LE CERVEAU n`est pas un sac rempli d`eau

LE CERVEAU n’est pas un sac rempli d’eau
Par René Smeyers de Domisan
BRUXELLES – Les radiations électromagnétiques
provenant des antennes GSM et de l’internet sans fil sont
comme la fumée des fumeurs. En tant que non-fumeur vous
êtes également servis, que vous le vouliez ou non et bien
plus que vous ne le pensez. Mais cet « électrosmog » est-ce
bien aussi grave?
Ecoutons le témoignage de Hendrik Monard à ce sujet. Il
habite l’étage supérieur d’un bloc à appartements dans les
environs de Louvain à environ 65 mètres d’une antenne
GSM. Les radiations émises par cette antenne ne sont pas
des moindres. L’intensité du champ magnétique mesuré est
énorme: 6 volts par mètre dans le salon, 11 volts sur la
terrasse avec des sommets allant jusqu’à 19 volts.' Tout cela
n’est pas au goût de Monard qui en ressent les
conséquences physiques. « Les radiations de l’antenne
GSM vont jusqu’à perturber ma radio et ma télé. Je dois
tout emballer en papier alu. Cela ne ressemble plus à rien chez moi », nous dit-il. Bien pire
sont les bourdonnements ou tinnite dont Monard souffre de plus en plus. « Je souffrais déjà
de ce problème avant mais depuis que j’ai emménagé ici les bourdonnements sont devenus
chroniques. »
« Je ne me préoccupe plus trop de ma santé », nous confie Monard, bien que de temps à autre
il songe à déménager. Mais, nous dit-il : « il y a beaucoup de ménages avec enfants dans les
parages. C’est pour eux que je suis inquiet. »
Ainsi cette jeune dame de 25 ans, que nous appellerons Astrid (25) qui souffre de
bourdonnements. Elle est légèrement électro-sensible. « Il y a quelques années, j’ai
commencé à souffrir d’insomnie. J’avais la tête qui bourdonnait et cela à abouti en tinnite
chronique. Je me sentais constamment énervée sans raison aucune car je n’étais pas
stressée », soupire-t-elle.
Elle a consulté le web et a fini par faire le lien avec les champs électromagnétiques.
« J’habitais un appartement. Il s’est avéré que le voisin du dessus avait l’internet sans fil.
Son router se trouvait à trois mètres de mon lit. » Elle a fait effectuer des mesurages par
échantillonnage avec un mètre et voilà le constat: « 'Dès que les radiations dépassent 0,06
volts par mètre je ne parviens plus à dormi », nous dit-elle.
Aujourd’hui, Astrid dort à nouveau sur ses deux oreilles mais elle a eu toutes les peines du
monde pour trouver un habitat ‘sans radiations’. « Je n’utilise presque plus jamais mon
GSM », avoue-t-elle. « Et si je reste plus longtemps qu’un quart d’heure dans une pièce avec
un router sans fil, j’attrape des maux de tête. Je ne suis pas seule dans mon cas. Une
personne sur trois serait légèrement électro-sensible et trois sur cent fortement électrosensibles. Matière à réflexion, non. »
Il ne faut pas exagérer non plus car très peu d’antennes GSM dépassent la norme de 20,6
volts par mètre. Souvent les radiations restent bien en-dessous de cette norme.
Moshchalkov reste cependant sceptique au regard des normes fédérales et vous allez
comprendre pourquoi en lisant ce qui suit. Dans les années nonante, le comité international
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'International Committee for Non Ionizing Radiation Protection' a rempli un sac d’eau salé
qui était sensé représenter notre corps. Ce sac a ensuite été exposé à une quantité de
radiations, puis on a calculé quelle quantité de radiations était nécessaire afin de chauffer
l’eau d’un 1° Celsius. C’est sur cette base que l’Organisation Mondiale de la Santé a créé
une marge de sécurité, fixée à 40 volts par mètre, une recommandation encore toujours
d’actualité. Notre pays a, comme norme de sécurité, voulu appliquer une norme qui est deux
fois plus sévère, afin de ‘ne pas courir de risque’. »
« Ce qui, à la base, est une excellente idée, sauf que cette procédure est un exemple
d’ignorance et d’imprécision.
Un homme n’est pas un sac d’eau », dit Moshchalkov. 'La norme actuelle ne prend en compte
que les effets thermiques des radiations. Force nous est de constater que toujours plus de
scientifiques s’accordent pour dire que le champ électromagnétique peut avoir d’autres
conséquences, nettement plus nocives, telles que la perturbation de l’ADN ou du système
nerveux, insomnie, tumeurs de cerveau et Alzheimer.'
Source: De Standaard du jeudi 5 février 2009 - Auteur: Yves Delepeleire
Le journal ‘De Standaard’ du 5 février a publié l’article ci-dessus. En effet, ces derniers temps
les médias nous ont servi nombre d’articles tous azimuts sur la problématique de radiation.
Vous trouverez la version intégrale de cet article sur le site du De Standaard.
Un reportage australien, the Wake up call nous relate les heurs et malheurs de deux hommes
qui sont persuadés que la tumeur au cerveau dont ils souffrent provient d’une utilisation
intensive et prolongée du GSM. Surtout le témoignage du Dr. Charlie Teo, neurochirurgien
nous laisse pensif : il s’inquiète fortement au vu du nombre croissant d’enfants présentant des
tumeurs malignes dans sa clinique.
Le Dr. Charlie Teo: Nous constatons une nette augmentation des tumeurs du cerveau. Il est
par conséquent impératif que nous assumions notre responsabilité concernant les causes
possibles et que nous mettions le grand public en garde en donnant un maximum de
renseignements.
Il faut cependant reconnaître qu’il n’y a toujours pas de preuve concluante et, en ce qui
concerne les dégâts à long terme, nous ne pouvons toujours pas nous prononcer avec
certitude. « Il est totalement injustifié d’avancer cela en guise de critique », dit également
Stefaan Van Gool, qui est oncologue-pédiatre à l’UZ Leuven.
Van Gool en Moshchalkov nous mettent en garde : Surtout les enfants, dont le cerveau est en
pleine croissance, doivent se méfier et faire attention ». Les rayons électromagnétiques
liquidifient le sang plus vite chez les enfants que chez les adultes. C’est du moins ce que
quelques écoles britanniques ont constaté. Après avoir installé internet sans fil, un grand
nombre d’enfants se mettaient à saigner du nez. Lorsque ces écoles passaient à nouveau à un
système avec fil, ce nombre décroissait de façon spectaculaire.'
Une série de plaintes provient en effet des radiations émises par le champ magnétique et bien
souvent on ne fait pas directement un lien entre les deux.
Résoudre le problème en cherchant une maison « sans ondes » n’est pas aisée. Surtout que les
opérateurs télécom veulent une (trop) bonne couverture pour leurs réseaux. Ils veulent offrir
un signal parfait, aussi à des endroits communément plus difficile à atteindre, ce qui explique
pourquoi les zones sans radiations deviennent de plus en plus une denrée rare.
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En tant qu’adultes, c’est nous qui décidons si et à quel fréquence nous utilisons notre GSM.
Notre société qui baigne, en effet, dans les rayons émis par GSM, UMTS, DECT et WIFI ne
nous offre pour ainsi dire pas la possibilité d’y échapper. Dans notre maison, qui est censée
être un réel havre de sécurité pour nous et nos enfants, nous devrions savoir nous protéger
contre ces rayons. Invisible ne signifie toutefois pas inexistant. Les mises en garde sont
protéiformes et multiples et, nous prônons l’adage : un homme prévenu en vaut deux. Nous
insistons en incitons pour que l’on passe à l’action. Comment ? Nous pouvons faire examiner
notre logement par un géobiologue qui mesurera une quarantaine de radiations et qui vous
proposera une solution sur mesure pour libérer votre maison des radiations pour que les
plaintes provenant des rayons dans le domicile disparaissent ou du moins s’atténuent.
N’hésitez pas à consulter les quelques 700 lettres de remerciement sur notre site web. En
guise de garantie nous laissons une ampoule résorbatrice sur place, nous contrôlons notre
assainissement après un mois et, si nécessaire, nous effectuons les adaptations nécessaires.
Ne tardez pas à lire le témoignage d’une jeune mère qui vous parlera des résultats obtenus
auprès du bébé et de sa famille après l’assainissement.
Pour plus d’info : www.domisan.be - 070/233.007 ou 02/356.32.82.
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