TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION
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TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION
19/04/10 10:03 Page 1 BON DE SOUSCRIPTION A compléter et à nous retourner Nom : ...................................................................................... ................................................................................................ Prénom : .................................................................................. Adresse : ................................................................................ ................................................................................................ Tél. : ........................................................................................ Courriel : .................................................................................. Je souscris à .......... exemplaire(s) de Traces d'artistes Dictionnaire de l'art moderne et contemporain dans les Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours, au tarif préférentiel (frais de port compris) de 27 € l'exemplaire ( au lieu de 34 € prix public à partir de juin 2010 ). • 315 notices richement illustrées • 368 pages • format 14X21,5cm • broché • couverture à rabats Montant de ma souscription : ............................................. € Règlement par chèque à l'ordre d'Edicité. Une facture de règlement vous sera envoyée. Edicité 22, rue de Belfort 65000 Tarbes L’auteur Il est déjà commissaire d’expositions, galeriste, enseignant en muséographie, auteur de catalogues et de monographies. Avec le Dictionnaire de l’art moderne et contemporain dans les Hautes-Pyrénées de 1900 à nos jours, Sylvio Brianti ajoute une corde à son arc et s'installe avec autorité dans le cercle des historiens de l’art. SOUSCRIPTION TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION TRACES BULLETIN SOUSCRIPTION 19/04/10 10:03 Page 2 Buffin Louis, Jule s (1884, Tarbes - 1967, Bagnè res-de -Bigorre) Ariza Portrait par Henri Borde, sd, huile sur papier, 40 x 32 cm, coll. particulière une manière tendant à la simplification. Elles ont tendan ce à exalter les formes et effleurent un post-c ubisme à la André Il est assuré Lhote. Cet artiste ment un des a passé « seuls peintre pyrénéistes » l’essentiel de s de la premiè sa vie à 20ème re moitié du siècle, par son Bagnè res-de -Bigo rre réguliè approc dans sa villa re des hauts somm he physique et puis chalet Montlo Beaulieu, de ets. Son compl courses Édoua uis des allées ice rd Dulac le qualifi Maintenon. Louis Buffin naquit à Tarbes justesse en 1928 e avec où son père de « peintre des était officier pyrénéennes de garnison, altitud es ». Tandis que mais c’est à Bagnères qu’il dans son roman de 1929, Seuls, fait ses études tous deux…, secondaires au collège. Il le personnage principal, évoqu entame des études ant sur place Toulouse, puis de droit à Cader Grésiolles et part à Paris olles, affirme où il se tourne vers la peintu : « Avant d’avoir cette région, re en autodi visité j’appris à la conna dacte, allant voir musées ître par les fidèles peintu et expositions, re de Buffin qui et présentant ses œuvres me rappelèrent certains Hokus aux maîtres ai… ». reconnus. Il commence à Membre de exposer en 1910. la Société des il épouse MarieEn 1918, de Peintres Antoinette Miche Montagne, Louis d’un magistrat let, fille « Buffi n, surnommé Médjor » par quercynois. ses amis, expos Louis Buffin est un authen e à ce salon de 1910 à 1956. tique peintre de montagne Il envoie des et de plein air. œuvres au Salon de la Sociét Il travaille en altitude, sur le é Nationale des motif, des petites Arts de 1913 Beauxhuiles sur carton à 1923, au Salon Sa production et bois. (1922d’Automne méconnue et 28), à celui peu étudiée s’avère d’un des Indépendants partir de 1926. grand intérêt à . Il a su faire Aux Etats-U siennes les nis il sera présent dans avancées des l’exposition des mouvements modernes du Arts Français Modernes. A début du 20 ème l’Exposition siècle pour construire une Internationale de Paris en œuvre paysa 1937, giste très originale. Expres il crée et présen diorama sur sionniste par te un Gavarnie au une touche large et gestue pavillo n (Béarn, Basqu des 3 B lle, il manie e, Bigorre). Il les couleurs chaudes et vives participera à Société des des nabis et des la Amis des Arts établit souvent fauves. Il les des Pau dans les perspectives années 20 (en de ses vues 1927, deux vues de sommets ou de lacs avec et de Bagnè de Torla res) et des Amis des arbres et pins à croche des Arts* à Tarbes à ses t japoni débuts dans Adepte des course sants en premier plan. les années 40. exposera à la s en montagne, Il Leicester Galler en particulier il a peint à y à Londres, la galerie Duber les environs de Bagnèresnet* à Tarbes de-Bigorre, la en 1964. On lui doit aussi haute vallée u’à la des paysages de Campan et la région çaux, jusq plus du sud-ouest, et de ses incurs de Caderolles proven et du Bastan sages ions parisiennes, sont les Mais aussi . quelques ène ses pay les massifs toux qui il brosse Malauc vues urbaines du Luchonnais du Ven et du Néouv ge de (une Tour Saintrégion istère Jacques). Quelq ielle, les vallées : Le villa pour le Min ues portraits d’Ordesa. Il d’Argelès, xconnus également, toujours en usant fut souvent accom at d’État rts), Les Bau ach du paysage pagné par son épouse Spo (1951, Arabesque, femme à la sandale, 1960, plâtre, 110 x 70 x 110 cm (exposition Musée Rodin, Paris) Cantini, et de ciels en fonds, parmi et des et son ami nesse Edouard Dulac Musée lesquels ceux (1880-1944), t rocheux de la Jeu ce (1937, Michelet* et de Firmin romancier et Page précédente : Autoportrait, 1951, buste en pierre dure, taille directe, 30 x 50 x 30 cm de l’écrivain chroniqueur e l’aspec 9. Au ven la Revue Région de Guiches lotois Gustave . appréci de-Pro en 200 en is hes aliste des Pyréné Il e, Par sèc (Salon s dial le). d’Automne, 1925). et à relata leur sorties es, qui itecture Marseil rre mon Blanch Louis et bivouacs de les arch onde gue représente, e, l’étude Étienne Hajdu*. Elle participe avec eux à aux Beaux-Arts de Marcel Gimond, sec à arid jours. Ses(réputé plusieu la et et rs œuvres de fin in de s sa Paysage à Caderol l arpente de vie adopte lendema zine. Dan les, sd, huile sur oie qu’i l’exposition du Musée Salies en octobre 1944 pour ses bustes) et celui d’Alfred Janniot. nt sont toile marouflé t la Sav de Mor Manuel (1953, Bagnères-de-Bigorre) Artiste plasticien franco-espagnol, il passe par l’École des Beaux-Art de Toulouse (1983-86), où il développe un travail de peinture (grands formats, personnages contemporains et massifs dans une veine très caravagesque). Il part à Paris, poursuivant le cycle des Beaux-Arts et des recherches en peinture autour du corps dans l’atelier de Vladimir Velickovic (1986-89). Il fréquente aussi les ateliers d’Alechinsky et de Boltanski. Il expose à Paris ses œuvres (salons de la Jeune Sculpture et de Montrouge), travaille pour Sans titre, 1994, bois, ciment & et acier, 28 x 22 x 10 cm ce sur carton, 33 c’ese x 24,5 cm, coll. la vallée e et réaliste, particulière mment nota iculeus produc tion mét (1956, (1939, Toulouse - 2009, Miolles) France et d’Afrique. Celle-ci sera présentée en 2004 à Tarbes au Haras National, puis toujours à Tarbes au Pari, et à la Galerie l’Art en Stalles à Pouzac en 2005. Il se remet à dessiner avec intensité à partir de 2005 : grands paysages minutieux faisant écho à ses compositions photographiques argentiques. Géraud Barutel disparaît Photographe, après des études de lettres classiques au lycée Pierre de Fermat à Toulouse, Géraud Barutel se forme à l’École des Beaux-Arts (1957-62). Il pratique la photographie dès 1957. Il est professeur de dessin au lycée Victor Duruy à Bagnèresde-Bigorre de 1962 à 1969. Il aura comme collègue Jacques Brianti*, rencontré aux Beaux-Arts, et pour lequel il réalisera de nombreuses photographies d’œuvres et portraits pendant plus de 40 ans. Puis, en photographe indépendant, il ouvre son premier atelier à Toulouse rue d’Auriol. Géraud Barutel se manifeste artistiquement dans les Hautes-Pyrénées à ses débuts : exposition à la Galerie Zeller* à Tarbes en 1964 avec Jacques Brianti, puis exposition personnelle en 1966, dessins et photos. De nature facétieuse, il signe à cette période une série de paysages d’un supposé peintre suédois, Bjorn, montrés chez Zeller. Invité par le Groupe 4*, il participe à la manifestation Art dans la Cité à SaintBertrand-de-Comminges en 1970. Comme praticien, il va travailler notamment pour la publicité et la mode, comme reporter photo de rugby pour Midi Olympique. Il suit aussi les arts du spectacle et les activités des théâtres Daniel Sorano avec Maurice Sarrazin puis celui du Capitole. En 1977, il est nommé lles. Expositions toiles informe chapelle noires de ses dieu (2008) et abbaye de l’Escala (2009). de Fabrezan professeur de prise de vue de laboratoire à l’ETPA (école de photographie de Toulouse, pionnière dans la formation à l’image en France). Il y sera enseignant jusqu’en 1999, où pédagogue apprécié, il forma de nombreux élèves devenus photographes ou reporters de presse, avec lesquels il conserve des liens hors de l’école. Discret, Géraud Barutel montre peu ses productions personnelles. Ses portraits en noir et blanc -genre récurrent chez lui- s’affirment souvent dans le gros plan ou plein cadre. Ses paysages, où la couleur fait des incursions, dans le détail ou bien en vues très larges, s’avèrent plastiques et très graphiques. Il est présent dans l’exposition panorama de la photographie en Midi-Pyrénées à la Galerie du Château d’Eau à Toulouse (1994) avec des portraits de comédiens et musiciens. L’exposition tourne dans plusieurs villes jusqu’en 1995. Il participe en 2002 à la collective Pyrénées (galerie l’Art en Stalles à Pouzac) avec des photomontages « trompel’œil » (2002). Il conçoit en 2003-2004 un travail photographique avec l’association franco-algérienne Kahina à Bagnères dans lequel il refait et uniformise près de 300 clichés de portraits anciens de combattants africains ou méridionaux de la guerre 14-18 pour l’exposition historique Bleu Horizon, de tragiquement dans un accident de la route sur les routes du Tarn le 20 décembre 2009, avec sa seconde épouse Geneviève, née Bedouce (petite fille d’Albert Bedouce, maire et député de Toulouse, également ministre A lire Portrait de la photographie en Midisous le :Front Populaire). Il laisse une œuvre Pyrénées, Galerie Municipale du Château secrète et méconnue. d’Eau et Privat, 1994. (1874, Villeneu avec une peinture, Femmes de Penmarch, et 8 dessins et aquarelles, Camelot, Ivresse, Mendiant, Chanteur des rues et Portrait, Voyou, Petits gueux, Marche de pluie. Avec 16 beaux dessins illustrant La Chanson des Gueux de Jean Richepin dans le numéro spécial de L’Assiette au Beurre, consacré au poète, écrivain et dramaturge (n° 81, 18 octobre 1902), il laisse une trace majeure. Collaborateur au célèbre journal satirique, il a également signé des œuvres dans L’Estampe Moderne (La soupe à la chambrée, 1898). Il s’inscrit brièvement dans la lignée des dessinateurs et caricaturistes fin de siècle, tels Steinlen, ou dans la littérature Richepin et Jehan Rictus, dans les représentations du petit peuple de la rue. (1859, Argelès-Gazost – 1929, Paris) Cette artiste épousa le sculpteur Louis Mathet* en 1879, à Tarbes. Rosalie Bégarie était alors tailleuse de robe. Les traces de son parcours artistique sont peu nombreuses : elle participe au Salon des Artistes Français en 1890 avec un buste, et entre 1915 puis médaillons es, des puis en 1892 et 1893 avec dans les tranché au service portraits en plâtre et marbre. Elle vécut dans l’ombre, mais solidaire de l’importante carrière de son mari. Les corps des deux époux furent transférés de Paris et rassemblés au cimetière d’Argelès-Gazost en octobre 1929. dessinateur 1916, il se retrouve la Marne. Il finit la dans de cette topographique du Nord. Il ramène guerre en Italie dessins sur l’atrocité période des aussi sur Venise de la guerre, mais la fin s. Il partagera environ et ses ont Charenton-le-P de sa vie entre il acheta où s et Penne-d’Agenai e avec sa deuxièm une maison elle aussi e Champavier, s épouse Suzann de tous les courant Somalie et Hors . la b, graveur Gabriel le Maghre peintre et pu traverser, timbres pour œuvres et es qu’il a de inspirèrent des de artistiqu œuvre réaliste une partir le Sénégal lui it à ue a constru istes. Il expose, t. Artistes Barlang portraits oriental au Salon des du et digne d’intérê ement qualité plafond le à pour aussi 1900, régulièr des peintures de gravure, mais (1908), et un : Il a réalisé Français, section eau à Agen de la Vierge) Ducourn maison (La Sainte es et théâtre s pour l’église celle de peinture le de fresque , scènes religieus ot (1937). médaille ensemb paysages, portraits Villeneuve-sur-L (mention en 1914, Catherine de Le Christ en d’honneur surtout de genre représentent Une médaille Ces fresques rphe, six saintes d’argent en 1924). deviendra Hors avec le Tétramo 1999, en 1903. Il débuts, majesté et des anges musiciens. En en gravure du jury. A ses Catherine don de 1026 Concours et membreobtint également des également fait s au ue fille Claude a ues et gravure gravures sa Gabriel Barlang graphiq des pour peintes, de l’État , œuvres ve-sur-Lot. commandes maîtres (Tiepolo de Gajac à Villeneu tableaux de ent Musée d’après des li, Laurens) notamm Rembrandt, Botticel Fallières en LotGuerre : Grande du Président la visite dans est il la ur, pour n A lire : Un artiste Comme illustrate e, catalogue expositio et-Garonne (1906). rtes pour l’ouvrage de 1999. Claude Barlangu Tarbes, Aragon, eaux-fo Louis (éditions l’auteur de 20 médiathèque n, Sac au dos il sert Joris-Karl Huysma Mobilisé en 1914, Romagnol, 1913). il se verra Jusqu’en 1953, Jeanne d’Arc. s ou mises dessins, gravure , confier les timbres français près de 150 en page de étrangers. Ses ou de pays des colonies e Bannerman, catalogu 2008. A lire : Kouass ieu, Bonnemazon, abbaye de l’Escalad ine Gabriel, Anto ve-sur-Lot - Peintre et illustrateur, sa carrière fut très brève, décédé à l’âge de 29 ans. Il naît à Trébons d’où sa mère, Marie-Thérèze Laffaille, était originaire, alors même que ses parents vivaient en Gironde (son père, Léon Baseilhac était percepteur à Saint-Médard-de-Guizière). Il commença à exposer au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts en 1894 (Types de la rue). Présent en 1899 et 1901 avec des ensembles de dessins et aquarelles. Le Salon d’Automne lui rend hommage en 1903 19 45 15 34 Billard nt) on-le-Po 1956, Charent u) Cotono Togo, esse au s sa jeun fixe dan il passe tale. Il se à LuzBénin, occiden Né au es, en Afrique s les Pyréné odidacte, voyage dan 3. Aut -ouest, ) de 198 ord à le Sud à partir re disparue e d’ab au cm (œuv auveur s’essay x 500 Saint-S de peinture nerman 5, 200 la Val à , Ban 197 du ain Andrest Kouass dessinée, puis mières œuvres trois Brianti, tempor sa Pre Jacques de rt Con gurent ue avec la ban ée d’A ine, fi ées 90. irés de 89), Chili, fresq rs. Au Mus y-sur-Se : Protesta (19 des ann es insp Solidarité à Vitr début 5 où sonnag cs et clai El arbol en 197 et per Marne, é Balmès fonds blan ival Jazz 92) et Andrest signes de 2 de Jos aine sur rtos (19 du fest oser à fresque œuvres depuis los mue ure afric l’organisation té à exp une grande sée de cult ent invi lais ol , arb est e à ulièrem lic en s Brianti* ais El en pub 93). Il particip y expose rég (1997), Torla il crée c Jacque tée et désorm nz et mujer (19 res ave à Anglet prê à Luz, , à la Fra s x 5 mèt e, puis ositions (1998) commun , position 1994. Exp 97), Biarritz s de sa dans la orhange Ses com es. Il (19 position c Bloch-M is, e… (2002). Aragon abstrait s et com intégrer ave ès, Lise e à Par disparu , à Paris , les fond r y naturels José Balm te et métèqu 30-51. s plus Galerie A lire : éléments lle pou pp. Il garde itifs et en ent alor r, in Artis , 1980, informe Il , des Super devienn les signes prim nt de plus lm fi David Alpe het/Chastel listes. , peinture mais subtilité 11 réa s, e eme Buc Andrest s ou e ents pur conserv un trait éditions té Chili, virulenc signes figuratif 1988 où les plus ue, pigm és par : Solidari 65, 1975. man et accentu A voir tir de à l’acryliq ass Banner tiques, codes ion FOL li à par iériste de Kou es et artis és de e au Chi 8, réalisat plus mat e et argiles. duction politiqu pro agn retourn rs, une terr cliers le honneu Ils sont accomp ortantes. mêlant parallè des bou grands és. imp pe en lerie noires : t accord dévelop ositions ne (Ga bres et lui son et exp res som chiffons et rési 7 ; ectives t sculptu lique, 5 & 200 rétrosp er et acry es incluan ezan 200 du Château bois, papi et pièc s) rie Lannem , résine, 3, Pari plus 6 ; gale l Bert, sd, tissus les s – 195 200 s Pau ture lède car, Sans titre, ouil de Les e cm 8, ses pein tes, traces, -de-Fen Musée de cett h. 175 En 200 istes Caudiès 2007). t affirmer ement Paysag t emprein ctaculaire (1882, à Pau, s, il veu spe eloppen ferm iété des entrave ée l’en la Soc ntes dév en œuvre une , sculptures unifie boles, cerb de réce i des exa sym celu qui les iété Il met ainsi africains en bois, 1938. tre et peinture s, roses et à la Soc trames. nages manière es nçais en ité. La ce pein l entre era très person élaboré celles blanche tales, e Fra en 1939 qu’i l’african Il succéd série de la humaine s la lignée de plus dans es-Orien montagn tonalités tagne. get* à C’est Pyréné e iste de d les échelle dan ier-Pou ère de Mon ren vein à sag des s 30, e us, Did if mig rep pay tiss ntre Emilien Dorgans avecalors le marbre de et en Natune grande iam restera sans suite.nes En Charles découvre donc), et reliefs, Pyrénéen se rend à Charly à Moissac, Urrugne, Pau, années et1902, il Bouget Pei rcel BalAilleurs mais& d’un commepeinturel-Ma à WillTarnos, s codes, rési leur Pauà l’hôtelaupBlaye-les-Mines, e Sow, dedes rès de Dans les carrière Pontormo, vement es et du le Haut Aragon, versant manespagnol Vertumnefit Pomone, 900 plaques de verre, albums Fronton. Philadelphe Gerde, été 1962, juste avant son 33 instalAvecramène 1953. vence. . briè Toulouse, Pyréné d’un Ous expressive. ux-Arts nce en de la Pro henaud es des mmentPyrénées centrales. C’est une De Thermes, Bellevue. et A Maubourguet, ensemble de tirages originaux légendés de la main et révélation. préside auxunBea terrasse des Bagnères-de-Bigorre s nota brelation paysag lphedeDéc nçais formlea collège et AdoJaurès se des : des vue hade sur le1904 à 1911, il som y consacrera la totalité de de Briet, ses carnets d’excursions et un mosaïquessepour eng Jean stes Fra à il lais France A192 lire7: Jacques Brianti, l’œuvre funambule, is Flam des Arti e poc venteses séjours et passera à la postérité comme important manuscrit de 995 pages intitulé i de la (1992). A Bagnères-de-Bigorre, Franço de Sylvio Salonun bronze Une bell : mid monographie Atlan- arnie en dants ie.éditions sBrianti, osera au pour pen Gav expmosaïques Gavarn le « découvreur » du Haut Aragon qu’il fait Superbes Pyrénées (Versant espagnol). surmontantIldes Grands Indéles mpense ue de i des s réco tica, 2007. de Le Cirq connaître grâce à ses nombreuses prises Thermes (1996). Cette précieuse documentation est if, et à celu nant plusieur et une médaille mot obte yon 1937, de vue mais aussi par les articles qu’il publie aujourd’hui dans les collections du Musée 1938, ourt-Go Gaudrier en Raigec dans diverses revues savantes. Certains de Pyrénéen de Lourdes. le prix 5, le prix t en 193 ses clichés paraissent en cartes postales Briet ne s’est jamais dit photographe. Pour d’argen éditées par les éditions Labouche de lui, la photo est un acte documentaire. Tout Toulouse, la plupart du temps sans mention au long de sa vie, il se déclare homme de (1860, Paris - 1921, Charly, Marne) de l’auteur. En Espagne, 80 de ses photos lettres. S’il a fait quelques belles ascensions, 14 sur l’Aragon seront aussi éditées en cartes il n’est pas à la recherche de l’exploit postales pyrénéiste, non par incapacité mais parce s’essayant à la poésie. En 1885, Après 1911, il ne reviendra plus dans les qu’il voit plus loin. C’est un regard curieux, il rentre en France. Condamné Pyrénées où il a réalisé environ 1500 clichés. capable de comprendre les paysages dont pour désertion mais gracié peu Ce brutal arrêt pourrait trouver sa cause il saura par la photo transcrire la beauté, la après, il effectue son service dans un conflit avec Franz Schrader*, le puissance et l’étrangeté des formes. Mais militaire en Afrique du Nord. En cartographe. En 1916, à 56 ans, il se marie cet homme des grands espaces est aussi août 1886, il rentre à Charly s’y attentif aux humains. Les clichés où posent installe et commence à pratiquer la Petit lac d’Arremoulit, 21 août 1884, aquarelle, 29,8 x ses nombreux amis, villageois aragonais, photographie. La mort de son père 20,5 cm, coll. Musée Pyrénéen, expriment une Lourdes perception fine et empathique en 1887, lui laisse un héritage lui de l’autre. Cette connivence avec la nature et permettant de vivre de ses rentes. avec Marie-Louise Chamblain. En 1913, les Hommes se retrouve dans les nombreux Il emploi alors son temps à se pourtant, une reconnaissance officielle lui articles qu’il a publiés, car si Briet sait voir, il perfectionner dans la technique est donnée par la Députation de Huesca qui sait aussi dire. S. L. photographique. édite plusieurs de ses articles sous le titre de En 1889, Lucien Briet, accompagné A lire : A travers le Haut Aragon dans les Bellezas del Alto Aragon. de son appareil, effectue son pas de Lucien Briet, Claire Dalzin, éditions Il s’éteint à Charly le 4 août 1921 ruiné par premier séjour aux Pyrénées Cairn, 2007. la grande guerre. Sa jeune veuve et sa fille (Luz – Gavarnie – Gèdre) et est Lucien Briet en Haut Aragon, André Galide cinq ans sont dans une situation précaire. immédiatement saisi par ces cia, 2004. Louis Le Bondidier, conservateur du Musée montagnes. Il projette alors d’écrire et d’illustrer par ses prises de vues un livre (qui ne se fera pas) sur le massif. A l’occasion de conférences où il montre ses clichés, en plus d’un franc succès, il rencontre (1925, Béziers) les pyrénéistes qui comptent (des Monts, Baysselance, Brulle, Peintre et décorateur vivant à Montpellier, il murales. Il navigue entre figuration poétique Russel, Saint-Saud…). La fille du chasseur d’isards, 28 août 1895 (à Héas), 24 x 18 cm, est l’auteur des fresques narrant La vie de et une abstraction de veine lyrique qui coll. Musée Pyrénéen, Lourdes Il revient régulièrement dans Saint-Vincent, ornant le chœur de l’église du se révèle tourmentée. Il commence à les Hautes-Pyrénées, à la belle même nom à Bagnères-de-Bigorre. Chantier peindre au lendemain de la seconde guerre Son enfance et son adolescence à Charly saison, pour des séjours d’un à deux mois, qu’il mena sur place de 1966 à 1968. sont méconnues. Après ses études (sauf en 1893, 1898 et 1900) employés mondiale. Dans les années 50 et 60 il Jacques Bringuier développe son parcours se consacre à de nombreuses peintures secondaires, il s’engage dans l’armée en à l’exploration et à la photographie de la dans l’ambivalence. Depuis ses débuts, murales dans des édifices religieux et 1880, déserte rapidement, et se réfugie montagne. En 1894, il édite Ascension à il alterne œuvres d’atelier et décorations publics (lycées, écoles). A Sète, sur le en Belgique. Il y restera plusieurs années la Brèche de Roland, album de photos qui (1873, Trébons - 1903, Savigny-sur-Orge) L’Assiette au beurre, n° 81, 18 octobre 1902 Prima Luce, 2002, in portfolio Pyrénées, éd. galerie l’Art en Stalles, Pouzac 18 artistes Abadie Jean Abbadie Robert Abdallah Jean-Jacques Aguirre Christian Demangel à Montpellier. Il introduit ensuite Alix Studios des formes arrondies, cercles et spirales, Ancien des ateliers pour des pièces plus filiformes. Manuel Alquier Alain Velickovic, Boltanski Ariza conceptualise peu à peu son travail, y introduit la vidéo et la photographie. En et Alechinsky Ambroselli Gérard 1999, avec le Parvis, il conçoit une exposition installation, travail de mémoire sur le casino Amis des Arts Tarbes la publicité puis regagne Bagnères-de- de Bagnères-de-Bigorre présenté au sein Ariza Manuel Bigorre en 1989. Il cesse radicalement de même du bâtiment : Ex.position. En 2001, il peindre pour basculer dans le volume. Ses devient enseignant en arts visuels dans les Arramond Odette premières séries de sculptures mettent en Hautes-Pyrénées, et depuis 2008 mène un forme des structures d’acier rectangulaires travail de photographie plasticienne intimiste Société la Baldi Pierre de t e et allongées, vides, intégrant des volumes à vocation éditoriale. Présiden s de Montagn équivalents en béton ou plaques de verre : il intre Balmès José Œuvres publiques : au Musée des Abatdes Pe joue sur les tensions et équilibres. Premières toirs à Toulouse une série de sept lithograexpositions en 1992, au Centre d’Art du Balmigère Paul-Marcel phies sur métal et papier (1993). Parvis* à Ibos puis à la Galerie Saint-Ravy: dix œuvres dont cinq bustes (trois en terre Elle débute au Salon des Indépendants Bannerman Kouassi cuite, un marbre Portrait d’Hajdu de 1944, (1946-47) puis entre au Salon de l’Union et son Autoportrait en plâtre), un Groupe en des Femmes Peintres et Sculpteurs (1948Barlangue Gabriel uass Ko n a terre cuite, un Nu d’enfant en plâtre (1943), 1953), où elle sera invitée d’honneur en 1965 rm e Baroni Monique Arramond Odette, née Escoulan un marbre de Femme assise, un Chevrier au Musée National d’Art Moderne. Elle y est B ann (1909, Bagnères-de-Bigorre - 2009, Yvrac) en bois. Elle participe à nouveau aux Amis primée en 1953, l’année de sa première et Barutel Géraud des Arts à Tarbes (1944-1946). Obtenant seule exposition personnelle à la galerie une bourse de la ville de Bagnères en 1946 Plein Vent de Jamil Hamoudi, qui consacre Sculpteur, elle débute en 1942 en bustes parmi lesquels deux Baseilhac Jacques un texte sur l’évolution abstraite et originale pour passer six mois à Paris, elle décide de autodidacte, au contact probablement de réductions d’œuvres de s’y installer en 1946, rejoint par son mari de sa figuration. A partir de 1951, elle expose Charles Bouget* : peintures, terres cuites, Desca et celui de son fils Bégarie Rosalie des Eaux-Bonnes, excursions à pied un véritable pyrénéiste. Vignemale, Balaïtous pour parfaire sa formation de sculpture, Georges et son fils Claude. La rencontre régulièrement au Salon d’Automne. De 1953 et petites céramiques peintes à sujets Claude. Pendant la guerre, par JAM, qui sera suivi de nombreuses et autres n’avait pas de secrets pour lui. notamment dans les ateliers de Jacques avec Hajdu constitua un véritable déclic : à 1960, elle participe au Salon de la Jeune bigourdans. Odette Arramond étudie les elle fréquente à Bagnères Begué Hortense autres publications où apparaissent de Nombre de ses dessins représentent des Escoula* au moment au celui-ci travaille sur elle continuera de le côtoyer dans la capitale. Sculpture, puis à Comparaisons (1960, œuvres d’Edmond Desca* au Musée les sculpteurs Émilien Barutel Géraud au Salon Dorgans*, Charles Bouget, réelles qualités d’écrivain : guides, Albert récits vues de haute montagne dans lesquelles buste de Madame de Maintenon en 1920. Elle fait l’essentiel de sa carrière artistique à 1962-67). Deux expositions internationales Massey, puis premières expositions Bernet d’excursions, travaux sur la géologie, la flore, s’inscrivent ses trois filles à qui il faisait Il se marie avec Marie Marc à Chatou en Paris où à son arrivée elle fréquente l’atelier de sculptures, Formes humaines, au Musée des Amis des Arts en Tarbes en 1942-43, des Marguerite Deleuze*, et la faune, toujours généreusement illustrés partager 1922. Charles Bouget revient à Bagnères sa passion Cet homme dit aux talents Bessompierre Pierre Besson par ses propres dessins et aquarelles. avant la seconde guerre mondiale. Il multiples meurt le 22 août 1906 dans son Le comte de Bouillé, qui de plus possède participe aux premières éditions du Salon Billard Jean château du Poitou, loin des Pyrénées. des talents musicaux (il composera Le Musée Pyrénéen de Lourdes conserve des Amis des Arts* à Tarbes pendant la Billote plusieurs partitions) et s’adonne René à la dans ses collections un ensemble de dessins guerre. Puis à l’exposition de sculpture du sculpture, il créera de nombreuses terres à la plume et d’aquarelles constituant les Musée Salies à Bagnères en septembre Boixel cuites, est aussi un esprit scientifique.Henri Il doit originaux des illustrations de ses ouvrages. 1944, avec Odette Arramond*, Marguerite n à ses travaux sur les Pyrénées d’être mis en SL Deleuze*, l, Justi Émilien Dorgans* et Étienne rce Bonnal Daniel Paul-MaHajdu*. Il présente des pièces en bois, un contact avec, notamment, Henry Russell et re è Franz Schrader*, ce dernier étant aussi un Christ, des Pigeons, une Jeune pâtre et Baseilhac Jacques, Oscar, Louis, Pascal B almig Borde Henri A lire : Les Pyrénées du comte Roger de talentueux aquarelliste de montagne. une Paysanne, ainsi que des médaillons Bouillé, Hélène Saule-Sorbé*, éditions du Au travers de ses Borgella œuvres picturales en marbre du Bédat. Il a été principalement Frédéric Pin à Crochets, 1999. montagnardes, Bouillé se détermine comme praticien ornemental. A Bagnères-deBigorre, il œuvra au monument érigé en Bouget Charles l’honneur de Philadelphe de Gerde, sur la deuxième terrasse des Thermes près du dernier en 1958 comme conservateur du Bougeois Jean-Claude tennis (1962). Il est l’exécutant du marbre Musée Salies. Charles Bouget travailla Bouillé Roger, comte de de l’œuvre, conçue sur maquette par son également comme polisseur de lentilles Boyé Jean (1869 - 1921, Tarbes) ami Émilien Dorgans. Et il succéda à ce pour l’Observatoire du Pic du Midi. Boyé Joël Briet Lucien, Henri, César Sculpteur ornemaniste tarbais, il est l’auteur comme un des membres fondateurs de la Brassaï Gilberte identifié du monument aux morts 1914-1918 première Société Haut-Pyrénéenne des d’Ancizan (1920), une Marianne en bronze Amis des Arts* en 1916. Domicilié à Tarbes Brassaï Gyula Halasz, dit casquée, posée sur un socle en marbre au 49 rue Brauhauban, il épousa Marie Bouillé Roger, Jean, Baptiste, Marie, Amour, comte de d’Arudy. Jean Boyé est signalé en 1916 Clavaret. (1819, Nevers - 1906, Château du Colombier) Briet Lucien Brianti Jacques L’inventeur de l’Aragon Jacques BrassaïBringuier Gyula Halász, dit La jeunesse de Roger de Bouillé, issue (1899, Brasov, Hongrie, aujourd’hui Roumanie Brugeilles Claude d’une vieille famille aristocratique, a laissé 1984, Beaulieu-sur-Mer, Alpes-Maritimes) peu de traces. C’est un homme que nous LouisMercedes, née Boyer, retrouvons dans les années 1840 où, lors de Bégarie Rosalie, ou Rose BrassaïBuffin Gilberte, longs séjours en Italie, il se forme au dessin (1920, Tarbes - 2005, Paris) Butel Hervé et à l’aquarelle. Brassaï emprunte son pseudonyme à sa (1921) puis par l’Expressionnisme (1933De retour en France, il se marie en 1850. Cabuchet Émilien ville natale de Brasov en 1932. Il fait la 45). Il développe ses Transmutations de En 1865, le couple et ses quatre enfants guerre en 1917-18 dans la cavalerie austro- 1937 à 1965 : gravures sur clichés-verre s’installent à Pau. Les Pyrénées vont alors Bringuier Jacques Calle Sophie hongroise, puis entre aux Beaux-Arts déjà impressionnés, technique que Picasso devenir le terrain de prédilection de Roger de de Budapest (1921-22)Cambon et Berlin (1924). lui fait découvrir. Son parcours restera très Bouillé qui peut, par sa fortune, se consacrer Jean Il s’installe à Paris en 1924. Son œuvre lié à celui du grand peintre espagnol qu’il à ses passions. Dès 1868, il fait paraître, fut polymorphe et d’une grande densité. rencontre dès 1932. Il se fait connaître à sous le pseudonyme de JAM (Jean, Cante-Pacos François D’abord graveur influencé par le cubisme partir de 1930 pour ses photographies en Amour, Marie) son premier ouvrage Guides Capdevielle Louis, ue à la médiathèq La grande toile Capdevielle Raoul lui de Tarbes, c’est Capdevielle Henri et Anna Jean, Victor, Honoré, François Barlangue (1899, Saint-Rémy-sur-Avre) Carrade Michel Carrier-Belleuse Pierre plus remarqués par la critique. Il sera avec Cartier-Bresson Henri Robert Barre un des rares artistes hors Castaing René-Marie concours à la création du prix annuel en 1940. En 1945, au Musée Massey, sa grande Caumont Martial scène patriotique célébrant la Libération fait Cazalas Céramiques sensation. Ses œuvres adoptent avec force des couleurs vives, souvent extrêmement Cazenave Marguerite lumineuses et contrastées. Il exacerbe Cazenavette Louise de récurrentes variations de jaunes et Baroni d’orangés, notamment pour les natures Cénac Marc mortes ou compositions de fleurs. C’est vrai Peintre de genre, pastelliste et panoramiste. devant la grotte. Ce chantier colossal fut Chabab également pour ses paysages provençaux Formé à ses débuts par son père, le entrepris à Paris en 1881. Pour réaliser renommé sculpteur Albert Ernest Carrier- cette peinture circulaire (125 mètres de ou bigourdans qu’il peint fréquemment. Sa Checa y Saiz Ulpiano Belleuse (1824-1887). Il passe ensuite long sur 16 de hauteur et d’un poids de 6 touche peut être large, d’un expressionnisme aux Beaux-Arts de Paris dans les ateliers tonnes), Pierre Carrier-Belleuse constitua Cheval Léon, Jean vigoureux, ou bien toute en finesse, en d’Alexandre Cabanel et de Pierre-Victor une équipe d’artistes : son frère LouisGalland. Il expose au Salon à partir de 1875, Robert (1848-1913), les peintres Hareux, Chrétien Edmond Ernest du pointillisme. Il laisse aussi des y obtiendra une mention en 1887 et une Dagnaud, Giraud, Lucas, Forcade, Renard, Coll. particulière Cénaclimite Marc réalistes, exécutées en aplats de peintures Cisterna Eugenio (1920 - 2004, Paris) médaille d’argent à l’Exposition Universelle Chevalier, Marx, Delaunay et Flanneau. La couleurs très prononcés. C’est le cas d’une de 1889 qui le met hors concours pour toile fut achevée et dévoilée à Paris en 1882, Clavaret Pierre dont le parcours et l’œuvre sont grande œuvre pour la salle des fêtes de la suite. En 1893 il rejoint le Salon de la puis acheminée à LourdesPeintre et inaugurée ans l’Académie de Société Nationale des Beaux-Arts. le 1 avril 1883. La société créée assez à cet mal cernés. Il fit ses études encore la mairie de Tarbes réalisée en 1948avec : La Chaumière, Clertan Francis Pierre Carrier-Belleuse fut l’auteur dans le effet fit construire sur plans de l’architecte Jérômefondé et Yv dans la capitale et obtint en 1925 le diplôme construction de l’hôpital dePierre la Clôture La neige au pont de Courcelles, v. 1894, huile sur toile, 97 x 134 cm, coll. Musée des Beaux-Arts, Bordeaux département d’une œuvre très singulière, Sauffroy une grande rotonde en bois sur Là, il pratique esse Colat Prosper Mary professorat de dessin à vue pour les en 1693. Bien que très discret à montrer un panorama peint, l’un des premiers du la place de la Merlasse de (actuelle place le dessin de nu, ma genre en France, relatant Le Miracle du Laurence). Celle-ci mesurait 35 mètres établissements scolaires de la ville de Paris. son travail (une de ses rares expositions Comas, Jacques sculpture dans plusie cierge du 7 avril 1858, c’est-à-dire la 17 de diamètres pour 22 de hauteur. La toile En 1932, Jean Billard réussit le concours personnelles se tint à la galerie Dubernet* œuvres, principalement en petit format, se ses Contes de la Bécasse : « Un coq chanta » de Montparnasse. apparition de la Vierge Marie à Bernadette sera démontée durant l’hiver 1883-84 pour Combellas Marcel-Paul Annie pour l’enseignement en lycées et collèges. en 1960) il fut sociétaire ilet épouse exposant au caractérisent par la finesse et l’intimisme des (1883). René Billotte repose au cimetière du marseillaise originaire Il habite alors à Bécon-les-Bruyères. Il est Salon des Artistes Français à Paris. Dans ambiances, déclinées en effets de lumières Père-Lachaise. Il fut portraituré par Carolus Commère Jean Elle le convainc de probable qu’il arrive à Tarbes peu après. le département, Jean Billard effectua sa amortis à la tombée de la nuit. Il est le peintre Duran (Salon de 1888) et dans la collection son travail en créant Corda Mauro à Paris, la galer Dans le contexte artistique tarbais, Jean carrière d’enseignant au lieu lycée technique photographique Félix Potin. en 1985, au 48 de l Billard est à rapprocher du groupe d’Henri d’État et à l’École Normale d’institutrices. On voit passer régulièrement ses Correia Charles même nom, où il ex Né à Tarbes, Borde* et de Pierre Zeller*, qu’il fréquente Il remplace Martial Caumont* en 1962 à œuvres en ventes publiques. Il est lors une fois par ans. Corvalan Loreto pendant la guerre et à la Libération. Il la direction de l’École dessaArts, jusqu’à ce présent dans plusieurs musées : à neveu d’Eugène Fromentin maison familiale en atelier lieu àd’exposition né dans quartier de SaintCostiou Michel expose dès 1938 au Salon Peintre des Amis des le qu’il prenne sa retraite fin et 1977 l’âge de Orsay, Neige à la porte d’Asnières Germain-des-Prés, ses parents étaient les deux ans. En 1999, le c Arts*. Ses envois sont toujours parmi les 78 ans ! (Salon de 1890) ; Nantes, Carrière Coutan Jules-Félix originaires des Hautes-Pyrénées (Odos et la Fondation Cénac/Musée d des crépuscules aux ciels mauves et brumes de Soisy ; Bordeaux, Carrière de Nanterre Cros Christian naissantes en toutes saisons. Il expose (Salon de 1897) et Neige à la porte de au Salon des Artistes Français à partir de Courcelles ; Chambéry, Route de SaintDaana 1878 (mention en 1881, légion d’honneur et André. Un grand panneau décoratif à l’hôtel Dabat Léo René médaille d’argent à l’Exposition Universelle de ville de Paris, La Seine au Quai d’Orsay, (1846, Tarbes - 1914, Paris) de 1889). Il fait partie en 1890 des dissidents et Les bords de l’Oise à l’École militaire de Damelincourt Hubert fondateurs du plus moderne Salon de Saint-Cyr. Également à Dijon, La Rochelle, Damnitz Heino von la Société Nationale des Beaux-Arts au Reims, Bucarest, Berlin, Petrograd. Ce peintre natif de Tarbes (où ses parents capitale et plus encore de la grande banlieue : Champs de Mars, où il exposa assidûment restèrent peu de temps), était le neveu, par monuments, bords de rivières, carrières, Dartiguelongue Suzanne 44 10 Les 40 41 Monique (1930, Tarbes) h. 175 cm papier et acrylique, tissus, résine, bois, Sans titre, sd, ue entre à ceux t, Gabriel Barlang es , auteur Constan en 1893. Il s’initie aux techniqu lot-et-garonnais de Paris rte auprès er étage de la Graveur et peintre burin et à l’eau-fo peinture au 1 de gravure au mile Lefort. Mais d’une grande à Tarbes : Scène Patricot, Henri-É Louis Aragon aronnais Antonin Cette de Jean médiathèque avec le tarn-et-g (140 x 220 cm). surtout gascon son ami et soutien. de marché fille Claude qui deviendra à la ville par sa pour les atrice de Delzers l’introduit auprès de l’Etat œuvre fut offerte conserv et te -poste. Après un Celui-ci s de créations de timbres Barlangue, archivis jusqu’en 1990. concour sa première la médiathèque de Toulouse, Barlangue obtient Beaux-Arts consacré à e Jean- Gabriel passage aux : un timbre du peintre d’histoir gravure en 1929 dans les ateliers liste Benjaminet de l’orienta Paul Laurens (2008). Vicede Parthenay ne, elle a dirigé ent au Musée Salon d’Autom elle débute tardivem présidente du on de 1977 à 1990. Originaire de Tarbes, les ateliers à Rueil Malmais est , formée dans Mac- un atelier e moderne », dans la peinture peinture, « figurativ niste et colorée, arc Lange et Édouard dans le Sa privés de Jean-M pression de abondamment résolument post-im large en limite Avoy. Elle expose classiques et touche nels une tradition lement maniant fonds : principa circuit des salons à l’étranger. tion pour les de 1976, puis villes, rues et a lieu en l’abstrac parisiens à partir genres et de on personnelle Elle des scènes de , paysages. , dans les Sa première expositi s, cafés, portraits dernières années Bonnard marché ces de e puis, rs fois), influenc 1983, et à Paris (plusieu Street revendique la double galeries Roman Brutton . (1994), Balthus Lille de à (2006), et Quintessence Besseiche à Paris à Londres (2000), 17 16 er ème La rotonde du Panorama, à gauche de la basilique, carte postale, 1908 Paysage des Pyrénées, sd, huile sur toile, 38 x 48 cm Billote sa mère, d’Eugène Fromentin qui le forme à la peinture. Il devient assez vite l’un des peintres paysagistes les plus en vogue à Paris, repéré pour ses paysages de la 24 fortifications, campagne banlieusarde. Mais aussi pour ses vues de Hollande, d’Albanie (1904), quelques marines (Tours du port de La Rochelle, 1885). Ses jusqu’à son décès (hors concours et membre du jury à partir de 1900). Guy de Maupassant, qui possédait Un laboureur de René Billotte, lui dédia un des A lire : René Billotte, Georges Riat, in Les Maîtres Contemporains, H. Laurens éditeur, Paris, 1904, pp. 49-51. 25 57 35 Dastugue Maxime Daures Jacques Dauriac Jacques Dauriac Jacqueline Dechin Jules Deleuze Marguerite Delfino Leonardo Delpech Jean-Marie Demé Émile Degas Edgard Desca Alice Desca Edmond Didier-Pouget William Dieuzaide Jean Dieuzaide Michel Dorgans Émilien Dorgans Guy Dorignac Émilie Doze Melchior Doux Jean-Louis Dubernet Charles et Louise Ducuing Paul Dufrène Léon Dulout Justin Dulout Marc Dupuy Paul-Michel Durand Ludovic Duvillier René Elizaga, Hélène Elissague, dite Engalière Joseph Escoula Jean Escoula Jacques Escoula-Marot Jean-Marie Esnult Isabelle Espouy Hector d’ Espouy Jean d’ Espouy Raymond d’ Facchina Gian Domenico Falcucci Robert Fagniez François-Xavier Faykod Maria de Feinberg Bernarovitch Fenosa Appel.les Fleissig Nicolae Fontaine Duvignau Tarbes Forel Eugène Fosses Mengelle Émile Fournier Louis-Edouard Fradet Daniel François Pierre Frère Jean-Jules Gabard Ernest Gainsbourg Serge Gandarias Justo de Gardy Gaudéric Gargiulo Emma Gasset-Ousset Hélène Gaudin Pierre Gautier Judith Gelin Denis Gélibert Gaston Gélibert Jules-Bertrand Gélibert Paul Giacomelli Mario Giner Balbino Gleb, Thomas Gleizes Albert Godchaux Alfred Godchaux Émile Gourdon Maurice Grandmaison Nicolas Grau-Garriga Josep Grellet Alexandre Athanase Grimal Louis Gros, Lucien Grünig Gustavo Groupe 4 Guérin Henri Guittard Bruno Guyot Francis Hajdu Étienne Hartmann Jacques et Suzanne Hauterive Henri Périer d’ Hermann-Paul Hirsch Emmanuelle Hourrègue Jean Imbs Marcel Joachim-Supéry Joseph Joachim Joseph et Jean Joncourt Roger Jouas Charles Jouaville Guy Journès Maurice Jouvray Madeleine Ketterer Roger Kischka Isis Kühlewind Brennenstuhl Brigitte Lacome André Lacoste Charles Lacoste Yves Lacrampe Adrien Lacroix Raymond Lafforgue Jean La Gamba Laurent Lagar Celso Lagoutte Claude Lallement Jean-Charles, dit Bacchus Lambert-Loubère Roger Lapène Didier Larrieu Octave Larrieu Simone Larrieu Jean-François Lasseran Paul, Noël Lataste François Lataste Jean Lataste Claire et Violette Lay Edmond Le Corbusier Charles Édouard Jeanneret dit Ledormeur Georges Le Gac Jean Lemant Albert et Kiki Leroux-Veuvenot Gaston Le Saëc Thierry Lesquibe Jean Lévrier-Mussat Alain-Jacques Leygue Louis Maas Christian Mailhes André Malik Janusz Manaut Paul Manciet Charles Manessier, Alfred Maniglier, Henri Marcassus Alain Margotton René Marquerie Jean Martinez Christian Maso de Falp Felipe Mathet Louis Mauméjean ateliers Maxwell Lyte Farnham Maxence Edgard Meili Conrad Meliz Christian Mengelatte François Mengue Jean-Marie Métais Jean-Bernard Michelet Firmin Miranda Carlos Molins Bernard Molins Michel Mondineu Jean Étienne Nadar Félix Tournachon dit Nelli Henri Neustifter Joseph Michael Odin Blanche Oiticica Christina Pagès Robert Pam Paris Alfred Parvis Centre d’Art, Ibos Pellarey François Penalba Alicia Perriand Charlotte Peyrou René Photographie E, Tarbes Place Jacques Poirier Anne et Patrick Poncet Antoine Pons Fortuné Popineau Émile Pourny Anne Préhu Jacques Préval Christiane de Privat Gilbert Raynaud Patrick Rayssé Émile Réale Jean Remondet-Slocombe Alma Remondet André Renoir Auguste Reymond Émile Ricau Léonce Ricau Osmin Rieti Fabio Rispal Gabriel Noël Roton Germaine de Roy Pierre Rupnik Marko Saint-Geran Charles de Saint Paul Pierre, Pierre Sicre dit Saladin Alphonse Saliceti Jeane Saule-Sorbé Hélène Scaramela Bernard Schmeltz Bruno Schrader Franz Ségura Lucien Selinger Shelomo Serraz Georges Sevelle Roger Sheridan Georges Sibra Paul Singier Gustave Snake Solère Denys de Sorbets André Soubie Roger Soupault Ralph Tailhade Laurent Tajan Michèle Tal Coat Pierre Taris Jacques Ten Holt Friso Thon Robert Thusseau Marie Tissandier Albert Toutain Jean-Louis Trotereau Rémi Trusses René Ugarte Jean-Pierre Utkes Zelman Utrillo Maurice Valat Éric Vasarely Victor Vidal René Vilon François Vilon Lætitia Vivès Henri Vuillier Érick Weber Pierre Wencker Joseph Yarz Edmond Yarz Hadrienne Zeller Michel Zeller Pierre