AMIRA Selma

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AMIRA Selma
Curriculum Vitae
Naissance : en Tunisie, j’y ai vécu et fait ma scolarité jusqu’en terminale.
1982 : arrivée à Paris, j’ai suivi la prépa Maths Sup/ Maths Spé au Lycée Saint-Louis.
1985 : ENSAE, statistiques et économie (à l’école de l’Insee).
1990 : DEA méthodes mathématiques en économie, Paris I-Sorbonne.
1992 : premier travail au Ministère de la Santé, chargée d’études économiques à partir de
statistiques épidémiologiques, puis j’ai enchaîné sur plusieurs postes au Ministère du Travail.
Parcours artistique depuis 1997 : Ayant toujours eu un intérêt particulier pour l’art, tout d’abord, je
me suis orientée vers la peinture : méthode Martenot en atelier privé, aquarelles, gouache, dessin au
fusain et à la sanguine, puis peinture à l’huile.
2000 : mon intérêt s’est porté vers les textures et les matières. J’ai commencé à travailler l’argile
dans un atelier du village Saint-Paul à Paris.
En 2001 : stages de raku avec mon futur maître du raku : Jean-Paul Bornier.
Depuis, chaque année j’effectue quatre à cinq stages de raku (émaillage dans des fours à gaz avec
des chocs thermiques), ce qui est devenu ma technique d’émaillage de prédilection. Cependant,
j’émaille aussi en faïence, en grès ou en porcelaine dans des fours électriques pour certaines couleurs
qui rendent mieux dans ces techniques, comme le rouge par exemple.
Outre les commandes que j’effectue pour des particuliers, j’ai fait des ventes dans des boutiques
d’objets décoratifs, et plusieurs expositions dans des galeries d’art:
Avril 2007 : Galerie Espace Châtelet-Victoria, expo collective « Transmettre aussi »,
Décembre 2007 : Galerie Hayasaki, village Saint-Paul, Paris 4
Mai 2008 : ateliers de Belleville, Paris 20,
Décembre 2008 : Galerie de l’Angle, Paris 3,
Mai 2009 : Galerie de l’Angle, Paris 3,
Décembre 2009 : Galerie de l’Angle, Paris 3.
Juin 2010 : Galerie Arcima, Paris 5.
2011 : j’ai ouvert un espace au village Saint-Paul (Paris 4) qui m’a permis de pratiquer une activité
régulière autour de la céramique, et m’a rendu possible la rencontre avec d’autres céramistes.
Durant cette période j’ai découvert de nouvelles techniques comme le raku « nu », ou la cuisson au
bois. J’ai eu des échanges très enrichissants avec des céramistes de différents coins de la France.
2015 : suite aux évènements tragiques de Paris mais aussi ceux de Tunisie, mon pays natal, je me suis
réfugiée dans la création. Et consciente plus que jamais que l’art est salvateur, j’ai donc installé un
atelier pour me consacrer principalement à la création et la production.

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