Fabricant de compositions florales - Institut National des Métiers d`Art

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Fabricant de compositions florales - Institut National des Métiers d`Art
Charpentier
Les métiers liés
à l'architecture
Ardoisier
Briquetier
Chaumier
Couvreur : fabricant et
restaurateur de toitures
spéciales
Couvreur ornemaniste
Escaliéteur
Fabricant de girouettes et
d’éléments de faîtage
Fabricant et restaurateur
de charpentes
Charpentier de marine
Fabricant et restaurateur
de dallages
Fabricant et restaurateur
de toitures
Lauzier
Maçon
Maître-âtrier
Menuisier
Métallier-serrurier
Parqueteur
Paveur-dalleur
Charpentier
Métier
Jusqu’au XIVe siècle, le terme de « carpenta » désignait celui qui travaillait le bois avec des
outils. Il regroupait plusieurs catégories : charrons, tonneliers et plus particulièrement les
charpentiers et les menuisiers. A partir de la deuxième moitié du XVe siècle l’évolution des
constructions nécessite l’intervention d’artisans ayant des compétences de plus en plus
pointues. Le charpentier va devenir un ouvrier spécialisé indispensable.
Le charpentier constructeur bois conçoit et construit les structures qui constituent l’ossature
principale d’ouvrages en bois. Les ossatures serviront de support aux menuiseries et aux
couvertures du bâtiment. Il est chargé de la construction (taille) et de la mise en place
(levage) ou de l’entretien des charpentes. Il intervient sur un grand nombre de
constructions : maisons à ossature bois, bâtiments industriels, hangars… et restaure
également des charpentes anciennes. Il peut aussi être appelé à poser certains revêtements
intérieurs ou extérieurs : escaliers, étaiements, planchers, passerelles… Le charpentier doit
choisir les matériaux en tenant compte de leur résistance car la charpente subit des charges.
Elles sont permanentes (poids de la charpente elle-même et des cloisons) ou temporaires
(poids de la neige, action du vent, séismes ou dilatations thermiques). L’inclinaison de la
pente de la toiture doit permettre l’écoulement des eaux, elle varie en fonction des régions.
Pour respecter tous ces critères, le charpentier doit comprendre comment s’équilibrent les
forces par le choix des essences, le façonnage des poutres, leur assemblage et la mise en
œuvre de l’ensemble. Il doit tenir compte de paramètres liés aux fonctionnalités mêmes de la
charpente : isolante, résistante, stable, protectrice, esthétique.
Il existe deux types de charpentes : la charpente traditionnelle et la charpente industrielle.
La charpente traditionnelle est composée d’éléments de bois à section rectangulaire
assemblés entre eux par des tenons et des mortaises (le tenon est une partie saillante,
destinée à s’ajuster dans une partie creuse correspondante la mortaise). Les fermes
(ensemble de pièces de bois composant une structure triangulaire) sont utilisées en charpente
traditionnelle, elles peuvent être simples ou à entrait retroussé et permettent
l’aménagement des combles.
La charpente industrielle se caractérise par l’utilisation de fermettes, ensemble de pièces de
bois de faible section assemblées avec des connecteurs métalliques, de façon à supporter une
structure porteuse. Ce type de charpente est fabriqué en série et en usine.
Les essences de bois utilisées sont le chêne, le châtaignier, l’épicéa, le pin, le sapin, le
peuplier tremble et le mélèze. L’utilisation du lamellé collé (élément constitué de lamelles
de bois dont le fil est généralement parallèle), se prête à la réalisation de structures de
grandes portées et à des formes architecturales complexes. Les charpentes sont aussi
réalisées en acier ou en béton.
Une charpente traditionnelle est essentiellement constituée de fermes, de pannes et de
chevrons.
La ferme constitue l’élément essentiel d’une toiture, elle est de forme triangulaire. C’est un
assemblage de pièces de bois (principalement l’entrait, les arbalétriers et le poinçon) qui
remplace le mur de refend (mur porteur généralement placé à la verticale de la faîtière du
toit ou de tout appui verticale de la charpente), et a l’avantage de porter uniquement sur les
murs latéraux sans appui au sol. L’entrait est la pièce horizontale qui constitue la base du
triangle, elle a pour unique fonction de tenir l’écartement des arbalétriers (pièces inclinées
en fonction de la pente du comble). Les deux arbalétriers et l’entrait forme un triangle,
complété en son centre par une pièce verticale : le poinçon.
Les arbalétriers supportent les pannes (éléments de liaison horizontaux entre les fermes). En
fonction de leur position dans la charpente, les pannes prennent un nom particulier : la
panne faîtière est située au sommet de la charpente et la panne sablière est située en bas
de la charpente. Les pannes situées entre les deux sont dites pannes intermédiaires. Les
chevrons prennent place sur les pannes dans le sens de la pente et sont les éléments sur
lesquels le couvreur fixe le support le mieux adapté au matériau de couverture.
Les différentes pièces de la charpente sont reliées entre elles par des assemblages qui varient
selon les forces exercées. Le principal de ces assemblages est celui dit « à tenon et
mortaise ».
A partir des plans fournis par l’architecte ou le bureau d’études, le charpentier dessine le
tracé grandeur nature au sol, appelé également épure. Aujourd’hui, il s’aide de logiciels de
calcul et de dessin.
Ensuite, il choisit le bois et applique sur chaque pièce une marque de charpente qui désignera
son emplacement dans l’ouvrage. Puis, il effectue le traçage des repères pour procéder aux
coupes des éléments à l’aide parfois de machines à commandes numériques. Les machines
peuvent être fixes : machines de sciage, machines de rabotage (dégauchisseuses et
raboteuses), machines de mouluration, ou portatives : scies (circulaires, à ruban,
tronçonneuses), raboteuses, mortaiseuses, perceuses et machines à clouage mécanique.
Une fois toutes les pièces prêtes, un essai de montage au sol est réalisé en atelier. A l’issue de
cette phase, une équipe sur le chantier assure la fixation des éléments de la charpente à
l’aide de machines et d’outils de levage perfectionnés. Le problème du levage doit être pensé
en amont dès la conception de l’ouvrage car il peut influencer la réalisation.
Pour la restauration d’une charpente, les interventions doivent être mesurées et adaptées au
problème rencontré. Il n’est pas toujours utile de la refaire intégralement, une consolidation
ponctuelle peut souvent suffire.
Le principal ennemi du bois est l’humidité, elle favorise la venue des insectes et des
champignons sous forme de pourritures. C’est la détérioration prématurée des bois qui
entraîne la déformation de l’ensemble charpente couverture. C’est pourquoi il est nécessaire
d’entretenir régulièrement la charpente. De manière préventive, il faut veiller à supprimer
toute source d’humidité anormale comme les infiltrations et aussi créer une bonne
ventilation. Il faut aussi sonder le bois et le traiter. Lorsque le bois est contaminé, une
intervention curative s’impose : les parties vermoulues sont éliminées et le bois est traité par
injection. Souvent les pièces défectueuses sont consolidées ou le cas échéant remplacées par
du bois neuf.
Formations
Formation initiale
Niveau V (Niveau équivalent au brevet d'études professionnelles - BEP, au certificat d'aptitude
professionnelle - CAP)
CAP bois et matériaux associés, 2 ans.
CAP charpentier, 2 ans.
CAP constructeur bois, 2 ans.
Niveau IV (Niveau équivalent au Bac, au bac technologique, au brevet de technicien - BT, au
brevet des métiers d'art - BMA, au bac professionnel - Bac Pro)
BAC pro technicien constructeur bois, 2 ans.
BAC technologique STI spécialité génie mécanique option bois et matériaux associés, 2 ans.
BP charpentier, 2 ans.
Niveau III (Niveau équivalent au Bac + 2, au brevet de technicien supérieur - BTS, au diplôme des
métiers d’art - DMA)
BTS charpente couverture, 2 ans.
BTS systèmes constructifs bois et habitat, 2 ans.
Niveau II (Niveau équivalent à la licence, à la maîtrise, au diplôme supérieur des arts
appliqués – DSAA, au diplôme national supérieur d’expression plastique – DNSEP)
Licence professionnelle chargé de projets en construction bois, 1 an.
Licence professionnelle bâtiment et construction, option bois et construction (Bordeaux 1), 1
an.
Licence professionnelle bâtiment et construction, option conduite de projet du bâtiment
(spécialisation ouvrages en montagne IUT Grenoble 1), 1 an.
Formation professionnelle continue
Certains diplômes peuvent se préparer dans le cadre de la formation professionnelle continue
auprès de quelques GRETA et des Compagnons du devoir. Les centres AFPA proposent des titres
professionnels : « charpentier poseur bois » et « couverture traditionnelle pour charpentier
bois » de niveau V et « technicien métreur en charpente bois et couverture » de niveau IV. La
filière artisanale propose aux professionnels l’acquisition du Brevet de maîtrise (BM) de
niveau IV. Les AREF (Associations régionales pour la formation continue dans le BTP)
organisent des actions de formation continue dans ce secteur.

Sur le site http://www.onisep.fr, consultez la liste des établissements qui proposent les
formations de la filière bâtiment.

Retrouvez toutes les adresses des organismes de formations initiales et professionnelles
continues dans les métiers d’art en consultant notre base de données sur notre site Internet :
http://www.institut-metiersdart.org/

Retrouvez le schéma des formations aux métiers d’art sur notre site Internet :
http://www.institut-metiersdart.org/

Sur le site http://www.moveart.org/, retrouvez toutes les adresses des centres de
formations en Europe.
Environnement
Le charpentier est salarié dans des entreprises industrielles ou artisanales, ou artisan à son
compte. Il faut toutefois tenir compte d’une mise de fonds élevée en raison du coût des
machines. Il peut travailler pour des bureaux d’études d’architectes, des chantiers liés à la
construction du neuf, ainsi que pour l’entretien et la réhabilitation.
En 2004, le nombre d’entreprises artisanales pour les travaux de charpente s’élevaient à
5 725. Les entreprises de 1 à 5 salariés représentaient 60% du secteur (Source : CAPEB).
Le salaire d’un débutant s’élève à environ 1 400 € brut par mois. La profession offre des
perspectives et recherche de jeunes qualifiés. Après quelques années de pratique et avec le
sens du contact et des qualités d’organisation, il peut devenir chef d’équipe et prétendre à
un salaire d’environ 1 800 €.
Depuis une vingtaine d’années, les procédés de charpente légère et industrielle se
développent, tel que le lamellé collé où la France s’illustre au deuxième rang sur le plan
européen. La charpente traditionnelle conserve une large part du marché mais elle est
réservée à la construction « standing » et à la réhabilitation.
Organismes professionnels
Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB),
Union nationale artisanale (UNA) Charpente, menuiserie, agencement, 2, rue Béranger, 75140
Paris Cedex 03.
Tél. : 01 53 60 50 00. Fax : 01 45 82 49 10.
[email protected]
http://www.capeb.fr
Cet organisme rassemble 100 000 entreprises artisanales adhérentes du bâtiment. La CAPEB
intervient sur le plan administratif, juridique et fiscal, informe et facilite l’accès aux
marchés. Elle organise des journées d’étude et de formation, édite la revue « Bâtiment
artisanal ». La CAPEB possède une bibliothèque comprenant des ouvrages techniques sur tous
les corps de métiers du bâtiment, son accès est réservé uniquement à ses adhérents.
Fédération française du bâtiment charpente, menuiserie et parquets (FFBCMP),
7-9, rue de La Pérouse 75016 Paris.
Tél. : 01 40 69 57 40. Fax : 01 40 69 57 41.
[email protected]
http://www.cmp.ffbatiment.fr
Elle a pour mission de représenter la profession dans les différentes instances nationales et
européennes, dans les domaines de la prévention-sécurité, dans la définition des normes
techniques, l’actualisation et la rénovation des diplômes et d’une manière générale,
d’assurer la défense et la promotion du métier, des hommes et de leur savoir-faire.
L’union regroupe les entreprises de charpente, menuiserie et parquet, représentant environ
4 500 entreprises, toutes adhérentes à la Fédération française du bâtiment.
Groupement français des entreprises de restauration de monuments historiques (GMH),
7, rue La Pérouse, 75784 Paris Cedex 16.
Tél. : 01 40 69 51 68. Fax : 01 47 20 06 62.
[email protected]
http://www.groupement-mh.org
Instance nationale représentative qui assure notamment la liaison entre les professionnels de
la restauration de monuments historiques et du patrimoine ancien avec leurs donneurs
d’ouvrages : direction de l’architecture et du patrimoine du Ministère de la Culture, DRAC,
collectivités locales, propriétaires privés, associations…
Qualibat,
55, avenue Kléber, 75784 Paris Cedex 16.
Tél. : 01 47 04 26 01.
[email protected]
http://www.qualibat.com
Organisme professionnel de qualification et de certification du bâtiment qui a mis en place
une nomenclature détaillée par activité et niveau de technicité.
Salons et manifestations
Maison bois à Angers,
Annuel, octobre,
Atlanbois, 16, quai Ernest Renaud, BP 70515, 44105 Nantes Cedex 4.
Tél. : 02 40 73 73 30. Fax : 02 40 73 03 01.
[email protected]
http://www.salon-maison-bois.com
Salon autour de la construction bois et du bois dans la construction. Parmi les exposants, les
charpentiers et parqueteurs sont présents. Cycle de conférences. Ouvert aux professionnels
et au grand public.
Les Coulisses du bâtiment,
Annuel, octobre,
Fédération française du bâtiment (FFB), 33, avenue Kléber, 75784 Paris Cedex 16.
Tél. : 01 40 69 51 00. Fax : 01 47 23 58 77.
http://www.ffbatiment.fr
A l’initiative de la Fédération française du bâtiment, plusieurs centaines de chantiers de
constructions neuves ou de réhabilitation sont ouverts au public dans toute la France. Les
visiteurs peuvent ainsi assister à des démonstrations par des professionnels des métiers du
bâtiment et profiter d’explications techniques sur la conduite de travaux.
Salon international du patrimoine culturel à Paris,
Annuel, novembre,
Atelier d’Art de France – Anne-Victoire de Saint Phalle, responsable communication, 6, rue
Jadin, 75017 Paris.
Tél. : 01 44 01 08 30.
http://www.patrimoineculturel.com
Plus particulièrement consacré à l'origine aux restaurateurs, le salon du patrimoine culturel
s'est progressivement ouvert à tous les acteurs de la conservation, de la restauration et de la
mise en valeur du patrimoine mobilier et immobilier. Salon tout public.
Vivons bois à Bordeaux,
Annuel, novembre,
Congrès et expositions de Bordeaux, BP 55, 33030 Bordeaux Cedex.
Tél. : 05 56 11 99 00. Fax : 05 56 11 99 99.
[email protected]
http://www.vivonsbois.com
Ce salon se positionne comme le carrefour des professionnels de la filière de la construction
bois. Parmi les exposants sont présents des charpentiers et des pôles de formation. Des
journées professionnelles et des cycles de conférences sont proposés.
Ouvert aux professionnels et au grand public.
Batimat à Paris,
Biennal (années impaires), novembre,
Reed expositions France, 52-54, quai de Dion-Bouton, CS 80001, 92806 Puteaux Cedex.
Tél. : 01 47 56 50 00. Fax : 01 47 56 14 40.
[email protected]
http://www.batimat.com
Carrefour international de la construction qui regroupe des professionnels du bâtiment, des
fournisseurs de matériaux et matériels et autres métiers du gros œuvre, de la décoration et de la
finition. Salon professionnel.
Expobois à Villepinte,
Biennal (années paires), février,
Comexposium, 70, avenue du Général de Gaulle, 92058 Paris La Défense Cedex.
Tél. : 01 49 68 56 68. Fax : 01 49 68 54 49.
[email protected]
http://www.expobois.net
Ce salon regroupe plus de 500 exposants de l’ensemble de la filière bois. Il présente la
première transformation du bois (exploitants, scieries, négociants) et la deuxième
(menuisiers, cuisines, panneaux), des machines de levage à l’outillage artisanal. Il s’adresse
avant tout aux professionnels, industriels et artisans.
Concours
Olympiades des métiers,
WorldSkills France – Comité français des Olympiades des métiers (COFOM)
7, rue d'Argout - 75002 Paris
Tél : 01 40 28 18 58
[email protected]
http://www.worldskills-france.org
Les Olympiades des Métiers ont pour vocation de faire concourir de jeunes professionnels de
18 à 23 ans, apprentis, compagnons, élèves de lycées professionnels, stagiaires ou salariés. Ce
concours permet aux meilleurs jeunes du monde entier de se mesurer lors d’une compétition
internationale, organisée sur un même site, donnant ainsi une vision complète des métiers et
des compétences d’aujourd’hui dans tous les secteurs de l’économie. Organisées tous les 2
ans dans un pays du monde, les Olympiades des métiers se déroulent en 3 temps : les
sélections régionales, les finales nationales et la compétition mondiale.
Concours Un des Meilleurs Ouvriers de France,
Société des Meilleurs Ouvriers de France, 16, rue Saint-Nicolas, 75012 Paris.
Tél. : 01 43 42 33 02. Fax : 01 43 42 20 41.
[email protected]
http://www.meilleursouvriersdefrance.info
Concours conduisant à l’attribution du diplôme d’Etat « Un des meilleurs ouvriers de France »,
homologué au niveau III de la nomenclature interministérielle des niveaux de formation. Il
atteste l’acquisition d’une haute qualification dans l’exercice d’une activité professionnelle
dans les domaines de la restauration, de l’hôtellerie, de l’alimentation, du bâtiment, de
l’habitation, des structures métalliques, de l’industrie, de la terre et du verre, du vêtement,
de la bijouterie, des techniques de précisions, de la gravure, de la communication, de la
musique, des animaux, de l’agriculture, du commerce et des services. Organisé tous les trois
ans, les candidats aux épreuves de l’examen doivent avoir 23 ans minimum. Le concours est
ouvert à 138 métiers répartis en 19 groupes. Une exposition des œuvres des lauréats est
organisée par le comité.
Prix Avenir Métiers d’Art - INMA,
Annuel, remise de prix : date variable.
Remise des dossiers : 31 mai de l’année en cours.
Institut National des Métiers d’Art - 23, Avenue Daumesnil, 75012 Paris.
Tél. : 01 55 78 85 85. Fax : 01 55 78 86 17.
[email protected]
http://www.institut-metiersdart.org
Les Prix Avenir Métiers d’Art – INMA, en partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD, sont destinés à mettre en valeur de jeunes talents futurs acteurs de la vie
économique dans ces métiers d'excellence.
Ils ont pour objectif d'encourager et de valoriser les savoir-faire spécifiques aux métiers d'art
à travers les œuvres réalisées par les élèves de lycées professionnels, d’écoles techniques, les
jeunes en formation en alternance et les étudiants des écoles d'art, de niveau V, IV et III.
Le 1er Prix de chaque région et de chaque niveau recevra de l’INMA un chèque d’une valeur de
250€ ainsi qu’un diplôme. Les lauréats régionaux bénéficieront également des avantages du
CLUB Avenir Métiers d’Art, grâce au partenariat avec la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD : séjour de deux jours à paris, rencontres avec des professionnels, visite de musées,
ateliers, etc. et exposition de leurs œuvres à Paris, en vue du prix national. Les 1ers Prix
nationaux recevront 750€ ainsi qu’une bourse de 6000€ de la Fondation Michelle et Antoine
RIBOUD. Les deuxièmes Prix nationaux seront dotés d’une somme de 450€ et les troisièmes
d’une somme de 300€. Ces dotations seront complétées par un diplôme et un appui en termes
de communication et de promotion.
Sources d’information
Organisme
Institut de la charpente et de la construction bois (ICCB),
3, Boulevard Marc Leclerc, 49100 Angers.
Tél. : 02 41 88 64 97. Fax : 02 41 88 64 54.
[email protected]
http://www.institut-charpente.com/
Cet institut appartient au réseau des Compagnons du devoir, il a été créé en 1999. Ses
missions consistent en quatre actions distinctes : la rencontre, la recherche, la mémoire et la
formation. Les rencontres se font avec tous les professionnels du bois dans la construction
(chefs d’entreprise, formateurs, ingénieurs…) par le biais de colloques, de conférences et la
mise en place de groupes de travail. La recherche est axée sur la veille technologique et des
partenariats avec des centres d’étude et de recherche, mais aussi des enquêtes de terrain. La
mémoire sera mise en valeur grâce au futur centre de ressources. L’institut développe des
modules de formation, de la formation initiale à la formation continue, ainsi qu’un dispositif
d’accompagnement pour ceux qui recherchent un titre ou un diplôme par validation des
acquis de l’expérience.
Lieu ressource
Institut technologique du FCBA (Forêt, cellule, construction ameublement)
Pôle ameublement
10, avenue de Saint-Mandé, 75012 Paris.
Tél. : 01 40 19 49 19. Fax : 01 40 19 48 67
[email protected]
http://www.fcba.fr/accueil.php
L'AFOCEL (Association Forêt Cellulose), au service des entreprises de la forêt et de la pâte à
papier et le CTBA (Centre Technique du Bois et de l'Ameublement) ont fusionné le 1er juin
2007 pour donner naissance à FCBA, l'Institut Technologique Forêt Cellulose Bois-construction
Ameublement. L'un des objectifs de l'Institut est de se doter d'une organisation axée vers plus
d'innovation, plus de synergie et offrant de meilleurs services, afin de relever les défis des
entreprises de la filière. Véritable organisme scientifique, le FCBA assure une veille
technologique par le biais de son Innovathèque et attribue des certificats de qualité. Il
organise également des formations pour les professionnels.
Presse
Le Bois international,
Hebdomadaire,
3, rue Claude Odde, 42007 Saint-Etienne.
Tél. : 04 77 74 33 99. Fax : 04 77 93 11 26.
[email protected]
http://www.leboisinternational.com
L’édition Rouge aborde tous les aspects événementiels, professionnels, économiques et
techniques des industries de seconde transformation du bois, plus particulièrement la
charpente, la menuiserie, le meuble, le parquet. Interview, reportages, dossiers.
Le Journal du bois,
Trimestriel,
Tomacé éditions, 20 rue cadet, 75009 paris
Tél : 01 42 46 86 00. Fax : 01 42 46 20 20
[email protected]
http://www.bois.org
Actualités du secteur bois (salons, expositions, nouveautés), dossier, carnet d’adresses,
petites annonces, bibliographie.
Le Moniteur,
Hebdomadaire,
Groupe Moniteur, 17, rue d’Uzès, 75108 Paris Cedex 02.
Tél. : 01 40 13 30 30. Fax : 01 40 13 50 21.
[email protected]
http://www.groupemoniteur.fr
Cette publication qui s’adresse aux professionnels du bâtiment propose différentes rubriques
: actualité (nationale et régionale), architecture et technique, réglementation, gestion,
emploi et formation, projets publics et privés, marchés publics et privés avec une liste
d’appels d’offres et de candidature…
Sites Internet
http://www.le-bois.com
Portail de la filière bois francophone. Les rubriques présentent le référencement des
entreprises, les organismes, les métiers du bois et les filières de formation, les prestataires et
les normes. Il informe sur les essences de bois et possède une matériauthèque, également un
forum et une librairie. Le site comprend une plate-forme de mise en relation permettant le
dépôt de demandes et d’offres d’emploi suivant une nomenclature précise intégrant tous les
métiers liés au matériau bois.
http://www.ccca-btp.fr/
Le site du Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des
travaux publics apporte des informations sur les métiers du secteur et la formation
professionnelle et initiale.
http://www.ctba.fr
Site du Centre technique du bois et de l’ameublement. La rubrique action collective secteur
bois construction présente les Brèves « charpente ossature ». Ces dernières sont réalisées par
le Pôle industries bois construction du CTBA, elles relatent les avancées significatives en
matière de normalisation, les résultats des études et recherches en cours, les technologies
transférables.
http://www.metiers-btp.fr
Site de l’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications du BTP. C’est un outil pour
accompagner les employeurs et les salariés dans l’évolution de leurs métiers et de leurs
compétences. Il s’articule autour de deux pôles : des outils pratiques pour faire le point sur
les compétences et des analyses pour connaître les grandes tendances du secteur. L’actualité
professionnelle est également présentée.
http://www.netbois.com
Cet annuaire de la filière bois possède une rubrique « charpente, construction bois »
référençant les concepteurs et fabricants de la charpente traditionnelle et de la charpente et
structure en bois lamellé-collé. Le site recense les ressources documentaires : journaux,
revues, guides, annuaires et portails. Il présente également une rubrique librairie.
Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif et ne sauraient prétendre à
l’exhaustivité.
Pour en savoir plus…
Consultez le Centre de ressources de l’Institut National des Métiers d’art, une ressource
unique sur les métiers d’art :

Des bases de données documentaires sur l’actualité des métiers d’art et des bases de
données sur les formations, accessibles sur son site internet.

Un fonds documentaire spécialisé : revues, dossiers, ouvrages et plus de 750 films sur
ce secteur.
Institut National des Métiers d’art,
23 avenue Daumesnil, 75012 Paris. Tél. : 01 55 78 85 85
Ouvert du mardi au vendredi de 14 à 18 heures
[email protected]
http://www.institut-metiersdart.org/
© Centre de ressources, Institut National des Métiers d’Art, 23, avenue Daumesnil 75012 Paris, 2010

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