Trade Union NGO (TUNGO)

APA 1-2/COP22
APA Opening (not sure we’ll have the floor)
Trade Union NGO (TUNGO)
Thank you Chair
My name is xxxxx, and I work for xxxx
There are no jobs on a dead planet. This has been the rallying
motto of the trade union movement for the past years, and it will
remain our inspiration during this COP. No worker will have its
future and aspirations to dignity at work secured if action is not
taken to tackle climate change now.
We, trade unions from all over the world are here in Marrakech
because we see how everything we care for –social justice,
rights, jobs- is at risk due to climate change; but we are also here
because the solution to the problem is also in our hands: we must
transform the world of work, and we must do it with all those who
produce, build, drive, teach, heal, write; the workers, all of us.
Trade unions expect the APA to deliver on the Paris mandate by:
- Securing a mechanism that will increase ambition overtime: as
only with stronger commitments governments will grow cleaner
and better jobs. Transparent, participatory and solid modalities
for the stocktake are key in this regard.
- Agreeing on comparable contents for national contributions,
and calling on Parties to incorporate their actions in favour of
addressing the climate/employment link, as we know that today,
millions are involved in economic activities which need to change
if we are to reduce emissions; these people can not be left
behind. Governments must secure their livelihoods and
opportunities, and this starts by a commitment in Paris
President,
Trade unions are more mobilised than ever on climate change,
but this is just the beginning. Everything still needs to be done
on the ground, where our members are. We therefore ask
governments to remain attentive to their citizens and consolidate
the dialogue we need to change our system, and not our climate.
APA 1-2/COP22
Ouverture APA (prise de parole non garantie)
Groupe des syndicats et travailleurs (TUNGO)
Merci Monsieur/Madame le Président,
Mon nom est … et je représente le groupe des syndicats et
travailleurs.
« Il n’y a pas d’emplois sur une planète morte ». Cela a été le cri
de ralliement du mouvement syndical ces dernières années, et il
nous inspirera encore durant cette COP. Aucun travailleur ne
verra son avenir et ses aspirations à un travail digne garanti, si
l’action pour affronter le changement climatique n’est prise dès
maintenant.
Nous, les syndicats sommes venus du monde entier ici à
Marrakech, parce que nous mesurons à quel point les sujets
importants pour nous – la justice sociale, les droits et les
emplois, sont en danger à cause du changement climatique,
mais aussi parce que la solution est entre nos mains. Nous
devons transformer le monde du travail, et nous devons le faire
avec celles et ceux qui produisent, construisent, dirigent,
enseignent et soignent : les travailleuses et les travailleurs,
toutes et tous.
Les syndicats attendent de l’APA qu’elle réalise le mandat de
Paris en :
- Garantissant un mécanisme pour accroître l’ambition sur la
durée, puisque c’est seulement avec des engagements
plus forts que les gouvernements développeront de
meilleurs emplois ;
- S’accordant sur des éléments comparables pour les
contributions nationales, et en appelant les Parties à inclure
des actions favorisant la prise en compte du lien
climat/emploi, puisque nous savons qu’aujourd’hui encore
des millions sont engagés dans des activités économiques
qui doivent changer si nous voulons réduire les émissions.
Celles et ceux qui sont concernés ne peuvent être laissés
pour compte. Les gouvernements doivent leur garantir
leurs moyens d’existence et des opportunités, et cela
commence par un engagement ici à Marrakech.
- Monsieur/ Madame le Président, les syndicats sont plus
mobilisés que jamais contre le changement climatique,
mais ce n’est qu’un début. Tout doit encore être fait sur le
terrain, où se trouvent nos membres. C’est pourquoi nous
demandons aux gouvernements de rester attentifs à leurs
citoyens, et de consolider le dialogue dont nous avons
besoin pour changer notre système et non notre climat.