Élément étudié Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct
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Élément étudié Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct
INFO 384 « NON au 19 mars » VOICI quelques articles de presse ou de contributeurs retenus à votre attention : 1/ La ville de RIVET devenue MEFTAH à l’indépendance RIVET est une commune située à 41 km de son chef lieu BLIDA et à 26 km au Sud Est de la ville d'Alger. Relief et hydrologie RIVET, commune située à l'extrême nord-est de la région de Blida, est à une altitude avoisinant les 100 mètres au-dessus du niveau de la mer. L'Atlas blidéen traverse le Sud de la commune et son plus haut point culmine à 500 mètres environ. RIVET qui est située dans la région de la Mitidja possède une terre très riche qui lui permet d'exercer l'agriculture sous plusieurs formes, on y trouvait surtout des agrumes et des vignes. Climat RIVET possède un climat méditerranéen caractérisé par un été très sec et doux, et un hiver pluvieux et frais. Les précipitations se caractérisent souvent en averses accompagnées parfois de grêle (Surtout en hiver), et parfois il y a des chutes de neige. Etant traversé par l'Atlas blidéen, presque chaque année les monts et hauteurs sont recouverts d'une couverture neigeuse. Pendant l'été, le temps est beaucoup plus sec et chaud, avec de très rares orages, et caractérisé par de fortes chaleurs provoqués par des vents du sud ouest appelés sirocco. La température dépassant souvent les 40 degrés à l'ombre provoque des incendies sur les hauteurs. Relevé météorologique de RIVET Élément étudié Température minimale du mois °C Température moyenne du mois °C Température maximale du mois °C Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Année 3 3 6 8 11 15 17 19 14 11 9 7 9,1 8 9 11 18 20 28 32 32 27 21 18 12 13 15 18 22 24 31 35 38 30 23 23 16 23,4 Relevé météorologique de RIVET Élément étudié Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Année Température minimale du jour la + basse °C -11 -8 -5 3,8 3,8 9,4 13,4 13,8 11,6 7,2 -4 -10 -10 Température maximale du jour la + haute °C 24,4 30 28,8 37,2 41,2 44,6 41,1 47,2 44,4 37,7 32,4 29,1 48 Quantité de précipitation du mois mm 130 105 84 51 46 15 1 3 31 79 108 121 764 Risques naturels Incendies RIVET possède une flore variée que ce soit en plaines ou en hauteurs, et en été les risques d'incendies sont élevés puisque sur les hauteurs, on trouve une forêt couvrant une zone de plusieurs hectares sur l'Atlas blidéen, et qui est une zone en proie a des incendies Séismes Étant donné que la localité se situe dans le nord Algérien et plus précisément dans la région de Blida, la ville se trouve dans une zone sismique sensible. La ville est frappée rarement par des séismes de faible intensité, et le séisme le plus important a été celui du 21 Mai 2003 à Boumerdès (Rocher Noir) eu égard à la faille ZEMMOURI. HISTOIRE : Présence turque 1515-1830 Berbérie L’emplacement de RIVET était nommé BAKALEM à l'époque de l'empire Ottoman Présence française 1830-1962 Dès 1845, le comte Guyot, pour réaliser son programme de colonisation de la bordure de l'Atlas, avait projeté de créer ce centre entre le Fondouk et L'Arba, au lieu dit le Maraboutine, non loin de l' Haouch Khadra. Mais l'insuffisance de crédits pour l'acquisition des terres nécessaires à la constitution de son territoire retarda de onze ans sa naissance. On lui donna le nom de RIVET en l'honneur du Général mort à Sébastopol en Crimée (ndlr : Voir Chapitre 2 et lien : http://fr.wikisource.org/wiki/Devant_S%C3%A9bastopol_-_Souvenirs_de_la_guerre_de_Crim%C3%A9e [RIVET : Mission des Pères Blancs] Ce village destiné à quarante-trois familles comprenait un territoire de cinq cent quatre vingt dix hectares formés de terres fertiles et égayé par quelques belles plantations d'orangers. Les lots de jardin étaient irrigables. Les nouveaux colons furent choisis surtout parmi les Mahonnais et ne comptèrent que quelques familles françaises installées depuis un certain temps en Algérie : Camps, Coll, Gomila, Sintes, Moll, Pons, Lapalud, Piris etc. A la fin de 1856, RIVET était peuplé de cinquante habitants, douze maisons étaient déjà construites (les quatre premières constructions de maisons reçurent une prime : Pretus Michel deux cents francs, Camps Jean cent cinquante francs, Piris Mathilde soixante-quinze francs, Trouilloux Antoine soixante-quinze francs) et cinq en construction, quatre vingt-sept hectares étaient ensemencés. Pour assurer son alimentation en eau, l'Administration capta la source d'Aïn Amara et fit une dérivation de l'Oued Bakalem. L'année suivante, presque toutes les maisons du village étaient construites, cent trois hectares étaient cultivés et, à la fin de 1859, la population s'élevait à cent quatre-vingts personnes et trois cents hectares étaient en culture. La construction d'une route qui devait venir rejoindre celle de L'Arba à Maison-Carrée et mettre ainsi Rivet en communication directe avec Alger, allait contribuer encore au développement de ce centre. [RIVET : La rue principale] Par décret du 23 mars 1880, le village a été érigé en commune de plein exercice d'une superficie de sept mille cent quarante-cinq hectares. [Voilà à quoi elle ressemble la route de Rivet à Tablat !] [RIVET] [RIVET : La Poste] Le village de RIVET était desservi par la gare de l’oued SMAR à 10 km au Nord. Il existait aussi un service de courriers hippomobiles (corricolos) d’ALGER à RIVET par MAISON CARREE. En 1900 : (Source Edgard SCOTTI) -Maire : Monsieur François ARNAUD, -Adjoint : Monsieur Albin MOTHE, -Secrétaire : Monsieur Paul CASALONGA, -Receveur des contributions : Monsieur Georges AGUILAR, -Garde Champêtre : Monsieur Pierre POMMIER, -Médecin : Docteur Georges BENOIT, -Ecole mixte : Madame Veuve SAURIN, -Curé : Monsieur Jean CHAMBON, -Postes et Télégraphe : Monsieur Pierre VALLADE (facteur boitier), -Cafetiers : MM. MOLL et Pierre VILLALONGA, -Charron : Monsieur DOUIRIT -Distillateur : Monsieur FREDERICK, -Forgerons : MM. ARNAUX et Jean CAULAS, La plaine de RIVET était renommée pour ses cultures de tabac, pommes de terre, et ses vergers d’agrumes, orangers, mandariniers, clémentiniers. Terres très fertile, céréales, blé dur, blé tendre, maïs. Parmi les agriculteurs, citons : MM. BARBIER, Antoine COLL, Barthélémy COLL, Michel COLLET, Frédéric DAVID, François JOVER, Madame Vve MERCADAL, MM. Guillaume MOLL PONS Frères, Philippe PUJOL, REAL, Antonin ROBLES, François SINTES, Jean TRIAY, Pierre VILLALONGA, Thomas VILLALONGA, Un vignoble de 129 hectares, composé de cépages Carignan, Cinsaut, Alicante-Bouschet, donne un bon vin de coteaux. Parmi les viticulteurs, citons : MM. BARBIER, COLL, COLLET, DAVID, FAIVRE, Hippolyte comte Auguste d’HUMIERES, MOLL et TRIAY. Département : L'Algérie, officiellement française en 1848, fut partagée le 9 décembre de la même année en trois provinces, comprenant trois territoires militaires et trois territoires civils érigés en départements : Oran, Alger et Constantine, dont la loi du 24 décembre 1902 en fixe les limites jusqu'à la réforme territoriale de 1956. Le sud algérien ne fut pas départementalisé, et formait 6 territoires qui furent regroupés au sein des Territoires du Sud en 1902, leur nombre fut réduit à 4 en 1905. En 1941, les trois départements et les Territoires du Sud furent numérotés de 91 à 94, à la suite des départements français de métropole. En 1955, le département de Bône fut créé à partir du redécoupage du département de Constantine. o Le décret n 56-641 du 28 juin 1956, portant réorganisation territoriale de l'Algérie, créa huit nouveaux départements : le département d'Alger fut divisé en quatre départements, à savoir : o le nouveau département d'Alger, réduit aux deux arrondissements d'Alger et de Blida ; le département d'Orléansville, comprenant les arrondissements d'Orléansville, de Miliana ainsi que les deux nouveaux arrondissements de Ténès et de Teniet-el-Haad ; le département de Médéa, comprenant les arrondissements de Médéa, de Boghari et d'Aumale ; le département de Tizi-Ouzou, comprenant les arrondissements de Fort-National, Tizi-Ouzou, Bouira et Bordj-Menaiel, Le Sanatorium Avant Propos : Au début de la conquête, les médecins français ignoraient la tuberculose présente chez les locaux. En 1832, Maillot écrit : "Un cas de phtisie est une rareté pathologique". Cette opinion reprise et amplifiée par Broussais, fera partie du discours médical dominant jusqu’en 1890. On l’attribue au climat tempéré de la cote algérienne. Alger devient une station de cure climatique, à l’instar de la cote d’azur et de la Sicile. C’est à cette époque que datent les "cottages" construits sur les collines de Mustapha "supérieur", l’hôtel Saint Georges, l’hôtel Splendid réservés aux touristes et curistes anglais des classes aisées. Cette mode touche aussi d’autres catégories sociales : des pensions plus modestes sont ouvertes au niveau du chemin du Telemly et de l’avenue Debussy, tel l’hôtel pension Victoria, où Karl Marx séjourne de févier à mai 1882, envoyé par les médecins londoniens pour soigner une pleurésie purulente. En 1905, au Congrès International de la Tuberculose, Gillot et Grespin fournissent les preuves de la gravité du fléau. Le nombre et le taux des malades sont plus élevés dans les centres urbains que dans les zones rurales. La morbidité et la mortalité par tuberculose sont quatre fois plus élevées chez les "européens d’Algérie". Entre 1920 et 1948, les mêmes proportions sont retrouvées. Parmi les milliers de malades anonymes, certains sont célèbres, ainsi : L’écrivain Albert CAMUS Le futur président Mohamed BOUDIAF traité et opéré pour tuberculose en 1950 Le Sanatorium de RIVET : Situé au sommet du djebel Zerouala (438 m. d'alt.) le sanatorium de RIVET est le premier établissement de cet ordre en Algérie. Presque terminé en 1939, l'équipement se poursuivit au début de la guerre et, en 1942 il put être affecté aux blessés militaires. Rendu en 1945 à l'Association des Sanatoriums d'Algérie. L’inauguration par le Ministre plénipotentiaire Yves CHATAIGNEAU, Gouverneur général d’Algérie, a mis au premier plan de l’actualité les efforts de l’Algérie, d’alors, pour donner une impulsion décisive à la lutte contre la tuberculose. C'est pour étudier à fond la question que se crée après la Grande Guerre " L'Association ALGERIENNE CONTRE LA TUBERCULOSE " qui compte immédiatement parmi ses animateurs des représentants de la Faculté, des Hôpitaux, des philanthropes éclairés. Se tenant sur un terrain essentiellement pratique, l'Association soutient, dès ce moment, qu'un grand nombre de tuberculeux peuvent guérir en étant soignés en Algérie. Des études techniques sont réalisées dont le résultat est positif. "L'ASSOCIATION ALGERIENNE CONTRE LA TUBERCULOSE" entre alors dans la voie des réalisations. Pour y parvenir, elle fonde avec " L'INTERFEDERATION DES VICTIMES DE LA GUERRE " dont le Président est Mr Eugène-Lucien CANNEBOTIN une ASSOCIATION des SANATORIUMS d'ALGERIE dont le siège est 1 Bd de France à ALGER. L'établissement sera un hôpital sanatorium, organisme infiniment plus large, ce que le Professeur LFBON appellerait un hôpital auxiliaire spécialisé. Dans cette formation, une moitié des lits sera réservée aux tuberculeux de guerre, ainsi qu'aux veuves de guerre et aux pupilles de la Nation. Le choix du site, effectué par une commission technique se porte sur la forêt de Saint Ferdinand. Un avant-plan est dressé et en 1930 le Gouverneur Général Bordes pose la première pierre de l'établissement. Mais l'Association ne possède pas à cette époque l'argent nécessaire à la construction. Enfin, les Délégations Financières votent un crédit de 1 000 000 de francs alors que l'Office Nationale des Mutilés, sur intervention de Mr CANNEBOTIN, vote un crédit de 4 000 000 de francs. De généreux donateurs réunissent la somme de 1 300 000 francs. On est donc en mesure de commencer l'édification d'un premier établissement prévu pour 160 lits environ. Le Futur SANATORIUM DE RIVET se trouve, en bordure de la MITIDJA, au dessus du village de Rivet sur un terrain offert par Mr Alexandre VANONI. Jusqu'en 1962, le Sanatorium de Rivet n'a cessé de fonctionner et ses installations de subir de nombreuses améliorations. Soulignons à nouveau qu'il était en grande partie destiné aux populations indigènes et qu'avec la découverte de nouvelles thérapies la tuberculose était en très nette régression sinon en voie d'éradication. LA MITIDJA : (Source : http://alger-roi.fr/Alger/plaine_mitidja/textes/5_partie_2_plaine_mitidja_presentation_generale_geographique_bouchet.htm ) La MITIDJA est la plaine sublittorale la plus peuplée, plus que les plaines de BÔNE ou de la Sebkhra d’ORAN (aussi appelé plaine de MLETA sur les cartes). C’est certain, même s’il est difficile de trouver les chiffres précis et sûrs. Les recensements étant faits dans le cadre des communes, les populations comptabilisées habitent la plaine et la montagne, ou la plaine et le Sahel proches. Les chiffres qui suivent sont donc des estimations : mais suffisamment fiables pour se prêter à des calculs approximatifs de la croissance démographiques et de la densité. Evolution globale : Pour 1830 aucune estimation globale trouvée ; seulement le chiffre de BLIDA, unique et modeste agglomération de la Mitidja Turque. Après le séisme destructeur de 1825 il y serait resté 3 000 habitants sur 6 000. En 1842 environ 2 000 européens ; le nombre d’indigènes est inconnu. En 1856 environ 16 000 européens et peut-être autant d’indigènes, En 1861 environ 21 000 européens et 29 000 indigènes, En 1891 environ 37 000 européens et 38 000 indigènes, En 1901 environ 42 000 européens et 37 000 indigènes, En 1911 environ 44 000 européens et 58 000 indigènes, En 1926 environ 46 000 européens et 80 000 indigènes, En 1954 environ 42 000 européens et 187 000 indigènes, Ce qui fait une population totale passant de 32 000 peut-être en 1856 à 229 000 en 1954. A cette date les densités étaient donc : 32 pour les européens, 144 pour les indigènes, et 176 pour l’ensemble. Les Européens étaient répartis entre près de 40 centres de colonisation officielle et à peu près 400 fermes. C’est après 1918 que quelques colons ont commencé à quitter leur ferme pour rapprocher des villes de la côte. Le tropisme littoral des colons, qui fut général en Algérie, fut un peu plus tardif en Mitidja que dans le vrai bled de ‘‘l’intérieur’’. On ne disait pas l’intérieur pour parler de la Mitidja trop proche d’ALGER. Certains colons ont sans doute pu surveiller leur ferme tout en résidant en ville, comme jadis les dignitaires turcs surveillaient leur haouch. En quittant leurs terres pour Alger les colons, sans le savoir, rapprochaient leurs valises du port d’embarquement de l’exode de 1962. Les Musulmans étaient absents des centres de colonisation au tout début. Puis ils sont venus pour travailler sur les terres des colons au moment des gros travaux. Mais les troubles de 1839 ont ralenti, voir inversé le processus. Le mouvement de descente de la montagne vers la plaine a repris après 1842 au fur et à mesure des besoins des colons en main d’œuvre. Ce mouvement a été aidé par une décision surprenant de 1848 qui supprime l’impôt de l’ACHOUR (impôt coranique sur les récoltes) pour les indigènes travaillant pour des colons ? La main d’œuvre saisonnière est devenue permanente. Finalement les ouvriers sont restés et ont finalement fait venir leurs familles élargies aux cousins. La croissance ne dit pas linéaire : il y a entre 1891 et 1901 une stagnation inexpliquée ; même si l’on peut penser à un contrecoup de la crise du phylloxéra qui a, pour un temps, diminué les embauches. Après 1918 la croissance reprit et s’accéléra car au bilan des flux migratoires s’est ajouté l’excédent des naissances sur les décès. Peu à peu la population Musulmane submergeait une population européenne qui, elle diminuait en valeur absolue, s’effondrait en valeur relative et se concentrait dans les principaux centres, et pour RIVET : 599 Européens en 1901 soit en % 14,22 - En 1954 949 soit en % 7,07 Les Européens sont attirés par les villes ; soit qu’ils désertent les villages proches, soit qu’ils exercent d’autres métiers que ceux de l’agriculture. Cet exode rural est encore lent mais banal. Ainsi des centres (7) voient leur population européenne augmenter, avec des multiplications par 3 à Maison Carrée devenue banlieue d’Alger. Pour RIVET : 1,6 avec les usines Lafarge et le sanatorium du djebel Zerouala. Les origines des Non-Musulmans : On peut s’en faire une idée pas trop fausse grâce au guide FONTANA pour 1901 : Français : 26 000 environ, Espagnols : 11 000 environ, Italiens : 800 environ, Juifs : 1 200 environ, Divers : 3 500 environ. Les chiffres du recensement de 1954 ne font pas le distinguo des non européens (juifs compris) et Musulmans. Démographie : Année 1955 = 12.370 habitants Monuments aux Morts : Qu’est-il devenu ? Le relevé n°49.787 comporte 21 noms de soldats « MORT POUR LA FRANCE » au titre de la guerre 1914/18 et qui étaient inscrits sur le cénotaphe de RIVET, à savoir : ANTON Michel (Tué en 1914) – BOUCHERIT Djilali (1918) – BOUKARI Boualem (1915) – CADET René (1914) – CALATAYUD Diégo (1916) – CALATAYUD Dominique (1918) – CASTELLO François (1915) – CHARLES Joseph (1915) – CLOSIER Adolphe (1914) – DAMOUS Hamoud (1918) – GOMILA Barthélémy (1917) – HELIMI Larbi (1919) MECHERI Saïd (1918) – NADAL François (1916) – OUAIL Mostefa (1916) – PERES Eugène (1915) – PINCHAURET Henri (1914) – PONS Raphaël (1916) – SINTES Antoine ( 1915) – SINTES Jacques (1918) – SINTES Joseph (1915) - SYNTHESE réalisée grâce aux sites ci-dessous : ET si vous souhaitez en savoir plus sur RIVET, cliquez SVP au choix, sur l’un de ces liens : http://encyclopedie-afn.org/Rivet_-_Ville http://cesane.artillerie.asso.fr/Texte/DocumentsMemorial/2.56.Souvenirs_du_405_en_Algerie_%5B1%5D.pdf http://alger-roi.fr/Alger/rivet/textes/rivet_19siecle_gamt76.htm http://alger-roi.fr/Alger/documents_algeriens/synthese_1947/pages/social/4_social_sanatorium_rivet.htm http://algeriemonbeaupaysretrouve.olympe.in/aumale.htm http://www.vitaminedz.com/fr/blida/Meftah/14425/Photos/1.html http://www.memorialgenweb.org/~memorial2/html/fr/resultcommune.php?insee=00000&dpt=9352&idsource=49787&table=bp08http://etudescoloniales.canalblog.c om/archives/2006/08/27/2820799.html http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ahess_0395-2649_1965_num_20_6_421334 http://www.mekerra.fr/images/bilan-132-af/bilan-132-af.pdf Source et suite : Site de l'Amicale des Arbéens 2/ La Guerre de Crimée La guerre de Crimée oppose de 1853 à 1856 l'Empire russe à une coalition comprenant l’Empire ottoman, le Royaume-Uni, l'Empire français de Napoléon III et le royaume de Sardaigne. Relativement coûteuse en hommes, principalement à cause des maladies (comme le choléra) qui furent plus meurtrières que les combats, elle s'acheva par une défaite russe. Elle révéla une certaine inefficacité du commandement britannique et français : mauvaises conditions sanitaires, problèmes d'approvisionnement des corps expéditionnaires, généraux ayant été nommés par opportunisme politique plus qu'en fonction de leurs compétences. Par ailleurs elle montra que les Russes avaient sous-estimé la valeur des Turcs. [La Charge de la brigade légère, par Richard Caton Woodville Jr.] La France et la Grande Bretagne déclarent la guerre à la Russie en avril 1854. Rapidement les marines alliées prennent le pas sur la marine russe : elles bombardent Odessa, bloquent Constadt et prennent Bormarsund en août 1854. Pendant ce temps le corps expéditionnaire franco britannique débarque dans la presqu'île de Gallipoli en Thrace. En juin, la base d'opération de l'armée est transportée à Varna (Bulgarie) pour soutenir l'armée Turque en Silistrie. C'est dans cette situation que les armées souffrent d'une éprouvante épidémie de choléra qui décime ses régiments. Les opérations dans les Balkans ne sont pas décisives et les Alliés décident de porter la guerre sur le territoire Russe, en Crimée. Le 5 septembre, 56.000 hommes sont embarqués de Varna pour la plage du "vieux Fort" au sud d'Eupatoria. Le débarquement s'effectue sans problème et le 18 septembre l'armée se met en route vers Sébastopol. Le 20 septembre, les forces franco alliées battent l'armée russe à l'Alma, mais la poursuite est peu mordante, ce qui permet aux Russes de s'enfermer dans Sébastopol, ville puissament fortifiée. L'armée alliée n'atteint la ville que le 26 septembre et s'installe pour le siège après avoir repoussé à deux reprises l'armée russe de secours à Balaklava (25 octobre) puis à Inkermann (5 novembre). Le siège va immobiliser pendant plus d'une année le corps expéditionnaire des alliés, dans des conditions très difficiles en raison du rude climat, de la pauvreté du ravitaillement, mais surtout de la féroce resistance des russes. Au printemps 1855 les opérations d'assaut débutent : prise des ouvrages blanc et de la position du mamelon vert en juin, échec de l'assaut général du 18 juin, enfin, le 8 septembre assaut victorieux sur le fort de Malakoff et le petit redan qui fait succomber la position. Durant ce siège, les opérations périphériques n'ont pas cessé (prise de Kertch en mai, bataille de Traktir le 16 août, bataille de Kanghil en septembre et prise des forteresses de Kinburn et d'Otchakov à l'embouchure du Dniepr en octobre). La paix est finalement conclue en mars 1856, l'armée française y aura perdu 100.000 hommes, dont 60 % morts de maladie. Commémorations La guerre de Crimée est contemporaine des grands travaux du baron Haussmann à Paris. Aussi beaucoup de grands axes urbanistiques reçoivent-ils le nom de victoires de Crimée : le boulevard de Sébastopol, le pont de l'Alma avec sa fameuse statue du zouave, la commune de Malakoff dans les Hauts-de-Seine près de Vanves. L'église Saint-Nicolas de Sébastopol abrite le cimetière des militaires russes tombés pendant le conflit. Cette église, où se trouve l’icône de saint Théodore Ouchakov (vice-amiral, décédé en 1817 et saint protecteur de la marine russe), accueille encore aujourd'hui une cérémonie annuelle célébrée par l'amiral de la flotte russe de la mer Noire. De 1863 à 1865, en hommage aux victimes françaises du conflit, un mémorial sera construit près de Sébastopol, à l'emplacement du grand quartier-général du corps expéditionnaire français. Edifié sous la direction du capitaine du Génie Jules Bezard-Falgas (1824-1872), cet espace funéraire de 100 m de côté ceint d'un mur, était composé dans son centre d'un mausolée principal haut de 9,5 mètres où reposaient les cendres de 80 membres de l'Etat-major, accompagné de 17 monuments secondaires abritant les ossements des officiers et soldats. Sévèrement endommagé pendant la Deuxième Guerre mondiale, et laissé à l'abandon depuis lors, il sera rénové en 2004 par Le Souvenir français [Mémorial français de la guerre de Crimée - Sebastopol - Bâtiment principal - édifié sous la direction de Jules Bezard-Falgas] 3/ Algérie : "Travailler main dans la main avec des assassins, c'était insupportable" Sous le couvert de l'anonymat, un officier de la lutte antiterroriste se souvient de la guerre civile et critique une réconciliation à marche forcée. "Au début du terrorisme, en 1992, nous avions face à nous des vétérans de l'Afghanistan, rompus aux armes de guerre, au maniement des explosifs et aux techniques de guérilla. En revanche, nous-mêmes étions peu préparés, nous avons dû apprendre sur le terrain. L'Algérie étant sous embargo, nous ne disposions pas de moyens sophistiqués, mais nous n'en étions pas moins animés par la foi et la volonté de défendre le pays. "La guerre contre le terrorisme est sale. Parfois, dans le feu de l'action, nous n'avions pas le temps ou les moyens de faire des prisonniers. En face, les terroristes ne faisaient jamais de cadeau. Dans les maquis, en ville, dans les campagnes, partout, notre mission était de surveiller les groupes armés, de les déstabiliser, de les infiltrer, de les traquer, de les éliminer. Pour l'opération qui permit, en juillet 1998, de neutraliser Hocine Flicha, chef des GIA [Groupes islamiques armés] à Alger, nous étions 400 membres des forces spéciales à investir les forêts de Bouzaréah, où il s'était caché dans une grotte avec ses hommes. Nous les avons tous tués. L'élimination d'Antar Zouabri [alias Abou Talha], émir national des GIA, a nécessité six années de filature. Nous l'avons abattu le 8 février 2002 dans l'appartement de Boufarik où il se cachait . "À l'époque, le commandement militaire était soudé autour de la lutte contre le terrorisme. Quand des unités de combat rentraient à la caserne sans un élément, c'était un vrai drame. Après la grâce de janvier 2000, les chefs nous ont expliqué que les repentis devraient collaborer avec nous. Quand vous découvrez dans un douar une femme éventrée, des corps décapités, des bébés égorgés, des familles massacrées à la hache, il y a de quoi devenir fou. Nous étions d'accord pour la concorde civile de 1999 ; mais travailler main dans la main avec les terroristes, c'était insupportable. Nous pouvions accepter que ceux qui avaient tué, massacré, violé, soient graciés après avoir été jugés ; mais combattre aux côtés des assassins, c'était inadmissible…. Cliquez SVP sur ce lien pour lire la suite : http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2772p024.xml7/algerie-terrorisme-jihad-gia-temoignagealgerie-travailler-main-dans-la-main-avec-des-assassins-c-etait-insupportable.html Et aussi sur me même sujet : http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2772p024.xml10/terrorisme-jihad-merouane-azzi-lidd-algerie-terrorismemerouane-azzi-l-tat-algerien-a-gracie-des-gens-mais-n-a-enrichi-personne.html NDLR : Voila un aveu bien étonnant, peut-être d’un adepte de la repentance de la France…Il peut donc comprendre notre ressentiment face aux pires exactions que nous avons eu à subir! Comment pouvoir occulter El Halia, AIN ABID, etc… lors des massacres du 20 août 1955 dans le Constantinois. Comment oublier aussi les multiples victimes innocentes, horriblement massacrées dans les fermes isolées ; sans compter le terrorisme urbain tout au long des huit années de rébellion avec pour seul but recherché : la cristallisation de la haine entre les communautés. 4/ Après Bouteflika, c’est au tour de l’EN http://www.liberte-algerie.com/actualite/les-algeriens-se-font-soignes-par-des-francais-apres-bouteflika-c-est-au-tour-de-l-en-217117 Les algériens se font soigner par des français. L’équipe nationale algérienne de football a un nouveau médecin. Il s’agit d’Alain Simon, l'ancien docteur de l'équipe de France et du PSG. L’information a été publiée par plusieurs organes, ce samedi, dont le quotidien sportif « Compétition », et le site du quotidien français « Le Parisien ». Alain Simon remplacerait ainsi le président de la commission médicale de l’EN, le docteur Ali Yekdah. Le nouveau membre du staff de Halilhodzic devrait suivre les joueurs internationaux algériens au moins jusqu’au rendez-vous mondial. Cette nomination donne surtout une mauvaise image des médecins algériens. L’épisode du Val-De-Grâce est encore vivace dans les mémoires. Le fait que le président Bouteflika se fasse soigner en France avait suscité un tollé général. Il reste à savoir maintenant qui a signé le dossier médical du président-candidat déposé, le 03 mars dernier, au siège du Conseil constitutionnel. Dans le code électoral (article 136) il y est mentionné que dans le dossier de la demande de candidature, «un certificat médical délivré à l’intéressé par des médecins assermentés » doit être présenté. La nationalité algérienne n’est pas obligatoire dans ce cas. Le certificat médical pourrait donc être délivré par des médecins étrangers. A ce jour aucun nom n’a été « dévoilé ». 5/ Torture présumée au MAROC : un plaignant écrit à F.HOLLANDE Un boxeur qui a porté plainte en France contre un responsable marocain qu'il accuse de l'avoir torturé en 2010, réclame "une enquête approfondie, indépendante et impartiale" dans un courrier à François Hollande dont l'AFP a eu copie samedi. Cette procédure et deux autres plaintes précédentes pour complicité de torture visant Abdellatif Hammouchi, patron du contre-espionnage marocain, sont à l'origine d'une rarissime querelle diplomatique entre les deux alliés. Le Maroc avait notamment exprimé son vif courroux après que des policiers s'étaient rendus à la résidence de son ambassadeur pour notifier à Abdellatif Hammouchi --en visite à Paris-- une convocation d'un juge d'instruction. [L'ambassade du Maroc à Paris. © AFP] Dans sa longue lettre à François Hollande datée de vendredi, Zakaria Moumni, ancien champion de boxe thaïlandaise, qui dispose de la nationalité française, décrit les sévices dont il dit avoir été victime après son arrestation le 27 septembre 2010 à l'aéroport de Rabat. "Tout au long de ces quatre jours de tortures, ils n'ont cessé de me répéter: +Ici, c'est l'abattoir de Sa Majesté et, nous, on ne dépend ni du ministère de l'Intérieur, ni du ministère de la Justice. Nous, on travaille directement avec le roi. Et ça, c'est les ordres du roi+", écrit M. Moumni. "En réalité, le pouvoir marocain – le Palais royal pour être plus précis - m'a fait payer chèrement le fait d'avoir exprimé publiquement mes revendications et mes griefs à l’égard du Palais royal", poursuit le boxeur, qui explique qu'il réclamait en vain un poste au ministère de la Jeunesse et des Sports. Condamné à 30 mois de prison au terme d'un procès qualifié d'"inéquitable" par Human Rights Watch, il affirme avoir signé sous la torture les aveux selon lesquels il aurait soutiré à deux Marocains 1.200 euros, contre la promesse de leur trouver du travail en Europe. "Les responsables ne peuvent être traduits en justice"… Cliquez SVP sur ce lien pour lire la suite : http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20140308120756/diplomatie-maroc-torture-droits-de-l-hommedroits-de-l-homme-torture-presumee-au-maroc-un-plaignant-ecrit-a-francois-hollande.html 6/ Jumelage de Perpignan avec Mostaganem : 7 octobre 2011 date de signature du jumelage par les deux maires concernés : -Maire de PERPIGNAN : Monsieur Jean Marc PUJOL, -Maire de MOSTAGANEM : Monsieur Senouci BOKAHRI, Cliquez SVP sur ce lien : http://fa.payscatalan.free.fr/Villes/Mostaganem/CR%20JUMELAGE%20MOSTAGANEM%20PERPIGNAN.pdf 7/ YOUTUBE : Deux émissions à vous proposer : -Vérité étouffée au nom du politiquement correct (Source Monsieur Marc PARIS) Emission "C’est dans l'air" de la 5, on sort un tantinet de son enfumage quotidien.... Regardez bien la tête des autres intervenants et le sourire narquois de l'un d'entre eux. Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, quand on sort de la pensée unique… Cliquez SVP sur ce lien : http://www.youtube.com/watch?v=O3YARXjVD4M -Zemmour / Domenach : Ça se Dispute – YouTube (Source Mr Maurice GASTALDI) Ecoutez Zemmour répondre à Domenach : “ La guerre d’Algérie entre les gens de l’OAS et les gaullistes c’est un affrontement entre deux conceptions de la France, deux conceptions de l’honneur, deux conceptions de la gloire....... dans les gens de l’OAS il y avait beaucoup de résistants.... Tu ne peux pas comprendre !” Cliquez SVP sur ce lien : http://www.youtube.com/watch?v=fk7zn2WMq_4 8/ Sécurité à Marseille : le rapport secret qui déplaît à Manuel Valls Une récente étude, publiée puis retirée, tempère l’intérêt de "l'approche globale", nouveau dispositif de sécurité défendu par le gouvernement. [Manuel Valls en visite à Marseille le 27 janvier 2014. (BORIS HORVAT/POOL/AFP)] En réalisant une étude sur "l’approche globale", le chercheur et officier retraité Serge Supersac ne pensait pas que son travail ferait autant de vagues. Et finirait au fond d’un tiroir de la préfecture des Bouches-du-Rhône. "Ce rapport est aujourd’hui secret, regrette son auteur. On m’a demandé d’aller sur le terrain et de voir ce que les habitants pensaient de ce dispositif. J’ai répondu honnêtement. Je ne suis pas là pour flatter le préfet." Lancée en décembre 2012 par le préfet de police Jean-Paul Bonnetain, ce nouveau concept sécuritaire doit permettre de reconquérir trente-neuf cités marseillaises pour notamment y combattre le trafic de stupéfiants. La méthode qui consiste à intensifier l’action policière pendant plusieurs semaines pour ensuite faciliter le travail d’autres intervenants tels que les services sociaux, a dores et déjà été testée dans trente-trois ensembles. De quoi en tirer un premier bilan. C’est ainsi qu’en octobre 2013, le préfet de police décide de missionner Serge Supersac pour observer l’impact de “l’approche globale” sur la population à l’échelle d’un quartier, celui de Frais Vallon, situé dans le 13e arrondissement. Mais voilà que ses conclusions, rendues le 20 décembre, remettent en question la "réussite" de ce dispositif, pourtant jugé "innovant" et "spécifique" par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, lors de sa dernière visite à Marseille. Un rapport publié puis retiré Serge Supersac a ainsi pu constater, sur le terrain, l’adaptation quasi-instantanée du réseau [de drogue] au nouveau système de surveillance". "C’est au mieux la suspension momentanée de la vente ou au pire le déport de l’activité qui se réalise", écrit le chercheur. Pire, il observe que "la pression qui peut s’exercer sur les habitants peut être consécutive à l’action des forces de sécurité" car c’est le moment où "les membres du réseau deviennent nerveux et où les habitants peuvent pâtir du point de ‘deal'”. L’ancien officier raconte alors comment, après l’incarcération d’un gérant, son remplaçant a diminué le nombre de guetteurs pour faire des économies et décidé de verrouiller les portes des escaliers, mettant ainsi en danger la vie des locataires, en cas de sinistre. Le rapport, posté en janvier sur le site de l’ORDCS, a finalement dû être retiré il y a deux semaines suite à un appel de la préfecture. Contactée par la rédaction, l’institution remet en question l’objectivité de Serge Supersac. "L’étude produite comportait essentiellement son propre avis sur la façon d’organiser la police marseillaise, et quasiment pas d’éléments objectifs, chiffrés et argumentés sur l’impact de l’approche globale auprès des résidents de ce quartier", répondent les services de la préfecture qui ont, d’ailleurs, décidé de commander un second travail d’évaluation, réalisé, cette fois-ci, "par une ou plusieurs entités neutres et complètement extérieures au périmètre policier". "Les CRS ne servent à rien"… Cliquez SVP sur ce lien pour lire la suite : http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140306.OBS8672/securite-a-marseille-le-rapport-secretqui-deplait-a-manuel-valls.html EPILOGUE MEFTAH Année 2008 = 64.978 Habitants Mouvements de protestation à Meftah http://www.elwatan.com/regions/centre/blida/mouvements-de-protestation-a-meftah-15-12-2013-238556_150.php Face à des conditions de vie lamentables, plusieurs citoyens du douar Dhouieb rattaché à la commune de Meftah (Est de Blida), se disent décidés à mener régulièrement leur mouvement de protestation jusqu’à la satisfaction de leurs revendications ayant trait à l’amélioration des conditions de vie dans leur mechta. Ces «indignés» réclament des programmes des services publics pour leur quartier démuni de presque tout (routes, gaz de ville, eau potable et de bien d’autres commodités). Samedi et dimanche derniers, ils ont bloqué le CW 118 reliant Meftah à Alger et l’échangeur de la rocade reliant Tipasa à Boumerdès. Ils ont eu recours aux pneus enflammés, aux grosses pierres et ce même scénario risque de se répéter. A cause de la fermeture des routes, plusieurs travailleurs et étudiants n’ont pu rejoindre leurs lieux de travail et d’études la semaine dernière. En dépit de promesses des autorités locales présentes sur les lieux pour les raisonner, les habitants de cette localité ont fait la sourde oreille en réclamant des actions concrètes. BONNE JOURNEE A TOUS Jean-Claude Rosso