TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION

Transcription

TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION
19/04/10
10:03
Page 1
BON DE SOUSCRIPTION
A compléter et à nous retourner
Nom : ......................................................................................
................................................................................................
Prénom : ..................................................................................
Adresse : ................................................................................
................................................................................................
Tél. : ........................................................................................
Courriel : ..................................................................................
Je souscris à .......... exemplaire(s) de Traces d'artistes Dictionnaire de l'art moderne et contemporain dans les
Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours, au tarif préférentiel
(frais de port compris) de 27 € l'exemplaire ( au lieu de 34 €
prix public à partir de juin 2010 ).
• 315 notices
richement illustrées
• 368 pages
• format 14X21,5cm
• broché
• couverture à rabats
Montant de ma souscription : ............................................. €
Règlement par chèque à l'ordre d'Edicité.
Une facture de règlement vous sera envoyée.
Edicité
22, rue de Belfort
65000 Tarbes
L’auteur
Il est déjà commissaire d’expositions, galeriste, enseignant en muséographie,
auteur de catalogues et de monographies.
Avec le Dictionnaire de l’art moderne et contemporain dans les Hautes-Pyrénées
de 1900 à nos jours, Sylvio Brianti ajoute une corde à son arc et s'installe avec
autorité dans le cercle des historiens de l’art.
SOUSCRIPTION
TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION
TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION
19/04/10
10:03
Page 2
Buffin
Louis, Jule
s
(1884, Tarbes
- 1967, Bagnè
res-de
-Bigorre)
Ariza
Portrait par Henri
Borde, sd,
huile sur papier,
40 x 32 cm,
coll. particulière
une manière
tendant à la
simplification.
Elles ont tendan
ce à exalter
les formes et
effleurent un post-c
ubisme à la André
Il est assuré
Lhote.
Cet artiste
ment un des
a passé «
seuls peintre
pyrénéistes »
l’essentiel de
s
de la premiè
sa vie à 20ème
re moitié du
siècle, par son
Bagnè res-de
-Bigo rre réguliè
approc
dans sa villa
re des hauts somm he physique et
puis chalet Montlo
Beaulieu, de
ets. Son compl
courses Édoua
uis des allées
ice
rd Dulac le qualifi
Maintenon.
Louis Buffin
naquit à Tarbes
justesse en 1928
e avec
où son père
de « peintre des
était officier
pyrénéennes
de garnison,
altitud
es
». Tandis que
mais c’est à
Bagnères qu’il
dans son roman
de 1929, Seuls,
fait ses études
tous deux…,
secondaires
au collège. Il
le personnage
principal, évoqu
entame des études
ant sur place
Toulouse, puis
de droit à Cader
Grésiolles et
part à Paris
olles, affirme
où il se tourne
vers la peintu
: « Avant d’avoir
cette région,
re en autodi
visité
j’appris à la conna
dacte, allant
voir musées
ître par les
fidèles peintu
et expositions,
re de Buffin qui
et présentant
ses œuvres
me rappelèrent
certains Hokus
aux maîtres
ai… ».
reconnus. Il
commence à
Membre de
exposer en 1910.
la
Société des
il épouse MarieEn 1918, de
Peintres
Antoinette Miche
Montagne, Louis
d’un magistrat
let, fille «
Buffi
n,
surnommé
Médjor » par
quercynois.
ses amis, expos
Louis Buffin
est un authen
e à ce salon
de 1910 à 1956.
tique peintre
de montagne
Il envoie des
et de plein air.
œuvres au
Salon de la Sociét
Il travaille en
altitude, sur le
é Nationale des
motif, des petites
Arts de 1913
Beauxhuiles sur carton
à 1923, au Salon
Sa production
et bois. (1922d’Automne
méconnue et
28), à celui
peu étudiée
s’avère d’un
des Indépendants
partir de 1926.
grand intérêt
à
. Il a su faire
Aux Etats-U
siennes les
nis il sera
présent dans
avancées des
l’exposition des
mouvements
modernes du
Arts Français
Modernes. A
début du 20 ème
l’Exposition
siècle pour
construire une
Internationale
de Paris en
œuvre paysa
1937,
giste très
originale. Expres
il crée et présen
diorama sur
sionniste par
te un
Gavarnie au
une touche
large et gestue
pavillo
n
(Béarn, Basqu
des 3 B
lle, il manie
e, Bigorre). Il
les couleurs
chaudes et vives
participera à
Société des
des nabis et des
la
Amis des Arts
établit souvent
fauves. Il les
des Pau dans
les perspectives
années 20 (en
de ses vues
1927, deux vues
de sommets
ou de lacs avec
et de Bagnè
de Torla
res) et des Amis
des arbres et
pins à croche
des Arts* à
Tarbes à ses
t japoni
débuts dans
Adepte des course sants en premier plan.
les années 40.
exposera à la
s en montagne,
Il
Leicester Galler
en particulier
il a peint à
y à Londres,
la galerie Duber
les environs
de Bagnèresnet* à Tarbes
de-Bigorre, la
en 1964. On
lui doit aussi
haute vallée
u’à la
des paysages
de Campan
et la région
çaux, jusq plus
du sud-ouest,
et de ses incurs
de Caderolles
proven
et du Bastan
sages
ions parisiennes,
sont les
Mais aussi
. quelques
ène
ses pay
les massifs
toux qui
il brosse
Malauc
vues urbaines
du Luchonnais
du Ven
et du Néouv
ge de
(une Tour Saintrégion
istère
Jacques). Quelq
ielle, les vallées
: Le villa pour le Min
ues portraits
d’Ordesa. Il
d’Argelès,
xconnus
également,
toujours en usant
fut souvent accom
at d’État rts), Les Bau
ach
du paysage
pagné par
son épouse
Spo
(1951,
Arabesque, femme à la sandale, 1960, plâtre, 110 x 70 x 110 cm (exposition Musée Rodin, Paris)
Cantini,
et de ciels
en fonds, parmi
et des
et son ami
nesse
Edouard Dulac
Musée
lesquels ceux
(1880-1944),
t rocheux
de la Jeu ce (1937,
Michelet* et
de Firmin
romancier et
Page précédente : Autoportrait, 1951, buste en pierre dure, taille directe, 30 x 50 x 30 cm
de l’écrivain
chroniqueur
e l’aspec
9. Au
ven
la Revue Région
de Guiches
lotois Gustave
.
appréci
de-Pro
en 200
en
is
hes
aliste des Pyréné
Il
e,
Par
sèc
(Salon
s
dial
le).
d’Automne, 1925).
et à
relata leur sorties
es, qui
itecture
Marseil
rre mon
Blanch
Louis
et bivouacs de
les arch
onde gue représente,
e,
l’étude
Étienne Hajdu*. Elle participe avec eux à aux Beaux-Arts de Marcel Gimond,
sec
à
arid
jours. Ses(réputé
plusieu
la
et
et
rs
œuvres de fin
in de
s sa
Paysage à Caderol
l arpente
de vie adopte
lendema
zine. Dan
les, sd, huile sur
oie qu’i
l’exposition du Musée Salies en octobre 1944 pour ses bustes) et celui d’Alfred Janniot.
nt
sont
toile marouflé t la Sav
de Mor
Manuel
(1953, Bagnères-de-Bigorre)
Artiste plasticien franco-espagnol, il passe
par l’École des Beaux-Art de Toulouse
(1983-86), où il développe un travail de
peinture (grands formats, personnages
contemporains et massifs dans une
veine très caravagesque). Il part à Paris,
poursuivant le cycle des Beaux-Arts et
des recherches en peinture autour du
corps dans l’atelier de Vladimir Velickovic
(1986-89). Il fréquente aussi les ateliers
d’Alechinsky et de Boltanski. Il expose
à Paris ses œuvres (salons de la Jeune
Sculpture et de Montrouge), travaille pour
Sans titre, 1994, bois, ciment & et acier,
28 x 22 x 10 cm
ce
sur carton, 33
c’ese
x 24,5 cm, coll.
la vallée e et réaliste,
particulière mment
nota
iculeus
produc
tion mét
(1956,
(1939, Toulouse - 2009, Miolles)
France et d’Afrique. Celle-ci sera présentée
en 2004 à Tarbes au Haras National, puis
toujours à Tarbes au Pari, et à la Galerie
l’Art en Stalles à Pouzac en 2005. Il se
remet à dessiner avec intensité à partir de
2005 : grands paysages minutieux faisant
écho à ses compositions photographiques
argentiques. Géraud Barutel disparaît
Photographe, après des études de lettres
classiques au lycée Pierre de Fermat à
Toulouse, Géraud Barutel se forme à l’École
des Beaux-Arts (1957-62). Il pratique la
photographie dès 1957. Il est professeur de
dessin au lycée Victor Duruy à Bagnèresde-Bigorre de 1962 à 1969. Il aura comme
collègue Jacques Brianti*, rencontré aux
Beaux-Arts, et pour lequel il réalisera de
nombreuses photographies d’œuvres et
portraits pendant plus de 40 ans. Puis, en
photographe indépendant, il ouvre son
premier atelier à Toulouse rue d’Auriol.
Géraud Barutel se manifeste artistiquement
dans les Hautes-Pyrénées à ses débuts :
exposition à la Galerie Zeller* à Tarbes en
1964 avec Jacques Brianti, puis exposition
personnelle en 1966, dessins et photos. De
nature facétieuse, il signe à cette période
une série de paysages d’un supposé
peintre suédois, Bjorn, montrés chez
Zeller. Invité par le Groupe 4*, il participe
à la manifestation Art dans la Cité à SaintBertrand-de-Comminges en 1970. Comme
praticien, il va travailler notamment pour la
publicité et la mode, comme reporter photo
de rugby pour Midi Olympique. Il suit aussi les
arts du spectacle et les activités des théâtres
Daniel Sorano avec Maurice Sarrazin puis
celui du Capitole. En 1977, il est nommé
lles. Expositions
toiles informe
chapelle
noires de ses
dieu (2008) et
abbaye de l’Escala
(2009).
de Fabrezan
professeur de prise de vue de laboratoire à
l’ETPA (école de photographie de Toulouse,
pionnière dans la formation à l’image en
France). Il y sera enseignant jusqu’en
1999, où pédagogue apprécié, il forma de
nombreux élèves devenus photographes
ou reporters de presse, avec lesquels il
conserve des liens hors de l’école. Discret,
Géraud Barutel montre peu ses productions
personnelles. Ses portraits en noir et blanc
-genre récurrent chez lui- s’affirment souvent
dans le gros plan ou plein cadre. Ses
paysages, où la couleur fait des incursions,
dans le détail ou bien en vues très larges,
s’avèrent plastiques et très graphiques. Il
est présent dans l’exposition panorama de la
photographie en Midi-Pyrénées à la Galerie
du Château d’Eau à Toulouse (1994) avec
des portraits de comédiens et musiciens.
L’exposition tourne dans plusieurs villes
jusqu’en 1995. Il participe en 2002 à la
collective Pyrénées (galerie l’Art en Stalles à
Pouzac) avec des photomontages « trompel’œil » (2002). Il conçoit en 2003-2004 un
travail photographique avec l’association
franco-algérienne Kahina à Bagnères dans
lequel il refait et uniformise près de 300
clichés de portraits anciens de combattants
africains ou méridionaux de la guerre 14-18
pour l’exposition historique Bleu Horizon, de
tragiquement dans un accident de la route
sur les routes du Tarn le 20 décembre 2009,
avec sa seconde épouse Geneviève, née
Bedouce (petite fille d’Albert Bedouce, maire
et député de Toulouse, également ministre
A lire
Portrait
de la photographie
en Midisous
le :Front
Populaire).
Il laisse une
œuvre
Pyrénées, Galerie Municipale du Château
secrète et méconnue.
d’Eau et Privat, 1994.
(1874, Villeneu
avec une peinture, Femmes de Penmarch,
et 8 dessins et aquarelles, Camelot, Ivresse,
Mendiant, Chanteur des rues et Portrait,
Voyou, Petits gueux, Marche de pluie.
Avec 16 beaux dessins illustrant La
Chanson des Gueux de Jean Richepin dans
le numéro spécial de L’Assiette au Beurre,
consacré au poète, écrivain et dramaturge
(n° 81, 18 octobre 1902), il laisse une trace
majeure. Collaborateur au célèbre journal
satirique, il a également signé des œuvres
dans L’Estampe Moderne (La soupe à la
chambrée, 1898). Il s’inscrit brièvement dans
la lignée des dessinateurs et caricaturistes
fin de siècle, tels Steinlen, ou dans la
littérature Richepin et Jehan Rictus, dans
les représentations du petit peuple de la rue.
(1859, Argelès-Gazost – 1929, Paris)
Cette artiste épousa le sculpteur Louis
Mathet* en 1879, à Tarbes. Rosalie
Bégarie était alors tailleuse de robe. Les
traces de son parcours artistique sont peu
nombreuses : elle participe au Salon des
Artistes Français en 1890 avec un buste,
et
entre 1915
puis médaillons
es, des
puis en 1892
et 1893 avec
dans les tranché
au service
portraits en plâtre et marbre. Elle vécut
dans l’ombre, mais solidaire de l’importante
carrière de son mari. Les corps des
deux époux furent transférés de Paris et
rassemblés au cimetière d’Argelès-Gazost
en octobre 1929.
dessinateur
1916, il se retrouve la Marne. Il finit la
dans
de cette
topographique
du Nord. Il ramène
guerre en Italie
dessins sur l’atrocité
période des
aussi sur Venise
de la guerre, mais
la fin
s. Il partagera
environ
et ses
ont
Charenton-le-P
de sa vie entre
il acheta
où
s
et Penne-d’Agenai
e
avec sa deuxièm
une maison
elle aussi
e Champavier,
s
épouse Suzann
de tous les courant
Somalie et
Hors
.
la
b,
graveur
Gabriel
le Maghre
peintre et
pu traverser,
timbres pour
œuvres et
es qu’il a
de
inspirèrent des
de artistiqu
œuvre réaliste
une
partir
le Sénégal lui
it
à
ue a constru
istes. Il expose,
t.
Artistes Barlang
portraits oriental
au Salon des
du
et digne d’intérê
ement
qualité
plafond
le
à
pour
aussi
1900, régulièr
des peintures
de gravure, mais
(1908), et un
: Il a réalisé
Français, section
eau à Agen
de la Vierge)
Ducourn
maison
(La
Sainte
es et théâtre
s pour l’église
celle de peinture
le de fresque
, scènes religieus
ot (1937).
médaille ensemb
paysages, portraits
Villeneuve-sur-L
(mention en 1914,
Catherine de
Le Christ en
d’honneur
surtout de genre
représentent
Une médaille
Ces fresques
rphe, six saintes
d’argent en 1924).
deviendra Hors
avec le Tétramo
1999,
en 1903. Il
débuts, majesté et des anges musiciens. En
en gravure
du jury. A ses
Catherine
don de 1026
Concours et membreobtint également des
également fait
s au
ue
fille Claude a
ues et gravure
gravures sa
Gabriel Barlang
graphiq
des
pour
peintes,
de l’État
, œuvres
ve-sur-Lot.
commandes
maîtres (Tiepolo
de Gajac à Villeneu
tableaux de
ent Musée
d’après des
li, Laurens) notamm
Rembrandt, Botticel
Fallières en LotGuerre :
Grande
du Président
la
visite
dans
est
il
la
ur,
pour
n
A lire : Un artiste
Comme illustrate
e, catalogue expositio
et-Garonne (1906). rtes pour l’ouvrage de
1999.
Claude Barlangu
Tarbes,
Aragon,
eaux-fo
Louis
(éditions
l’auteur de 20
médiathèque
n, Sac au dos
il sert
Joris-Karl Huysma
Mobilisé en 1914,
Romagnol, 1913).
il se verra
Jusqu’en 1953,
Jeanne d’Arc.
s ou mises
dessins, gravure
,
confier les
timbres français
près de 150
en page de
étrangers. Ses
ou de pays
des colonies
e
Bannerman, catalogu 2008.
A lire : Kouass
ieu, Bonnemazon,
abbaye de l’Escalad
ine
Gabriel, Anto
ve-sur-Lot -
Peintre
et
illustrateur,
sa
carrière fut très
brève, décédé à
l’âge de 29 ans.
Il naît à Trébons
d’où sa mère,
Marie-Thérèze Laffaille, était originaire,
alors même que ses parents vivaient en
Gironde (son père, Léon Baseilhac était
percepteur à Saint-Médard-de-Guizière). Il
commença à exposer au Salon de la Société
Nationale des Beaux-Arts en 1894 (Types
de la rue). Présent en 1899 et 1901 avec
des ensembles de dessins et aquarelles. Le
Salon d’Automne lui rend hommage en 1903
19
45
15
34
Billard
nt)
on-le-Po
1956, Charent
u)
Cotono
Togo,
esse au
s
sa jeun
fixe dan
il passe
tale. Il se à LuzBénin,
occiden
Né au
es,
en Afrique s les Pyréné odidacte,
voyage
dan
3. Aut
-ouest,
)
de 198
ord à
le Sud
à partir
re disparue
e d’ab
au
cm (œuv
auveur
s’essay
x 500
Saint-S
de
peinture
nerman
5, 200
la
Val
à
,
Ban
197
du
ain
Andrest
Kouass dessinée, puis mières œuvres
trois
Brianti,
tempor
sa
Pre
Jacques
de
rt Con
gurent
ue avec
la ban
ée d’A
ine, fi
ées 90.
irés de
89),
Chili, fresq
rs.
Au Mus
y-sur-Se : Protesta (19
des ann
es insp
Solidarité
à Vitr
début
5 où
sonnag
cs et clai
El arbol
en 197
et per
Marne,
é Balmès
fonds blan ival Jazz
92) et
Andrest
signes
de 2
de Jos
aine sur
rtos (19
du fest
oser à
fresque
œuvres
depuis
los mue
ure afric l’organisation
té à exp une grande
sée
de
cult
ent
invi
lais
ol
,
arb
est
e à
ulièrem
lic
en
s Brianti*
ais El
en pub
93).
Il particip y expose rég (1997), Torla
il crée
c Jacque tée et désorm
nz
et
mujer (19
res ave
à Anglet
prê
à Luz,
, à la Fra s
x 5 mèt
e, puis
ositions
(1998)
commun
,
position
1994. Exp 97), Biarritz
s de sa
dans la
orhange
Ses com es. Il
(19
position
c
Bloch-M
is,
e…
(2002).
Aragon
abstrait
s et com intégrer ave
ès, Lise
e à Par
disparu
,
à Paris
,
les fond
r y
naturels
José Balm te et métèqu 30-51.
s plus
Galerie
A lire :
éléments
lle pou
pp.
Il garde
itifs et
en
ent alor
r, in Artis
, 1980,
informe
Il
, des
Super
devienn les signes prim nt de plus
lm
fi
David Alpe het/Chastel
listes.
,
peinture mais subtilité 11
réa
s,
e
eme
Buc
Andrest
s ou
e
ents pur
conserv
un trait
éditions
té Chili,
virulenc signes figuratif 1988 où les plus
ue, pigm
és par
: Solidari 65, 1975.
man
et
accentu
A voir
tir de
à l’acryliq ass Banner
tiques,
codes
ion FOL
li à par
iériste
de
Kou
es et artis és de
e au Chi
8, réalisat
plus mat e et argiles.
duction
politiqu
pro
agn
retourn
rs,
une
terr
cliers
le
honneu Ils sont accomp ortantes.
mêlant
parallè
des bou
grands
és.
imp
pe en
lerie
noires :
t accord
dévelop
ositions
ne (Ga
bres et
lui son
et exp
res som chiffons et rési
7 ;
ectives
t
sculptu
lique,
5 & 200
rétrosp
er et acry
es incluan
ezan 200 du Château
bois, papi
et pièc
s)
rie
Lannem
, résine,
3, Pari
plus
6 ; gale
l Bert,
sd, tissus
les
s – 195
200
s
Pau
ture
lède
car,
Sans titre,
ouil
de Les
e
cm
8, ses pein tes, traces,
-de-Fen
Musée
de cett
h. 175
En 200
istes
Caudiès
2007).
t affirmer ement
Paysag
t emprein ctaculaire
(1882,
à Pau,
s, il veu
spe
eloppen
ferm
iété des
entrave
ée l’en
la Soc
ntes dév en œuvre une , sculptures
unifie
boles,
cerb
de
réce
i
des
exa
sym
celu
qui les
iété
Il met
ainsi
africains en bois,
1938.
tre et
peinture s, roses et
à la Soc
trames.
nages
manière
es
nçais en
ité. La
ce pein
l entre
era très
person
élaboré
celles
blanche
tales,
e Fra en 1939 qu’i
l’african
Il succéd
série de
la
humaine s la lignée de plus dans
es-Orien
montagn
tonalités
tagne.
get* à
C’est
Pyréné
e
iste de
d les
échelle
dan
ier-Pou
ère
de Mon
ren
vein
à
sag
des
s
30,
e
us,
Did
if
mig
rep
pay
tiss
ntre
Emilien
Dorgans
avecalors
le marbre
de et en
Natune grande
iam
restera sans suite.nes
En Charles
découvre
donc), et
reliefs,
Pyrénéen
se rend
à Charly
à Moissac,
Urrugne,
Pau, années
et1902, il Bouget
Pei
rcel BalAilleurs
mais& d’un
commepeinturel-Ma
à WillTarnos,
s codes,
rési
leur
Pauà l’hôtelaupBlaye-les-Mines,
e Sow, dedes
rès de
Dans les
carrière Pontormo,
vement
es et du le Haut Aragon, versant
manespagnol
Vertumnefit Pomone,
900 plaques
de verre,
albums
Fronton.
Philadelphe
Gerde,
été 1962,
juste avant
son 33
instalAvecramène
1953.
vence.
. briè Toulouse,
Pyréné
d’un Ous expressive.
ux-Arts
nce en
de la Pro
henaud
es des
mmentPyrénées centrales.
C’est
une
De Thermes,
Bellevue. et
A Maubourguet,
ensemble
de tirages
originaux légendés de la main
et révélation.
préside
auxunBea
terrasse des
Bagnères-de-Bigorre
s nota
brelation
paysag
lphedeDéc
nçais
formlea collège
et AdoJaurès
se des
: des vue hade sur le1904 à 1911, il som
y consacrera la totalité de de Briet, ses carnets d’excursions et un
mosaïquessepour
eng Jean
stes Fra
à il lais
France
A192
lire7: Jacques
Brianti,
l’œuvre
funambule,
is Flam
des Arti
e poc
venteses séjours et passera à la postérité comme important manuscrit de 995 pages intitulé
i de la
(1992). A Bagnères-de-Bigorre,
Franço
de Sylvio
Salonun bronze
Une bell
: mid
monographie
Atlan- arnie en
dants
ie.éditions
sBrianti,
osera au pour
pen
Gav
expmosaïques
Gavarn
le « découvreur » du Haut Aragon qu’il fait Superbes Pyrénées (Versant espagnol).
surmontantIldes
Grands
Indéles
mpense
ue de
i des
s réco tica, 2007. de
Le Cirq
connaître
grâce
à
ses
nombreuses
prises
Thermes (1996).
Cette
précieuse
documentation
est
if,
et à celu nant plusieur et une médaille
mot
obte
yon
1937,
de vue mais aussi par les articles qu’il publie aujourd’hui dans les collections du Musée
1938,
ourt-Go Gaudrier en
Raigec
dans diverses revues savantes. Certains de Pyrénéen de Lourdes.
le prix
5, le prix
t en 193
ses clichés paraissent en cartes postales Briet ne s’est jamais dit photographe. Pour
d’argen
éditées par les éditions Labouche de lui, la photo est un acte documentaire. Tout
Toulouse, la plupart du temps sans mention au long de sa vie, il se déclare homme de
(1860, Paris - 1921, Charly, Marne)
de l’auteur. En Espagne, 80 de ses photos lettres. S’il a fait quelques belles ascensions,
14
sur l’Aragon seront aussi éditées en cartes il n’est pas à la recherche de l’exploit
postales
pyrénéiste, non par incapacité mais parce
s’essayant à la poésie. En 1885,
Après 1911, il ne reviendra plus dans les qu’il voit plus loin. C’est un regard curieux,
il rentre en France. Condamné
Pyrénées où il a réalisé environ 1500 clichés. capable de comprendre les paysages dont
pour désertion mais gracié peu
Ce brutal arrêt pourrait trouver sa cause il saura par la photo transcrire la beauté, la
après, il effectue son service
dans un conflit avec Franz Schrader*, le puissance et l’étrangeté des formes. Mais
militaire en Afrique du Nord. En
cartographe. En 1916, à 56 ans, il se marie cet homme des grands espaces est aussi
août 1886, il rentre à Charly s’y
attentif aux humains. Les clichés où posent
installe et commence à pratiquer la
Petit lac d’Arremoulit, 21 août 1884, aquarelle, 29,8 x
ses nombreux amis, villageois aragonais,
photographie. La mort de son père
20,5 cm, coll. Musée
Pyrénéen,
expriment
une Lourdes
perception fine et empathique
en 1887, lui laisse un héritage lui
de l’autre. Cette connivence avec la nature et
permettant de vivre de ses rentes.
avec Marie-Louise Chamblain. En 1913, les Hommes se retrouve dans les nombreux
Il emploi alors son temps à se
pourtant, une reconnaissance officielle lui articles qu’il a publiés, car si Briet sait voir, il
perfectionner dans la technique
est donnée par la Députation de Huesca qui sait aussi dire. S. L.
photographique.
édite plusieurs de ses articles sous le titre de
En 1889, Lucien Briet, accompagné
A lire : A travers le Haut Aragon dans les
Bellezas del Alto Aragon.
de son appareil, effectue son
pas de Lucien Briet, Claire Dalzin, éditions
Il s’éteint à Charly le 4 août 1921 ruiné par
premier séjour aux Pyrénées
Cairn, 2007.
la grande guerre. Sa jeune veuve et sa fille
(Luz – Gavarnie – Gèdre) et est
Lucien Briet en Haut Aragon, André Galide cinq ans sont dans une situation précaire.
immédiatement saisi par ces
cia, 2004.
Louis Le Bondidier, conservateur du Musée
montagnes. Il projette alors d’écrire
et d’illustrer par ses prises de vues
un livre (qui ne se fera pas) sur le
massif. A l’occasion de conférences
où il montre ses clichés, en plus
d’un franc succès, il rencontre
(1925, Béziers)
les pyrénéistes qui comptent
(des Monts, Baysselance, Brulle,
Peintre et décorateur vivant à Montpellier, il murales. Il navigue entre figuration poétique
Russel, Saint-Saud…).
La fille du chasseur d’isards, 28 août 1895 (à Héas), 24 x 18 cm,
est l’auteur des fresques narrant La vie de et une abstraction de veine lyrique qui
coll. Musée Pyrénéen, Lourdes
Il revient régulièrement dans
Saint-Vincent, ornant le chœur de l’église du se révèle tourmentée. Il commence à
les Hautes-Pyrénées, à la belle
même nom à Bagnères-de-Bigorre. Chantier peindre au lendemain de la seconde guerre
Son enfance et son adolescence à Charly saison, pour des séjours d’un à deux mois,
qu’il mena sur place de 1966 à 1968.
sont méconnues. Après ses études (sauf en 1893, 1898 et 1900) employés
mondiale. Dans les années 50 et 60 il
Jacques Bringuier développe son parcours se consacre à de nombreuses peintures
secondaires, il s’engage dans l’armée en à l’exploration et à la photographie de la
dans l’ambivalence. Depuis ses débuts, murales dans des édifices religieux et
1880, déserte rapidement, et se réfugie montagne. En 1894, il édite Ascension à
il alterne œuvres d’atelier et décorations publics (lycées, écoles). A Sète, sur le
en Belgique. Il y restera plusieurs années la Brèche de Roland, album de photos qui
(1873, Trébons - 1903, Savigny-sur-Orge)
L’Assiette au beurre,
n° 81,
18 octobre 1902
Prima Luce, 2002, in portfolio Pyrénées, éd. galerie l’Art en Stalles, Pouzac
18
artistes
Abadie Jean
Abbadie Robert
Abdallah Jean-Jacques
Aguirre Christian
Demangel à Montpellier. Il introduit ensuite
Alix Studios
des formes arrondies, cercles et spirales,
Ancien des ateliers
pour des pièces plus filiformes. Manuel
Alquier Alain
Velickovic, Boltanski
Ariza conceptualise peu à peu son travail,
y introduit la vidéo et la photographie. En
et Alechinsky
Ambroselli Gérard
1999, avec le Parvis, il conçoit une exposition
installation, travail de mémoire sur le casino
Amis des Arts Tarbes
la publicité puis regagne Bagnères-de- de Bagnères-de-Bigorre présenté au sein
Ariza Manuel
Bigorre en 1989. Il cesse radicalement de même du bâtiment : Ex.position. En 2001, il
peindre pour basculer dans le volume. Ses devient enseignant en arts visuels dans les
Arramond Odette
premières séries de sculptures mettent en Hautes-Pyrénées, et depuis 2008 mène un
forme des structures d’acier rectangulaires travail de photographie plasticienne intimiste
Société
la
Baldi Pierre
de
t
e
et allongées, vides, intégrant des volumes à vocation éditoriale.
Présiden s de Montagn
équivalents en béton ou plaques de verre : il
intre
Balmès José
Œuvres publiques : au Musée des Abatdes Pe
joue sur les tensions et équilibres. Premières
toirs à Toulouse une série de sept lithograexpositions en 1992, au Centre d’Art du
Balmigère Paul-Marcel
phies sur métal et papier (1993).
Parvis* à Ibos puis à la Galerie Saint-Ravy: dix œuvres dont cinq bustes (trois en terre Elle débute au Salon des Indépendants
Bannerman Kouassi
cuite, un marbre Portrait d’Hajdu de 1944, (1946-47) puis entre au Salon de l’Union
et son Autoportrait en plâtre), un Groupe en des Femmes Peintres et Sculpteurs (1948Barlangue Gabriel
uass
Ko
n
a
terre cuite, un Nu d’enfant en plâtre (1943), 1953), où elle sera invitée d’honneur en 1965
rm
e
Baroni Monique
Arramond Odette,
née Escoulan
un marbre de Femme assise, un Chevrier au Musée National d’Art Moderne. Elle y est
B ann
(1909, Bagnères-de-Bigorre - 2009, Yvrac)
en bois. Elle participe à nouveau aux Amis primée en 1953, l’année de sa première et
Barutel Géraud
des Arts à Tarbes (1944-1946). Obtenant seule exposition personnelle à la galerie
une bourse de la ville de Bagnères en 1946 Plein Vent de Jamil Hamoudi, qui consacre
Sculpteur, elle débute en 1942 en bustes parmi lesquels deux
Baseilhac Jacques
un
texte
sur
l’évolution
abstraite
et
originale
pour passer six mois à Paris, elle décide de
autodidacte, au contact probablement de réductions d’œuvres de
s’y installer en 1946, rejoint par son mari de sa figuration. A partir de 1951, elle expose
Charles Bouget* : peintures, terres cuites, Desca et celui de son fils
Bégarie Rosalie
des Eaux-Bonnes, excursions à pied un véritable pyrénéiste. Vignemale, Balaïtous
pour parfaire sa formation de sculpture,
Georges et son fils Claude. La rencontre régulièrement au Salon d’Automne. De 1953
et petites céramiques peintes à sujets Claude. Pendant la guerre,
par JAM, qui sera suivi de nombreuses et autres n’avait pas de secrets pour lui.
notamment dans les ateliers de Jacques
avec Hajdu constitua un véritable déclic : à 1960, elle participe au Salon de la Jeune
bigourdans. Odette Arramond étudie les elle fréquente à Bagnères
Begué Hortense
autres publications où apparaissent de Nombre de ses dessins représentent des
Escoula* au moment au celui-ci travaille sur
elle continuera de le côtoyer dans la capitale. Sculpture, puis à Comparaisons (1960,
œuvres d’Edmond Desca* au Musée les sculpteurs Émilien
Barutel
Géraud au Salon Dorgans*, Charles Bouget,
réelles qualités d’écrivain
: guides, Albert
récits vues de haute montagne dans lesquelles
buste de Madame de Maintenon en 1920.
Elle fait l’essentiel de sa carrière artistique à 1962-67). Deux expositions internationales
Massey,
puis premières expositions
Bernet
d’excursions, travaux sur la géologie, la flore, s’inscrivent ses trois filles à qui il faisait
Il se marie avec Marie Marc à Chatou en
Paris où à son arrivée elle fréquente l’atelier de sculptures, Formes humaines, au Musée
des Amis des Arts en Tarbes en 1942-43, des Marguerite Deleuze*, et
la faune, toujours généreusement
illustrés partager
1922. Charles Bouget revient à Bagnères
sa passion
Cet homme dit
aux talents
Bessompierre
Pierre
Besson
par ses propres dessins et aquarelles.
avant la seconde guerre mondiale. Il
multiples meurt le 22 août 1906 dans son
Le comte de Bouillé, qui
de plus possède
participe aux premières éditions du Salon
Billard
Jean château du Poitou, loin des Pyrénées.
des talents musicaux (il composera Le Musée Pyrénéen de Lourdes conserve
des Amis des Arts* à Tarbes pendant la
Billote
plusieurs partitions) et
s’adonne René
à la dans ses collections un ensemble de dessins
guerre. Puis à l’exposition de sculpture du
sculpture, il créera de nombreuses terres à la plume et d’aquarelles constituant les
Musée Salies à Bagnères en septembre
Boixel
cuites, est aussi un esprit
scientifique.Henri
Il doit originaux des illustrations de ses ouvrages.
1944, avec Odette Arramond*, Marguerite
n
à ses travaux sur les Pyrénées d’être mis en SL
Deleuze*,
l, Justi Émilien Dorgans* et Étienne
rce
Bonnal
Daniel
Paul-MaHajdu*. Il présente des pièces en bois, un
contact avec, notamment,
Henry Russell
et
re
è
Franz Schrader*, ce dernier étant aussi un
Christ, des Pigeons, une Jeune pâtre et
Baseilhac Jacques, Oscar, Louis, Pascal
B almig
Borde
Henri
A lire : Les Pyrénées du comte Roger de
talentueux aquarelliste de montagne.
une Paysanne, ainsi que des médaillons
Bouillé, Hélène Saule-Sorbé*, éditions du
Au travers de ses Borgella
œuvres picturales
en marbre du Bédat. Il a été principalement
Frédéric
Pin à Crochets, 1999.
montagnardes, Bouillé se détermine comme
praticien ornemental. A Bagnères-deBigorre, il œuvra au monument érigé en
Bouget
Charles
l’honneur de Philadelphe de Gerde, sur la
deuxième terrasse des Thermes près du dernier en 1958 comme conservateur du
Bougeois Jean-Claude
tennis (1962). Il est l’exécutant du marbre Musée Salies. Charles Bouget travailla
Bouillé Roger, comte de
de l’œuvre, conçue sur maquette par son également comme polisseur de lentilles
Boyé Jean
(1869 - 1921, Tarbes)
ami Émilien Dorgans. Et il succéda à ce pour l’Observatoire du Pic du Midi.
Boyé Joël
Briet Lucien, Henri, César
Sculpteur ornemaniste tarbais, il est l’auteur comme un des membres fondateurs de la
Brassaï
Gilberte
identifié du monument aux
morts 1914-1918
première Société Haut-Pyrénéenne des
d’Ancizan (1920), une Marianne en bronze Amis des Arts* en 1916. Domicilié à Tarbes
Brassaï Gyula Halasz, dit
casquée, posée sur un socle en marbre au 49 rue Brauhauban, il épousa Marie
Bouillé Roger,
Jean, Baptiste, Marie, Amour, comte de
d’Arudy. Jean Boyé est signalé en 1916 Clavaret.
(1819, Nevers - 1906, Château du Colombier)
Briet Lucien
Brianti Jacques
L’inventeur de l’Aragon
Jacques
BrassaïBringuier
Gyula Halász, dit
La jeunesse de Roger de Bouillé, issue
(1899, Brasov, Hongrie, aujourd’hui Roumanie Brugeilles
Claude
d’une vieille famille aristocratique, a laissé
1984, Beaulieu-sur-Mer, Alpes-Maritimes)
peu de traces. C’est un homme que nous
LouisMercedes, née Boyer,
retrouvons dans les années 1840 où, lors de
Bégarie Rosalie, ou Rose
BrassaïBuffin
Gilberte,
longs séjours en Italie, il se forme au dessin
(1920, Tarbes - 2005, Paris)
Butel Hervé
et à l’aquarelle.
Brassaï emprunte son pseudonyme à sa (1921) puis par l’Expressionnisme (1933De retour en France, il se marie en 1850.
Cabuchet Émilien
ville natale de Brasov en 1932. Il fait la 45). Il développe ses Transmutations de
En 1865, le couple et ses quatre enfants
guerre en 1917-18 dans la cavalerie austro- 1937 à 1965 : gravures sur clichés-verre
s’installent
à Pau. Les Pyrénées vont alors
Bringuier
Jacques
Calle Sophie
hongroise, puis entre aux Beaux-Arts déjà impressionnés, technique que Picasso
devenir le terrain de prédilection de Roger de
de Budapest (1921-22)Cambon
et Berlin (1924).
lui fait découvrir. Son parcours restera très
Bouillé qui peut, par sa fortune, se consacrer
Jean
Il s’installe à Paris en 1924. Son œuvre lié à celui du grand peintre espagnol qu’il
à ses passions. Dès 1868, il fait paraître,
fut polymorphe et d’une
grande densité. rencontre
dès 1932. Il se fait connaître à
sous le pseudonyme de JAM
(Jean,
Cante-Pacos
François
D’abord graveur influencé par le cubisme partir de 1930 pour ses photographies en
Amour, Marie) son premier ouvrage Guides
Capdevielle Louis,
ue
à la médiathèq
La grande toile
Capdevielle Raoul
lui
de Tarbes, c’est
Capdevielle Henri et Anna
Jean, Victor, Honoré, François
Barlangue
(1899, Saint-Rémy-sur-Avre)
Carrade Michel
Carrier-Belleuse Pierre
plus remarqués par la critique. Il sera avec
Cartier-Bresson Henri
Robert Barre un des rares artistes hors
Castaing René-Marie
concours à la création du prix annuel en
1940. En 1945, au Musée Massey, sa grande
Caumont Martial
scène patriotique célébrant la Libération fait
Cazalas Céramiques
sensation. Ses œuvres adoptent avec force
des couleurs vives, souvent extrêmement
Cazenave Marguerite
lumineuses et contrastées. Il exacerbe
Cazenavette Louise
de
récurrentes
variations
de
jaunes
et
Baroni
d’orangés, notamment pour les natures
Cénac Marc
mortes ou compositions de fleurs. C’est vrai
Peintre de genre, pastelliste et panoramiste. devant la grotte. Ce chantier colossal fut
Chabab
également pour ses paysages provençaux
Formé à ses débuts par son père, le entrepris à Paris en 1881. Pour réaliser
renommé sculpteur Albert Ernest Carrier- cette peinture circulaire (125 mètres de
ou bigourdans qu’il peint fréquemment. Sa
Checa y Saiz Ulpiano
Belleuse (1824-1887). Il passe ensuite long sur 16 de hauteur et d’un poids de 6
touche peut être large, d’un expressionnisme
aux Beaux-Arts de Paris dans les ateliers tonnes), Pierre Carrier-Belleuse constitua
Cheval Léon, Jean
vigoureux, ou bien toute en finesse, en
d’Alexandre Cabanel et de Pierre-Victor une équipe d’artistes : son frère LouisGalland. Il expose au Salon à partir de 1875, Robert (1848-1913), les peintres Hareux,
Chrétien Edmond Ernest
du pointillisme. Il laisse aussi des
y obtiendra une mention en 1887 et une Dagnaud, Giraud, Lucas, Forcade,
Renard,
Coll. particulière
Cénaclimite
Marc réalistes, exécutées en aplats de
peintures
Cisterna Eugenio
(1920 - 2004, Paris)
médaille d’argent à l’Exposition Universelle Chevalier, Marx, Delaunay et Flanneau. La
couleurs très prononcés. C’est le cas d’une
de 1889 qui le met hors concours pour toile fut achevée et dévoilée à Paris en 1882,
Clavaret Pierre
dont le parcours et l’œuvre sont grande œuvre pour la salle des fêtes de
la suite. En 1893 il rejoint le Salon de la puis acheminée à LourdesPeintre
et inaugurée
ans l’Académie de
Société Nationale des Beaux-Arts.
le 1 avril 1883. La société
créée assez
à cet mal cernés. Il fit ses études
encore
la mairie de Tarbes réalisée
en 1948avec
: La
Chaumière,
Clertan Francis
Pierre Carrier-Belleuse fut l’auteur dans le effet fit construire sur plans de l’architecte
Jérômefondé
et Yv
dans la capitale et obtint en 1925 le diplôme construction de l’hôpital dePierre
la Clôture
La neige au pont de Courcelles, v. 1894, huile sur toile, 97 x 134 cm, coll. Musée des Beaux-Arts, Bordeaux
département d’une œuvre très singulière, Sauffroy une grande rotonde en bois sur
Là,
il
pratique
esse
Colat Prosper Mary
professorat
de dessin à vue pour les en 1693. Bien que très discret à montrer
un panorama peint, l’un des premiers du la place de la Merlasse de
(actuelle
place
le dessin de nu, ma
genre en France, relatant Le Miracle du Laurence). Celle-ci mesurait
35 mètres
établissements
scolaires de la ville de Paris. son travail (une de ses rares
expositions
Comas, Jacques
sculpture dans plusie
cierge du 7 avril 1858, c’est-à-dire la 17
de diamètres pour 22 de hauteur.
La toile
En 1932,
Jean Billard réussit le concours personnelles se tint à la galerie
Dubernet*
œuvres, principalement en petit format, se ses Contes de la Bécasse : « Un coq chanta »
de Montparnasse.
apparition de la Vierge Marie à Bernadette sera démontée durant l’hiver 1883-84 pour
Combellas Marcel-Paul
Annie
pour l’enseignement en lycées et collèges. en 1960) il fut sociétaire ilet épouse
exposant
au
caractérisent par la finesse et l’intimisme des (1883). René Billotte repose au cimetière du
marseillaise originaire
Il habite alors à Bécon-les-Bruyères. Il est Salon des Artistes Français
à Paris. Dans
ambiances, déclinées en effets de lumières Père-Lachaise. Il fut portraituré par Carolus
Commère Jean
Elle le convainc de
probable qu’il arrive à Tarbes peu après. le département, Jean Billard
effectua
sa
amortis à la tombée de la nuit. Il est le peintre Duran (Salon de 1888) et dans la collection
son travail
en créant
Corda Mauro
à Paris,
la galer
Dans le contexte artistique tarbais, Jean carrière d’enseignant au lieu
lycée
technique
photographique Félix Potin.
en
1985,
au
48
de
l
Billard est à rapprocher du groupe d’Henri d’État et à l’École Normale d’institutrices.
On voit passer régulièrement ses
Correia Charles
même nom, où il ex
Né à Tarbes,
Borde* et de Pierre Zeller*, qu’il fréquente Il remplace Martial Caumont*
en 1962 à
œuvres en ventes publiques. Il est
lors une fois par ans.
Corvalan Loreto
pendant la guerre et à la Libération. Il la direction de l’École dessaArts,
jusqu’à
ce
présent dans plusieurs musées : à
neveu d’Eugène Fromentin
maison
familiale
en atelier
lieu àd’exposition
né dans
quartier
de SaintCostiou Michel
expose dès 1938 au Salon Peintre
des Amis
des le qu’il
prenne
sa retraite
fin et
1977
l’âge de
Orsay, Neige à la porte d’Asnières
Germain-des-Prés, ses parents étaient les deux ans. En 1999, le c
Arts*. Ses envois sont toujours
parmi les 78 ans !
(Salon de 1890) ; Nantes, Carrière
Coutan Jules-Félix
originaires des Hautes-Pyrénées (Odos et la Fondation Cénac/Musée d
des crépuscules aux ciels mauves et brumes de Soisy ; Bordeaux, Carrière de Nanterre
Cros Christian
naissantes en toutes saisons. Il expose (Salon de 1897) et Neige à la porte de
au Salon des Artistes Français à partir de Courcelles ; Chambéry, Route de SaintDaana
1878 (mention en 1881, légion d’honneur et André. Un grand panneau décoratif à l’hôtel
Dabat Léo
René
médaille d’argent à l’Exposition Universelle de ville de Paris, La Seine au Quai d’Orsay,
(1846, Tarbes - 1914, Paris)
de 1889). Il fait partie en 1890 des dissidents et Les bords de l’Oise à l’École militaire de
Damelincourt Hubert
fondateurs du plus moderne Salon de Saint-Cyr. Également à Dijon, La Rochelle,
Damnitz Heino von
la Société Nationale des Beaux-Arts au Reims, Bucarest, Berlin, Petrograd.
Ce peintre natif de Tarbes (où ses parents capitale et plus encore de la grande banlieue :
Champs de Mars, où il exposa assidûment
restèrent peu de temps), était le neveu, par monuments, bords de rivières, carrières,
Dartiguelongue Suzanne
44
10
Les
40
41
Monique
(1930, Tarbes)
h. 175 cm
papier et acrylique,
tissus, résine, bois,
Sans titre, sd,
ue entre à ceux
t, Gabriel Barlang
es
, auteur Constan en 1893. Il s’initie aux techniqu
lot-et-garonnais
de Paris
rte auprès
er étage de la
Graveur et peintre
burin et à l’eau-fo
peinture au 1
de gravure au
mile Lefort. Mais
d’une grande
à Tarbes : Scène
Patricot, Henri-É
Louis Aragon
aronnais Antonin
Cette de Jean
médiathèque
avec le tarn-et-g
(140 x 220 cm).
surtout
gascon
son ami et soutien.
de marché
fille Claude
qui deviendra
à la ville par sa
pour les
atrice de Delzers l’introduit auprès de l’Etat
œuvre fut offerte
conserv
et
te
-poste.
Après un Celui-ci s de créations de timbres
Barlangue, archivis
jusqu’en 1990.
concour
sa première
la médiathèque
de Toulouse,
Barlangue obtient
Beaux-Arts
consacré à
e Jean- Gabriel
passage aux
: un timbre
du peintre d’histoir
gravure en 1929
dans les ateliers
liste Benjaminet de l’orienta
Paul Laurens
(2008). Vicede Parthenay
ne, elle a dirigé
ent au Musée
Salon d’Autom
elle débute tardivem
présidente du
on de 1977 à 1990.
Originaire de Tarbes,
les ateliers
à Rueil Malmais
est
, formée dans
Mac- un atelier
e moderne »,
dans la peinture
peinture, « figurativ niste et colorée,
arc Lange et Édouard
dans le Sa
privés de Jean-M
pression
de
abondamment
résolument post-im
large en limite
Avoy. Elle expose
classiques
et
touche
nels
une
tradition
lement
maniant
fonds : principa
circuit des salons
à l’étranger.
tion pour les
de 1976, puis
villes, rues et
a lieu en l’abstrac
parisiens à partir
genres et de
on personnelle
Elle
des scènes de
, paysages.
, dans les
Sa première expositi
s, cafés, portraits
dernières années
Bonnard
marché
ces
de
e
puis,
rs fois),
influenc
1983,
et à Paris (plusieu Street revendique la double
galeries Roman
Brutton
.
(1994),
Balthus
Lille
de
à
(2006), et
Quintessence
Besseiche à Paris
à Londres (2000),
17
16
er
ème
La rotonde du Panorama, à gauche de la basilique, carte postale, 1908
Paysage des Pyrénées, sd, huile sur toile, 38 x 48 cm
Billote
sa mère, d’Eugène Fromentin qui le forme
à la peinture. Il devient assez vite l’un des
peintres paysagistes les plus en vogue
à Paris, repéré pour ses paysages de la
24
fortifications,
campagne
banlieusarde.
Mais aussi pour ses vues de Hollande,
d’Albanie
(1904),
quelques
marines
(Tours du port de La Rochelle, 1885). Ses
jusqu’à son décès (hors concours et membre
du jury à partir de 1900).
Guy de Maupassant, qui possédait Un
laboureur de René Billotte, lui dédia un des
A lire : René Billotte, Georges Riat, in Les
Maîtres Contemporains, H. Laurens éditeur,
Paris, 1904, pp. 49-51.
25
57
35
Dastugue Maxime
Daures Jacques
Dauriac Jacques
Dauriac Jacqueline
Dechin Jules
Deleuze Marguerite
Delfino Leonardo
Delpech Jean-Marie
Demé Émile
Degas Edgard
Desca Alice
Desca Edmond
Didier-Pouget William
Dieuzaide Jean
Dieuzaide Michel
Dorgans Émilien
Dorgans Guy
Dorignac Émilie
Doze Melchior
Doux Jean-Louis
Dubernet Charles et Louise
Ducuing Paul
Dufrène Léon
Dulout Justin
Dulout Marc
Dupuy Paul-Michel
Durand Ludovic
Duvillier René
Elizaga, Hélène Elissague, dite
Engalière Joseph
Escoula Jean
Escoula Jacques
Escoula-Marot Jean-Marie
Esnult Isabelle
Espouy Hector d’
Espouy Jean d’
Espouy Raymond d’
Facchina Gian Domenico
Falcucci Robert
Fagniez François-Xavier
Faykod Maria de
Feinberg Bernarovitch
Fenosa Appel.les
Fleissig Nicolae
Fontaine Duvignau Tarbes
Forel Eugène
Fosses Mengelle Émile
Fournier Louis-Edouard
Fradet Daniel
François Pierre
Frère Jean-Jules
Gabard Ernest
Gainsbourg Serge
Gandarias Justo de
Gardy Gaudéric
Gargiulo Emma
Gasset-Ousset Hélène
Gaudin Pierre
Gautier Judith
Gelin Denis
Gélibert Gaston
Gélibert Jules-Bertrand
Gélibert Paul
Giacomelli Mario
Giner Balbino
Gleb, Thomas
Gleizes Albert
Godchaux Alfred
Godchaux Émile
Gourdon Maurice
Grandmaison Nicolas
Grau-Garriga Josep
Grellet Alexandre Athanase
Grimal Louis
Gros, Lucien
Grünig Gustavo
Groupe 4
Guérin Henri
Guittard Bruno
Guyot Francis
Hajdu Étienne
Hartmann Jacques et Suzanne
Hauterive Henri Périer d’
Hermann-Paul
Hirsch Emmanuelle
Hourrègue Jean
Imbs Marcel
Joachim-Supéry Joseph
Joachim Joseph et Jean
Joncourt Roger
Jouas Charles
Jouaville Guy
Journès Maurice
Jouvray Madeleine
Ketterer Roger
Kischka Isis
Kühlewind Brennenstuhl Brigitte
Lacome André
Lacoste Charles
Lacoste Yves
Lacrampe Adrien
Lacroix Raymond
Lafforgue Jean
La Gamba Laurent
Lagar Celso
Lagoutte Claude
Lallement Jean-Charles, dit Bacchus
Lambert-Loubère Roger
Lapène Didier
Larrieu Octave
Larrieu Simone
Larrieu Jean-François
Lasseran Paul, Noël
Lataste François
Lataste Jean
Lataste Claire et Violette
Lay Edmond
Le Corbusier Charles Édouard
Jeanneret dit
Ledormeur Georges
Le Gac Jean
Lemant Albert et Kiki
Leroux-Veuvenot Gaston
Le Saëc Thierry
Lesquibe Jean
Lévrier-Mussat Alain-Jacques
Leygue Louis
Maas Christian
Mailhes André
Malik Janusz
Manaut Paul
Manciet Charles
Manessier, Alfred
Maniglier, Henri
Marcassus Alain
Margotton René
Marquerie Jean
Martinez Christian
Maso de Falp Felipe
Mathet Louis
Mauméjean ateliers
Maxwell Lyte Farnham
Maxence Edgard
Meili Conrad
Meliz Christian
Mengelatte François
Mengue Jean-Marie
Métais Jean-Bernard
Michelet Firmin
Miranda Carlos
Molins Bernard
Molins Michel
Mondineu Jean Étienne
Nadar Félix Tournachon dit
Nelli Henri
Neustifter Joseph Michael
Odin Blanche
Oiticica Christina
Pagès Robert
Pam
Paris Alfred
Parvis Centre d’Art, Ibos
Pellarey François
Penalba Alicia
Perriand Charlotte
Peyrou René
Photographie E, Tarbes
Place Jacques
Poirier Anne et Patrick
Poncet Antoine
Pons Fortuné
Popineau Émile
Pourny Anne
Préhu Jacques
Préval Christiane de
Privat Gilbert
Raynaud Patrick
Rayssé Émile
Réale Jean
Remondet-Slocombe Alma
Remondet André
Renoir Auguste
Reymond Émile
Ricau Léonce
Ricau Osmin
Rieti Fabio
Rispal Gabriel Noël
Roton Germaine de
Roy Pierre
Rupnik Marko
Saint-Geran Charles de
Saint Paul Pierre, Pierre Sicre dit
Saladin Alphonse
Saliceti Jeane
Saule-Sorbé Hélène
Scaramela Bernard
Schmeltz Bruno
Schrader Franz
Ségura Lucien
Selinger Shelomo
Serraz Georges
Sevelle Roger
Sheridan Georges
Sibra Paul
Singier Gustave
Snake
Solère Denys de
Sorbets André
Soubie Roger
Soupault Ralph
Tailhade Laurent
Tajan Michèle
Tal Coat Pierre
Taris Jacques
Ten Holt Friso
Thon Robert
Thusseau Marie
Tissandier Albert
Toutain Jean-Louis
Trotereau Rémi
Trusses René
Ugarte Jean-Pierre
Utkes Zelman
Utrillo Maurice
Valat Éric
Vasarely Victor
Vidal René
Vilon François
Vilon Lætitia
Vivès Henri
Vuillier Érick
Weber Pierre
Wencker Joseph
Yarz Edmond
Yarz Hadrienne
Zeller Michel
Zeller Pierre