Voir le programme - ERF Enghien

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Voir le programme - ERF Enghien
Pour les 40 ans de ''Jeunesse & Amitiés Protestantes"
Dimanche 16 décembre 2007
Textes des Neue Liebeslieder de J Brahms
1-Verzicht, o Herz, auf Rettung,
dich wagend in der Liebe Meer!
Denn tausend Nachen schwimmen
zertrümmert am Gestade umher!
Renonce, ô mon cœur, à l’espoir de sauvetage
En t’aventurant sur la mer de l’amour !
Car par milliers flottent à la dérive
Les épaves d’esquifs qui s’étaient fracassés sur le rivage
2-Finstere Schatten der Nacht,
Wogen- und Wirbelgefahr!
Sind wohl, die da gelind
rasten auf sicherem Lande,
euch zu begreifen im Stande?
Das ist der nur allein,
welcher auf wilder See
stürmischer Öde treibt,
Meilen entfernt vom Strande.
Ombres ténébreuses de la nuit,
Dangers des vagues et des remous,
Ceux qui séjournent tranquillement
A l’abri sur la terre ferme
Sont-ils vraiment à même de se faire une idée de vous ?
Seul le peut
Celui, qui en haute mer,
Est livré à la solitude et aux tempêtes,
A des lieues du rivage.
3-An jeder Hand die Finger
hatt' ich bedeckt mit Ringen,
die mir geschenkt mein Bruder
in seinem Liebessinn.
Und einen nach dem andern
gab ich dem schönen,
aber unwürdigen Jüngling hin.
Je portais aux doigts
De chaque main des bagues
Que mon frère, dans son affection pour moi,
M’avait offertes ;
Et l’une après l’autre
Je les ai données
Au beau mais indigne jeune homme
4-Ihr schwarzen Augen, ihr dürft nur winken;
Paläste fallen und Städte sinken.
Wie sollte steh'n in solchem Strauß
mein Herz, von Karten das schwache Haus?
Beaux yeux noirs, votre regard suffit
A faire s’effondrer palais et s’écrouler cités.
Comment, dans un tel assaut, mon cœur,
Faible château de cartes, pourrait-il tenir bon ?
5-Wahre, wahre deinen Sohn,
Nachbarin, vor Wehe,
weil ich ihn mit schwarzem Aug'
zu bezaubern gehe.
Garde, garde ton fils
Du malheur, voisine,
Car je me mets en demeure
De l’ensorceler de mes yeux noirs.
O wie brennt das Auge mir,
das zu Zünden fordert!
Flammet ihm die Seele nicht
deine Hütte lodert.
Oh, comme mes yeux brillent
Pour l’enflammer !
Si son âme ne s’embrase pas,
C’est ta chaumière qui flambera.
8-Weiche Gräser im Revier,
schöne, stille Plätzchen!
O, wie linde ruht es hier
sich mit einem Schätzchen!
Tendres herbages,
Aimables coins tranquilles.
Oh, quel doux repos
Vous permettez de goûter avec un(e) amoureux(se) !
12-Schwarzer Wald, dein Schatten ist so düster!
Armes Herz, dein Leiden ist so drückend!
Was dir einzig wert, es steht vor Augen;
ewig untersagt ist Huldvereinung.
Sombre forêt que ton ombre est lugubre !
Pauvre cœur, que ta souffrance est accablante !
Tu vois devant toi le seul objet qui te soit précieux
Et il t'est à jamais refusé de t'unir à lui.
13-Nein, Geliebter, setze dich
mir so nahe nicht!
Starre nicht so brünstiglicht
mir ins Angesicht!
Wie es auch im Busen brennt,
dämpfe deinen Trieb,
daß es nicht die Welt erkennt,
wie wir uns so lieb.
Non, bien-aimé, ne t'assieds pas
si près de moi !
Ne pose pas sur moi
Des regards aussi ardents.
Même s'ils brûlent en toi,
Réprime tes penchants
Afin que personne dans le monde ne sache
Combien nous nous aimons.
14-Flammenauge, dunkles Haar,
Knabe wonnig und verwogen,
Kummer ist durch dich hinein
in mein armes Herz gezogen!
Adorable et hardi garçon
Aux yeux ardents, à la noire chevelure,
C'est toi qui as fait entrer le chagrin
Dans mon pauvre cœur.
Kann in Eis der Sonne Brand,
sich in Nacht der Tag verkehren?
Kann die heiße Menschenbrust
atmen ohne Glutbegehren?
L'embrasement du soleil peut-il se changer en glace ?
Le jour se transformer en nuit ?
La brûlante poitrine humaine
Peut-elle respirer sans être enflammée de désir ?
Ist die Flur so voller Licht,
daß die Blum' im Dunkel stehe?
Ist die Welt so voller Lust,
daß das Herz in Qual vergehe?
Les champs rayonnent-ils de lumière
Pour que la fleur reste dans l'ombre ?
Le monde est-il rempli de plaisirs
Pour que le cœur périsse de tourment ?
15-Nun, ihr Musen, genug!
Vergebens strebt ihr zu schildern,
wie sich Jammer und Glück
wechseln in liebender Brust.
Heilen könnet die Wunden
ihr nicht, die Amor geschlagen,
aber Linderung kommt einzig,
ihr Guten, von euch.
Muses, en voilà maintenant assez !
C'est en vain que vous vous efforcez de dépeindre
Comme le chagrin et la joie
Remplissent tour à tour un cœur aimant.
Vous ne pouvez pas guérir les blessures
Que l'Amour a infligées,
Mais c'est de vous seules,
Aimables créatures, que vient le soulagement.
Texte de Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832)
http://www.parischoralsociety.org/traduction.html#n01
Bonsoir,
Voici le troisième dimanche de l’Avent. Nous attendons tous quelque-chose ou quelqu’un !
Nous sommes même cet après-midi, réunis entre amis, entre frères
pour … attendre !
Certes nous connaissons les apparences de ce qui va se passer mais
dans le fond, avons-nous pu méditer à ce qui attend chacun
d’entre nous dans le temps à venir ?
Les « concerts du temple » fêtent aujourd’hui les 40 ans de
l’association culturelle qui a permis leur naissance, la JAP.
Qu’attendons-nous des prochains concerts ? quels émotions, quels
partages, quelles démonstrations de souffle de vie ?
Cet après-midi, nous sommes rassemblés, très nombreux, fidèles amis
des concerts du temple, nouveaux venus des régions et des religions
voisines, pour jouer ensemble de nos émotions et de nos attentes.
Les œuvres choisies sont parmi celles que l’on n’oublie pas : nous les
connaissons pour la plupart par les enregistrements mais ici, et maintenant attendons-nous à partager ensemble tout leur souffle de vie.
Veuille le Seigneur qui a permis d’associer la foi et l’expression artistique, donner maintenant du sens à notre attente à travers le génie
de ces musiques et le souffle de ces artistes.
Jean-Pierre Jourdan
Les œuvres
Gaspard de la Nuit / Scarbo (1908)
Maurice Ravel (Ciboure 1875 – Paris 1937)
3eme poème pour le piano
Après deux poèmes de Gaspard de la nuit (Ondine et
le Gibet), « Scarbo » brosse le portrait d’un nain et d’un
lutin qu’on trouve partout et nulle part et qui, à minuit
brille dans le ciel, grimace, et rit dans un coin sombre
de la chambre et pirouette sur un pied.
La Campanella (1838)
Franz Liszt ( Raiding 1811 – Bayreuth 1886)
Six études / sol min. S140 n°3
Adaptation de sa grande fantaisie de bravoure sur la
clochette de Paganini (rondo final du concerto n°2
pour violon)
« La Campanella apparaît comme une page
nécessitant une virtuosité diabolique (saut périlleux,
traits vertigineux, trilles fulgurants, sollicitations très
inhabituelles de l’aigu du clavier) mais de laquelle
poésie et lyrisme ne sont jamais absents. Si acrobatique soit-il, le discours
conserve toujours la spontanéité, la fraîcheur et la générosité qui
l’empêchent de tourner à vide et lui permettent au contraire de toucher
la sensibilité de l’auditeur ».
Jean Dupart Larousse de la musique
Neue Liebeslieder op. 65 (1875)
Johannes Brahms (Hambourg 1833 – Vienne 1897)
Valses pour 4 voix et accompagnement au piano à
4 mains
Les duos sont un régal tandis que quelques
chansons reflètent ses préoccupations de vie
enfermée du compositeur.
(Voir les textes en page 2 )
Concerto BWV 1056 fa min. ( ~1730)
J-Séb. Bach (Eisenach 1685 – Leipzig 1750)
J-S B. fut le premier à concevoir de véritables
concertos pour clavier et orchestre où le clavier
abandonne son humble fonction de soutien harmonique et rythmique. Pour cela, il partait de
fragments instrumentaux existant et les enrichissait
de détails expressifs. Mais il ne précise jamais si ces
concertos se jouent au clavecin ( cordes pincées)
ou au clavicorde ( cordes frappées).
Une douzaine de concertos ont ainsi été finalisés
pendant la période difficile vécue par J-S B. à Leipzig
(mal aimé des autorités, deuils familiaux ), numérotés 10xx.
Le fameux concerto BWV 1056 a pour sources deux concertos perdus,
l’un pour violon en sol min., pour les 2 mvts. rapides, et l’autre pour hautbois en Fa maj, pour le mvt. lent.
Les deux mouvements rapides exigent des musiciens modernes, beaucoup de légèreté pour traduire la virtuosité et l’esprit de l’époque. Le
« jeu de l’amour et du hasard » ( Marivaux 1730) est exactement
contemporain de son écriture !
L’admirable mélodie de l’adagio se retrouve dans la sinfonia de la Cantate 156 pour l’Epiphanie ( « ich steh’ mit einem Fuss im grabe »). Elle fait
évidemment un immense contraste avec les deux autres mouvements.
1er mouvement ( sans indication) – Largo - Presto
Messe en Sol maj. D167 (1815)
Franz Schubert (Vienne 1797 - Vienne1828)
Pour soli ( soprano, ténor et basse), chœur mixte,
orgue et orchestre à corde
Cette messe de commande a dû être créée en
l’église de Lichtental ( le quartier de Vienne où F. S.
est né). C’est une messe brève avec ses divisions
classiques mais elle revête le caractère typique d’une
messe de campagne à cause de son écriture
essentiellement vocale et d’un accompagnement
orchestral très léger.
Le Kyrie est très doux, un peu conventionnel, avec quelques interventions de la soprano solo.
Le Gloria, déclamatoire avec ses longues gammes, est parfaitement
adapté à son rôle liturgique d’introduction de la lecture de l’Evangile.
Le Credo est un chef d’œuvre, avec un chœur bien homogène et un
accompagnement à l’italienne, profond.
Le Sanctus début à la française, solennel et sérieux et s’enchaîne sur un
Hosanna en fugato.
Le Benedictus est écrit en forme de grand canon pour les trois solistes
avec un beau thème mozartien. Après un long développement il
s’achève en reprenant le sujet de l’Hosanna.
Le final, Agnus Dei, conclut l’œuvre dans un climat pastoral très paisible.
1 - Kyrie
2 - Gloria
3 - Credo
4 - Sanctus
Hosanna
5 – Benedictus
6 - Agnus Dei
andante con moto
allegro maestoso
allegro moderato
adagio maestoso
allegro
andante grazioso
lento
Ré maj.
Ré maj.
Symphonie concertante K 364 (1779)
W-Amadeus Mozart ( Salzbourg 1756 – Vienne 1791 )
en Mibmaj. pour violon, alto solos et orchestre
Cette
splendide
symphonie
inaugurée
vraisemblablement à Mannheim, après la période
parisienne de W-A M., est une étape dans la
maturation du compositeur.
Il se passe beaucoup de choses dans le 1er mvt.
parfaitement équilibré. L’orchestre expose un sujet
marchant avec une belle joie collective puis amène
par une large transition, à l’entrée des solistes. Leur
sujet est parfait pour le dialogue : ah ! l’aimable
discours dans la voiture à chevaux parmi la campagne viennoise !
Après un tutti bien étoffé, un moment d’inquiétude, comme si les passagers s’inquiétaient d’un escarpement de parcours, aboutit à une impressionnante conversation à trois. La reprise, tous ensemble, du thème du
début débouche sur une conversation plus savante entre les solistes, les
cordes et les vents. Pendant la cadence les solistes se font mutuellement
écho et s’amusent brièvement des motifs entendus auparavant.
L’andantino en do min. est un chant profond exposé 3 fois, brodé, entrelacé entre les solistes. La musique s’écoule avec des supplications et des
inquiétudes, des interrogations et des requêtes bien éloignées de
l’atmosphère du 1er mvt. La cadence récapitule cette conversation poignante entre les solistes.
Le 3ème mvt., presto, s’ouvre sur une contredanse qui devient vite campagnarde avec les cors. Les solistes jouent alors un thème repris par des
quantités d’annonceurs modernes. C’est le moment de déguster notre
chance de voir vivre devant nous, de vrais amis, artistes par passion, et à
poursuivre ensemble les élégants développement du magique Mozart.
Allegro maestoso - Andante - Presto
Les Musiciens
Pianiste
Nadezda Pisareva, « jeune talent » invitée du centre
des arts, ( née à Moscou en 1987 ) a été élève de S. Dorensky
(C. Tchaïkovski de Moscou), et a remporté le concours « virtuosi
per musica di pianoforte » ( Tchéquie 1998). Elle se produit en
Russie ainsi qu’en France, Allemagne et au Japon ou en
Australie. Elle a participé au dernier concours G. Enesco
(Bucarest septembre 2007 ) avec André Licaret, précédent
« jeune talent » invité par le festival de piano d’Enghien (sept. 2005)
 [email protected]
L'ensemble vocal "System 20" rassemble depuis septembre 2005
une vingtaine de chanteurs expérimentés, autour d'un répertoire pour petit chœur très exigeant. Sous la direction de Christine Morel, cet ensemble a désormais à son répertoire,
chronologiquement, Schütz et Gabrieli, "la Guerre" de Janequin, la messe "Pro Victoria" de
Vittoria, deux cantates de Buxtehude et Bach, les chœurs d’Hippolyte et Aricie de Rameau,
les Zigeuner Lieder et les Neue Liebeslieder » Brahms, trois pièces religieuses et la Messe en
Sol de Schubert, les Chants Slaves de Dvorak, les Dances from Gloriana de Britten, quatre
pièces a capella de Jean Langlais (1931), "Un étranger..." de Thierry Machuel, écrite en 2003.
Les chanteurs se sont produits à Paris (Temple des Batignolles, Eglise du "Foyer de l'Ame",
Maison de Radio France) , Saint-Denis (Bourse du Travail) Chauny (Picardie). Ils ont participé
à Lux Noctis, Dies Solis de Maurice Ohana, pour Radio France. Ils ont collaboré avec Edwin
Baudo et Yann Liorzou, pianistes, Jean-Yves Ravoux, ténor, l'ensemble de cuivres anciens
"Christophe Plaisance", l'ensemble "XVIII-XXI", l’ensemble Musicatreize et le chœur et la maîtrise de Radio-France sous la direction de Roland Heyrabedian.
Prochainement, ils reviendront à Rameau ( Paris - auditorium St Germain - février2008 ), puis
interpréteront deux cantates de Bach en juin après un détour vers la création d’une nouvelle pièce que Benoît Menut écrit spécialement pour l’ensemble.
 [email protected]
Les chanteurs
Soprani
Contralti
Ténors
Basses
Marguerite Berger, Victoria
Chandivert, Marlies
Hoenicke,
Félicité Ogerau,
Juliette Solves
Anne Bertrand,
Anne-Catherine Boudet,
Marie-Laure Cotte,
Anke Grutschus,
Anne Migeot de Baran,
Marguerite Labrousse
Denis Chemla, Romain
Dufrene, Gilles Mirieu de
Labarre, Jacques Lejeune,
Jean-François Morel
Julien Berger, Raphaël
Couval, Gilles Grimaldi,
Jacques Lemaire, Sébastien Morel
Chef de chœur
Christine Morel est titulaire du CA de formation musicale
(1978) et du CA de direction des ensembles vocaux (2005). Elle
s’est perfectionné auprès de Sir David Willcocks, de Stéphane
Caillat, Philippe Caillard, Nicole Corti et Michel-Marc Gervais.
Christine Morel a fondé l’ensemble Claude Goudimel (1994)
pour un répertoire renaissance (enregistrement Naxos 1995. 5
diapasons), a dirigé le chœur d’oratorio Per cantum ( >1994) et
le chœur d’enfant Nadia Boulanger . ( > 1996). Elle a fondé
l’ensemble vocal SYSTEM20 (2005) et dirige depuis 2007 l’ensemble Alcyone , ensemble de 8
solistes, ( enregistrement de l’intégrale des Motets de J.S. Bach)
Christine Morel est professeur aux CNR de Paris et d’Aubervilliers-la Courneuve où elle dirige
l’Inchoeurigible.
Elle joue en parallèle comme pianiste de récital avec le ténor Jean-Yves Ravoux.
Publication : Détours de Chants , ( 2001 - éditions Lemoine)
recueil conçu en lien avec la Formation Musicale pour le développement du Chant Choral
dans le premier cycle des Conservatoires.
 [email protected]
Pianistes à 4 mains
Yann Liorzou
est également organiste titulaire à l’Église St Denys du St Sacrement. Titulaire également d’un CA de formation musicale, il enseigne dans différents
conservatoires de la Ville de Paris, ainsi qu’au CNR Paris. Il accompagne la Maîtrise de
Paris. Il exerce comme musicien associé à de nombreuses formations vocales et instrumentales.
Laura Caravello
Chef d’orchestre
François Detton a une double formation de juriste et de musicien.
Flûtiste et chef d’orchestre, il a notamment travaillé avec J.L Beaumadier, ancien soliste de
l’orchestre national de France et R.Guyot, ancien flûtiste de l’orchestre national de l’Opéra
de Paris.
Il a obtenu ses diplômes supérieurs à l’ENM PARIS (classe de flûte de Claudine Cloutour et
classe de musique de chambre de Chantal de Buchy).
Succédant à son ami Jean Ferez, il est directeur musical de l’Ensemble Instrumental
d’Enghien les bains depuis 1982 avec lequel il se produit régulièrement mais est également
invité à diriger d’autres formations.
François Detton a également une activité de chambriste et il est membre fondateur du
quintette « les alizés » (flûte, violon, alto, violoncelle et harpe) et se produit dans plusieurs festivals en France et dans les départements d’outre mer.
Plus récemment, il a crée le festival « PERNES EN MUSIQUES » dont il assure la direction artistique depuis 2006. (Festival subventionné par la ville de Pernes les fontaines – Vaucluse)
 01 76 29 00 21 [email protected]
L’ensemble Orchestral d’Enghien les Bains est Issu d’une très ancienne
formation symphonique créée à Enghien à la fin du 19ème siècle. Cet ensemble a été réorganisé dans sa forme d’ensemble de musique de chambre en 1970 sous l’impulsion de
l’Inspecteur Général Jean Ferrez. Sa géométrie variable lui permet d’aborder de nombreux
répertoires, de la musique classique à celle d’aujourd’hui.
Cet ensemble est constitué pour l’essentiel d’amateurs de qualité auxquels se joignent en
fonction des ouvrages abordés quelques musiciens solistes, jeunes professionnels issus des
grands conservatoires nationaux français.
Il travaille à Enghien les Bains, sa ville d’attache, depuis sa création et cette collectivité lui
apporte un soutien financier constant qui lui permet d’organiser plusieurs manifestations
dans l’année. Il est dirigé par François Detton depuis 1982.
Présidente : Sophie Merchat
 01 39 64 49 06 [email protected]
Les instrumentiste de l'orchestre
Violon 1
Mindy Morel, Sophie Merchat, Geneviève Privé, Catherine Dukaez-Gelove,
Lena Denaive, Michèle Legall, Stéphanie Verdier-Ollé, Agnès Reverdy
Violon 2 Marion Detton, Tiphaine Ques, Anne-Marie Beck, Lucien Lepetit-Collin
Alto
Bénédicte Detton, Helga Besserer, Béatrice Fonteny
Violoncelle Anne Le Cour, Matthieu Detton, J-Pierre Jourdan
C-basse Jérémie Sananes
Cor
Philippe Durand, Florent Barrois
Hautbois Christophe Brilloit, Helphège Caplan
Pianiste concertiste
Florence Rouichi-Gallot a débuté au CNR
d’Aubervilliers-La Courneuve où elle obtint les médailles d’or
en piano, déchiffrage, formation musicale et musique de
chambre ainsi qu’un baccalauréat technique musical.
Diplômée de l’Institut Musical Européen de Besançon en
piano, histoire de la musique et pédagogie, elle enseigne
depuis 1985 à l’école de musique d’Enghien les Bains. Elle se
produit dans diverses régions de France en quatre mains, à
deux pianos ou en soliste.
 [email protected]
Violon/alto concertants
Céline
Planes
est
violoniste
Philharmonique
de
Radio-France
et
conservatoire de Charenton.
de
l'Orchestre
professeur
au
Renaud Stahl
est alto-solo de l'Orchestre National d'Îlede-France, professeur au conservatoire du 13ème arr. de Paris et
au CNR de Rueil-Malmaison.
Renaud Stahl a fondé l’ensemble Chagall devenu ensemble
Dimitri en 2004. Cet ensemble a créé les Concerts du temple
vers 1995 et il offre depuis, au public de la vallée de
Montmorency plusieurs concerts chaque année, de haute
tenue musicale associée à une grande cordialité humaine.
 [email protected] ; http://renaud.stahl.free.fr
« libre participation aux frais »
Voici quelques indications pour participer et permettre la continuation
des concerts du temple
Défraiement des artistes
On peut « reconnaître le travail » des artistes professionnels au prix
de son temps passé à préparer le concert et à se produire. 3 heures
de répétition et 3 heures de concert évaluées à 25€ l’heure reviennent par artiste à
150 €
On peut « reconnaître l’engagement vital » des artistes professionnels
en estimant qu’avec 8 concerts par mois ces personnes au talent
admirable doivent gagner 3 000 € par mois. Il faut alors que chaque
concert leur apporte à chacune
275 €
S’ajoutent les frais de logistique
Frais pour un concert simple
150 affiches couleur et 750 prospectus n&b
75 €
100 programmes de salle n&b
25 €
collation
30 €
Droits sur les œuvres ( SACEM)
10 à 50 €
Assurances + chauffage + ménage des locaux
50 €
Publications ( journaux, site internet)
offert
Location des salles
offert
Secrétariat
bénévolat
Total forfaitaire
200 €
Frais pour un concert particulier
500 envois postaux
Location + transport d’un piano
Accord d’un piano
250 €
400 à 1 200 €
70 €
Pour 8 concerts par an, 30 artistes professionnels par an, 20 à 150 personnes participants aux frais de chaque concert,
Si nous participons pour
- moins de 6 €, nous ne reconnaissons même pas le « travail des artistes »,
- moins de 11 € nous ne reconnaissons pas leur « engagement vital pour la
musique »
Merci d’avoir lu ces lignes.
JEUNESSE ET AMITIES PROTESTANTES
La JAP est une association loi 1901, agréée par le Ministère de la Jeunesse
et Sports
Elle a été créée en janvier 1968 sous l’égide du pasteur Dubs, alors en poste
à Enghien, et par Daniel et Nicole Bourquin, très vite rejoints par Lucien
Cordier.
Elle est l’association culturelle de l’association cultuelle de l’Eglise Réformée
d’Enghien .
JAP fédère divers organismes et mouvements gravitant autour de la paroisse protestante d’Enghien-Montmorency et environ, leur donnant par là
un support juridique ainsi qu’un soutien financier et logistique.
Grâce à l’obtention d’une importante subvention du Conseil général, elle
a contribué au financement de l’extension de la « Maison Haute », centre
paroissial (171 avenue de la division Leclerc à Enghien les Bains)
Elle aide le scoutisme et les jeunes hors scoutisme (par le financement des
camps, des voyages, des stages de formation des chefs), les « moins jeunes » de différentes générations, les concerts du Temple. Elle assure la présence des protestants aux journées d’associations comme aux voyages
vers les villes jumelées.
Elle gère les salles de réunions de la paroisse, les mettant en semaine, à la
disposition du CPCV, membre moral de l’ association pour son activité sociale.
La JAP fête à présent ses 40 ans.
Grâce aux cotisations de ses membres et aux subventions que lui accordent les communes et le Conseil général, elle a pu ainsi arriver à ce bel anniversaire et remercie tous ceux et celles qui lui ont permis d en arriver là.
Louveteaux d’Enghien en 2001
Branche Aînée Unioniste au Liban 1998
Association Jeunesse et Amitiés Protestantes
 171, avenue de la Division Leclerc 95880 Enghien-Les-Bains
+  01 39 64 70 28 http : //erf.enghien.free.fr
Coordination des concerts : J-Pierre Jourdan  06 62 13 82 77
 mél : [email protected]