Voir le programme - ERF Enghien
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Pour les 40 ans de ''Jeunesse & Amitiés Protestantes" Dimanche 16 décembre 2007 Textes des Neue Liebeslieder de J Brahms 1-Verzicht, o Herz, auf Rettung, dich wagend in der Liebe Meer! Denn tausend Nachen schwimmen zertrümmert am Gestade umher! Renonce, ô mon cœur, à l’espoir de sauvetage En t’aventurant sur la mer de l’amour ! Car par milliers flottent à la dérive Les épaves d’esquifs qui s’étaient fracassés sur le rivage 2-Finstere Schatten der Nacht, Wogen- und Wirbelgefahr! Sind wohl, die da gelind rasten auf sicherem Lande, euch zu begreifen im Stande? Das ist der nur allein, welcher auf wilder See stürmischer Öde treibt, Meilen entfernt vom Strande. Ombres ténébreuses de la nuit, Dangers des vagues et des remous, Ceux qui séjournent tranquillement A l’abri sur la terre ferme Sont-ils vraiment à même de se faire une idée de vous ? Seul le peut Celui, qui en haute mer, Est livré à la solitude et aux tempêtes, A des lieues du rivage. 3-An jeder Hand die Finger hatt' ich bedeckt mit Ringen, die mir geschenkt mein Bruder in seinem Liebessinn. Und einen nach dem andern gab ich dem schönen, aber unwürdigen Jüngling hin. Je portais aux doigts De chaque main des bagues Que mon frère, dans son affection pour moi, M’avait offertes ; Et l’une après l’autre Je les ai données Au beau mais indigne jeune homme 4-Ihr schwarzen Augen, ihr dürft nur winken; Paläste fallen und Städte sinken. Wie sollte steh'n in solchem Strauß mein Herz, von Karten das schwache Haus? Beaux yeux noirs, votre regard suffit A faire s’effondrer palais et s’écrouler cités. Comment, dans un tel assaut, mon cœur, Faible château de cartes, pourrait-il tenir bon ? 5-Wahre, wahre deinen Sohn, Nachbarin, vor Wehe, weil ich ihn mit schwarzem Aug' zu bezaubern gehe. Garde, garde ton fils Du malheur, voisine, Car je me mets en demeure De l’ensorceler de mes yeux noirs. O wie brennt das Auge mir, das zu Zünden fordert! Flammet ihm die Seele nicht deine Hütte lodert. Oh, comme mes yeux brillent Pour l’enflammer ! Si son âme ne s’embrase pas, C’est ta chaumière qui flambera. 8-Weiche Gräser im Revier, schöne, stille Plätzchen! O, wie linde ruht es hier sich mit einem Schätzchen! Tendres herbages, Aimables coins tranquilles. Oh, quel doux repos Vous permettez de goûter avec un(e) amoureux(se) ! 12-Schwarzer Wald, dein Schatten ist so düster! Armes Herz, dein Leiden ist so drückend! Was dir einzig wert, es steht vor Augen; ewig untersagt ist Huldvereinung. Sombre forêt que ton ombre est lugubre ! Pauvre cœur, que ta souffrance est accablante ! Tu vois devant toi le seul objet qui te soit précieux Et il t'est à jamais refusé de t'unir à lui. 13-Nein, Geliebter, setze dich mir so nahe nicht! Starre nicht so brünstiglicht mir ins Angesicht! Wie es auch im Busen brennt, dämpfe deinen Trieb, daß es nicht die Welt erkennt, wie wir uns so lieb. Non, bien-aimé, ne t'assieds pas si près de moi ! Ne pose pas sur moi Des regards aussi ardents. Même s'ils brûlent en toi, Réprime tes penchants Afin que personne dans le monde ne sache Combien nous nous aimons. 14-Flammenauge, dunkles Haar, Knabe wonnig und verwogen, Kummer ist durch dich hinein in mein armes Herz gezogen! Adorable et hardi garçon Aux yeux ardents, à la noire chevelure, C'est toi qui as fait entrer le chagrin Dans mon pauvre cœur. Kann in Eis der Sonne Brand, sich in Nacht der Tag verkehren? Kann die heiße Menschenbrust atmen ohne Glutbegehren? L'embrasement du soleil peut-il se changer en glace ? Le jour se transformer en nuit ? La brûlante poitrine humaine Peut-elle respirer sans être enflammée de désir ? Ist die Flur so voller Licht, daß die Blum' im Dunkel stehe? Ist die Welt so voller Lust, daß das Herz in Qual vergehe? Les champs rayonnent-ils de lumière Pour que la fleur reste dans l'ombre ? Le monde est-il rempli de plaisirs Pour que le cœur périsse de tourment ? 15-Nun, ihr Musen, genug! Vergebens strebt ihr zu schildern, wie sich Jammer und Glück wechseln in liebender Brust. Heilen könnet die Wunden ihr nicht, die Amor geschlagen, aber Linderung kommt einzig, ihr Guten, von euch. Muses, en voilà maintenant assez ! C'est en vain que vous vous efforcez de dépeindre Comme le chagrin et la joie Remplissent tour à tour un cœur aimant. Vous ne pouvez pas guérir les blessures Que l'Amour a infligées, Mais c'est de vous seules, Aimables créatures, que vient le soulagement. Texte de Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832) http://www.parischoralsociety.org/traduction.html#n01 Bonsoir, Voici le troisième dimanche de l’Avent. Nous attendons tous quelque-chose ou quelqu’un ! Nous sommes même cet après-midi, réunis entre amis, entre frères pour … attendre ! Certes nous connaissons les apparences de ce qui va se passer mais dans le fond, avons-nous pu méditer à ce qui attend chacun d’entre nous dans le temps à venir ? Les « concerts du temple » fêtent aujourd’hui les 40 ans de l’association culturelle qui a permis leur naissance, la JAP. Qu’attendons-nous des prochains concerts ? quels émotions, quels partages, quelles démonstrations de souffle de vie ? Cet après-midi, nous sommes rassemblés, très nombreux, fidèles amis des concerts du temple, nouveaux venus des régions et des religions voisines, pour jouer ensemble de nos émotions et de nos attentes. Les œuvres choisies sont parmi celles que l’on n’oublie pas : nous les connaissons pour la plupart par les enregistrements mais ici, et maintenant attendons-nous à partager ensemble tout leur souffle de vie. Veuille le Seigneur qui a permis d’associer la foi et l’expression artistique, donner maintenant du sens à notre attente à travers le génie de ces musiques et le souffle de ces artistes. Jean-Pierre Jourdan Les œuvres Gaspard de la Nuit / Scarbo (1908) Maurice Ravel (Ciboure 1875 – Paris 1937) 3eme poème pour le piano Après deux poèmes de Gaspard de la nuit (Ondine et le Gibet), « Scarbo » brosse le portrait d’un nain et d’un lutin qu’on trouve partout et nulle part et qui, à minuit brille dans le ciel, grimace, et rit dans un coin sombre de la chambre et pirouette sur un pied. La Campanella (1838) Franz Liszt ( Raiding 1811 – Bayreuth 1886) Six études / sol min. S140 n°3 Adaptation de sa grande fantaisie de bravoure sur la clochette de Paganini (rondo final du concerto n°2 pour violon) « La Campanella apparaît comme une page nécessitant une virtuosité diabolique (saut périlleux, traits vertigineux, trilles fulgurants, sollicitations très inhabituelles de l’aigu du clavier) mais de laquelle poésie et lyrisme ne sont jamais absents. Si acrobatique soit-il, le discours conserve toujours la spontanéité, la fraîcheur et la générosité qui l’empêchent de tourner à vide et lui permettent au contraire de toucher la sensibilité de l’auditeur ». Jean Dupart Larousse de la musique Neue Liebeslieder op. 65 (1875) Johannes Brahms (Hambourg 1833 – Vienne 1897) Valses pour 4 voix et accompagnement au piano à 4 mains Les duos sont un régal tandis que quelques chansons reflètent ses préoccupations de vie enfermée du compositeur. (Voir les textes en page 2 ) Concerto BWV 1056 fa min. ( ~1730) J-Séb. Bach (Eisenach 1685 – Leipzig 1750) J-S B. fut le premier à concevoir de véritables concertos pour clavier et orchestre où le clavier abandonne son humble fonction de soutien harmonique et rythmique. Pour cela, il partait de fragments instrumentaux existant et les enrichissait de détails expressifs. Mais il ne précise jamais si ces concertos se jouent au clavecin ( cordes pincées) ou au clavicorde ( cordes frappées). Une douzaine de concertos ont ainsi été finalisés pendant la période difficile vécue par J-S B. à Leipzig (mal aimé des autorités, deuils familiaux ), numérotés 10xx. Le fameux concerto BWV 1056 a pour sources deux concertos perdus, l’un pour violon en sol min., pour les 2 mvts. rapides, et l’autre pour hautbois en Fa maj, pour le mvt. lent. Les deux mouvements rapides exigent des musiciens modernes, beaucoup de légèreté pour traduire la virtuosité et l’esprit de l’époque. Le « jeu de l’amour et du hasard » ( Marivaux 1730) est exactement contemporain de son écriture ! L’admirable mélodie de l’adagio se retrouve dans la sinfonia de la Cantate 156 pour l’Epiphanie ( « ich steh’ mit einem Fuss im grabe »). Elle fait évidemment un immense contraste avec les deux autres mouvements. 1er mouvement ( sans indication) – Largo - Presto Messe en Sol maj. D167 (1815) Franz Schubert (Vienne 1797 - Vienne1828) Pour soli ( soprano, ténor et basse), chœur mixte, orgue et orchestre à corde Cette messe de commande a dû être créée en l’église de Lichtental ( le quartier de Vienne où F. S. est né). C’est une messe brève avec ses divisions classiques mais elle revête le caractère typique d’une messe de campagne à cause de son écriture essentiellement vocale et d’un accompagnement orchestral très léger. Le Kyrie est très doux, un peu conventionnel, avec quelques interventions de la soprano solo. Le Gloria, déclamatoire avec ses longues gammes, est parfaitement adapté à son rôle liturgique d’introduction de la lecture de l’Evangile. Le Credo est un chef d’œuvre, avec un chœur bien homogène et un accompagnement à l’italienne, profond. Le Sanctus début à la française, solennel et sérieux et s’enchaîne sur un Hosanna en fugato. Le Benedictus est écrit en forme de grand canon pour les trois solistes avec un beau thème mozartien. Après un long développement il s’achève en reprenant le sujet de l’Hosanna. Le final, Agnus Dei, conclut l’œuvre dans un climat pastoral très paisible. 1 - Kyrie 2 - Gloria 3 - Credo 4 - Sanctus Hosanna 5 – Benedictus 6 - Agnus Dei andante con moto allegro maestoso allegro moderato adagio maestoso allegro andante grazioso lento Ré maj. Ré maj. Symphonie concertante K 364 (1779) W-Amadeus Mozart ( Salzbourg 1756 – Vienne 1791 ) en Mibmaj. pour violon, alto solos et orchestre Cette splendide symphonie inaugurée vraisemblablement à Mannheim, après la période parisienne de W-A M., est une étape dans la maturation du compositeur. Il se passe beaucoup de choses dans le 1er mvt. parfaitement équilibré. L’orchestre expose un sujet marchant avec une belle joie collective puis amène par une large transition, à l’entrée des solistes. Leur sujet est parfait pour le dialogue : ah ! l’aimable discours dans la voiture à chevaux parmi la campagne viennoise ! Après un tutti bien étoffé, un moment d’inquiétude, comme si les passagers s’inquiétaient d’un escarpement de parcours, aboutit à une impressionnante conversation à trois. La reprise, tous ensemble, du thème du début débouche sur une conversation plus savante entre les solistes, les cordes et les vents. Pendant la cadence les solistes se font mutuellement écho et s’amusent brièvement des motifs entendus auparavant. L’andantino en do min. est un chant profond exposé 3 fois, brodé, entrelacé entre les solistes. La musique s’écoule avec des supplications et des inquiétudes, des interrogations et des requêtes bien éloignées de l’atmosphère du 1er mvt. La cadence récapitule cette conversation poignante entre les solistes. Le 3ème mvt., presto, s’ouvre sur une contredanse qui devient vite campagnarde avec les cors. Les solistes jouent alors un thème repris par des quantités d’annonceurs modernes. C’est le moment de déguster notre chance de voir vivre devant nous, de vrais amis, artistes par passion, et à poursuivre ensemble les élégants développement du magique Mozart. Allegro maestoso - Andante - Presto Les Musiciens Pianiste Nadezda Pisareva, « jeune talent » invitée du centre des arts, ( née à Moscou en 1987 ) a été élève de S. Dorensky (C. Tchaïkovski de Moscou), et a remporté le concours « virtuosi per musica di pianoforte » ( Tchéquie 1998). Elle se produit en Russie ainsi qu’en France, Allemagne et au Japon ou en Australie. Elle a participé au dernier concours G. Enesco (Bucarest septembre 2007 ) avec André Licaret, précédent « jeune talent » invité par le festival de piano d’Enghien (sept. 2005) [email protected] L'ensemble vocal "System 20" rassemble depuis septembre 2005 une vingtaine de chanteurs expérimentés, autour d'un répertoire pour petit chœur très exigeant. Sous la direction de Christine Morel, cet ensemble a désormais à son répertoire, chronologiquement, Schütz et Gabrieli, "la Guerre" de Janequin, la messe "Pro Victoria" de Vittoria, deux cantates de Buxtehude et Bach, les chœurs d’Hippolyte et Aricie de Rameau, les Zigeuner Lieder et les Neue Liebeslieder » Brahms, trois pièces religieuses et la Messe en Sol de Schubert, les Chants Slaves de Dvorak, les Dances from Gloriana de Britten, quatre pièces a capella de Jean Langlais (1931), "Un étranger..." de Thierry Machuel, écrite en 2003. Les chanteurs se sont produits à Paris (Temple des Batignolles, Eglise du "Foyer de l'Ame", Maison de Radio France) , Saint-Denis (Bourse du Travail) Chauny (Picardie). Ils ont participé à Lux Noctis, Dies Solis de Maurice Ohana, pour Radio France. Ils ont collaboré avec Edwin Baudo et Yann Liorzou, pianistes, Jean-Yves Ravoux, ténor, l'ensemble de cuivres anciens "Christophe Plaisance", l'ensemble "XVIII-XXI", l’ensemble Musicatreize et le chœur et la maîtrise de Radio-France sous la direction de Roland Heyrabedian. Prochainement, ils reviendront à Rameau ( Paris - auditorium St Germain - février2008 ), puis interpréteront deux cantates de Bach en juin après un détour vers la création d’une nouvelle pièce que Benoît Menut écrit spécialement pour l’ensemble. [email protected] Les chanteurs Soprani Contralti Ténors Basses Marguerite Berger, Victoria Chandivert, Marlies Hoenicke, Félicité Ogerau, Juliette Solves Anne Bertrand, Anne-Catherine Boudet, Marie-Laure Cotte, Anke Grutschus, Anne Migeot de Baran, Marguerite Labrousse Denis Chemla, Romain Dufrene, Gilles Mirieu de Labarre, Jacques Lejeune, Jean-François Morel Julien Berger, Raphaël Couval, Gilles Grimaldi, Jacques Lemaire, Sébastien Morel Chef de chœur Christine Morel est titulaire du CA de formation musicale (1978) et du CA de direction des ensembles vocaux (2005). Elle s’est perfectionné auprès de Sir David Willcocks, de Stéphane Caillat, Philippe Caillard, Nicole Corti et Michel-Marc Gervais. Christine Morel a fondé l’ensemble Claude Goudimel (1994) pour un répertoire renaissance (enregistrement Naxos 1995. 5 diapasons), a dirigé le chœur d’oratorio Per cantum ( >1994) et le chœur d’enfant Nadia Boulanger . ( > 1996). Elle a fondé l’ensemble vocal SYSTEM20 (2005) et dirige depuis 2007 l’ensemble Alcyone , ensemble de 8 solistes, ( enregistrement de l’intégrale des Motets de J.S. Bach) Christine Morel est professeur aux CNR de Paris et d’Aubervilliers-la Courneuve où elle dirige l’Inchoeurigible. Elle joue en parallèle comme pianiste de récital avec le ténor Jean-Yves Ravoux. Publication : Détours de Chants , ( 2001 - éditions Lemoine) recueil conçu en lien avec la Formation Musicale pour le développement du Chant Choral dans le premier cycle des Conservatoires. [email protected] Pianistes à 4 mains Yann Liorzou est également organiste titulaire à l’Église St Denys du St Sacrement. Titulaire également d’un CA de formation musicale, il enseigne dans différents conservatoires de la Ville de Paris, ainsi qu’au CNR Paris. Il accompagne la Maîtrise de Paris. Il exerce comme musicien associé à de nombreuses formations vocales et instrumentales. Laura Caravello Chef d’orchestre François Detton a une double formation de juriste et de musicien. Flûtiste et chef d’orchestre, il a notamment travaillé avec J.L Beaumadier, ancien soliste de l’orchestre national de France et R.Guyot, ancien flûtiste de l’orchestre national de l’Opéra de Paris. Il a obtenu ses diplômes supérieurs à l’ENM PARIS (classe de flûte de Claudine Cloutour et classe de musique de chambre de Chantal de Buchy). Succédant à son ami Jean Ferez, il est directeur musical de l’Ensemble Instrumental d’Enghien les bains depuis 1982 avec lequel il se produit régulièrement mais est également invité à diriger d’autres formations. François Detton a également une activité de chambriste et il est membre fondateur du quintette « les alizés » (flûte, violon, alto, violoncelle et harpe) et se produit dans plusieurs festivals en France et dans les départements d’outre mer. Plus récemment, il a crée le festival « PERNES EN MUSIQUES » dont il assure la direction artistique depuis 2006. (Festival subventionné par la ville de Pernes les fontaines – Vaucluse) 01 76 29 00 21 [email protected] L’ensemble Orchestral d’Enghien les Bains est Issu d’une très ancienne formation symphonique créée à Enghien à la fin du 19ème siècle. Cet ensemble a été réorganisé dans sa forme d’ensemble de musique de chambre en 1970 sous l’impulsion de l’Inspecteur Général Jean Ferrez. Sa géométrie variable lui permet d’aborder de nombreux répertoires, de la musique classique à celle d’aujourd’hui. Cet ensemble est constitué pour l’essentiel d’amateurs de qualité auxquels se joignent en fonction des ouvrages abordés quelques musiciens solistes, jeunes professionnels issus des grands conservatoires nationaux français. Il travaille à Enghien les Bains, sa ville d’attache, depuis sa création et cette collectivité lui apporte un soutien financier constant qui lui permet d’organiser plusieurs manifestations dans l’année. Il est dirigé par François Detton depuis 1982. Présidente : Sophie Merchat 01 39 64 49 06 [email protected] Les instrumentiste de l'orchestre Violon 1 Mindy Morel, Sophie Merchat, Geneviève Privé, Catherine Dukaez-Gelove, Lena Denaive, Michèle Legall, Stéphanie Verdier-Ollé, Agnès Reverdy Violon 2 Marion Detton, Tiphaine Ques, Anne-Marie Beck, Lucien Lepetit-Collin Alto Bénédicte Detton, Helga Besserer, Béatrice Fonteny Violoncelle Anne Le Cour, Matthieu Detton, J-Pierre Jourdan C-basse Jérémie Sananes Cor Philippe Durand, Florent Barrois Hautbois Christophe Brilloit, Helphège Caplan Pianiste concertiste Florence Rouichi-Gallot a débuté au CNR d’Aubervilliers-La Courneuve où elle obtint les médailles d’or en piano, déchiffrage, formation musicale et musique de chambre ainsi qu’un baccalauréat technique musical. Diplômée de l’Institut Musical Européen de Besançon en piano, histoire de la musique et pédagogie, elle enseigne depuis 1985 à l’école de musique d’Enghien les Bains. Elle se produit dans diverses régions de France en quatre mains, à deux pianos ou en soliste. [email protected] Violon/alto concertants Céline Planes est violoniste Philharmonique de Radio-France et conservatoire de Charenton. de l'Orchestre professeur au Renaud Stahl est alto-solo de l'Orchestre National d'Îlede-France, professeur au conservatoire du 13ème arr. de Paris et au CNR de Rueil-Malmaison. Renaud Stahl a fondé l’ensemble Chagall devenu ensemble Dimitri en 2004. Cet ensemble a créé les Concerts du temple vers 1995 et il offre depuis, au public de la vallée de Montmorency plusieurs concerts chaque année, de haute tenue musicale associée à une grande cordialité humaine. [email protected] ; http://renaud.stahl.free.fr « libre participation aux frais » Voici quelques indications pour participer et permettre la continuation des concerts du temple Défraiement des artistes On peut « reconnaître le travail » des artistes professionnels au prix de son temps passé à préparer le concert et à se produire. 3 heures de répétition et 3 heures de concert évaluées à 25€ l’heure reviennent par artiste à 150 € On peut « reconnaître l’engagement vital » des artistes professionnels en estimant qu’avec 8 concerts par mois ces personnes au talent admirable doivent gagner 3 000 € par mois. Il faut alors que chaque concert leur apporte à chacune 275 € S’ajoutent les frais de logistique Frais pour un concert simple 150 affiches couleur et 750 prospectus n&b 75 € 100 programmes de salle n&b 25 € collation 30 € Droits sur les œuvres ( SACEM) 10 à 50 € Assurances + chauffage + ménage des locaux 50 € Publications ( journaux, site internet) offert Location des salles offert Secrétariat bénévolat Total forfaitaire 200 € Frais pour un concert particulier 500 envois postaux Location + transport d’un piano Accord d’un piano 250 € 400 à 1 200 € 70 € Pour 8 concerts par an, 30 artistes professionnels par an, 20 à 150 personnes participants aux frais de chaque concert, Si nous participons pour - moins de 6 €, nous ne reconnaissons même pas le « travail des artistes », - moins de 11 € nous ne reconnaissons pas leur « engagement vital pour la musique » Merci d’avoir lu ces lignes. JEUNESSE ET AMITIES PROTESTANTES La JAP est une association loi 1901, agréée par le Ministère de la Jeunesse et Sports Elle a été créée en janvier 1968 sous l’égide du pasteur Dubs, alors en poste à Enghien, et par Daniel et Nicole Bourquin, très vite rejoints par Lucien Cordier. Elle est l’association culturelle de l’association cultuelle de l’Eglise Réformée d’Enghien . JAP fédère divers organismes et mouvements gravitant autour de la paroisse protestante d’Enghien-Montmorency et environ, leur donnant par là un support juridique ainsi qu’un soutien financier et logistique. Grâce à l’obtention d’une importante subvention du Conseil général, elle a contribué au financement de l’extension de la « Maison Haute », centre paroissial (171 avenue de la division Leclerc à Enghien les Bains) Elle aide le scoutisme et les jeunes hors scoutisme (par le financement des camps, des voyages, des stages de formation des chefs), les « moins jeunes » de différentes générations, les concerts du Temple. Elle assure la présence des protestants aux journées d’associations comme aux voyages vers les villes jumelées. Elle gère les salles de réunions de la paroisse, les mettant en semaine, à la disposition du CPCV, membre moral de l’ association pour son activité sociale. La JAP fête à présent ses 40 ans. Grâce aux cotisations de ses membres et aux subventions que lui accordent les communes et le Conseil général, elle a pu ainsi arriver à ce bel anniversaire et remercie tous ceux et celles qui lui ont permis d en arriver là. Louveteaux d’Enghien en 2001 Branche Aînée Unioniste au Liban 1998 Association Jeunesse et Amitiés Protestantes 171, avenue de la Division Leclerc 95880 Enghien-Les-Bains + 01 39 64 70 28 http : //erf.enghien.free.fr Coordination des concerts : J-Pierre Jourdan 06 62 13 82 77 mél : [email protected]