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* D’après la nouvelle d’ Eugène Ionesco
Adaptation Théâtrale
Béatrice Courtois & Fabrice Gaillard
Je suis un homme malade …
Je suis un homme méchant.
Je suis un homme déplaisant.
Je crois que j’ai une maladie de foie.
D’ailleurs, je ne comprends absolument rien à ma maladie et ne sais même pas
au juste où j’ai mal.
Dostoïevski, Le sous-sol.
Interprétation et mise en scène : Fabrice Gaillard
Musicien : Manu Deligne
Lumière : Sylvain Desplagnes
Vidéaste : Laurent Vigliano
Collaboration artistique : Béatrice Courtois
Réalisation vidéo : Olivier Sarrazin
Image : Dilip Varma
Masque : Cécile Kretschmar
Costumes : Caroline Tillard
Collaboration physique : Sylvie Amblard
Production Le Souffleur de Verre. Coproduction La Comédie de Clermont-Ferrand, scène nationale
Le Souffleur de Verre est en résidence triennale de création et subventionné par la Ville de Cournon d’Auvergne.
La Compagnie est conventionnée par la D.R.A.C Auvergne
et le Conseil Régional d’Auvergne
Avec le soutien de Serge Tranvouez ( Cie MASKI THEÂTRE ), Jean-Claude Berutti ( C.D.N de ST Etienne )
et David Verkempinck ( L’ESCAPADE, Hénin-Beaumont ).
Présentation du spectacle, disponible en dvd sur simple demande,
ou accessible sur Internet à l’adresse :
http://www.souffleurdeverre.fr/videolavase.html
* « La Vase » , 1956, éditions Gallimard
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Un homme passe ses journées sur des routes de campagne : il visite, inspecte, écrit
des lettres, et quand arrive le soir, se retrouve seul dans sa chambre d’hôtel.
Petit à petit une lourdeur dans son corps s’installe, son intérieur le ronge.
Une nostalgie, des remords, des regrets ?
« J’ai l’intention de contribuer à l’amélioration de la condition humaine.
Le sort de l’homme n’est point parfait, d’ailleurs je m’aperçois que j’ai un foie. »
Une passivité le gagne . . . Il se retire de la vie, se cloître dans sa chambre, seul,
en proie à ses fantômes.
Oublié de la société, il s’abandonne, impuissant devant le désordre du monde et la fuite
inexorable des choses. Dans sa chambre, il s’invente un monde où le temps n’existe plus, où l’espace
est mouvant, où les objets et les choses prennent une autre dimension - poétique - .
« Ai-je quelque chose à défendre ?
Est-il si grave de s’abandonner ? »
© Laurent Delphin
Une nuit, il prend conscience de son état et tente de se ressaisir.
Mais comment s’y prendre ?
Au petit matin, il sort de sa chambre parcourir la campagne mais, épuisé, ne sachant plus
où aller, seul, il chute dans une mare.
’
« Je suis là, cependant, un œil, une boite crânienne et un cœur qui bat de moins en moins vite. »
L eau et la terre mêlées l’ensevelissent, ses membres se détachent et s’enfoncent
dans la boue. Il disparaît, éparpillé dans la vase.
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Durant les répétitions de « La Cantatrice chauve » avec Jean Claude Berutti au C.D.N
de Saint-Etienne nous avons étudié Eugène Ionesco et son œuvre. Dans mes lectures,
j’ai découvert la nouvelle « La vase » et j’ai eu envie de la faire partager.
Lors de la tournée du spectacle, des rencontres se sont organisées pour sensibiliser le public à
Ionesco. J’ai souvent proposé de lire « La vase ». Je me suis aperçu que ce texte touchait un grand
nombre de personnes, que sensiblement on pouvait s’y retrouver et s’identifier à cette histoire.
J ’ai eu le désir en tant qu’acteur de m’engager seul sur scène et de confronter mon univers
à ce texte. Le projet s’est alors constitué au fur à mesure.
Le Théâtre du Nord, C.D.N de Lille, m’a donné la possibilité de présenter différentes étapes
de travail en public dans le cadre du théâtre d’une heure. J’ai voulu dépasser le stade de la lecture,
j’ai donc adapté la nouvelle pour la théâtraliser.
Les différentes représentations m’ont donné la possibilité d’expérimenter des formes diverses
et de trouver la façon dont aujourd’hui, je veux raconter cette histoire.
« Un jour, il ne te restera plus grand chose que toi-même. Tu toucheras le fond, voilà tout.
(il n’y a pas de fond, sais-tu ? J’ai touché le. Rien. Pas de fond…[…]se rappeler alors des conseils
d’un aïeul à propos du coup de pied du nageur emporté par le tourbillon du fleuve. J’essaie de me souvenir :
« Il faut que tu te laisses descendre jusqu’au fond ». Il faut que j’accepte de me laisser descendre jusqu’au fond.)
Cela avait commencé par une chute. La chute n’avait plus eu de fin. On en sortait pas. »
Didier-Georges Gabily « l’Au-delà »
Dessin d’Eugène Ionesco « le personnage-roi »
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Un souffle, une respiration...
Puis l’image d’un dos, en mouvement, la chair, les muscles qui se développent et une voix qui jaillit,
presque une naissance : une voix.
Le corps en pleine naissance, presque une danse,
Le personnage dans la force de l’âge (il le dit).
L’image de son corps, esthétique, un corps sain, musclé, celui qu’on voit dans les magazines
(corps exposé, corps formaté) .
Celui dont on rêve, parce que c’est celui dont on veut nous faire rêver.
Ça c’est le début mais très vite on bascule dans une autre histoire, celle plus ordinaire, de la
détérioration. Ça grossit, ça s’use, ça vieillit aussi un peu, les articulations rouillent.
C’est aussi l’histoire du temps, qui fatigue physiquement et moralement.
C’est cette histoire aussi que l’on raconte, la solitude et l’abandon des autres puis de soi.
Le personnage visite sa chute et assiste à sa propre déchéance.
Un corps malade, un corps qui souffre.
Mais sa conscience lutte encore. Une prise de pouvoir doit avoir lieu.
Il se recouvre, cache le corps, se cache du monde.
Il finira par accepter son sort tragique : l’immobilité.
« Une paresse sans bornes, une passive anarchie biologique s’est emparées des organes
qui se sabotent réciproquement comme des ennemis irréductibles.
Les mâchoires refusent de mastiquer les rares denrées que, de temps à autre, je leur confie; elles laissent
tout le travail à la charge de l’estomac qui expédie les aliments non digérés aux intestins qui en constituent,
déraisonnablement des stocks, des pyramides, des montagnes pétrifiées. »
Dans sa chambre, solitaire, reclus, il se rêve en mouvement.
Ce fantasme l’incite à sortir de sa chambre ( en rêve ? ) il redécouvre le monde extérieur. Et dans
sa marche imaginaire, le monde l’engloutit. Il tombe et se décompose. Il fait le constat sa vie.
La conscience qu’il n’est pas celui qu’il a rêvé d’être. La perte de son enfance.
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Tandis qu’il approche de la mort je recommencerai sont
ses dernières paroles.
Depuis toujours il connaît sa fin, il l’a déjà vécu, il sait que
rien ne pourra l’en détourner.
Son histoire est un ressassement - mort et naissance un cycle.
Un rêve ?
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« Chaque minute attend la minute suivante, elle vient pour attendre une autre minute…
et c’est ça le temps, tout le temps. »
Pierre Alechinsky
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Ionesco raconte l’histoire d’un homme qui n’a pas d’histoire.
Avec ce personnage il nous renvoie à nous même, à nos peurs. C’est les cauchemars de l’homme
qu’il met en scène : la vieillesse, la maladie, la dépression, l’abandon de soi, notre volonté à être,
ou ne plus être. Pour quoi et pour qui on fait le choix de vivre, de survivre.
C’est notre devenir, notre avilissement moral et physique, la mort qui nous attend.
Il dévoile un homme qui va au bout de sa décrépitude, qui pris dans un engrenage va s’abandonner.
Une nostalgie profonde le dévore.
Des remords : le savoir qu’il n’aura jamais, le sentiment de son infirmité et du miracle de toute chose.
Un dégoût du monde.
Une lassitude.
Il n’y aura pas de retour possible à la vie.
« Aurai-je assez de volonté ?
Comment les autres font-ils pour vivre… survivre ?
Comment ai-je fait moi-même ?
Comment pouvais-je vivre ?
Ai-je envie de recommencer ?
Quelle partie de moi-même sera la plus forte ?
Celle qui veut reprendre, ou celle qui veut tout lâcher ?
Il n’y a pas de raisons de vivre,
Il n’y a pas de raisons de ne pas vivre.
Il y a des déraisons insondables ? insondables…insondables… »
Pierre Alechinsky
« C’est dans le rêve, par exemple, que je ressens de la façon la plus irréfutable ma raison d’avoir peur ;
c’est dans le rêve que s’éveille la présence de la mort ; la conscience de mon impuissance devant le mal. »
Eugène Ionesco
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« Il ne faut plus détester l’instant. Il faut aimer l’instant. Se sentir à l’aise.
Dans l’instant il faut être chez soi. »
Un espace vide / Puis un fauteuil / Le fauteuil qui aspire le corps
L’espace se ressert / Le fauteuil ingère puis régurgite le corps
Le corps prend l’espace / L’espace avale le corps.
Le support vidéo est une incise dans l’histoire, par sa fixité il est un parallèle entre l’instant
et le passé. Projetées hors de la scène, les images dirigent notre regard sur les murs du théâtre,
et nous permettent de sortir de ce lieu clos qu’est la chambre.
L’ espace sonore se compose d’un violoncelle, instrument terrien, charnel, sa sonorité
La lumière
© Marielle Pommier
créée le décor fantomatique
de la chambre.Elle joue avec des ombres, donne l’illusion
du rêve, du cauchemar. Elle renforce la sensation
d’emprisonnement, en se resserrant autour du fauteuil.
Elle raconte l’ouverture du monde et l’enfermement
dans ce lieu clos. Elle se lit aussi au sens premier,
le désir de voir le jour ou non.
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© Marielle Pommier
peut donner l’effet d’un jaillissement d’outre tombe. Il souffle, crie, et chante à la fois.
Des pistes sonores, enregistrées en direct, sont rediffusées par différentes sources.
Un sifflement-rengaine est repris par ordinateur ou par le violoncelle, il est comme le fil conducteur
du temps - de l’espace qui se meut.
Le son comme partenaire de jeu répond à une parole, il peut influencer le rythme, il crée de l’espace
et ouvre des champs sur l’imaginaire.
Le musicien est à vue en périphérie du plateau.
Entre l’acteur et lui, un combat a lieu.
Un fauteuil - unique élément naturaliste de la chambre –
est le point de départ du personnage
mais également son point de chute.
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Fabrice Gaillard
Formé au Conservatoire de Tours (1994-1996) puis à l’Ecole du Centre Dramatique National de Saint-Etienne
(1997-2000), il a travaillé avec Serge Tranvouez, Jean-Claude Berutti, Daniel Girard, Cédric Veschambre, Anatoli
Vassiliev, Michel Tallaron, André Tardy, Paul Tison, Louis Bonnet, Eric Massé, Christian Colin, Franck Esnée…
Manu Deligne
Compositeur et interprète, multi-instrumentiste, parcours d’un musicien atypique... Depuis plusieurs années,
il explore et dessine des univers sonores au théâtre, ses recherches côtoient alors de nombreux projets
(«Le Pied sur la Tête», «Epreuve d’Artiste», «P’tit Bastringue», «Théâtre Parenthèse», «ZèbreThéâtre», etc...)
Sylvain Desplagnes
Scénographe / Eclairagiste. Formé aux Beaux-Arts de Saint Etienne, département sculpture et étude de
l’espace, au Modelage et Taille de pierre à Volvic. Atelier de Fontblanche a Nîmes, département Bijouterie
Contemporaine et approche de la scénographie, théâtre de La Criée à Marseille (stages avec Dominique
Bagoué , Jean Pierre Raphaelli et Jérôme Deschamps). Travail pour divers plasticiens ( Mario Mertz,
Villeglé, Dietman, etc…). Nombreuses créations pour le «Zèbre Théâtre», «Euphoric Mouvance»,
«Eponge Théâtre», «Théâtre parenthèse», «Cie Sorite de route», «Groupe Alpha», «Succube amer»...
Laurent Vigliano
Plasticien de formation (peinture et installation), réalisation d’une trilogie de courts métrages ten 2005,
lumières et décors naturels, un cadre formel dans lequel se développe 3 univers ( “AVEC OU CENDRES“
un poème d’amour tabagique, “L’ESTHETE SAMOURAÏ“ un film de sabre extatique, “MOB ET DICKS“
a rock’n roll mobylette movie) En cours de montage : western en moyen métrage (30-35 min). Il cotoie
également le domaine du spectacle vivant en créant des univers vidéo («République» mis en scène
par Pierre-François Pommier ou «Gulliver» mis en scène par Julien Rocha et Cédric Veschambre).
Le Souffleur de Verre tente de s’inscrire dans cette recherche constante, faite d’expériences, de
complicité et d’interactions entre l’auteur, son écriture, l’acteur, le metteur en scène et le public.
Construire ensemble.
Concevoir le théâtre comme une œuvre collective où chacun a sa place, son apport particulier et essentiel.
Collectif de sept acteurs / metteurs en scène regroupé autour d’une dynamique et d’une idée commune
du théâtre - un groupe uni pour défendre un même projet - tentant d’approfondir les mécanismes
d’une écriture d’aujourd’hui.
Une recherche tendant à accéder à une parole théâtrale.
Une parole physique, sensitive autant qu’intellectuelle ou dramaturgique.
Un travail créatif où l’Acteur est placé au centre.
Chaque acteur cherche à trouver une parole intime qui pourra atteindre le spectateur le plus
profondément possible.
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Chantier :
- A l’Hospice d’Havré (Maison Folie de Tourcoing), le 12 mars 2oo5
- A wattignies, Dans le cadre du Théâtre d’une heure, le 29 avril 2oo5
- A Naxos Bobine (Paris), le 31 mai 2oo5
- A la M.A.J.T (Lille), le 02 juin 2oo5
- Au Zèbre Théâtre (Vichy), 12 septembre 2oo5
- A la Bergerie (Cournon, lieu de résidence de la compagnie Le Souffleur de Verre),
Les 15, 16, 17 et 18 février 2oo7
Creation :
Le 22 octobre 2oo5 au Théâtre du Nord (CDN de Lille)
Diffusion :
• Les 2,3 et 4 novembre 2oo5 à L’ANTRE-2 (Lille)
• Les 30, 31 mai et les 1,2, 3 juin 2oo6 au Théâtricule
• Le 10 juin 2006, à Isbergues, compagnie ABACA
• Le 29 septembre 2oo6 au Centre Culturel de Carvin
co-réalisation : L’ESCAPADE, Hénin-Beaumont
• Les 7 et 8 décembre 2oo7 à Cournon d’Auvergne
• Les 20, 21 et 22 décembre 2oo7, à « L’Ogre à Plumes », Paris
• Le 18 janvier 2oo7, Atelier « La Piscine », Université du Littoral Côte d’Opale Dunkerque
• Les 20, 21, 22 mars 2oo8, festival « À Suivre... », La Comédie de Clermont-Ferrand, scène
nationale
• Le 9 octobre 2oo8 à Tours, avec le Collectif d’Alcoologie d’Indre et Loire
• Le 14 août 2oo9, Centre culturel international de Cerisy-la-Salle, dans le cadre du colloque
« Lire, jouer Ionesco aujourd’hui »
A venir...
Les 5 et 6 février 2010, Espace Culturel de l’ACERMA, 22 Quai de la Loire
i , 75019 Paris
Le 8 février 2010, Théâtre de La Huchette, 75005 Paris
Le 12 mars 2010, Salle Oésia, 37390 Notre Dame d’Oé
Le 27 mars 2010, 63430 Pont-du-Château
Les 5, 6, et 7 mai 2010, Le Garage, Théâtre de l’Oiseau Mouche, 59100 Roubaix
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à Vienne.
Plateau : Espace scénique de 6 mètres par 4 mètres de profondeur minimum
Nous contacter
Fiche technique disponible sur demande
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Le Souffleur de Verre
Béatrice Courtois – Fabrice Gaillard – Fabien Grenon – Chrystel Pellerin –
Pierre-François Pommie – Julien Rocha – Cédric Veschambre
Sous la direction artistique de Cédric Veschambre
Diffusion : Johann Laloué
La Bergerie
30 place Joseph Gardet
63800 Cournon d’Auvergne
Association loi 1901 - Siret 450 270 640 00011 - Licence 2-141 197 - APE 923A
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