Rousseau, La Mulatière, 51-65-37. Fer

Rousseau, La Mulatière, 51-65-37. Fermé le dimanche soir et en août. Somptueux. Grand foie gras et grande cave.
— La Fédora, 249 rue Marcel Mérieux,
69-46-26. Délicieux et pas cher.
-Le Garet, 7 rue du Garet, 28-16-94.
De la bonne tradition lyonnaise.
— Chez Rose, 4 rue Rabelais, 60-57-25.
Fermé le dimanche et en juin. Très
bonne cuisine lyonnaise pour un prix
modique.
— Chez Georges, 8 rue du Garet, 28-30-46.
Comme chez Léa, l'accueil est incertain.
Mais quand on vous connaît ! Georges
est une figure et la «maman» prépare si
bien les salades lyonnaises. Nous, on est
inconditionnels.
— La Terrasse à Loyettes (Ain) (74)
32-70-13. Fermé le mardi soir, le mercredi et du 20/8 au 15/9. Le bonheur
d'une vraie terrasse l'été.
— La Mère Jean, 5 rue des Marronniers,
37-81-27. On s'entasse joyeusement sur
les tables de marbre de cette épiceriecomptoir. Bon et pas cher.
— La Tour Rose, 16 rue du Bœuf,
37-25-20. Fermé le dimanche et le
mois d'août. En prime à l'exquise cuisine de Philippe Chavent, on dine dans
un cadre de qualité, ce qui n'est pas
toujours le cas à Lyon. Légère réticence en ce qui concerne l'accueil.
— Pied de cochon (au), 9 rue SaintPolycarpe, 28-15-31. Mieux qu'un bouchon et de prix très abordable.
— Chez Pierre, 2 rue Mazenod, 60-56-37.
Très bonne andouillette dans ce bistrot
près du marché.
— Les Trois Dômes au Sofitel, 20 quai
Gailleton, 42-72-50. Le chef Alix a
réussi à faire une très grande table de ce
restaurant d'hôtel.
— A ma Vigne, 23 rue Jean Larrivé,
60-46-31. La meilleure viande poêlée de
Lyon. Et l'andouillette à la ficelle.
— Vettard, le Café Neuf, 7 place Bellecour, 42-07-59. Fermé le dimanche.
Cuisine très inventive dans le restaurant
le mieux placé de Lyon où rôdent les
mânes du Président Herriot.
— Le Vivarais, 1 place Gailleton,
37-85-15. La tradition lyonnaise : salade
de pissenlits, gâteau de foie, raie au
beurre noir.
— La Voûte, chez Léa, 1 1 place A:
Gourju, 42-01-33. Fermé le samedi, le
dimanche et du 1/7 au 20/8. La dernière
Mère lyonnaise a ses têtes : tout le monde
ne lui plaît pas, heureusement. Mais elle
sert une excellente et authentique cuisine lyonnaise. Ne pas se soucier du cadre. A Lyon, l'ivresse est toujours passée
avant le flacon.
— Le Village, 76 rue Mercière, 42-20-22.
Un bouchon. . . italien. Mario n'est plus
mais la tradition reste. Il faut y aller
avant les bulldozers.
Restaurants exotiques
Antillais
Bouchons
— Le Port-à-Piment, 1 place de la Baleine.
Fermé à midi, le samedi, le dimanche et
en juin. C'est délicieux et pas cher. Mais
tout petit. Retenir plusieurs jours
d'avance.
— La Cannelle, 103 quai Pierre-Scize,
27-35-07. Fermé à midi et le dimanche.
Bonne cuisine et joli cadre.
Ils sont pratiquement tous fermés le
samedi, le dimanche, le mois d'août
et même parfois le soir !
-Le Bistroquet, 42 rue Sala, 37-13-00.
Nicole, la femme de Jean-Paul, continue
dans la tradition de la saga Borgeot.
— Café du Jura, 25 rue Tupin, 42-20-57.
Un authentique bouchon lyonnais où la
relève s'est bien passée.
Arménien
-Karnig, 198 rue Garibaldi, 60-87-83.
Fermé le dimanche et du 5/8 au 5/9.
Ah, ce tarama, ce boeuf aux aubergines,
ces yaourts !
— La Cruche, 19 rue Auguste Comte,
37-39-69. Toujours plein et animé. En
prime, c'est bon.
-Dussaud, 12 rue Pizay, 28-10-94. Là
encore, il semblait impossible de remplacer les Barbet. Gageure tenue. On
peut y rencontrer nos joyeux chefs attaquant leur mâchon après le marché du
matin.
Brésilien
— Le Sambahia, 13 rue du Doyenné,
37-82-10. Fermé à midi, le dimanche et
en juillet. Sympathique et bon.
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