quette, à Jacques Rolier, de Caprycke, à Jean Roussel, de

Transcription

quette, à Jacques Rolier, de Caprycke, à Jean Roussel, de
quette, à Jacques Rolier, de Caprycke, à Jean Roussel, de
Wattignies ; — à Jean Salome, de Hoflande au territoire de
Hazf/brouck, à Bauduin Samyn, de Cuerne au quartier de
Courtrai, à Philippe du Sauchoy, du Ruetz en la paroisse de
Lorgies, à Guillaume Scuellens, de Bois-le-Duc. à Pierre de
Scheppere, de Caneghem, à Jean de Schotte, de Bisseghem au
quartier de Courtrai, à Pierre Sépriez , de Templeuve-enDossemer, à Dominique Soduyn, d'Ootcghem, à Pierre Soix , de
Lorgies, à Michel de Solville, de Neuville en Namurois, à Jean
Soyer, de Merstède ( Moorslede? ), à .Georges Strael, de Gand ,
à Adrien de Susinghe, « subject et manant du duché de
Luxembourg, lequel, passé deux ans, le mercredi premier quatre
temps au quaresme, trois soldats wallons enfuyz sans passeport
de leurs compagnies estant arrivez deans les lieux et villaiges
plus proches prenans quelques galines et canars aux paysans et
avec yceulx se saulvans et retirans vers les hayes et bois d'illec
pour les cuyre et accommoder pour leur nourriture, auroit avec
les aultres paysans poursuivi et trouvé dans les bois lesdicts
soldatz où les deux plus vieux ont prins la fuite, et le plus
jeusne, que pourroit arrivera l'eaige de quelques seize à dix-sept
ans, attainct, prins et saisy desdicts paysans, très-bien battu, sur
lequel rumeur et bruict accourant aussy Jean de Susinghe, du
mesmes eaige de seize à dix-sept ans, se seroit aussi prévalu et
servy d'ung baston duquel pensant donner audict soldat sur les
bras et espaulles, s'abaissant icelluy vers la terre, dont il tomba
et se relevant aprez seroit encore marché quelques pas et
soutenu quelque peu par les aultres paysans retombé, et auroit
terminé vie par mort; » — à Jean Terryn, de Heestert, à Jean
Tharel, de Camblin, à Jacques Thibault, d'Acsq, à Antoine
Thiberghien, de Boubaix, à Jean Thirion, de Vezin, à Antoine
Thonnel, de Lille, à Renier Trippen, de « Wansen en Gueldre »,
à AlbertTuloy, deBapaume; — à Jean Van Dame, de Vynckt au
quartier de Gand, à Louis Vanden Berghe, de Lille, à Jean
Vanden Casteele, de Thielt, à Daniel Vanden Kerckhove, de
Hclchin lez Tournai, à Josse Vanden Vondele, d'Oos-tacker, à
Jean Van den Woestyne, de Bicxschote, à Michel Van de Putte,
de Cuerne, à Jacques Vander Haeghen, de Renaix, à Guillaume
Vande Walle, de Bruges, à Jacques Van Haezevelde,
d'Audenarde, à Henri Van Heynsbergen, de Bois-le-Duc, à Jean
Van Loo, de Denderwindeke, à Corneille Van Osse-waerde, de
l'île de Zuidbeverland, à Robert Van Over-bech, de Snelleghem,
à Josse Vercauteren, deBelcele au pays de Waes, à Jean
Verlinde, de Bergues, à Barthélemi Vermeulene, de Moere, à
Valentin Videlaire, de Zuyt-kerque, à « Henry de Villenfaignele
jeune, lequel auroit doiz l'eaige de quinze à seize ans suivy les
armes en ces Pays bas comme gentilhomme appointé soubz le
régiment du sieur de Tilly, par après comme alphère soubz le
colonel de la Malaise, ayant tousjours séjourné au siège
d'Oostende jusques à la prinse d'icellc, par après tant au secours
de l'Escluse que aux fortz de Rourolte, sans jamais avoir suivy
aulcune altération ains maintenu son grade en tout honneur,
jusques à ce qu'estant abattu audict fort de Rourolte de maladie,
il seroit esté forcé de soy retirer au lieu d'Insbourghe pour se
faire penser non sans grandz despens, ayant esté si avant réduict
que d'avoir esté constrainct, soubz la licence de son colonnel,
pour changerd'air, de se retirerchezsonpèreenlaville de Namur, »
où, un soir qu'il reconduisait son beau-frère Jean Anceau,
greffier du chapitre de Sainte Waudru de Mons, il fut rencontré
par maître Jacques Cocquelet, receveur des exploits, qui l'appela
« garçon, nom indigne entre les soldats, » et engagea avec lui
une lutte dans laquelle ledit Cocquelet fut mortellement blessé; à
Louis de Villers, de Valenciennes, à Walerand Yil-lette,
dePéronne en Mélanlois, à Evrard Vinck, de Gueldre, à Martin
Violette, deLetterhaulem, à Charles Vion, de Basseux, à
Bauduin de Vivalemont, « armoieur de la résidence de Lille,
lequel estant en la ville d'Armentières, afin de, durant la foire
d'icelle,exposer en vente armes, fut envoyé de Me Gérard de
Lancre, opérateur cirurgien, quérir ung bracquet, ce qu'il féit, et
retourné ledict M" Gerard proféra beaucoup de parolles
injurieuses allencontre des beau-frères dudict Bauduin qui sont
chirurgiens demeurans en la ville de Lille , dont icelluy Bauduin
print occasion de dire qu'il estemoit plus un bon chirurgien
qu'ung mauvais opérateur, ce dont ledict Gérard sur le camp
monslra soy mal contenter et sa femme commença à dire que
jasoit qu' elle n'estoit que une femme elle ne pas-seroit
toHtesfois tel affront que avoit porté son mary sans arracher
audict Bauduin les yeulx hors la teste et luy donna ung souflet
en la face; » une rixe s'en suivit dans laquelle Me Gérard reçut
une blessure légère qui devint mortelle, « faulte de n'avoir esté
souftisament soingné ou de médicamens empiricques que y
auroit appliqué la dicte femme de Me Gérard de son auctorité et
au desceu des chirurgiens qui l 'avoient en cure; » à Philippe de
Vriendt, d'Ypres, à Josse de Vyndere, de Hoflande au quartier
de Hazebrouck; — à Jacques Waelis, de Fletre, à Josse