Revue mensuelle et stratégie - Franklin Templeton Investments

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Revue mensuelle et stratégie - Franklin Templeton Investments
Portefeuilles Franklin Quotentiel
31 décembre 2016
Revue mensuelle et stratégie
Le présent commentaire est fondé sur le Portefeuille
équilibré de croissance Franklin Quotentiel1.
POSITIONNEMENT TACTIQUE
TITRES À REVENU FIXE CANADIENS
-8,83 %
-20 %
-10 %
0%
Neutre
10 %
20 %
TITRES À REVENU FIXE ÉTRANGERS
4,15 %
-20 %
-10 %
0%
Neutre
10 %
20 %
ACTIONS CANADIENNES
-3,16 %
-20 %
-10 %
0%
Neutre
10 %
20 %
ACTIONS AMÉRICAINES
-1,55 %
-20 %
-10 %
0%
Neutre
10 %
20 %
1,29 %
-10 %
0%
Neutre
10 %
20 %
L’indice
AUTREde référence mixte du Portefeuille équilibré de
croissance Franklin Quotentiel est composé à : 30 % de l’indice
2,25 %
obligataire universel FTSE TMX Canada
(titres à revenu fixe), à
10 % de l’indice Barclays Multiverse couvert (titres à revenu fixe),
à 30 % de l’indice composé de rendement total S&P/TSX (actions
canadiennes) et à 30 % de l’indice MSCI Monde tous pays.
2 -20 %
%
0 % Funds (FTIF)
10 % sont des20SICAV
%
Les Franklin -10
Templeton
Investment
du Luxembourg.
Neutre
* Comprend les marchés émergents. Les changements
mentionnés
dans la pondération des catégories d’actif peuvent
TRÉSORERIE
être influencés par les décisions d’achat et de vente, ainsi que
5,86 %
par les fluctuations de la valeur des actifs. Le pourcentage
et la ligne noire continue représentent la sous-pondération
ou la surpondération actuelle. La zone ombrée représente la
sous-pondération ou la surpondération minimale et maximale
-20 %
-10 %
10 %
20 %
au cours des
12 derniers
mois.0 %
Neutre
1
-20
-15
-10
-5
Les marchés boursiers mondiaux ont progressé au quatrième trimestre de 2016 grâce à un certain
nombre de facteurs favorables : l’optimisme des investisseurs américains à l’égard des politiques axées
sur la croissance du président désigné Donald Trump, les données macroéconomiques généralement
encourageantes dans plusieurs régions et l’annonce, en décembre, d’une prolongation du programme
d’assouplissement quantitatif de la Banque centrale européenne (BCE) au-delà de mars 2017. Toutefois,
l’incertitude ayant précédé les élections américaines en novembre, le référendum italien de décembre et les
élections primaires en France ont tour à tour assombri l’humeur des investisseurs. Au troisième trimestre de
2016, l’économie américaine a connu sa croissance la plus élevée en deux ans. À l’issue de sa réunion de
décembre, la Réserve fédérale américaine a augmenté le taux cible des fonds fédéraux et annoncé qu’elle
envisageait de procéder à trois autres relèvements en 2017. La BCE a pour sa part prolongé son programme
d’assouplissement monétaire, qui prendra maintenant fin en décembre 2017 plutôt qu’en mars 2017.
Elle a aussi annoncé qu’elle commencerait à réduire ses achats mensuels d’obligations à compter
d’avril 2017. L’économie canadienne s’est contractée en octobre, le secteur manufacturier connaissant
une baisse de régime. Par rapport au trimestre précédent, la croissance économique annualisée du Japon
a reculé au troisième trimestre. Toutefois, le taux d’inflation sur 12 mois a augmenté, et le taux de chômage
a baissé en octobre et en novembre. En décembre, les actions mondiales ont inscrit un gain de 2,16 %
selon l’indice MSCI Monde. Les actions américaines ont dégagé un rendement de 1,71 % et les actions
canadiennes ont progressé de 1,66 %. Les actions des marchés émergents ont quant à elles inscrit un gain
de 0,03 %, et le marché mondial des titres à revenu fixe a produit un rendement de 0,33 %. Les obligations
américaines à rendement élevé ont avancé de 1,78 % et les obligations canadiennes ont reculé de 0,50 %.
Répartition de l’actif – Dans l’ensemble, la répartition de l’actif du portefeuille a favorisé le rendement
relatif. La surpondération des actions européennes hors Royaume-Uni et la sous-pondération de titres à
revenu fixe ont été bénéfiques pour les résultats relatifs. En revanche, un placement non traditionnel hors
indice dans un FNB aurifère, la composante en trésorerie du fonds et la surpondération des actions des
marchés émergents ont nui au rendement relatif.
Titres à revenu fixe canadiens – Le Fonds d’obligations essentielles plus Franklin Bissett a inscrit un
rendement supérieur à celui du marché obligataire canadien, représenté par l’indice obligataire universel
FTSE TMX Canada, ce qui a contribué au rendement relatif.
ACTIONS MONDIALES ET INTERNATIONALES*
-20 %
Revue des marchés et positionnement actuel
0
5
10
15
20
Titres à revenu fixe étrangers – La sélection de fonds a favorisé les résultats relatifs de cette catégorie d’actif.
Le Fonds mondial d’obligations Templeton et le Fonds de revenu stratégique Franklin ont surpassé l’indice
Bloomberg Barclays Multiverse couvert. Le iShares TIPS Bond ETF et le iShares Intermediate Credit Bond
ETF ont quant à eux légèrement nui au rendement relatif.
Actions canadiennes – La sélection de fonds dans cette catégorie d’actif a contribué au rendement relatif,
en grande partie parce que le Fonds de sociétés à petite capitalisation Franklin Bissett a surpassé l’indice
composé S&P/TSX. En revanche, le Fonds de convergence canadienne Franklin Bissett et le Fonds de
sociétés à grande capitalisation canadiennes Franklin Templeton ont inscrit un rendement inférieur à celui
de l’indice de référence, ce qui a légèrement nui aux résultats relatifs.
Actions américaines – La sélection des fonds d’actions américaines a eu une incidence négative sur le
rendement relatif. Le Fonds américain de croissance des dividendes Franklin et le Fonds d’opportunités
américaines Franklin ont moins bien fait que l’indice S&P 500MD, ce qui a affaibli les résultats relatifs.
À l’inverse, le iShares Russell 1000 Value ETF a légèrement contribué au rendement relatif.
Actions mondiales et internationales – La sélection de fonds d’actions européennes hors Royaume-Uni et
de fonds d’actions japonaises a plombé le rendement relatif, tandis que la sélection de fonds d’actions des
marchés émergents a eu l’effet contraire. Le iShares MSCI Japan ETF et le Franklin European Small-Mid
Cap Growth Fund2 ont quant à eux légèrement nui aux résultats relatifs, contrairement au Fonds de
croissance asiatique Templeton.
Trésorerie – La composante en trésorerie a un peu pesé sur le rendement relatif. À la fin du mois, elle
représentait 5,86 % du portefeuille.
Portefeuilles Franklin Quotentiel – Revue mensuelle et stratégie
Stratégie de placement prospective
Notre opinion des actions japonaises s’est améliorée en décembre.
L’économie japonaise a montré des signes d’amélioration récemment
avec la hausse des salaires, de l’inflation et de la production industrielle.
Bien que le taux d’épargne reste élevé au Japon, nous pensons que les
hausses des salaires pourraient stimuler la demande des consommateurs.
Sur le plan de la compétitivité, le yen s’est affaibli au cours des derniers
mois par rapport à l’euro et au dollar américain, ce qui est susceptible
d’alimenter les exportations et l’expansion économique. Par ailleurs,
l’économie japonaise profite toujours du soutien de sa banque centrale.
Du point de vue des entreprises, les données fondamentales sont de
nouveau positives et continuent de s’améliorer. D’après nos analyses,
les actions japonaises affichaient des valorisations peu élevées à bien
des égards par rapport aux actions de nombreux autres pays développés
au 31 décembre, notamment en ce qui concerne le ratio cours/chiffre
d’affaires, et ce, même si le risque politique au Japon est moindre.
Malgré la piètre tenue des ventes au détail au Japon ces derniers mois,
nous pensons que les ventes s’approchaient d’un plancher de plusieurs
années et qu’elles pourraient avoir touché le creux compte tenu du
relèvement de novembre.
Nos perspectives à l’égard des obligations d’État d’Allemagne sont
défavorables. Les valorisations élevées et les conditions techniques
défavorables soutiennent notre évaluation selon laquelle les obligations
d’État d’Allemagne sont confrontées à des difficultés au chapitre
31 décembre 2016
du rendement. Nous pensons que les obligations d’État d’Allemagne
à moyen terme étaient fortement surévaluées et assorties de taux
extrêmement bas en décembre 2016, ce qui témoigne d’une asymétrie
dans le profil risque-rendement. Jusqu’à tout récemment, en novembre,
les taux des obligations d’État d’Allemagne étaient négatifs, de sorte que
les investisseurs devaient essentiellement payer le gouvernement allemand
pour détenir ces obligations. À la fin de la période, ces taux perdaient du
terrain après les hausses enregistrées au début du mois. Nous croyons
qu’il est peu probable que la Banque centrale européenne (BCE) abaisse
davantage les taux d’intérêt, ce qui limite la poursuite de la remontée
à notre avis. Le taux minimum auquel la BCE était prête à acheter des
obligations d’État d’Allemagne était incertain, puisque la BCE n’a pas
exclu la possibilité d’en acheter à un taux inférieur au taux des dépôts.
De plus, les indicateurs techniques laissent entendre que ces titres sont
maintenant surévalués, étant donné la participation limitée que peut
avoir la BCE. Le mécanisme de transmission de la politique monétaire en
Europe présente des améliorations graduelles depuis quelque temps, ce
qui pourrait donner lieu à une croissance et à une inflation supérieures aux
attentes, exposant les obligations d’État allemandes à un élargissement des
écarts de taux, selon nous. À notre avis, la BCE semble se satisfaire d’une
croissance modérée, et l’amélioration dont témoignent les récentes données
économiques appuie ce point de vue. Une croissance décevante dans la
zone euro menant à une récession et la poursuite du fléchissement de
l’inflation en Allemagne pourraient démentir nos pronostics.
Les rendements régionaux des actions et des obligations sont fondés sur les indices suivants : indice composé S&P/TSX, indice S&P 500, indice MSCI Marchés émergents, indice MSCI Monde tous pays
hors États-Unis, indice Credit Suisse des obligations à rendement élevé, indice Barclays Multiverse couvert et indice obligataire universel FTSE TMX Canada. Tous les commentaires sur le portefeuille dans
le présent document sont fondés sur le Portefeuille équilibré de croissance Franklin Quotentiel, utilisé comme référence pour l’ensemble du programme. Les surpondérations, les sous-pondérations et la
surperformance sont calculées sur la base de l’indice de référence mixte du Portefeuille équilibré de croissance Franklin Quotentiel, composé à : 30 % de l’indice obligataire universel FTSE TMX Canada
(titres à revenu fixe), à 30 % de l’indice composé de rendement total S&P/TSX (actions canadiennes), à 30 % de l’indice MSCI Monde tous pays (10,4 % d’actions internationales ou mondiales et 13,6 %
d’actions américaines) et à 10 % de l’indice Barclays Multiverse couvert. Les changements mentionnés dans la pondération des catégories d’actif peuvent être influencés par les décisions d’achat et de
vente, ainsi que par les fluctuations de la valeur des actifs. Les taux de rendement annualisés historiques des portefeuilles Franklin Quotentiel au 31 décembre 2016 sont les suivants : Revenu diversifié –
série T : 1 an 1,78 %; 3 ans 3,43 %, 5 ans 4,54 %, 10 ans 3,81 % et 4,94 % depuis la création (17 févr. 2003); Équilibré de revenu – série A : 1 an 1,92 %; 3 ans 4,49 %, 5 ans 5,83 %, 10 ans 3,40 % et
4,83 % depuis la création (19 août 2002); Équilibré de croissance – série A : 1 an 2,19 %; 3 ans 4,90 %, 5 ans 7,12 %, 10 ans 3,27 % et 5,13 % depuis la création (19 août 2002); Croissance – série A :
1 an 2,06 %; 3 ans 5,40 %, 5 ans 8,52 %, 10 ans 2,83 % et 4,68 % depuis la création (19 août 2002); Actions diversifiées – série A : 1 an 0,68 %; 3 ans 5,96 %, 5 ans 10,94 %, 10 ans 2,64 % et 5,57 %
depuis la création (9 juin 2003).
Les renseignements contenus dans le présent document étaient considérés comme fiables au moment de la publication, mais nous n’en garantissons pas l’exactitude ni l’exhaustivité. Les hypothèses ou
les opinions soutenues quant à des événements futurs, comme les conditions du marché ou l’évolution de l’économie, le rendement d’une société ou d’un titre, les offres éventuelles de produits ou d’autres
projections expriment le point de vue du conférencier ou de l’auteur, qui n’est pas nécessairement celui de la Société de Placements Franklin Templeton. L’évolution générale du milieu des affaires, des
marchés, de l’économie et des conditions politiques peut différer considérablement des prévisions ou des projections exprimées par leur auteur. Les renseignements présentés ne constituent ni une
recommandation, ni une sollicitation d’achat, ni une offre de vente d’un titre particulier.
Les montants investis dans des fonds communs de placement peuvent donner lieu à des commissions, des commissions de suivi, des frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus avant
d’investir. Les taux indiqués sont les taux de rendement totaux composés annuels historiques. Ils tiennent compte des fluctuations de la valeur des actions ou des parts et du réinvestissement de toutes les
distributions, mais n’incluent pas les frais d’acquisition, de rachat et de distribution, ni les frais facultatifs ou l’impôt sur le revenu exigibles de tous les porteurs de titres, qui auraient pour effet de réduire
le rendement. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et leur rendement passé n’est pas garant de leur rendement futur.
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