Les sept nouvelles merveilles du monde

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Les sept nouvelles merveilles du monde
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La Grande Muraille est un ensemble de fortifications
militaires chinoises construites, détruites et
reconstruites en plusieurs fois et plusieurs endroits
entre le Ve siècle av. J.-C. et le XVIe siècle pour
marquer et défendre la frontière nord de la Chine.
Populairement, on désigne sous le nom de « Grande
Muraille » la partie construite durant la dynastie Ming
qui part du détroit de Shanhai sur les rives du fleuve Yalu
à l’est pour arriver à Jiayuguan à l’ouest. La longueur
de la muraille varie selon les sources. Selon un rapport
de 1990, la longueur totale des murs serait de 6 700
km[1]. En raison de sa longueur, la Grande Muraille
est surnommée en chinois « La longue muraille de dix
mille li » (
, wàn lǐ chángchéng), le li étant une
unité de longueur et dix mille symbolisant l’infini en
chinois. Ce surnom peut cependant être pris dans son
sens littéral par approximation, 6 700 km faisant 13
400 li. En moyenne, la Grande Muraille mesure 6 à 7 m
de hauteur, et 4 à 5 m de largeur.
La Grande Muraille est la structure architecturale la
plus grande construite par l’homme en termes de
longueur, surface et masse. Depuis 1987, elle est
classée au patrimoine mondial de l’UNESCO sous
le numéro 438[2].
Contrairement à une idée reçue, cette construction,
comme aucune autre d’ailleurs, n’est pas visible
à l’œil nu de l’espace. Cependant d’après
l’astronaute Leroy Chiao à l’issue de son séjour de
six mois dans la station spatiale internationale elle
est bien visible depuis l’espace, par beau temps
et à l’œil nuééé[réf. nécessaire]. L’information,
avec cliché à l’appui, a fait la une du quotidien
China Daily, contredisant le taïkonaute Yang
Liwei qui avait assuré, lors de son séjour spatial
en 2003, n’avoir vu aucune trace de la muraille.
Les digues des Pays-Bas, les pyramides d’Égypte
et, de source chinoise, le troisième périphérique
de Pékin figurent également dans la liste très
restreinte des grandes réalisations de l’Homme
que l’on peut apercevoir à l’œil nu depuis l’espace
Pétra est une ancienne cité troglodytique située
dans l’actuelle Jordanie, au cœur d’un bassin bordé
par les montagnes qui forment le flanc oriental de
l’Arabah (Wadi Araba), grande vallée prolongeant
le grand rift vers le nord et qui s’étend de la mer
Morte au golfe d’Aqaba.
Pétra est une ancienne cité troglodytique située
dans l’actuelle Jordanie, au cœur d’un bassin bordé
par les montagnes qui forment le flanc oriental de
l’Arabah (Wadi Araba), grande vallée prolongeant
le grand rift vers le nord et qui s’étend de la mer
Morte au golfe d’Aqaba.
Créée dans l’Antiquité vers la fin du VIIIe siècle
av. J.-C. par les Édomites, elle est ensuite occupée
vers le VIe siècle av. J.-C. par les Nabatéens qui la
font prospérer grâce à sa position sur la route des
caravanes transportant l’encens, les épices et d’autres
produits de luxe entre l’Égypte, la Syrie, l’Arabie
du Sud et la Méditerranée. Vers le VIIIe siècle, la
modification des routes commerciales et les séismes
entraînent l’abandon progressif de la ville par ses
habitants. Tombé dans l’oubli à l’époque moderne,
le site est redécouvert par le monde occidental grâce à
l’explorateur suisse Jean Louis Burckhardt en 1812.
Créée dans l’Antiquité vers la fin du VIIIe siècle
av. J.-C. par les Édomites, elle est ensuite occupée
vers le VIe siècle av. J.-C. par les Nabatéens qui la
font prospérer grâce à sa position sur la route des
caravanes transportant l’encens, les épices et d’autres
produits de luxe entre l’Égypte, la Syrie, l’Arabie
du Sud et la Méditerranée. Vers le VIIIe siècle, la
modification des routes commerciales et les séismes
entraînent l’abandon progressif de la ville par ses
habitants. Tombé dans l’oubli à l’époque moderne,
le site est redécouvert par le monde occidental grâce à
l’explorateur suisse Jean Louis Burckhardt en 1812.
Les nombreux bâtiments, dont les façades
monumentales sont directement taillées dans la
Les nombreux bâtiments, dont les façades
monumentales sont directement taillées dans la
bassin bordé par les montagnes qui
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est une ancienne cité troglodytique
située dans l’actuelle Jordanie, au cœur
d’un bassin bordé par les montagnes qui
forment le flanc oriental de l’Arabah
(Wadi Araba), grande vallée prolongeant
le grand rift vers le nord et qui s’étend de
la mer Morte au golfe d’Aqaba.
est une ancienne cité troglodytique
située dans l’actuelle Jordanie, au cœur
d’un bassin bordé par les montagnes qui
forment le flanc oriental de l’Arabah
(Wadi Araba), grande vallée prolongeant
le grand rift vers le nord et qui s’étend de
la mer Morte au golfe d’Aqaba.
Créée dans l’Antiquité vers la fin du
VIIIe siècle av. J.-C. par les Édomites,
elle est ensuite occupée vers le VIe siècle
av. J.-C. par les Nabatéens qui la font
prospérer grâce à sa position sur la route
des caravanes transportant l’encens, les
épices et d’autres produits de luxe entre
l’Égypte, la Syrie, l’Arabie du Sud et
la Méditerranée. Vers le VIIIe siècle, la
modification des routes commerciales
Créée dans l’Antiquité vers la fin du
VIIIe siècle av. J.-C. par les Édomites,
elle est ensuite occupée vers le VIe siècle
av. J.-C. par les Nabatéens qui la font
prospérer grâce à sa position sur la route
des caravanes transportant l’encens, les
épices et d’autres produits de luxe entre
l’Égypte, la Syrie, l’Arabie du Sud et
la Méditerranée. Vers le VIIIe siècle, la
modification des routes commerciales
Le Machu Picchu est une ancienne llaqta (cité)
inca du XVe siècle, perchée sur un promontoire
rocheux qui unit les monts Machu Picchu et
Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes
centrales. Son nom aurait été Picchu ou Picho[2].
Selon des documents du XVIe siècle, Machu
Picchu aurait été une des résidences de l’empereur
Pachacutec. Cependant, quelques-unes des plus
grandes constructions et le caractère cérémonial de la
principale voie d’accès au llaqta démontreraient que
le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux[3].
Les deux usages ne s’excluent pas forcément. Par
contre, les experts ont écarté l’idée d’un ouvrage
militaire[4].
La ville sacrée Machu Picchu, oubliée pendant
des siècles, est considérée comme une œuvre
maîtresse de l’architecture inca. Elle fut dévoilée
au monde par l’archéologue américain Hiram
Bingham de l’Université Yale, qui écrivit
un ouvrage de référence à ce sujet[5]. Ses
caractéristiques architecturales et le voile de
mystère que la littérature a tissé sur le site en
ont fait une des destinations touristiques les plus
prisées de la planète. Depuis 1983, le site est sur la
liste du Patrimoine de l’Humanité de l’UNESCO.
Le 7 juillet 2007, l’endroit a été désigné comme
l’une des sept nouvelles merveilles du monde par
la NewOpenWorld Foundation, un organisme non
officiel et à caractère commercial. Enfin le site fait
partie de tout un ensemble culturel et écologique
connu sous le nom de Sanctuaire Historique de
Machu Picchu.
cette source d’eau souterraine : Chi signifie « bouche
» et Chén, « puits ». Itzá est le nom du peuple qui
fonda la ville en 534 après J.-C. et l’abandonna un
siècle plus tard pour des raisons encore inconnues. À
partir du Xe siècle, Chichén Itzá est devenu le centre
religieux d’une civilisation Maya-Toltèque florissante
; il était probablement un lieu d’initiation pour les
prêtres qui étaient par la suite envoyés dans d’autres
secteurs du Yucatán. Chichen itza a d’abord été acheté
par Edouard Thomson qui y a fait sans autorisation
des fouilles dont il a ensuite expédié le produit aux
La présence d’une cité maya à cet endroit est due Etats-Unis. Par la suite, le gouvernement mexicain a
à la présence de deux puits naturels (cénotes) qui réclamé la restitution de ces trésors archéologiques,
constituaient un trésor inestimable dans cette région qui a eu lieu finalement de manière partielle.
dépourvue d’eau. Le site doit d’ailleurs son nom à
Chichén Itzá est une ancienne ville maya située
entre Valladolid et Mérida dans la péninsule
du Yucatán, au Mexique. Chichén Itzá était
probablement le principal centre religieux du
Yucatán et reste aujourd’hui l’un des sites
archéologiques les plus importants et les plus
visités de la région. Le 7 juillet 2007, l’endroit a été
désigné comme l’une des sept nouvelles merveilles
du monde après un vote organisé par la New Seven
Wonders Foundation.
au cours du règne de Domitien (8196).[2] Le nom d’amphithéâtre Flavien
dérive du nom de famille (gens Flavia)
des deux empereurs Vespasien et Titus.
Pouvant accueillir entre 50 000 et 75 000
spectateurs[3], le Colisée a été utilisé
pour les combats de gladiateurs et autres
spectacles publics. Il est resté en service
pendant près de 500 ans, les derniers jeux
se prolongeant jusqu’au VIe siècle. Outre
les jeux traditionnels de gladiateurs,
de nombreux autres spectacles y ont
été organisés, tels que des simulacres
de batailles navales (des naumachies),
des chasses d’animaux sauvages, des
exécutions publiques, des reconstitutions
de batailles célèbres et des drames basés
sur la mythologie romaine. Le bâtiment
a finalement cessé d’être utilisé au cours
du haut Moyen Âge. Il a plus tard été
réutilisé pour des buts variés tels que
des habitations, des ateliers d’artisans, le
siège d’un ordre religieux, une forteresse,
une carrière et un sanctuaire chrétien.
Bien qu’il soit maintenant en état de
ruine en raison des dommages causés
par les tremblements de terre et la
récupération des pierres, le Colisée est
considéré comme un symbole de la
Rome Impériale. Aujourd’hui, il est l’un
de ceux de la Rome moderne, une des
attractions touristiques les plus populaires
et a encore des liens étroits avec l’Église
catholique romaine : chaque Vendredi
saint, le pape mène une procession
aux flambeaux sur un chemin de croix
aboutissant à l’amphithéâtre.
Le Colisée est représenté sur la pièce de
monnaie italienne de 5 centimes d’euro.
Le Colisée, à l’origine amphithéâtre Flavien est un amphithéâtre
elliptique situé dans le centre de la ville de Rome, entre l’Esquilin
et le Caelius, le plus grand jamais construit dans l’Empire
romain. Il est l’une des plus grandes œuvres de l’architecture et
de l’ingénierie romaines.
Sa construction, juste à l’est du Forum romain, a commencé
entre 70 et 72, sous l’empereur Vespasien, et s’est achevée en
80 sous Titus. D’autres modifications ont ensuite été apportées
Le Taj Mahal qui signifie Palais de la Couronne est situé à Âgrâ, au bord de la rivière Yamunâ dans l’État de
l’Uttar Pradesh en Inde. C’est un mausolée de marbre blanc construit par l’empereur moghol Shâh Jahân en
mémoire de son épouse Arjumand Bânu Begam, aussi connue sous le nom de Mumtaz Mahal, qui signifie en
persan « la lumière du palais ». Elle meurt le 17 juin 1631 en donnant naissance à leur quatorzième enfant alors
qu’elle allait à la campagne. Elle trouve une première sépulture sur place dans le jardin Zainabad à Burhampur.
Suite à sa mort survenue le 31 janvier 1666, son époux fut inhumé auprès d’elle.La construction commence en
1631. Cependant, il demeure une incertitude sur la date exacte de la fin des travaux. Le chroniqueur officiel de
Shah Jahan, Abdul Hamid Lahori indique que le Taj Mahal est achevé fin 1643 ou début 1644. Mais à l’entrée
principale une inscription indique que la construction s’est achevée en 1648. L’État de l’Uttar Pradesh, qui
a célébré officiellement le 350e anniversaire de l’édifice en 2004, affirme quant à lui que les travaux se sont
achevés en 1654. Parmi les 20 000 personnes qui ont travaillé sur le chantier, on trouve des maîtres artisans
venant d’Europe et d’Asie centrale. L’architecte principal fut Usad Ahmad de Lahore. Le 7 juillet 2007, le
célèbre monument a été désigné comme l’une des sept nouvelles merveilles du monde.

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