Umberto Barberis

Les légendes:
Umberto BARBERIS
Prénom/Nom :
Surnom :
Date de naissance:
Lieu de naissance:
Position:
Sélections nationales :
Umberto Barberis
Bertine
5 juillet 1952
Sion
Milieu offensif
54 (7 buts)
Carrière de joueur :
FC Sion
1973
GCZ
1974-1975
Servette FC
1975-1981
AS Monaco
1981-1983
Servette FC
1983-1985
Carrière d’entraîneur :
Lausanne-Sports
1987-1993
FC Sion
1993-1994
Servette FC
1995-1996
Lausanne-Sports
2001-2002
FC Baulmes
2004-2007
Lausanne-Sport
2007-2008
Bertine avec les quatre coupes fin 1979
Palmarès :
1977, 1979, 1980: Coupe de la Ligue (avec Servette)
1976, 1978: Coupe des Alpes (avec Servette)
1978, 1979, 1984: Coupe de Suisse (avec Servette)
1979, 1985: Championnat suisse (avec Servette)
1975, 1979, 1980: Footballeur suisse de l’année (en tant que joueur de Servette)
1982: Championnat de France (avec l’AS Monaco)
1981, 1982: Meilleur joueur étranger de France
Umberto Barberis est né en 1952, il est le fils d’un footballeur italien. Peu après avoir fait son
apparition tout jeune dans la première équipe du FC Sion, il part pour à Zurich pour jouer pour GC.
Après une période d’apprentissage utile pour lui, il rejoint Servette. C’est là qu’il éclot comme élémentclé et joueur de l’équipe nationale où il évoluera dix ans. L’axe de mi-terrain composé de Barberis,
Andrey et Schnyder est un des meilleurs que la Suisse ait connu ! Schnyder assurait les arrières de
Barberis et Andrey qui se chargeaient des finesses techniques et du spectacle offensif. Le public
genevois adorait le petit combattant porteur du numéro 6. Bertine était un footballeur complet. Malgré
sa taille modeste, son jeu de tête ne doit pas être négligé. Il était sans cesse en mouvement, un vrai
catalyseur du jeu servettien. Comme il retroussait ses bas jusqu’aux chevilles, il était aisément
identifiable sur le terrain. Il est difficile d’imaginer si les grands succès servettiens de la fin des années
70 auraient été possibles sans Bertine. En tant que milieu offensif, il était souvent capable de fournir
des assists décisifs. Il participait aussi à la finition et a souvent marqué pour le SFC. Durant ses deux
saisons à l’AS Monaco, il a été champion de France et deux fois élu meilleur étranger de France. Cela
parle en sa faveur ; il a osé faire le pas de partir à l’étranger, s’est imposé et a gagné. On ne peut pas
en dire autant de Hermann, Odermatt et Kuhn si souvent loués comme des gloires du football suisse !
Après sa carrière de joueur, il a officié en tant qu’entraîneur dans plusieurs clubs (dont Servette en
1995) avec des fortunes diverses. Son fils Sébastien Barberis a aussi eu du succès comme footballeur
de Servette et de Bâle.
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