de l`ecume et de la profondeur

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de l`ecume et de la profondeur
Chronique de Politique Intérieure : C.P.I. N°91 :
Vendredi 29 MAI 2015,
Chers auditeurs de Radio-Silence,
INCIPIT PERMANENT :
La Politique Intérieure a pour but :
1)
De conformer le Territoire par des infrastructures adaptées aux besoins économiques et sociaux, comme aux nécessités de sa
défense, dans le respect de sa diversité et de la Nature de la Création.
2) De veiller au respect par tous, en tous lieux et en tout temps du DROIT FONDAMENTAL, condition de « l’état de droit », donc
du règne de la JUSTICE vraie, laquelle ne sort que très rarement des tribunaux "républicains". Ces structures faisant appliquer,
sur ordre, le droit de l’état totalitaire, devenu tyrannique, comme prévu par la Rhétorique de PLATON.
3) De conformer l’ensemble des comportements de tous et de chacun à la LOI NATURELLE en ce qu’elle donne et garantit la VIE
sur Terre, notamment par le respect des 10 commandements du décalogue dans l’une de leurs trois versions, éventuellement
consolidées.
4) L’EDUCATION NATIONALE sectaire, totalitaire, et depuis 2011 carrément dépravée, doit être supprimée. Les diplômes privés
attestent seuls de la transmission des milliers d’années de Savoirs et d’expériences authentiques dans tous les domaines. Cette
transmission doit être complète autant que faire se peut, selon les niveaux, à chaque génération suivante. L’Etat peut délivrer
des diplômes de contrôles publics des résultats dans un but de valorisation supplémentaire des titulaires, impétrants,
candidats, étudiants… Mais c'est tout !
5) De faire respecter, sur nos 11 millions de Km2 de territoire, la Chrétienté offrant au monde la plus belle civilisation, celle de la
France de CLOVIS et de LOUIS XIII, consacrée par eux au Sacré-Cœur de Jésus-Christ puis à la Sainte Vierge MARIE,
Sanctuaire de la Couronne d'épines en la Sainte-Chapelle de Paris et de toutes les reliques les plus précieuses de, et pour,
l'Humanité.
Je vais vous parler aujourd'hui :
« DE L'ECUME
ET DE LA PROFONDEUR QUADRIDIMENSIONNELLE DU MAL MONDIAL !… »
Do you have seen and heard on Wednesday morning 10:30 GMT the official speech delivered by Her Majesty
the QUEEN Elisabeth IId ? Si oui, vous mesurez pleinement l'écart entre l'anarchie républicaine installée en France
depuis 1789, et la société restée hiérarchisée et structurée en Angleterre, et plus encore dans tout le Royaume-Uni et
le Commonwealth. Sinon, voici un point de vue original :
BUCKINGHAM PALACE : une petite fille exécute une série de grimaces devant une haute statue en tunique
rouge, surmontée encore d'un haut bonnet à poils noirs (1), en vain. Comment une statue pourrait-elle réagir ? La
petite fille se lasse et part, désappointée... Le dressage à la très dure école de SANDHURST n'explique pas tout. Car la
"statue" à deux yeux bien vivants. Ils fixent le monde entier d'un regard apparemment vide... Ce qui donne cette
force tranquille, d'une parfaite impassibilité, à cet homme statufié vivant, c'est la certitude d'appartenir à un plan dont
son Colonel HRH Prince of Wales et héritier de la Couronne britannique garantit la continuité multiséculaire. Rien de ce
qui peut arriver en quelques minutes, heures, jours, mois, années, ne peut faire autre chose qu'à peine rider la
surface des siècles... Leur mémoire affiche notamment ce 18 Juin 1815, devenu jour de l'anniversaire officiel du
Souverain, et le "pas collé" suivi au défilé de "TROOPING THE COLORS" le confirme : le lion d'Angleterre domine le
monde quelle qu'en soit la vanité. L'agitation croissante de cette France républicaine de l'autre côté du Channel fait
rire intérieurement "la statue" dans des proportions telles que sa seule vision intérieure annihile extérieurement les
grimaces inutiles de la petite fille.
Et
puis, ce REFERENDUM en Irlande du Sud, républicaine elle aussi depuis ce traité accordé à Michael
COLLINS le 10 Juillet 1921 qui aboutit à la Constitution de 1922, quelle plaisanterie ! Tout le monde sur le continent,
et jusqu'en Asie, stigmatise la faiblesse de l'Eglise catholique irlandaise, sa compromission, très légèrement étayée
pourtant. Tout le monde se gausse et souligne la "victoire" du OUI à la modification constitutionnelle qui ouvre deux
voies : celle de la contradiction entre son Article 1er et son Article 41 d'une part et la possibilité civile républicaine du
divorce pour tous et du "mariage" de paires homosexuelles, d'autre part. Tout le monde, oui, principalement dans
cette France en cours de destruction savante par "les lions d'Or sur fond de gueule", où tous les Français croient que
l'Irlande civile domine le mariage. Ce qui est faux ! "La statue", bien mieux informée, le sait. Les mariages catholiques
continueront de ne pouvoir être célébrés qu'entre humains de sexes opposés donc complémentaires qui restent
encore indissolubles. Et ils constituent, de loin, la quasi-totalité des mariages célébrés en Irlande catholique, lesquels
n'ont aucunement besoin de passer en mairie auparavant comme en France maçonnique !... Ce REFERENDUM n'est
donc que l'écume d'une agitation menée de mains de maître depuis... Londres. Tous les "médias alternatifs" français
le voient mais n'en tirent pas la conclusion qui s'impose, comme sur les blogs :
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2015/05/23/feu-l-irlande-catholique-5627363.html
http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/
qui soulignent tous les deux, la brèche ouverte, certes réelle, puisque décidée pour affaiblir la république
irlandaise.
GOD BLESS THE QUEEN ! FOR EVER... Alors, dans 20 jours d'ici, je m'animerai - pense "la statue" -, et de
cet air assuré qui en impose depuis toujours au monde, le bras droit en cadence, je parcourrai, au "pas collé", le
bitume de LONDRES, sous le regard à son tour impassible de Sa Majesté très britannique. Tous deux, chacun au poste
que nous a assigné LA PROVIDENCE, nous savons jouer de l'agitation de l' "écume des jours" (2) pour mieux
dissimuler notre progression constante sur l'océan ridicule de ces "républiques" irresponsables, car téléguidées par le
Chef de l'Eglise anglicane via ses loges maçonniques, lesquelles infestent, vérolent, bouffent... comme des
macrophages, tout le tissu organique profond de ceux qui ont osé se rebeller à sa domination.
Et voilà pourquoi, tout en reconnaissant la lâcheté de l'Eglise catholique officielle et donc en privilégiant
l'Eglise traditionnelle, il faut garder nos critiques entre nous en évitant de faire le jeu de l'ennemi héréditaire. Ce n'est
pas facile ! Depuis l'affaire de la Reine Isabelle, et ses prolongements avec HENRY VI sacré à REIMS, puis le "Coup
d'Etat" de Charles VII avec son principal lieutenant : JEHANNE D'ARC, nous subissons les manipulations anglaises.
D'abord, elles abattirent la monarchie française en 1793 avant de détruire l'Empire français en 1815, en dernier lieu
avec la "décolonisation" que la charte des Nations-Unies impose à tous les territoires français d'Outre-Mer y compris
de la Nlle-Calédonie depuis 1947, obligation obtenue à la faveur de la guerre franco-allemande déclarée par le LION
britannique... Ne vous focalisez pas sur "l'écume des jours" ! Voyez le FOND des choses qui désigne l'ENNEMI, lequel
joue avec la pauvre Irlande comme un chat avec une souris, à partir de la base crochetée du Nord. Le blason de la
Couronne britannique comporte toujours la Lyre irlandaise... Croyez-vous vraiment que cela ne soit que "suranné"
comme le claironne le "Mainstream" médiatique maçonnique !?
LMDM
1) Source wikipédia :
Les unités de la Garde
L’infanterie de la Garde du souverain se compose de 5 régiments :
• Les Grenadier Guards sont issus du Régiment de Lord Wentworth, levé en 1656, chargé de la garde rapprochée du roi
Charles II alors en exil en Belgique. L’appellation actuelle date de 1877. C’est le premier régiment des gardes.
• Les Coldstream Guards, gardes anglais créés en 1661, sont issus du régiment levé par le général George Monck en 1659
dans la ville de Coldstream, à la frontière de l’Angleterre et de l’Ecosse. L’appellation actuelle date de 1855. C’est le
deuxième régiment des gardes.
• Les Scots Guards, gardes écossais, sont issus du Régiment Royal du Marquis d’Argyll levé en 1642. L’appellation
actuelle date de 1877. C’est le troisième régiment des gardes.
• Les Irish Guards, gardes irlandais, sont créés en 1900 en récompense de la bravoure des Irlandais pendant la deuxième
guerre des Boers en Afrique du Sud (du 9 octobre 1899 au 1er juin 1902). C’est le quatrième régiment des gardes.
• Les Welsh Guards ont été créés en 1915. C’est le cinquième régiment des gardes.
Les uniformes
Détachement du 1er bataillon du Welsh Guards lors du défilé du Jour de la Victoire 2010 à Moscou.
Leur célèbre uniforme comprend une tunique rouge et un bonnet noir en poil d’ours (poil d’ourse pour les officiers) adopté en
1831. Il est emprunté aux grenadiers à pieds de la Garde impériale de Napoléon 1er, vaincus à Waterloo en 1815 par le 1st Foot
Guards qui par la suite prit le nom de Grenadier Guards.
On différencie les gardes à la couleur de l’aigrette du bonnet, au nombre et à l’alignement des boutons, ainsi qu’aux insignes de
col et aux épaulettes :
• pour les Grenadier : plumet blanc à gauche et boutons à espaces réguliers (car 1er régiment à pieds),
• pour les Coldstream : plumet rouge à droite et boutons par 2 (car 2e régiment à pieds),
• pour les Ecossais : pas de plumet et boutons par 3 (car 3e régiment à pieds),
• pour les Irlandais : plumet bleu à droite et boutons par 4 (car 4e régiment à pieds),
• pour les Gallois : plumet vert et blanc à gauche et boutons par 5 (car 5e régiment à pieds).
Formation
De nos jours, l’Académie de Sandhurst, à la différence de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr, ne délivre pas de diplôme. Les
élèves-officiers doivent donc accomplir leurs études supérieures avant d’intégrer l’école sur concours niveau bac + 3
(recrutement direct). La formation de 44 semaines, sauf pour les médecins et les aumôniers, est suivie d’un passage en école
d’application.
Tous les officiers de l’armée de terre sont formés à Sandhurst mais les spécialistes (médecins, vétérinaires, aumôniers…) et ceux
de l’armée territoriale ne suivent qu’un cours de trois semaines car ils sont commissionnés (Short Commission) pour une durée
limitée et reconductible, à l’image des officiers sous-contrat de l’armée française. Les officiers sont affectés dans le régiment de
leur choix, en fin de scolarité, au regard de leur classement et de la tradition familiale.
Un officier britannique, à la différence d’un officier français, reste attaché à son régiment durant toute sa carrière et y accomplit
la totalité de son temps de service, sauf cas de détachement, dans le Special Air Service par exemple. Dans ce cas l’officier affiche
toujours l’insigne de son régiment sur les pattes de col de son uniforme et parfois sur le béret, comme ceux affectés chez les
parachutistes.
La plupart des officiers britanniques accomplissent une carrière dite courte, jusqu’au grade de commandant le plus souvent. Sauf
exception, à moins d’avoir suivi l’École de Guerre (le Joint Services Command and Staff College (en) JSCSC) de Shrivenham
(Oxfordshire), qui s’est substitué en 1997 aux écoles spécifiques aux différentes armes, un officier ne peut accéder au grade de
lieutenant-colonel.
Les colonels et les généraux de brigade peuvent ensuite suivre une formation au Collège interarmes de Défense (Royal College of
Defence Studies) qui a remplacé en 1927 le Collège Impérial de Défense (Imperial Defence College).
Plus exigeante physiquement qu'un centre de formation de marines américains, aussi tâtillonne sur le respect des traditions que
les universités d'Oxford ou de Cambridge, la Royal Military Academy Sandhurst coule les officiers de l'armée de terre dans un
moule uniforme. La discipline est austère, en particulier pendant les cinq premières semaines. L’élève ne peut pas sortir de
l’enceinte, n’a accès à aucun alcool et ne peut pas porter de vêtements civils. Lorsqu’il arrive en janvier, il amène avec lui sa
propre table à repasser et son cirage, mais une seule photo de sa famille.
Les parades des cadets de Sandhurst, véritables ballets militaires, sont célèbres par la perfection de leurs mouvements. C'est à
minuit, dans la nuit qui suit chacune des trois Sovereign's Parades1 annuelles, que les cadets deviennent enfin officiers.
Parmi les anciens élèves de l'Académie royale militaire de Sandhurst, on peut citer, entre autres, les rois Hussein de Jordanie et
Abdallah II de Jordanie, le grand-duc Henri et le grand-duc héritier Guillaume de Luxembourg, Sir Winston Churchill, les
princes William et Harry d'Angleterre, mais aussi l'historien Antony Beevor, l'acteur David Niven ou le chanteur James Blunt.
Le prince Harry d'Angleterre a été nommé sous-lieutenant (Cornet) des Blues (Royal Horse Guards) le 12 avril 2006.
Anciens professeurs de l’Académie
• François Jarry de Vrigny de La Villette (1733-1807)
Anciens élèves de l’Académie militaire
Catégorie associée : Élève de l'Académie royale militaire de Sandhurst.
• Louis Napoléon (1856-1879)
• Louis Conneau (1856-1930)
• Winston Churchill (1874-1965)
• Ian Fleming (1908-1964)
• Alexandre de Yougoslavie (né en 1945), prétendant au trône de Serbie2
• George Tupou V (1948-2012), Roi de Tonga3
• Tamim ben Hamad al-Thani (né en 1980), émir du Qatar
2) http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27%C3%89cume_des_jours