Crise : l`immobilier de la famille résiste - Ambiance Sud-Est

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Crise : l`immobilier de la famille résiste - Ambiance Sud-Est
IMMOBILIER
COMMUNIQUÉ
Crise : l’immobilier de la famille résiste
L’immobilier de la famille, c’est depuis 21 ans le credo du réseau d’agences immobilières Accorimm,
présent à Villeurbanne, Ternay et Mions. Nous avons rencontré Stéphane Lamamra, cofondateur
d’Accorimm. Face à des confrères qui dénoncent la chute des prix et la crise de l’immobilier, ce
professionnel dresse un constat plus nuancé : dans un contexte morose, le Sud-Est lyonnais tire
son épingle du jeu.
Premier constat de Stéphane Lamamra, qui, comme la quasi-totalité de l’effectif d’Accorimm, réside
dans l’Est lyonnais, son attractivité. Essor démographique, infrastructures, mais aussi authenticité
sont autant d’atouts pour le secteur : « Le Sud-Est garde un côté champêtre, campagne, aux
portes de Lyon. La rocade Est, présentée comme la rocade des villages et désormais autoroute
internationale, a valorisé l’Est lyonnais. Elle a permis à des gens, en route vers le Sud ou la
montagne, de découvrir notre secteur et de révéler ces communes proches de Lyon. Ternay est à
40 minutes en voiture de la place Bellecour. Et il y a une multitude d’accès : autoroutes A7, A42, aéroport
Saint-Exupéry et des moyens de transport collectifs comme le train, les bus, le métro... ».
Autre point fort du Sud-Est : le large éventail de logements proposés. « C’est le charme de
notre secteur, souligne Stéphane Lamamra, on peut trouver de tout » : logements collectifs à SaintPriest (« où il reste encore pas mal de maisons »), offre mixte entre logements collectifs et maisons individuelles du côté de Mions
ou de Corbas et à Saint-Pierre-de-Chandieu, Toussieu, Chaponnay, Marennes, Ternay, Communay ou Simandres, « les villages côté
rocade », comme les désigne Stéphane, « 60 à 70% d’habitat individuel ».
Stéphane Lamamra et son équipe
Pourtant, dans le secteur, comme partout dans l’Hexagone, la crise économique a durement touché l’immobilier depuis 2008.
« Dans les années 2010-2011,avec le dispositif Scellier, les investisseurs représentaient 30 à 40% du marché. C’est énorme. Quand
vous enlevez ces investisseurs, vous avez forcément une morosité », explique Stéphane Lamamra, qui refuse le catastrophisme :
« Quand vous êtes spécialisés comme nous dans l’immobilier de la famille, vous êtes moins confronté à cette situation. Notre métier,
c’est la résidence principale. Alors, oui, il y a une baisse des prix, mais pas dans tous les secteurs et pas pour tous les biens. »
Ce sont les logements nécessitant beaucoup de travaux qui sont les premiers touchés : « Les biens vieillissants où il faut changer les
menuiseries ou le système de chauffage (voire plus) subissent une décote. L’acquéreur se dit que ce logement-là, il ne l’achètera pas
à ce prix-là. [...] Mais là où je ne suis pas d’accord, c’est quand on parle de chute des prix. C’est vrai qu’il y a une baisse, mais elle
n’est pas spectaculaire : de 5 à 10% maximum, selon les travaux d’amélioration, sur notre secteur. C’est tant mieux pour l’acquéreur,
qui bénéficie, en plus, de taux d’intérêt extrêmement bas, les plus bas depuis 1945 ! »
Ce serait donc le moment d’acheter ?
« Pour quelqu’un avec un emploi stable et des revenus réguliers, le scénario est favorable à l’achat. Dans les années 1990, les prix
de l’immobilier ont chuté, mais les taux d’intérêt étaient en hausse. Dans les années 2000, les prix ont fortement augmenté et les
taux d’emprunt étaient plus hauts qu’aujourd’hui. Depuis 2011-2012, les prix n’augmentent plus, et les taux d’intérêt chutent. Cela
fait très longtemps que les conditions n’ont pas été aussi favorables pour les primo-accédants - et pour tous les autres, familles
monoparentales, couples qui ont besoin de plus d’espace, retraités qui quittent une maison trop grande... C’est le moment de vendre
pour acheter et bénéficier des taux bancaires les plus bas depuis des décennies. Pour certains propriétaires, mettre en location leur
bien en attendant des jours meilleurs, est une solution à ne pas négliger... ».
Avec une tendance qui se dessine : l’acquéreur, perle rare ces dernières années, redevient maître du jeu et des négociations.
Une occasion qu’il ne faut pas laisser passer, pour Stéphane Lamamra : « S’ils ne profitent pas de ces conditions favorables, que
diront ces acheteurs potentiels dans quelque temps, lorsque l’immobilier et les taux d’intérêts repartiront à la hausse ? Si j’avais su… ».
Accorimm, trois agences à votre service !
Spécialiste immobilier du Sud-Est Lyonnais depuis 1992
Mions : 04 72 09 02 44
Villeurbanne : 04 72 91 66 33
Un début d’année encourageant...
« Après une année 2012 difficile, on nous
prédisait une catastrophe en 2013 », explique
Stéphane Lamamra.
Pourtant, ce premier trimestre est plutôt encourageant pour le réseau. Nombre de ventes doublé par rapport aux trois premiers mois de
2012, programme neuf plein de promesses à
Communay (sur 11 logements livrables en 2014,
3 réservations ont été faites en 15 jours de commercialisation), secteur « location » prospère, home-staging,
gestion de biens, activité de syndic de copropriété, le réseau étend son activité à tous les métiers de l’immobilier.
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Tableau indicatif des prix de
l’immobilier dans le secteur
d’Ambiance Sud-Est
Appartement ancien
Maison ancienne
Chaponnay
3 000€/m²
2 700€/m²
Communay
2 600€/m²
2 900€/m²
Corbas
2 200€/m²
2 600€/m²
Feyzin
2 000€/m²
2 500€/m²
Marennes
2 300€/m²
2 700€/m²
Mions
2 700€/m²
2 800€/m²
Saint-Fons
1 900€/m²
2 200€/m²
Saint-Pierre-de-Chandieu
2 500€/m²
2 700€/m²
Saint-Priest
2 000€/m²
2 800€/m²
Saint-Symphorien-d’Ozon
2 400€/m²
2 300€/m²
Sérézin-du-Rhône
2 500€/m²
2 200€/m²
Simandres
2 400€/m²
2 700€/m²
Solaize
2 500€/m²
2 600€/m²
Ternay
2 400€/m²
2 700€/m²
Toussieu
2 500€/m²
2 700€/m²
Vénissieux
1 900€/m²
2 600€/m²