Fiche de lecture de l`ouvrage: « Transitions de vie »

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Fiche de lecture de l`ouvrage: « Transitions de vie »
Myriam MICHEL
Formation de Formateurs août 2009/avril 2010
Fiche de lecture de l’ouvrage:
« Transitions de vie »
-Comment s’adapter aux tournants de notre existenceEcrit par William Bridges, un consultant américain dans le domaine du
développement personnel, cet ouvrage a été publié la première fois en 1979 ; ce livre
est devenu un best seller, peut-être parce que chacun de nous est forcément
concerné, un jour ou l’autre par un, des changements, et que probablement, la
cadence de ces changements s’accélère encore davantage de nos jours.
Dans l’introduction, l’auteur fait la différence entre changement et transition.
Un changement, désigne une réalité concrète, objective (un déménagement, un
licenciement, un nouveau travail…) En revanche le mot « transition » désigne une
réalité psychologique, subjective et s’applique aux adaptations internes que les
événements impliquent. C’est un processus naturel de désorientation et de
réorientation permettant de passer d’une étape de sa vie à la suivante.
Un changement ne « prend » que s’il est intégré grâce à une transition.
Par le passé, certaines sociétés avaient des rituels (rites de passage) qui
permettaient aux individus de clore un chapitre de leur vie avant d’en ouvrir un autre.
Nos sociétés ne le permettent plus aujourd’hui et c’est à chacun de nous de trouver
les moyens de se réinventer ; l’ouvrage se veut être une aide en la matière.
L’ouvrage est constitué de deux parties : l’une consacrée au « besoin de changer »,
la deuxième à la « transition, une fin qui prépare un nouveau commencement ».
Première partie. Le besoin de changer
L’ouvrage s’intéresse aux transitions en y voyant un difficile processus en 3 étapes :
Accepter de renoncer à une situation existante (fin),
Subir une phase marquée par l’incertitude,(zone neutre)
Retrouver ses marques dans une situation nouvelle (nouveau départ).
Chapitre 1 : être au cœur d’une transition
L’auteur évoque l’idée que toute transition commence par une fin ; nous en avons
connu une grande quantité depuis notre jeune âge, et face aux fins, nous
développons une réaction-type, qui peut être inadaptée dans certaines situations
(exemple trouver un nouvel emploi qui nous plait et nous sentir dans la peine et la con
fusion).
Entre la fin d’une phase et le début d’une autre, il y a un important passage à vide,
nécessaire pour faire le deuil (de la phase précédente).
L’impact d’une transition n’est pas proportionnel à l’importance du changement qui a
provoqué cette transition.
Chapitre 2 : notre vie, une succession de transitions
Ce chapitre s’appuie sur la fameuse énigme du sphinx ; la vie est marquée par 2
grands tournants : la transition entre la dépendance et l’autonomie, le deuxième
concerne la transition vers la vieillesse.
Les sociétés tribales attachaient une grande importance au tournant de la fin de
l’enfance. Dans nos sociétés, la trentaine marque peut-être le premier grand tournant
de l’existence, on devient adulte à ce moment-là, et les choix que l’on fait à ce
moment donnent le ton aux vingt/trente années à venir…
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Aux alentours de la quarantaine, et de la cinquantaine, beaucoup d’entre nous
réalisent qu’ils se sont bercés d’illusions et qu’ils ne seront « jamais » riche, célèbre,
écrivain, artiste etc. etc.,
A cet âge, les transitions sont plus souvent déclenchées par un tiers (enfant qui quitte
la maison…)
Quand on approche de la vieillesse, on est en quête de sens plutôt que de réussite :
l’Odyssée est la métaphore de ce qui est possible quand on a passé assez de temps
dans le vacarme du monde…
Chapitre 3 : transitions et des rapports affectifs
Ce chapitre traite essentiellement du couple et je ne m’attarderai pas sur son contenu,
qui m’a moins intéressée.
Chapitre 4 : les transitions dans la vie professionnelle.
Notre économie est dépendante du changement et notre culture célèbre la créativité
et l’innovation ; aussi nos carrières sont-elles ponctuées de changements fréquents,
dont chacun exige de renoncer à une certaine façon de faire et à une certaine
identité, et ces transitions pèsent sur notre productivité car elles absorbent beaucoup
de notre temps et de notre énergie. Les phases de réorientation professionnelle
seront plus ou moins difficiles en fonction de l’importance du facteur déclenchant la
réorientation et sa concomitance éventuelle avec une transition dans la vie
personnelle.
Chaque fois qu’on est en transition, il faut se poser deux questions : « à quoi le temps
est-il venu de renoncer ? », question qui marque la différence entre un changement et
une transition, car dans une transition, on renonce au passé.
La deuxième question est : « qu’est-ce qui, en coulisses de ma vie attend de faire son
entrée en scène » ? La réponse à cette question est une réalité interne, une prise de
conscience personnelle ; donc, il faut renoncer à certaines choses pour ouvrir la voie
à d’autres. Quel que soit le nombre de périodes de crises traversées au cours d’une
vie, il y a alternance de phases d’expansion et de contraction, de changement et de
stabilité ;
Deuxième partie : une fin qui prépare un nouveau commencement…
L’introduction à cette deuxième partie commence par la description du rituel
d’initiation à sa vie d’adulte d’un jeune membre d’une tribu. On doit à Arnold van
Gennep l’expression « rite de passage » ; ces rites permettaient aux sociétés
traditionnelles de structurer les transitions de la vie ; ces cérémonies comportaient
trois phases : séparation, transition, incorporation.
La séparation extrait de son contexte habituel la personne qui subit une mort
symbolique ; puis vient une phase d’isolement que van Gennep appelle « zone
neutre », puis lorsque le changement interne a été réalisé, la personne est réintégrée,
mais sur de nouvelles bases.
L’auteur propose de s’inspirer des cultures des sociétés traditionnelles pour examiner
les trois phases de la transition : fin, zone neutre, nouveau départ.
Chapitre 5 : au début, il y a les fins.
Toute fin est le début d’un processus de transition menant à une régénérescence. Il
est nécessaire de regarder les fins en face pour tourner vraiment la page ; nous
disons « le passé est le passé », mais c’est justement ce que nous avons du mal à
vivre, la fin de cette ancienne vie.
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Pour l’auteur, il y a cinq aspects du processus naturel de fin : les cinq « Dé » : le
désengagement, le démantèlement, la désidentification, le désenchantement, la
désorientation.
Le désengagement est la prise de conscience par la personne de ce qu’elle a perdu
au travers de l’événement qui l’affecte : divorce, décès, licenciement, exil,
déménagement, maladie, etc. Il déclenche un processus inexorable de changement.
Le démantèlement concerne le « détissage » des liens que la personne entretenait
avec l’objet de la perte, et son ancienne identité. L’auteur donne un exemple au
travers de la mort d’un être cher : veillée du défunt, cérémonie, période de deuil où
l’on s’habille en noir, cérémonie du souvenir après un an ; tous ces rituels aident la
personne à « laisser partir le mort » si l’on peut dire.
La désidentification : par le démantèlement, on perd son identité (dans l’exemple
donné plus haut de « femme ou mari de »). Ce processus est le pendant interne du
processus de désengagement ; il faut desserrer les liens avec la personne que l’on
croyait être pour pouvoir évoluer vers une nouvelle identité.
Le désenchantement : c’est se rendre compte que d’une certaine façon, l’ancien
monde a cessé d’exister. Le désenchantement est une expérience récurrente dans la
vie, et toutes les transitions s’accompagnent nécessairement de désenchantements ;
pour vraiment changer, il faut admettre qu’une part importante de l’ancienne réalité
n’était qu’une vue de l’esprit ; qu’elle résultait d’un enchantement jeté sur nous par le
passé, et quand un désenchantement intervient, c’est le signe qu’une transition se
prépare, c’est le signe qu’on est disposé à voir et à comprendre plus de choses.
L’être désenchanté tourne la page alors que l’être désillusionné revit éternellement le
même chapitre.
La désorientation : c’est un état de confusion, de perte de repères, ces moments où
l’on se dit : « je ne sais plus où j’en suis » ; avant de trouver de nouveaux repères, il
faut traverser un passage à vide.
L’auteur revisite le complexe d’Œdipe et lui donne une nouvelle interprétation : on
demande à Œdipe, en fait de ne pas changer ; l’histoire d’Œdipe, c’est l’histoire de
l’adulte déchiré entre l’évolution naturelle qui le pousse à la transition et sa tendance
à toujours revivre le passé. Ce mythe éclaire le processus de transition : au-delà d’un
certain point, les manières d’être qui sous-entendaient une phase de la vie se mettent
à la détruire ; ainsi, à cause d’une prophétie indiquant qu’ il tuerait un jour son père,
Œdipe enfant est envoyé loin de Thèbes, plus tard, apprenant l’existence de la
prophétie, il décide de quitter sa famille d’accueil pour ne pas risquer de tuer son père
adoptif qu’il prend pour son père ; à chaque étape de sa vie, les tentatives visant à
perpétuer une chose (être non-parricide)) entrainent la perte de cette chose ( et il
devient parricide !).
L’histoire d’Œdipe illustre notre tendance à résister aux grands changements de notre
vie et à mal les comprendre alors même que nous aurions absolument besoin de
changer de point de vue.
Ce qui distingue essentiellement un changement d’une transition, c’est qu’un
changement est motivé par un objectif à atteindre, alors qu’une transition commence
par un renoncement, et ce renoncement sera toujours un renoncement à une réalité
intérieure ; par exemple : parvenir à la conclusion qu’il faut renoncer à son partenaire,
sera un changement découlant d’une réalité intérieure, le renoncement à une vision
que l’on avait de l’autre, de soi, du couple que l’on formait ensemble…
Des cinq « dé » précédemment évoqués, seul le désengagement porte sur des
réalités extérieures, le démantèlement peut être un processus externe ou interne, et
la désidentification, le désenchantement, la désorientation se réfèrent tous à des
réalités intérieures, donc à un attachement au passé.
Ceux qui ne voient que les réalités extérieures ont tendance à changer d’emploi, de
partenaire, de pays même, en menant au final toujours le même type de vie : ils
recherchent le changement pour mieux fuir la transition ; par exemple, ils divorceront
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pour retomber sur le même type de partenaire, sans se demander pourquoi ils
tombent toujours sur ce type d’homme/de femme…
C’est donc une fin intérieure qui déclenche la transition et celle-ci qui provoque le vrai
changement. Seul le processus de transition permet de conférer un sens aux fins et
d’ouvrir la porte aux transformations.
L’auteur cite Mircea Eliade : « dans aucun rite ou mythe, nous ne rencontrons la mort
initiatique uniquement en tant que fin, mais en tant que condition sine qua non d’un
passage vers un autre mode d’être, épreuve indispensable pour se régénérer, c’est-àdire pour commencer une vie nouvelle ».
La fin est la conclusion d’une situation certes, mais c’est aussi le début d’un
processus.
Chapitre 6 : au milieu la zone neutre, un temps essentiel de réorientation
Dans les civilisations anciennes, l’être en transition quittait son village pour un endroit
inconnu, une phase d’entre-deux où peu à peu, il pouvait se découvrir une nouvelle
identité. C’est le rôle de la zone neutre d’ouvrir une parenthèse dans le quotidien de
l’être en transition ; il reste dans une inactivité porteuse d’une réflexion devant
déboucher sur une transformation intérieure.
Cet entre-deux redoutable, apparemment stérile, déconnecté de toute réalité tangible
permet en fait de trouver un nouveau sens à la vie, mais reste très difficile à vivre ; en
effet, il faut s’abandonner au vide et cesser de lutter pour s’en extraire.
Trois raisons à ce vide :
D’abord le processus de transformation est un processus de mort et renaissance, et
non une modification mécanique,
Ensuite le processus de désintégration-réintégration est la source du renouvellement,
enfin le vide permet la distanciation des réalités quotidiennes.
Il faut admettre que nous avons besoin de la zone neutre, pour comprendre pourquoi
nous en sommes là, au point mort ; à ce moment, mieux vaut rechercher l’isolement,
une parenthèse de solitude, tenir un journal de bord, rester attentif à soi-même à sa
perception des choses, écrire même son autobiographie, car pour savoir où l’on va, il
faut savoir d’où l’on vient. Loin d’être une matière figée, le passé reste à remodeler
par l’esprit ; le passé est évolutif.
Le passage en zone neutre doit permettre de s’interroger sur ses véritables désirs, en
tout cas d’être conscient de l’existence de ces désirs ; il est nécessaire de cultiver sa
réceptivité, en se détachant de ses activités habituelles ; c’est une retraite nécessaire
à la découverte de soi-même.
Il faut savoir que la zone neutre peut déborder sur l’ancienne situation parce que
intérieurement, la fin est déjà intervenue ; la zone neutre peut aussi déborder sur la
nouvelle situation parce que le nouveau départ n’est pas intervenu dans l’esprit de la
personne ; ce qui veut dire que les choses ne sont pas aussi nettes que les mots que
l’on met dessus ; en tout cas, la zone neutre est l’occasion d’une réorientation interne.
Chapitre 7 : Et vous vous retrouvez en train d’accomplir un nouveau départ…
Dans les transitions, ce n’est qu’après le temps des fins et de la zone neutre qu’un
être peut se régénérer ; il doit d’abord s’être changé par la déconstruction des
structures de son ancienne vie et par le passage à vide, ce qui dans notre culture
occidentale mécaniste n’est pas si évident ; il n’est pas aisé de détecter le début et la
fin de ces différentes phases, mais quand on est prêt à un nouveau départ, l’on sait
tirer parti de l’opportunité qui se présente ; autrement c’est qu’on n’en a pas fini avec
la zone neutre. Il faut être attentif aux signaux intérieurs, à nos impressions et ne pas
compter sur des signes extérieurs évidents pour détecter le moment venu.
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Ce signe intérieur ce peut être une rêverie, ou un rêve, une remarque qui entre en
résonance en nous et qui nous parle alors. Les vrais nouveaux départs se fondent sur
un réalignement intérieur plutôt que sur un changement extérieur.
C’est quand on s’aligne sur ses désirs profonds que l’on acquiert une puissante
motivation. On invoque souvent le manque de temps ou d’argent pour arguer d’une
incapacité à prendre un nouveau départ ; en fait nous sommes capables de triompher
de bien des obstacles si notre but nous apparaît clair et désirable. Suivre ses vraies
aspirations, c’est affirmer sa véritable indépendance.
Quelquefois, notre résistance au changement est très forte et nous empêche de
réaliser le changement que nous visons, nous pouvons nous sentir déprimés, dans le
conflit avec les autres, ou plongés dans le flou ; c’est en fait que tout nouveau départ
vient perturber un dispositif de sécurité bien ancré. Les réactions défensives sont un
moyen indirect de perpétuer l’ancienne situation.
Comment savoir si nous visons un vrai changement ou une simple répétition du
même sous une autre forme ?
Il faut être attentif à deux signes : la réaction de ceux qui nous connaissent bien, et le
vécu que nous avons du processus de transition : a-t-on bien vécu une fin, traversé
une zone neutre, puis découvert le nouveau départ ? Il faut donc passer à l’action,
puis commencer à se projeter à la fin du projet mené à bien.
Imaginer son ressenti à ce moment est indispensable pour nourrir la confiance en soi.
Il est important d’avancer étape par étape, sans vouloir « brûler ces étapes » ; il est
nécessaire d’apprendre à s’intéresser au processus de réalisation, en détournant son
attention de l’objectif, car il n’y a pas de miracle, il faut du temps pour arriver à se
retrouver, à se réidentifier, à se réengager.
« Une fin, puis un nouveau départ, avec une jachère puis les semis du renouveau » ;
cette alternance décrite par l’auteur est nécessaire à l’évolution personnelle de
l’individu.
Conclusion :
Notre capacité à trouver de nouveaux équilibres est notre force.
Prenant le mythe de Psyché comme appui à ses dires l’auteur montre ici comment les
moments les plus difficiles sont aussi ceux qui permettent quelquefois de trouver en
soi des ressources insoupçonnées, et c’est dans la zone neutre qu’on peut puiser une
énergie et une intuition extrêmement puissantes, et sortir transformé par
l’expérience…
Commentaires personnels et relation entre l’ouvrage et « ComColors »
J’avais choisi de lire ce livre et d’en restituer l’essentiel pour pouvoir mieux
comprendre moi-même quel était le ressort de la motivation en général, et de façon
plus personnelle comment me « remotiver » moi-même, me « réinventer » face à un
quotidien trop ronronnant.
Force m’est de reconnaître que ce livre ne m’a pas aidée à voir plus clair en moi et à
trouver les moyens de « réenchanter » mes lendemains.
D’ailleurs, ce n’était pas le propos de l’auteur qui souhaitait plutôt aider les gens à
analyser les changements qu’ils vivent, et à continuer leur route en les ayant intégrés.
Sa démarche est néanmoins très intéressante car elle permet de se sentir plus
conscient et donc, peut-être plus fort face aux changements qui jalonnent le
quotidien, que ces changements aient été désirés ou subis.
Il est évident que notre époque en particulier, regorge d’occasions de traverser la fin
d’une histoire passée, une zone neutre et un renouveau. J’ai cependant le sentiment
que nombre de nos contemporains, de nos compatriotes devrais-je dire, ne sont pas
armés pour affronter la permanence du changement.
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En tant que Consultante en formation, je suis confrontée régulièrement à des
personnes exposées aux changements qui affectent gravement leur vie
professionnelle et impactent lourdement parfois leur quotidien dans la sphère privée.
Notre société est une société sans pitié pour ceux qui ne sont pas entrés en
résistance, et sinon parlerait-on comme on le fait aujourd’hui du stress et des ravages
qu’il engendre ? Je me dis que la lecture ce cet ouvrage me donnera peut-être
quelques clefs pour aider ces personnes dans leur processus d’évolution.
Quant au désir de changer, voire de se changer, ComColors donne quelques pistes
quand le modèle propose une lecture du changement de couleur secondaire en lien
avec les nouveaux besoins ressentis par les êtres, à l’occasion d’un changement.
Peut-être que le changement de secondaire est justement lié au processus évoqué
par Bridges : fin d’une époque, (on «quitte » sa secondaire actuelle), zone neutre
(c’est le brouillard, on ne sait plus satisfaire les besoins de la secondaire que l’on
affichait, mais on ne sait pas vraiment quels nouveaux besoins sont à satisfaire)) et
enfin le renouveau (on teste le mode de satisfaction de ses nouveaux besoins, liés à
la nouvelle secondaire et on s’approprie pleinement cette secondaire)
Toutes ces lectures, tous ces nouveaux outils sont inestimables pour qui veut un tant
soit peu mieux se comprendre et s’aider lui-même sur le difficile chemin du
développement personnel.
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