi auprès du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de Seine Maritime. CONSIDÉRANT - La nécessité de renouveler et d’élargir le recrutement de personnels par contrat d’emploi pour faire face à un accroissement temporaire ou saisonnier d’activité pour l’année 2014. POUR LA PISCINE G D’O Afin de pallier aux absences diverses du personnel permanent, en cas d’indisponibilité, de renforcer les équipes lors de surcroît de travail, en difficulté ou de périodes de forte affluence (vacances scolaires,…). • 1 Adjoint administratif de 2ème classe à temps non complet 60 % soit 21 heures semaine selon les conditions contenues dans la délibération du Conseil Municipal du 25 février 2008. • 1 Adjoint technique de 2ème classe à temps non complet 71,43 % soit 25 heures semaine selon les conditions contenues dans la délibération du Conseil Municipal du 2 juin 2008. • 10 maîtres nageurs sauveteurs et surveillants de baignades à temps complet, soit 5 opérateurs des activités physiques et sportives pour les diplômés BNSSA (surveillant de baignade) et 5 éducateurs des activités physiques et sportives de 2ème classe pour les diplômés BEESAN (surveillant et enseignant des activités aquatiques) selon les conditions contenues dans les délibérations du Conseil Municipal du 25 juin 2007 et du 17 décembre 2007. • 6 adjoints administratifs de 2ème classe ou adjoints techniques de 2ème classe maximum à temps complet selon les conditions contenues dans la délibération du Conseil Municipal du 15 octobre 2007. Considérant les obligations dans le domaine de la sécurité en matière d’encadrement et de surveillance, l’importance de l’expérience technique et de la pratique demandée au chef de bassin, en matière de sécurité et surveillance du bassin de natation et le sauvetage, respect par les usagers des règlements intérieurs du bassin de natation, encadrement et gestion des équipes de maîtres nageurs sauveteurs et la nécessité de remplacer occasionnellement le chef de bassin en cas d’absentéisme. • 1 éducateur des activités physiques et sportives de 2ème classe à temps complet pour la fonction de Chef de bassin selon les conditions contenues dans les délibérations du Conseil Municipal du 29 juin 2009 et du 22 mars 2010. p. 38 / 91 PVCM-2013-11 POUR LES CENTRES DE VACANCES ET DE LOISIRS Afin d’encadrer les activités en direction de l’enfance et de la jeunesse pour tous les séjours proposés en centres de vacances et de loisirs dans le respect des dispositions arrêtées par le Ministère de la Jeunesse et des Sports. Afin d‘assurer l’organisation technique de ces séjours (entretien des locaux, restauration et service en salle, lingerie et cuisine). • D’Adjoints d’animation de 2ème classe et d’Adjoints techniques de 2ème classe, à temps complet ou à temps non complet selon les conditions contenues dans les délibérations du Conseil Municipal du 24 novembre 2003 et du 17 décembre 2007. • D’Animateurs à temps complet ou à temps non complet, au 3ème échelon pour la fonction de Directeur, au 2ème échelon pour la fonction de Directeur Adjoint et en référence à toutes les primes et indemnités instituées par l’assemblée délibérante, qui s’y rattachent. POUR LE CENTRE DE VACANCES « LES AILES BLANCHES » DE MAGLAND (HAUTESAVOIE) : Afin de gérer les problèmes techniques et la maintenance sur site (entretien des espaces verts, maintenance et réparation du matériel, petit bricolage, changement des lampes et interrupteurs, pose de joints, entretien, peinture, petite maçonnerie, plomberie, menuiserie). Afin d’accueillir dans les meilleures conditions les personnes des différents séjours. • 1 Adjoint technique de 2ème classe à temps non complet à raison de 5 heures hebdomadaires soit 5/35ème pour une période de 6 mois par an (du 16 janvier au 30 avril soit 3 mois et demi, du 20 juin au 19 août soit 2 mois et du 15 septembre au 30 septembre soit 2 semaines selon les conditions contenues dans la délibération du Conseil Municipal du 10 septembre 2007. Afin d ‘assurer en qualité de Cuisinier l’organisation technique de ces séjours en cuisine en remplacement de la Cuisinière attitrée. • 1 Adjoint technique de 2ème classe, à temps complet ou à temps non complet selon les séjours, au 6ème échelon, en référence à toutes les primes et indemnités instituées par l’assemblée délibérante qui s’y rattachent. Toute heure non programmable effectuée en plus de l’horaire de base fera l’objet d’une rémunération en heures supplémentaires en accord avec la législation les concernant. p. 39 / 91 PVCM-2013-11 POUR LE SALON DES SCIENCES ET TECHNIQUES « LA FÉE ÉLECTRICITÉ » Afin d’assurer la préparation, le vernissage, l’encadrement, la clôture, le rangement et le bilan de l’évènement. Le salon des sciences et techniques se déroulera à l’Espace Culturel de la Pointe de Caux de Gonfreville l’Orcher du 10 mars 2014 au 3 avril 2014 inclus. ● 4 Adjoints d’animation de 2ème classe à temps complet, au 1er échelon indice brut 297, en référence à toutes les primes et indemnités instituées par l’assemblée délibérante qui s’y rattachent. POUR TOUS LES SERVICES MUNICIPAUX Afin de pallier aux absences diverses du personnel titulaire permanent, en cas d’indisponibilité, de renforcer les équipes lors de surcroît de travail, en difficulté ou de périodes de forte affluence (vacances scolaires,…) à temps complet ou non complet. Le recrutement se fera selon les compétences de l’agent : • soit sur le 1er grade de la filière concernée au 1er échelon • soit sur le grade de l’agent remplacé au 1er échelon En référence à toutes les primes et indemnités instituées par l’assemblée délibérante qui s’y rattachent. Toute heure non programmable effectuée en plus de l’horaire de base fera l’objet d’une rémunération en heures supplémentaires en accord avec la législation les concernant. POUR LES JOBS D’ÉTÉ : (ACCROISSEMENT SAISONNIER D’ACTIVITÉ) La volonté municipale est d’accueillir au sein des services municipaux (Affaires générales, Secrétariat Général, Finances / Marchés Publics, Cabinet du Maire, Communication, DRH, Sport, Jeunesse, Culture, Hygiène et restauration, Informatique, Risques majeurs, Urbanisme), de la piscine Gd’O et de l’ensemble des Services Techniques, pendant la période estivale (juillet et août), des jeunes afin d’aider les familles à financer leurs études universitaires selon les conditions contenues dans la délibération du Conseil Municipal du 14 mai 2007. • D’Adjoints administratifs de 2ème classe, d’Adjoints d’animation de 2ème classe et d’Adjoints techniques de 2ème classe, à temps complet selon les conditions contenues dans la délibération du Conseil Municipal du 14 mai 2007. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, p. 40 / 91 PVCM-2013-11 DÉCIDE - De procéder au recrutement pour un accroissement temporaire d’activité ou saisonnier pour les raisons ci-dessus énumérées. AUTORISE - Monsieur le Maire à signer les contrats pour la période du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014. DIT - Que la dépense correspondante sera imputée au budget de la Ville chapitre 012. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-10 - CABINET - AIDE À LA PETITE ENFANCE EN AFRIQUE - DON DE MATÉRIEL À L’ASSOCIATION KIMIA MATERNELLE VU • Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - Que la commune a été sollicitée, comme en 2009, par l’association KIMIA MATERNELLE (Carré 1038 – Cotonou - Bénin) qui vient en aide à la petite enfance dans ce pays grâce à la collecte de matériel permettant de palier au manque de moyens. - Que cette association contribue à la création de crèches, d’écoles maternelles, de centres de loisirs. - Que le but de cette collecte est de récupérer des objets en bon état qui ne sont plus utilisés ou qui vont être remplacés. Ces objets peuvent être très divers (livres d’éveil ou éducatifs, bureaux d’écoliers, chaises, tables à langer, jeux, matériel de premier soins, éducatif, de loisirs, médico-social, etc...). - Que la commune possède ce type de matériel non utilisé. - Que le transport du matériel en Afrique par bateau, l’acheminement vers le port, les droits de douane et de location des containers, sont à la charge de l’association. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, p. 41 / 91 PVCM-2013-11 DÉCIDE - De faire don à l’association KIMIA MATERNELLE du matériel usagé et non utilisé suivant : ● 4 chaises et une table enfant en bois (médiathèque) ● 1 canapé enfant bleu (médiathèque) ● 2 fauteuils bébé bleus (médiathèque) ● 2 cubes en mousse (médiathèque) ● 2 tapis de sol (médiathèque) ● 15 peluches (médiathèque) ● 4 jeux éducatifs - 3/4 ans (médiathèque) ● 15 lits 120 x 60 cm en bois (centre de loisirs) AUTORISE - Monsieur le Maire à signer tout document relatif à cette demande. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-11 -CABINET – SALON MAPIC 2013 - PRISE EN CHARGE DES FRAIS RÉELS DU MAIRE VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - Que la commune a été invitée par la société REDEIM qui construit actuellement un centre commercial sur le secteur du Chemin Vert (ZD sud), à participer au salon MAPIC 2013 (marché international de l’implantation commerciale et de la distribution) qui se déroulera à Cannes du 15 au 17 novembre 2013. - Que Monsieur Jean-Paul LECOQ, Maire représentera la commune à cette occasion. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, p. 42 / 91 PVCM-2013-11 DÉCIDE - De prendre en charge les frais réels du Maire occasionnés par ce déplacement (transport, hébergement, restauration, parking). DIT - Que la dépense sera imputée au budget, compte Nature 6532 Fonction 020. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire Je vous en ai parlé tout à l’heure, puisque le projet était présenté et que la Société souhaitait qu’il y ait un élu sur place. Vu l’investissement, vu l’effort, c’était bien que ce soit le Maire qui représente la ville pour bien marquer le coup, y compris, auprès des investisseurs, futurs commerçants et pour y défendre l’idée de faire le Forum de l’Emploi avec les différents acteurs. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR ALBAN BRUNEAU del-2013-11-12 - RISQUES MAJEURS SERVICE PRÉVENTION COMMUNALE ENQUÊTE PUBLIQUE ENQ-2013-05 - OXINDUS - DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITER UNE INSTALLATION DE TRAITEMENT DE DÉCHETS ISSUS DES ACIÉRIES AVIS VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code de l’Environnement. CONSIDÉRANT - Le dossier d’enquête publique de demande d’autorisation de la société OXINDUS d’exploiter une installation de traitement de déchets issus des aciéries afin de les valoriser en matière première pour l’industrie à l’emplacement du hangar 104 sur la commune du Havre. - Que conformément aux dispositions de l’article R.512.20 du code de l’environnement, le Conseil Municipal est invité à émettre son avis dès l’ouverture de l’enquête. À défaut, celui-ci doit s’exprimer au plus tard dans les 15 jours qui suivent la clôture du registre d’enquête. - Que l’enquête publique se déroule du 28 octobre 2013 au 27 novembre 2013. - Qu’il a été procédé à une étude du dossier de la société OXINDUS. p. 43 / 91 PVCM-2013-11 LE CONSEIL MUNICIPAL - Après en avoir délibéré, ÉMET - Un avis favorable à la demande de la société OXINDUS d’exploiter une installation de traitement de déchets issus des aciéries afin de les valoriser en matière première pour l’industrie à l’emplacement du hangar 104 sur la commune du Havre, sous réserve de la prise en compte des remarques effectuées par la DREAL ((Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement). - La recommandation suivante : ● La société OXINDUS et les services de la DREAL devront faire preuve de vigilance une fois la validation du processus de production. Dans le cas d’une éventuelle demande d’extension du site, cette vigilance devra principalement prendre en compte les impacts environnementaux. Adoptée à l’unanimité Monsieur Alban BRUNEAU Processus innovant. N’ayant ni retour ni recul suffisants pour mesurer la dangerosité, souvenez-vous de l’usine CITRON, voilà pourquoi je vous propose d’émettre des réserves et des recommandations. C'est-à-dire que nous ne voulons pas nous mettre dans une position pour refuser l’activité et l’innovation sur notre territoire, mais nous ne voulons pas non plus être dans la position où nous acceptons tout et n’importe quoi sans garantie et sans contrôle. Nous savons que les contrôles sont de plus en plus difficiles notamment avec les moyens dont dispose la police de l’environnement qu’est la DREAL. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir. Nous faisons la proposition d’émettre un avis favorable tout en demandant aux services de l’État de mener toutes les investigations nécessaires et de suivre de très près le développement de cette entreprise. Monsieur le Maire Nous serons très vigilants sur cette entreprise. Chacun voit où se situe anciennement MILLENIUM, dans le quartier des Neiges. Chacun connait les vents dominants dans l’agglomération havraise et le déplacement des poussières quand il y a du vent. Cela veut dire que la situation et l’observation des déplacements de poussières et de vérification est de la compétence d’AIR NORMAND. S’il y a une dégradation de la qualité de l’air nous interpellerons AIR NORMAND pour voir p. 44 / 91 PVCM-2013-11 s’ils sont en capacité d’avoir des détecteurs sur ce genre de pollution potentielle. Nous ne voulons pas empêcher l’activité mais avoir une vraie vigilance. Monsieur Alban BRUNEAU La Société nous précise que le stockage est effectué dans un bâtiment fermé et que tous les sols sont étanches. Il faudra montrer de la vigilance vis-à-vis des déchets produits afin qu’ils ne soient pas déversés dans le canal. Il y a des interrogations notamment sur la protection de l’eau. Monsieur le Maire Nous avons connu quelques chefs d’entreprise un peu délinquants sur ces questions d’environnement, donc nous avons intérêt à surveiller. Les organisations syndicales ont intérêt à surveiller les conditions de travail du personnel dans ce genre d’entreprise, car cela impacte aussi les conditions de vie et de travail. Avis favorable mais des réserves sérieuses. Madame Catherine NORDET Pourquoi retraiter loin des aciéries, pourquoi avoir choisi le site du Havre ? Monsieur Alban BRUNEAU Le site du Havre est intéressant car c’est un port. La matière retraitée arrivera et repartira en matière première. Monsieur le Maire La récupération des poussières arrivera d’un peu partout dans le monde. C’est un trafic pour le Port. Si c’est du trafic qui fait de l’exportation cela est plutôt intéressant de valoriser ce genre d’activité. Pourquoi avons-nous toute une industrie de déchets qui se crée sur l’Estuaire ? C’est parce que les déchets peuvent arriver de partout. Nous pensons qu’il y a une économie sérieuse à faire derrière tout cela et pas que le déchet, mais aussi la déconstruction. Nous avons toujours plaider pour le fait que l’on déconstruise les bateaux au Havre, parce qu’il y a de la matière première c’est dommage de l’envoyer en Inde. La matière première a une valeur énorme, mais vendue pour rien pour l’instant. L’exploitation, c’était d’utiliser des personnes pour leur faire subir n’importe quelles conditions de travail. Aujourd’hui il faut continuer à pousser ces entreprises pour qu’elles soient chez nous, que la matière première reste là, que la déconstruction automobile se fasse ici, celle des bateaux également, celle p. 45 / 91 PVCM-2013-11 des bâtiments aussi, que les matériaux utilisés soient traités, revalorisés et réutilisés, éventuellement exportés. C’est une vraie économie. Dans l’avenir nous ne pourrons puiser la matière première dans la planète indéfiniment. Nous devons utiliser celle qui est autour de nous, la valoriser et la remodeler. On a une industrie qui se structure et qui s’adapte. C’est plutôt intéressant pour la richesse du territoire. Mais il y a des conditions de travail à surveiller de très près car c’est le genre d’industrie, où, le souci premier n’est pas forcément l’état de santé de leur personnel. Monsieur Alban BRUNEAU Quelques précisions. C’est une entreprise qui va d’abord traiter quelques milliers de tonnes de poussières par an (6 tonnes par heure). Les premières tonnes viennent de la région de Dunkerque, où il y a encore des aciéries, et de la Vallée de la Seine. Nous imaginons bien que si cela fonctionne, si le procédé est validé, nous aurons vite identifié que l’entreprise aura des capacités à s’étendre y compris sur le territoire. Monsieur le Maire La matière première, quand nous disons les poussières des métaux, ne provient pas que des aciéries, elle peut aussi provenir des usines de décolletage, tout ce qui fait de la poussière. Chez DRESSER, ils récupèrent la poussière de métaux. Les copeaux des métaux sont valorisés et retraités dans ce genre d’usine. Ils sont récupérés, puisqu’il y a déjà des usines qui récupèrent les copeaux des métaux et qui désolidarisent l’huile et le métal. Tout se récupère, tout a de la valeur, car parfois, dans les métaux vous trouvez de tout, même des métaux très précieux. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-13 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE - SUBVENTION EXCEPTIONNELLE AU COMITÉ RÉGIONAL DE HAUTE-NORMANDIE DE L’ASSOCIATION FRANÇAISE BUCHENWALD, DORA ET KOMMANDOS VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - Que chaque année, le Comité Régional de Haute-Normandie de L’ASSOCIATION FRANÇAISE BUCHENWALD, DORA ET KOMMANDOS organise un « Voyage Mémoire » en Allemagne dans les camps de concentration de Buchenwald et Dora auquel participe une cinquantaine de collégiens du Département (Saint-Valéry-en-Caux, Harfleur, Saint-Étienne du Rouvray, Dieppe). p. 46 / 91 PVCM-2013-11 - Que cette initiative a pour but de faire connaître aux jeunes générations la barbarie de l’idéologie nazie pour permettre de lutter au présent et dans l’avenir contre toutes ses formes. - Que la municipalité soucieuse d’entretenir ce « devoir de mémoire », soutient cette action depuis 1995 en encourageant deux jeunes gonfrevillais à effectuer le voyage. - Qu’à cet effet, la Ville souhaite participer financièrement au voyage de ces jeunes en versant à l’Association une subvention exceptionnelle de 700,00 €. (Le coût du voyage pour un jeune s’élevant à 400 €, la commune prend en charge 350,00 € par personne et laisse 50,00 € à la charge de la famille.) - Que ce voyage se déroulera du 11 au 16 avril 2014. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, RÉAFFIRME - Son soutien à cette initiative en votant une subvention exceptionnelle de 700,00 €. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal Nature 6574 Fonction 025. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire Je dois vous dire aussi que l’évolution de ce travail de mémoire est assez intéressant. À la dernière manifestation aux Monuments aux Morts, des jeunes étaient présents avec leur enseignant, avec Monsieur le Principal du Collège, avec les associations des Anciens Combattants. J’ai expliqué au Conseil d’Administration du Collège, que la Ville était preneuse de toute initiative à l’occasion de ces moments de Mémoire que pourraient mener des enseignants : dire un poème, un texte d’un auteur. Tout ce qui peut faire en sorte que les gens puissent se recueillir au Monument aux Morts, que la Jeunesse mesure ce que veulent dire ces commémorations et le fait de ne pas oublier. Cela permet aussi aux enseignants de faire ce travail d’Histoire. p. 47 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-14 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE – CLASSES DE NEIGE 2014 DEMANDE DE PARTICIPATION FINANCIÈRE AU CONSEIL GÉNÉRAL DE SEINE MARITIME VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - Les dispositions et la décision prises par le Conseil Général en matière d’aide départementale aux organisateurs de Classes transplantées pour l’année 2013 / 2014. - Que cette année la participation départementale est fixée à 4,00 € par jour et par enfant. - Que la collectivité organise des séjours en classes de neiges en faveur des enfants de CM2 scolarisés auprès des écoles élémentaires de la Ville. - Qu’en 2014, 3 séjours en classes de neige d’une durée de 14 jours sur place seront organisés, pour un effectif total de 104 enfants et un séjour d’une durée de 10 jours sur place pour un effectif de 45 enfants. - Que les montants sollicités sont prévus ainsi : - Pour les séjours de 14 jours : 4,00 € X 14 journées sur place pour 104 enfants soit 5 824,00 € - Pour le séjour de 10 jours : 4,00 € X 10 journées sur place pour 45 enfants soit 1 800,00 € Soit un montant total sollicité de 7 624,00 €. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE - Monsieur le Maire à solliciter l’aide financière du Conseil Général de Seine Maritime pour le fonctionnement des classes transplantées gérées par la collectivité. DIT - Que la recette sera imputée au budget, compte Nature 7473 Fonction 4231. p. 48 / 91 PVCM-2013-11 Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-15 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE – SÉJOUR HIVER À MAGLAND POUR LES ADOLESCENTS – ADOHIVER – TARIFS 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - Que la municipalité souhaite favoriser le départ d’adolescents à la montagne pendant les vacances d’hiver. - Qu’en 2014, un seul séjour sera organisé pour les adolescents pendant les vacances d’hiver d’une durée de 9 jours du 22/02/2014 au 02/03/2014. - L’augmentation liée à l’évolution du coût de la vie et l’augmentation des tarifs des différents prestataires (transport, remontées mécaniques). LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - D’augmenter les tarifs de l’année 2013 de 2 % et de les arrondir à l’euro supérieur. FIXE - Les tarifs des séjours ADOHIVER 2014 pour 9 jours aux montants suivants : TARIF SÉJOUR Année 2013 Année 2014 pour mémoire - Gonfrevillais 337,00 € 344,00 € - Extérieurs 674,00 € 688,00 € p. 49 / 91 PVCM-2013-11 DIT - Que les recettes seront imputées au budget principal Nature 70632 Fonction 423.2 Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire J’ai été sollicité par un courrier assez surprenant. Avant ce courrier, il y a eu une pétition de parents qui demandaient qu’une ancienne employée de l’Éducation Nationale parte à Magland en classe de neige pour assurer la liaison internet avec les parents. J’ai expliqué à la Directrice de cette école, que la méthode était d’avoir un courrier avant la pétition. Madame la Directrice m’a répondu qu’elle n’avait pas pu maîtriser cela, les parents avaient commencé. La Ville, même si elle peut accueillir une personne au niveau des repas, ne prendra pas la responsabilité de prendre un bénévole. C’est à l’Éducation Nationale de le faire. Si Monsieur l’Inspecteur d’Académie nous dit : « J’accepte qu’une personne bénévole soit assurée par l’Éducation Nationale, donc l’Éducation Nationale assume ce qu’elle pourrait éventuellement faire, son comportement…. ». Dans ces cas-là, je veux bien examiner. Mais tant que ce n’est pas soutenu et porté par l’Éducation Nationale, ce n’est pas à la Ville de Gonfreville l’Orcher, sur la base d’une pétition, un peu initiée par les institutrices, de rajouter des personnes. Je tenais à vous en informer, même si nous n’avons pas encore apporté de réponse à ce jour. Comme cela fait l’objet d’une pétition, sans débat préalable, peut-être allez-vous en entendre parler. Je préfère donc que vous disposiez des questions telles qu’elles sont posées. Le Maire n’assumera pas la responsabilité de la personne, c’est sûr. Que l’Inspecteur d’Académie le fasse, c’est quand même l’État qui a retiré les emplois, les enseignants se sont battus à un certain niveau pour essayer de préserver ces emplois dans l’Éducation Nationale. Le Gouvernement supprime des emplois et il faut au moins qu’il assume le fait qu’il protège des bénévoles travaillant pour l’Éducation Nationale, au moins les protéger et assurer. Je ne veux pas l’assurer et ne veux pas l’inscrire dans les animateurs. Ce n’est pas possible. p. 50 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-16 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE - BOURSES D’ÉTUDES POUR LES LYCÉENS ET ÉTUDIANTS GONFREVILLAIS SCOLARISÉS DANS UN ÉTABLISSEMENT SITUÉ HORS DE GONFREVILLE L’ORCHER – ANNÉE 2013 / 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - La décision de la municipalité d’accorder des bourses d’études aux jeunes gonfrevillais lycéens et étudiants scolarisés dans un établissement scolaire situé hors de la commune. - Que cette bourse n’est pas accordée aux jeunes en contrat d’apprentissage et ou de professionnalisation et percevant une rémunération. - Que cette bourse est déclinée en deux cas de figure : ● 1ère bourse pour les collégiens - lycéens : montant pouvant aller jusqu’à 54,00 € Cette bourse est soumise à conditions de ressources. ● 2ème bourse pour les étudiants : 183,00 €. Cette bourse est attribuée sans condition de ressources. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré DÉCIDE D’accorder les sommes suivantes pour l’année 2013/2014 : Pour les Collégiens – Lycéens N° Nom du chef de famille 1 AMOURS Linda 2 BAILLEUL Isabelle 3 BALASOIU Florentin 4 BARAY Nathalie 5 6 Adresse Nom de l'enfant DUCHEMIN Aymerick BENNETOT Barbara 12 rue des Corderies 6 allée Henri Barbusse 12 résidence Saint Dignefort résidence Saint Dignefort 4 rue Romain Rolland CAVAL Solène BOUET Christel 4 rue Anne Franck LECUIROT Dylan ROUE Marina JACQUEMIN Eloise BARAY Kimberley Lycée lycée Albert Sorel HONFLEUR lycée Privé Germaine Coty Somme collège Sacré Coeur 54,00 € lycée Jules Lecesne 54,00 € lycée Jeanne d'Arc lycée technique Auguste Perrey 54,00 € 54,00 € 54,00 € 54,00 € p. 51 / 91 PVCM-2013-11 7 BOUET Christel 8 BOULESTIN William 9 CAHARD Xavier 10 CHOISEUL Pierre 11 COURVAL Delphine 12 DELAVIGNE Véronique 13 DUPONT Sébastien 14 FRIBOULET Franck 15 GUILBERT Jean-Michel 4 rue Anne Franck 14 rue Marcel Cachin 6 rue des Corderies 12 rue Marcel Gondouin 4 rue de Teltow 18 rue Marcel Gondouin 2 allée Gustave Courbet 28 rue René Cance 19 rue Maurice Thorez 16 IMAM Abdul GhaniBola 6 rue Marcel Cachin LECUIROT Johanie HAUCHECORNE Arnaud lycée Françoise de Grâce 54,00 € lycée Jules Siegfried 54,00 € CAHARD Léa lycée Jules Lecesne 54,00 € JEANNE Jordan COURVAL Collen DELAVIGNE Pauline DUPONT Amélia FRIBOULET Ulrich REMONDGUILBERT Alexy lycée Jules Siegfried 54,00 € lycée Jeanne d'Arc 54,00 € lycée Jeanne d'Arc 54,00 € lycée Jules Lecesne 54,00 € lycée Jean Prévost 54,00 € lycée Jules Siegfried 54,00 € IMAM Khalid lycée Porte Océane 54,00 € 17 KEREVER Laurence 6 rue du 1er mai AVENEL Marine Lycée Claude Monet 54,00 € 18 KONG Michel LADIRAY Pascal 20 LANGLOIS Max 3 allée Victor Hugo KONG Valentin LADIRAY Grégory LANGLOIS Jennessy 21 LE LAY Cédric 31 rue du Bel Horizon Lycée Jean Prévost lycée technique Auguste Perrey Lycée privé Saint Vincent de Paul Collège privé Sainte Croix 54,00 € 19 4 rue du parc 4 allée Henri Barbusse 54,00 € Lycée Claude Monet 54,00 € lycée Jules Lecesne 54,00 € lycée Jules Lecesne 54,00 € collège Léo Lagrange 54,00 € lycée Jean Prévost lycée Françoise de Grâce 54,00 € 54,00 € lycée Jean Prévost 54,00 € lycée Lavoisier 54,00 € CAVROY Nolan LEROUX Nathaëlla MAUTALENT Logan lycée Jeanne d'Arc 54,00 € lycée Jeanne d'Arc lycée technique Auguste Perrey 54,00 € 54,00 € MICHEL Sonia OULDNAIR Stylan QUEVAL Anthony lycée Jean Prévost 54,00 € lycée Jules Lecesne 54,00 € lycée Lavoisier 54,00 € LEROY Mariana ROTURIER Kassandra lycée Jean Prévost lycée Françoise de Grâce 54,00 € 22 LECARPENTIER Florence 18 rue du 1er Mai 23 LECOINTRE Dominique 34 rue Michelet 24 LECOINTRE Dominique 25 LEFEBVRE Mickaël 26 LEMOINE Laurent 27 LEPINE Tony 34 rue Michelet 1 allée Gustave Courbet 6 rue de la Ferme Leblond 5 allée Henri Barbusse 28 LEPRETRE Cédric 2 rue Anne Franck 29 LEPRETRE Cédric 30 LEROUX Géraldine 31 LEROUX Géraldine 32 MAUTALENT Catherine 33 MICHEL Frédéric 2 rue Anne Franck 15 rue Marcel Cachin 15 rue Marcel Cachin 1 allée Henri Barbusse 7 rue Général d'Harcourt 34 OULDNAIR Brahim 35 QUEVAL Jean-Louis 36 RENOU Pierre 33 rue de la Verrerie 6 rue Jacques Duclos 6 avenue Jacques Eberhard 37 ROTURIER Yannick 3 rue Pablo Picasso LE LAY Enola CLAVEYROLE Mathilde LECOINTRE Séverine LECOINTRE Delphine HAUGUEL Laureen DA COSTA SILVA Océane LEPINE Bénédicte LEPRETRE Aurélie LEPRETRE Steeve 54,00 € 54,00 € 54,00 € p. 52 / 91 PVCM-2013-11 38 VALLET Xavier 18 rue Michelet VALLET Andréa 39 VREL Jacques 40 YON Farida 2 rue Henri Barbusse 3 rue Jacques Duclos VREL Lucy BELKACEM Mégane Lycée privé Saint Vincent de Paul 54,00 € lycée Jeanne d'Arc 54,00 € lycée Jean Prévost 54,00 € TOTAL 2 160,00 € Soit 40 bourses pour les collégiens – Lycéens de 54,00 € pour un montant de 2 160,00 €. Pour les étudiants Nom Prénom 1 ABDENOUR Samiha 2 AGDOUR 3 montant attribué Adresse Établissement scolaire Institut de Formation en soins infirmiers Dreux 183,00 Rayane 29 chemin de la Pissotière à Madame 17 rue de la Motte Féodale université Le Havre 183,00 AMOURS Margaux 15 rue de la Ferme Leblond 4 5 6 7 8 9 10 11 12 ARGENTIN ARGENTIN AUBER BARBAY BARBAY BASSET BELKACEM BENNETOT BIEZ Pierre Julien Quentin Juliette Lucas Julie Asmahan Alyssia Laura Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre Lycée Jules Siegfried - Le Havre université Le Havre université Le Havre université Le Havre université Le Havre université de Caen université Le Havre université Le Havre université de Rouen 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 13 BISPE Philippine Institut social de Lille 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 19 rue des Érables 10 rue de Turgauville 5 rue Maurice Thorez 52 allée des Grives 52 allée des Grives 4 rue de Turgauville 1 rue Pierre Glénisson 4 rue Romain Roland 27 avenue St Sauveur 20 chemin des Pêcheurs 14 15 16 BLONDEL BOULET BOULET Julie Camille Maud 1 rue du Parc 89 bis route d'Orcher 89 bis route d'Orcher lycée les bruyères Sotteville Les Rouen université de Lille université de Rennes 2 17 18 BOUTOUIL BOUVARD Caroline Marlène 13 rue René Cance 20 rue de la Boulaye Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre université Le Havre 19 BOUVIER Rachel 77 route d'Orcher 20 BREANT Florestan 4 rue du Parc 21 22 BRUNEAU BRUNO Thomas Adriano 16 rue des Érables 7 impasse Bellevue 23 CAHARD Romuald 6 rue des Corderies 24 25 CARON CAVAL Julien Thomas 7 rue d'Apremont 4 rue Romain Roland Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre lycée François 1er - Le Havre Lycée Jules Siegfried - Le Havre université d'Arras lycée Robert Schuman - Le Havre Lycée Jules Siegfried - Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 p. 53 / 91 PVCM-2013-11 5 rue Julius et Ethel Rosenberg 30 rue de la Verrerie 26 27 CHABOCHE CHOISEUL Jordan Sandy 28 29 CHOISEUL CLECH Stessy Baptiste 30 COASNE Thibault 31 COASNE Valentin 32 CRESSENT Jessica 33 34 DECAEN DEFORTESCU Julie Thibault 35 DEGRE Luigina 36 37 DELLIER DESCHAMPS Julie Marine 38 39 DONNE DRONNE Coralie Laura 16 chemin de la Grenouillère 20 Chemin de la Fondance 7 avenue de brocqueville 3 place Jean Jaurès 47 Groupe Pablo Picasso 15 rue de la Motte Féodale 9 rue Louis Aragon 18 ter rue Maurice Thorez 25 rue Maurice Thorez 40 DRONNE Maria 25 rue Maurice Thorez 41 DUBOCAVE Céline 42 DUCHEMIN Jordan 43 44 DUMONT DUVIEUX Yoann Amandine 45 ETENDARD Clément 46 FERRY Charlène 47 FINCIAS Melanie 3 Cité Pelletier 49 Avenue Marcel Le Mignot Résidence Saint Dignefort 9 route d'Oudalle 21 rue du Général d'Harcourt CA Résidence Saint Dignefort Ba 12 Résidence Saint Dignefort 48 49 50 51 FONDIMARE FOUBERT GAFFE GASSE-MARGAT Adrien Logan Marion Valentin 52 GAULT Alexandre 2 c chemin de la Forge 8 place de l'Église 7 rue Marcel Cachin 11 impasse Bellevue 34 rue Théodore Monod 53 54 GAUTIER GINEFRI Audrey Antoine 6 allée Henri Barbusse 19 rue Maurice Thorez 55 56 57 GOESSANT GOMEZ GONZALEZ Marion Marina Alexis 58 GRANCHER Juliette 59 GRANCHER Louise 60 GRANCHER Mathilde 3 cité Hauguel 48 route d'Oudalle 44 allée des Fauvettes 68 avenue de Côtes Blanches 68 avenue de Côtes Blanches 68 avenue de Côtes Blanches 30 rue de la Verrerie 18 rue du 1er Mai 16 chemin de la Grenouillère université Le Havre IFEN 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre université de Rouen 183,00 183,00 université Le Havre 183,00 Ecole Nationale Sup Maritime Le Havre 183,00 université de la Réunion 183,00 université Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 université Le Havre 183,00 université Le Havre université de Caen Lycée Jeanne d'Arc - Le Havre université Le Havre lycée St Vincent de Paul Le Havre 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre 183,00 183,00 183,00 183,00 université Le Havre Lycée Jules Siegfried - Le Havre université de Rouen 183,00 183,00 183,00 université de Rouen 183,00 université Le Havre 183,00 université Le Havre Lycée Jules Siegfried - Le Havre université Le Havre IFEN université Le Havre 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 université de Rouen lycée Porte Océane - Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Abbeville université de Rouen université Le Havre 183,00 183,00 183,00 université de Rouen 183,00 université de Rouen 183,00 lycée St Joseph - Le Havre 183,00 p. 54 / 91 PVCM-2013-11 61 GUERIN Emilie 3 allée Victor Hugo 62 GUIHEUX Clementine 14 route de Saint Laurent 14 route de Saint Laurent 63 GUIHEUX Marie-Lou 64 HEBERT Johannie 65 HEDOUIN Priscillia 66 HENRY Maylisse 67 HENRY Nancy 68 69 70 71 72 73 HOLOWEZNSKI IMAM JULIEN LABBE LABBE LAIGRE Léa Sumaiyah Coralie Estelle Quentin Julia 74 LALONDE Manon 75 LATTELAIS Lucie 76 LE MIGNOT Elodie 77 LE MIGNOT Léa 78 79 LEBIGRE LECOINTRE Nicolas Jonathan 80 LECOQ Marion 81 82 LEDUC LEDUEY Amélie Jessica 83 84 LEDUEY LEDUEY Pascaline Thomas 85 86 LEFRANCOIS LEGROS Baptiste Dylan 87 LEPINE Ludivine 6 rue de Teltow 82 rue Jacques Duclos 2 bis chemin du Chouquet 102 route d'Orcher 42 rue de la Motte féodale 88 LEQUEUX Stanislas 100 bis route d'Orcher 89 LEROY Floriane 90 LEROY Katy 91 LESUEUR Margaux 92 LIMOUZIN Camille 93 LOISEL Guillaume 73 allée des Mésanges 2 avenue Jacques Eberhard 64 avenue de Côtes Blanches 6 rue de Teltow Pavillon du Prado RN 15 6 rue Marcel Cachin 6 rue des Corderies 6 rue Elsa Triolet 6 rue Elsa Triolet 60 rue du Colombier 42 bis rue de la Belle Aurore 6 chemin de la Grenouillère 74 avenue de Côtes Blanches 74 avenue de Côtes Blanches 7 rue Romain Roland 34 rue Michelet 10 rue Frédéric Juliot Curie 2 rue de la Motte Féodale 82 rue Jacques Duclos 1 avenue de Côtes Blanches 12 rue Rosa Luxembourg 70 avenue de Côtes Blanches 16 rue du Beau Panorama 11 rue des Clos Molinons Lycée Jeanne d'Arc - Le Havre Ecole supérieure de navigation - Antwerpen / Belgique Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre Lycée Françoise de Grâce - Le Havre 183,00 183,00 183,00 183,00 université de Limoges 183,00 université Le Havre 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre 183,00 université Le Havre université de Rouen IDS Canteleu université Le Havre université Le Havre IFEN 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 université de Caen 183,00 lycée agricole Yvetot 183,00 Université de Lorraine 183,00 université de Rouen Lycée Jules Siegfried - Le Havre université Le Havre lycée Gustave Flaubert Rouen Lycée Jeanne d'Arc - Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 université de Lille université Le Havre 183,00 183,00 université de Rouen Lycée Jeanne d'Arc - Le Havre 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre 183,00 université Le Havre lycée St Vincent de Paul Le Havre lycée Claude Monet - Le Havre 183,00 183,00 université Le Havre 183,00 183,00 p. 55 / 91 PVCM-2013-11 31 avenue Marcel Le Mignot 7A rue du Général d'Harcourt 36 route d'Oudalle 94 LOPEZ Julien 95 96 MADELINE MALLET Leslie Amandine 97 MARECHAL Préscillia 98 MARIE Océane 99 100 MARINIGH MERCIER Lisa Vincent 101 MICHEL Sarah 102 MILLET Tatiana 103 MORVAN Aurélia Ecole de Turgauville rue M Thorez 55 rue Louis Aragon 7D rue du Général d'Harcourt 14 rue Julius et Ethel Rosenberg 61 rue de la Belle Aurore 104 105 NGUYEN NOUAILLE Kim Johan Augustin 62 route d'Orcher 11 rue de la Verrerie 106 OLIVIER Rachel 107 OZENNE Antoine 108 OZENNE Maxime 109 PAUMELLE Camille 1 allée Victor Hugo 34 rue de la commune de Paris 34 rue de la commune de Paris 17 rue du Général d'Harcourt 110 111 PECQUEUR PITTE Isabelle Charles 112 PLUCHON Coralie 1 rue Jacques Duclos BC 12 Résidence St Dignefort / route d'Oudalle 35 rue Julius et Ethel Rosenberg 3 rue Jacques Duclos 19 avenue de Côtes Blanches 113 114 QUESNEL REMOND Justine Nicolas 14 rue de J'refia 19 route d'Oudalle 115 REMOND Loîc 116 ROLLAND Vincent 117 ROUILLARD Charles 19 route d'Oudalle 60 avenue de Côtes Blanches 30 rue des Clos Molinons 118 119 ROURRE SAINT MARTIN Karyne Davy 120 121 Chloé Elodie 122 SAUNIER SAUNIER SAUNIER-CHEVALIER 151 cité Camus 4 rue Romain Roland 7B rue du Général d'Harcourt 1 rue des Cambrettes Noémie 123 124 SEIXAS-MACEDO SENARD 125 126 SON TONDELIER Ecole de théâtre / ateliers de sudden - Paris 183,00 université Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre 183,00 Lycée privé Coty - Le Havre 183,00 université de Rouen université de Rouen 183,00 183,00 université Le Havre 183,00 université Le Havre 183,00 université de Louvain conservatoire musique de Rouen université Le Havre 183,00 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre 183,00 Iscom Lille 183,00 université Le Havre Lycée Jeanne d'Arc - Le Havre 183,00 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre université Le Havre 183,00 183,00 université de Rouen 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre ESTIA - Bidart Lycée Jules Siegfried - Le Havre lycée Jean Prévost Montivilliers université Le Havre lycée Germaine Coty - Le Havre lycée St Joseph - Le Havre 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 183,00 1 rue des Cambrettes université Le Havre INSEEC Bordeaux Lycée Jeanne d'Arc - Le Havre 183,00 183,00 183,00 Tatiana Thomas 12 rue de la Motte Féodale 13 rue Jacques Prévert Institut de Formation en soins infirmiers Rouen université Le Havre 183,00 183,00 Lucie Lucile 2 allée des Maraichers 6 rue du 1er Mai Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre Lycée Jeanne d'Arc - Le 183,00 183,00 p. 56 / 91 PVCM-2013-11 Havre 127 TOUTAIN Manon 30 rue de la Boulaye 128 TOUTAIN Noémie 30 rue de la Boulaye 129 TROUVE Katy 130 131 132 UHLIG URVOIS VINCENT Quentin Margault Aurélie 133 YAHIAOUI Sofiane 3 allée Henri Barbusse 11 Chemin de la Fondance 19 cité Bassot 7 rue de la Vallée 5 rue de la Motte Féodale Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre lycée Porte Océane - Le Havre 183,00 Institut de Formation en soins infirmiers Le Havre 183,00 183,00 ISEL Le Havre université de Rouen université de Rouen lycée Jean Prévost Montivilliers 183,00 183,00 183,00 183,00 TOTAL 24 339,00 Soit 133 bourses pour les étudiants de 183,00 € pour un montant de 24 339,00 €. DIT - Que le montant total s’élève à 26 499,00 € pour l’année 2013/2014. - Que la dépense sera imputée au budget compte 6714 ● Fonction 22 pour 2 160,00 € - pour les bourses Collégiens - Lycéens ● Fonction 23 pour 24 339,00 € - pour les bourses Étudiants. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-17 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE – ACTIONS ARTISTIQUES SUR LE QUARTIER « BARBUSSE » CONVENTION AVEC L’ASSOCIATION DU GRAIN À DÉMOUDRE VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - L’avis de la commission Démocratie et vie des quartiers du 16 septembre 2013. - L’avis de la commission budgétaire en date du 24 septembre 2013. CONSIDÉRANT - Que la Ville a lancé depuis le début de l’année 2013 une réflexion sur le devenir du quartier « Barbusse » composé des allées Anatole France, Henri Barbusse et Victor Hugo, p. 57 / 91 PVCM-2013-11 - Que cette réflexion se veut participative et pour se faire, se fonde sur la parole des habitants et sur ce qu’ils souhaitent pour leur quartier. - Qu’en parallèle de cette démarche institutionnelle, il a été souhaité la mise en place d’actions à dimension artistique pour aider à faire naître cette parole habitante. - Que l’association DU GRAIN À DÉMOUDRE a proposé plusieurs actions sur 2013 et 2014 dans ce cadre. - Qu’à ce titre, l’association DU GRAIN À DÉMOUDRE percevra la somme de 9 560,00 € se décomposant de la façon suivante : ● 3 520,00 € pour le paiement des intervenants en 2013 ● 5 040,00 € pour le paiement des intervenants en 2014 ● 1 000,00 € pour son travail propre en 2014 - Que cette participation nécessite d’être conventionnée pour l’année 2013 et 2014. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, APPROUVE - Le projet et la convention relatifs aux actions artistiques sur le quartier « Barbusse » avec l’association du GRAIN À DÉMOUDRE. AUTORISE - Monsieur le Maire à signer la convention avec l’association DU GRAIN À DÉMOUDRE pour un montant de 9 560,00 €. DIT - Que la dépense sera imputée aux budgets principaux 2013 et 2014 Nature 6228 Fonction 422. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire L’ouverture du Festival du GRAIN À DÉMOUDRE est lancée. Il se déroule en ce moment, donc n’hésitez pas à aller à l’Espace Culturel de la Pointe de Caux, à la FORGE d’Harfleur, au TÉTRIS, dans les cinémas extérieurs. Des manifestations ont aussi lieu à la Maison de l’Étudiant, ainsi qu’au SIRIUS. p. 58 / 91 PVCM-2013-11 Le festival du GRAIN À DÉMOUDRE commence à prendre une ampleur d’agglomération, ce qui va très bien, puisque c’était l’idée que l’on avait il y a 14 ans, quand la Municipalité a fait le choix de soutenir ce Festival. À la cérémonie d’ouverture, l’association du GRAIN À DÉMOUDRE a eu l’agréable surprise de recevoir un prix de la MAIF, 1er prix régional pour les associations qui œuvrent en matière d’éducation. Après avoir répondu à un appel à projet, l’association a reçu le deuxième prix national. C’est une vraie association et les personnes de la MAIF qui étaient présentes, avaient fait leur choix sur dossier. Après avoir vu l’organisation du Festival, le rôle des jeunes, qui avaient le pouvoir dans le Festival, ils se sont dits que l’association du GRAIN À DÉMOUDRE méritait bien le deuxième prix national. Nous pouvons nous satisfaire de cela. C’est une vraie fierté de voir la reconnaissance de ce Festival, car ce ne sont pas les premières autorités qui le reconnaissent. Des réalisateurs viennent de plus en plus. Des comédiens, des professionnels du cinéma se déplacent à Gonfreville l’Orcher lors de ce Festival. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-18 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE – SUIVI PHOTOGRAPHIQUE DE TELTOW SUD - STUDIO BB FLIRT VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - L’avis de la commission Démocratie et vie des quartiers du 16 septembre 2013. - L’avis de la commission budgétaire en date du 24 septembre 2013. CONSIDÉRANT - Que la Ville rénove depuis 2006 l’un de ses quartiers Teltow et qu’après la phase Nord, la phase Sud commence et s’étalera sur 5 années, de 2014 à 2018. - Que la Ville souhaite que cette phase de rénovation de Teltow Sud soit suivie photographiquement en trois étapes : ● Avant travaux, ● Pendant les travaux ● Travaux finis - Que la Ville souhaite qu’un ouvrage photographique soit édité à la fin de ce suivi. p. 59 / 91 PVCM-2013-11 - Que le STUDIO BB FLIRT a été retenu pour assurer le dit suivi et l’édition de l’ouvrage. - Que le coût de ce suivi et de l’édition d’un ouvrage est de 5 000,00 € pour 5 ans à raison de 20 % - soit 1 000,00 € par an. - Qu’il est nécessaire de conventionner ce suivi sur cinq années avec le STUDIO BB FLIRT. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, APPROUVE - Le projet et la convention relatifs au suivi photographique de Teltow Sud. AUTORISE - Monsieur le Maire à signer la convention avec le STUDIO BB FLIRT pour un montant de 5 000,00 €. DIT - Que la dépense de 5 000,00 € sera imputée aux budgets 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018, à raison de 1 000,00 € par an Nature 6228 Fonction 422. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire Chacun a vu les œuvres déjà réalisées sur la partie Nord du quartier, qui sont vraiment importantes ! Pas de problème ? Merci beaucoup. Avant de passer sur les délibérations de Monsieur Cédric PELLETIER, notre adjoint à la Culture, je voudrais vous dire que le Festival du GRAIN À DÉMOUDRE se déroule avec un cinéma numérique. Notre cinéma est transformé. Les films sont reçus par la fibre optique, d’excellente qualité avec une programmation en décembre de films en 3D. Je vous invite à aller voir et vous verrez dans quelle dimension évolue notre salle. p. 60 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-19 - CULTURE – PROMOTION DES SPECTACLES DE LA PROGRAMMATION CULTURELLE MUNICIPALE – CONVENTION AVEC LA RADIO FRANCE BLEU HAUTE-NORMANDIE – SAISON 2013/2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - L’avis favorable de la commission culturelle en date du 2 septembre 2013. CONSIDÉRANT - Qu’un partenariat avec la RADIO FRANCE BLEU HAUTE-NORMANDIE qui consacre ses programmes aux domaines musicaux, culturels, sportifs et locaux permettrait de bénéficier d’une couverture médiatique importante sur les spectacles de la saison culturelle municipale 2013/2014 et aussi de toucher un public varié, amateur de variété française, de musique classique, de Jazz, de théâtre, de danse et situé dans des zones géographiques différentes. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - De mettre à disposition de la RADIO FRANCE BLEU HAUTE-NORMANDIE, trentesix places de spectacles réparties comme suit : • 6 places pour « Kajdan Rough Trio » le 30 novembre 2013 • 6 places pour « Les Poubelles boys» le 18 janvier 2014 • 6 places pour « Inconnu à cette adresse» le 21 février 2014 • 6 places pour « Le roman de M. de Molière » le 15 avril 2014 • 6 places pour « Le festival de magie » les 19 et 20 avril 2014 • 6 places pour « Emily Loizeau » le 23 mai 2014 AUTORISE - Monsieur le Maire à signer la convention de partenariat pour la promotion de la saison culturelle municipale 2013/2014 avec la RADIO FRANCE BLEU HAUTENORMANDIE. p. 61 / 91 PVCM-2013-11 DIT - Que le coût du partenariat avec la RADIO FRANCE BLEU HAUTE-NORMANDIE s’élève à 480,00 € réparti comme suit : « Kajdan Rough Trio » 6 places adulte extérieur x 12 € = 72 € « Les Poubelles boys» 6 places adulte extérieur x 12 € = 72 € « Inconnu à cette adresse» 6 places adulte extérieur x 12 € = 72 € « Le roman de M. de Molière » 6 places adulte extérieur x 16 € = 96 € « Festival de magie » 6 places adulte extérieur x 16 € = 96 € « Emily Loizeau » 6 places adulte extérieur x 12 € = 72 € Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-20 - CULTURE – CONVENTION D’OCCUPATION DU STUDIO DE DANSES PAR LE COMITÉ DES ŒUVRES SOCIALES (COS) DES EMPLOYÉS COMMUNAUX DE GONFREVILLE L’ORCHER VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - La délibération del-2012-12-63 relative au tarif de location du studio de danses, pour l’année 2013. - L’avis favorable du Conseil d’Adjoints en date du 4 novembre 2013. CONSIDÉRANT - La demande du Comité des Œuvres Sociales (COS) des employés communaux de Gonfreville l'Orcher pour disposer du studio de danses les jeudis midis de 12 h 00 à 13 h 15 environ, afin de proposer une activité « sophrologie » à ses adhérents. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - De déroger à la délibération del-2012-12-63 relative aux tarifs de location du studio de danses – Année 2013 dans laquelle le tarif de location est fixé à 122,00 €. p. 62 / 91 PVCM-2013-11 - De mettre à disposition du Comité des Œuvres Sociales des employés communaux de Gonfreville l'Orcher, le studio de danses, à titre gracieux, les jeudis midis. AUTORISE - Monsieur le Maire à signer la convention avec le Comité des Œuvres Sociales des employés communaux de Gonfreville l’Orcher. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-21 - CULTURE – PROJET « DES MUSIQUES ET VOUS » - SARL « NO ACTING » VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - L’avis favorable de la commission culturelle en date du 10 avril 2013. CONSIDÉRANT - Que la Ville de Gonfreville l’Orcher organise un temps fort intitulé « des musiques et vous » autour des musiques actuelles du 28 au 30 novembre 2013. - Que la Ville souhaite faire appel à la SARL « NO ACTING » afin d’assurer l’encadrement pédagogique et artistique de la « Master Class » du Vendredi 29 novembre 2013. - Que le coût de la prestation s’élève à 1 200,00 €. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE - Monsieur le Maire à signer la convention avec la SARL « NO ACTING » afin d’assurer l’encadrement pédagogique et artistique de la « Master Class ». DIT - Que la dépense, d’un montant de 1200,00 € sera imputée au budget principal Nature 6228 Fonction 3113. Adoptée à l’unanimité. p. 63 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME MARIE-CLAIRE DOUMBIA del-2013-11-22 - RÉGIE TECHNIQUE – TARIF DES PRESTATIONS DU CENTRE D’HÉBERGEMENT RENÉ CANCE - ANNÉE 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L2331-4 relatif aux recettes non fiscales. CONSIDÉRANT - La décision municipale d’appliquer un tarif pour les prestations du Centre d’hébergement René Cance pour l’année 2014. - Qu’une augmentation de 2 % arrondie à l’euro supérieur sera appliquée sur les tarifs 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, FIXE - Les tarifs suivants : POUR LES ASSOCIATIONS ET ORGANISMES HORS COMMUNE PRESTATIONS 2013 2014 524,40 € 535,00 € Hébergement sans repas 7,30 € 8,00 € Pension complète 41,70 € 43,00 € Demi-pension 28,10 € 29,00 € Petit déjeuner basique 3,20 € 4,00 € Petit déjeuner amélioré 5,80 € 6,00 € Repas basique 16,20 € 17,00 € Repas basique CNFPT 10,50 € 11,00 € Repas prestige 27,60 € 29,00 € Repas sportif 9,40 € 10,00 € Caution forfaitaire p. 64 / 91 PVCM-2013-11 Buffet basique 15,10 € 16,00 € Buffet prestige 27,10 € 28,00 € Pique nique 9,00 € 10,00 € Plateau repas 7,90 € 9,00 € Plateau repas amélioré 17,20 € 18,00 € Goûter ou pause 2,30 € 3,00 € Kir Crémant 5,30 € 6,00 € Apéritif classique 6,30 € 7,00 € Bouteille de vin supplémentaire 5,80 € 6,00 € Bouteille de vin supplémentaire de qualité supérieur 6,70 € 7,00 € POUR LES ASSOCIATIONS ET ORGANISMES GONFREVILLAIS PRESTATIONS 2013 2014 524,40 € 535,00 € Hébergement sans repas 4,20 € 5,00 € Pension complète 21,90€ 23,00€ Demi-pension 13,60 € 14,00 € Petit déjeuner basique 1,70 € 2,00 € Petit déjeuner amélioré 2,30 € 3,00 € Repas basique 8,40 € 9,00 € Repas prestige 14,10 € 15,00 € Repas sportif 4,70 € 5,00 € Buffet basique 7,30 € 8,00 € Buffet prestige 13,60 € 14,00 € Caution forfaitaire p. 65 / 91 PVCM-2013-11 Pique nique 4,40 € 5,00 € Plateau repas 3,80 € 4,00 € Plateau repas amélioré 8,50 € 9,00 € Goûter ou pause 1,30 € 2,00 € Kir Crémant 3,00 € 4,00 € Apéritif classique 3,00 € 4,00 € Bouteille de vin supplémentaire 5,80 € 6,00 € Bouteille de vin supplémentaire de qualité supérieur 6,80 € 7,00 € POUR LES ASSOCIATIONS ET ORGANISMES GONFREVILLAIS (AVEC PARTICIPATION DES STAGIAIRES) Le Centre d’hébergement René Cance sera utilisé, en accord avec la Ville, dans le cadre de séjours organisés par des associations gonfrevillaises (formation, stage, etc…), pour lesquels il est demandé une contribution aux participants. PRESTATIONS 2013 2014 Caution forfaitaire 524,40 € 535,00 € Pension complète 33,30 € 34,00 € Demi-pension 21,90 € 23,00 € PRÉCISE - Que les tarifs sont applicables au 1er janvier 2014. - Que si le nombre de personnes requis pour l’ouverture du centre d’hébergement René Cance n’est pas atteint, un tarif minimum correspond à la facturation de 15 personnes pour la prestation demandée sera appliqué. DIT - Que la recette sera imputée au budget principal Nature 752 Fonction 0204. p. 66 / 91 PVCM-2013-11 Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME MARIE-CLAIRE DOUMBIA del-2013-11-23 - RÉGIE TECHNIQUE – TARIF DE LOCATION DE LA SALLE DE FORMATION DU CENTRE D’HÉBERGEMENT RENÉ CANCE -ANNÉE 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L2331-4 relatif aux recettes non fiscales. CONSIDÉRANT - La décision municipale d’appliquer un tarif de location de la salle de formation du Centre d’hébergement René Cance pour l’année 2014. - Qu’une augmentation de 2 % arrondie à l’euro supérieur sera appliquée sur le tarif 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, FIXE - Les tarifs suivants : POUR LES ASSOCIATIONS ET ORGANISMES GONFREVILLAIS ET CENTRES DE FORMATION PRESTATIONS 2013 2014 Location à la journée 125,00 € 128,00 € Location au week-end 156,00 € 160,00 € POUR LES ASSOCIATIONS ET ORGANISMES EXTÉRIEURS PRESTATIONS 2014 Location à la journée 256,00 € Location au week-end 320,00 € DIT - Que la recette sera imputée au budget principal Nature 752 Fonction 0204. p. 67 / 91 PVCM-2013-11 - Que les tarifs seront applicables au 1er janvier 2014. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME MARIE-CLAIRE DOUMBIA del-2013-11-24 - RÉGIE TECHNIQUE – TARIFS DE LOCATION DES SALLES DES FÊTES MUNICIPALES - ANNÉE 2014 VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales notamment l’article L2331-4 relatif aux recettes non fiscales. CONSIDÉRANT - La décision municipale d’appliquer un tarif de location des salles des fêtes municipales pour l’année 2014. - Qu’une augmentation de 2 % arrondie à l’euro supérieur sera appliquée sur le tarif 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, FIXE - Les tarifs de location des salles des fêtes ci-dessous : SALLE DES FÊTES HABITANTS ET ASSOCIATIONS DE LA COMMUNE HABITANTS ET ASSOCIATIONS HORS COMMUNE JOURNÉE WEEK-END JOURNÉE WEEK-END GOURNAY 306,00 € 371,00 € 531,00 € 1 006,00 € MAYVILLE 128,00 € 160,00 € 424,00 € 689,00 € A. FLEURY 1 - côté scène 265,00 € 318,00 € 477,00 € 890,00 € A. FLEURY 2 - côté rue M. Thorez 128,00 € 160,00 € 424,00 € 689,00 € A. FLEURY globale (1 et 2) 531,00 € 658,00 € 954,00 € 1 695,00 € 53,00 € 115,00 € 313,00 € 729,00 € 128,00 € 160,00 € 256,00 € 320,00 € GASTON LACHÈVRE HÔTEL DE VILLE p. 68 / 91 PVCM-2013-11 PRÉCISE - Que les associations Gonfrevillaises, les Comités d’Entreprise ainsi que les Syndicats bénéficieront de deux gratuités par an. - Que le montant des cautions est fixé à 700,00 € pour la location et à 100,00 € pour le ménage. - Que le forfait location vaisselle est d’un montant de 39,00 € par lot de 25 couverts. - Que le forfait location de la grande cuisine est d’un montant de 200,00 € pour le week-end et de 100,00 € par jour. - Que la location des salles est possible toute l’année sauf le 24 et 25 décembre et les 31 décembre et 1er janvier. - Que la priorité des locations de salles est donnée à la municipalité, puis aux associations et enfin aux particuliers. DIT - Que la recette sera imputée au budget, compte Nature 752 Fonction 0204 - Que les tarifs seront applicables au 1er janvier 2014.. Adoptée à l’unanimité. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME COUCHAUX-RÉMOND del-2013-11-25 - FINANCES / MARCHÉS PUBLICS – SURVEILLANCE, GARDIENNAGE ET PROTECTION DES BÂTIMENTS ET ÉVÉNEMENTS - ATTRIBUTION – SOCIÉTÉ CHALLANCIN VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code des Marchés Publics. CONSIDÉRANT - Que la Ville de Gonfreville l’Orcher confie, depuis plusieurs années, au travers de marchés publics, la surveillance et la protection de ses bâtiments et événements à un prestataire extérieur. - Que le précédent marché prenant fin au 31 décembre 2013, un dossier de consultation a été rédigé par le service des Risques Majeurs et le service des Finances / Marchés publics en procédure adaptée. p. 69 / 91 PVCM-2013-11 - Qu’après analyses et négociations, la Commission d'Appel d'Offres, réunie le 6 novembre 2013, propose de confier le marché à la société CHALLANCIN, pour une durée d'un an, renouvelable trois fois sur décision expresse. - Que les montants du marché sont les suivants : ● Protection des bâtiments Les montants annuels sont les suivants : □ Téléopérateur : 157 910,28 € HT □ Agent cynophile : 86 217,12 € HT □ Agent de sécurité : 82 217,12 € HT ● Protection des événements : Des bons de commandes seront établis dans le cadre du marché, les tarifs appliqués sont ceux précisés au bordereau des prix. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, APPROUVE - L’offre de la société CHALLANCIN pour la surveillance, le gardiennage et la protection des bâtiments et événements. AUTORISE - Monsieur le Maire à signer les pièces du marché. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 6282 Fonction 0202 pour la surveillance et la protection des bâtiments - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 6282 et Fonction selon l’évènement. Adoptée à l’unanimité. p. 70 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME COUCHAUX-RÉMOND del-2013-11-26 - SERVICE FINANCES / MARCHÉS PUBLICS – AMÉNAGEMENT DU PÔLE SANTÉ – ATTRIBUTION DE MAÎTRISE D’ŒUVRE – AUTORISATION DE SIGNATURE DE DÉCISION VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code des Marchés Publics. - Le Budget Primitif 2013. CONSIDÉRANT - Que la Ville de Gonfreville l'Orcher a décidé de recourir à une maîtrise d'œuvre extérieure pour la réalisation des travaux d’aménagement du Pôle Santé situé rue Rosa Luxemburg, avec une enveloppe financière affectée aux travaux d’un montant de 620 000,00 € HT (valeur octobre 2013). - Qu’un courrier a été adressé aux trois titulaires des accords-cadres maîtrise d’œuvre « Bâtiment » leur demandant de remettre une proposition pour la réalisation d’une mission de maîtrise d'œuvre relative ces travaux, avant le 12 novembre 2013 – 16 h 00 au plus tard. - Que la commission d'appel d'offres doit se réunir le 20 novembre 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE - Monsieur le Maire, à signer une décision attribuant le marché de maîtrise d’œuvre, à l’équipe retenue par la commission d’appel d’offres. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 2313 Fonction 824 Opération 9049. Adoptée à l’unanimité. p. 71 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME COUCHAUX-RÉMOND del-2013-11-27 - SERVICE FINANCES / MARCHÉS PUBLICS - RÉAMÉNAGEMENT DU QUARTIER TELTOW SUD – ATTRIBUTION DES MARCHÉS DE TRAVAUX - 4 LOTS – AUTORISATION DE SIGNATURE DE DÉCISION VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code des Marchés Publics. - Le Budget Primitif 2013. CONSIDÉRANT - Que la Ville de Gonfreville l’Orcher a décidé que le réaménagement du quartier Teltow / 1er Mai / Elsa Triolet était un objectif prioritaire de la Municipalité. - Que le Conseil Municipal du 15 octobre 2007 a approuvé le contrat de maîtrise d’œuvre d’ARCHÉTUDE avec une enveloppe financière affectée aux travaux de 4 900 000,00 € HT (valeur septembre 2007) répartis de la façon suivante : ● Tranche Ferme 1 – aménagement des espaces publics partie Nord (part VGO Nord) : 2 300 000,00 € HT ● Tranche Ferme 2 – aménagement des espaces publics partie Sud (part VGO) : 1 600 000,00 € HT ● Tranche Ferme 3 – résidentialisation partie Nord (part HABITAT) : 1 000 000,00 € HT - Que les travaux du secteur Nord ont fait l'objet d'une procédure d'appel d'offres et ont été attribués par le Conseil Municipal du 24 août 2009. - Que l’Avant Projet Définitif concernant le secteur sud a été approuvé par le Conseil Municipal du 10 septembre 2012 – pour un montant de 2 514 179,68 € HT (valeur septembre 2007). - Qu’un dossier de consultation des entreprises, selon la procédure d'appel d'offres en 4 lots, a été rédigé par l'équipe de maîtrise d'œuvre ARCHÉTUDE : ● Lot n° 1 : VRD (Voirie Réseaux Divers) ● Lot n° 2 : Réseaux divers ● Lot n° 3 : Colonnes enterrées p. 72 / 91 PVCM-2013-11 ● Lot n° 4 : Espaces Verts - Que cette opération fait l'objet d’une action d’insertion professionnelle au profit des personnes rencontrant des difficultés d’accès à l’emploi, conformément à l’article 14 du Code des Marchés Publics, en incluant un minimum de 2 575 heures d’insertion professionnelle. - Que la commission d'appel d'offres doit se réunir le 16 décembre 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE - Monsieur le Maire, à signer une décision attribuant les marchés de travaux aux entreprises retenues par la commission d’appel d’offres. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 2315 Fonction 824 Opération 9015. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire Pour le quartier Teltow Sud, nous demandons à ce que la procédure soit rapide. En effet, il faut engager les travaux avant certaines dates, sinon, à quelques jours près, nous perdons les subventions. Voilà pourquoi, nous prenons la procédure la plus courte. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME COUCHAUX-RÉMOND del-2013-11-28 - SERVICE FINANCES / MARCHÉS PUBLICS – ACHAT DE MATÉRIEL ESPACE CULTUREL DE LA POINTE DE CAUX – 2 LOTS – ATTRIBUTION - AUTORISATION DE SIGNATURE DE DÉCISION VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - Le Code des Marchés Publics. - Le Budget Primitif 2013. CONSIDÉRANT o Que la Ville de Gonfreville l'Orcher a décidé l’achat de matériel pour l’Espace Culturel de la Pointe de Caux. p. 73 / 91 PVCM-2013-11 o Qu’un dossier de consultation des entreprises en 2 lots, selon la procédure adaptée a été rédigé par le service Culturel, le service Patrimoine et le service Finances / Marchés publics, pour un montant de fournitures estimé à 125 418,06 € HT sur 3 années : ● Lot n° 1 : Fourniture de matériel d'éclairage neuf 1 tranche ferme - année 2013 2 tranches conditionnelles - années 2014 et 2015 ● Lot n° 2 : Founiture et mise en place d'une passerelle scénique o Que la commission des marchés doit se réunir le 11 décembre 2013. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, AUTORISE - Monsieur le Maire, à signer une décision attribuant les marchés de fournitures, aux entreprises proposées par la commission des marchés. DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 2188 Fonction 332 pour le lot 1 - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 2313 Fonction 331 pour le lot 2 Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire Merci beaucoup. Je ne vous ai pas rappelé en début de séance que deux questions avaient été ajoutées à l’ordre du jour. En effet, celles-ci ont fait l’objet d’un additif. Il concerne les rythmes scolaires et les subventions pour les Philippines. Pas de problème pour mettre à l’ordre du jour ? p. 74 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MADAME SANDRA HAUCHECORNE del-2013-11-29 - ANIMATION ET VIE SCOLAIRE – RÉFORME DES RYTHMES SCOLAIRES – AMÉNAGEMENT DE L’EMPLOI DU TEMPS DES ÉLÈVES – PROPOSITION – INFORMATION ET DEMANDE DE DÉROGATION AU DASEN (DIRECTEUR ACADÉMIQUE DES SERVICES DE L’ÉDUCATION NATIONALE DE SEINE MARITIME) – AVIS VU - Le Code de l’éducation - La loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République du 25 juin 2013. - Le décret relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires du 24 janvier 2013. - La circulaire départementale portant sur le fonctionnement des écoles publiques préélémentaires et élémentaires des écoles de Seine-Maritime. - Les avis exprimés par la communauté éducative de Gonfreville l’Orcher lors des conseils d’école qui se sont tenus ces derniers mois. - Les avis recueillis au sein des commissions municipales : Sports, Culture, Restauration, Enfance – Jeunesse - Enseignement. - Le résultat du vote décisionnel du 12 novembre 2013 obtenu lors de la consultation des parents et professionnels concernés. CONSIDÉRANT - Que la priorité à l’éducation, à l’enfance, la jeunesse, la culture et le sport, la restauration est affirmée sur Gonfreville l’Orcher depuis de nombreuses années et tout au long des politiques municipales conduites ces cinquante dernières années. - Que les enjeux que porte la loi de refondation de l’école de la République et les incidences majeures qu’elle engage, en matière d’organisation des temps éducatifs scolaires et périscolaires, devront favoriser la réussite scolaire de tous les enfants. - Qu’une concertation très large des acteurs éducatifs (professionnels de l’éducation, responsables associatifs, parents,…) a permis de prendre en compte tous les avis et d’examiner l’ensemble des scénarios possibles, tant sur le choix d’une ½ journée d’école supplémentaire (mercredi ou samedi) que sur l’articulation à trouver entre les temps scolaires et périscolaires. - Que la municipalité a l’obligation de mettre en œuvre la réforme des rythmes scolaires en septembre 2014. p. 75 / 91 PVCM-2013-11 - Que le Projet d’Éducation Global de Gonfreville l’Orcher ouvre des perspectives éducatives ambitieuses, privilégiant la mobilisation des acteurs éducatifs et l’émergence de synergies nouvelles entre les différents acteurs éducatifs, dans la mise en œuvre d’actions éducatives pertinentes à l’échelle de la Ville et de ses territoires en faveur des enfants, des jeunes principalement et en particulier en lien avec les familles. - Que la municipalité, attachée à l’expression démocratique et citoyenne en matière de décisions publiques, a organisé un vote décisionnel sur la question du choix de la ½ journée supplémentaire qui a permis à près d’un millier de personnes (parents, enseignants, personnels municipaux ayant un lien direct avec les enfants dans les écoles) d’indiquer leur préférence. LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - De retenir l’avis exprimé lors du vote organisé le 12 novembre 2013 où le choix du mercredi matin a recueilli 763 voix (70 %) favorables contre 286 voix (26 %) pour le samedi matin, non exprimés 4 %. - De proposer et d’informer le Directeur Académique des Services de l’Éducation Nationale de Seine Maritime (DASEN) du souhait de la municipalité et de la communauté éducative d’aménager l’emploi du temps des élèves à titre expérimental, dès la rentrée scolaire prochaine, afin que les enfants scolarisés bénéficient d’un temps allongé de loisirs éducatifs, à raison d’une fois par semaine par école, à partir de 15 h 00 au lieu de 16 h 00, horaire de fin de cours les autres jours. Ainsi le temps scolaire des écoles préélémentaires et élémentaires se répartirait de la manière suivante : ● Chaque matin l’école commencerait à 8 h 30 jusqu’à 11 h 30 ● La pause méridienne durerait 2 h 00 de 11 h 30 à 13 h 30 ● Les cours de l’après midi se dérouleraient de 13 h 30 à 16 h 00 ● Le mercredi les cours auront lieu de 8 h 30 à 11 h 30 Pour un total de 24 heures d’apprentissages scolaires. (Seul un après midi par semaine l’école finirait à 15 h 00 pour organiser des activités éducatives de 15 h 00 à 16 h 30 à caractère non obligatoire mais recommandé). Le jour consacré aux activités éducatives variera selon les écoles à raison d’un après-midi par semaine afin d’apporter une réponse éducative égale pour p. 76 / 91 PVCM-2013-11 chacun des établissements scolaires et sur l’ensemble du territoire de la Ville. Dans ce cadre un projet d’accueil spécifique sera envisagé pour les maternels. Une première évaluation sera portée en fin d’année scolaire en juin 2015 afin d’apporter d’éventuels ajustements dans l’intérêt premier des enfants et pour répondre aux objectifs poursuivis par le Projet d’Éducation Global de la Ville et ses liens nécessaires avec les projets d’école. Pour l’ensemble de ces motifs la municipalité sollicite une mesure dérogatoire à la circulaire départementale portant sur l’organisation du temps scolaire dans les écoles Seinomarines, de telle manière : - À assurer la mise en place d’activités complémentaires de l’école publique. éducatives qualitatives et - À garantir un accès libre et gratuit au plus grand nombre d’enfants de la Ville, en particulier en faveur de ceux dont les familles sont plus fragilisées au plan financier et qui ne bénéficient pas toujours des mêmes facilités pour bénéficier de l’offre éducative, culturelle et sportive tant municipale qu’associative. Ces activités éducatives diversifiées seront organisées sous la forme de cycles de découvertes toutes les 7 semaines. Monsieur le Maire Des petites précisions complémentaires : ce vote a concerné l’ensemble de la communauté scolaire. Lors de la concertation nous avions rencontré bien plus d’acteurs que cela, comme les personnels communaux, les Assistantes Maternelles, les Associations, les parents d’élèves, les enseignants, mais tous n’ont pas voté. Nous avions considéré que le vote concernait l’école. Donc ceux qui étaient dans l’école étaient autorisés à voter et nous avons permis ce vote aux agents communaux dans l’école, (ceux qui sont à la cantine, les ATSEM), les enseignants et évidemment les deux parents des enfants. Chacun pour une voix, d’abord parfois ils vivent ensemble et parfois ils ne vivent pas ensemble. Donc chacun pouvant voter une fois et une seule fois, dans une école mais pas dans les deux écoles s’ils ont des enfants en primaire et en maternelle. De manière que cela soit l’expression d’individus, de citoyens. Cela a donné ce résultat-là. C’est sûr que selon le lieu où nous nous plaçons, du côté ville, cela nous aurait arrangé plutôt le samedi matin, pour des questions de gestion. Pour le personnel communal, pas forcément, ils préfèrent peut-être travailler le mercredi matin ; pour les parents, ils ont voté massivement pour le mercredi matin. Pour les clubs sportifs, je présume que le samedi matin aurait dû arranger plutôt que de toucher au mercredi matin. p. 77 / 91 PVCM-2013-11 De tout manière, il aurait fallu que le gouvernement dise clairement sa volonté cela aurait été tellement plus facile. Je dois vous avouer que la mise en œuvre dans l’ambiance qui règne autour de cette réforme, n’est pas simple. Ni pour se motiver, ni pour motiver les troupes ! Nous avons la chance d’avoir une Communauté Éducative qui sait que cette réforme est utile dans l’intérêt de l’enfant. Il y a des choses à faire. Mais la Communauté Éducative pense qu’il serait bien de la réécrire, de la revoir, car elle n’a pas été travaillée comme il le fallait au départ. Je partage cette idée. Les enseignants manifestent en ce moment et nous voyons bien les difficultés que nous rencontrons. Ce n’est pas simple, nous avons l’impression que cela a été mis en place comme ça, sans faire l’objet d’une vraie concertation avant que la réforme soit lancée. Cela mériterait de la revoir, nous allons essayer de la mettre en œuvre et j’espère que le DASEN va accepter notre proposition. Ce n’est pas écrit, je rappelle que c’est la proposition du Conseil Municipal, mais c’est lui qui a le dernier mot, ce n’est pas nous. Donc il est capable de dire que cela lui convient ou pas, et qu’il faut appliquer purement et simplement la loi. Et la loi, de toute manière, c’est le mercredi et l’école finit à 15 h 45. Il a le droit de dire cela. Nous considérons que de 15 h 45 jusqu’à 16 h 30, nous n’avons pas l’espace pour faire des vraies activités. Nous ferons de l’occupationnel. Nous voyons ce que disent certains maires et certains parents, justement sur l’occupationnel, que ce n’est pas un bon niveau, que ça fatigue les enfants. La qualité de l’encadrement serait à revoir car nous n’aurons pas de professionnel. Évidemment comment trouver des professionnels d’un haut niveau pour 45 mn par jour sur 4 jours ? C’est impossible à trouver. Il faut aménager pour avoir un peu plus de temps et donc là nous avons quasiment misé sur une vacation culturelle et sur une vacation sportive. Ainsi, nous pourrons mieux débattre de l’embauche ou du paiement de certains éducateurs qui œuvrent dans nos clubs ou dans notre école de musique. On peut avoir des professionnels sur les créneaux que nous avons choisis. Nous allons œuvrer pour ça. Nous avions imaginé au départ, mais nous corrigerons, dans les emplois du temps, utiliser tous les après midis pour nos 5 groupes scolaires, (soit le lundi après-midi, le mardi après-midi, le jeudi aprèsmidi ou le vendredi après-midi). Mais je pense que nous allons choisir : le lundi après-midi, le mardi après-midi, le jeudi après-midi. On va essayer de concentrer cela sur 3 après-midi pour nos 5 groupes scolaires. Nous ferons 3 après-midi la semaine, nous laisserons l’école le vendredi parce que nous avons senti que tout le monde à l’école voulait le vendredi après-midi. J’ai répondu immédiatement devant la Communauté Enseignante que la ville ferait tourner pour que cela ne soit pas toujours la même école. Le projet est de le faire sur 3 après-midi mais si nous n’y arrivons pas, nous le ferons sur 4. Il faut p. 78 / 91 PVCM-2013-11 trouver les professionnels. Je le répète et ce n’est pas simple de les trouver sur 3 après-midi. En espérant que le DASEN acceptera notre proposition, sinon nous ne pourrons faire que des activités périscolaires. Ce n’est pas ce que nous envisageons de faire, ce que nous vous proposons là, ce sont des activités gratuites, j’insiste, gratuites et accessibles à tous les enfants. Et si le DASEN nous dit que la règle, c’est trois quart d’heure chaque jour, nous continuerons à faire les activités périscolaires pour les enfants des parents qui travaillent. Nous ne serons pas dans la dimension de complément éducatif que nous pouvons amener et qui était un peu l’esprit de la réforme. Nous disons que nous ne pouvons pas le faire sur 45 minutes. Vous êtes d’accord sur l’ensemble de la proposition ? Il faudra expliquer au DASEN si c’est un vote unanime, un vote majoritaire. Pour lui, cela sera important, je pense. Adoptée à l’unanimité. Merci beaucoup, Cela donne un bon sentiment ce vote unanime à tous ceux qui ont travaillé sur le sujet depuis des mois et qui ont concerté. Merci pour eux. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-30 - SERVICE FINANCES / MARCHÉS PUBLICS – SUBVENTIONS EXCEPTIONNELLES AU SECOURS CATHOLIQUE ET AU SECOURS POPULAIRE – TYPHON AUX PHILIPPINES VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. - La loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations. - Le décret n° 2001-495 du 6 juin 2001 pris pour application de l'article 10 de la loi précitée et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques. CONSIDÉRANT - Qu’un élan de solidarité se manifeste au niveau mondial suite au passage du typhon Haiyan aux Philippines, dont les conséquences s’annoncent catastrophiques. - Que les associations interventions. appellent à la générosité pour soutenir leurs p. 79 / 91 PVCM-2013-11 - Que la Ville de Gonfreville l’Orcher souhaite être solidaire et propose le versement de deux subventions exceptionnelles de : • 1000,00 € à l'ASSOCIATION SECOURS CATHOLIQUE • 1000,00 € à l’ASSOCIATION SECOURS POPULAIRE LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré, DÉCIDE - D’attribuer deux subventions exceptionnelles de : • 1000,00 € à l'ASSOCIATION SECOURS CATHOLIQUE • 1000,00 € à l’ASSOCIATION SECOURS POPULAIRE DIT - Que la dépense sera imputée au budget principal, Nature 6574 Fonction 025. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire Le Secours Populaire a comme choix national de se consacrer à la Petite Enfance. Il va contribuer, pour beaucoup d’enfants n’ayant plus leurs parents, à leur état de santé, à leur scolarisation et à la recherche de famille. QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR JEAN-PAUL LECOQ del-2013-11-31 - SOCIÉTÉ ISOPLAS - DIFFICULTÉS D’EXPLOITATION DUES À LA LIQUIDATION DE SA MAISON MÈRE - DISPOSITIF D’AIDE FINANCIÈRE CONTRIBUTION DE LA VILLE DE GONFREVILLE L’ORCHER La société HUIS CLOS, dont le siège est à BOIS-GUILLAUME est en liquidation judiciaire. Par voie de conséquence, sa filiale ISOPLAS basée à HARFLEUR est directement concernée par cette situation. La crainte est effectivement que HUIS CLOS entraîne dans son sillage l’entreprise ISOPLAS dont de nombreux observateurs et les salariés eux-mêmes s’accordent pour dire qu’elle dispose de nombreux atouts pour poursuivre son activité. Cette entreprise a développé et développe toujours un savoir faire dans le domaine des menuiseries PVC et aluminium. Débouché de l’industrie pétrochimique et de l’aluminium, elle est aussi fournisseur pour de nombreuses p. 80 / 91 PVCM-2013-11 petites et moyennes entreprises pour lesquelles une éventuelle fermeture aurait de graves conséquences. Forte de 174 salariés, aux qualifications reconnues, cette entreprise est viable, le carnet de commandes est confortablement garni pour les mois à venir. Assurer la pérennité de cette activité est donc une absolue nécessité dans un bassin d’emploi déjà durement touché par le chômage. VU - Le Code Général des Collectivités Territoriales. CONSIDÉRANT - L’intérêt pour la ville de Gonfreville l’Orcher à disposer dans son bassin d’emploi d’entreprises dynamiques, pourvoyeuses d’emplois, et de ressources financières pour les collectivités territoriales, - L’intérêt à préserver l’emploi de la quinzaine de salariés résidant sur le territoire de Gonfreville l’Orcher, - La table ronde qui s’est tenue en Sous-préfecture le 4 novembre 2013 concluant à la viabilité de l’entreprise, - Le constat fait au 15 novembre 2013 de la position attentiste de la banque, - La volonté du Ministre du redressement productif de lancer un nouveau plan d’aides pour les entreprises en difficulté, et notamment la possibilité pour l’État de palier à la défaillance bancaire, - Que ces mesures ne sont pas nécessairement opérationnelles à ce jour, - Le besoin de l’entreprise ISOPLAS actuellement estimé à 400 000,00 € et dont la mobilisation présente un caractère d’urgence, - L’état actuel de la trésorerie de la Ville de Gonfreville l’Orcher qui permettrait temporairement de dégager la somme précitée sous forme d’une avance de trésorerie remboursable dont les services de l’État pourraient assurer la coordination des modalités de versement, LE CONSEIL MUNICIPAL Après en avoir délibéré DÉCIDE - D’autoriser Monsieur le Maire à examiner avec les services de l’État les modalités de versement des fonds destinés à venir en soutien à l’entreprise p. 81 / 91 PVCM-2013-11 ISOPLAS dans la limite de 400 000,00 € et par prélèvement sur la trésorerie de la Ville, - D’autoriser Monsieur le Maire à signer avec les services de l’État tout document afférent à cette démarche, - De mandater Monsieur le Maire pour veiller au remboursement de cette avance par les services de l’État dans des délais définis d’un commun accord, Adoptée à l’unanimité. La présente délibération peut faire l’objet d’un recours poux excès de pouvoir devant le Tribunal Administratif dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa réception par les représentants de l’Etat. Monsieur le Maire, Monsieur le Receveur Municipal sont chargés de chacun en se qui les concernent de l’exécution de la présente délibération. Fait à Gonfreville l’Orcher, le 18 Novembre 2013. Monsieur le Maire Ce qui se passe à ce Conseil Municipal est assez particulier. Cela ne s’est encore jamais passé, nulle part. Mais il faut bien commencer quelque part, donc nous allons le faire à Gonfreville l’Orcher. Cette entreprise, comme vous le savez, emploie 174 personnes. Elle subit une grosse difficulté parce sa maison mère HUIT CLOS a été liquidée. Sauf que cette entreprise là, a fait l’objet d’un examen très approfondi, le 4 novembre en Préfecture, avec le Commissaire au redressement productif, Monsieur le Sous-Préfet, les services de l’État et de l’Emploi, le liquidateur, les représentants de la Région, du Département, le représentant de la Députée, le Maire d’Harfleur, évidemment. Tout ce monde a acté le fait que cette entreprise, en attendant la décision du Tribunal de Commerce peut travailler sans problème, au moins jusqu’au 13 décembre. Cette entreprise possède un carnet de bons de commandes de 1 600 000,00 €, qu’elle peut honorer. Elle a des restes à encaisser de ses clients à hauteur de 900 000,00 €, et elle a besoin de 400 000,00 €, pour acheter la fourniture, afin d’honorer ses 1 600 000 € de commande. Cela peut permettre d’enrober la situation pour un ou des repreneurs qui visitent l’usine en ce moment. Mais cela peut aussi très vite se dégrader si nous ne réglons pas la question de liquidité. À la Sous-Préfecture, le 4 novembre, tout le monde a dit qu’il fallait trouver d’urgence 400 000 € et une banque, qu’il fallait obliger une banque à donner p. 82 / 91 PVCM-2013-11 400 000 €. Chacun faisant sien le fait de pousser la banque à prêter car toutes les conditions sont réunies. Nous avons appris que la banque, dont c’est le métier de soutenir ce genre d’activité, mais banque privée, ne prêterait pas les 400 000 €. Nous avons certainement tous aussi entendu, le Ministre du Redressement Productif, Monsieur MONTEBOURG, expliquer que beaucoup d’entreprises sont en difficulté et risquent d’être sacrifiées, parce que les banques n’apportent pas la trésorerie nécessaire pour sauver les entreprises. Il a déclaré qu’il envisageait très vite de mettre en place un dispositif, en disant : « puisque les banques ne jouent pas leur rôle de banque, l’État va jouer le rôle de banque ». Ce qui est nouveau. L’État a toujours dit qu’il ne jouerait pas le rôle d’une banque. Ce que je propose ce soir, c’est de dire : Dans l’agglomération havraise, il y a Gonfreville l’Orcher et Harfleur qui ont une relation très particulière, une relation d’entraide et de soutien réciproque sur de grandes questions d’aménagement à travers le SIEGHO. Et il y a la CODAH qui se dit avoir la compétence en matière économique et qui ne s’est pas saisie de ce dossier. La CODAH n’était pas autour de la table, le 4 Novembre. Je rappelle que la CODAH est capable de donner 100 000 € à TOTAL, pour un investissement de plusieurs centaines de millions d’euros, elle est capable de donner un pourboire aux actionnaires, mais pour aider une Société, elle n’est pas autour de la table ! Messieurs Marc GUÉRIN, Alban BRUNEAU et moi-même, interpellions, au dernier Conseil Communautaire de la CODAH, en disant : « puisque nous débattions des Orientations Budgétaires, qu’il y avait peut-être urgence de se préoccuper de cette situation et de créer un fonds d’urgence pour accompagner les industries de notre territoire », cela n’a pas réveillé beaucoup les foules du côté de la présidence de la CODAH et de son vice président à l’Économie. Ils préfèrent donner de l’argent aux riches, plutôt qu’à ceux qui en ont besoin. Ce que nous vous proposons c’est de dire : « Nous, on autorise, cela va être le sens de la délibération. Mais je vous en donne la philosophie : Puisque le Ministre a dit ; « Si les banques ne font pas leur travail, l’État fera le travail des banques », ce que je vous propose, c’est que localement, la Ville de Gonfreville autorise l’État a utiliser pendant un mois la trésorerie de Gonfreville pour permettre à cette entreprise de vivre et de se sortir de la situation. Évidemment sous le contrôle de l’État. Le sujet, ce n’est pas « Gonfreville fait un chèque à l’entreprise». Le sujet, c’est de dire : « Gonfreville autorise l’État en utilisant les règles qu’on lui soumet, si jamais l’État cherchait des liquidités ». Puisque lors de la rencontre que nous avons eue en Sous-Préfecture, le 4 novembre dernier, le sous-préfet qui est le représentant du Ministre du Redressement Productif disait : « moi je peux bousculer les façons de fonctionner, les règles, mais je n’ai pas d’argent ». p. 83 / 91 PVCM-2013-11 Nous avons bien compris cela. Quand l’État dit qu’il n’a pas de ligne budgétaire, cela signifie que l’on attend que l’Assemblée Nationale vote une ligne budgétaire pour le redressement afin que l’État puisse jouer son rôle de banque. Nous risquons de sacrifier ISOPLAS. J’ai dit à Monsieur le Sous-Préfet, au Commissaire du Redressement Productif via le Sous-Préfet, au Percepteur, « si cela peut aider tout le monde, Gonfreville l’Orcher, et vous pouvez le voir dans la Décision Modificative, dispose d’une ligne - Dépenses imprévues - qui est encore à 400 000 €. Ce n’est pas prévu pour cela, mais si à un moment donné cela peut sauver 174 emplois avec une bonne quinzaine de Gonfrevillais, et donc il faut aussi penser à cela. Si cela peut permettre de maintenir un tissu industriel dans l’agglomération havraise, n’hésitez pas ! Cette somme n’est pas à perte puisque l’État va faire un dispositif, l’État nous remboursera. Je dois vous avouer que le message que j’ai envoyé à Monsieur le Sous-Préfet a dû faire le tour de Rouen, Paris etc.… Le dispositif n’existe pas, car en fait jusqu’à maintenant cela n’est jamais arrivé de faire une proposition comme celle-ci. Il faut un début à tout. Je ne suis pas sûr que cela soit facile pour eux mais ce qu’il faut c’est qu’il y ait au moins une porte ouverte. Après ils l’utilisent ou pas. Ils ont dû argumenter : « est-ce que l’Europe nous autorisera » ? Mais à un moment donné, il y a une entreprise, et uniquement quelques semaines pour sauver 174 emplois ! C’est ça ou je fais une collecte pour trouver 400 000 € auprès de la population. Je ne suis pas certain de les avoir dans un délai si court et donc l’idée est que vous autorisiez les services de l’État, évidemment, pas n’importe qui, les Services de l’État, en cas de besoin, à conventionner avec la Ville pour utiliser la ligne de trésorerie sachant que tout rentre dans l’ordre pour le 15 décembre. Voilà la philosophie. Avez-vous des observations, des critiques positives, négatives ? Non ? Je dois vous avouer que s’il n’y avait pas eu la déclaration de Monsieur le Ministre, nous n’aurions pas fait de délibération, car ce n’est pas dans nos « compétences ». Du fait qu’il y a une ouverture, cela peut être notre rôle. Qu’en pensez-vous ? Pas de réaction ! Cela ne s’est jamais vu, je vous le dis. Manifestez votre surprise ! p. 84 / 91 PVCM-2013-11 Madame Catherine NORDET Il faut faire le maximum de ce que nous pouvons faire pour sauver les emplois. Quand on écoute la radio, c’est un peu la sinistrose, tout de suite. Je pense qu’il y a un minimum de choses à faire et si on peut le faire, il ne faut pas hésiter. Il est évident que c’est réglementé. Monsieur le Maire Monsieur le Percepteur ne sortira pas l’argent des caisses s’il n’y a pas d’action. Le Maire n’a pas le carnet de chèque. Madame Catherine NORDET Si cela peut être un levier libérateur. Monsieur le Maire Ca n’existe nulle part. Personne ne l’a jamais fait. Il faut le savoir. Vraiment cela n’existe nulle part. Cela perturbe. Tous les interlocuteurs que nous avions eus au téléphone, disent : « Comme cela ne s’est jamais fait, nous ne pouvons pas dire que c’est INTERDIT, puisque la question ne s’est jamais posée ». Mais ils cherchent tous comment l’autoriser. Ils sont dans cette démarche. Ne sachant pas si cela est interdit ou pas, comme nous avions un Conseil Municipal en cette période, il fallait saisir l’occasion. Sinon nous aurions attendu d’avoir les réponses, mais ainsi le Conseil Municipal ouvrira des portes. C’est la première déclaration du Gouvernement qui m’intéresse depuis son arrivée. Cela devient intéressant. Monsieur Marc GUÉRIN Je voulais simplement rebondir sur le fait que Monsieur le Maire évoquait la CODAH et rappeler sa réaction plutôt favorable, dans des périodes très vertueuses pour l’industrie, où la majorité du Conseil Communautaire a très souvent voté des subventions pour abonder les entreprises. À un moment, c’était TOTAL, et ceci de façon éhontée, y compris jusqu’à soutenir les grandes initiatives médiatiques comme nous avons pu le voir, au printemps dernier, avec Monsieur ATTALI. Moi, je me félicite que, encore une fois, notre ville se singularise par une initiative au caractère un peu surprenant. Mais puisque l’on nous y invite, pourquoi ne pas saisir la balle au bond. Cela montre aussi que finalement le discours de l’État, ses bonnes intentions d’appeler le Peuple à la rescousse, d’appeler les Collectivités à la rescousse, finalement consiste à révéler un tel vide juridique. Cela risque même de mettre encore plus l’entreprise en difficulté, parce qu’il n’y aura pas de jurisprudence, ou qu’il n’y aurait rien qui permettrait à un moment donné de les aider. p. 85 / 91 PVCM-2013-11 ISOPLAS est un cas vraiment particulier, c’est le cas d’une très mauvaise gestion qui met à un moment donné les salariés en difficulté. Parce que nous parlons de l’entreprise, c’est une chose, mais je pense comme tout à chacun aux salariés, à leurs familles, dans une période y compris un peu sensible qui est celle de Noël. Nous nous demandons aussi jusqu’où l’État ira ? La Municipalité soutient toutes les entreprises en lutte aujourd’hui pour leur survie. Pour le coup, cette action est vraiment à la fois, surprenante, mais je pense qu’elle est bien dans le ton de tout ce que nous avons défendu jusque-là. Comme la presse est présente, je pense qu’elle se fera bien écho de l’initiative de notre Conseil Municipal. Je m’en félicite à l’avance. Monsieur Alban BRUNEAU À travers cette délibération, je pense que nous voyons l’intérêt et l’utilité d’un Conseil Municipal et d’une Collectivité Locale au plus proche de ses citoyens, de ses entreprises, de son tissu économique. Nous voyons bien à travers ce débat, les défauts de l’activité bancaire, et aussi ceux d’institutions comme la CODAH, et d’autres institutions différentes qui doivent venir en aide au développement économique et au soutien à l’activité économique. Finalement c’est la collectivité locale, au plus petit échelon, qui va essayer de proposer une solution. Donc cela marque bien l’utilité de nos collectivités, de nos Conseils Municipaux et de la proximité de notre conseil et des élus locaux. Cela nous met en perspective, les lois qui sont en préparation pour essayer d’affaiblir nos collectivités dans leurs compétences. Nous voyons bien, c’est une fois de plus, la Collectivité Locale qui va être très utile sur ce coup là si l’État se saisit de l’offre qui lui est faite. Monsieur le Maire Chacun a compris que cette réunion du 4 novembre était essentielle parce qu’elle a acté le fait que l’entreprise était viable, acté le fait qu’il y avait un carnet de bon de commandes plein, acté le fait qu’il y avait un compte clients supérieur à la demande : 900 000 € vont rentrer dans les caisses de l’entreprise. Quand vous avancez 400 000 €, vous êtes aussi quelque part un créancier. Même l’État peut se rembourser sur le compte client. La réunion a acté le fait aussi qu’un repreneur d’une entreprise ne reprend pas le compte client, (c’est pour cela qu’il peut acheter une usine pour 1 €, parce que le compte client va d’abord à ceux qui ont prêté de l’argent (banque, etc.….) Les conditions étaient réunies pour que la banque prête de l’argent, sauf qu’on cherche à comprendre le jeu des banques en ce moment. Je pense que si le Gouvernement se mêle au rôle des banques dans le système économique, p. 86 / 91 PVCM-2013-11 c’est qu’il y a un jeu qui n’est pas conforme à l’utilité nationale, et à l’intérêt de la Nation. L’entreprise n’est pas sur le territoire de la ville, nous on propose un accès de trésorerie. Elle aurait été sur le territoire, on pouvait éventuellement aller plus loin. Mais je dis : une entreprise qui n’a plus d’activité, on ne se positionnerait pas de la même façon. Ce n’est pas le cas d’ISOPLAS. C’est une condition très particulière, où il y a besoin d’un prêt relais uniquement pour sauver la situation. C’est le rôle que je vous propose que nous jouions, pour ISOPLAS. Petit rappel : l’accès à la trésorerie qui est proposé à travers une délibération s’opère dans le cas de l’interpellation du Gouvernement qui dit : « Quand les banques font défaut, il faut que le Gouvernement aille à la banque ». Donc nous proposons dans l’urgence, au Gouvernement et aux services de l’État d’utiliser la trésorerie de Gonfreville l’Orcher pour sauver le travail d’ISOPLAS. D’autres réactions, opinions ? Madame Fabienne DUBOSC Et si le Gouvernement désavoue ce qu’a dit le Ministre du Redressement Productif et ne suit pas ce qu’il a dit ? Cela veut dire arrêter ce que le Conseil Municipal de Gonfreville l’Orcher, propose ? Monsieur le Maire Pour nous, c’est une mise à disposition de l’État. On sait comment fonctionne l’État. L’État ne peut pas dépenser l’argent inscrit à son budget, il faut qu’il ait une disposition et un vote de l’Assemblée sur cette disposition là, cela prend un peu de temps. ISOPLAS n’a pas le temps d’attendre. Donc voilà ce que l’on dit et comme ici, nous avons l’habitude. Nous avons fait la fibre optique et rien ne nous l’interdisait. Pourtant il n’y avait rien qui nous l’autorisait, et si nous avions attendu l’autorisation, je ne suis pas sûr que nous l’aurions obtenu. Donc, nous avons commencé à le faire en disant que de toute manière, nous sommes en France, et la France c’est le pays des libertés, et tant que ce n’est pas interdit par la loi, par définition, c’est autorisé. Pour ma part, j’ai toujours fait mienne cette philosophie. Donc aujourd’hui, chacun cherche en quoi et par qui cela pourrait être contré. À cette minute, on n’a pas trouvé, peut-être qu’ils auront trouvé demain matin. p. 87 / 91 PVCM-2013-11 Nous savons que cela ne plaira certainement pas à l’Europe. Elle n’avait pas prévu cela. Cela ne plaira peut-être pas à Bercy car ils n’avaient pas prévu que cela aurait pu être proposé. Mais pour l’instant, entre « cela ne plaira pas » et « cela n’est pas permis », il y a une marge encore. Donc, nous verrons. Il faut donner des messages en disant qu’il y a des possibilités, elle existe chez nous. Elle n’existe pas forcément partout. Si vous voulez l’utiliser, vous l’utilisez. Nous n’aurions pas d’argent dans les caisses, nous n’aurions pas fait la proposition. C’est une avance sous la protection de l’État. Il y a le discours, il y a les actes. Il y a eu le discours, mais pour l’instant ils ne sont pas dans la possibilité de mettre en œuvre les actes et nous, nous proposons d’être la cheville ouvrière du discours politique. Lors de cette réunion, autour de la table, cela a été assez étonnant, Monsieur Marc GUÉRIN l’a dit, il y avait les services de Région, porteuse de la compétence économique qui dit : « Nous n’avons pas de fonds, mais cela pourrait être utile ! Mais pour l’instant, nous n’avons jamais mené de politique comme celle-là. Le Département, pas de compétence économique, dit la même chose, mais il avait soutenu les entreprises à une époque. La CODAH n’était pas là. Les deux villes présentes, Harfleur et Gonfreville l’Orcher, se sont dit : « Que faisons-nous ? Est-ce que nous restons à attendre, Harfleur a ses limites de trésorerie, donc j’ai dit que s’il y avait besoin, nous pourrions examiner au Conseil Municipal, la faisabilité ou pas ». C’est bon pour les explications, les échanges ? C’est bien que nous soyons tous conscients de ce que nous allons voter. Je vous dis que cela n’existe pas encore, mais ce n’est pas la première fois que nous ferons des choses qui n’existent pas. Je mets au voix : Qui est contre cette délibération, qui s’abstient ? Tout le monde participe au vote ? Délibération adoptée à l’unanimité. Merci beaucoup de cette confiance. Je pense que les salariés vous remercieront sur cette position. Monsieur Alban BRUNEAU Nous avons reçu une affiche pour inviter la population à soutenir l’entreprise ISOPLAS par un concert qui aura lieu Jeudi 21 à la Forge à 20 h 30. Je vous invite vivement à y participer. p. 88 / 91 PVCM-2013-11 QUESTION PRÉSENTÉE PAR MONSIEUR PIERRE LEBAS VŒU PRÉSENTÉ PAR LE CONSEIL MUNICIPAL DE LA VILLE DE GONFREVILLE L’ORCHER SUR LA RÉORGANISATION DE L’OUVERTURE AU PUBLIC DES BUREAUX DE POSTE, ET NOTAMMENT CELUI DE GONFREVILLE L’ORCHER La Direction de la Poste a décidé de réorganiser l’ouverture au public des bureaux de poste, et notamment celui de Gonfreville l’Orcher. Le bureau de Poste de Gonfreville l’Orcher est rattaché au bureau central de Montivilliers, avec les communes d’Harfleur, de Gainneville, d’Épouville. Sous couvert d’une baisse de fréquentation des usagers entre 2008 et 2012, la direction réduit les horaires. Dans le projet, pour ces quatre communes, ce sont 22 h 30 d’ouverture au public qui sont sacrifiées. Quant à notre bureau de Poste de Gonfreville l’Orcher, son amplitude horaire se réduirait à 27 h 15 au lieu de 31 h 45, soit 4 h 30 en moins. Au passage, ce sont près de 3 emplois (2,7 exactement) qui disparaîtraient sur ces 4 bureaux de Poste, avec des conditions de travail dégradées pour les agents restants. Même charge de travail avec moins de personnel. Dans le détail : Le lundi : Ouverture de 9 h 45 à 12 h 00 et de 14 h 15 à 16 h 45 Une ouverture plus tard le lundi aura des répercussions, notamment sur les entreprises qui ont une boîte postale. Mardi, jeudi, vendredi : Ouverture de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 15 à 16 h 45 Mercredi, samedi, de 9 h 00 à 12 h 00 (fermeture le mercredi après-midi) En restreignant l’ouverture au public, il est sûr que l’activité ne peut que s’affaiblir. C’est la logique même ! Pour notre part, nous pensons que cette stratégie cache bien d’autres ambitions. Notamment celle de dégager davantage de profit, en s’attaquant à l’emploi « au fameux coût du travail » comme dit le patronat – car n’oublions pas que la Poste est à présent dans le giron du secteur privé. Elle ne défend plus les valeurs du service public et de son rôle de proximité en faveur des usagers. À contrario, nous défendons l’idée que la Poste a un rôle social, et qu’elle si elle a perdu son identité de service public, elle doit conserver l’esprit de service au public. p. 89 / 91 PVCM-2013-11 Ce n’est pas le taux de fréquentation qui doit dominer, mais bien l’utilité du bureau de poste, le service rendu aux gonfrevillaises et aux gonfrevillais. Le Conseil municipal de Gonfreville l’Orcher refuse le projet de réorganisation de la direction de la Poste et demande le maintien des horaires d’ouverture au public du bureau de Poste de Gonfreville l’Orcher avec les moyens humains adéquats pour répondre aux attentes et aux besoins de la population gonfrevillaise. Adoptée à l’unanimité. Monsieur le Maire J’étais totalement solidaire avec le rassemblement des salariés de la Poste, des guichetiers qui ne sont pas les premiers et premières car il y avait beaucoup de femmes, à descendre dans la rue, pour leur condition de travail. Ils voient aujourd’hui leurs conditions de travail considérablement se dégrader. Des conditions de travail des guichetières et guichetiers qui se dégradent, c’est l’accueil du public qui en pâtit en premier. Nous vous présentons un vœu au Conseil Municipal, car nous pensons, que sur ces sujets là, il faut que les Conseillers Municipaux se positionnent clairement pour la défense de la Poste. Même si maintenant on nous explique que c’est une entreprise privée, avec des actionnaires, nous, nous continuerons à défendre l’idée du service public postal. Cela me paraît intéressant comme idée. Expliquer que si nous voulons que la Poste ait des clients, il faut ouvrir des guichets. Défendre l’idée de mettre de l’humain, car vous avez vu dans la presse : La Caisse des Allocations Familiales, accueille ses allocataires en visioconférence. Plutôt que de mettre un individu en face afin de les aider dans leurs papiers, on installe une machine et un scan pour montrer le papier à la personne qui est à l’autre bout, soit Rouen ou ailleurs. Vous vous imaginez, déjà les personnes sont en difficulté, elles cherchent des solutions, et on leur met en face une machine pour les accueillir. Ce n’est pas très correct et nous n’avons pas vraiment envie que notre Poste se transforme comme cela et que l’on garde de l’humain. J’ai expliqué que cela devait être ainsi pour tous les services publics et j’en parlais au commissariat à Harfleur. À l’accueil au public, les gens arrivent avec leur problème. Ils ne savent pas comment s’en sortir, ils ne savent pas s’ils sont au bon endroit. Ils voient dans un guichet un endroit où peuvent leur être apportées des réponses. Quelquefois vous avez des personnes qui viennent à la Poste, mais qui ne relèvent pas du tout de la Poste, mais qui ont besoin d’une écoute. Quelquefois des personnes arrivent à l’accueil de la mairie mais leur problème ne concerne pas les services de la mairie. Ces personnes ont besoin d’aller voir quelqu’un qui va les apaiser, qui va leur ressortir un petit peu l’essentiel de leur problème, qui va discuter, et cela s’appelle un rôle de Service Public, cela s’appelle de l’utilité, cela s’appelle de l’humain. p. 90 / 91 PVCM-2013-11 Le jour où nous retirons cela, je ne suis pas sûr que la qualité de vie soit la même dans nos villes et que nos populations, et notamment les plus faibles, soient celles qui s’en sortent le mieux demain. Voilà le sens du vœu que nous présentons. Derrière cette organisation, il y a des conséquences sérieuses sur les conditions de travail du personnel, sur les déplacements, sur les conditions d’accueil. Nous n’avons pas développé car nous souhaitons que le Conseil se prononce sur la notion « SERVICE PUBLIC », sur la présence, les heures d’ouverture… Nos deux postières sont dans le public. Elles n’ont pas le droit de s’exprimer pour nous dire si elles sont d’accord ou pas. Elles nous ont fait part de l’évolution de leurs conditions de travail qui ne sont pas forcément à envier si cette réforme se mettait en place dans les bureaux de poste. Avez-vous des observations sur ce vœu ? Vœu adopté à l’unanimité. Merci. Le bureau de poste devant déménager à terme dans les nouveaux commerces de la prochaine construction, avec les immeubles, nous avons demandé un distributeur de billets, nous devrions l’avoir. Si le déménagement avait eu lieu cette année, nous en aurions eu un, car celui-ci était disponible. Mais la direction ne veut pas le mettre ailleurs que dans le nouveau bureau de poste. Nous leur avons dit de le mettre à l’agence actuelle et de le déménager en même temps que la Poste. La direction nous a promis, sachant que le nouveau bureau de poste devrait être construit en 2015 qu’au début de 2016, nous aurons le distributeur. Voilà ce qu’il en est pour le Bureau de Poste. Merci encore pour cette unanimité, parce que je pense que c’est important sur ces sujets-là, que tous les Maires s’engagent. À la manifestation, il n’y avait pas tous les Maires, mais j’espère que dans les Conseils Municipaux, les choses vont se manifester pour le coup. Séance levée à 21 h 40. p. 91 / 91