Cours Photoshop 12_0..

Transcription

Formation Photoshop® à la Haute Ecole de Namur
Graduat en Techniques Infographiques
22 heures de formation par Thierry Dambermont, Notes de formation 2001-2003
«C’est quand on arrive à réaliser
n’importe quel travail qu’un client
demande en allant rechercher et en
combinant immédiatement
les fonctionnalités qu’on a intégrées
en soi qu’on peut vraiment dire
qu’on connaît Photoshop®…»
Version 12/01
CLIQUEZ SUR LES LIGNES DE LA TABLE DES MATIÈRES
POUR VOYAGER DANS LE DOCUMENT.
CLIQUEZ SUR LE NOM DU CHAPITRE EN BAS DE PAGE
POUR REVENIR À LA TABLE DES MATIÈRES.
Deux autres documents de cours sont la suite de celui-ci…
PHOTOGRAVURE NUMÉRIQUE MODERNE POUR TOUS SUPPORTS DE DIFFUSION,
par Thierry Dambermont, 2002.
DES COULEURS EXACTES SUR L’ÉCRAN ET SUR LE PAPIER,
par Thierry Dambermont, 2002.
Ces notes de cours ont été écrites et mises en page
par Thierry Dambermont avec le logiciel ADOBE INDESIGN® 1.5
Les marques suivantes dont il est éventuellement fait référence dans
ce document appartiennent à leurs auteurs respectifs :
3D STUDIO MAX®, A BETTER FINDER RENAME®, ACROBAT®, ACROBAT READER®,
ADOBE®, AMS®, ANDROMEDA®, APPLE®, ARRY®, COLORSYNC®, COLORTHEORY®,
COMBUSTION®, COREL®, DISCREET®, EVS®, FINDER®, GRAPHIC CONVERTER®,
HARMONY®, HOT DOOR®, ICC®, ICM®, ILLUSTRATOR®, INDESIGN®, MACOS®,
MACPAINT®, MACINTOSH®, MACOPENER®, MAYA®, MICROSOFT INTERNET
EXPLORER®, NERO®, NORTON®, NORTON SPEED DISK®, ORANGE®, PAINTER®,
PANTONE®, PDF, Photoshop®, POLAROÏD®, POSTSCRIPT®, QUANTEL®, QUARK®,
QUICKMASK®, QUICKTIME®, SILICON GRAPHICS®, SILVERBLUE®, TOAST®,
TOAST AUDIO EXTRACTOR®, TTCONVERTER®, VELOCIRAPTOR®, VIRTUAL PC®,
WINDOWS®, WORD®, XPRESS®.
Table des matières
1.
Introduction
à la formation
1.1. Bienvenue à cette formation Photoshop®
1.2. Les systèmes d’autoformation à domicile qui
sont à disposition des étudiants
1.3. Un bref descriptif de quelques techniques
qui seront abordées durant cette formation au
graphisme bitmap dans Photoshop®
1.4. À propos de la progression dans
l’étude de Photoshop®.
1.5. À propos de différences de niveaux
initiales chez les participants aux formations
1.6. À propos des démonstrations chez
les revendeurs de logiciels, et dans
les magazines
1.7. L’attitude devant l’ordinateur
1. Table des matières
Version 12/01.
© 2000, 2001, 2002 Thierry Dambermont, tous droits réservés.
Contact : 20, Avenue Comte de Smet de Nayer à B-5000 Namur.
3
Table des matières
2.
Premiers pas
dans Photoshop®
2.1. Les différences entre Photoshop® sur
Macintosh® et Photoshop® sur PC
2.2. Est-ce qu’il vaut mieux utiliser un Macintosh®
ou un PC?
2.3. Lancer Photoshop® et passer de Photoshop®
au gestionnaire de fichiers sur un ordinateur
Macintosh®
2.4. La langue de Photoshop®
2.5. La remise à zéro des paramètres
de préférences de Photoshop® 6
2.6. La gestion des couleurs.
2.7. L’escamotage des palettes.
2.8. Le passage du pointeur d’outil précis au
pointeur d’outil Forme
2.9. L’affichage interpolé
Version 12/01.
4
Table des matières
3.
Techniques
particulières pour
un démarrage rapide dans
la production d’images avec
Photoshop®
3.1. La palette Historique
3.2. Les Instantanés pour modifier une portion
d’image sans devoir la sélectionner, ou pour
modifier toute une image et récupérer
une portion telle qu’elle était avant
modification
3.3. Questions de révision pour l’examen
de Graphisme Bitmap, avec les explications :
la palette Historique et les Instantanés
Version 12/01.
5
Table des matières
4.
Les sélections
4.1. Les sélections Géométriques
4.2. Les sélections par Baguette magique
4.3. Les sélections par Plage de couleurs
4.4. Les sélections par Semi-transparence
4.5. La Transformation manuelle sur un calque
4.6. Les Sélections hybrides
les sélections
Version 12/01.
6
Table des matières
5.
Les calques
5.1. Les Masques de fusion
5.2. La création de Dégradés en couleur
5.3. Les Calques associés
5.4. Les Styles de calque
5.5. Export d’images avec calques vers
Corel Painter®
5.6. Les Calques associés :
Premier exercice d’application
5.7. Export de documents au format Acrobat PDF
de Photoshop® 6
5.8. Export de documents au format Acrobat PDF
de Adobe Illustrator® et de InDesign®
5.9. Les Calques associés :
Deuxième exercice d’application
5.10. Les Scripts de Photoshop®
5.11. Les Groupes de calques
5.12. Les Sélections par silhouette
les calques
Version 12/01.
7
Table des matières
6.
Les tracés vectoriels
6.1. À quoi servent les tracés vectoriels?
6.2. Premières manipulations d’un Tracé vectoriel
6.3. Où placer le tracé… Sur le bord du sujet ou
un peu à l’intérieur du sujet?
6.4. Exportation d’une image détourée avec
un Tracé vectoriel (= Tracé de détourage) vers
un logiciel de mise en page
6.5. Les tracés qui génèrent des sélections
6.6. Les sélections qui sont converties en tracés
6.7. Combinaisons de Tracés mémorisées en
COUCHES ALPHA
6.8. Le contour du tracé
6.9. Construction des tracés vectoriels
6.10. Les Masques vectoriels
les tracés
Version 12/01.
8
Table des matières
7.
Formation
complémentaire
7.1. Que faire lorsqu’un outil de dessin semble ne
plus fonctionner dans Photoshop® : quelques
solutions sont apportées durant cette partie
de la formation en prévention à des situations
particulières rencontrées couramment durant
le travail avec ce logiciel
Version 12/01.
9
Table des matières
8.
Quelques exercices
d’application
8.1 Exercices avec les Couleurs
8.2. Exercices avec les Instantanés
8.3. Exercices avec les Calques
8.4. Exercices avec les Filtres
Version 12/01.
1 0
Table des matières
9.
Autres questions
de révision
questions diverses
questions sur les couleurs
questions sur Photoshop® avec les autres
programmes
questions sur la mémoire dans Photoshop®
Version 12/01.
1 1
Table des matières
10.
Quelques sites
internet
Version 12/01.
1 2
Table des matières
11.
Index
Version 12/01.
1 3
1. Introduction à
la formation :
1. 1.
Bienvenue à cette
Une formation de 10 heures
à la photogravure
numérique moderne pour
tous supports de diffusion :
formation Scan et Retouche
formation Photoshop®
Durant une autre formation, appelée SCAN ET
RETOUCHE, les étudiants voient pendant 10 heures
comment Photoshop® peut être utilisé afin d’améliorer
sensiblement l’aspect et la reproduction des images
numérisées.
Une formation de 22 heures
au logiciel Adobe
Photoshop® : formation au
Graphisme Bitmap/
Photoshop®
Cet intitulé de formation n’est plus tout à fait approprié
car il ne reflète pas vraiment la manière de numériser
les images dans l’industrie graphique actuellement :
le terme RETOUCHE n’est pas tout à fait approprié…
En effet, il fait penser à un travail de correction qui
viserait à «réparer» les couleurs et l’aspect des images
qui auraient été mal capturées par les appareils.
Cette formation technique au logiciel Adobe
Photoshop® s’adresse aux étudiants de première
année du graduat en TECHNIQUES INFOGRAPHIQUES
de la Haute Ecole Albert Jacquard. Photoshop® est
le logiciel-phare utilisé mondialement pour réaliser
du graphisme bitmap, néanmoins toute la matière
vue durant cette formation est transposable dans
d’autres logiciels similaires qui sont moins implantés
sur le marché actuel.
Durant cette formation de 22 heures, ce sont surtout
les techniques de sélections et les techniques
de photomontages qui sont abordées.
La plupart du temps, si le travail de capture est
bien réalisé, le travail des images consiste pas à
RÉPARER l’aspect des images qui auraient été
mal capturées par les appareils… Les techniques
de traitement des images actuelles consistent plutôt
à SÉLECTIONNER les informations qui permettent
de restituer au mieux le contenu de l’image. C’est
parce qu’on est dans cette logique de «SÉLECTION»
des informations, et non pas de «correction» des informations, que la capture est d’ailleurs une phase
de la formation qui est extrêmement simplifiée… En
effet, il suffit de demander au scanner de capturer
un maximum d’informations (c’est le scanning 48-bit)
afin de nous donner par la suite un maximum de choix
lorsqu’on va devoir sélectionner parmi toutes ces
informations quelles sont celles qui servent au mieux
le rendu de l’image. Cela explique qu’une grosse
partie de la formation SCAN ET RETOUCHE se passe
dans le logiciel Photoshop®.
1. Introduction à la formation
Version 12/01.
1 4
Un intitulé qui conviendrait mieux pour cette
formation serait TRAITEMENT TECHNIQUE ET
CRÉATIF DES DONNÉES BRUTES DANS LES IMAGES
NUMÉRIQUES.
En fin de compte
les étudiants de première
année ont donc 32 heures
de formation technique à
l’utilisation du logiciel
Photoshop®…
C’est la somme des heures de la formation en
Graphisme bitmap/Photoshop® et de la formation
SCAN ET RETOUCHE. C’est évidemment très peu,
mais la formation est assez synthétique et permet tout
de même aux étudiants d’atteindre en fin de formation
une maîtrise assez avancée du travail avec les images
numériques.
On n’apprend pas
Photoshop® en étudiant
des méthodes de travail
Photoshop® est un logiciel tout à fait particulier… Un véritable challenge pour les formateurs.
Il faut en effet arriver à faire comprendre aux
étudiants que, contrairement à ce qu’on voit parfois
dans les magazines spécialisés, on n’apprend pas
Photoshop® en étudiant des méthodes de travail.
Pour connaître Photoshop®, il faut arriver à l’intégrer
en soi, c’est-à-dire qu’il faut arriver à connaître
toutes les parties du logiciel, qu’il faut arriver à faire
le lien entre ces parties, et se rendre compte aussi
qu’il y a des fonctionnalités qui sont identiques à
d’autres, mais qui sont tout simplement présentées
d’une autre manière, elles proposent une autre
approche.
C’est quand on arrive à réaliser n’importe
quel travail qu’un client demande en allant
rechercher et en combinant immédiatement
les fonctionnalités qu’on a intégrées en soi qu’on
peut vraiment dire qu’on connaît Photoshop®.
Ce n’est pas si compliqué que cela… Avec le temps
vous allez vous rendre compte que Photoshop®
est un logiciel plutôt simple à utiliser… Il suffit
de comparer Photoshop® à des logiciels comme
DISCREET® 3D STUDIO MAX®, ou DISCREET®
COMBUSTION®, qui sont très performants mais qui
se laissent approcher moins facilement.
On peut connaître
Photoshop® à 95%, comme
on peut connaître à 95%
l’utilisation de la peinture
à l’huile, de l’acrylique ou
de l’aquarelle
Parfois on rencontre des gens qui disent «il est
impossible de connaître Photoshop® à 100%».
C’est vrai, mais moi je dis qu’on peut le connaître à
95%, comme on peut connaître à 95% l’utilisation
de la peinture à l’huile, de l’acrylique ou de l’aquarelle.
Maintenant ce qu’on en fait, c’est une autre histoire : on
peut connaître le logiciel à 95% et pour autant caler sur
un travail, pas à cause de la difficulté technique, mais
à cause d’une difficulté conceptuelle ou plastique…
ça ne s’apprend pas à cette formation-ci.
Version 12/01.
1 5
Peu d’outils ont à ce point
révolutionné l’industrie
graphique
On entend souvent dire aussi que «les logiciels
d’infographie, après tout, ce ne sont que des outils».
Tout à fait d’accord… Mais il faut tout de même
souligner que peu d’outils ont à ce point révolutionné
l’industrie graphique. Peut-on dire des caractères
mobiles de Gutenberg «…qu’après tout, ce n’est
qu’un perfectionnement de l’imprimerie», et que
dire de la LINOTYPE, qui a été fabriquée pendant
plus d’un siècle et qui a révolutionné la diffusion
de l’information, que dire de l’OFFSET aussi? Ce ne
sont pas seulement que des outils… Ce sont des outils
qui changent la manière dont on crée.
Version 12/01.
1 6
1. Introduction à
la formation :
1. 2.
Les systèmes
d’autoformation
à domicile
Les bases du logiciel ne
seront pas expliquées au
début la formation
Vu que 32 heures de formation, c’est déjà très
peu pour aborder un logiciel de cette ampleur,
les bases du logiciel ne seront pas expliquées au début
la formation… L’utilisation de tous les outils, la manière
dont fonctionnent les palettes… Toute cette formation
basique monopoliserait quelques précieuses heures
de formation et ennuierait les étudiants qui ont
déjà un peu touché à Photoshop®. Il y sera fait
un peu référence durant la formation, et donc ça
sera intégré petit à petit par les étudiants qui sont
vraiment débutants, mais au début de la formation
ce sont directement des techniques de production
intéressantes qui seront abordées… Dès la fin
des quatre premières heures de formation, n’importe
quel étudiant, même le plus inexpérimenté, devrait
être capable de créer à l’aide du logiciel, sans pour
autant en maîtriser plus de 5%, et cela grâce à
la technique tout à fait spéciale du travail avec
les INSTANTANÉS.
Des cd-rom’s offrent
une formation complète au
logiciel Adobe Photoshop®
D’autre part, des cd-rom’s de formation, au nombre
de 17 à la date de Septembre 2001, sont disponibles pour les étudiants qui sont inscrits au graduat.
Ces cd-rom’s contiennent à la fois des syllabus et
des longues séquences audio-visuelles.
Ces cd-rom’s offrent non seulement une formation
complète au logiciel Adobe Photoshop®, y compris
les bases qui viennent d’être évoquées, mais ils
offrent également une formation complète au
logiciel COREL PAINTER®, qui est le complément
idéal à Photoshop®.
PAINTER® est plus performant que Photoshop®
lorsqu’il s’agit de dessiner, tandis que Photoshop®
est plus performant que PAINTER® lorsqu’il s’agit
de réaliser des photomontages ou du traitement
photographique sur les images.
Un des reproches que je pourrais faire à PAINTER® c’est
que contrairement à Photoshop® on n’a pas vraiment
l’impression d’avoir accès à la matière première
des images, les pixels : il manque une PALETTE
DES COUCHES dans PAINTER®. Lorsque vous
connaîtrez Photoshop® et que toucherez aussi à
PAINTER®, ce que je vous souhaite vivement tant c’est
puissant au niveau créatif, alors vous comprendrez
facilement ce que j’évoque ici.
PAINTER® est tout de même le complément idéal
à Photoshop®. Il a souvent été en avance sur son
temps… PAINTER® travaillait déjà avec des OBJETS
FLOTTANTS, des genres de calques, avant que
Photoshop® ne travaille avec des calques. PAINTER®
utilisait la transparence sur des éléments vectoriels en
couleur, des années avant que ADOBE ILLUSTRATOR®
ne le fasse.
Version 12/01.
1 7
Ces cd-rom’s offrent également une formation à
ADOBE ILLUSTRATOR®, afin de réaliser du dessin
vectoriel, un dessin d’une toute autre nature que
le dessin BITMAP qui est pratiqué dans Photoshop®, et
qui demande donc une formation spécifique.
Ces cd-rom’s offrent également une formation au
logiciel de mise en page professionnel QUARK®
XPRESS®.
Ces cd-rom’s de formation ne contiennent pas
les programmes. Les programmes ne sont en
aucun cas fournis aux étudiants par l’école.
Il y a donc 17 cd-rom’s de formation qui sont
disponibles pour les étudiants du graduat : ils
contiennent des syllabus au format ACROBAT® PDF,
qui sont lisibles sur n’importe quel ordinateur, et
des formation audio-visuelles au format QUICKTIME®,
qui sont lisibles sur n’importe quel ordinateur
relativement récent. Les programmes de lecture
des documents ACROBAT® et QUICKTIME® sont
gratuits sur les cd-rom’s de magazines ou sur
INTERNET.
Il n’y a pas d’obligation
à prendre ces cd-rom’s
de formation
Pour obtenir les cd-rom’s de formation, il faut donner
des cd-rom’s enregistrables (pas des réenregistrables)
d’une durée de 74 minutes ( = capacité informatique
de 650 Mb). Vous pouvez donner des cd-rom’s de plus
grande capacité mais cela n’est pas nécessaire.
Il n’y a pas d’obligation à prendre ces cd-rom’s.
Il n’y a pas d’obligation non plus à les prendre
tous. Si vous voulez prendre les 17 cd-rom’s, il suffit
de donner 17 cd-rom’s vierges. Si vous voulez n’en
prendre que certains alors il faut inscrire sur la boite
des cd quels sont les cd-rom’s que vous voulez (voir
le détail plus loin).
Comment procéder pour
obtenir les cd-rom’s
de formation
Quand vous donnez des cd-rom’s vierges en vue
d’obtenir des cd-rom’s enregistrés, il faut respecter
certaines consignes. Ces consignes sont simples,
néanmoins un nombre encore trop important
d’étudiants n’arrivent pas à les respecter, à leur
détriment.
Voici les consignes pour obtenir les cd-rom’s :
1. Il faut inscrire votre nom et votre classe sur
la boite en carton qui contient vos cd. Il ne faut
pas donner de cd-rom’s de la marque AMS® ou
de la marque SILVERBLUE®, car ces deux marques
sont incompatibles avec le matériel de gravure qui
duplique les cd-rom’s. Toutes les autres marques,
c’est OK.
2. Si vous voulez des cd-rom’s qui fonctionnent aussi
sur des ordinateurs de type Apple® Macintosh®, il faut
le préciser en l’inscrivant sur la boite des cd-rom’s.
3. Il ne faut rien écrire sur le cd-rom’s. En effet, je
garde les cd-rom’s que vous me donnez pour les enregistrer plus tard et je vous en donne d’autres qui sont
enregistrés à l’avance… Donc il est inutile de donner
la marque de cd-rom’s que vous aimez, puisque
vous recevrez de toute manière plusieurs marques
de cd-rom’s en retour.
Version 12/01.
1 8
4. Globalement les premiers étudiants à donner
des cd-rom’s seront les premiers servis. «Globalement»
cela veut dire que si dix étudiants me donnent leurs
cd-rom’s le même jour, je ne regarde pas quel est
celui qui a donné les cd en premier lieu.
5. Les cd-rom’s en petites boites sont aussi acceptés,
et les cd sans boite dans un cylindre ou dans
des pochettes-papier.
Le détail de ces
17 cd-rom’s, à la date
du 15/09/01
STUDIO VECTEURS 1 ET 2 :
Sur ces deux cd-rom’s, ce sont des séquences audiovisuelles sur le dessin dans ILLUSTRATOR®. Les images
utilisées dans les séquences sont fournies pour
refaire les exercices chez soi.
PAINTER® 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 :
Ces sept cd-rom’s contiennent 17 heures de séquences
audio-visuelles pour apprendre en profondeur
PAINTER®. C’est la version 5 de PAINTER® qui est
expliquée sur ces cd-rom’s, mais tout ce qui expliqué
fonctionne encore dans la version 6. Les images
utilisées dans les séquences sont fournies pour
refaire les exercices chez soi.
DOCS/RESSOURCES CRÉATIVES :
QUARK XPRESS® :
C’est un cd qui contient plein de syllabus et de
centaines d’images classées par thème.
FORMINFOG 1 ET 2 :
Ces deux cd-rom’s contiennent 32 heures de séquences
audio-visuelles pour apprendre en profondeur
Photoshop®. C’est la version 5 de Photoshop® qui
est expliquée sur ces cd-rom’s, mais tout ce qui
est expliqué fonctionne encore dans la version 6.
Les images utilisées dans les séquences sont fournies
pour refaire les exercices chez soi.
STUDIO PIXELS 1, 2, 3, 4 :
Sur ces quatre cd-rom’s ce sont des séquences
audio-visuelles à propos du dessin dans Photoshop®.
Les images utilisées dans les séquences sont fournies
pour refaire les exercices chez soi.
Il s’agit d’un cd-rom qui contient 8 heures de séquences
audio-visuelles pour apprendre ce standard de la mise
en page professionnelle. Les images utilisées dans
les séquences sont fournies pour refaire les exercices
chez soi.
Les questionnaires à choix
multiples
Les cd-rom’s DOCS/RESSOURCES CRÉATIVES et
FORMINFOG 2 contiennent les questionnaires à
choix multiples des examens de Juin 2002 pour
le formation de Graphisme bitmap/Photoshop®
et pour le formation de NUMÉRISATION/SCAN ET
RETOUCHE. Ces questionnaires seront également
disponibles sur les ordinateurs dans le courant
de l’année, donc un étudiant qui ne prend pas
les cd-rom’s n’est pas désavantagé par rapport à
un étudiant qui les prend. Ces questionnaires se
présentent comme ceci…
Version 12/01.
1 9
Pour la formation de Graphisme bitmap/PARTIE
Photoshop® :
À l’examen il faut répondre à 5 questions à 4 choix
multiples dont un seul est valable. Ces 5 questions
sont choisies parmi les 60 questions que vous
recevez pour préparer l’examen. Chaque bonne
réponse rapporte 2 points sur 10, chaque mauvaise
réponse enlève 3 points sur 10. Il est permis de ne
pas répondre à des questions.
Pour la formation de NUMÉRISATION/PARTIE SCAN
ET RETOUCHE :
Idem sauf que les 5 questions sont choisies parmi 40
questions que vous recevez pour préparer l’examen,
et non pas 60.
Les questions présentent souvent des cas
concrets de problèmes rencontrés dans l’industrie
graphique.
Ces questionnaires à choix
multiples sont conçus afin
que les étudiants
apprennent en les révisant
Plusieurs questions se ressemblent assez bien…
Elles ne diffèrent que par des points de détail. C’est
donc comme dans la réalité professionnelle : la frontière
entre un travail qui fonctionne et un travail qui ne
fonctionne pas tient souvent à des points de détail.
Cela veut dire qu’il n’est donc pas possible d’étudier
«par coeur» ces questionnaires : il faut vraiment
réfléchir, même au moment de l’examen, pour arriver
à répondre correctement.
Version 12/01.
2 0
1. Introduction à
la formation :
1. 3.
Un bref descriptif
de quelques techniques
qui seront abordées
Bref descriptif
des techniques :
Les Instantanés
Les INSTANTANÉS, c’est une technique de travail qui
permet de modifier une portion d’image sans devoir
la sélectionner au préalable. Cette technique convient
bien pour modifier rapidement et proprement
une portion d’image, mais ne permet toutefois pas
de transporter cette portion d’image sur une autre
image.
durant cette formation
au graphisme bitmap
dans Photoshop®
Pour déjà vous familiariser avec la matière qui va
être abordée durant cette formation technique
Graphisme bitmap/Photoshop®, en voici une brève
description. Ne vous étonnez pas de ne pas y voir
certaines fonctionnalités importantes de Photoshop®,
telle que le TAMPON DE DUPLICATION DE PIXELS, par
exemple. Les techniques importantes que vous ne
rencontrez pas ici font sûrement partie de la formation
SCAN ET RETOUCHE.
Bref descriptif
des techniques :
Les sélections
Les sélections permettent de travailler précisément
sur certaines portions d’une image, que ce soit pour
modifier les couleurs ou pour appliquer des filtres.
Les sélections permettent également d’emmener
une portion d’image sur une autre image, afin
de réaliser des photomontages complexes. On
commencera avec les sélections les plus simples :
GÉOMÉTRIQUES, LASSO, BAGUETTE MAGIQUE,
PLAGE DE COULEURS. On verra aussi comment créer
des sélections qui ont un CONTOUR PROGRESSIF…
Cela signifie qu’il y aura une transition progressive
entre la portion de l’image sélectionnée et celle qui ne
l’est pas. Le CONTOUR PROGRESSIF sera créé selon
la méthode de la SEMI-TRANSPARENCE, méthode qui
donne un contrôle total à l’opérateur pour faire
varier manuellement l’importance de la transition
entre la portion de l’image qui est sélectionnée et
celle qui ne l’est pas.
Version 12/01.
2 1
Bref descriptif
des techniques :
Les Sélections par
silhouette
Parfois, on doit faire une sélection sur une portion
d’image qui est graphiquement très complexe : par
exemple des cheveux photographiés en gros plan,
un arbre, etc. À ce moment, il est parfois possible de se
servir de la luminosité de cet élément à sélectionner
pour s’aider à créer la sélection.
Bref descriptif
des techniques :
Les Sélections hybrides
Deux techniques de sélection peuvent être utilisées
ensemble afin de déterminer une portion sélectionnée
sur une image. Lorsqu’on associe deux techniques
de sélection pour créer une sélection, le résultat
est meilleur : par exemple associer la technique
de sélection par TRACÉ VECTORIEL avec la technique
de sélection par SEMI-TRANSPARENCE constitue
une méthode de travail particulièrement appropriée
lorsqu’on doit travailler par exemple sur un personnage qui présente une silhouette nette, sauf aux
endroits des cheveux, ou associer la technique
de sélection par TRACÉ VECTORIEL avec la technique
de SÉLECTION PAR SILHOUETTE dans le cas
d’un portrait de personnage qui présente un visage
aux contours bien nets, sauf aux endroits des cheveux
qui sont très détaillés, etc…
Bref descriptif
des techniques :
Les calques
Dans Photoshop®, les calques sont des genres
de cellophanes (ce sont des feuilles de plastique
transparent dans la réalité) qui «flottent» au-dessus
d’une image de fond. Avec ces cellophanes, on
peut faire des photomontages d’un réalisme ou
d’une complexité inimaginables avant que les images
numériques n’existent.
On verra le principe du COLLER DEDANS.
Les STYLES DE CALQUE seront aussi utilisées. On jouera
également sur la manière dont les pixels d’un calque
s’appliquent sur les pixels qui se trouvent en dessous
de ce calque, en modifiant les MODES D’APPLICATION.
On verra aussi comment utiliser la fonction ASSOCIER
LES CALQUES, qui permet de faire en sorte que
les pixels d’un calque ne soient visibles qu’aux
endroits où il y a des pixels au même endroit dans
le calque qui se trouve en dessous. On verra comment
utiliser les fonctions de TRANSFORMATION, qui
permettent d’orienter, redimensionner et même
tordre ce qui se trouve sur un calque. Ensuite,
on créera des MASQUES DE FUSION, pour faire
disparaître une partie d’un élément graphique dans
un photomontage, tout en gardant la possibilité
de le faire réapparaître très facilement. On verra
également comment utiliser le texte dans Photoshop®,
et les STYLES DE CALQUES.
Version 12/01.
2 2
Bref descriptif
des techniques :
Les tracés vectoriels
Les tracés vectoriels, c’est très important, puisqu’ils se
retrouvent dans de multiples programmes de dessin
et y jouent un rôle parfois même plus important
que celui qu’ils tiennent dans le programme Adobe
Photoshop® : on les retrouve dans le programme
ADOBE ILLUSTRATOR® où ils sont la base de toute
création de logo ou d’illustration. On les retrouve
également dans les programmes d’images de synthèse,
où ils servent à créer les objets tridimensionnels,
etc.
Il est difficile de manipuler les tracés vectoriels
lorsqu’on n’a pas reçu les bonnes informations dès
le départ : cette formation abordera le problème
pas à pas, en reprenant tout depuis le début. Dans
Photoshop®, cette technique permet de mettre au
point des sélections complexes, pour ne travailler
que sur certaines portions d’une image, mais dans
Photoshop® cette même technique sert également
à exporter une image vers un programme de mise
en page en faisant en sorte qu’une partie de cette
image devienne transparente dans la mise en page…
Ainsi on peut inclure dans une mise en page l’image
d’un sujet sans le décor qui se trouvait derrière lui
au moment de la prise de vue.
Version 12/01.
2 3
1. Introduction à
la formation :
1. 4.
À propos
de la progression dans
l’étude de Photoshop®
Il ne faut pas laisser tomber
ses loisirs
Au début de la formation c’est plutôt facile, mais
chaque formation amène de nouveaux concepts,
qui se basent sur les connaissances qui ont été
acquises durant les formations précédentes. Il est
donc important de pratiquer un minimum en
dehors des formations, afin de ne pas être submergé
par la quantité de matière au bout d’un certain
temps.
Il n’est évidemment pas question ici de laisser
tomber ses loisirs et de s’enfermer constamment
devant son ordinateur… Mais gardez à l’esprit que
si vous arrivez à trouver une ou deux heures par
semaine pour travailler avec Photoshop® ça vous
aidera à intégrer la matière qui a été vue durant
les formations.
Version 12/01.
2 4
1. Introduction à
la formation :
1. 5.
à tout moment lorsqu’une technique qu’ils ne
connaissent pas est abordée. D’autre part, leur
travail peut être motivant pour les autres participants
puisque cela montre ce qu’il est possible de faire avec
les logiciels quand on n’est plus un débutant.
À propos des différences
de niveaux initiales chez
les participants aux
formations
Les premières formations
doivent être simples
Il est possible que dans un groupe il y ait des étudiants
qui connaissent déjà plutôt bien Photoshop®. À ces
étudiants je leur dis que je sais que les techniques
qui sont montrées durant les premières formation,
comme les INSTANTANÉS par exemple, donnent
le même résultat que d’autres techniques, comme
les calques avec MASQUE DE FUSION par exemple.
Seulement les premières formations doivent être
simples, donc on commence par des techniques
simples. Les techniques plus complexes sont abordées
en temps voulu lorsque les étudiants du groupe ont
réussi à intégrer les techniques plus simples.
Dans Photoshop® on peut
réaliser la même opération,
le même travail,
de beaucoup de manières
différentes
La formation ne montre pas toutes les manières
de procéder… En général elle en montre une, c’est
déjà assez compliqué comme ça.
Globalement, on ne parle pas des raccourcis-clavier
durant la formation, sauf quand ils sont vraiment
intéressants. Quand on va dans les menus c’est plus
«visuel» qu’un raccourci-clavier… ça permet de se
souvenir plus facilement de la marche à suivre. Si
l’étudiant deviendra un professionnel qui utilise
de manière intensive Photoshop®, il est évident
qu’à ce moment là il aura intérêt à commencer
à apprendre les raccourcis-clavier des fonctions
qu’il utilise souvent.
Lorsqu’il est question durant la formation de techniques
que les participants les plus avancés maîtrisent déjà,
ils peuvent évidemment travailler à autre chose
dans Photoshop® et d’autres logiciels. Ainsi ils ne
s’ennuient pas durant la formation, mais ils sont
tout de même présents et peuvent être attentifs
Version 12/01.
2 5
1. Introduction à
la formation :
1. 6.
À propos
des démonstrations chez
les revendeurs
de logiciels, et dans
les magazines
C’est beaucoup plus
facile que ce qu’on a vu
pendant votre formation!
Certains étudiants qui ont appris des techniques aux
formation reviennent parfois me voir en me disant : «je
viens de voir une démo… ça parle d’une technique
que vous n’avez pas montrée qui est beaucoup plus
facile que ce qu’on a vu en classe».
Je dis : méfiance… D’abord est-ce que cette technique
fonctionne bien dans beaucoup de cas? Avec l’image
qui a été choisie pour faire la démonstration, ça
a peut-être l’air super-facile, mais est-ce que ça
fonctionne avec d’autres images?
Il faut évidemment se rendre compte que le but
d’une démonstration, c’est surtout de montrer à
quel point il faut travailler peu pour obtenir un bon
résultat… Tellement le logiciel est performant!
C’est intéressant d’aller
voir des démonstrations
sur les salons, de lire
des magazines aussi
Bien sûr c’est intéressant d’aller voir des démonstrations
sur les salons, de lire des magazines aussi… Il y a
plein de bonnes choses à prendre.
INTERNET est aussi une source d’information
incroyable Il faut tout de même se méfier de ce
qu’on y trouve… il y a parfois des erreurs. Il y en a
dans toutes les formations, c’est inévitable. Donc
il vaut mieux recouper l’information entre plusieurs
sources pour finalement arriver à repérer quand
quelque chose est faux.
Sur les dernières pages de ce document vous
trouverez quelques adresses, principalement à
propos du graphisme bitmap et des couleurs en
infographie. Bon surf…
Vous pouvez aussi les charger en tant que favoris et
les retrouver dans MICROSOFT INTERNET EXPLORER®.
Le fichier à charger se trouve sur le cd-rom
RESSOURCES CRÉATIVES, dans le dossier
DOCUMENTS, dans AUTEUR, dans SOURCES.
Egalement sur le net…
Des conseils pour futurs
pros
http://www. mccannas. com/sketch/horror. htm
http://www. mccannas. com/sketch/athome. htm
http://www. mccannas. com/pshop/pshop4. htm
Version 12/01.
2 6
Egalement sur le net…
Le premier doctorat en
Design Graphique
À Chicago, le premier doctorat en Design Graphique
est organisé depuis peu… Parmi les motivations
des futurs «étudiants», on retiendra : être mieux
considérés par les clients, être pris plus au sérieux.
Parmi les craintes de ces mêmes futurs «étudiants»,
on retiendra : avoir peur d’être considéré comme
une bizarrerie par les collègues de travail. On ne peut
pas tout avoir, quand même! Pour plus d’informations,
allez voir sur cette adresse :
http://www. id. iit. edu/grad/welcome. html
Version 12/01.
2 7
1. Introduction à
la formation :
1. 7.
L’attitude devant
l’ordinateur
La position face à
l’ordinateur
Certains infographistes se tiennent vraiment mal
devant l’ordinateur. Quand on en voit certains
travailler, on ne saurait pas dire si c’est leur postérieur
ou si c’est leur dos qui est posé sur le siège… Ils
sont avachis.
Cela pose au moins trois problèmes… D’abord c’est
très mauvais pour la colonne vertébrale, ensuite
c’est mauvais pour les yeux… Normalement quand
on travaille sur un ordinateur les yeux doivent
être à la même hauteur que le haut de l’écran,
ensuite cela donne aux autres une mauvaise image
de la personne… Cela ne donne pas l’impression
que la personne est vraiment concernée par son
travail.
L’énervement face à
l’ordinateur
Des problèmes on en rencontre quand on travaille sur
un ordinateur, c’est normal. Essayez de ne pas
devenir une source d’énervement pour vos collègues
de travail… Restez cool en toutes circonstances.
Version 12/01.
2 8
2. Premiers pas dans
Photoshop® :
2. 1.
Certaines souris Macintosh® ont plusieurs boutons,
mais il faut les configurer (= les régler) pour que
le bouton de droite serve à faire apparaître un menu
contextuel.
Les différences
entre Photoshop®
sur Macintosh®
et Photoshop® sur PC
Photoshop® fonctionne
de la même manière sur
Macintosh® et sur PC. Il y a
deux choses qui changent :
les raccourcis-clavier, et
la souris.
Les raccourcis-clavier… Quand un raccourci-clavier
fait intervenir la touche POMME (aussi appelée touche
COMMANDE) sur un Macintosh®, il faut enfoncer
la touche CTRL à la place de cette touche POMME
quand on travaille sur un PC. À part ça rien d’autre
ne change en ce qui concerne les raccourcis-clavier
entre Macintosh® et PC, quand on travaille dans
Photoshop®.
La souris… Sur les PC elle a 2 boutons au moins,
sur les Macintosh® le plus souvent elle n’a qu’un bouton.
Le bouton de droite de la souris du PC est utilisé pour
faire apparaître un menu contextuel. Pour obtenir
la même chose sur un Macintosh®, il faut enfoncer
la touche CTRL, la garder enfoncée puis cliquer sur
l’unique bouton de la souris du Macintosh®.
2. Premiers pas dans Photoshop®
Version 12/01.
2 9
Photoshop® :
2. 2.
Est-ce qu’il vaut mieux
utiliser un Macintosh® ou
un PC?
Il faut s’habituer à utiliser
le type d’ordinateur qu’on
trouve majoritairement
dans le milieu
professionnel dans lequel
on veut s’intégrer
Ce n’est pas parce que les différences entre Photoshop®
sur Macintosh® et sur PC sont évoquées ici qu’il faut en
conclure qu’il a été dit qu’il vaut mieux utiliser un PC
ou qu’il vaut mieux utiliser un Macintosh®.
En réalité il faut s’habituer au type d’ordinateur qui est
majoritairement utilisé dans le milieu professionnel
dans lequel on veut s’intégrer.
Version 12/01.
3 0
Photoshop® :
2. 3.
Lancer Photoshop® et
passer de Photoshop® au
gestionnaire de fichiers
sur un ordinateur
Macintosh®
Pour lancer Photoshop®
il y a plusieurs solutions…
Sur les ordinateurs Macintosh® de la Haute Ecole Albert
Jacquard, on peut positionner le pointeur de la souris
sur la petite POMME qui se trouve en haut à
gauche de l’écran, descendre jusqu’à la rubrique
PRESSE… Un sous-menu apparaît, il contient la ligne
Photoshop® 6. 0… Il faut entrer dans ce sous-menu et
aller sur cette ligne. Quand le pointeur de la souris est
sur cette ligne il suffit de lâcher le bouton de la souris
et Photoshop® se lance. Si cela ne fonctionnait pas,
il faudrait trouver sur les disques durs le dossier
dans lequel les programmes sont, et il faudrait ouvrir
le dossier de Photoshop® 6. 0 et double-cliquer sur
l’icone du logiciel, qui montre le dessin d’un oeil.
Le fait que Photoshop® ait été mis dans la sousrubrique PRESSE dans le menu POMME est à
mon avis une erreur… En effet Photoshop® est
un logiciel polyvalent qui est autant utilisé en Web, en
MULTIMEDIA et en 3D que en publication.
Pour passer
de Photoshop® au
gestionnaire de fichiers sur
un ordinateur Macintosh®,
c’est différent de la manière
dont ça se passe quand on
travaille sur un PC
Sur un Macintosh®, la liste des programmes ouverts
se trouve dans une liste qui apparaît dans un menu
quand on clique sur le nom ou sur l’icône qui montre
dans quel logiciel on se trouve actuellement, en
haut à droite sur l’écran.
Vous remarquerez qu’il y a un programme qui est
toujours ouvert, c’est le gestionnaire de fichiers,
le FINDER®. C’est l’équivalent de WINDOWS® sur
les PC.
En utilisant le menu qui montre la liste des programmes
ouverts en haut à droite de l’écran, on peut donc passer
de Photoshop® au FINDER® et inversement.
Si le Macintosh® a été configuré pour que cela fonctionne comme ça, on peut également passer
de Photoshop® au FINDER® en cliquant entre
les palettes de Photoshop®. Pour revenir à Photoshop®,
il faut soit utiliser le menu qui montre la liste
des programmes ouverts en haut à droite, soit
cliquer sur une des images qui étaient ouvertes dans
Photoshop® et qui apparaissent toujours malgré
que les palettes de Photoshop®, elles, n’apparaissent
plus. À ce propos : si vous voulez que les images qui
sont ouvertes dans Photoshop® n’apparaissent pas
lorsque vous êtes trouvez dans le FINDER®, il faut aller
jusqu’à la ligne de commande qui s’appelle MASQUER
LES AUTRES en haut à droite sur l’écran.
Version 12/01.
3 1
Photoshop® :
2. 4.
La langue de Photoshop®
Est-ce qu’il vaut mieux
travailler sur Photoshop®
en version française ou
sur Photoshop® en version
anglaise?
On entend parfois dire qu’il vaut mieux travailler sur
une version anglaise d’un logiciel à cause des erreurs
de traduction. En ce qui concerne Photoshop®, je
ne connais qu’une seule erreur de traduction, si
vous en connaissez d’autres, vous m’en parlez…
Peut-être allez-vous vous rendre compte qu’il s’agit
plutôt d’erreurs d’interprétation de votre part plutôt
que d’erreurs de traduction de la part de l’éditeur
du logiciel.
L’erreur de traduction que je connais dans Photoshop®
concerne les fonctionnalités de symétrie : L’anglais
FLIP VERTICAL et FLIP HORIZONTAL, qui veulent
dire RETOURNER VERTICALEMENT et RETOURNER
HORIZONTALEMENT, ont été traduits par SYMÉTRIE
AXE VERTICAL et SYMÉTRIE AXE HORIZONTAL. C’est
une erreur puisque quand on retourne verticalement
une image (on la met tête en bas), on fait en réalité
une symétrie sur un axe horizontal, et quand on
retourne horizontalement une image (ce qui est
à gauche se retrouve à droite), on fait en réalité
une symétrie sur un axe vertical. C’est une erreur
de traduction qui a toujours existé dans Photoshop®,
personne ne s’en plaint, cela surprend simplement
ceux qui ont l’esprit un peu mathématique.
À propos de la version française de Photoshop®,
on entend souvent dire aussi que ce n’est pas bien
de s’habituer à travailler dans cette version car dans
les entreprises c’est souvent la version anglaise
qu’on rencontre. C’est vrai que la version anglaise est
moins chère que la version française et que certaines
entreprises préfèrent dès lors utiliser la version anglaise.
Lorsqu’il s’agit de grosses entreprises qui doivent
acheter des dizaines de licences de Photoshop®, ça
peut encore se comprendre car à ce moment c’est
vrai que si tous les logiciels sont achetés en version
anglaise à la place de la version française, ça peut
faire une fameuse différence au niveau du budget.
En plus si c’est une entreprise qui est située dans
une ville internationale comme Bruxelles, ça peut
permettre à des néerlandophones, des francophones
et des anglophones d’utiliser la même version
du logiciel et de pouvoir parler ensemble de ses
fonctionnalités.
Si vous possédez la version
française de Photoshop®,
et bien alors vous possédez
également la version
anglaise
En effet il vous suffit d’entrer dans le dossier
du programme sur le disque dur, plus précisément
dans le dossier REQUIRED, ensuite vous enlevez
de ce dossier le fichier qui s’appelle TW10428.DAT…
Et à ce moment quand vous utiliserez Photoshop®
il sera… En anglais.
Version 12/01.
3 2
Plus fort encore… Si vous ouvrez ce fichier
TW10428.DAT dans un traitement de texte comme
WORD® et que vous modifiez certains mots français,
puis que vous replacez ce fichier modifié dans
le dossier REQUIRED de Photoshop®, alors vous
verrez apparaître dans les menus les noms que vous
avez mis à la place des noms français du fichier
TW10428.DAT.
En théorie il est possible aussi de réaliser l’opération
inverse, c’est-à-dire transformer un Photoshop®
anglais en un Photoshop® français. Il faut savoir que
c’est illégal, parce que la version française est vendue
à un prix plus élevé que la version anglaise, ça peut
donc être assimilé à du piratage informatique. Ce
fichier étant identique sur Macintosh® et sur PC, il
est même possible, toujours en théorie, de se servir
d’un fichier TW10428.DAT trouvé sur un PC pour
transformer en français un Photoshop® anglais qui est
installé sur un Macintosh®, ou inversement.
Il est possible que certaines fonctionnalités de
Photoshop® ne soient plus accessibles quand vous
l’avez transformé de la version française à la version
anglaise. C’est le cas notamment des fonctionnalités
d’AUTOMATISATION, et d’EXPORTATION, toutes
deux accessibles par le menu FICHIER. Cela est du au
fait que les noms des sous-dossiers dans le dossier
du programme Photoshop® sont restés en français
sur les disques durs. Pour régler ce problème c’est
facile : il suffit de renommer le dossier qui s’appelle
MODULES EXTERNES… Il faut lui donner le nom
PLUG-IN’S. Ainsi, quand on relancera Photoshop® les
modules externes se chargeront, parce que cette fois
la version anglaise aura réussi à trouver le dossier des
modules externes, le dossier PLUG-IN’S.
Version 12/01.
3 3
Photoshop® :
2. 5.
La remise à zéro
des paramètres
de préférences
de Photoshop® 6
Quand on utilise
Photoshop®, on
le personnalise…
Toutes les modifications qu’on apporte à Photoshop®,
on les retrouve la fois suivante quand on revient
travailler dans Photoshop®. Ça concerne la position
des palettes, mais également tous les réglages
de tous les outils.
Quand on est seul à travailler sur son ordinateur, ça ne
pose pas de problème de retrouver Photoshop® tel
qu’on l’avait laissé la dernière fois qu’on l’avait utilisé,
c’est même plutôt bien… Mais dans une école c’est
ennuyeux de retrouver Photoshop® tel qu’un autre
étudiant l’a laissé… ça peut créer des problèmes…
On peut à un certain moment ne pas comprendre
pourquoi un outil ne réagit pas comme il devrait.
C’est pour cela qu’il est possible de faire en sorte que
Photoshop® s’ouvre avec ses paramètres «standards»,
tel qu’il était la première fois qu’on l’a utilisé juste
après l’avoir installé.
Depuis la version 6 de Photoshop®, c’est très
facile de faire en sorte que Photoshop® s’ouvre avec
ses paramètres «standards»… ils suffit d’enfoncer
des touches au clavier juste après avoir lancé
Photoshop® dans les circuits. Ces touches sont,
sur les Macintosh® : la touche POMME, celle qui
est juste à gauche de la barre d’espacement sur
la clavier, la touche ALT et la touche MAJUSCULE,
celle qui est juste au-dessus de la touche CTRL sur
le clavier, et que beaucoup confondent avec la touche
VERROUILLAGE MAJUSCULE.
Sur les PC, ce sera CTRL, ALT et MAJUSCULE. Souvenezvous que pour transposer sur PC un raccourci-clavier
qui fonctionne sur Macintosh®, il suffit de remplacer
la touche POMME du Macintosh® par la touche
CTRL du PC.
Il faut enfoncer ces trois touches juste après avoir
lancé Photoshop® dans les circuits… Vraiment
juste après : pas quelques secondes après mais
plutôt une demi-seconde après, sinon c’est un autre
message qui apparaît, il concerne l’emplacement
des modules externes.
Il ne faut pas que ces touches soient déjà enfoncées
au moment où on lance Photoshop®, sinon ça ne
fonctionne pas.
Une fois qu’on aura enfoncé ces touches il faudra
les garder enfoncées jusqu’à ce qu’un message
apparaisse sur l’écran, ce message demandera si on
veut supprimer les paramètres de Photoshop®…
Il faudra répondre OUI.
Version 12/01.
3 4
Positionnez déjà trois DOIGTs au-dessus des trois
touches en question. Avec le pointeur de la souris,
allez sur la ligne qui concerne Photoshop® dans
le menu POMME… Une fois que le pointeur est
sur cette ligne, lâchez le bouton de la souris, puis
enfoncez tout de suite les trois touches au clavier
et gardez-les enfoncées… le message devrait
apparaître… Il vous demande si vous voulez supprimer
les paramètres de Photoshop®… Répondez OUI.
Vous venez de supprimer le fichier des PRÉFÉRENCES
de Photoshop®, appelé FICHIER DES PARAMÈTRES
depuis la version 6. Ce fichier s’était écrit sur le disque
dur au moment où on avait quitté Photoshop®
la dernière fois qu’on l’avait utilisé. Ce fichier avait
été écrit pour que Photoshop® le lise au moment où
on le lancerait la fois suivante, pour qu’on retrouve
Photoshop® dans le même état que la dernière fois
qu’on l’avait utilisé.
Il est possible qu’un autre message apparaisse aussi…
Il concerne la gestion de couleurs avec des profils
colorimétriques. La gestion des couleurs, c’est
une matière assez complexe qui demande qu’on
ait déjà bien compris comment fonctionne
Photoshop®, ce sera donc vu après la formation
SCAN ET RETOUCHE, qui est la suite de la formation
Photoshop®.
Si ce message apparaît, cliquez sur la petite case
NE PLUS AFFICHER, puis sur OK. Si Photoshop®
vous demande si vous voulez régler maintenant
les paramètres couleur, répondez NON.
Cette formation Photoshop® est destinée aux
étudiants de première année du graduat, il y a donc
des débutants parmi nous, et il y a même fort à
parier que ceux qui utilisent déjà Photoshop® ne
le connaisse pas encore vraiment… La gestion
des couleurs, c’est une matière assez complexe qui
demande qu’on ait déjà bien compris comment
fonctionne Photoshop®, et qui nécessite également
des connaissances générales sur les images numériques, des connaissances qui vous seront données
durant les autres formations du graduat en première
année.
En indiquant à Photoshop® qu’on ne veut pas régler
la gestion des couleurs, cela veut dire que si on imprime
une image qu’on a créée, il y a de fortes chances
pour que l’image sur le papier ne ressemble pas à
l’image sur l’écran. C’est parce qu’on n’utilise pas
la gestion des couleurs.
Pour les étudiants de première année, il y a tout
de même une technique qui sera vue et qui permettra
d’obtenir sur le papier quasiment la même chose
que sur l’écran… Cette technique est dérivée
d’une technique bien connue des photographes :
c’est le braquetage (braketing), et elle est aussi utilisée
en photogravure numérique professionnelle, pour
les cas d’images difficiles, principalement les images
à caractère monochromatique.
Photoshop® a été remis
à zéro chez tous
les participants à
la formation…
Maintenant, on voit que les palettes sont positionnées
de la même manière chez chacun. Ce qu’on voit
moins, mais qui est tout aussi important, c’est que
tous les outils ont été remis à leur paramètres
de fonctionnement normal.
Version 12/01.
3 5
Avant Photoshop® 6, c’était un peu plus compliqué
de remettre à zéro Photoshop® tel qu’on vient
de le faire… On n’avait pas la possibilité d’appuyer
sur ces touches au clavier… Il fallait entrer dans
le système, et supprimer manuellement le fichier
des paramètres de Photoshop®.
Remarquez que Photoshop® fait partie de ces logiciels
qui recrée automatiquement un fichier de préférences
(appelé aussi FICHIER DES PARAMÈTRES) s’il n’en
trouve pas un au lancement. La plupart des logiciels
fonctionnent comme cela. À ma connaissance, il y en
a tout de même un qui ne voudra pas fonctionner
s’il ne trouve pas son fichier de paramètres… C’est
QUARK XPRESS®.
Parfois il y a plusieurs disques durs sur votre ordinateur,
et l’un d’entre eux a été laissé vide afin que Photoshop®
puisse y écrire ses calculs lorsqu’il est à court de
mémoire vive. Ce disque dur est appelé DISQUE
DE TRAVAIL, ou SCRATCH DISK en anglais. Après
avoir remis à zéro les paramètres comme on vient
de le faire, Photoshop® va considérer d’office que le
DISQUE DE TRAVAIL est le disque dur qui contient
le GESTIONNAIRE DE FICHIERS et le SYSTÈME,
qui sont deux éléments qui sont nécessaires au
bon fonctionnement de l’ordinateur. Ce disque dur
qui contient le GESTIONNAIRE DE FICHIERS et
le SYSTÈME, c’est ce qu’on appelle le DISQUE DE
DÉMARRAGE. Il vaut mieux préciser à Photoshop®
que le DISQUE DE TRAVAIL n’est pas le DISQUE
DE DÉMARRAGE, mais bien le disque qui est
prévu spécialement à cet effet dans votre ordinateur. Pour cela, il faut aller dans le menu
EDITION…PRÉFÉRENCES…MODULES EXTERNES
ET DISQUES DE TRAVAIL. Ensuite il faut quitter
Photoshop® puis le relancer pour que les modifications
que vous apportez à cet endroit soient prises en
considération.
Version 12/01.
3 6
Photoshop® :
2. 6.
La gestion des couleurs
La gestion des couleurs
pour s’assurer que
les couleurs que l’on voit
à l’écran s’impriment
quasiment
telles quelles sur le papier
Que ce soit sur PC ou sur Macintosh®, il existe
des systèmes qui permettent de s’assurer que
les couleurs que l’on voit à l’écran s’impriment
quasiment telles quelles sur le papier.
Le système repose sur l’utilisation des profils
ICC®. Le programme qui utilise ces profils
s’appelle COLORSYNC® sur les Macintosh® et ICM®
sur les PC.
La gestion des couleurs est une matière complexe qui
sera abordée en seconde année durant la formation
de colorimétrie.
Modifier manuellement
l’intensité lumineuse
des pixels d’une image
Comme on n’a pas installé un système de gestion
des couleurs sur les ordinateurs qui sont utilisés par
les étudiants de première année du graduat, il peut
arriver ceci… Quand on ouvre une image dans
Photoshop®, elle peut paraître trop claire ou trop
foncée. C’est un problème de GAMMA.
Le GAMMA, en gros, cela concerne l’intensité des tons
moyens dans une image… Les tons moyens sont
ceux qui se situent entre la partie la plus lumineuse
de l’image (c’est souvent du blanc, mais pas nécessairement) et la partie la plus sombre de l’image (c’est
souvent du noir, mais pas nécessairement)).
Une image peut paraître correcte sur l’écran
de la personne qui l’a scannée et travaillée, mais
quand on regarde cette même image sur un autre
écran, les tons moyens peuvent être affichés plus
clairs ou plus foncés.
Il suffit alors de modifier manuellement l’intensité
lumineuse des pixels de cette image, le GAMMA
de l’image, pour l’adapter à l’écran par lequel on
la visualise.
On sait qu’il y a des procédés automatisés qui
existent… C’est la gestion des couleurs avec le logiciel
COLORSYNC® sur Macintosh® ou avec le logiciel
ICM® sous WINDOWS®, mais actuellement même
les professionnels se battent pour arriver à maîtriser
ces techniques de gestion des couleurs qui sont
arrivées très récemment.
Version 12/01.
3 7
Pour modifier manuellement le GAMMA d’une image,
allez dans le menu IMAGE en haut de l’écran, à
la rubrique RÉGLAGES, plus particulièrement dans
le réglage des COURBES. Le réglage des COURBES
montre un graphique… Cliquez au milieu de ce graphique… Un point est arrivé sur la droite diagonale qui
traverse le graphique… Positionnez le pointeur sur
ce point et bougez-le vers le haut ou vers le bas…
Sous remarquez que l’image s’éclaircit ou s’assombrit
(cela suppose que la case APERÇU est cochée dans
la boite de réglage des COURBES). Une fois que
l’image est à la bonne intensité lumineuse, cliquez
sur OK.
Il est possible qu’il n’y ait pas besoin de modifier
le GAMMA d’une image… Dans ce cas n’allez pas dans
le réglage des COURBES, évidemment.
Version 12/01.
3 8
Photoshop® :
2. 7.
L’escamotage
des palettes
Pour mieux voir les images
sur l’écran, il est
possible de faire disparaître
temporairement les palettes
Les palettes de Photoshop®, ce sont tous ces petits
tableaux de bords qui ont chacun leur fonctionnalité.
Il y en a tellement que c’est parfois intéressant de faire
en sorte de ne plus les voir temporairement pour
mieux voir la ou les image(s) qui sont affichées sur
l’écran. Faire disparaître temporairement les palettes
de l’écran, c’est ce qu’on appelle les ESCAMOTER.
Des palettes, il y en a déjà
certaines qui sont groupées
ensemble afin de gagner
de la place sur l’écran…
Pour voir le contenu de la PALETTE DES COUCHES,
il faut cliquer sur l’onglet COUCHES, pour voir
le contenu de la palette des Calques, il faut cliquer
sur l’onglet CALQUES, etc.
Si vous n’êtes pas encore familiarisé avec la manipulation de l’interface de Photoshop®, vous devriez lire
les syllabus pour débutants qui sont disponibles sur
les cd-rom’s dont on a parlé précédemment, ou lire
un livre pour débutants.
On parle déjà ici
de l’escamotage
des palettes parce que,
sans vous en rendre
compte, vous pourriez
enfoncer la touche qui fait
en sorte que les palettes
s’escamotent…
Pour escamoter les palettes, c’est la touche TABULATION
qu’il faut enfoncer sur le clavier.
La touche TABULATION est la touche qui se trouve
à gauche de la touche A sur le clavier standard
européen que vous utilisez. Essayez d’enfoncer
une fois brièvement cette touche TABULATION sur
le clavier… Les palettes disparaissent de l’écran.
Enfoncez de nouveau cette touche… Les palettes
réapparaissent.
En cliquant sur leurs onglets, on les fait apparaître
à l’avant-plan dans leur groupe… Par exemple (si
vous avez remis à zéro Photoshop® comme ça a été
expliqué précédemment) il y a en bas à droite sur votre
écran un groupe de palettes qui est constitué des trois
palettes CALQUES, COUCHES et TRACÉS.
Version 12/01.
3 9
Il y a une des palettes
qui est franchement plus
importante que les autres,
ou en tout cas qui est plus
souvent utilisée… C’est
la palette des outils
C’est pourquoi il est prévu de pouvoir escamoter
toutes les palettes sauf celle-là.
Il suffit d’enfoncer la touche MAJUSCULE sur le clavier
(c’est la touche juste au-dessus de la touche CTRL) et
de la garder enfoncée, puis tout en ayant la touche
MAJUSCULE enfoncée il faut enfoncer également
la touche TABULATION. Vous devriez remarquer que
la palette des outils ne s’escamote plus comme tout
à l’heure. Cela fonctionne de la même manière dans
tous les logiciels de la gamme ADOBE®… Que ce
soit ILLUSTRATOR®, INDESIGN®, etc.
Maintenant lorsque vous verrez les palettes qui
disparaissent d’un coup, et que vous serez pourtant
toujours bien dans le logiciel Photoshop® (le nom
de ce logiciel apparaît en haut à droite de l’écran,
preuve qu’on est en train de travailler dedans), alors
vous saurez que c’est parce que vous avez enfoncé
par inadvertance la touche TABULATION.
Version 12/01.
4 0
Lorsque vous amenez
le pointeur sur l’image,
vous devriez voir un rond.
Photoshop® :
2. 8.
Le passage du pointeur
d’outil précis au pointeur
d’outil Forme
Ouvrez une image, n’importe laquelle.
Activez l’outil Pinceau dans la palette des outils…
Pas l’outil Pinceau avec une flèche, ça c’est la FORME
D’HISTORIQUE, on aura l’occasion d’en reparler plus
tard : ça ne sert pas à peindre avec de la couleur, ce
sert à peindre avec des images.
Ce rond est là pour vous montrer quelle est
la taille de la brosse que vous avez choisie, avant
même que vous ne l’utilisiez sur l’image.
Il est possible que d’appuyer par inadvertance
sur une touche au clavier qui remplace alors cette
FORME DE BROSSE par une petite croix… Qu’on
appelle le POINTEUR D’OUTIL PRÉCIS. Cette touche sur
le clavier, c’est la touche VERROUILLAGE MAJUSCULE,
qui se trouve juste au-dessus de la touche MAJUSCULE.
Enfoncez-là brièvement… Quand le pointeur est sur
l’image, vous devriez remarquer qu’il a changé d’aspect.
Enfoncez de nouveau la touche VERROUILLAGE
MAJUSCULE pour retrouver le pointeur qui montre
le taille de le brosse qu’on utilise.
Ici, 2
Quand l’outil Pinceau est
activé dans la palette
des outils, les options
de cet outil se trouvent en
haut de l’écran
Il y a notamment une icone qui représente la forme
de la brosse qu’on utilise actuellement.
On peut changer de brosses en cliquant sur
la flèche qui pointe vers le bas qui se situe juste
à droite de cette FORME DE BROSSE qui est
dans le haut de l’écran… cela fait apparaître
la PALETTE DES FORMES, il suffit de cliquer sur
d’autres formes.
Version 12/01.
4 1
Photoshop®
2. 9.
L’affichage interpolé :
on visualise correctement
les images sur
L’image est constituée
de pixels…
Les pixels, ce sont les points constitutifs de l’image,
qui sont collés les uns aux autres en rangées et
en colonnes. Le moniteur affiche les images en
juxtaposant également des points.
Quand une image est affichée à l’échelle 100% sur
un moniteur cela veut dire que chaque point constitutif
de l’image s’affiche sur un point d’écran.
le moniteur uniquement
lorsqu’elles sont affichées
à l’échelle 100%
Quand une image est
affichée à l’échelle 100%,
cela ne veut pas du tout
dire qu’elle est montrée sur
l’écran avec
la taille qu’elle aura sur
le papier si on l’imprime
En réalité le terme ECHELLE 100% veut dire qu’on
fait correspondre le réseau de points de l’image avec
le réseau de points du moniteur…
Quand les images ne sont
pas affichées à
l’échelle 100%, on dirait
parfois qu’elles sont
de mauvaise qualité, alors
qu’en réalité ce n’est pas
le cas
Pour observer à quel point l’échelle d’affichage
influence la perception qu’on a des images numériques,
vous allez ouvrir plusieurs images qui ont été
spécialement choisies pour la démonstration, parce
qu’avec elles le phénomène de mauvaise interpolation
qu’on veut démonter ici sera vraiment très visible.
En effet, ces images présentent toutes beaucoup
de détails très fins, et c’est surtout les images qui
présentent beaucoup de détails fins qui vont sembler
vraiment de mauvaise qualité si on ne les visualise
pas à l’échelle 100%, mais il faut garder à l’esprit
que toutes les images ont toujours intérêt à être
visualisées à l’échelle 100% si on veut vraiment
pouvoir juger de leur qualité.
Version 12/01.
4 2
Ouvrez limage qui
s’appelle Echelle.
Double-cliquez sur l’outil LOUPE dans la palette
des outils… Cela a pour effet d’afficher l’image à
l’échelle 100%, dans le cas où elle ne l’était pas encore.
C’est un bon raccourci à retenir : le double-clic sur
la LOUPE dans la palette des outils pour afficher
une image à l’échelle 100%.
Vous devriez voir sur la barre de titre de l’image
qu’il est inscrit 100%.
Maintenant positionnez la LOUPE quelque part
sur la surface de l’image et cliquez une fois sans
bouger la souris… Si jamais vous bougez la souris
pendant que vous cliquez avec la LOUPE, vous faites
un rectangle de zoom et vous risquez alors de vous
retrouver à un fort pourcentage d’agrandissement
de l’image sur l’écran… Dans ce cas il suffirait de revenir
à l’échelle 100% en double-cliquant à nouveau sur
l’outil LOUPE dans le palette des outils.
Afficher l’image à
l’échelle 200%
En cliquant une fois sur l’image avec la LOUPE vous
arrivez à l’échelle 200%. Cela veut dire que maintenant
chacun des pixels de l’image est affiché sur quatre
points d’écran. En effet quand on multiplie par deux
les dimensions largeur/hauteur d’une image, on
multiplie par quatre sa surface.
Quand on travaille sur une image, on a parfois intérêt
à l’afficher à l’échelle 200%, pour mieux voir ce qu’on
fait. Mais il ne faut pas non plus trop zoomer… Parfois
je vois certains participants aux formations qui
travaillent sur des images affichées à l’échelle 400%,
ou 800%… Cela veut dire qu’alors un pixel de l’image
s’affiche sur 16 points d’écran, ou sur 64 points
d’écran! C’était vers la fin des années ‘70 qu’on
travaillait des images pixel par pixel, avec les premiers
logiciels de création BITMAP, comme MACPAINT®.
Maintenant ça ne se fait plus jamais de travailler
pixel par pixel, seuls les tout débutants croient qu’on
travaille encore ainsi.
l’échelle 50%
Maintenant positionnez la LOUPE sur l’image, enfoncez
la touche ALT sur le clavier, gardez-la enfoncée et
cliquez trois fois de suite. L’image devrait maintenant
être affichée à l’échelle 50%. Vous pouvez alors lâcher
la touche ALT sur le clavier.
L’image parait toujours correcte, bien que tous ses
détails ne soient pas visibles.
Ce qui se passe ici c’est que quatre pixels de l’image
sont affichés sur seulement un point de l’écran.
Un point qu’on voit sur l’écran prend une couleur
qui est la moyenne de quatre pixels de l’image…
C’est ce qu’on appelle l’interpolation.
L’image reste correcte sur l’écran, mais il y a beaucoup
de chance pour qu’elle ne soit plus visible en
entier.
Version 12/01.
4 3
l’échelle 66,6%
Maintenant cliquez une fois sur l’image avec la LOUPE,
sans enfoncer la touche ALT au clavier. L’image devrait
maintenant être affichée à l’échelle 66,6%»… Et ça
c’est très mauvais… Regardez la texture de bois dans
cette image, elle paraissait correcte tout à l’heure
quand elle était affichée à l’échelle 100%, ou même
à l’échelle 50%… Mais maintenant cette texture
complexe est très mal affichée.
Ce qui se passe c’est qu’il y a un phénomène
de mauvaise interpolation de la part de Photoshop®…
Quand on demandait à Photoshop® d’afficher chaque
pixel de l’image sur chaque point de l’écran, le calcul
d’interpolation était facile pour lui, puisqu’il n’y avait
pas de calcul en réalité. Quand on lui demandait
d’afficher quatre pixels de l’image sur un point
d’écran, c’était un calcul d’interpolation facile…
Mais à l’échelle 66,6% on demande à Photoshop®
d’afficher deux pixels sur trois de l’image, et là
il n’interpole plus bien.
Pourtant Photoshop® est
capable d’interpoler
correctement à 66,6%
Il semblerait que ce serait uniquement pour
une question de rapidité d’affichage que les interpolations ne sont pas réalisées correctement à
certains facteurs de zoom.
En effet, si on réduit d’un tiers le nombre de pixels qui
CONSTITUE l’image, on remarque que Photoshop®
calcule bien l’interpolation. On ne parle pas ici
de réduire l’affichage des pixels de l’image sur
le moniteur, mais bien de réduire le nombre
de pixels qui composent l’image, en utilisant
la commande TAILLE DE L’IMAGE du menu
IMAGE.
Faites
l’expérience,
allez
dans
IMAGE…TAILLE DE L’IMAGE. Dans la boite de dialogue
qui s’ouvre, l’option CONSERVER LES PROPORTIONS
doit être cochée, le RÉÉCHANTILLONNAGE est
enclenché et est du type BICUBIQUE.
Dans la boite de dialogue, choisissez que l’unité
de mesure de la LARGEUR ou de la HAUTEUR soit %,
et inscrivez 66, 6 dans le cartouche. Il suffit de le faire
soit pour la largeur, soit pour la hauteur, puisque on
a demandé de CONSERVER LES PROPORTIONS…
Cela veut dire que tout changement opéré sur la largeur
OU sur la hauteur se répercute automatiquement
sur la largeur ET sur la hauteur.
Une fois que vous avez validé ce changement
de TAILLE DE L’IMAGE, affichez l’image à
l’échelle 100%… Vous constatez que l’image dont
vous avez réduit de un tiers le nombre de pixels est
correcte… L’interpolation a bien été réalisée.
Allez dans le menu FICHIER en haut de l’écran et activez
la ligne de menu qui s’appelle VERSION PRÉCÉDENTE.
Ainsi vous récupérez l’image telle qu’elle était
lorsque vous l’avez ouverte tout à l’heure, elle a
tous ses pixels.
Version 12/01.
4 4
Ce phénomène de mauvaise interpolation de l’affichage
surviendra aussi lorsque vous afficherez l’image à
l’échelle 33, 3%, mais pas à l’échelle 25%. Essayez ces
échelles d’affichage. Remarquez qu’à l’échelle 25%,
le calcul tombe juste, et l’image paraît correcte,
comme c’était le cas à l’échelle 50%.
Prenez conscience qu’à l’échelle 25% Photoshop®
affiche seulement un pixel sur 16 de l’image, et
que même si l’image paraît correcte, cela ne vous
permet pas de voir beaucoup des détails qui sont
dans cette image.
Il y a de fortes chances
qu’avec le développement
de la puissance
des ordinateurs
une prochaine version
de Photoshop® affichera
toujours correctement
les images, quel que soit
le facteur de zoom utilisé
Il faut savoir que l’affichage dans Photoshop® s’est
déjà amélioré de par le passé…
Avant la version 4 voici ce qui se passait lorsqu’on
affichait une image à l’échelle 50% : un pixel sur
quatre de l’image était affiché sur l’écran, et le point
de l’écran ne prenait pas une couleur qui était
une moyenne de quatre pixels de l’image… Trois
pixels étaient simplement ignorés, un seulement était
affiché… Résultat : l’image paraissait de mauvaise
qualité quand on l’affichait à l’échelle 50%. Ce n’est
donc qu’à la version 4 que Photoshop® a mieux
affiché les images en zoom arrière.
La version 4 a également apporté une gestion
de la mémoire cache plus performante… L’affichage
des images qui comporte beaucoup de pixels s’est
extrêmement accéléré par rapport à la version 3.
Dans la version 3 quand on zoomait sur une image,
il fallait parfois attendre une minute avant de la voir
apparaître sur le moniteur (on parle ici d’une image
que quelques dizaines de mégas, ce qui était plutôt
lourd pour les ordinateurs qui existaient au moment
de la version 3 de Photoshop®, en 1994).
D’autres images sont là
pour vous démontrer ce
phénomène. Jetez-y
un coup d’oeil… ça peut
être amusant
L’image INTERPOL est un de ces exemples amusant :
quand on l’affiche à l’échelle 50% les carrelages sur
les murs ont l’air d’être complètement de travers.
C’est bien la preuve qu’il n’y a vraiment que l’affichage
à l’échelle 100% qui est valable pour bien juger
de la qualité de images.
Il y a aussi les images ROSEAU et TEMPLE, qui n’ont
rien de particulier sinon qu’elles confirment ce qui
vient d’être expliqué.
À propos de l’image Tele
Cette photographie montre un réseau de points,
ce sont les points de l’écran de télévision qui a été
photographié… C’est donc une image qui comporte
énormément de détail.
Version 12/01.
4 5
Ce réseau de points crée des interférences visuelles avec
le réseau de points de votre moniteur quand on affiche
l’image à l’échelle 66,6% ou à l’échelle 33, 3%. Ces interférences visuelles, on les appelle des moirages.
Notez que lorsqu’on affiche l’image à l’échelle 100%
on voit encore des moirages sur l’image TELE.
En réalité ces moirages sont dans l’image numérique… Ce sont les capteurs du scanner qui ont fait
des interférences avec les points de la télévision qui
était sur la photographie scannée. Notez qu’il ne s’agit
toutefois pas les fameux ANNEAUX DE NEWTON,
comme on pourrait le croire, qui surviennent parfois
quand on numérise sur un scanner à plat.
Le double-clic sur l’outil
Main
On a dit que quand on double-clique sur l’outil
LOUPE, on arrive tout de suite à l’affichage à 100%.
Il y a un autre raccourcis qui est vraiment utile,
c’est le double-clic sur l’outil MAIN… Ça affiche
l’image en entier sur l’écran. Attention toutefois, à
ce moment l’affichage de l’image n’est pas vraiment
correct… Regardez à quelle échelle s’affiche alors
l’image.
Version 12/01.
4 6
3. Techniques
particulières pour
un démarrage
rapide dans la production
d’images avec
Photoshop® :
3. 1.
La palette Historique
Si vous recommencez la formation ici, après l’avoir
interrompue, il faut avoir pensé à remettre à zéro
les paramètres de Photoshop®, en enfonçant et en
gardant enfoncées les trois touches de Macintosh®
POMME, ALT et MAJUSCULE juste après avoir lancé
Photoshop®, jusqu’à ce qu’un message apparaisse :
SUPPRIMER LES PARAMÈTRES. A ce moment
cliquez sur OUI.
Sur PC, les trois touches à enfoncer sont CTRL, ALT
et MAJUSCULE.
Où se trouve la palette
Historique?
Si vous avez remis à zéro les paramètres de Photoshop®
en le démarrant, vous devriez trouver la palette
HISTORIQUE assez facilement. Elle devrait se trouver
au milieu à droite sur votre écran. Elle est associée
avec la palette des SCRIPTS.
Si vous ne trouvez pas la palette HISTORIQUE,
utilisez le menu AFFICHAGE et activez la ligne
de commande de ce menu qui s’appelle RÉINITIALISER
LA POSITION DES PALETTES, à ce moment vous
devriez la voir au milieu à droite sur votre écran.
Positionnez le pointeur sur la barre de DÉPLACEMENT
du groupe de palettes HISTORIQUE/SCRIPTS,
n’importe où entre les deux carrés qui sont à chaque
extrémité de la barre de DÉPLACEMENT. Déplacez
ce groupe de palette vers le haut de l’écran. Ensuite
positionnez le pointeur en bas à droite de ce groupe
de palette et agrandissez-le en tirant vers le bas.
La palette HISTORIQUE est associée à la palette
de SCRIPTS, ceci uniquement afin de gagner
de la place sur l’écran. Il faut savoir que la palette
HISTORIQUE n’a en réalité rien à voir avec la palette
des SCRIPTS.
La palette Historique sert
à voyager en arrière et en
avant dans la construction
d’une image
C’est-à-dire que lorsqu’on a effectué des opérations
pour créer une image, on peut annuler une ou plusieurs
opérations pour remonter le temps, en quelque
sorte. Ensuite, on peut aussi rétablir les opérations
qu’on a annulées.
La palette HISTORIQUE est apparue avec le version
5 de Photoshop®, et ça a été un soulagement pour
énormément de personnes dans l’industrie graphique.
Tout le monde trépignait d’impatience quand
ADOBE® a annoncé la version 5 de Photoshop®, et
qu’on allait enfin pouvoir revenir plusieurs fois en
arrière, jusqu’à 100 fois!
3. Techniques particulières pour un démarrage rapide
Version 12/01.
4 7
Imaginez, avant la version 5 de Photoshop®, on ne
pouvait annuler que la dernière opération qu’on
avait réalisée… On ne pouvait revenir qu’une fois
en arrière! Pour éviter les catastrophes, il fallait
régulièrement enregistrer l’image sur le disque
dur, pour pouvoir la récupérer non modifiée au
cas où on faisait deux erreurs de suite. Quand on
travaillait sur des images d’un poids informatique
assez important, c’était une perte de temps assez
importante d’enregistrer comme ça régulièrement
les images sur le disque dur.
permet de revenir jusqu’à
100 fois en arrière, mais
il faut quand même penser
à enregistrer de temps en
temps, en activant
la commande enregistrer
du menu Fichier
La palette HISTORIQUE permet de stocker toute
la construction d’une image, mais si l’ordinateur se
plante et qu’on n’a pas enregistré, on a tout perdu,
c’est comme si on n’avait pas travaillé.
Combien de temps faut-il entre chaque enregistrement? En fait, vous devriez enregistrer votre travail à
chaque fois que vous venez de faire quelque chose
que vous n’auriez pas envie de recommencer, pas
nécessairement parce que ça a été désagréable à
faire, mais parce que ça ne vous apporterait rien
de le recommencer, … ça peut donc être toutes les cinq
minutes qu’il faut activer la commande ENREGISTRER
du menu FICHIER.
Il faut donc prendre
la bonne
habitude d’enregistrer son
travail sur le disque dur…
Les étudiants inexpérimentés en font souvent
l’expérience à leurs frais… Ils travaillent pendant
une heure ou deux et puis l’ordinateur se plante…
Et c’est comme s’ils n’avaient rien fait.
Imaginez ce que ça peut donner chez un employeur…
Il aurait de quoi être furax quand on sait ce que lui
coûte un employé, sans compter que les travaux
doivent être remis à temps au client.
Il est possible qu’avec
le développement
de la puissance
des ordinateurs on voit
apparaître dans
Photoshop® un système
de récupération
automatique comme dans
Adobe InDesign®…
Quand le logiciel de mise en page INDESIGN® plante
(ou que l’ordinateur qui le fait fonctionner plante)
on récupère son travail tel qu’il était à peu près 30
secondes avant le plantage, même si on n’avait pas
pensé à enregistrer.
Il y a aussi des systèmes de sauvegardes automatiques
dans d’autres programmes, bien entendu, mais il ne
me semble pas que ce soit aussi efficace que dans
INDESIGN®, il ne me semble pas qu’on récupère
systématiquement le document tel qu’il était 30
secondes avant le plantage.
Version 12/01.
4 8
Au passage, j’en profite
pour dire que je suis un fan
du logiciel de mise en page
Adobe InDesign®, après
avoir été un fan du logiciel
de mise en page Quark
XPress®.
Ceci dit je comprends que tout le monde ne soit pas
fan de INDESIGN®… personnellement j’ai pu me
permettre de passer de XPRESS® à INDESIGN® parce
que je n’avais pas l’impression de perdre des années
en faisant cela… Parce que je ne connais pas XPRESS®
comme certaines personnes le connaissent, avec
tous ses raccourcis-clavier et toutes ces petites
astuces cachées.
Il est aussi
utile d’enregistrer
régulièrement son
travail par
la commande Enregistrer
sous du menu Fichier, et
de changer un peu le nom
de votre travail au moment
où vous l’enregistrez…
Par exemple en mettant un numéro qui indique
la version de l’image… Truc 1, puis Truc 2, puis Truc 3,
puis Truc 4. Ainsi, vous gardez à chaque fois une copie
qui retrace l’évolution de votre travail : ça peut être
intéressant pour récupérer un élément de l’image
qui existait par exemple dans la version 2 de l’image
Truc, mais qui n’existe plus depuis la version 3, alors
que vous êtes actuellement en train de modifier
la version 4.
Ça peut être intéressant aussi pour constituer
un press-boOK à montrer aux clients, avec toute
l’évolution de travaux, si c’est intéressant évidemment,
parce que ça peut aussi jouer contre vous… Le client
pourrait y voir tout le temps qu’il a fallu pour créer
un travail, alors qu’en production on est censé
aller vite.
Créez une image ex nihilo
Dans Photoshop® on commence souvent un travail en
démarrant d’une photographie. Mais on peut
également commencer à travailler en partant
d’une image vide, et faire ainsi de la création EX
NIHILO (= au départ de rien).
Allez dans le menu FICHIER, à la ligne de commande qui
s’appelle NOUVEAU. Une boite de dialogue s’ouvre
sur l’écran.
Si vous avez remis à zéro les paramètres de Photoshop®
en le démarrant, alors il devrait vous proposer de créer
une image dont la taille informatique est de 453
Kilo-octets… C’est inscrit dans la haut de la boite
de dialogue.
Si vous n’avez pas remis à zéro les paramètres
de Photoshop® en le démarrant, alors Photoshop® vous
propose de créer une image dont la taille est identique
à une image qui aurait été créée précédemment.
Si un élément se trouve dans le PRESSE-PAPIERS,
qui est une partie des circuits de l’ordinateur qui
sert à l’échange d’informations entre les logiciels,
alors Photoshop® vous propose de créer une image
qui a le même nombre de pixels que cet élément
qui se trouve actuellement copié dans le PRESSEPAPIER.
Version 12/01.
4 9
Pour le réglage de largeur ET pour le réglage de hauteur
dans la boite NOUVEAU, choisissez l’unité de mesure
PIXELS, et tapez par exemple 400 en largeur et
400 en hauteur. Ça devrait vous faire une image
d’une taille informatique de 459 Kilo-octets (Ko)…
Si vous n’avez pas cela, c’est soit que vous avez
oublié de changer l’unité de mesure en PIXELS
pour la largeur ou pour la hauteur… Ou pour
les deux, soit que l’image que vous allez créer n’est
pas au mode RVB… Il faut le vérifier vers le milieu
de la boite.
Choisissez que l’image que vous créez soit initialement
remplie par du BLANC. Validez par OK… Une image
se crée dans Photoshop®.
Ce n’est pas une image très
précise…
Elle ne fait que 400 pixels en largeur sur 400 pixels en
hauteur. Ça ne fait que 160.000 pixels en tout. Pour
information, une image destinée à être imprimée
sur toute une page dans un magazine est constituée
de 2.500 pixels en largeur et 3.600 pixels en hauteur,
ce qui fait tout de même une image qui est composée
de plus de 9 millions de pixels!
Cette image de 400 pixels sur 400 pixels va simplement
nous servir de support pour étudier la palette
HISTORIQUE.
La palette Historique est
constituée de deux
parties…
Maintenant qu’il y a une image ouverte dans
Photoshop®, la palette HISTORIQUE a changé un peu
d’aspect.
On voit maintenant qu’elle est constituée de deux
parties bien distinctes, mais qui ont des points
communs dans leurs manières de fonctionner,
comme on le comprendra plus tard.
Ces deux parties sont séparées dans la palette
HISTORIQUE par un SÉPARATEUR horizontal,
c’est une ligne. Au-dessus de cette ligne c’est
la partie de la palette HISTORIQUE qui concerne
les INSTANTANÉS. On aura l’occasion de s’ETENDRE
sur ce sujet un peu plus tard. En-dessous de cette
ligne, c’est là que se stockent les états d’HISTORIQUE,
c’est-à-dire tout l’enregistrement de la construction
de l’image, c’est ce qui nous intéresse pour l’instant…
C’est ce qui va nous permettre de revenir en arrière
dans la construction de l’image, jusqu’à un maximum
de 100 fois.
Vous voyez qu’il y a déjà une action qui a été réalisée sur
cette image… Puisqu’on voit un ÉTAT D’HISTORIQUE
en dessous de la ligne horizontale dans la palette
HISTORIQUE… Cet état s’appelle NOUVEAU…
Cela indique simplement qu’on vient de créer
un nouveau document. Vous verrez plus tard que
ça peut être intéressant que NOUVEAU soit indiqué
dans la palette HISTORIQUE.
Quand plus tard vous ouvrirez une image, vous
pourrez constater qu’il est inscrit OUVRIR à la place et
non pas NOUVEAU… Rien de plus logique.
Version 12/01.
5 0
Comment fonctionne
la palette Historique
Activez le Pinceau dans la palette des outils…
Le Pinceau normal, pas le Pinceau avec une flèche…
Ça c’est la FORME D’HISTORIQUE, on va s’en servir
un peu plus tard puisqu’on est en train d’étudier
comment fonctionne la palette HISTORIQUE.
Sur la droite de votre écran, vous devriez avoir
la palette COULEURS… Cliquez sur l’arc-en-ciel
qui se trouve dans le bas de cette palette… Vous
voyez que quand vous cliquez il y a une PIPETTE qui
prélève de la couleur. La couleur que vous prélevez est
envoyée dans la case de premier-plan dans la palette
des outils. La case de premier-plan de la palette
des outils contient la couleur qui est utilisée par
les outils de dessin.
Tracez quelques traits de différentes couleurs sur
l’image. Vous remarquez qu’à chaque trait que
vous amenez sur l’image, un ÉTAT D’HISTORIQUE
s’ajoute dans la palette HISTORIQUE. C’est normal,
en amenant des traits sur l’image, vous construisez
l’image, et la palette HISTORIQUE est là pour se
souvenir de ce que vous faites, au cas où il faudrait
revenir en arrière.
Remarquez que les dernières actions que vous avez
réalisées sur l’image se trouvent en bas de la liste.
Actuellement Photoshop®
devrait être réglé pour ne
retenir que les 20 dernières
actions que vous avez
réalisées sur l’image.
C’est normal, c’est comme ça qu’il est réglé à l’origine.
Pourquoi n’est-il pas réglé pour retenir les 100
dernières étapes alors qu’il en serait capable? C’est
parce que toute cette construction de l’image qui
est retenue par Photoshop®, et qui apparaît dans
la palette HISTORIQUE, doit en réalité se stocker
sur le disque dur… Et ça prend de la place. Donc ce
sont seulement les utilisateurs de Photoshop® qui
disposent d’une machine puissante et de place sur
leur disque dur qui vont pouvoir modifier la manière
dont la palette HISTORIQUE fonctionne, pour que
le nombre d’étapes stockées soit 100, et non pas
20.
Cela veut dire qu’actuellement dès que vous arrivez
à la 21ème action sur l’image, la première étape
de la palette HISTORIQUE disparaît.
Se déplacer dans
l’Historique
C’est très facile d’utiliser la palette HISTORIQUE
pour revenir en arrière… Vous devriez voir qu’il y a
un petit taquet qui est situé en face du dernier état
Cliquez sur d’autres états, pas sur la case vide en
face des états, mais bien sur les états, sur leurs
noms… Vous revenez en arrière dans la construction
de l’image… Le taquet se déplace.
Version 12/01.
5 1
Les étapes qui n’apparaissent plus dans le document
de travail ne sont pas pour autant perdues…
Il suffit de cliquer à nouveau sur d’autres états plus
récents pour les voir réapparaître dans le document
de travail.
Il est inutile de jeter
des états de la palette
Historique dans la petite
corbeille…
Parfois les étudiants me demandent : comment est-ce
qu’on fait pour enlever d’un coup toutes les étapes
de la palette HISTORIQUE, parce que c’est long
d’emmener chaque étape dans la petite corbeille dans
le bas de la palette HISTORIQUE…
Quand je leur demande pourquoi il veulent faire ça
ils me répondent «Pour pouvoir revenir en arrière»…
Ces étudiants n’ont visiblement pas compris que
l’intérêt de la palette HISTORIQUE, c’est de pouvoir
aller en arrière, mais aussi de pouvoir revenir en
avant… Donc il ne faut pas jeter les états de la palette
HISTORIQUE dans la corbeille… Il faut faire voyager
le taquet, comme on a vu.
Dans Photoshop® 6 le fait de prendre un des états
de la palette HISTORIQUE et de le mettre dans la petite
corbeille dans le bas de la palette HISTORIQUE n’a pas
pour effet de supprimer cet état visuellement dans
le document de travail… Ce sera certainement pour
une autre version de Photoshop®, ça demanderait
trop d’espace sur le disque dur pour arriver à faire
cela avec les ordinateurs qui sont actuellement
disponibles sur le marché. Cela supposerait que
chaque action qu’on réalise sur l’image arrive
comme sur un genre de calque, et est séparable et
indépendante des autres actions qu’on réalise sur
l’image. Ce n’est pas le cas actuellement.
Remarquez toutefois que si
vous revenez en arrière,
et que vous recommencez
à dessiner, les états qui
n’apparaissaient plus dans
le document
de travail disparaissent
aussi de la palette
Historique…
C’est parce qu’on est dans actuellement dans
un HISTORIQUE LINÉAIRE. On verra plus loin ce
qu’est le contraire d’un HISTORIQUE LINÉAIRE : c’est
un HISTORIQUE NON LINÉAIRE.
Dans un HISTORIQUE LINÉAIRE, les étapes qui
n’apparaissent plus suite à un retour en arrière
sont définitivement oubliées si on recommence
à travailler.
Comment faire pour
augmenter le nombre
d’étapes qui sont stockées
dans la palette Historique
Il faut aller dans le menu EDITION…PRÉFÉRENCES
GÉNÉRALES. Dans la boite de dialogue qui s’ouvre
vous voyez à un certain endroit qu’il est inscrit ÉTATS
D’HISTORIQUE. À la place de 20, vous pouvez mettre
un nombre plus élevé.
Si vous mettez plus que 100, Photoshop® vous
affichera un message.
Ne cliquez pas sur n’importe quoi dans cette boite
de paramètrage des PRÉFÉRENCES GÉNÉRALES,
car cela pourrait avoir des conséquences fâcheuses
pour la suite.
Version 12/01.
5 2
enregistre tout
Il est à noter que ce ne sont pas seulement les actions
réalisées avec les outils de dessin qui sont enregistrées
dans la palette HISTORIQUE, mais tout ce qu’on
fait dans Photoshop®. Quand on applique un filtre,
quand on va dans un menu, etc : tout est stocké
Les états de la palette HISTORIQUE prennent le nom
de l’outil qui a été utilisé, et son icone, ou elle montrent
le nom de la commande de menu qui a été activée,
etc.
Les raccourcis-clavier pour
faire voyager le taquet
Il est possible de faire voyager le taquet dans la palette
HISTORIQUE, pour voyager dans la construction
de l’image, en utilisant des raccourcis-clavier.
Les raccourcis-clavier sont des combinaisons
de touches qu’on enfonce sur le clavier afin d’obtenir
la même chose qu’en cliquant avec la souris dans
un menu. L’intérêt, dans le cas de la palette HISTORIQUE,
est de pouvoir voyager dans la construction de l’image
sans devoir faire apparaître systématiquement
la palette HISTORIQUE sur l’écran.
La plupart de professionnels utilisent beaucoup
les raccourcis-clavier… C’est un gain de temps pour
eux puisqu’ils peuvent en appuyant rapidement
sur certaines touches au clavier obtenir la même
chose qu’en allant sur une ligne de commande dans
un menu ou un sous-menu. Les raccourcis-clavier
leur offrent également la possibilité d’anticiper…
Pendant qu’une opération est en cours sur une image
(par exemple l’application d’un filtre) il est possible en
appuyant sur des touches au clavier de déjà appeler
l’opération suivante, qui s’effectuera alors dès que
l’opération en cours sera terminée.
Les raccourcis-clavier qu’il faut utiliser pour voyager
en arrière et en avant dans la palette HISTORIQUE
sont indiqués, pour aide-mémoire, dans le menu
EDITION.
Cliquez sur le mot EDITION dans le haut de l’écran…
Vous voyez qu’un face de la ligne ALLER VERS
L’AVANT, il y a trois signes bizarres : il y a une flèche
qui pointe vers le haut… C’est le signe de la touche
MAJUSCULE (pas verrouillage MAJUSCULE!), Il y a
aussi une espèce de marguerite… C’est le signe
de la touche POMME (en réalité c’est le signe
de la touche COMMANDE, qui est aussi la touche
POMME, mais ne compliquons pas les choses). Et
le troisième signe, qui ressemble à un Z… C’est
un Z.
Ça veut dire que pour voyager vers l’avant dans
l’HISTORIQUE vous devez enfoncer sur le clavier
les touches MAJUSCULE et POMME, les garder
enfoncées et appuyer une fois, ou plusieurs fois si
vous le souhaitez, sur la touche Z. Bien entendu ça
c’est le raccourci-clavier sur les Macintosh®. Sur les PC
le raccourci-clavier sera : touches MAJUSCULE et
CTRL enfoncées, puis en même temps la touche Z
enfoncée une ou plusieurs fois.
Le raccourci-clavier pour aller vers l’arrière est : touche
ALT, POMME et Z sur les Macintosh®, et touches ALT,
CTRL et Z sur les PC.
Essayez ces raccourcis-clavier : vous devriez constater
que le taquet bouge tout seul dans la palette
HISTORIQUE.
Version 12/01.
5 3
Maintenant cliquez sur la case de fermeture
de la palette HISTORIQUE… Nous allons essayer
de faire voyager le taquet dans la palette, sans même
qu’elle soit sur l’écran. Pour fermer la palette sur
un ordinateur Macintosh®, c’est la case en haut à
gauche qu’il faut cliquer. Sur un PC pour fermer
la palette ce sera la croix en haut à droite.
Ce qu’est un Historique non
linéaire
Réaffichez à nouveau la palette HISTORIQUE,
en allant dans le menu AFFICHAGE…AFFICHER
HISTORIQUE.
Nous allons voir maintenant ce qu’est un HISTORIQUE
NON LINÉAIRE. Nous avons dit tout à l’heure que nous
étions en train de travailler dans un HISTORIQUE
LINÉAIRE … à nouveau remarquez ce qui se passe
quand on revient en arrière dans la construction
d’une image… les lignes d’états qui n’apparaissent
plus dans le document de travail sont affichées en
grisé dans la palette HISTORIQUE… Et dès qu’on
travaille sur l’image, elles disparaissent.
Maintenant allez dans le menu de la palette
HISTORIQUE. On y a accès en cliquant sur la petite
flèche qui pointe vers la droite et qui se trouve en haut
à droite dans la palette HISTORIQUE. Dans le menu,
allez jusqu’à la ligne du bas, qui s’appelle OPTIONS
D’HISTORIQUE.
Une boite de dialogue s’ouvre sur l’écran, avec
des options à cocher. Ne cochez pas n’importe
quoi… Il faut simplement cocher l’option qui
s’appelle ACCEPTER UN HISTORIQUE NON LINÉAIRE,
puis il faut valider votre choix en cliquant sur OK.
À ce moment quand vous revenez en arrière dans
la construction de l’image, vous remarquez que
les lignes d’états qui correspondent à des états qui
n’apparaissent plus dans le document de travail ne sont
pas affichées en grisé dans la palette HISTORIQUE…
Elles sont affichées en noir. Sous MACOS®, il est
possible qu’il y ait un petit problème de remise à jour
de l’écran… Si c’est le cas il faut cliquer plusieurs fois
sur la case en haut à droite de la palette HISTORIQUE,
sur sa barre de DÉPLACEMENT.
Donc vous êtres revenus en arrière dans le construction
de l’image et certaines étapes n’apparaissent
plus dans le document de travail… Maintenant
recommencez à dessiner… Vous remarquez que
les ÉTATS D’HISTORIQUE ne disparaissent pas
comme tout à l’heure de la palette HISTORIQUE. En
fait c’est comme si les choses se passaient comme
ceci… Vous avez utilisé servi la palette HISTORIQUE
pour gommer rapidement les dernières choses que
vous aviez réalisées sur l’image, et vous pouvez
les retrouver en revenant en arrière dans l’HISTORIQUE,
qui enregistre tout.
Remarquez qu’il y a une fine ligne horizontale qui
est apparue dans la palette HISTORIQUE… Elle est
là pour indiquer là où se trouve la cassure dans
le déroulement de la construction de l’image.
Réinjecter l’image
telle qu’elle était à
un certain moment de sa
création, avec la Forme
d’Historique
Nous allons maintenant voir comment on utilise
la FORME D’HISTORIQUE, c’est l’outil qui ressemble à
Pinceau avec une flèche dans la palette des outils.
Version 12/01.
5 4
Ouvrez l’image qui s’appelle FLEUR_15.
N’oubliez pas que si cette image vous parait trop claire
ou trop foncée sur votre écran, vous pouvez toujours
modifier son GAMMA, l’intensité de ses tons moyens, en
allant dans le menu IMAGE…RÉGLAGES…COURBES.
Nous en avons parlé précédemment.
Pour ce que nous allons faire ici, il vaut mieux
que l’option ACCEPTER UN HISTORIQUE NON
LINÉAIRE soit cochée dans les options d’HISTORIQUE.
Normalement ce devrait être le cas puisque nous
avons coché cette option tout à l’heure.
Nous allons modifier cette
image. Tout d’abord nous
allons faire en sorte que
les fleurs orangées
deviennent rouges
Pour cela, allez dans la boîte de réglage
TEINTE/SATURATION, qui est accessible en allant
dans
le
menu
IMAGE…
RÉGLAGES…TEINTE/SATURATION.
Dans le réglage TEINTE/SATURATION, bougez
le triangle du curseur TEINTE vers la gauche jusqu’à
ce qu’il soit indiqué à peu près -40 dans le cartouche.
Validez par OK.
À ce moment vous voyez qu’un nouvel ÉTAT D’HISTORIQUE s’est ajouté dans la palette HISTORIQUE.
Il s’appelle TEINTE/SATURATION.
Maintenant nous allons
appliquer un filtre de flou
sur cette image…
Allez dans le menu FILTRES…ATTÉNUATION…FLOU
GAUSSIEN. Comme cette image comporte très peu
de pixels, il ne faudra pas donner une valeur élevée
à ce réglage pour obtenir un flou important. Bougez
le triangle en-dessous du curseur RAYON jusqu’à ce
qu’il soit indiqué à peu près 4, 0 dans le cartouche.
Validez par OK.
Vous voyez qu’un nouvel ÉTAT D’HISTORIQUE s’est
ajouté dans la palette HISTORIQUE. Il s’appelle FLOU
GAUSSIEN.
Maintenant revenez
d’une étape en arrière dans
la construction de l’image…
Cliquez
sur
la
ligne
d’état
qui
s’appelle TEINTE/SATURATION dans la palette
HISTORIQUE… Le taquet doit être en face de cette
ligne, et les fleurs qui étaient devenues floues
redeviennent nettes.
Activez l’outil FORME D’HISTORIQUE dans la palette
des outils, s’il n’est pas déjà activé… C’est le Pinceau
avec une flèche. Ses options, en haut de l’écran
devraient être réglées correctement… C’est à dire
qu’il est indiqué NORMAL et OPACITÉ 100%.
Choisissez de travailler avec une FORME DE BROSSE
de 200 PIXELS de diamètre… Il faut choisir la forme
en-dessous de laquelle il est indiqué 200 dans
la PALETTE DES FORMES.
Version 12/01.
5 5
La Forme d’Historique va
nous permettre d’injecter
dans l’image de travail que
vous voyez sur l’écran
les pixels tels qu’ils étaient
à un certain moment
de la construction
de l’image
Par exemple ici on va faire en sorte d’aller rechercher
les pixels qu’on a rendus flous à un certain moment,
et on va les ramener dans une partie de l’image,
sur les fleurs qui sont situées à l’arrière-plan dans
la photographie. Ces fleurs de l’arrière-plan sont
déjà un peu floues, mais on va les rendre encore
plus floues.
Il faut indiquer à la FORME D’HISTORIQUE où elle va
puiser le pixels dans la construction de l’image.
On veut qu’elle aille puiser les pixels au moment
où on avait appliqué le FLOU GAUSSIEN… Donc
cliquez sur la petite case vide qui se trouve en face
de cette étape, qui s’appelle FLOU GAUSSIEN dans
la palette HISTORIQUE.
Vous devriez maintenant voir une icone de FORME
D’HISTORIQUE dans la case en face de la ligne qui
s’appelle FLOU GAUSSIEN dans la palette HISTORIQUE.
Ça indique que la FORME D’HISTORIQUE va aller
puiser les pixels à cet endroit.
Dans la palette Historique
il y a de nouveaux états
d’Historique qui
apparaissent… Ils indiquent
simplement qu’on vient
d’utiliser l’outil Forme
d’Historique
J’ai pu remarquer que ça perturbe assez bien
les étudiants de voir le mot FORME D’HISTORIQUE
dans la palette HISTORIQUE, juste après avoir utilisé
l’outil FORME D’HISTORIQUE. En réalité c’est tout à
fait logique, et il ne faut pas s’en préoccuper ici…
Faites comme si ces étapes n’existaient pas.
Si vous passez sur
les fleurs du bas,
elles deviennent floues
également
Pour qu’elles redeviennent nettes, il suffit d’indiquer
à l’outil FORME D’HISTORIQUE qu’il doit aller puiser
dans l’HISTORIQUE les pixels de l’image tels qu’ils
étaient au moment où les fleurs étaient devenues
rouges, mais pas encore floues…
Le taquet doit toujours se trouver en face
de la ligne TEINTE/SATURATION dans la palette
HISTORIQUE.
Donc il faut faire en sorte que l’icone de la FORME
D’HISTORIQUE se trouve en face de la ligne qui
s’appelle TEINTE/SATURATION dans la palette
HISTORIQUE : cliquez sur la case vide en face de la ligne
qui s’appelle TEINTE/SATURATION dans la palette
HISTORIQUE.
Avec la FORME D’HISTORIQUE, travaillez dans
l’image… Vous remarquez que les fleurs deviennent
floues.
Le taquet doit se trouver en face de la ligne du bas
dans la palette HISTORIQUE, à la dernière étape
de la construction de cette image.
Version 12/01.
5 6
Passez sur l’image avec l’outil FORME D’HISTORIQUE…
Vous devriez remarquer que les fleurs redeviennent
nettes. Là où vous passez.
Encore plus fort : on va
faire en sorte que les fleurs
redeviennent partiellement
telles qu’elle étaient au
moment où on a ouvert
l’image… Elles étaient
orangées à ce moment…
Cliquez sur la case vide en face de l’ÉTAT D’HISTORIQUE qui s’appelle OUVRIR dans la palette
HISTORIQUE.
Le taquet doit toujours se trouver en face de la ligne
du bas dans la palette HISTORIQUE, à la dernière
étape de la construction de cette image.
Choisissez de travailler avec une FORME DE BROSSE
plus petite, et passez sur certaines parties de l’image…
Vous remarquez que les fleurs redeviennent orangées
là où vous passez. Bien entendu à ce moment là
de la construction de l’image, c’est-à-dire au moment
de l’ouverture de l’image, elles n’étaient pas encore
floues.
La suite du cours, ce sont
les Instantanés.
Avec la technique que nous venons de voir vous
êtes déjà capable de modifier une partie seulement
d’une image, sans même avoir appris à créer des sélections.
Ce que nous allons voir maintenant, ce sont
les INSTANTANÉS. Vous allez comprendre que ce
n’est qu’une version un peu plus perfectionnée
de ce qu’on vient de voir.
Avec les INSTANTANÉS, on va également se servir
de la palette HISTORIQUE et de la FORME D’HISTORIQUE, mais ça va se passer dans la haut de la palette
HISTORIQUE.
Les INSTANTANÉS, contrairement aux ÉTATS D’HISTORIQUE, ne disparaissent pas à un certain moment. En
effet, souvenez-vous que lorsque la palette HISTORIQUE
commence à être remplie, les premiers états disparaissent pour laisser la place aux suivants.
Ça peut parfois être
intéressant de supprimer
la totalité des états
de la palette Historique…
Par exemple quand Photoshop® refuse d’appliquer un filtre, qu’il affiche le message
MÉMOIRE
INSUFFISANTE.
On peut alors essayer de récupérer de la mémoire en
vidant l’HISTORIQUE. Pour faire cela, il faut aller dans
le menu EDITION…PURGER…HISTORIQUE.
Il y a aussi d’autres moyens d’arriver à appliquer
un filtre quand Photoshop® affiche systématiquement
le message MÉMOIRE INSUFFISANTE…
Si le fait d’avoir purgé l’HISTORIQUE ne permet
toujours pas de disposer de plus de mémoire, vous
voyez que dans le menu EDITION…PURGER, vous
avez également la possibilité de purger le PRESSEPAPIERs, et aussi de purger la possibilité d’annuler
la dernière opération que vous avez réalisée.
Version 12/01.
5 7
Vous avez aussi la possibilité de modifier l’allocation
mémoire pour Photoshop®. Ça se gère différemment
sur un ordinateur Macintosh® et sur un ordinateur
qui fonctionne sous WINDOWS®.
Les filtres qui sont dans Photoshop® sont
des programmes qui fonctionnent dans le programme
Photoshop®, et étonnamment on a parfois intérêt à
diminuer la mémoire allouée à Photoshop®, plutôt
que de l’augmenter, si on veut arriver à appliquer
certains filtres.
Autre solution pour gagner de la mémoire pour que
Photoshop® puisse mieux travailler : lui indiquer
des disques durs sur lesquels il va pouvoir simuler
de la mémoire vive, en écrivant ses calculs sur
les disques durs plutôt que dans les circuits, en
quelque sorte.
Pour indiquer à Photoshop® quels sont les disques
durs qu’il peut utiliser pour simuler la mémoire vive qui
est en quantité insuffisante, il faut aller dans le menu
EDITION…PRÉFÉRENCES…MODULES EXTERNES
ET DISQUES DE TRAVAIL. Il y a un message dans
la boite qui tente de vous faire comprendre que
ces disques de travail ne seront utilisés que quand
vous aurez redémarré Photoshop® (pas l’ordinateur, c’est inutile). Ce qu’il faut comprendre
c’est qu’il faut quitter Photoshop® par le menu
FICHIER/QUITTER puis le relancer pour que la modification que vous apportez dans le boite de réglage
EDITION…PRÉFÉRENCES…MODULES EXTERNES ET
DISQUES DE TRAVAIL soit prise en compte.
La mémoire cache de Photoshop®, ce sont des calculs
que Photoshop® a du faire à un certain moment, et
qu’il a gardés en mémoire pour y accéder rapidement
dans le cas où on en aurait encore besoin. Par
exemple c’est grâce à la mémoire cache de Photoshop®
que l’affichage des images est si rapide. Ce n’était pas
aussi rapide avant la version 4 de Photoshop®, avant
que Photoshop® n’intègre une meilleure gestion
de la mémoire cache.
Si vous êtes en manque de mémoire pour réaliser
une opération, vous pouvez donc aller dans le menu
IMAGE…RÉGLAGES…MÉMOIRE CACHE. Normalement
la mémoire cache est réglée sur le niveau 4. Si
vous la réglez sur le niveau 1, que vous redémarrez
Photoshop®, vous allez à ce moment remarquer que
Photoshop® est plus lent… C’est normal, il y a moins
d’informations qui sont mises «en cache»… Mais
par contre il y a plus de chance qu’il veuille bien
réaliser une opération qu’il ne voulait pas réaliser
auparavant.
Dès que possible il faudra tout de même remettre ce
réglage de mémoire cache à sa valeur standard : 4.
Une chose à laquelle on ne pense pas toujours,
mais qui peut franchement accélérer le travail sur
une image, c’est de diminuer le nombre de pixels
qui la composent… Est-ce que vous avez vraiment
besoin de tous les pixels qui sont dans votre image?
Si votre image représente des nuages, qui sont flous
par nature, vous avez franchement intérêt à diminuer
le nombre de pixels qui composent l’image.
Encore une autre solution pour gagner de la mémoire
pour que Photoshop® puisse mieux travailler :
diminuer la quantité de mémoire cache.
Version 12/01.
5 8
Souvent on travaille avec
des images qui comporte
trop de pixels, et c’est
au détriment
de la productivité…
Et de la créativité aussi. On fait parfois de plus
belles images quand on peut travailler plus vite
sur elles, quand elles sont composées de moins
de pixels.
Si vous essayez de travailler avec l’outil DOIGT, par
exemple, qui est caché derrière l’outil GOUTTE
D’EAU dans la palette des outils, vous remarquerez
que c’est vraiment très lent, même quand on
travaille sur un ordinateur très performant. Voici
une petite astuce pour arriver à utiliser l’outil DOIGT,
même sur des images qui comportent beaucoup
de pixels…
que Photoshop® va aller 16 fois ou 4 fois plus vite.
Quand on utilise l’outil DOIGT, c’est de toute manière
pour réaliser des choses qui sont un peu floues,
donc ça ne pose pas de problème que l’image soit
composée de moins de pixels.
Une fois que vous avez utilisé l’outil DOIGT sur
le duplicata de l’image, retournez dans le menu
IMAGE…TAILLE DE L’IMAGE et ramenez la RÉSOLUTION
de l’image à ce qu’elle est dans l’image originale : 300
ou 72 pixels par pouce dans nos deux exemples.
Ensuite il suffit d’emmener cette image en tant
que calque dans l’image originale, en enfonçant
la touche MAJUSCULE pendant le DÉPLACEMENT
pour que le duplicata arrive au bon endroit dans
l’image originale. Il faut ensuite ajouter un MASQUE
DE FUSION sur le calque (on étudiera plus tard
ce que c’est), et il faut faire apparaître les effets
du DOIGT là où on veut.
Dupliquez l’image, en allant dans le menu IMAGE/
DUPLIQUER. Allez ensuite dans le menu
IMAGE…TAILLE DE L’IMAGE. Là, la case
RÉÉCHANTILLONNAGE doit être cochée… C’est
le moteur de multiplication ou de division du nombre
de pixels sur les images. Diminuez la RÉSOLUTION
de votre image… C’est la densité des pixels sur
une distance donnée quand on imprime l’image.
Par exemple passez de 300 pixels par pouce à 72
pixels par pouce, ou de 72 à 36.
En passant de 300 pixels par pouce à 72, vous
diminuez plus de 16 fois le nombre de pixels qui
composent le duplicata de l’image. En passant
d’une RÉSOLUTION de 72 à 36, vous diminuez 4
fois le nombre de pixels qui composent le duplicata
de l’image. Autrement dit vous allez avoir l’impression
Version 12/01.
5 9
3. Techniques
particulières pour
un démarrage
d’images avec
et MAJUSCULE.
Ouvrez l’image Danse_11
C’est cette image qui va nous servir à étudier
les INSTANTANÉS.
Photoshop® :
3. 2.
Les Instantanés pour
modifier une portion
d’image sans devoir
la sélectionner, ou pour
modifier toute une image
et récupérer une portion
telle qu’elle était avant
modification
cliquez sur OUI.
Les Instantanés, c’est
un peu comme des états
d’Historique qu’on envoie
manuellement dans le haut
de la palette Historique
Les INSTANTANÉS se stockent dans le haut de la palette
HISTORIQUE.
Ce sont comme des photographies de l’image
telle qu’elle était à un certain moment de sa création.
Le terme INSTANTANÉ fait donc référence au système
photographique de Polaroïd® avec développement
INSTANTANÉ.
En anglais, ça s’appelle un SNAPSHOT, qu’on pourrait
traduire par PHOTOGRAPHIE PRISE SUR LE VIF.
Les INSTANTANÉS, c’est un peu comme des états
d’HISTORIQUE qu’on envoie manuellement dans
le haut de la palette HISTORIQUE, mais contrairement
aux états d’HISTORIQUE, qui se stockent dans le bas
de la palette HISTORIQUE, les INSTANTANÉS ne
disparaissent pas sans prévenir… Tandis que les états
d’HISTORIQUE peuvent disparaître sans prévenir
puisque la palette HISTORIQUE ne peut contenir
que maximum 100 états d’HISTORIQUE, les derniers
arrivés chassant les premiers.
Version 12/01.
6 0
Dans le haut de la palette
Historique, on remarque
qu’il y a déjà un Instantané
Si on regarde dans le haut de la pALEtte HISTORIQUE,
on remarque qu’il y a déjà un INSTANTANÉ. Il s’est
créé automatiquement au moment où on a ouvert
l’image. Photoshop® est d’office réglé pour que ce
soit ainsi. C’est en effet tellement pratique d’avoir
une photographie de l’image telle qu’elle était au
moment de son ouverture, pour pouvoir, après avoir
fait des modifications, revenir à tout moment à
l’image D’ORIGINE, même seulement partiellement
en utilisant la FORME D’HISTORIQUE.
Où est-ce que c’est réglé pour que Photoshop® agisse
ainsi… Pour le voir, allez dans le menu de la palette
HISTORIQUE, et descendez jusqu’à la ligne OPTIONS
D’HISTORIQUE… Dans la boite qui s’ouvre on voit
que la case est cochée en face de la ligne CRÉER
LE PREMIER INSTANTANÉ AUTOMATIQUEMENT. On
va laisser cette case cochée.
Nous allons utiliser
la technique
des Instantanés pour
arriver à faire en sorte
que certains des tutus
de cette image soient verts,
et d’autres bleus
Certains tutus resteront rouges. On aura aussi
la possibilité de faire en sorte que certains tutus
qu’on a transformés en vert ou en bleu redeviennent
rouges. Le résultat sera photoréaliste… C’est-à-dire
qu’on va conserver cet aspect tout à fait particulier
de la matière des tutus.
Voyons tout d’abord ce que
ferait un débutant si on
lui demandait de modifier
la couleur d’un des tutus
Avant d’étudier la technique des INSTANTANÉS,
voyons tout d’abord ce que ferait un débutant
si on lui demandait de modifier la couleur
d’un des tutus…
On zoome sur le tutu dont on veut modifier la couleur
et on active la BAGUETTE MAGIQUE dans la palette
des outils.
On garde la BAGUETTE MAGIQUE avec son réglage
de TOLÉRANCE moyen : 32.
On clique sur le tutu rouge avec la BAGUETTE MAGIQUE
On remarque que dans cette image, juste derrière
ce tutu il y a d’autres qui sont également rouges, ils
se sélectionnent également. En plus, ce tutu rouge
de l’avant-plan est constitué d’une multitude de rouges
différents, qui pour nous font évidemment partie
du tutu rouge, mais qui pour Photoshop® sont
des couleurs qui sont en réalité très différentes…
Regardez sur le bord du tutu… Il y a des zones
rouges qui sont presque grises.
La BAGUETTE MAGIQUE n’est donc pas une bonne
solution. On désélectionne en allant dans le menu
SÉLECTION…DÉSÉLECTIONNER.
Essayons maintenant de réaliser une sélection sur
le tutu rouge de l’avant-plan en utilisant le LASSO
MAIN LIBRE, c’est aussi un outil qui est fort apprécié
par les débutants dans Photoshop®…
Version 12/01.
6 1
Le LASSO MAIN LIBRE est celui qui est rond dans
la palette des outils. Il est peut-être caché derrière
un LASSO GÉOMÉTRIQUE… Dans ce cas il suffit
de garder le bouton de la souris enfoncé quelques
temps sur le LASSO GÉOMÉTRIQUE dans la palette
des outils, et on voit apparaître le LASSO qui nous
intéresse : le LASSO MAIN LIBRE.
On fait le tour du tutu avec le LASSO MAIN LIBRE.
Vous remarquez que c’est imprécis, et c’est stressant
parce qu’on sait que si on lâche malencontreusement
le bouton de la souris, Photoshop® va considérer
qu’on termine la sélection, et alors elle ne sera pas
bonne : il faudra recommencer à zéro.
Quand vous avez fait le tour du tutu avec le LASSO
MAIN LIBRE, une sélection en pointillé apparaît.
On va en haut de l’écran dans IMAGE…RÉGLAGES…
TEINTE/SATURATION. On joue sur le curseur TEINTE
pour balancer les pixels sur la roue chromatique.
Le curseur TEINTE est en effet une roue chromatique…
Quand on se trouve à 0, on imagine qu’on se trouve à
un certain endroit de la roue chromatique. Quand on
amène le curseur complètement à droite, à 180°, on
fait en réalité un demi-tour de la roue chromatique,
le tutu rouge devient bleu cyan. Si maintenant on
met le curseur tout à fait à gauche, à -180°, on fait
également un demi-tour sur la roue chromatique,
mais dans l’autre sens… Et en fin de compte on
arrive au même point… On obtient du bleu cyan :
un demi-tour dans un sens ou dans l’autre sur la roue
chromatique nous amène au même point, logique.
Il s’agit donc bien d’une roue chromatique. Il faut
bouger le curseur TEINTE jusqu’à ce que le tutu
rouge devienne vert.
À un certain moment, on obtient un tutu vert,
mais c’est du vert très saturé. La SATURATION, c’est
l’ennemi du détail. Pour récupérer du détail, on peut
donc diminuer un peu le curseur SATURATION. Ne
touchez pas au curseur LUMINOSITÉ, ça ne servirait
à rien ici.
On remarque que sur les bords du tutus, il reste
du rouge… La sélection au LASSO était imprécise.
Dans ce cas-ci, on va donc cliquer sur ANNULER dans
la boite de réglage TEINTE/SATURATION. Puis on va
dans le menu SÉLECTION et on désélectionne.
On va maintenant utiliser
la technique
des Instantanés pour
modifier cette image
On va faire en sorte que les tutus deviennent verts.
La peau des danseuses va également devenir verte…
Ce n’est pas grave, parce que toute cette image
modifiée, on va l’envoyer en tant qu’INSTANTANÉ
dans le haut de la palette HISTORIQUE, puis on va
annuler la modification de couleur qu’on a réalisée
dans le document de travail, et on va ensuite aller
rechercher certains pixels de l’INSTANTANÉ en
utilisant l’outil FORME D’HISTORIQUE.
On vérifie d’abord qu’actuellement aucune sélection
n’est active sur l’image… Pour ça, on va dans
le menu SÉLECTION en haut de l’écran…
Normalement la deuxième ligne du menu sélection,
qui s’appelle DÉSÉLECTIONNER est grisée, elle est
inaccessible, c’est la preuve qu’il n’y a actuellement
aucune sélection active sur l’image, puisqu’il n’y a
rien à désélectionner.
Version 12/01.
6 2
Ensuite on va dans le menu IMAGE…RÉGLAGES…
TEINTE/SATURATION, et on modifie tout l’image pour
que les tutus deviennent verts. La peau des danseuses
devient également verte… Ce n’est pas grave. C’est
la preuve que le vie sur Mars existe… On y trouve
même des danseuses en tutus. Plus sérieusement,
remarquez que la couleur du sol et des jambes
des danseuses ne se modifie quasiment pas. C’est
normal, c’est du gris, et on est en train de balancer
les couleurs sur la roue chromatique… Le gris est
au centre de la roue chromatique, il tourne sur
lui-même et ne se modifie pas. En effet, sur une roue
chromatique, les couleurs les plus saturées (= les plus
pures) sont à l’extérieur, et au plus on se rapproche
du centre de la roue chromatique, au plus les couleurs
sont désaturées… Au centre c’est totalement
gris… demandez au formateur qu’il vous montre
la roue chromatique de Apple®.
Une fois que les tutus sont verts, on valide par OK, et
on envoie toute cette image modifiée dans le haut
de la palette HISTORIQUE en tant qu’INSTANTANÉ :
on va dans le menu de la palette HISTORIQUE,
jusqu’à la ligne qui s’appelle NOUVEL INSTANTANÉ.
Dans la boite de dialogue qui s’ouvre, on indique
que le nom de cet INSTANTANÉ est TUTUS VERTS.
Ensuite on annule la modification qu’on a apportée
au document de travail… C’est-à-dire que dans
le bas de la palette HISTORIQUE, on revient en arrière
jusqu’à ce qu’on retrouve l’image non modifiée par
le réglage TEINTE/SATURATION.
Maintenant il faut transformer les tutus rouges en tutus
bleus, en utilisant le réglage TEINTE/SATURATION.
Encore une fois la peu des danseuses devient bleue,
ce n’est pas grave, comme on le sait. On envoie cette
image avec des tutus bleus en tant que INSTANTANÉ
dans le haut de la palette HISTORIQUE. On appelle cet
INSTANTANÉ TUTUS BLEUS. Puis encore une fois on
revient en arrière dans le bas de la palette HISTORIQUE
pour récupérer l’image non modifiée.
Maintenant il suffit de cliquer sur une des cases
vides qui se trouvent en face soit de l’INSTANTANÉ
TUTUS VERTS, soit de l’INSTANTANÉ TUTUS BLEUS…
L’icone de la FORME D’HISTORIQUE apparaît dans
la case vide sur laquelle on a cliqué. On active l’outil
FORME D’HISTORIQUE dans la palette des outils, on
choisi une FORME DE BROSSE appropriée, ni trop
grosse, ni trop petite, et on passe sur un des tutus
rouges de l’image : il change de couleur.
Pour être plus précis, on peut zoomer avec
la LOUPE.
Si on dépasse, on clique sur la case en face de l’INSTANTANÉ TUTUS ROUGES, et avec cet INSTANTANÉ
on corrige le dépassement. Avec cet INSTANTANÉ
on peut aussi faire en sorte qu’un tutu redevienne
totalement rouge.
On pourrait renommer l’INSTANTANÉ qui s’est créé
au moment de l’ouverture du document… Il suffit
de double-cliquer sur sa vignette dans le haut
de la palette HISTORIQUE. Après l’avoir renommé, vous
remarquez que le taquet de la palette HISTORIQUE
est en face de cet INSTANTANÉ… C’est très mauvais,
il ne faut pas que ce soit comme ça… On va tout
de suite remettre le taquet au bon endroit dans
le bas de la palette HISTORIQUE.
Version 12/01.
6 3
Souvent les étudiants me
demandent comment ils
peuvent faire pour coloriser
une partie de l’image qui
est grise… Par
exemple les maillots
des danseuses
Les maillots sont noirs, et il n’y a pas beaucoup
de détails dedans, donc si on les colorise
le résultat ne sera pas terrible… Mais c’est techniquement possible. Il faut aller dans le menu
IMAGE…RÉGLAGES…TEINTE/SATURATION.
Dans la boite de réglage TEINTE/SATURATION il faut
cocher l’option qui s’appelle REDÉFINIR. Dans
la version anglaise de Photoshop® cette option
s’appelle COLORISE… C’est plus évocateur de ce
que ça fait vraiment… Cette option sert en effet
à coloriser.
Dès que vous cochez cette option, l’image devient
monochrome… En bougeant le curseur TEINTE
vous choisissez la couleur qui colorise l’image.
Vous pouvez aussi bouger le curseur SATURATION.
Le curseur LUMINOSITÉ est intéressant dans le cas
où on veut coloriser une partie d’image qui est fort
sombre… il faut augmenter la luminosité, puis jouer
sur les curseurs TEINTE et SATURATION.
Pour coloriser des images, il y a des techniques
qui sont meilleures que celle-ci. En effet, le réglage
TEINTE/SATURATION en mode REDÉFINIR a tendance
à noyer un peu le détail des images. Il y a notamment
une technique de colorisation qui détourne de sa
fonction première le mode BICHROMIE et qui donne
de meilleurs résultats pour coloriser une image. On
aura l’occasion d’en reparler durant la formation à
la photogravure numérique.
Si on modifie le nombre
de pixels de l’image après
son ouverture, l’Instantané
qui a été créé à l’ouverture
est inutilisable
Détail
Recadrage, TAILLE DE L’IMAGE, taille de la zone
de travail sont des opérations qui modifient le nombre
de pixels de l’image.
Recadrage… Le fait de pouvoir faire un recadrage
tourné permet de rendre droite une image scannée
tournée.
Recadrage… On peut désactiver le MAGNÉTISME
des bords de l’image en enfonçant la touche CTRL
PENDANT (pas AVANT) qu’on bouge une poignée
du cadre de recadrage. Dans le menu AFFICHAGE, on
peut aussi désactiver définitivement le MAGNÉTISME.
On peut aussi décider dans le menu AFFICHAGE
quels sont les éléments d’images qui sont magnétisés
ou non.
Ouvrir une image, si on la recadre à l’ouverture,
faire un nouvel INSTANTANÉ juste après pour
pouvoir récupérer les pixels tels qu’ils étaient à
l’ouverture.
On peut faire autre chose
que des modifications
couleur sur les images avec
la technique
des Instantanés
Détail
Version 12/01.
6 4
Modifier la couleur des tutus pour avoir une couleur
ocre, puis appliquer un filtre de bruit pour créer
un effet de paillettes dorées.
Instantané pour récupérer
une partie d’image
Détail
Transformer une image, par exemple par
FILTRES…ESTHÉTIQUE…TRACÉS DES CONTOURS,
puis déSATURATION totale ou partielle par
le
curseur
DÉSATURATION
de IMAGE…RÉGLAGES…TEINTE/SATURATION.
Faire un INSTANTANÉ du résultat ainsi obtenu pour
pouvoir le réinjecter si on se trompe.
Faire un effet de mélange progressif entre la photo
et le dessin en utilisant une grosse brosse floue
pour rappeler un ou l’autre des INSTANTANÉS. On
peut aller jusqu’à une FORME DE BROSSE de 999
pixels.
Définir grossièrement avec le LASSO une zone
de sélection autour de la portion d’image à modifier
(avec le CONTOUR PROGRESSIF du LASSO réglé
à 0).
Si on veut modifier plus d’une zone à la fois… Utiliser
la touche MAJUSCULE pour sélectionner plusieurs
zones… Un signe + apparaît à coté du pointeur.
Si on veut modifier une partie d’image qu’on n’avait
pas prévu de modifier au départ, et qu’on veut
la modifier de la même manière que d’autres parties
d’image qu’on a modifiée, alors on peut récupérer
les réglages et les filtres avec les derniers paramètres
qui ont été appliqués… Il faut aller dans ces réglages
et ces filtres en ayant la touche ALT enfoncée.
Rappeler un Instantané
avec la Forme d’Historique
réglée à moins de 100%
d’Opacité
Détail
Ne pas oublier de remettre la FORME D’HISTORIQUE
à 100% d’OPACITÉ au moment où on veut récupérer
l’image telle qu’elle était avant modification.
Ici, 4
Pour pouvoir créer
un Instantané en tenant
compte du contexte dans
lequel il sera réinjecté
Détail
Comment enregistrer
une image avec ses
Instantanés
Détail
Les extraire avec la commande NOUVEAU DOCUMENT
de la palette HISTORIQUE et les enregistrer sur
le disque dur.
Version 12/01.
6 5
Enregistrer aussi sur le disque dur l’image en cours
de modification.
Comment
récupérer une image avec
ses Instantanés
Détail
Solution 1 : les amener en tant que calque
(avec la touche MAJUSCULE enfoncée lors
du DÉPLACEMENT), faire un NOUVEL INSTANTANÉ
avec l’option CALQUE FUSIONNÉS ou CALQUE
SÉLECTIONNÉ, puis supprimer le calque.
Solution 2 : prendre la vignette qui s’est créée à
l’ouverture dans le document de l’INSTANTANÉ
qu’on a ouvert, et amener la vignette n’importe où
sur le document de travail.
Version 12/01.
6 6
3. Techniques
particulières pour
un démarrage
d’images avec
Photoshop® :
3.3.
Questions de révision
pour l’examen
de Graphisme Bitmap,
avec les explications :
la palette Historique et
les Instantanés
Version 12/01.
6 7
Page 12/13 du QCM GB…
3. Quand on a créé un INSTANTANÉ dans une image,
il y a certaines choses à ne pas faire sinon il est
inutilisable. Parmi toutes ces actions effectuées
sur une image, quelle est la seule qui ne va pas
rendre un INSTANTANÉ inutilisable?
A. Recadrer l’image.
B.Modifier le nombre de pixels de l’image en utilisant la commande TAILLE DE L’IMAGE.
C. Modifier le nombre de pixels de l’image en
utilisant la commande TAILLE DE LA ZONE
DE TRAVAIL.
D. Enregistrer l’image sur le disque dur.
La réponse et l’explication sont sur la page suivante.
N.B. Durant l’examen, l’étudiant doit uniquement
indiquer quelle est la bonne réponse, il ne doit pas
fournir l’explication.
Version 12/01.
6 8
La bonne réponse à la question de la page
précédente est : D.
Le fait d’enregistrer l’image sur le disque dur ne
rend pas les INSTANTANÉS inutilisables. Par contre
quand on enregistre l’image, qu’on la ferme et puis
qu’on la ouvre à nouveau, alors les INSTANTANÉS
ont disparus. Mais dans la réponse D il n’est pas
indiqué qu’on a fermé l’image puis qu’on l’a ouverte
à nouveau. Il est indiqué qu’on l’a enregistrée, tout
simplement.
Version 12/01.
6 9
4. Quelle définition est correcte pour décrire ce
que sont les INSTANTANÉS dans Photoshop®?
A. Les INSTANTANÉS, c’est une technique
qui permet de modifier une portion d’image
sans être obligé de la sélectionner au préalable.
B. Les INSTANTANÉS, c’est une technique qui
convient particulièrement quand on doit
modifier des parties d’images aux contours
très complexes, comme un feuillage d’arbre,
ou des cheveux par exemple.
C. Les INSTANTANÉS, c’est une technique qui
convient particulièrement quand on doit
modifier des objets à bords nets.
D. Les INSTANTANÉS, c’est une technique
qui convient particulièrement quand on
doit modifier une portion d’une image qui
est en noir et blanc.
Version 12/01.
7 0
précédente est : A.
Les INSTANTANÉS permettent en effet d’être
créatif dans Photoshop® sans pour autant
connaître toutes les techniques de sélections. C’est
pourquoi c’est la première technique qui est vue
durant cette formation au Graphisme bitmap.
Evidemment les autres techniques sont
également nécessaires pour réaliser des travaux
intéressants. Durant cette formation, ces autres techniques sont vues après la technique des INSTANTANÉS :
ce sont les techniques de sélection, les techniques
de photomontage par calque, etc.
La réponse B est fausse. Quand on doit modifier
des parties d’images aux contours très complexes,
comme un feuillage d’arbre, ou des cheveux
par exemple, il vaut mieux utiliser la technique
de SÉLECTION PAR SILHOUETTE.
La réponse C est fausse. Quand on doit modifier
des objets à bords nets, il vaut mieux utiliser
la technique de sélection par tracés vectoriels.
La réponse D est fausse. On peut modifier des parties
d’images en images en noir et blanc avec la technique
des INSTANTANÉS, mais ça ne fonctionne pas mieux
qu’avec des parties d’images qui sont en couleur.
Version 12/01.
7 1
5. Depuis Photoshop® 6, la palette HISTORIQUE
propose dans ses options de CRÉER AUTOMATIQUEMENT UN INSTANTANÉ LORS DE L’ENREGISTREMENT.
Quelle est l’action de cette OPTION D’HISTORIQUE? Parmi ces quatre propositions, indiquez
quelle la seule bonne réponse.
A. Cela permet de créer automatiquement
un INSTANTANÉ à chaque fois qu’on enregistre
l’image sur laquelle on travaille.
B. Cela permet d’intégrer les INSTANTANÉS
à l’image qu’on enregistre, pour pouvoir
les récupérer plus tard quand on ouvrira à
nouveau l’image.
C. Cela permet qu’un INSTANTANÉ se crée
automatiquement à chaque fois qu’on ouvre
une image.
D. Cela permet d’enregistrer les INSTANTANÉS
à coté du document qu’on enregistre sur
le disque dur, pour pouvoir les récupérer plus
tard quand on ouvrira à nouveau l’image.
Version 12/01.
7 2
L’option CRÉER AUTOMATIQUEMENT UN INSTANTANÉ
LORS DE L’ENREGISTREMENT fait en sorte
qu’un instantané se crée automatiquement chaque
fois qu’on enregistre l’image.
La réponse B est fausse. Il n’est actuellement pas
possible d’intégrer les INSTANTANÉS à une image et
de les récupérer plus tard quand on ouvre à nouveau
cette image dans Photoshop®.
La réponse C est fausse. Pour qu’un INSTANTANÉ
se crée automatiquement à chaque fois qu’on
ouvre une image, c’est l’option CRÉER LE PREMIER
INSTANTANÉ AUTOMATIQUEMENT qui doit être
cochée dans les OPTIONS D’HISTORIQUE. Elle est
cochée d’office dans Photoshop®.
La réponse D est fausse. C’est manuellement qu’il faut
enregistrer les INSTANTANÉS à coté du document
qu’on enregistre sur le disque dur, pour pouvoir
les récupérer plus tard quand on ouvrira à nouveau
l’image.
Version 12/01.
7 3
4. Les sélections :
4. 1.
Les sélections
Géométriques
Supprimer les paramètres. A ce moment cliquez
sur Oui.
et MAJUSCULE.
Ouvrez l’image Decna_20
Cette image va simplement nous servir de support
pour étudier les sélections GÉOMÉTRIQUES.
Nous n’allons pas nous attarder trop longtemps
sur cette matière. Si vous lisez n’importe quel livre
sur Photoshop®, vous verrez qu’on vous y explique
d’office les sélections GÉOMÉTRIQUES.
Les outils pour réaliser
des sélections
Géométriques se trouvent
en haut à gauche dans
la palette des outils
Il y a plusieurs outils qui se cachent au même endroit…
Si vous gardez le bouton de la souris enfoncé vous
les voyez apparaître tous.
Il y a le rectangle de sélection et l’ellipse
de sélection.
Il y a aussi l’outil pour sélectionner une rangée de pixels
et l’outil pour sélectionner une colonne de pixels.
Ces deux outils seront surtout utiles à ceux qui font
du MULTIMEDIA et de la conception de sites INTERNET.
Avant que ces outils ne soient disponibles dans
Photoshop®, c’était difficile de sélectionner une rangée
ou une colonne de pixels.
Les quatre icones
des opérations booléennes
Depuis Photoshop® 6, il y a un groupe de quatre
icones à gauche sur le haut de l’écran, quand c’est
un outil de sélection qui est activé dans la palette
des outils… Ces icones représentent les opérations
booléennes.
Version 12/01.
7 4
Avant Photoshop® 6 ces icones n’existaient pas,
on utilisait des touches au clavier pour enclencher
les opérations booléennes. C’est ce que nous allons
faire… Nous allons continuer à utiliser les touches
au clavier pour appeler les opérations booléennes,
comme avant Photoshop® 6. Au moment où vous
enfoncerez les touches au clavier, vous remarquerez
que les icones changent automatiquement dans
le haut de l’écran.
Une sélection sert à pouvoir modifier une partie
de l’image tout en préservant le reste de l’image. Nous
avons eu l’occasion de le constater précédemment
durant la formation parce que nous avons déjà
un peu expérimenté les sélections.
Pourquoi continuer à utiliser les touches au clavier
alors que les icones sont disponibles maintenant
qu’on travaille dans la version 6 de Photoshop®?
Parce que, comme nous pourrons le constater plus
loin dans la formation, les opérations booléennes
peuvent également être utilisées dans certaines
palettes… Dans la PALETTE DES COUCHES, ou
dans la PALETTE DES TRACÉS… Et là, il n’y aura que
le système des touches au clavier qui fonctionnera
pour enclencher les opérations booléennes, donc
il vaut mieux connaître ces touches.
Si vous positionnez le pointeur dans la surface
sélectionnée, que vous enfoncez le bouton de la souris
et que vous bougez la souris, vous remarquez que
ça déplace la sélection.
Pour l’instant, il faut que ce soit l’icone de gauche qui
soit enclenchée, dans le groupe de quatre icones qui
sont en haut à gauche de l’écran. Il faudra d’ailleurs
que ce soit toujours comme ça quand on utilisera
un outil de sélection. Les autres options en haut
de l’écran devraient être réglées comme ceci :
le CONTOUR PROGRESSIF est réglé à 0 PIXEL, et
le style est NORMAL.
Activez l’outil de sélection
rectangulaire
Positionnez le pointeur quelque part sur l’image.
Enfoncez le bouton de la souris, gardez-le enfoncé et
bougez la souris. Relâchez le bouton de la souris…
Vous venez de créer une sélection sur l’image.
Déplacer une sélection
Il fut un temps où c’était relativement difficile de déplacer
une sélection dans Photoshop®… C’était un peu
du chipotage. Maintenant comme vous pouvez
le constater c’est très facile. Souvent je dis aux
étudiants… «Vous arrivez à un bon moment dans
l’infographie : maintenant les logiciels sont plus
faciles à utiliser qu’avant». Chaque année je dis ça,
et chaque année c’est vrai puisque chaque année
les logiciels deviennent plus faciles à utiliser, et
les ordinateurs plus rapides aussi.
Réaliser des opérations
booléennes sur
les sélections
Géométriques
Positionnez le pointeur en dehors de la sélection et
recréez-en une autre… Vous voyez que la première
disparaît. C’est normal… Si on veut que la première
reste, il faut enfoncer une touche au clavier : c’est
la touche MAJUSCULE. Enfoncez-la… Vous voyez
qu’un petit signe + apparaît à coté du pointeur…
Regardez également le groupe de quatre icones en
haut à gauche de l’écran… C’est la seconde icone
Version 12/01.
7 5
qui est enclenchée au moment où vous enfoncez
la touche MAJUSCULE sur le clavier. Créez une sélection
quelque part sur l’écran… Vous voyez que la première
sélection ne s’en va pas… La seconde sélection
s’ajoute. Elle peut s’ajouter en touchant la première
ou non, cela n’a pas d’importance.
Vous pouvez continuer à ajouter des sélections
autant de fois que vous le voulez. Vous pouvez
changer d’outil aussi… Prendre l’ellipse de sélection
et ajouter des ellipses, ou prendre le LASSO MAIN
LIBRE, et ajouter des sélections auxquelles vous
donnez la forme que vous voulez.
Maintenant que se passe-t-il si c’est la touche ALT
qu’on enfonce au clavier, et non pas la touche
MAJUSCULE… à ce moment c’est un petit signe qui apparaît à côté du pointeur. Cela vous indique que
vous allez soustraire une partie de la sélection qui est
actuellement active sur votre image… Essayez. Encore
une fois ça fonctionne avec d’autres outils de sélection.
Remarquez que cette fois c’est la troisième icone
qui est enclenchée automatiquement en haut à
gauche de l’écran quand vous enfoncez la touche
ALT sur le clavier.
Maintenant enfoncez à la fois les touches ALT et
MAJUSCULE… Une petite croix apparaît à coté
du pointeur… Quand vous créez une sélection
sur l’image en ayant ces deux touches enfoncées,
le résultat est l’intersection entre la sélection qui
existe déjà sur l’image et la nouvelle sélection que
vous créez. Evidemment il faut absolument que
la nouvelle sélection que vous créez se superpose
partiellement à celle qui existe.
Contraindre les proportions
de la sélection
Allez dans le menu SÉLECTION, jusqu’à la ligne
DÉSÉLECTIONNER.
Activez l’ellipse ou le rectangle de sélection dans
la palette des outils. Positionnez le pointeur sur l’image,
enfoncez le bouton de la souris et commencez à tracer
la sélection. Pendant que vous tracez la sélection
(vous avez toujours le bouton de la souris enfoncé)
enfoncez la touche MAJUSCULE sur le clavier, et
gardez-la enfoncée… Vous remarquez qu’à ce moment
les proportions de la sélection sont contraintes…
Vous obtenez un cercle ou un carré parfait.
Vous comprenez donc que la touche MAJUSCULE a
plusieurs fonctions, suivant qu’on l’enfonce avant
qu’on ne crée la sélection, ou pendant.
Quand on enfonce la touche MAJUSCULE pendant
qu’on crée la sélection, elle contraint les proportions.
Comme la touche MAJUSCULE est une touche
de contrainte, il faut qu’elle reste enfoncée jusqu’à ce
que tout soit fini… C’est-à-dire que c’est seulement
lorsque vous avez relâché la pression sur le bouton
de la souris que vous pouvez relâcher la pression
sur la touche MAJUSCULE, sinon ça ne sert à rien
de l’enfoncer. C’est une règle qu’on rencontrera
souvent dans Photoshop®.
Remarquez que lorsque vous enfoncez à la fois
les touches MAJUSCULE et ALT, cette fois c’est l’icone
de droite qui s’enclenche dans le groupe de quatre
icones en haut à gauche de l’écran.
Version 12/01.
7 6
Contraindre le centre
de création de la sélection
La touche ALT peut également avoir une autre
fonction que celle qu’on a vue précédemment. Quand
on l’utilise PENDANT qu’on crée la sélection, et non
pas AVANT, alors elle sert à faire en sorte que le centre
de la sélection soit l’endroit de l’image par lequel on
a commencé à créer la sélection.
On va expérimenter ça… On va repérer un élément
dans cette image… Ce n’est pas difficile de choisir…
à part deux ou trois arbres sur la colline il n’y a pas
grand chose dans cette image. Même pas un petit Joe
Dassin qui traîne dans le coin… pitoyable!
Allez dans le menu sélection, et activez la ligne
DÉSÉLECTIONNER.
Activez l’outil de sélection elliptique dans la palette
des outils. Positionnez le pointeur sur un arbre dans
la colline. Commencez à créer la sélection, et enfoncez
la touche ALT pendant que vous créez la sélection…
Vous voyez que le centre de la sélection est l’arbre.
Bougez la souris pour ajuster la taille de la sélection,
ensuite lâchez le bouton de la souris et puis seulement
la touche ALT. Là aussi, la touche ALT agit comme
une touche de contrainte, donc il faut relâcher
la pression sur cette touche au clavier seulement
une fois que tout est fini.
Allez dans le menu SÉLECTION et activez la ligne
DÉSÉLECTIONNER.
Maintenant on va refaire la même chose mais
on va s’arranger pour que la sélection soit aussi
homothétique, en plus d’être centrée. Positionnez
le pointeur sur l’arbre, commencez à créer la sélection,
et cette fois enfoncez les deux touches ALT et
MAJUSCULE. Relâchez la pression sur le bouton
de la souris, et ensuite seulement relâchez la pression
sur les touches au clavier. Vous venez de créer
une sélection centrée et homothétique.
Si vous arrivez à faire ceci, vous avez tout compris…
Créez une première sélection au LASSO quelque
part dans le ciel. On va créer une sélection à la fois
centrée, homothétique et qui en plus se rajoute
à cette sélection au LASSO qui existe déjà dans
l’image.
Activez l’outil de création de sélections elliptiques.
Positionnez le pointeur sur l’arbre… Enfoncez
la touche MAJUSCULE : un petit signe + apparaît à
coté du pointeur… Commencez à créer la sélection…
Maintenant Photoshop® sait que vous ajoutez cette
sélection à celle qui existait déjà sur l’image…
Relâchez la pression sur la touche MAJUSCULE, mais
ne relâchez pas la pression sur le bouton de la souris.
Maintenant réenfoncez la touche MAJUSCULE…
La sélection est maintenant homothétique. En plus
d’enfoncer la touche MAJUSCULE, enfoncez également
la touche ALT… La sélection est maintenant centrée,
en plus d’être homothétique et en plus de se rajouter
à la précédente. Bougez la souris jusqu’à ce que
la sélection ait la taille que vous souhaitez, ensuite
relâchez la pression sur le bouton de la souris, et puis
seulement relâchez la pression sur les deux touches
au clavier. Une sélection centrée et homothétique
s’est alors ajoutée à une sélection qui existait déjà
sur l’image.
Version 12/01.
7 7
Le Contour progressif
de la sélection
Allez
dans
le
désélectionnez.
menu
SÉLECTION,
et
Activez l’outil de création d’ellipses. Créez une ellipse
sur la gauche de l’image.
Cette sélection que vous venez de créer présente
une zone de transition très rapide entre la partie qui
est sélectionnée, dans les pointillés, et la partie qui
n’est pas sélectionnée, en dehors des pointillés. C’est
parce que lorsque vous avez créé cette sélection,
le CONTOUR PROGRESSIF (en haut de l’écran) était
réglé sur la valeur 0 PIXEL.
Maintenant réglez cette valeur sur 5 PIXELS, par
exemple. Comme notre image est peu précise,
qu’elle comporte très peu de pixels, une valeur
de seulement 5 PIXELS dans le CONTOUR PROGRESSIF
devrait déjà être très visible.
Le fait d’avoir changé la valeur de CONTOUR
PROGRESSIF ne modifie en rien la sélection qui
a été réalisée, mais ça va modifier celle qu’on va
réaliser maintenant.
Enfoncez la touche MAJUSCULE, gardez-la enfoncée
et créez une seconde ellipse sur la droite de l’image.
En apparence, les deux sélections sont identiques…
Mais celle de droite est en réalité différente… La zone
de transition est moins rapide entre la partie qui
est sélectionnée dans les pointillés et la partie qui
n’est pas sélectionnée en dehors des pointillés.
Il y a une transition progressive sur une distance
de 5 pixels.
On va choisir une couleur et on va remplir les sélections
avec de la couleur… Positionnez le pointeur sur l’arc-enciel qui se trouve dans la bas de la palette COULEURS,
cliquez pour choisir la couleur, puis allez dans
le menu EDITION, jusqu’à la ligne de commande qui
s’appelle REMPLIR. Dans la boîte de dialogue qui
s’ouvre, choisissez de remplir avec la COULEUR
DE PREMIER-PLAN, en mode NORMAL et à une OPACITÉ
de 100%. Désélectionnez pour mieux voir le résultat…
Vous constatez en effet que sur la deuxième sélection
il y avait une zone de transition entre la partie
sélectionnée et la partie non sélectionnée.
En fait la sélection de gauche avait également
une microscopique zone de transition, un genre
de MINI-CONTOUR PROGRESSIF… C’est parce
quand on a créé cette sélection, l’option LISSER
était enclenchée dans le haut de l’écran. La plupart
du temps cette option doit être cochée… ça évite
d’avoir des effets d’escaliers dans les diagonales sur
les images infographiques. Remarquez que quand c’est
le rectangle de sélection qui est activé dans la palette
de outils, cette option LISSÉ est inaccessible… C’est
normal… Dans un rectangle il n’y a pas de diagonales,
donc il n’y a pas de nécessité d’atténuer les effets
d’escaliers sur ces diagonales. Cette atténuation
des effets d’escaliers sur les diagonales des images
infographiques est bien connu sous le nom d’ANTIALIASING.
Remarquez que si maintenant vous refaite une sélection
rectangulaire, le coins sont arrondis… C’est parce
que le CONTOUR PROGRESSIF est toujours réglé
sur 5 PIXELS. Les pointillés ne savent pas vous
montrer le CONTOUR PROGRESSIF, mais ça se
voit tout de même sur les coins de la sélection
rectangulaire.
Version 12/01.
7 8
Réglez le CONTOUR PROGRESSIF sur 0, sinon plus
tard vous risquez de ne pas comprendre ce qui vous
arrive, vous aurez oublié que vous avez modifié
le CONTOUR PROGRESSIF.
Les Sélections flottantes
Souvent les étudiants créent des SÉLECTIONS
FLOTTANTES sans s’en rendre compte. Une SÉLECTION
FLOTTANTE, c’est l’ancêtre du calque, et avec
les versions actuelles de Photoshop® ça n’apporte
rien, sinon des ennuis. On va expérimenter ça…
d’une SÉLECTION FLOTTANTE (modes NORMAL,
PRODUIT, SUPERPOSITION, INCRUSTATION, etc) et
aussi rendre invisibles certains de ses pixels, comme
on peut toujours le faire avec la version 6 mais sur
les calques.
Personnellement je ne vois pas trop à quoi ça sert
actuellement d’avoir encore des SÉLECTIONS
FLOTTANTES dans Photoshop®. Les étudiants sont
souvent surpris par cette fonctionnalité qu’ils ont
enclenchée sans trop savoir comment.
Créez une sélection sur l’image. Ensuite activez l’OUTIL
DE DÉPLACEMENT DE PIXELS, en haut à droite dans
la palette des outils… C’est l’outil qui ressemble à
une flèche à quatre bras. Positionnez le pointeur sur
la zone sélectionnée… Vous remarquez qu’on voit
l’icone d’une paire de ciseaux. Enfoncez le bouton
de la souris et bougez… Vous voyez que les pixels
qui étaient contenus dans la sélection peuvent être
déplacés… ils «flottent» au-dessus de l’image. À
l’endroit où ils étaient dans l’image, on voit apparaître
la couleur de l’arrière-plan… C’est la couleur qui se
trouve dans la case d’arrière-plan des échantillons
de couleur dans la palette des outils.
Dans Photoshop®, les calques sont apparus à
la version 3, en 1994, 6 ans après la sortie de la première
version de Photoshop®. C’était un progrès considérable.
Avant la version 3 de Photoshop® il y a avait
tout de même un semblant de calque, mais
temporaire… La SÉLECTION FLOTTANTE. Avant
de la Désélectionner, et donc de la réintégrer au fond
de l’image, on pouvait modifier le mode d’application
Version 12/01.
7 9
4. 2.
Les sélections par
Baguette magique
cliquez sur OUI.
En réalité la BAGUETTE MAGIQUE est vraiment un outil
de débutant. Il crée systématiquement des sélections
à bords nets, alors que d’autres outils permettent
de créer des sélections plus intelligemment. Et
aussi parce que ça ne fonctionne pas toujours :
ça dépend des images. Nous étudierons plus tard
plein de techniques de sélections qui sont plus
professionnelles.
Nous allons tout de même voir comment fonctionne
la BAGUETTE MAGIQUE, ainsi nous pourrons comparer
les résultats obtenus avec ce qu’on obtiendra plus tard
avec d’autres techniques de sélection. Pendant nos
expérimentations avec la BAGUETTE MAGIQUE, nous
verrons également d’autres choses intéressantes…
Donc restez avec nous, comme ils disent à la télé
(surtout quand les programmes sont mauvais, vous
avez remarqué?)
et MAJUSCULE.
La Baguette magique
permet de faire
des sélections
automatiques sur base
des différences
de luminosité et de couleur
dans les images.
Tout ceux qui ont déjà un peu touché à Photoshop®, ou
à un programme similaire, connaissent la BAGUETTE
MAGIQUE.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 0
Ouvrez l’image qui va nous
servir à étudier la Baguette
magique, c’est l’image
Carac_07 …
Les majorettes sont décidément mes artistes préférées,
bien avant Picasso ou Chagall… Je n’y peux rien,
c’est plus fort que moi.
Activez la BAGUETTE MAGIQUE dans la palette
des outils. Ses options apparaissent alors dans le haut
de l’écran. Il y a les quatre icones qui correspondent
aux opérations booléennes… On s’assure que c’est
bien l’icone de gauche qui est enclenchée. Ensuite,
il y a le réglage de TOLÉRANCE… TOLÉRANCE à
quoi?… On va en parler. Il faudrait qu’il soit réglé sur
sa valeur moyenne, qui est 32. L’option LISSÉ devrait
être enclenchée, pour atténuer les effets d’escaliers
sur les diagonales, comme pour tous les autres
outils de sélection. L’option PIXELS CONTIGUS est
enclenchée, et l’option UTILISER TOUS LES CALQUES
n’est pas enclenchée… Mais elle pourrait l’être,
puisqu’il n’y a pas de calque, elle n’influence en rien
actuellement le comportement de l’outil BAGUETTE
MAGIQUE.
Nous allons essayer de sélectionner le chapeau bleu
de la majorette de l’avant-plan.
Positionnez la BAGUETTE MAGIQUE au centre
du chapeau bleu, et cliquez… Une sélection se crée,
mais ça ne sélectionne pas tout le chapeau. Ce qui se
passe c’est que le chapeau bleu de l’avant-plan est
constituée de plusieurs bleus assez bien différents…
Il y a des bleus moyens au centre de chapeau, mais
sur le bord gauche ce sont des bleus plus vifs, et sur
le bord droit ce sont des bleus plus foncés.
Pour arriver à sélectionner tout le chapeau on
pourrait recommencer une nouvelle sélection
avec la BAGUETTE MAGIQUE, mais cette fois en
augmentant la TOLÉRANCE. Dans le haut de l’écran,
inscrivez par exemple 60 à la place de 32. Ainsi vous
avez augmenté la TOLÉRANCE de la BAGUETTE
MAGIQUE aux différences de couleurs.
Quand on clique sur un pixel dans une image, les pixels
qui sont autour se sélectionnent à condition que leur
différence e couleur ne soit pas trop importante.
La couleur des images infographiques est encodées
dans des canaux de lumières… Rouge, Verte
et Bleue en général. Chacun de ces canaux
de lumières peut contenir 256 niveaux de luminosité, définis sur une échelle qui va de 0 à 255.
0 est l’absence de lumière, 255 est le maximum
de lumière, et entre les deux ce sont différents
niveaux de luminosité.
Avec une TOLÉRANCE réglée maintenant sur 60
la BAGUETTE MAGIQUE va inclure plus de pixels
dans la sélection.
En ayant le réglage de TOLÉRANCE réglé sur 60, cliquez
une première fois au centre du chapeau… ça chasse
la sélection qui a été faite précédemment. Cliquez
une seconde fois, ça crée une nouvelle sélection, cette
fois plus étendue. Ce n’est pas encore assez… Tout
le chapeau n’est pas encore sélectionné.
Augmentez cette fois la TOLÉRANCE à 90, et cliquez
à nouveau deux fois au centre du chapeau… Cette
fois tout le chapeau se sélectionne. Il y a quand
même un léger problème : une partie du filet s’est
également sélectionné… Pas le filet typographique,
le filet dans les cheveux! Ce n’est pas dramatique,
nous allons corriger ça.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 1
Le lasso utilisé avec
la touche ALT pour enlever
de la zone sélectionnée
On prend la LOUPE et on zoome sur cette
partie-là de l’image… En faisant éventuellement
un rectangle de zoom pour aller plus vite.
Puis on active la LASSO MAIN LIBRE dans la palette
des outils, et on enfonce la touche ALT au clavier :
un petit signe - apparaît à côté du pointeur,
et on entoure la partie de la sélection qui ne
devrait pas exister… Ce qu’on fait maintenant c’est
retoucher une sélection en se servant d’un autre
outil de sélection.
Une fois que vous avez vu que ça fonctionne,
désélectionnez, en allant dans le menu SÉLECTION
jusqu’à la ligne DÉSÉLECTIONNER. On va voir
une autre méthode pour arriver à sélectionner
correctement tout le chapeau.
La touche Majuscule pour
ajouter de la zone
sélectionnée
Remettez la TOLÉRANCE de la BAGUETTE MAGIQUE à
sa valeur moyenne, 32. Cliquez au milieu du chapeau…
Il ne se sélectionne pas en entier : c’est normal, on
l’avait déjà expérimenté. Maintenant toujours en
ayant la BAGUETTE MAGIQUE réglée en TOLÉRANCE
32, enfoncez la touche MAJUSCULE au clavier…
Un petit signe + apparaît à coté du pointeur… Et
cliquez sur d’autres parties du chapeau. Finalement
vous arrivez par cette méthode à sélectionner tout
le chapeau.
Ne vous inquiétez pas s’il reste deux ou trois petits
points qui clignotent à l’intérieur du chapeau…
Ce sont certainement des poussières qui ne sont
pas bleues… C’est pour ça qu’elle ne veulent pas
se sélectionner.
La commande Contour
progressif du menu
Sélection, et l’option
Afficher les extras du menu
Affichage
La BAGUETTE MAGIQUE crée des sélections à
bords nets, on l’a dit… Mais ici on va pouvoir
le constater. Zoomez sur la partie du chapeau tout près
de la visière… vous voyez que le bord de la sélection
a l’air crénelé.
On va voir ce que ça donnerait si on utilisait cette
sélection qui ne parait pas très correcte.
Allez dans le menu IMAGE…RÉGLAGES…
TEINTE/SATURATION. Bougez la boite de réglage qui
s’ouvre, pour avoir la possibilité de voir le résultat
sur l’image derrière.
Bougez le curseur TEINTE dans la boite de réglages
TEINTE/SATURATION. À ce moment vous voyez
qu’en effet le bord de la sélection est net, et qu’en
plus il est crénelé.
Pour mieux voir encore le bord de la sélection, on
peut faire en sorte que cette sélection soit toujours
active, mais qu’on ne voit plus les pointillés, les fameux
«défilés de fourmis». Vous pouvez rester dans le boite
de réglages TEINTE/SATURATION pour faire ceci :
allez dans le menu AFFICHAGE, et descendez jusqu’à
la ligne qui s’appelle AFFICHER LES EXTRAS… Cette
ligne est actuellement activée… Il y a un petit signet
4. Les sélections
Version 12/01.
8 2
qui indique qu’elle est activée… Allez dessus, ainsi
vous enlevez le signet, et les «extras» ne sont plus
affichés… Les pointillés ne sont plus visibles sur
l’image, mais la sélection est toujours là, elle est
toujours active, sinon le réglage TEINTE/SATURATION
modifierait toute l’image.
qui est accessible dans PAINTER® par le menu
EFFETS…TONALITÉ. Ce n’est pas logique, d’autant
qu’un outil de dessin de PAINTER®, lui, n’agit que
dans la partie sélectionnée, même lorsqu’on a
demandé que les pointillés de la sélection ne soient
plus visibles.
Ne validez pas le réglage TEINTE/SATURATION… Cliquez
sur ANNULER dans le réglage TEINTE/SATURATION.
Nous allons un peu améliorer la sélection avant
de modifier les pixels qu’elle contient.
Nous allons donner un CONTOUR PROGRESSIF à cette
sélection, car c’est possible de donner un CONTOUR
PROGRESSIF à une sélection après qu’elle ait été
réalisée. C’est d’ailleurs le seul moyen d’obtenir
un CONTOUR PROGRESSIF sur une sélection qui
est réalisée à l’aide de la BAGUETTE MAGIQUE
puisque, vous l’avez peut-être constaté, il n’y a pas
le réglage CONTOUR PROGRESSIF dans les options
de la BAGUETTE MAGIQUE en haut de l’écran.
Maintenant vous croyez sans doute que les pointillés des sélections dans Photoshop® s’appellent
les EXTRAS, puisqu’on a demandé de ne plus
voir les extras, et que les pointillés du coup ont
disparus.
En fait, les EXTRAS, ce sont les pointillés, mais ça peut
être d’autres choses encore… Allez dans le menu
AFFICHAGE, jusqu’à la ligne AFFICHER, qui se trouve
juste en-dessous de la ligne AFFICHER LES EXTRAS…
Un sous-menu apparaît… et là vous voyez que
les EXTRAS ça peut aussi être la GRILLE… C’est
un genre de papier millimétré qui vient se mettre
au-dessus d’une image pour aider à positionner
des éléments. Les EXTRAS ça peut aussi être
les TRANCHES… Ce sont des découpes d’images
pour faciliter leur téléchargement sur INTERNET.
Les EXTRAS ça peut être bien d’autres choses
encore.
Anecdotique : avec le logiciel COREL PAINTER®,
quand on demande de ne plus afficher les pointillés
de la sélection (par le menu SÉLECTION/MASQUER
LE CONTOUR dans PAINTER®) alors la sélection
n’agit plus quand on utilise un réglage de correction
des couleurs comme le réglage TEINTE/SATURATION
de PAINTER®, qui s’appelle CORRIGER LES COULEURS
et qui ressemble comme deux gouttes d’eau au
réglage TEINTE/SATURATION de Photoshop®, et
Pour donner un CONTOUR PROGRESSIF à cette
sélection, il faut aller dans le menu SÉLECTION, jusqu’à
la ligne CONTOUR PROGRESSIF (et après ça on viendra
dire que Photoshop® est compliqué?)… Comme cette
image est assez peu précise, qu’elle comporte peu
de pixels, le fait de mettre un CONTOUR PROGRESSIF
d’un RAYON de 3 pixels seulement donnera déjà
un effet très visible.
Après avoir appliqué le CONTOUR PROGRESSIF sur
cette sélection, on voit que son contour parait déjà
un peut moins crénelé, mais c’est surtout quand on
va changer la couleur des pixels contenus dans cette
sélection qu’on va voir la différence.
Allez dans IMAGE…RÉGLAGES…TEINTE/SATURATION
et modifiez la couleur des pixels qui sont contenus
dans la sélection.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 3
Remarquez que le CONTOUR PROGRESSIF s’est
appliqué sur tout le pourtour de la sélection… On
n’a pas le choix. Plus tard, quand vous aurez étudié
les COUCHES ALPHA, vous maîtriserez les techniques
qui permettent de faire en sorte que le CONTOUR
PROGRESSIF ne se mettent que sur une partie
de la sélection, et non pas sur tout le pourtour.
L’option Généraliser
du menu Sélection et
l’option Pixels contigus
de la Baguette magique
Avec la BAGUETTE MAGIQUE, cliquez maintenant
sur un des chapeaux jaunes… Le chapeau sur lequel
vous avez cliqué se sélectionne. Maintenant vous
voulez que tous les chapeaux jaunes se sélectionnent,
allez dans le menu SÉLECTION, et on activez la ligne
GÉNÉRALISER… Tous les chapeaux jaunes sont
sélectionnés.
L’option PIXELS CONTIGUS, Ce n’est donc finalement
qu’une manière différente de présenter une fonction
très similaire, l’option GÉNÉRALISER. Ce sera souvent
comme ça dans Photoshop®, vous aurez l’occasion
de vous en rendre compte. C’est ce qui me fait
penser que finalement Photoshop®, ce n’est pas
si compliqué que ça.
L’option Utiliser tous
les calques
Détail
On retrouve cette option aussi dans l’outil de duplication de pixels, le TAMPON, et aussi dans l’outil
DOIGT.
Ouvrir l’image spécialement prévue pour démonter
cette option.
Pour qu’ils se sélectionnent encore mieux, on peut
aller plusieurs fois de suite dans le menu SÉLECTION,
jusqu’à la ligne ETENDRE.
Depuis la version 5.5 de Photoshop®, la BAGUETTE
MAGIQUE a été pourvue de l’option PIXELS CONTIGUS.
Pour observer ce que fait cette option, cliquez
sur un des chapeaux jaunes… il se sélectionne.
Maintenant décochez cette option PIXELS CONTIGUS
et regardez comment se comporte la BAGUETTE
MAGIQUE lorsque cette option est décochée…
Cliquez à nouveau sur un des chapeaux jaunes…
Tous les chapeaux jaunes se sélectionnent… Ce qui
se passe c’est que ce sont d’office toutes les couleurs
identiques à celles sur laquelle vous cliquez qui
se sélectionnent.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 4
4. 3.
Les sélections par
sélections n’ont pas nécessairement des bords nets :
il peut y avoir une zone de transition entre la partie
sélectionnée et la partie non sélectionnée. C’est
intéressant quand on a affaire à des parties d’images
à sélectionner qui présentent des bords flous.
Plage de couleurs
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
La technique de sélection
par Plage de Couleurs
C’est un genre de «super BAGUETTE MAGIQUE». Cette
technique de sélection est apparue avec la version
4 de Photoshop®, en 1996.
Le principe de fonctionnement de la technique
de sélection par PLAGE DE COULEURS est le même
que celui de la BAGUETTE MAGIQUE : pour générer
une sélection, ça observe les luminosités et les couleurs
dans une image. Toutefois, la technique de sélection
par PLAGE DE COULEURS crée des sélections plus
propres que la BAGUETTE MAGIQUE, parce que ces
On va réaliser une sélection
sur le chapeau bleu de l’avantplan
Tout d’abord, allez dans le menu SÉLECTION en
haut de l’écran, et vérifiez qu’actuellement il n’y a
aucune sélection active sur l’image… la deuxième ligne
du menu SÉLECTION, qui s’appelle DÉSÉLECTIONNER,
est grisée.
Ensuite descendez dans le menu SÉLECTION
jusqu’à la ligne PLAGE DE COULEURS. Une boite
de paramètrage s’ouvre. Bougez cette boite par sa
barre de titre afin de mieux voir l’image en couleur
qui se trouve derrière, c’est l’image sur laquelle on
est en train de travailler.
On peut considérer cette boite de paramètrage comme
si c’était un «générateur de sélections». Une fois
qu’une sélection a été créée par ce «générateur
de sélection», alors pour Photoshop® cette sélection
est une sélection comme une autre, il ne voit pas
la différence avec une sélection qui aurait été créée
par une autre technique… La sélection n’est en
aucune manière liée à la boite PLAGE DE COULEURS.
Si je précise ceci ici, c’est parce que j’ai pu remarquer
que bon nombre de personnes pensent que lorsque
une sélection a été générée par une technique, il faut
utiliser cette même technique pour modifier cette
sélection, c’est faux, et heureusement parce que ça
fait une complication en moins.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 5
Dans la boite PLAGE DE COULEURS vous voyez
qu’il y a un curseur TOLÉRANCE. C’est le même
principe que pour la BAGUETTE MAGIQUE, c’est
la TOLÉRANCE aux différences de luminosités et
de couleurs. La valeur moyenne de la TOLÉRANCE
est 40 dans la boite PLAGE DE COULEURS, alors
que pour la BAGUETTE MAGIQUE elle était de 32.
Tout comme avec la BAGUETTE MAGIQUE, il vaut
mieux en général que la TOLÉRANCE de PLAGE
DE COULEURS reste à sa valeur moyenne, sauf cas
exceptionnel.
En cliquant sur le mot PIPETTE dans le haut de la boite
vous remarquez qu’il est possible de travailler
au départ de plusieurs PLAGES DE COULEURS
prédéfinies. Il vaut mieux ne pas utiliser ces options,
elles donnent rarement un résultat aussi valable que
la technique que nous allons voir, la technique
de la PIPETTE. Gardez le mot PIPETTE inscrit dans
le haut de la boite.
Si elle ne l’est pas encore, activez la PIPETTE SANS
SIGNE + ET SANS SIGNE - dans la boite PLAGE
DE COULEURS. Sans enfoncer le bouton de la souris,
emmenez le pointeur sur l’image en couleur qui est
derrière la boite PLAGE DE COULEURS et cliquez
sur le milieu du chapeau bleu de l’avant-plan dans
la photo. A ce moment la fenêtre dans la boite PLAGE
DE COULEURS vous montre une PRÉVISUALISATION
de ce que sera la sélection…
Les parties BLANCHES vous montrent ce qui SERA
SÉLECTIONNÉ.
Les parties NOIRES vous montrent ce qui NE SERA
PAS SÉLECTIONNÉ.
Dans le bas de la boite PLAGE DE COULEURS, vous
pouvez demander PRÉVISUALISATION…NIVEAUX
DE GRIS à la place de PRÉVISULISATION…SANS.
A ce moment vous voyez en grand la sélection en
noir et blanc dans le document de travail. Comme
ce n’est pas très intéressant de ne plus voir l’image
en couleur dans le document de travail, réglez à
nouveau cette option en PRÉVISUALISATION…SANS,
comme c’était réglé auparavant.
Vous voyez qu’actuellement le chapeau n’est pas
sélectionné en entier. Le problème qui se pose ici est
le même que celui que nous avions rencontré quand
nous avions créé une sélection avec la BAGUETTE
MAGIQUE : le chapeau est constitué de plusieurs bleus
qui sont assez bien différents les uns des autres.
Avec la même pipette que tout à l’heure, cliquez que
la gauche du chapeau dans l’image en couleur…
Vous voyez que maintenant c’est le milieu et
la droite du chapeau qui ne sont plus sélectionnés.
Si vous cliquez que la droite chapeau, alors c’est
la gauche et le milieu du chapeau qui ne sont plus
sélectionnés.
Pour régler ce problème, il y a la PIPETTE AVEC
UN SIGNE +… Elle va vous permettre d’ajouter
des nuances qui doivent être prises en compte
pour créer la sélection. Activez la PIPETTE AVEC
UN SIGNE + dans la boite PLAGE DE COULEURS,
puis cliquez dans l’image en couleur qui se trouve
derrière la boite PLAGE DE COULEURS… Cliquez sur
des nuances de bleus du chapeau… Vous devriez
obtenir finalement un chapeau complètement blanc
sur fond noir dans la boite PLAGE DE COULEURS…
Cela vous indique que tout le chapeau sera sélectionné.
Les parties grises vous montrent ce qui ne sera pas
sélectionné à 100%… C’est fort sélectionné quand
c’est du gris clair et c’est très peu sélectionné quand
c’est du gris foncé.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 6
Parfois je vois que certaines personnes qui participent à mes formations préfèrent cliquer dans
la prévisualisation de la sélection, dans la boite PLAGE
DE COULEURS, avec la PIPETTE AVEC UN SIGNE +,
au lieu de cliquer dans l’image en couleur qui se
trouve derrière la boite PLAGE DE COULEURS. C’est
inutile et imprécis de procéder ainsi.
Si vous ajoutez trop de nuances, et que la sélection
est donc trop large, alors vous pourriez utiliser
la PIPETTE AVEC UN SIGNE -. J’ai pu remarquer que
cela ne fonctionne pas toujours très bien, et donc
personnellement je ne l’utilise que très rarement. Je
préfère enfoncer la touche ALT sur le clavier, ce qui
a pour effet de transformer le cartouche ANNULER
de la boite PLAGE DE COULEURS en un cartouche
RÉTABLIR… Et à ce moment je clique sur RÉTABLIR,
ainsi je retrouve la boîte de paramètrage PLAGE
DE COULEURS telle qu’elle était quand je l’ai ouverte.
Et à ce moment je recommence le paramètrage
de la sélection en utilisant la PIPETTE SANS SIGNE +
ET SANS SIGNE -, ainsi que la PIPETTE AVEC
UN SIGNE +. Cette astuce pour remettre à zéro
une boîte de paramètrage fonctionne dans toutes
les boites de paramètrage de Photoshop®… Les filtres,
les réglages de couleurs, etc. C’est donc à retenir.
Attention, si vous avez cliqué sur OK dans la boite
PLAGE DE COULEUR et que vous réalisez que vous
devriez refaire une sélection par PLAGE DE COULEURS,
n’oubliez pas de DÉSÉLECTIONNER, par le menu
SÉLECTION, avant de retourner dans la boite PLAGE
DE COULEURS. En effet, comme nous le verrons plus
tard, quand une sélection est active sur l’image au
moment où on va dans la boite PLAGE DE COULEURS,
cela influence la manière dont la sélection se crée.
Nettoyer la sélection que
nous venons d’obtenir
Lorsque la sélection vous parait correcte dans la boite
PLAGE DE COULEURS, validez par OK. La sélection
apparaît alors en pointillés dans le document
de travail.
Vous remarquez qu’il y a plein de zones dans l’image
qui ne concernent pas le chapeau d’avant-plan et
qui sont malgré tout sélectionnées… C’est normal,
elles avaient la même couleur que le chapeau. Nous
allons voir deux méthodes pour nettoyer la sélection
que nous venons d’obtenir. La première méthode va
consister à modifier cette sélection à l’aide d’autres
outils de sélection. La seconde méthode va consister à
modifier cette sélection à l’aide d’outils de dessin.
Pour modifier cette sélection à l’aide d’autres outils
de sélection, voici comment il faut procéder. Nous
allons par exemple utiliser le LASSO MAIN LIBRE,
c’est le lasso rond dans la palette des outils. Emmenez
cet outil sur l’image, enfoncez la touche ALT sur
le clavier… vous voyez qu’un petit signe - apparaît à
côté de l’icone de cet outil. A ce moment et toujours
en gardant la touche ALT enfoncée sur le clavier,
entourez les parties sélectionnées qui ne devraient
pas l’être. Ne nettoyez pas entièrement la sélection
par cette méthode, parce que nous allons voir
une méthode qui est meilleure. Donc quand vous avez
compris comment ça fonctionne, arrêtez de nettoyer
la sélection avec le LASSO.
Nous allons maintenant nettoyer cette sélection à
l’aide d’outils de dessin. Si vous essayez d’utiliser
des outils de dessin dans cette sélection, vous allez
modifier les pixels de l’image… Par exemple si
vous prenez le Pinceau et que vous dessinez sur
la sélection, vous amenez des traits de Pinceau
4. Les sélections
Version 12/01.
8 7
sur les pixels de l’image. En réalité, pour pouvoir
modifier cette sélection avec des outils de dessin,
il faut qu’elle soit accessible sous forme de pixels,
et non pas sous forme de pointillés comme c’est
le cas actuellement.
Pour que cette sélection soit accessible sous forme
de pixels, il va falloir la MÉMORISER. Allez dans le menu
SÉLECTION…MÉMORISER LA SÉLECTION. Dans
la boite de dialogue qui s’ouvre, il n’est pas nécessaire
de renommer la sélection, bien que ce soit possible.
Si vous ne la renommez pas, elle s’appellera ALPHA
1. En effet, les sélections mémorisées s’appellent
également des COUCHES ALPHA. Cela tient au fait
qu’au départ les COUCHES ALPHA servaient en
montage vidéo à donner de la transparence aux
images, transparence qui traditionnellement en
vidéo s’appelle ALPHA.
Remarquez au passage qu’il y a une erreur de traduction
puisque dans le haut de la boite il est inscrit «Mémoiser
la sélection».
Cliquez sur OK pour que la sélection se mémorise.
Après avoir mémorisé la sélection, vous ne remarquez
aucun changement sur l’image. C’est normal.
La sélection pourrait se mémoriser dans une palette
qui s’appellerait la «palette des COUCHES ALPHA»,
ou la «PALETTE DES SÉLECTIONS MÉMORISÉES»…
Seulement il se trouve que Photoshop® n’a pas
été pensé comme ça… En réalité les COUCHES
ALPHA se mémorisent dans le bas de la palette
des Couches.
Allez dans la palette des Couches… Dans le bas
de la palette des Couches vous voyez votre sélection,
elle est constituée de pixels noirs, blancs et éventuellement gris. Au-dessus ce sont les COUCHES
CONSTITUTIVES de l’image, qui étaient déjà là quand
on a ouvert l’image. Ces couches Rouge, vert et Bleu
sont nécessaires pour créer les couleurs et les niveaux
de luminosité dans l’image.
Aux participants aux formations, je dit souvent qu’ils
ont vraiment tout intérêt à comprendre de quoi est
constituée la matière première qu’ils utilisent dans
Photoshop®… Les PIXELS. Quand on comprend
ce qu’est un pixel, on évite déjà plein d’ennuis et
de difficultés en infographie. Pour ceux qui veulent
en savoir plus, je leur conseille de lire les documents
qui sont fournis sur les cd-rom’s DOCS/RESSOURCES
CRÉATIVES et FORMINFOG 2 dont on a parlé au
début de cette formation. Ces documents s’appellent
L’INTERFACE DE Photoshop_1.PDF et L’INTERFACE
DE Photoshop_2.PDF. Notez qu’il y a une erreur dans
le document L’INTERFACE DE Photoshop_2.PDF… A
la place du terme PROFONDEUR DE L’OCTET il faut
lire PROFONDEUR DU PIXEL.
Un petit mot à propos des COUCHES CONSTITUTIVES
de cette image… Cette image est au mode COULEURS
RVB. Cela veut dire que ses couleurs sont créées par
mélange de trois couleurs fondamentales : le Rouge,
le Vert et le Bleu. Ces trois couleurs fondamentales se
retrouvent dans les trois canaux Rouge, Vert et
bleu de la palette des Couches. Au-dessus de ces
trois couches dans la palette des Couches, il y a
une couche qu’on appelle la COUCHE GÉNÉRIQUE.
Elle est là par facilité, pour pouvoir rapidement activer
le travail d’un coup sur les trois COUCHES CONSTITUTIVES, ou pour pouvoir visualiser d’un coup les trois
COUCHES CONSTITUTIVES, mais en réalité elle n’est
pas vraiment indispensable. Si elle disparaissait, on
pourrait très facilement s’en passer.
4. Les sélections
Version 12/01.
8 8
Quand on clique sur chacune des COUCHES
CONSTITUTIVES, on voit qu’en réalité ce sont
des images en NIVEAUX DE GRIS, à moins
qu’on ait coché l’option COUCHES EN COULEUR
dans EDITION…PRÉFÉRENCES…AFFICHAGE ET
POINTEURS, ce qui n’est pas utile du tout, comme on
aura l’occasion de le voir plus tard.
Les NIVEAUX DE GRIS qui se trouvent dans
chacune de ces couches indiquent la quantité
de lumière Rouge, Verte et Bleue qu’il y a pour
chaque pixel de l’image. Par exemple prenons le cas
du chapeau bleu de l’avant-plan… Quelles sont
les couches qui participent à la création de ce
chapeau?
Cliquez d’abord sur la vignette de la couche
de la lumière Rouge dans la palette des Couches… A
ce moment vous voyez en grand dans le document
de travail le contenu de cette couche Rouge : les pixels
noirs indiquent qu’il n’y a aucune lumière Rouge,
les pixels blancs indiquent qu’il y a 100% de lumière
Rouge, et les pixels gris indiquent qu’il y a beaucoup
de lumière Rouge quand c’est gris clair et peu
de lumière Rouge quand c’est gris foncé. Vous voyez
que dans la couche Rouge le chapeau est plutôt
foncé… Cela indique que le chapeau est constitué
de peu de lumière Rouge.
Maintenant cliquez sur la vignette de la couche
de la lumière Verte dans la palette des Couches :
vous remarquez que le chapeau est plutôt clair dans
la couche Verte, cela indique qu’il y a assez bien
de lumière verte qui participe à la création de ce
chapeau dans cette image.
Cliquez sur la couche de la lumière Bleue : vous
voyez qu’il y a aussi beaucoup de lumière Bleue qui
participe à la création de chapeau… C’est normal,
mais pourquoi de la lumière Verte, et pourquoi
de la Rouge? La lumière Verte est là parce que ce
chapeau a une couleur Bleu Cyan, qui est composée
à la fois de bleu profond (c’est la couche Bleue) et
de Vert. Maintenant pourquoi il y a -a-t-il un peu
de Rouge dans ce chapeau? C’est parce qu’il y a
un peu de points gris dans le chapeau… le Rouge,
en se mélangeant au Vert et au Bleu, donne du gris.
On aura l’occasion d’en reparler. Réaffichez les trois
couches et enlevez l’oeil en face de la couche Rouge,
puis remettez-le… Vous devriez remarquer que sans
la couche Rouge le chapeau est d’un Bleu plus vif, et
aussi que la partie blanche sur le bord du chapeau
est bleue quand la couche Rouge n’est pas affichée,
et gris clair quand elle est affichée.
Maintenant observez quelles lumières participent
à la création des chapeaux jaunes. Vous devriez
remarquer que ces chapeaux jaunes sont principalement créés par de la lumière Rouge et par de la lumière
Verte. Quand on travaille avec des lumières, et non pas
avec des encres, le jaune est obtenu avec de la lumière
Rouge et avec de la lumière Verte. Quand il s’agit
d’encres, le jaune est obtenu avec de l’encre Jaune,
mais en réalité le principe est le même, car comme
nous aurons l’occasion de le voir lors du cours
de COLORIMÉTRIE, l’encre Jaune agit comme un filtre
qui empêche que la lumière Bleue ne soit vue…
Ce ne sont donc que les lumières Rouge et Verte qui
sont vues, et donc on voit du Jaune.
Modifier une sélection
mémorisée avec des outils
de dessin
Cliquez sur la vignette de la COUCHE ALPHA. Il ne
doit pas y avoir des yeux en face des autres couches.
S’il y avait des yeux en face des autres couches, alors
la COUCHE ALPHA ne serait pas vue telle qu’elle est
vraiment, elle serait vue en SEMI-TRANSPARENCE.
C’est parfois intéressant de visualiser une COUCHE
4. Les sélections
Version 12/01.
8 9
ALPHA en SEMI-TRANSPARENCE, comme nous
Il y a au moins quatre pièges auxquels il faut faire
attention…
Troisième piège :
il faut être sûr de dessiner avec du noir, et non pas
avec du gris foncé. Pour être sûr de dessiner avec
du noir, le mieux à faire est de cliquer sur la petite case
de RÉINITIALISATION DES COULEURS DE PREMIERPLAN ET D’ARRIÈRE-PLAN, qui se trouve à côté
des deux échantillons de couleur dans la palette
des outils. Ensuite il faut cliquer sur la double-flèche
pour inverser le contenu de la CASE DE PREMIERPLAN ET D’ARRIÈRE-PLAN. A ce moment on est
sûr que c’est du noir dans la case de premier-plan
de la palette des outils. Cette case de premier-plan
contient la couleur utilisée par les outils de dessin.
La case couleur dans la case d’arrière plan est rarement
utilisée par les outils de dessin.
Premier piège :
il faut que tous les pixels de la COUCHE ALPHA
soient accessibles, c’est-à-dire qu’il ne faut pas
qu’une sélection soit active sur la COUCHE ALPHA.
Il y a fort à parier qu’actuellement c’est le cas.
Allez sur la deuxième ligne du menu sélection,
qui s’appelle DÉSÉLECTIONNER. Les pointillés
de sélection devraient disparaître.
Quatrième piège :
Rien ne sert de dessiner avec de la couleur bien noire
si c’est pour qu’elle n’arrive pas telle qu’elle dans
l’image. Il faut vérifier les options de l’outil de dessin,
en haut de l’écran… Le MODE D’APPLICATION
doit être NORMAL, l’OPACITÉ doit être réglé à
100%, et l’option BORDS HUMIDES ne doit pas être
enclenchée.
Deuxième piège :
quand on utilise une tablette graphique, avec un stylet,
et qu’on dessine sur une COUCHE ALPHA en ayant
les OPTIONS DU STYLET activées, alors on risque
de ne pas comprendre ce qui se passe : ça n’est
pas facile de dessiner. Pour désactiver les OPTIONS
DU STYLET, il faut aller sur l’icone de Pinceau qui se
trouve en haut de l’écran, sur la droite, quand l’outil
Pinceau est activé dans la palette des outils. Dans
la boite qui s’ouvre quand vous cliquez sur l’icone
de Pinceau en haut à droite de l’écran, faites en sorte
qu’il soit inscrit DÉSACTIVÉ en face des options
EPAISSEUR, OPACITÉ et COULEUR. Ainsi Photoshop®
ne prend pas en compte la force avec laquelle vous
appuyez le stylet sur la tablette pour faire varier
l’EPAISSEUR, l’OPACITÉ et la COULEUR.
Prenez un gros Pinceau et dessinez en noir rapidement
sur les parties de la COUCHE ALPHA qui sont éloignées
du chapeau. Pour les parties qui sont près du chapeau,
vous avez intérêt à prendre une FORME DE BROSSE
plus petite.
le verrons dans l’exercice suivant, avec la photographie
d’un chien, mais pour l’instant on veut voir dans
le document de travail la COUCHE ALPHA seule,
en noir et blanc.
Ce qui est blanc dans une COUCHE ALPHA sélectionne
et ce qui est noir ne sélectionne pas. Donc pour
modifier cette COUCHE ALPHA avec des outils
de dessin il va falloir dessiner en noir sur les partie
blanches qui ne devront plus être sélectionnée quand
on utilisera cette COUCHE ALPHA.
C’est l’occasion de voir ici comment on trace des lignes
droites avec n’importe quel outil de dessin dans
Photoshop®. Contrairement à PAINTER®, Photoshop®
ne propose pas une option LIGNES DROITES pour
les outils de dessin, elle existe pourtant, il suffit
de savoir comment s’en servir. Il y a un endroit sur
le coté droit du chapeau où ce serait intéressant
de créer une ligne droite… Choisissez une forme
de Pinceau appropriée, ni trop grosse, ni trop fine.
Positionnez le pointeur à une extrémité de la droite
4. Les sélections
Version 12/01.
9 0
que vous voulez créer, et cliquez. Maintenant sans
enfoncer le bouton de la souris, allez à l’autre extrémité
de la droite que vous voulez créer, enfoncez la touche
MAJUSCULE sur le clavier et gardez-la enfoncée,
et cliquez… vous devriez remarquer qu’une droite
se crée entre les deux extrémités que vous aviez
choisies.
Quand on modifie une COUCHE ALPHA avec
des outils de dessin, on peut parfois avoir
besoin de dessiner en blanc, pour faire en sorte
qu’une partie de l’image soit sélectionnée, ou pour
faire en sorte qu’elle soit encore plus sélectionnée,
dans le cas où c’est gris clair dans la COUCHE
ALPHA, mais qu’on voudrait que ce soit blanc.
A ce moment il suffit de cliquer sur la double-flèche
dans la palette de outils pour que ce soit du blanc
à la place du noir dans la case de premier-plan,
et on dessine en blanc dans la COUCHE ALPHA.
Comme avec certains travaux on est parfois amené à
intervertir souvent les CASES DE PREMIER-PLAN ET
D’ARRIÈRE-PLAN, il est utile de connaître le raccourciclavier… C’est La touche X pour INVERSER la couleur
de la CASE DE PREMIER-PLAN ET D’ARRIÈRE-PLAN
dans la palette des outils.
Comme on le verra plus tard, pour des COUCHES
ALPHA plus complexes on peut aussi utiliser les OUTILS
DE MAQUILLAGE… Pour assombrir les TONS FONCÉS,
ou pour éclaircir les TONS CLAIRS.
Une fois que la COUCHE ALPHA est retouchée,
on va l’utiliser… Réactivez le travail sur les trois
COUCHES CONSTITUTIVES de l’image, en cliquant
sur le mot RVB dans la palette des Couches. Les trois
vignettes Rouge, Vert et Bleue doivent donc maintenant avoir pris un aspect bleuté dans la palette
des Couches… Cela indique qu’on est en train
de travailler dessus. La COUCHE ALPHA n’est plus
bleutée dans la palette des Couches, cela indique
qu’on ne travaille plus dessus. On ne la visualise plus
non plus : il n’y a pas d’oeil en face de sa vignette
dans la palette des Couches.
Dans le menu SÉLECTION, allez jusqu’à la ligne
qui s’appelle RÉCUPÉRER LA SÉLECTION. Ici c’est
facile puisque nous n’avons qu’une seule COUCHE
ALPHA dans la palette des Couches, on ne doit pas
indiquer quelle COUCHE ALPHA on récupère. Pour
certains travaux, on peut mémoriser énormément
de COUCHES ALPHA, c’est parfois utile, et à ce
moment il faudra indiquer quelle couche on veut
récupérer.
Dans la boite de dialogue RÉCUPÉRER LA SÉLECTION
qui s’est ouverte, cliquez sur OK. Vous voyez que
la sélection revient sur l’image, modifiée par un outil
de dessin.
Il y a bien sûr d’autres moyens pour récupérer
une sélection. Dans Photoshop®, on peut réaliser
la même opération de beaucoup de manières
différentes.
Faire une première
sélection pour délimiter
la zone sur laquelle on
travaille
Détail
4. Les sélections
Version 12/01.
9 1
Sélection par Plage
de Couleurs sur des sujets
à bords flous
Détail
On peut alors jouer sur le curseur Tolérance.
Ici, 6
4. Les sélections
Version 12/01.
9 2
4. 4.
Les sélections par
Semi-transparence
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Cette technique
de sélection est également
utilisée dans l’industrie
du cinéma sur
des ordinateurs spécialisés
dans les trucages sur
les films (rotoscoping
numérique)
Attention à ne pas confondre PALETTE GRAPHIQUE et
TABLETTE GRAPHIQUE… les TABLETTES GRAPHIQUES,
c’est ce qu’on utilise à la place de la souris pour
dessiner sur un ordinateur.
Avec la Baguette magique,
ou avec la technique
de sélection par Plage
de Couleurs, ce n’est pas
possible de réaliser
facilement une sélection
sur l’image Anima_14
Ouvrez l’image ANIMA_14. Contrairement à ce qu’on
pourrait penser, il ne s’agit pas de loups, ce sont
des chiens… Ils ont des harnais. Dans cet exercice, on
veut réaliser une sélection sur le chien de l’avant-plan.
Avec la BAGUETTE MAGIQUE, ou avec la technique
de sélection par PLAGE DE COULEURS, ce n’est pas
possible de réaliser cette sélection… les couleurs ne
sont pas assez différentes dans cette image. En plus,
si on zoome sur le museau du chien de l’avant-plan,
on remarque que le haut de son museau est blanc,
et que le décor derrière est également blanc…
Photoshop® ne saurait donc jamais voir qu’il y a
une différence entre le haut du museau et le décor
de l’arrière-plan. Mais dans votre esprit, vous voyez
la forme du museau, parce que votre esprit reconstruit
la forme du museau, même si elle n’existe pas dans
l’image.
Ces ordinateurs spécialisés, qui souvent ne peuvent
faire tourner qu’un seul programme, sont appelés
des PALETTES GRAPHIQUES. Les marques les plus
connues sont QUANTEL®, EVS®, ARRY®.
Les stations de travail comme les SILICON GRAPHICS®
ne sont pas des PALETTES GRAPHIQUES, parce que
ce sont des ordinateurs polyvalents, qui peuvent faire
tourner une multitude de logiciels.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 3
Pour réaliser la sélection
sur le chien de l’avant-plan,
on va dessiner
manuellement la sélection
dans une couche Alpha
vide qu’on va créer
Cette sélection, on ne la crée pas pour modifier
les couleurs de l’animal, mais plutôt pour pouvoir
emmener l’animal vers une autre image. Cela nous
permettra de commencer à étudier les techniques de photomontage dans Photoshop®, avec
les calques.
On commence par créer la COUCHE ALPHA dans
laquelle on va dessiner la sélection : dans le bas
de la PALETTE DES COUCHES, on clique sur l’icone
du bloc de feuille… Une COUCHE ALPHA remplie
de noir se crée, on la voit en grand dans le document
de travail.
Cette COUCHE ALPHA ne contient donc que des pixels
noirs… Si on l’utilise actuellement pour rappeler
une sélection, rien ne devrait être sélectionné… On
va essayer : activez le travail sur l’image du chien
en cliquant sur le mot RVB dans la PALETTE
DES COUCHES. Ensuite allez dans le menu SÉLECTION,
et activez la ligne RÉCUPÉRER LA SÉLECTION. C’est
facile dans la boite de dialogue qui s’ouvre puisque
actuellement il n’y a qu’une COUCHE ALPHA dans
la PALETTE DES COUCHES… On n’a donc pas besoin
de préciser quelle est la COUCHE ALPHA qu’on veut
rappeler. Quand on clique sur OK, Photoshop® affiche
comme on l’avais prévu un message pour nous
prévenir que AUCUN PIXEL N’EST SÉLECTIONNÉ.
Dans la PALETTE DES COUCHES, on clique sur
la vignette de la COUCHE ALPHA, pour pouvoir
travailler dessus. Sa vignette est alors bleutée, et
les vignettes des trois COUCHES CONSTITUTIVES
RVB de l’image ne sont pas bleutées… On ne
travaille donc pas sur les COUCHES CONSTITUTIVES
RVB de l’image.
La COUCHE ALPHA est visualisée dans le document
de travail… Il y a un oeil en face de sa vignette dans
la PALETTE DES COUCHES. Normalement il n’y a pas
d’oeil en face des autres couches.
Il va donc falloir dessiner la sélection en blanc dans
la COUCHE ALPHA, en utilisant le Pinceau. Pour
savoir où on doit mettre du blanc dans la COUCHE
ALPHA, on va faire en sorte que l’image du chien
apparaisse derrière…
On clique sur l’oeil en face de la vignette RVB
dans la PALETTE DES COUCHES. À ce moment
les pixels noirs de la COUCHE ALPHA deviennent
semi-transparents et prennent une couleur qui est
généralement le rouge vif ou le vert vif. En réalité
les pixels de la COUCHE ALPHA sont toujours noirs,
mais pour nous permettre de voir l’image derrière
eux, il s’affichent en une couleur transparente…
Que ce soit en rouge ou en vert qu’ils s’affichent,
cela n’influence en rien la qualité de la sélection, c’est
juste une manière de les visualiser sur l’écran.
Quand on va emmener des pixels blancs dans
la COUCHE ALPHA, ces pixels blancs seront visualisés
totalement transparents. Il va falloir passer en blanc
à l’endroit où il y a le chien… On va donc voir
réapparaître le chien et il sera entouré de pixels
transparents rouges vif ou verts vif.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 4
Il est possible de modifier
la manière dont la couche
Alpha s’affiche en
Semi-transparence
au-dessus de l’image
Dans le cas de cette image-ci, qui est plutôt grise dans
son ensemble, on peut choisir que la sélection s’affiche
soit en rouge vif semi-transparent, soit en vert vif
semi-transparent… Cela n’a pas d’importance.
Mais si par exemple vous travaillez sur une image qui
représente des tomates rouges, vous aurez intérêt à
ce moment à faire en sorte que la COUCHE ALPHA
s’affiche en vert vif semi-transparent, ceci afin de bien
voir la COUCHE ALPHA au-dessus de l’image.
Si par contre votre image représente des tomates vertes,
à ce moment vous devrez plutôt choisir que la COUCHE
ALPHA s’affiche en rouge vif semi-transparent.
Comment fait-on pour modifier la couleur
de la SEMI-TRANSPARENCE? Il suffit de double-cliquer
sur la vignette de la COUCHE ALPHA. À ce moment
les OPTIONS DE COUCHE apparaissent.
C’est le bas de la boite des OPTIONS DE COUCHE
qui nous intéresse. Là on voit qu’on peut modifier
le pourcentage de transparence de la couche, et aussi
sa couleur. On ne va pas modifier le pourcentage
de transparence, ce n’est pas nécessaire ici… On
va le laisser réglé à 50%. Par contre on va aller
modifier la couleur de la SEMI-TRANSPARENCE… On
clique sur l’échantillon de couleur… Le SÉLECTEUR
DE COULEUR de Photoshop® s’ouvre.
Le Sélecteur de couleur
Un des deux SÉLECTEURS DE COULEUR s’ouvre.
Celui qui devrait s’ouvrir normalement chez vous
comporte un grand carré sur toute sa partie gauche.
Ce SÉLECTEUR permet de choisir une nuance parmi
une gamme de plus de 16 millions de nuances.
Il y a un autre SÉLECTEUR… C’est le SÉLECTEUR
D’ENCRES, on y accède en cliquant sur le mot
PERSONNALISÉ dans l’autre SÉLECTEUR.
Dans le SÉLECTEUR D’ENCRES, il y a plusieurs
nuanciers d’encres qui sont disponibles. Les plus connus
sont les nuanciers de la marque PANTONE®.
On peut choisir un nuancier d’encres ou un autre
en cliquant sur le nom du nuancier à côté du mot
NUANCIER.
Il y a le nuancier PANTONE® couché, qui concerne
l’impression sur PAPIER COUCHÉ, dont les fibres
sont aplaties… C’est donc un papier qui ne boit pas
tellement l’encre. Il y a aussi le nuancier PANTONE®
non couché, pour le PAPIER NON COUCHÉ qui n’a
pas les fibres autant aplaties et qui boit beaucoup
l’encre.
Il y a aussi d’autres nuanciers, le nuancier ANPA, pour
les quotidiens américains (American News Paper
ASSOCIATION), le nuancier TOYO pour les japonais.
Les plus utilisés sont tout de même les nuanciers
PANTONE®.
Ces nuanciers de couleurs servent à normaliser
la communication à propos des couleurs entre
des graphistes qui sont éloignés géographiquement,
ou entre un graphiste et un imprimeur également
éloigné géographiquement.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 5
Il existe bien sûr des versions imprimées de ces
nuanciers, qui sont vendues par PANTONE®… C’est
la seule référence valable pour savoir à quoi
ressemble vraiment telle ou telle couleur PANTONE®.
Il y a des nuanciers imprimés sur PAPIER COUCHÉ, et
d’autres sur PAPIER NON COUCHÉ.
Dans Photoshop® il est inscrit CVC à côté des couleurs
du nuancier PANTONE®… CVC signifie COMPUTER
VIDEO COLOR. C’est pour mettre en garde l’utilisateur
de Photoshop® que les couleurs du nuancier
qu’il voit sur l’écran ne sont pas nécessairement
les véritables couleurs des encres PANTONE®… En
effet, l’écran modifie l’affichage des couleurs.
En général les étudiants préfèrent choisir les couleurs
dans le nuancier PANTONE® plutôt que dans l’autre
partie du SÉLECTEUR. Pourtant l’autre partie
du SÉLECTEUR est plus intéressante, elle permet
de choisir une nuance parmi une gamme de plus
de 16 millions de nuances, tandis que le nuancier
PANTONE® ne contient qu’un peu plus de 700
nuances.
De plus, il faut savoir que si on choisit une encre
PANTONE® dans le SÉLECTEUR D’ENCRES
de Photoshop®, cette couleur sera automatiquement
considérée par Photoshop® comme étant une couleur
RVB si on l’utilise sur une image au mode COULEURS
RVB.
En réalité il n’y a que très peu d’images dans
Photoshop® avec lesquelles les encres PANTONE®
sont considérées comme vraiment comme des encres.
C’est le cas avec les images en BICHROMIE. C’est
également le cas avec les images qui utilisent
des couleurs de TONS DIRECTS. Les étudiants qui
prendront l’orientation PUBLICATION en deuxième
année du GRADUAT EN INFOGRAPHIE DE LA HAUTE
ECOLE ALBERT JACQUARD étudieront ça à ce
moment.
On va retourner dans l’autre partie du SÉLECTEUR,
la partie qui permet de choisir une nuance parmi
plus de 16 millions de nuances.
Dans la réglette verticale qui apparaît dans ce
nuancier, c’est une roue chromatique… Quand
on bouge l’indicateur triangulaire le long de cette
réglette verticale, on remarque que les chiffres qui
sont dans le cartouche en face du T changent…
Ils vont de 0 degré à 359 degrés… Il s’agit donc
bien d’une roue chromatique, qui est divisée en
360 degrés. Une autre preuve qu’il s’agit d’une roue
chromatique? C’est la même couleur en haut et en
bas de la réglette verticale… la boucle est donc
bouclée.
En fait, cette réglette verticale permet de choisir
la TEINTE. La TEINTE, c’est une des trois composantes
de ce qu’on appelle une couleur.
Les deux autres composantes d’une couleur, c’est
la SATURATION et la LUMINOSITÉ.
Pour mieux le comprendre, on pourrait dire ceci…
On imagine qu’on demande à quelqu’un : «Quelle est
la couleur de ta voiture?» La personne répond
«bleue»… En réalité «bleue», c’est la TEINTE : il existe
36 sortes de bleu, et vous ne savez pas vraiment
de quelle couleur est vraiment la voiture avant que
vous l’ayez vue… Est-ce qu’elle est bleue foncé,
bleue ciel, bleue électrique?
Toutes ces variations de la TEINTE sont définies par
le degré de SATURATION de la couleur et aussi par
le degré de LUMINOSITÉ de la couleur.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 6
Donc quand on choisit une couleur avec le SÉLECTEUR
de Photoshop®, on choisit d’abord globalement
la TEINTE en positionnant l’indicateur triangulaire
à un certain endroit de la réglette verticale, puis on
affine son choix en bougeant la petite pastille dans
le grand carré de gauche.
Si on clique en face de la lettre L… À ce moment
la réglette verticale permet de modifier le degré
de LUMINOSITÉ de la couleur, et le grand carré permet
de choisir la TEINTE et la SATURATION.
Quand on bouge la pastille en hauteur dans le grand
carré, c’est l’axe de la luminosité, et quand on la bouge
en largeur c’est l’axe de la SATURATION.
Ce sont simplement d’autres manières de choisir
les couleurs, mais en général on choisit que ce
soit le bouton radio T qui soit enclenché dans
le Sélecteur, et donc la réglette verticale permet
de choisir la TEINTE.
Nous sommes en train de choisir une couleur pour
afficher la COUCHE ALPHA en SEMI-TRANSPARENCE.
Il se trouve que pour afficher une COUCHE ALPHA il faut
choisir une couleur qui est à la fois très saturé et très
lumineuse… Donc il faut positionner la pastille tout
à fait en haut à droite dans le grand carré.
Cliquez sur OK une fois, puis une seconde fois dans
la boite des OPTIONS DE COUCHE… Votre COUCHE
ALPHA s’affiche désormais différemment. Encore
une fois cela ne change rien au contenu de la COUCHE
ALPHA… on vient juste de modifier la manière dont
on la visualise au-dessus de l’image.
On a dit qu’il vaut mieux choisir soit du rouge, soit
du vert. Pour l’exercice, si votre COUCHE ALPHA
était rouge, faites en sorte qu’elle devienne verte,
et si elle était verte faites en sorte qu’elle devienne
rouge.
Avant de cliquer sur OK, on va donner ici encore
quelques petites informations à propos du SÉLECTEUR
DE COULEURS…
Remarquez qu’il est possible de changer le contenu
de la réglette verticale… Il suffit de cliquer sur
les boutons radio…
Si on clique sur le bouton radio en face de la lettre
S … À ce moment la réglette verticale permet
de modifier le degré de SATURATION de la couleur,
et dans le grand carré on règle la LUMINOSITÉ et
la TEINTE.
Nous allons commencer à
dessiner dans la couche
Alpha
D’abord on va vérifier que la PALETTE DES COUCHES est
bien réglée. La situation devrait être la suivante…
Toutes les couches sont affichées… Donc cela veut dire
qu’il y a des yeux en face de toutes les vignettes.
Et c’est seulement la vignette de la COUCHE ALPHA
qui est bleutée dans la PALETTE DES COUCHES…
Les autres couches de la palette ne sont pas bleutées…
On ne peut donc pas les modifier.
Le chien présente un contour flou, donc on va utiliser
des brosses à bords flous pour dessiner la sélection
en blanc dans la COUCHE ALPHA.
À l’endroit du museau du chien, on va utiliser une petite
brosse floue, et pour les oreilles aussi.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 7
Par contre pour le dessus de la tête du chien on
va utiliser une brosse floue plus grosse… Le flou
de cette brosse va créer une zone de transition
entre la partie qui sera sélectionnée et la partie qui
ne sera pas sélectionnée quand on utilisera cette
COUCHE ALPHA.
Une fois que le bord intérieur du chien est dessiné,
on peut visualiser la COUCHE ALPHA sans l’image en
SEMI-TRANSPARENCE derrière… Il suffit d’enlever
l’oeil en face de RVB dans la PALETTE DES COUCHES,
et on peut dessiner avec un plus gros Pinceau
l’intérieur du chien.
Sur la poitrine du chien, on utilisera une brosse floue
encore plus grosse, parce que les poils à cet endroit
sont plus longs que sur le museau.
Dessiner une sélection avec un outil de dessin,
ça peut prendre du temps. On aurait donc intérêt
à enregistrer l’image sur un disque dur, pour ne
pas devoir recommencer si on se trompe ou si
l’ordinateur se plante.
À l’endroit de la «CRINIÈRE» du chien, on utilisera
une brosse floue encore plus grosse, parce que
les poils sont encore plus longs à cet endroit.
Pour la «CRINIÈRE» du chien, il ne faut pas dessiner
chaque poil avec une petite brosse : dans cette
image les poils ne sont pas assez distincts les uns
des autres… Quand une image présentera des poils
(ou des cheveux, ou des branchages, etc) bien
distincts les uns des autres, on verra qu’on peut utiliser
une technique de sélection qui va automatiquement
sélectionner tout cela précisément… C’est la technique
de SÉLECTION PAR SILHOUETTE.
On va dessiner l’intérieur du chien avec ces différents
Pinceaux. On va commencer par le «bord intérieur»
du chien. Quand ce sera fait il suffira de dessiner en
blanc le milieu du chien.
Pendant que vous faites ça, il vaut mieux NE PAS
dépasser sur le décor, il vaut mieux LAISSER TOMBER
Les BOUTS Des POILS, les laisser dans la couleur
semi-transparente… Ainsi on ne verra pas du décor
d’origine du chien quand on l’aura emmené dans
un autre décor en utilisant la sélection qu’on est
en train de dessiner.
On va enregistrer l’image dans un format qui permet
d’intégrer une COUCHE ALPHA. Allez dans le menu
FICHIER…ENREGISTRER SOUS. Dans la boite
de dialogue qui s’ouvre, enregistrez l’image au
FORMAT Photoshop® ou au format TIFF. Vous voyez
que ces deux formats sont capables d’enregistrer
cette image avec sa COUCHE ALPHA, puisque la case
qui s’appelle COUCHES ALPHA reste cochée dans
la boite de dialogue.
Si vous choisissez d’enregistrer l’image dans un format
qui ne permet pas d’intégrer les COUCHES ALPHA,
alors cette case qui s’appelle COUCHES ALPHA
va se griser et un message s’affichera dans le bas
de la boite de dialogue pour vous avertir que vous
perdrez des données qui ne seront pas intégrées
au fichier.
Notez que certains formats d’image, comme le TARGA,
ne sont capables d’enregistrer qu’une seule COUCHE
ALPHA.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 8
Pour utiliser cette couche
Alpha, on réactive
le travail sur l’image
du chien, en cliquant sur
le mot RVB dans la Palette
des Couches
À ce moment la vignette de la COUCHE ALPHA n’est
plus bleutée… On ne travaille plus sur la COUCHE
ALPHA, et la COUCHE ALPHA n’est plus visualisée en
SEMI-TRANSPARENCE… Il n’y a plus d’oeil en face
de sa vignette dans la PALETTE DES COUCHES.
On rappelle la COUCHE ALPHA, en utilisant le menu
SÉLECTION…RÉCUPÉRER LA SÉLECTION. Il y a bien
sûr d’autres manières de récupérer une COUCHE
ALPHA… Dans Photoshop® on peut obtenir le même
résultat de plein de manières différentes.
Les pointillés apparaissent… ils ne peuvent pas
vous montrer la zone de transition entre la partie
sélectionnée et la partie non sélectionnée du chien
(sur la poitrine et sur la «CRINIÈRE» principalement),
mais cette transition est vraiment là, comme on va
pouvoir l’observer quand on aura emmené cette
bestiole sur une autre image.
On ouvre l’image dans
laquelle on va emmener
le chien… C’est l’image
Decna_24
Il faut s’arranger pour qu’une partie de cette image
soit visible sur l’écran pendant qu’on est en train
de travailler sur l’image du chien.
On travaille donc sur l’image du chien… Sa barre
de titre est striée sur Macintosh® et bleutée sous
WINDOWS®, ce qui nous indique que parmi toutes
les images qui sont actuellement ouvertes dans
Photoshop®, il s’agit de celle sur laquelle on est en
train de travailler… On ne peut en effet travailler que
sur une image en même temps dans Photoshop®, à
une ou deux exceptions près, qui sont plutôt rares
et qui confirment la règle.
On active l’Outil
de déplacement de pixels
dans la palette des outils
de Photoshop®…
C’est l’outil qui se trouve tout à fait en haut à droite.
On le positionne à l’intérieur de la zone en pointillés…
Le pointeur change d’aspect, on voit l’icone d’une paire
de ciseaux.
À ce moment on enfonce le bouton de la souris
et on le garde enfoncé, et on emmène le pointeur
n’importe où sur l’autre image, puis seulement
quand on est quelque part sur l’autre image on
lâche le bouton de la souris.
Souvent les étudiants lâchent le bouton de la souris
avant d’avoir le pointeur quelque part sur l’autre
image, parce qu’ils sont surpris de voir que le chien
se détache de son fond. En réalité si on l’emmène
quelque part sur l’autre image, il revient en place sans
problème… C’est justement si on relâche la pression
sur le bouton de la souris en étant toujours sur
l’image du chien qu’on a des problèmes… Parce
qu’à ce moment on fait une SÉLECTION FLOTTANTE.
On a vu ce qu’est une SÉLECTION FLOTTANTE au
moment où on a étudié les SÉLECTIONS GÉOMÉTRIQUES… La SÉLECTION FLOTTANTE est un ancêtre
du calque.
4. Les sélections
Version 12/01.
9 9
Si vous avez relâché la pression sur le bouton
de la souris en étant toujours dans l’image du chien,
et pas encore sur l’autre image, alors revenez en
arrière dans la palette HISTORIQUE, juste avant que
vous n’ayez effectué le DÉPLACEMENT qui a généré
une SÉLECTION FLOTTANTE.
Une copie du chien a été transférée dans l’image
DECNA_24.
Quand l’image DECNA_24 est activée, on remarque
dans la palette des Calques que le chien est arrivé sur
un calque qui s’est créé automatiquement.
Ce sont les Couches
constitutives RVB du chien
qui doivent être activées
dans la Palette
des Couches au moment où
vous emmenez l’animal sur
l’image Decna_24
Si à la place du chien en couleur, vous obtenez
une silhouette blanche de chien, c’est parce que
c’est votre COUCHE ALPHA qui était activée dans
la PALETTE DE COUCHES. Ce sont les COUCHES
CONSTITUTIVES RVB du chien qui doivent être
activées dans la PALETTE DES COUCHES au moment
où vous emmenez l’animal sur l’image DECNA_24.
Si ça vous est arrivé d’obtenir une silhouette blanche
de chien, alors vous devez jeter le calque qui contient
cette silhouette blanche du chien… Positionnez
le pointeur sur la vignette du calque du chien
dans la palette des Calques, enfoncez le bouton
de la souris et gardez-le enfoncé et bougez le souris…
Vous voyez une petite main qui «POIGNE» dans
la vignette… Emmenez cette main qui «POIGNE»
sur la petite corbeille dans le bas de la palette
des Calques… le calque est ainsi supprimé.
Maintenant recommencez le transfert du chien
en ayant cette fois les couches RVB activées dans
la PALETTE DES COUCHES QUAND C’EST SUR
L’IMAGE Du CHIEN QU’ON TRAVAILLE.
Le zoom n’influence en rien
la taille à
laquelle un élément est
transféré d’une image à
l’autre
La première chose qu’on remarque après avoir transféré
l’animal, c’est qu’il est petit dans le décor.
En général les étudiants croient que c’est à cause
des facteurs de zoom… Ils croient que c’est parce
que l’image du chien n’était pas affichée assez
grande au moment où on a transféré l’animal. Ce
n’est pas vrai… Le zoom n’influence en rien la taille à
laquelle un élément est transféré d’une image à
l’autre.
En réalité ce qui se passe c’est que l’image du chien
a été numérisée avec beaucoup moins de précision
que l’image du décor DECNA_24… L’image du chien
est composée de moins de pixels. La copie du chien
transféré dans DECNA_24 est composé exactement
du même nombre de pixels que dans son image
d’origine.
On verra plus tard qu’il est possible d’agrandir la copie
du chien qui est arrivé dans l’image DECNA_24.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 0
Un élément qu’on emmène
dans une image s’adapte
au mode de création
des couleurs de l’image
réceptrice
Détail
L’image réceptrice est en NIVEAUX DE GRIS…
Le chien arrive en gris.
L’image réceptrice passe de NIVEAUX DE GRIS à
COULEURS RVB… Le chien arrive en couleur.
Modification de l’ambiance du paysage gris dans
l’image au mode COULEURS RVB, avec les courbes
de gamma sur chacune des couches séparément et
sur les trois couches RVB en même temps.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 1
4. 5.
La Transformation
manuelle
sur un calque
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
On va faire en sorte que
le chien regarde dans
l’autre direction
On va modifier la taille du chien dans l’image
DECNA_24. Activez le travail sur cette image.
Dans la palette des Calques, c’est bien le calque qui
contient le chien qui est bleuté… On travaille sur
ce calque.
On va faire en sorte que le chien regarde dans l’autre
direction. Pour ça, on va d’abord voir ce qui se passe
quand on va dans le menu IMAGE…ROTATION
Remarquez que c’est toute l’image qui a été retournée… Le chien regarde bien dans l’autre direction, mais
le décor de FOND a également été retourné… Le texte
en bas de l’image est maintenant à l’envers.
On annule cette opération, soit en revenant d’une étape
en arrière dans le bas de la palette HISTORIQUE,
soit en activant la ligne ANNULER dans le menu
EDITION.
En réalité, si on veut symétriser uniquement le contenu
du calque activé, c’est dans le menu EDITION
qu’il faut aller… à la ligne TRANSFORMATION…
SYMÉTRIE AXE HORIZONTAL.
Dans la version française de Photoshop®, il y a
une erreur de traduction de la version anglaise…
Ce qu’on fait en réalité ici, c’est une symétrie sur
un axe vertical, et non pas sur un axe horizontal.
Les traducteurs ont cru que l’anglais FLIP HORIZONTAL
se traduisait par «symétrie sur un axe horizontal»,
alors qu’en réalité ça devrait se traduire par «retourner
horizontalement».
Transformation
manuelle des pixels…
Détail
Attention, la commande TRANSFORMATION
MANUELLE du menu EDITION ne sera pas accessible si c’est un des outils qui concernent
les tracés vectoriels qui est activé dans la palette
des outils… une des FLÈCHES, la PLUME, un des outils
de création de FORMES VECTORIELLES qui se
DE LA ZONE DE TRAVAIL…SYMÉTRIE AXE HORIZONTAL.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 2
trouvent à droite de l’outil PLUME dans la palette
des outils, ou bien encore l’outil TEXTE… Parce
qu’à ce moment Photoshop® croit qu’on veut faire
une TRANSFORMATION MANUELLE d’un élément
vectoriel, et non pas de pixels.
Agrandir en prenant par une poignée du coin et en
enfonçant la touche MAJUSCULE pendant qu’on
bouge la poignée et relâcher cette touche seulement
quand on a fini de bouger la poignée.
Tourner pour que le chien ressemble à un loup
hurlant. Modifier le centre de rotation manuellement
en bougeant la cible, le modifier aussi avec les options
en haut à gauche. On verra plus tard un exemple où
c’est intéressant de modifier la position du centre
de TRANSFORMATION MANUELLE.
Avant qu’on ait validé la TRANSFORMATION
MANUELLE, les pixels transformés sont en
mode PRÉVISUALISATION, c’est-à-dire que ce n’est
pas très précis parce que le calcul qui est effectué sur
les pixels est simple, pour que ça aille vite.
Une fois qu’on a validé la TRANSFORMATION,
Photoshop® a recalculé les pixels… Si on a
agrandi l’animal, Photoshop® a multiplié les pixels
d’origine.
Si l’agrandissement qu’on réalise ici est supérieur
à 120% (il y a beaucoup de chance qu’il le soit) et
qu’on veut obtenir finalement un travail propre, alors
il vaut mieux renumériser avec plus de précision
la photographie originale de l’animal.
Mais peut-être est-on simplement en train de réaliser
une maquette, un projet… Alors ça ne gène pas que
le chien devienne flou si on l’agrandi… Si le client
est d’accord avec le projet, alors on prendra la peine
de renumériser la photographie originale de l’animal
à la taille qu’il doit avoir dans le travail final, et on
réalisera alors proprement ce travail final.
Pour valider la TRANSFORMATION MANUELLE, c’est
la touche en bas à droite sur clavier.
Si on voulait sortir du processus de TRANSFORMATION
MANUELLE sans le valider, alors il faudrait enfoncer
la touche en haut à gauche sur la clavier, c’est
la touche ESCAPE.
Transformation après avoir
zoomé fort en arrière
Détail
Désactiver le MAGNÉTISME des bords de l’image
en enfonçant la touche CTRL pendant qu’on bouge
les poignées (pas AVANT, mais PENDANT). Dans
le menu AFFICHAGE, on peut aussi désactiver
définitivement le MAGNÉTISME. On peut aussi décider
dans le menu AFFICHAGE quels sont les éléments
d’images qui sont magnétisés ou non.
On revient dans
Transformation
manuelle pour réaliser
une Torsion sur le contenu
du calque
Détail
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 3
Touche POMME et bouger un des coins. Ce n’est pas
intéressant dans ce cas-ci, donc on ne valide pas
la TRANSFORMATION MANUELLE… On appuie donc
sur ESCAPE en haut à gauche sur la clavier.
On va voir maintenant un exemple d’utilisation
de la TORSION… Il s’agira de simuler l’implantation
d’une affiche ou d’une bannière dans une ville sur
un mur en perspective, afin de convaincre un client
que cette affiche ou cette bannière convient et
qu’il faut la placarder partout dans la ville. La même
méthode pourra évidemment convenir pour simuler
l’implantation d’un papier peint ou d’une fresque
sur un mur à l’intérieur d’une maison.
Le logo est sur un calque avec éventuellement
un MASQUE DE FUSION si certaines parties
du graphisme ne doivent pas s’appliquer sur certaines
parties du décor.
Transformation
manuelle de sélection
Détail
Paysage couché de soleil avec silhouette du chien
en négatif.
CALQUE DE RÉGLAGE de type INVERSER… la sélection
Exemple de Torsion :
l’affiche ou la bannière en
perspective sur un mur
active devient le MASQUE DU FUSION du CALQUE
DE RÉGLAGE. On peut alors bouger la silhouette
du chien en négatif dans le paysage. Attention… ne
pas CHAÎNER le CALQUE DE RÉGLAGE au calque
de FOND.
Détail
CALQUE DE RÉGLAGE de type COURBES sans
Utiliser la fonctionnalité de TORSION pour
créer une simulation attractive de l'utilisation
d'un graphisme : on applique le graphisme en
perspective sur une surface dans un décor photographié.
Attention, une fois qu’on a validé la TRANSFORMATION
MANUELLE
puis
qu’on
revient
faire
une TRANSFORMATION MANUELLE, alors c’est
un cadre non tordu qui revient autour du logo, et
c’est très difficile de continuer à tordre le logo à
ce moment.
modification des courbes mais qui sert de support
à des STYLES DE CALQUES. On peut le modifier
le STYLE après l’avoir appliqué, en double-cliquant
sur le petit F qui est sur le calque. On peut appliquer
des STYLES PRÉDÉFINIS. Il y a des cd-rom’s qui
sont vendus dans le commerce et qui contiennent des milliers de STYLES PRÉDÉFINIS pour
Photoshop®.
Transfert de sélection photographique vers une autre
photographie… Exemple avec les images FEUIL_08
et DECNA_25.
Mettre le calque du logo en mode INCRUSTATION.
S’il disparaît trop dans le mur, on peut dupliquer ce
calque du logo, mettre le duplicata en mode NORMAL,
puis modifier l’OPACITÉ de ce calque jusqu’à obtenir
un bon équilibre visuel.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 4
C’est parfois intéressant
de modifier la position
du centre
de Transformation
manuelle…
Détail
Image RUBERLIN2 pour maquiller la ligne noire
qui traverse l’image.
Voir que la PALETTE DES INFOS nous informe sur
l’angle quand on tourne manuellement. Voir aussi que
le PALETTE TRANSFORMATION permet de modifier
l’angle précisément en entrant les valeurs dans
des cartouches.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 5
4. 6.
Les Sélections hybrides
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
La
sélection
est
ensuite
modifiée
par
SEMI-TRANSPARENCE.
Il serait possible d’améliorer cette sélection, en
appliquant ici le principe de la SÉLECTION PAR
SILHOUETTE… Exemple.
Le QuickMask®, c’est
une couche Alpha
temporaire
Détail
Démo QUICKMASK® ici après avoir généré
une sélection au départ du tracé.
Créer une sélection hybride
Détail
(Image de la dame avec un chapeau).
La sélection est d’abord générée au départ d’un TRACÉ
VECTORIEL. Pour Photoshop®, la sélection générée
par le tracé est une sélection comme une autre…
elle n’est pas liée d’une quelconque manière au
tracé qui l’a générée. On ne s’occupe plus du tracé
quand il a servi à générer la sélection.
Attention, si on défini deux fois de suite une sélection
avec le même tracé, la deuxième fois on crée
une sélection qui soustrait celle qui est déjà active
sur l’image.
Si nécessaire, désactiver le tracé pour ne plus le voir
au-dessus de l’image.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 6
4.7.
pour l’examen
les sélections
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 7
1. Quand une sélection à contour net est active sur
une image, on peut faire en sorte que son contour
devienne PROGRESSIF. Parmi toutes ces méthodes,
quelle est la seule qui fonctionnera?
A. Il faut activer la commande CONTOUR
PROGRESSIF dans le menu SÉLECTION.
B. Il faut activer la commande FLOU GAUSSIEN
dans le menu FILTRES.
C. Il faut passer l’outil GOUTTE D’EAU sur
le bord de la sélection.
D. Il faut appliquer un DÉGRADÉ sur le bord
de la sélection.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 8
La bonne réponse à la question de la page précédente
est : A.
La réponse B est fausse. Dans la question il est
dit que la sélection est active sur l’image, on peut
donc on en déduire qu’elle est visible sous forme
de pointillés. Le filtre FLOU GAUSSIEN du menu
FILTRES…ATTÉNUATION appliqué sur une sélection
visible sous forme de pointillés modifierait les pixels
qui sont contenus dans cette sélection, mais ne
modifierait pas la sélection elle-même. Pour modifier
une sélection en utilisant le filtre FLOU GAUSSIEN
du menu FILTRES…ATTÉNUATION, il faut appliquer ce
filtre FLOU GAUSSIEN sur la sélection quand elle est
sous forme de pixels, soit en la MÉMORISANT et en
travaillant sur la couche de SÉLECTION MÉMORISÉE,
soit en enclenchant le mode QUICKMASK®.
La réponse C est fausse. Même remarque que
pour la réponse B : on pourrait rendre flou le bord
d’une sélection en utilisant l’outil GOUTTE D’EAU,
mais il faudrait que cette sélection soit accessible sous
forme de pixels.
La réponse D est fausse. Elle est absurde.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 0 9
2. Parmi toutes ces affirmations à propos
de la technique de sélection par SEMI-TRANSPARENCE
dans Photoshop®, laquelle est la seule vraie?
A. C’est une technique qui convient particulièrement pour les éléments d’images
qu’on veut sélectionner et qui présentent
un contour net.
B. C’est une technique qui convient particulièrement pour les éléments d’images
qu’on veut sélectionner et qui présentent
un contour très complexe, comme les branches
et le feuillage d’un arbre, ou des cheveux.
C. C’est une technique qui n’est pas souvent
utilisée par les professionnels de l’infographie car elle est trop longue à mettre en
oeuvre.
D. C’est une technique qui permet de dessiner
une sélection avec un outil de dessin.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 0
est : D.
La réponse A est fausse. Pour les éléments d’images
qu’on veut sélectionner et qui présentent un contour
net, c’est la technique de SÉLECTION PAR TRACÉS
qui convient le mieux.
La réponse B est fausse. Pour les éléments d’images
qu’on veut sélectionner et qui présentent un contour
très complexe, comme les branches et le feuillage
d’un arbre, ou des cheveux, c’est la technique
de SÉLECTION PAR SILHOUETTE qui convient
le mieux.
La réponse C est fausse. La technique de sélection
par SEMI-TRANSPARENCE est également utilisée par
les professionnels, parfois même sur des systèmes
d’édition d’images bien plus performants que
Photoshop®, comme les PALETTES GRAPHIQUES qui
sont des ordinateurs très puissants spécialisés dans
la retouche de films pour le cinéma et la publicité.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 1
1. Le QUICKMASK® est une fonctionnalité
de Photoshop®. Parmi ces quatre explications sur
ce qu’est le QUICKMASK®, indiquez laquelle est
la seule vraie.
A. Le QUICKMASK® est le raccourci-clavier
pour créer un MASQUE DE FUSION.
B. Le QUICKMASK® est une technique
de sélection par SEMI-TRANSPARENCE qui
crée une COUCHE ALPHA temporaire dans
la palette des Couches.
C. Le QUICKMASK® est une technique
de création automatique de sélection, sur
base du niveau de luminosité des pixels
d’une des COUCHES CONSTITUTIVES
d’une image.
D. Le QUICKMASK® est le raccourci-clavier
qui permet de n’afficher temporairement
qu’un seul des calques d’un photomontage.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 2
est : B.
La réponse A est fausse.
La réponse C est fausse. On peut créer automatiquement une sélection sur base du niveau de luminosité
des pixels d’une des COUCHES CONSTITUTIVES
d’une image en enfonçant la touche POMME sur
les Macintosh®, ou CTRL sur les PC, et en cliquant
sur cette COUCHE CONSTITUTIVE dans la palette
des Couches.
La réponse D est fausse. Le raccourci-clavier pour
afficher temporairement un seul des calques
d’un photomontage, c’est la touche ALT enfoncée
tout en cliquant dans la palette des Calques sur
l’oeil qui est en face de la vignette du calque qu’on
veut afficher seul.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 3
4. Parmi ces quatre outils de Photoshop®, indiquez
quel est le seul qui permet d’emmener vers
une autre image le contenu d’une sélection.
A. L’Outil de DÉPLACEMENT DE SÉLECTION.
B. L’Outil de DÉPLACEMENT DE PIXELS.
C. L’outil de SÉLECTION DIRECTE.
D.
L’outil
de
TRANSFORMATION
MANUELLE.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 4
précédente est : B.
Le contenu d’une sélection, ce sont des pixels. C’est
donc bien avec l’outil de DÉPLACEMENT DE PIXELS
qu’il faut emmener le contenu d’une sélection vers
une autre image.
La réponse A est fausse. Il n’existe pas d’outil
de DÉPLACEMENT DE SÉLECTION. Toutefois, chaque
outil de sélection dans la palette des outils peut servir
à déplacer une sélection, à l’intérieur d’une image
ou d’une image à une autre… L’outil de création
de SÉLECTION RECTANGULAIRE ou SÉLECTION
CIRCULAIRE, la BAGUETTE MAGIQUE, le LASSO.
La réponse C est fausse. L’outil de SÉLECTION DIRECTE,
c’est la flèche blanche. Elle permet de modifier
la position des points de construction d’un tracé
vectoriel.
La réponse D est fausse.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 5
de la création de sélections en SEMI-TRANSPARENCE,
laquelle est la seule vraie?
A. Les couleurs habituellement utilisées
pour visualiser une sélection en
SEMI-TRANSPARENCE au-dessus d’une image
sont le bleu très vif et le jaune très vif.
B. Les couleurs habituellement utilisées
sont le rouge très vif et le vert très vif.
C. Les couleurs habituellement utilisées
sont le noir et le blanc.
D. Les couleurs habituellement utilisées
sont le noir, le blanc, ainsi que 254 nuances
de gris différentes.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 6
est : B.
La réponse A est fausse. Le bleu est un mauvais
choix pour afficher une COUCHE ALPHA en
SEMI-TRANSPARENCE au-dessus d’une image. En
effet, l’oeil humain est peu sensible aux nuances
dans la couleur bleue.
La réponse C est fausse.
La réponse D est fausse. Le noir, le blanc et 254
nuances de gris différents, c’est ce que peut
contenir potentiellement une COUCHE ALPHA.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 7
des sélections dans Photoshop®, laquelle est
la seule fausse?
A. Une sélection qui a été mémorisée en tant
que COUCHE ALPHA et qu’on rappelle sur
l’image est moins précise qu’une sélection
qu’on vient de créer et qu’on n’a pas encore
enregistrée.
B. Il est possible de créer des combinaisons
de COUCHES ALPHA en appuyant sur
des touches au clavier et en cliquant en même
temps sur leurs vignettes dans la palette
des Couches.
C. Il est possible de créer des combinaisons
de COUCHES ALPHA en utilisant la boite
OPÉRATIONS qui est accessible par le menu
IMAGE.
D. Une COUCHE ALPHA peut contenir jusqu’à
256 niveaux de gris différents, chacun de ces
niveaux de gris correspond à un degré
de sélection différent.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 8
Il n’y a aucune différence entre une sélection qui vient
d’être créée et une sélection qui a été mémorisée
en tant que COUCHE ALPHA puis rappelée sur
une image.
Par contre, dans la palette PORTFOLIO DE SÉLECTIONS du logiciel COREL PAINTER® les sélections
perdent leurs nuances, car les sélections mémorisées
dans cette palette sont en réalité des sélections
vectorielles, et non pas des sélections «pixels», comme
les sélections mémorisées de la palette des Couches
de Photoshop®.
Il est faux de répondre que l’affirmation de la réponse B
est fausse.
Il est faux de répondre que l’affirmation de la réponse C
est fausse.
Il est faux de répondre que l’affirmation de la réponse D
est fausse.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 1 9
de la technique de création de sélections par PLAGE
DE COULEURS, laquelle est la seule vraie?
A. C’est une technique qui ressemble assez
bien à la BAGUETTE MAGIQUE, mais qui est
moins évoluée.
B. C’est une technique qui ressemble assez
bien aux INSTANTANÉS, mais qui est moins
évoluée.
C. C’est une technique qui ressemble assez
bien à la BAGUETTE MAGIQUE, mais qui
est plus évoluée.
D. C’est une technique qui ressemble assez
bien aux INSTANTANÉS, mais qui est plus
évoluée.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 2 0
précédente est : C.
Tout comme la BAGUETTE MAGIQUE, la boite
de génération de sélections PLAGE DE COULEURS
observe les niveaux de luminosités dans les COUCHES
CONSTITUTIVES de l’image, et génère donc des sélections qui sont basées à la fois sur le niveau de luminosité
de ce qui se trouve dans l’image, mais qui sont
basées aussi sur la couleur de ce qui se trouve dans
l’image. La technique de création de sélections par
PLAGE DE COULEURS est toutefois plus évoluée que
la BAGUETTE MAGIQUE puisqu’elle permet de générer
des sélections qui n’ont pas toujours un bord net.
La BAGUETTE MAGIQUE, quant à elle, génère toujours
des sélections qui ont un bord net.
La réponse B est fausse.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 2 1
4. Pour retoucher une COUCHE ALPHA dans
Photoshop® on doit souvent intervertir la couleur
de la case de premier-plan et d’arrière-plan. Il est
alors utile de connaître le raccourci-clavier qui
permet de faire cela. Parmi toutes ces propositions
de raccourci-clavier, laquelle est la seule vraie?
A. La touche I.
B. La touche F8.
C. La touche de SUPPRESSION DE CARACTÈRE.
D. La touche X.
4. Les sélections
Version 12/01.
1 2 2
est : D.
Ici, 8
4. Les sélections
Version 12/01.
1 2 3
5. Les calques :
5. 1.
Les Masques de fusion
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Ouvrez l’image Anima_14
C’est un chien dans un décor de neige. Ouvrez aussi
l’image DECNA_24, c’est un décor de forêt.
Nous allons emmener toute
l’image du chien sur
l’image du décor de forêt.
Cette fois-ci, nous n’allons pas réaliser une sélection
sur le chien pour pouvoir l’emmener sans son décor
sur l’autre image. Nous allons emmener sur l’image
DECNA_24 toute l’image ANIMA_14.
Quand l’image du chien sera dans l’image de la forêt
on fera en sorte que les pixels du décor du chien ne
soient plus visibles. On ne va pas les effacer… On
va les rendre invisibles. À tout moment, on
pourra les faire réapparaître si on veut. Ce sera donc
mieux que si on les effaçait, puisque cela permet
de faire des erreurs. Dans le logiciel Photoshop®, à
chaque fois qu’on peut s’aménager une possibilité
de rectifier facilement ses erreurs, il ne faut pas
hésiter à le faire.
On active le travail sur l’image du chien, l’image
ANIMA_14. Donc on clique sur sa barre de titre.
Il faut que l’autre image, DECNA_24, soit toujours
partiellement visible sur l’écran.
On enclenche l’OUTIL DE DÉPLACEMENT DE PIXELS
dans la palette des outils… C’est l’outil qui est tout à
fait en haut à droite dans la palette des outils.
Avant d’utiliser cet OUTIL DE DÉPLACEMENT
DE PIXELS, on va vérifier qu’aucune sélection n’est
active sur cette image… En effet, c’est la totalité
des pixels de cette image qu’on veut déplacer
vers l’autre image, donc il ne faut pas qu’il y en ait
certains qui soient sélectionnés et d’autres pas…
Pour vérifier qu’il n’y a aucune sélection active sur
cette image, on va dans le menu SÉLECTION en
haut de l’écran et on regarde la deuxième ligne, qui
s’appelle DÉSÉLECTIONNER… Il faut qu’elle soit grisée,
ce qui veut dire que cette ligne de commande n’est
pas accessible en ce moment… C’est donc la preuve
qu’il n’y a pas de sélection active sur cette image.
Quand il n’y a pas de sélection active sur une image,
cela veut dire qu’on peut modifier tous les pixels
de cette image, et c’est exactement ce qu’on veut
faire maintenant.
5. Les calques
Version 12/01.
1 2 4
On positionne l’OUTIL DE DÉPLACEMENT DE PIXELS
n’importe où sur l’image du chien, on enfonce
le bouton de la souris et on le garde enfoncé, et on
emmène le pointeur n’importe où sur l’autre image
puis on lâche le bouton de la souris.
Toute l’image du chien a
été transférée sur un calque
qui flotte au-dessus
des pixels de l’image
de la forêt
On active le travail sur l’image DECNA_24, donc on
clique sur barre de titre.
Dans la palette des Calques, on remarque que toute
l’image du chien a été transférée sur un calque qui
flotte au-dessus des pixels de l’image DECNA_24.
On peut fermer l’autre image, l’image originale du chien,
elle ne nous sert plus à rien puisqu’une copie de tous
ses pixels a été envoyée dans ce qui est maintenant
notre image de travail, l’image DECNA_24.
Dans Photoshop® on ne
peut travailler que sur
un calque en même temps
Dans la palette des Calques, on a donc plusieurs
calques. Le calque sur lequel on travaille a sa vignette
bleutée dans la palette des Calques.
On peut cliquer sur la vignette du calque de FOND puis
sur la vignette du calque de l’image des chiens…
On remarque qu’il n’est pas possible de faire en sorte
que les deux vignettes soient bleutées en même
temps, même en utilisant la touche MAJUSCULE.
Agrandir
la taille des vignettes
Pour mieux voir ce qui va suivre, ce serait peut-être
intéressant d’agrandir la taille des vignettes de la palette
des Calques. Pour cela, il suffit d’aller dans le menu
de la palette des Calques, en cliquant sur la flèche
qui pointe vers la droite en haut à droite de la palette
des Calques, et descendre jusqu’à la ligne qui
s’appelle OPTIONS DE PALETTES. Dans la boîte qui
s’ouvre on choisit la plus grande vignette. Cette ligne
de commande OPTIONS DE PALETTES se retrouve
dans la plupart des palettes de Photoshop®, sauf
La commande OPTIONS DE PALETTES cache un «oeuf
de Pâques». Un «oeuf de Pâques», c’est une blague
faite par les informaticiens qui ont écrit le programme.
Il y en a dans tous les programmes. Si on enfonce
la touche ALT au moment où on va sur la ligne qui
s’appelle OPTIONS DE PALETTES, dans le menu
de la palette des Calques ou de n’importe quelle autre
palette, alors on voit apparaître… Je vous laisse
découvrir quoi.
On va ajouter un Masque
de visibilité
On active le travail sur le calque qui contient l’image
du chien.
On va ajouter à ce calque ce qu’on appelle un MASQUE
DE VISIBILITÉ, ou un MASQUE DE FUSION… C’est
la même chose : on aura l’occasion de voir plus loin
pourquoi un MASQUE DE VISIBILITÉ s’appelle aussi
un MASQUE DE FUSION.
5. Les calques
Version 12/01.
1 2 5
On va dans le menu CALQUES en haut de l’écran, et
on descend jusqu’à la ligne qui s’appelle AJOUTER
UN MASQUE DE FUSION… un sous-menu apparaît…
On va jusqu’à la ligne qui s’appelle TOUT FAIRE
APPARAÎTRE. Attention ne confondez pas AJOUTER
UN MASQUE DE FUSION avec AJOUTER LE MASQUE
DU CALQUE… le masque du calque, c’est un MASQUE
VECTORIEL, c’est une nouveauté depuis la version
6 de Photoshop®, qu’on aura l’occasion de voir
quand on étudiera les tracés vectoriels. Ce qu’on
est en train de faire, c’est un MASQUE DE FUSION,
c’est un masque constitué de pixels, et non pas
de vecteurs.
Vous voyez sur la vignette du calque qu’un MASQUE
DE FUSION s’est ajouté au calque. Si vous
voyez une fine ligne verticale sur la vignette
du calque, c’est que vous avez fait une erreur,
vous avez ajouté un MASQUE VECTORIEL.
Si c’est le cas, jetez-le dans la petite corbeille dans
la bas de la palette des Calques, et cette fois ajoutez
un MASQUE DE FUSION quand vous allez dans
le menu CALQUES en haut de l’écran.
Quand un calque est
composé de plusieurs
parties, comme c’est le cas
ici, il faut indiquer à
Photoshop® quelle est
la partie sur laquelle on
veut travailler…
Attention, si vous avez fait une erreur, comme
par exemple avoir enfoncé la touche POMME au
lieu de la touche ALT, il est fort probable qu’il y a
actuellement une sélection active. Dans ce cas, allez
jusqu’à la ligne qui s’appelle DÉSÉLECTIONNER,
dans le menu SÉLECTION, pour faire partie cette
sélection.
À ce moment deux choses nous indiquent qu’on est
en train de travailler sur la PARTIE MASQUE DE FUSION
du calque… premièrement il y a un rectangle qui
entoure le MASQUE DE FUSION dans la vignette,
ensuite dans la deuxième colonne de la palette
des Calques, en face de la vignette du calque il y a
une icone d’un masque infographique.
Maintenant si on veut travailler sur la partie du calque
qui contient l’image… Il suffit de cliquer sur la PARTIE
IMAGE DU CALQUE dans la vignette du calque…
à ce moment on voit sur la vignette du calque
un cadre autour de cette partie du calque. Il y a aussi
autre chose qui nous indique qu’on est en train
de travailler sur la PARTIE IMAGE DU CALQUE… Dans
la seconde colonne de la PALETTE DES CALQUES, en
face de la vignette, on voit l’icone d’un Pinceau.
Attention, ne cliquez pas sur la case vide dans
la deuxième colonne en face de la vignette du calque
de FOND… Cela amènerait une CHAÎNE, dont on
verra l’utilité plus tard. Si vous avez déjà cliqué
dans la seconde colonne et que vous voyez l’icone
de la CHAÎNE, cliquez à nouveau sur la CHAÎNE pour
l’enlever. Il ne faut pas de CHAÎNE à cet endroit pour
arriver à faire ce qu’on va faire maintenant.
Si on veut travailler sur le MASQUE DE FUSION,
il suffit de cliquer sur la PARTIE MASQUE DE FUSION
dans la vignette du calque.
5. Les calques
Version 12/01.
1 2 6
On va modifier le contenu
du Masque de fusion…
Il faut faire en sorte que ce soit sur le MASQUE
DE FUSION de ce calque qu’on travaille.
Actuellement, le MASQUE DE FUSION est totalement
blanc, c’est parce qu’on a créé un MASQUE DE FUSION
qui FAIT TOUT APPARAÎTRE.
Quand c’est blanc dans un MASQUE DE FUSION,
cela fait apparaître dans le document de travail les pixels
correspondant dans la PARTIE IMAGE DU CALQUE. C’est
pour ça qu’actuellement tous les pixels de la PARTIE
IMAGE DU CALQUE sont visibles dans le document
de travail.
Quand c’est noir dans un MASQUE DE FUSION,
les pixels correspondant dans la PARTIE IMAGE
DU CALQUE ne sont plus visibles dans le document
de travail, mais ils existent toujours… Ce ne sera pas
comme si on les avaient gommés, on pourra toujours
les faire réapparaître. On va expérimenter ça…
Activez le Pinceau dans la palette des outils…
Le Pinceau normal, pas la FORME D’HISTORIQUE.
Choisissez de dessiner avec de la couleur noire.
Il est évidemment toujours
possible de modifier
l’image…
Il suffit de cliquer sur la PARTIE IMAGE DU CALQUE…
Et maintenant vous pouvez modifier les pixels
de l’image… Par exemple on va faire en sorte que
le chien se colorise. On va dans le menu Image…
RÉGLAGES…Teinte/SATURATION… On coche la case
REDÉFINIR et on joue sur les curseurs de la boite
de réglages.
Dans le Masque de fusion,
vous allez dessiner en noir
sur l’extérieur
de la silhouette du chien
afin de faire disparaître
le décor original de l’image
du chien
Maintenant activez de nouveau le travail sur la PARTIE
MASQUE DE FUSION du calque du chien, en cliquant
sur la vignette du MASQUE DE FUSION.
Dessinez dans le document de travail à l’endroit où il y a
le décor de neige original du chien… le décor disparaît. actuellement une sélection active. Dans ce cas, allez
Si vous regardez dans la palette de calques, vous
remarquez que des pixels noirs ont été posés dans
le MASQUE DE FUSION : ils font en sorte que la PARTIE
sélection.
IMAGE DU CALQUE n’apparaisse plus.
Avec des Pinceaux de différentes tailles, dans
Maintenant si on dessine en blanc… on voit réaple MASQUE DE FUSION, dessinez en noir sur l’EXTÉRIEUR
paraître les pixels qui n’étaient plus visibles… On
de le silhouette du chien afin de faire disparaître
a amené du blanc dans le MASQUE DE FUSION…
le décor original de l’image du chien.
Le blanc dans un MASQUE DE FUSION fait apparaître
les pixels de la PARTIE IMAGE DU CALQUE.
5. Les calques
Version 12/01.
1 2 7
Pendant que vous dessinez la sélection il est utile d’utiliser le raccourci-clavier qui permet d’INTERVERTIR
les couleurs de premier-plan et d’arrière-plan
dans la palette de outils… C’est la touche X sur
le clavier.
N’hésitez pas aussi à zoomer pour être plus précis.
Une fois que vous êtes passés sur tout le contour
extérieur du chien avec des Pinceaux de différentes
tailles, utilisez un plus gros Pinceau pour passer sur
tout le reste du décor.
Une fois que vous avez
fait disparaître tout le décor
du chien, ce serait
utile d’afficher le Masque
de fusion en grand dans
le document de travail pour
vérifier que vous êtes bien
passé avec le Pinceau
partout où il fallait passer
Pour faire cela, il faut enfoncer la touche ALT au
clavier, la garder enfoncée et cliquer sur le MASQUE
DE FUSION dans le vignette du calque. À ce moment
le MASQUE DE FUSION devrait d’afficher en grand
dans le document de travail.
dans le menu SÉLECTION, pour faire partir cette
sélection.
Pour retourner au mode de travail normal une fois que
le MASQUE DE FUSION est correct, il suffit de réenfoncer
la touche ALT sur le clavier et de cliquer sur le MASQUE
DE FUSION dans la vignette du calque.
Une autre manière
de vérifier que tout ce
qui devait être masqué a
bien été masqué consiste
à enlever l’oeil en face
du ou des calque(s) qui
se trouvent en-dessous
du calque sur lequel on
travaille…
À ce moment on voit le chien sans son décor, et il est
entouré d’un damier blanc et gris qui symbolise
la transparence dans Photoshop®.
Sur la vignette du calque,
il y a une petite Chaîne
entre le Masque de fusion
et la Partie image du calque
Cette CHAÎNE indique que si on effectue une opération
de TRANSFORMATION MANUELLE ou qu’on utilise
l’OUTIL DE DÉPLACEMENT sur ce calque, ce sont à la fois
la PARTIE IMAGE DU CALQUE et la PARTIE MASQUE
DE FUSION qui vont subir les modifications.
Il est possible d’enlever cette CHAÎNE, on verra plus
tard avec quelques exercices à quoi ça peut servir
d’avoir un MASQUE DE FUSION NON CHAÎNÉ À
LA PARTIE IMAGE du calque.
On peut continuer à retoucher le MASQUE DE FUSION
avec le Pinceau et de la couleur noire ou blanche.
5. Les calques
Version 12/01.
1 2 8
Pour enlever la CHAÎNE, il suffit de cliquer sur cette
CHAÎNE entre le MASQUE DE FUSION et la PARTIE
IMAGE DU CALQUE du calque. Pour la remettre,
il suffit de cliquer au même endroit. Ici on va cliquer
sur la CHAÎNE pour faire en sorte qu’elle ne soit plus
entre le MASQUE DE FUSION et la PARTIE IMAGE
DU CALQUE, juste pour voir ce qui se passe si on utilise
l’OUTIL DE DÉPLACEMENT DE PIXELS.
La CHAÎNE est enlevée entre le MASQUE DE FUSION
et la PARTIE IMAGE DU CALQUE… Activez l’OUTIL
DE DÉPLACEMENT DE PIXELS qui se trouve en haut
à droite dans la palette des outils… Utilisez-le dans
le document de travail : vous remarquez que c’est
seulement la partie du calque sur laquelle vous
travaillez actuellement qui bouge… C’est soit
uniquement l’image qui bouge, soit uniquement
le masque.
Annulez l’opération de DÉPLACEMENT, soit en
allant dans le menu EDITION et en activant la ligne
ANNULER DÉPLACEMENT, soit en utilisant la palette
HISTORIQUE et en revenant en arrière.
Activez l’autre partie du calque, qui n’était pas encore
activée, et déplacez-la… Encore une fois l’autre partie
ne bouge pas, elle reste en place.
À nouveau, annulez l’opération de DÉPLACEMENT, soit
en allant dans le menu EDITION et en activant la ligne
ANNULER DÉPLACEMENT, soit en utilisant la palette
HISTORIQUE et en revenant en arrière.
Maintenant réessayez la même opération, mais en
ayant cette fois remis la CHAÎNE entre le MASQUE
DE FUSION et la PARTIE IMAGE DU CALQUE… Vous
remarquez que la PARTIE IMAGE DU CALQUE et
la PARTIE MASQUE DE FUSION bougent ensemble…
On le voit dans le document et on le voit aussi sur
la vignette du calque dans la palette des Calques. Ce
sont les deux parties du calque qui bougent, quelle que
soit la partie sur laquelle vous travaillez.
Essayez aussi d’appliquer une TRANSFORMATION
MANUELLE sur le calque… Vous constatez que
ce sont également les deux parties du calque qui
subissent la TRANSFORMATION MANUELLE, parce que
la petite CHAÎNE est là entre le MASQUE DE FUSION
et la PARTIE IMAGE DU CALQUE.
En général quand on
travaille sur un calque il ne
faut pas de sélection active
Attention la TRANSFORMATION MANUELLE ainsi
que le DÉPLACEMENT ne fonctionneront pas bien
si une sélection est active, parce qu’à ce moment ce
sont seulement les pixels qui sont contenus dans
la sélection qui vont subir la TRANSFORMATION,
ou le DÉPLACEMENT.
En général quand on travaille sur un calque il ne faut
pas de sélection active, sauf exception.
5. Les calques
Version 12/01.
1 2 9
La Chaîne concerne
uniquement le Déplacement
et la Transformation
Si on veut modifier uniquement les pixels du MASQUE
DE FUSION, il faut toujours bien faire en sorte que
ce soit la PARTIE MASQUE DE FUSION du calque
qui soit activée.
Si on veut modifier uniquement les pixels de la PARTIE
IMAGE DU CALQUE il faut que cette partie-là du calque
soit activée.
Il est possible de faire
en sorte que le Masque
de fusion n’agisse plus
temporairement
Pour cela, il suffit d’enfoncer la touche MAJUSCULE sur
le clavier et de cliquer sur le MASQUE DE FUSION
dans la palette des Calques… À ce moment une croix
rouge se met sur la vignette du MASQUE DE FUSION
dans la palette des Calques… Et on voit réapparaître
le décor qu’on avait masqué.
sélection.
Pour réactiver le MASQUE DE FUSION, il suffit
de réenfoncer la touche MAJUSCULE et de cliquer
à nouveau sur sa vignette dans la PALETTE
DES CALQUES.
Désactiver un MASQUE DE FUSION, ça peut être
utile pour plusieurs raisons, notamment pour savoir
à quoi ressemblent les pixels qui sont masqués,
si on l’a oublié.
Il est possible de supprimer
un Masque de fusion sans
pour autant supprimer
la Partie image du calque
On peut vouloir supprimer un MASQUE DE FUSION
parce qu’on veut envoyer une image avec ses calques
vers un autre logiciel qui est capable de comprendre
les calques de Photoshop®, mais pas ce qu’on ajoute
aux calques dans Photoshop®.
Ces «ajouts», ce sont notamment les MASQUES
DE FUSION, les STYLES DE CALQUES et les CALQUES
ASSOCIÉS, et bien d’autres choses encore dont on
aura l’occasion de parler plus tard.
On va voir comment il faut faire pour supprimer
un MASQUE DE FUSION, tout en faisant en sorte que
ses effets soient toujours visibles dans l’image, bien
entendu. D’abord faisons quelques expériences, pour
comprendre comment tout cela fonctionne…
On positionne le pointeur sur la PARTIE
IMAGE DU CALQUE.
On enfonce le bouton de la souris et on
le garde enfoncé… On bouge un peu la souris…
On voit une main qui «POIGNE» dans la vignette.
Tout en gardant la bouton de la souris enfoncé,
on emmène cette main qui «POIGNE» sur la petite
corbeille qui se trouve dans le bas de la palette
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 0
des Calques. À ce moment on remarque que tout
le calque a disparu… C’est comme ça qu’on fait pour
supprimer tout un calque qui contient un MASQUE
DE FUSION : il faut le prendre par sa PARTIE
IMAGE.
On annule la suppression… Pour cela on utilise
le menu EDITION dans le haut de l’écran, ou on utilise
la palette HISTORIQUE.
Maintenant on positionne le pointeur sur le MASQUE
DE FUSION dans la PALETTE DE CALQUES, on enfonce
le bouton de la souris et on emmène le pointeur
sur la petite corbeille… C’est comme ça qu’il faut
procéder si on ne veut supprimer que le PARTIE
MASQUE DE FUSION d’un calque…
À ce moment Photoshop® affiche un message,
parce qu’il ne sait pas encore exactement ce que
vous voulez faire.
Il y a trois options…
L’option du milieu, ANNULER, sert à annuler
la demande de suppression du MASQUE DE FUSION.
L’option de gauche, SUPPRIMER, sert à supprimer
le MASQUE DE FUSION et faire en sorte que les pixels
qui étaient masqués réapparaissent comme si
le MASQUE DE FUSION n’avait jamais existé.
L’option de droite, APPLIQUER, va supprimer
le MASQUE DE FUSION mais va également faire
en sorte que les pixels qui étaient masqués soient
effacés… C’est cette option qu’il faut choisir si on
enlève le MASQUE DE FUSION pour pouvoir transférer
l’image vers un autre logiciel qui ne comprend pas
les Masques de fusion.
Il est tout de même prudent de garder sur le disque
dur une version de l’image avec son MASQUE
DE FUSION, parce que ce sera plus facile de modifier
l’image dans Photoshop® avec cette version là si on
était amené à le faire.
Supprimez le MASQUE DE FUSION en cliquant sur
l’option APPLIQUER, pour voir ce qui arrive.
Ensuite annulez la suppression du MASQUE DE FUSION
puis supprimez le encore mais cette-fois sans
l’appliquer, c’est-à-dire en choisissant l’option
SUPPRIMER dans la boite de dialogue qui apparaît
quand on emmène la vignette du MASQUE DU FUSION
sur la petite corbeille dans le bas de la palette
des Calques… Vous devriez voir réapparaître l’image
du chien en entier sur son calque.
Il est à noter que depuis sa version 6, le logiciel PAINTER®
comprend les MASQUES DE FUSION de Photoshop®,
mais pas encore les STYLES DE CALQUES ou
les CALQUES ASSOCIÉS, comme on aura l’occasion
de l’expérimenter plus loin.
Maintenant on va créer
un véritable Masque
de fusion, un masque qui
«fusionne» deux images
On sait déjà que quand c’est noir dans un MASQUE
DE FUSION ça masque la partie correspondante
dans la PARTIE IMAGE DU CALQUE, et quand c’est
blanc ça fait apparaître la partie correspondante
de la PARTIE IMAGE DU CALQUE, mais il faut savoir
qu’un MASQUE DE FUSION peut également contenir
des gris de différentes intensités lumineuses… Là où
ce sera gris clair dans un MASQUE DE FUSION ça fera
apparaître presque à 100% la partie correspondante
de la PARTIE IMAGE DU CALQUE. Là où ce sera gris
foncé dans le MASQUE DE FUSION, ça fera apparaître
à peine la partie correspondante de la PARTIE
IMAGE DU CALQUE. Un gris moyen fera apparaître à
moitié la partie correspondante de la PARTIE IMAGE
DU CALQUE. Ce qu’on va faire ici c’est créer dans
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 1
le MASQUE DE FUSION un DÉGRADÉ qui va du noir
au blanc, ainsi on va réussir à créer une transition
progressive entre l’image qui est sur le calque et
l’image qui se trouve en-dessous sur le calque
de FOND.
Avec l’OUTIL DE DÉPLACEMENT DE PIXELS,
positionnez l ‘image du chien en bas à gauche
dans le document de travail. Ensuite appliquez
une TRANSFORMATION MANUELLE sur ce calque afin
que l’image du chien aie à peu près la même taille que
l’image qui se trouve sur le calque de FOND.
Pour pouvoir continuer à travailler, n’oubliez pas
de valider la TRANSFORMATION MANUELLE en
enfonçant la touche Entrée sur le clavier de l’ordinateur.
Ensuite ajoutez un MASQUE DE FUSION au calque
du chien … Pour ce qu’on va faire ici ça n’a pas
vraiment d’importance que le MASQUE DE FUSION
soit rempli initialement de blanc ou de noir, donc
on peut choisir de créer un MASQUE DE FUSION
qui MASQUE TOUT ou un MASQUE DE FUSION
qui FAIT TOUT APPARAÎTRE. En effet, on va mettre
un DÉGRADÉ dans le MASQUE DE FUSION du calque,
et le DÉGRADÉ va recouvrir tous les pixels du MASQUE
DE FUSION, qu’ils soient noirs ou blancs.
On va créer dans le MASQUE DE FUSION un DÉGRADÉ
qui va du noir au blanc… À une extrémité du DÉGRADÉ
ce sera du noir, à l’autre extrémité du DÉGRADÉ ce
sera du blanc, et entre les deux extrémités il y aura
des gris d’intensités lumineuses différentes.
Activez l’outil DÉGRADÉ. Dans la palette des outils,
l’outil de DÉGRADÉ peut parfois se cacher derrière
le POT DE PEINTURE.
On va vérifier que l’outil DÉGRADÉ est réglé correctement… Quand l’outil DÉGRADÉ est activé dans
la palette des outils on voit ses options en haut
de l’écran : il y a 5 icones qui permettent de décider
quel type de DÉGRADÉ on veut appliquer : LINÉAIRE,
RADIAL, etc. Pour ce qu’on veut faire ici, il faut choisir
de créer un DÉGRADÉ de type LINÉAIRE… C’est
l’icone de gauche, parmi le groupe de 5 icones, qui
doit être activée.
On vérifie que le mode d’application du DÉGRADÉ
est bien NORMAL et aussi que l’OPACITÉ est réglée
à 100%. Ainsi le DÉGRADÉ qu’on va créer sera
complètement recouvrant.
On parlera plus tard des autres options qui apparaissent
en haut de l’écran, quand on verra comment créer
un DÉGRADÉ personnalisé, ce qui n’est pas utile pour
l’instant.
On va choisir de travailler avec un DÉGRADÉ qui va
du noir au blanc… Il y en a un qui existe déjà, on va
le choisir dans la palette des DÉGRADÉS…
La palette des DÉGRADÉS se gère de la même
manière que la PALETTE DES FORMES…
Il faut cliquer sur la petite flèche qui pointe
vers le bas pour faire apparaître la palette.
Si vous cliquez par erreur sur le DÉGRADÉ, et
non pas sur petite flèche qui se trouve à droite
du DÉGRADÉ, alors vous appelez sur l’écran l’ÉDITEUR
DE DÉGRADÉS, qui sert à créer des DÉGRADÉS.
On le fera plus tard. Si vous avez appelé sur l’écran
l’ÉDITEUR DE DÉGRADÉS, enlevez-le en cliquant sur
le cartouche qui s’appelle ANNULER.
Dans la palette des DÉGRADÉS, cliquez sur le DÉGRADÉ
qui va du noir au blanc. Attention ne le confondez
pas avec le DÉGRADÉ qui va du noir à la transparence
(qui est symbolisée dans Photoshop® par un damier
blanc et gris).
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 2
Vous devriez être en train de travailler sur le MASQUE
DE FUSION, vérifiez dans la palette des Calques
que c’est bien le cas. Ensuite emmenez le pointeur
sur l’image, enfoncez le bouton de la souris,
gardez-le enfoncé et bougez la souris… Une ligne
se trace, c’est la zone de transition entre le début
du DÉGRADÉ et la fin du DÉGRADÉ. Quand vous
relâchez le bouton de la souris le DÉGRADÉ arrive
dans le MASQUE DE FUSION et remplace les pixels
qui s’y trouvaient… C’est parce qu’on applique
le DÉGRADÉ en mode NORMAL, qui fait en sorte
que les pixels qu’on amène dans l’image recouvrent
les pixels qui s’y trouvent déjà.
Vous devriez remarquer que le DÉGRADÉ crée une transition entre les deux images, une «fusion».
Réessayez plusieurs fois. Il ne faut pas nécessairement
annuler l’application du DÉGRADÉ qu’on vient de faire
pour pouvoir remettre un autre DÉGRADÉ dans
le MASQUE DE FUSION… Puisque les DÉGRADÉS
arrivent «recouvrants» (ils sont en mode NORMAL),
le fait de refaire un DÉGRADÉ dans le MASQUE
DE FUSION permet de se débarrasser du DÉGRADÉ
qui a été fait précédemment.
Si vous voulez faire un DÉGRADÉ qui soit parfaitement
horizontal ou parfaitement vertical, il faut enfoncer
la touche MAJUSCULE pendant que vous appliquez
le DÉGRADÉ… à ce moment la ligne qui symbolise
la transition entre le début et la fin du DÉGRADÉ
est contrainte sur les axes : c’est soit horizontal, soit
vertical, soit à 45 degrés d’inclinaison : cela dépend
comment on positionne la souris pendant qu’on
appuie sur la touche MAJUSCULE et qu’on applique
le DÉGRADÉ.
Souvent les étudiants demandent comment
il est possible de faire en sorte de mettre
un second DÉGRADÉ sans que ça enlève le premier
DÉGRADÉ. Bien que je trouve pas cela extrêmement intéressant, je vous donne ici la solution…
Le second DÉGRADÉ qu’on amène dans le MASQUE
DE FUSION, il faut l’appliquer en mode OBSCURCIR.
Ainsi, les pixels que le second DÉGRADÉ apporte
dans le MASQUE DE FUSION ne se déposent dans
le MASQUE DE FUSION qu’à la condition qu’ils
réussissent à OBSCURCIR les pixels qui se trouvent
déjà dans le MASQUE DE FUSION… Les pixels noirs
qui arrivent avec le second DÉGRADÉ se mettent
sur les parties blanches du MASQUE DE FUSION,
mais les pixels blancs qui arrivent avec le second
DÉGRADÉ ne se mettent pas sur les parties noires
du MASQUE DE FUSION.
Vous pouvez aussi essayer avec le MODE D’APPLICATION
qui s’appelle ÉCLAIRCIR, et qui va faire en sorte que
les pixels ne se déposent dans le MASQUE DE FUSION
qu’à condition qu’ils arrivent à ÉCLAIRCIR les pixels
qui s’y trouvent déjà.
Il est aussi toujours possible de dessiner avec un outil
de dessin dans le MASQUE DE FUSION, pour modifier
le dégradé qui s’y trouve.
Une fois que vous avez vu que cela fonctionne,
remettez le DÉGRADÉ en mode d’application
NORMAL, sinon la prochaine fois que vous voudrez
l’utiliser vous risquez de ne pas comprendre pourquoi
les DÉGRADÉS ne s’appliquent pas comme ils
devraient. C’est après avoir travaillé assez longtemps
dans Photoshop® qu’on est capable de repérer
immédiatement la cause du mauvais fonctionnement
d’un outil… Il y a beaucoup de chance que vous
n’en soyez pas encore là.
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 3
Remarquez que si vous amenez un DÉGRADÉ en
couleur dans un MASQUE DE FUSION, le DÉGRADÉ
est automatiquement transformé en NIVEAUX
DE GRIS… c’est normal : un MASQUE DE FUSION
est une couche en 8-bit qui ne peut contenir
qu’un maximum de 256 NIVEAUX DE GRIS différents.
Ça n’a donc pas d’intérêt d’amener un DÉGRADÉ en
couleur dans un MASQUE DE FUSION.
Si on choisi d’appliquer le DÉGRADÉ qui va du noir
au blanc avec l’icone de DÉGRADÉ RÉFLÉCHI
cochée dans le haut de l’écran, à la place de l’icone
de DÉGRADÉ LINÉAIRE, alors ça peut donner
un effet de fondu intéressant, surtout quand on
enfonce la touche MAJUSCULE pendant qu’on crée
le DÉGRADÉ pour le contraindre sur les axes. Pour
obtenir un effet intéressant, peut-être devrez vous
cocher ou décocher dans le haut de l’écran l’option
INVERSER, et vous limiter à créer un DÉGRADÉ
qui s’étale sur une petite distance. Ça devrait
donner un effet «affiche de cinéma». C’est toujours
agréable quand on arrive à obtenir un effet
accrocheur sans trop se fouler. D’ailleurs c’est
pour ça que vous avez choisi d’étudier l’infographie je suppose, non? Est-ce que ce n’est pas ce
que vos amis vous disent : «il suffit d’appuyer
sur un bouton et l’ordinateur fait tout!».
Si ça pouvait être vrai, ce serait bien. Maintenant
il ne faut pas non plus tomber dans l’effet inverse et
penser que seuls les travaux qui ont été difficiles à
réaliser sont valables… en fait c’est assez rarement
le cas.
Vous pouvez aussi essayer le DÉGRADÉ de type
RADIAL. Peut-être devrez vous aussi cocher ou
décocher l’option INVERSER, pour choisir si vous
voulez un DÉGRADÉ RADIAL avec du noir au centre,
ou avec du blanc.
On va maintenant voir
qu’il est
possible de travailler sur
un Masque de fusion tout
en l’affichant en
Semi-transparence
Ce sera donc un peu comme quand on modifiait
la COUCHE ALPHA en SEMI-TRANSPARENCE, lorsqu’on
a étudié la technique de création de sélections en
SEMI-TRANSPARENCE.
On travaille sur le MASQUE DE FUSION du calque
du chien… L’icone du MASQUE DE FUSION est
donc entouré d’un cadre sur la vignette du calque
du chien dans la palette des Calques.
On va le remplir de noir. Pour cela, on vérifie d’abord
qu’il n’y a aucune sélection active sur l’image
actuellement… On va dans le menu SÉLECTION en
haut de l’écran… La deuxième ligne du menu, qui
s’appelle DÉSÉLECTIONNER devrait être inaccessible,
elle est grisée. On va ensuite dans le menu EDITION
en haut de l’écran, et on descend jusqu’à la ligne qui
s’appelle REMPLIR. Dans la boite de dialogue qui
s’ouvre, on choisit de remplir avec… Du NOIR, en
mode NORMAL et à 100% d’OPACITÉ. Le MASQUE
DE FUSION se rempli de noir. C’est comme si on venait
d’ajouter un MASQUE DE FUSION en choisissant
l’option TOUT MASQUER… L’image du chien est
donc totalement invisible.
Quand un calque qui contient un MASQUE DE FUSION
est activé dans la palette des Calques, il y a une vignette
qui apparaît dans la PALETTE DES COUCHES… En
face de la cette vignette, qui correspond au MASQUE
DE FUSION, il y a une case vide… Cliquez dessus pour
y jeter un oeil… A ce moment le masque apparaît
en SEMI-TRANSPARENCE.
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 4
Le masque apparaît en SEMI-TRANSPARENCE,
MAIS L’image du chien n’est pas visible… Il ne suffit
donc pas d’avoir les yeux en face des trous… On va
devoir DÉSACTIVER LE MASQUE DE FUSION pour
qu’il laisse apparaître l’image du chien. Pour cela,
on va dans la palette des Calques et on clique sur
l’icone du MASQUE DE FUSION en ayant la touche
MAJUSCULE enfoncée au clavier. Résultat : une croix
rouge arrive sur l’icone du MASQUE DE FUSION
et on voit réapparaître l’image du chien derrière
la SEMI-TRANSPARENCE du masque.
Exemples de masques non
liés obtenus par Coller
dedans
Détail
Silo + montage taille magazine + annuler par
POMME/Maj/Point
Maquillage et motifs + remplacer rapidement
une texture par une autre).
Il suffit maintenant de dessiner la silhouette du chien
avec le Pinceau normal (pas avec la FORME D’HISTORIQUE) en utilisant de la couleur blanche et
de la couleur noire.
Cette fois-ci c’est l’intérieur du chien qu’il faut
dessiner, et non plus l’extérieur comme la première
fois qu’on avait créé un MASQUE DE FUSION sur
le calque du chien.
Une fois que la silhouette du chien a été dessinée, on
enlève l’oeil en face de la vignette qui correspond au
MASQUE DE FUSION dans la PALETTE DES COUCHES
et on réactive le MASQUE DE FUSION en cliquant
sur son icone dans la palette des Calques en ayant
la touche MAJUSCULE enfoncée au clavier.
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 5
5. Les calques :
5. 2.
La création de Dégradés
en couleur
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Création de Dégradés en
couleur
Détail
Gestion des palettes
de Dégradés
Détail
Ici, 12
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 6
5. Les calques :
5. 3.
Les Calques associés
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Créer sur un calque
vide un genre de logo avec
une forme calligraphique,
ça pourrait être aussi
une image entourée
de transparence sur
un calque
Détail
Déplacer et redimensionner
la texture ainsi que le logo
puis Chaîner les deux
Détail
Le Chaînage au calque
de Fond : le calque chaîné
au calque de fond ne
peut plus bouger ou être
transformé parce que
le calque de Fond ne peut
jamais l’être… Il est
verrouillé
Détail
Voir qu’on peut mettre
un deuxième Calque
associé, et faire apparaître
en partie le Calque associé
du dessous en ajoutant
un Masque de fusion sur
le Calque associé
du dessus
Détail
Le placer en-dessous
du calque qui contient
la texture, associer
le calque de la texture au
calque précédent
Détail
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 7
5. Les calques :
5. 4.
Les Styles de calque
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Mettre
des Styles de Calques
Ombre portée et Biseautage
sur le calque du logo
On peut minimiser les calques de STYLE DE CALQUE en
utilisant leur petit triangle dans la palette des Calques,
pour simplifier la vue d’ensemble qu’on a sur
la palette.
Quand un calque a
un Style de calque, qu’on
lui met un Masque
de fusion qui Masque tout
et qu’on dessine en blanc
dans ce Masque de fusion,
alors ça peut donner
l’impression de dessiner
avec de la matière
Détail
Voir que cela fonctionne
aussi avec un texte
dynamique…
Détail
Détail
Attention ne pas mettre de STYLES de type
INCRUSTATION, sinon ça empêche de voir
la texture.
ECLAIRAGE GLOBAL : cette option permet d’avoir
une cohérence dans l’éclairage de l’OMBRE et
de BISEAU. Cette option ne concerne que l’angle d’éclairage… pas la distance de l’ombre par exemple,
car il est fort possible que deux objets soient à
une distance différente du fond de l’image, et à ce
moment leur ombre est différente.
Mettre une texture associée au texte. Attention
il vaut mieux activer le CALQUE DE FOND dans
la palette des Calques, sinon si c’est le calque du logo
qui est activé au moment où on crée le CALQUE
DE TEXTE, alors le CALQUE DE TEXTE va arrive
automatiquement associé au calque du logo, en
sandwich entre le calque du logo et le calque du motif
qui était déjà associé au logo. C’est parce que quand
on crée un calque, il se crée au-dessus du calque qui
est activé dans la palette des Calques. Si le CALQUE
DE TEXTE arrivait associé au calque du logo, le texte
ne serait visible que là où le logo se trouve dans
l’image, et ce uniquement quand on n’afficherait plus
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 8
le calque du motif. Autant dire que c’est une source
de mystère pour les débutants. Si cela devait arriver
il suffirait de prendre la vignette du CALQUE DE TEXTE,
et de l’emmener ailleurs dans la palette des calques…
C’est aussi simple que cela de sortir un calque
d’une ASSOCIATION de calques.
Pour déplacer dans
l’empilement des calques
un calque avec son calque
associé
Déplacer le calque de base de l’ASSOCIATION…
Le calque qui lui est associé suit et reste associé. Si ce
n’était plus le cas suite à une fausse manœuvre, il serait
facile d’ASSOCIER à nouveau ces calques.
Transférer
le Style de calque du calque
du logo au calque du texte
par Copier
le Style de calque puis
Coller le Style de calque (ça
fonctionne aussi
d’une image à une autre)
On peut aussi déplacer chaque effet séparément sur
la vignette d’un calque, et ils se copient.
Détail
Intégrer à la Palette
des Styles les Styles de Calques
qu’on a paramètrés pour
pouvoir les appliquer
rapidement sur n’importe
quel calque sans devoir
aller les chercher sur
des calques créés
précédemment par Copier
le Style de calque
Détail
Si on a du mal à retrouver son STYLE DE CALQUE
en regardant les icones, alors on peut demander
dans le menu de la PALETTE DES STYLES à voir
les STYLES sous forme de liste.
Enregistrer sur le disque
dur la Palette
des Styles qu’on vient
de personnaliser, voir que
c’est utile quand on
réinitialise Photoshop®.
Faire le parallèle avec
les autres palettes qui se
personnalisent… la Palette
des Formes par exemple
Détail
Garder l’extension aux noms des fichiers qui décrivent
les palettes, pour permettre leur exploitation sur
un PC.
5. Les calques
Version 12/01.
1 3 9
Pour récupérer le contenu d’une palette, contenu
qui est sous forme de fichier sur le disque dur,
il faut aller dans le menu de la palette et demander
de REMPLACER. Dans le manu de la palette, on ne
demande de CHARGER que quand on veut garder
les éléments qui se trouvent déjà dans la palette.
On peut faire une variante
d’un Style de Calque au
départ d’un Style existant.
Créer un motif avec
les outils de dessin
de Painter®, et aussi au
départ d’une photographie
avec le filtre Translation et
le Tampon de duplication
de pixels dans Photoshop®
Détail
Détail
Texte transparent qui
apparaît grâce à
un style Biseautage
Détail
Option OPACITÉ DU FOND dans les OPTIONS DE FUSION
dans la boite des STYLES DE CALQUE.
Ça fonctionne aussi avec autre chose que
du texte.
Créer un motif avec
l’extension dynamique
Kaléidoscope de Painter®,
et aussi avec le filtre
Terrazzo® de Xaos Tools®.
Détail
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 0
5. Les calques :
5. 5.
Calques avec masquage par CALQUES ASSOCIÉS
Export d’images avec
Calques avec masquage par MASQUE DE FUSION
(la version 6 de PAINTER® comprend les MASQUES
DE FUSION de Photoshop®)
calques vers
Calques avec masquage par MASQUE VECTORIEL
Corel Painter®
Calques avec STYLES DE CALQUES
CALQUES DE TEXTE ÉDITABLE
cliquez sur OUI.
CALQUES DE REMPLISSAGE
CALQUES DE FORME
et MAJUSCULE.
Pixélliser les calques
de Photoshop® pour
les rendre
compatibles avec Painter®
Détail
Quels sont les ajouts aux
calques de Photoshop® qui
ne seront pas
compréhensibles par
Painter®…
Détail
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 1
Solutions rapides pour
pixélliser tous types
de calques qui ne seront
pas compréhensibles par
Painter®…
Détail
Quand plusieurs calques doivent être fusionnés et
pixéllisés en même temps… Masquer les calques
non concernés, en enlevant les yeux en face
de leurs vignettes. Activer la commande FUSIONNER
LES CALQUES VISIBLES dans le menu de la palette
des Calques. Attention, il faut qu’un des calques
visibles soit activé pour que la commande FUSIONNER
LES CALQUES VISIBLES soit accessible.
Quand on veut pixélliser un calque seul, un CALQUE
DE TEXTE par exemple… alors il faut créer un calque
vide, ne visualiser que le calque seul et le calque
vide et les fusionner ensemble par FUSIONNER
LES CALQUES VISIBLES.
Autres solutions proposées
par Photoshop® pour
pixélliser les calques
spéciaux. Il faut que
les calques en question
soient activés, et pour que
cela fonctionne il ne faut
pas nécessairement
enlever les yeux en face
des vignettes des autres
calques
Détail
Calque avec MASQUE DE FUSION :
on peut le supprimer en choisissant l’option
APPLIQUER. N.B. La version 6 de PAINTER® comprend
les MASQUES DE FUSION de Photoshop®, donc
il n’est plus besoin de les Pixélliser.
Calque avec MASQUE VECTORIEL :
ON LE TRANSFORME EN UN MASQUE DE FUSION par
CALQUE…PIXÉLLISATION…MASQUE DU CALQUE, puis
Dans tous les cas, ne pas oublier de réafficher
les calques avant d’enregistrer l’image au FORMAT
Photoshop®, car les calques qui ne sont pas affichés
dans Photoshop® au moment de l’enregistrement
ne seront pas ouverts par PAINTER®.
on supprime ce MASQUE DE FUSION en choisissant
l’option APPLIQUER.
Calque avec un STYLE DE CALQUE :
on peut pixelliser les STYLES DE CALQUES par
CRÉER DES CALQUES, puis il faut peut-être fusionner
certains des calques ainsi obtenus si certains sont
associés.
CALQUE DE TEXTE ÉDITABLE :
il faut pixelliser le texte. Attention… Ne convient pas
pour les paragraphes longs. On pixéllise le texte par
CALQUE…PIXÉLLISATION…TEXTE.
CALQUE DE REMPLISSAGE :
il faut le pixélliser par CALQUE…PIXÉLLISATION…FOND.
Il faut ensuite supprimer le MASQUE DE FUSION
en l’APPLIQUANT.
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 2
CALQUE DE FORME :
il faut le pixélliser par CALQUE…PIXÉLLISATION…
FORME.
Export d’une image
de Painter® vers
Photoshop®, avec
une ombre portée (calques
de Painter® groupés) ou/et
des Styles de Calques
Détail
Dans PAINTER®, aller chercher une image dans
le PORTFOLIO D’IMAGES, et l’amener dans
l’image… C’est un calque qui se crée. Lui appliquer
une ombré séparée en allant dans le menu
EFFET…OBJETS…OMBRE PORTÉE.
Dans Photoshop®, CHAÎNER le calque avec le calque
de son ombre.
Ici, 14
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 3
5. Les calques :
5. 6.
Les Calques associés :
Premier exercice
d’application
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Exercice avec la texture
appliquée sur le GSM
Lier tous les calques (motifs, GSM et MASQUES
DE FUSION).
Avec le réglage COURBES, modifier le contraste
du GSM pour modifier l’aspect de la texture qui s’y
incruste. Après avoir mis au point le réglage dans
la boite de réglage COURBES, on remarque que ça
modifie aussi le cadran LCD du GSM… A ce moment
on peut enregistrer le réglage sur le disque dur,
et ne pas l’appliquer tout de suite, puis rappeler
une sélection au départ d’un des MASQUE DE FUSION
d’un des calques qui contient un motif… le cadran
est alors protégé, et on peut retourner dans le réglage
des COURBES et charger le réglage qu’on avait
enregistré sur le disque dur. Ensuite ne pas oublier
de DÉSÉLECTIONNER, sinon si on fait un déplacement
ou une TRANSFORMATION MANUELLE sur le calque,
c’est seulement ce qui est dans la sélection qui
va bouger.
Essayer avec d’autres objets qui présentent
un modelé…, éventuellement en les désaturant
s’il ne sont pas dans des tons neutres comme le GSM
qu’on a utilisé ici.
Appliquer une ombre sur le GSM et transformer.
Attention à mettre l’ombre en regardant d’où vient
la lumière sur le GSM.
Détail
Le mode INCRUSTATION est à moitié comme
le mode PRODUIT et à moitié comme
le mode SUPERPOSITION.
MASQUE DE FUSION sur le calque de la texture pour
qu’elle ne s’incruste pas aux endroits inappropriés
sur le GSM.
Dupliquer le calque de la texture pour la rendre
plus présente, éventuellement diminuer l’OPACITÉ
du calque dupliqué.
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 4
5. Les calques :
Export de documents
Ouverture de l’image au format ACROBAT PDF en
codage ZIP dans ACROBAT®, verrouillage de fonctionnalités (impression, copier/coller du texte, etc),
ajout d’un mot de passe OUVERTURE, ajout d’un mot
de passe PROTECTION.
au format Acrobat PDF
Ouverture de cette image protégée DANS ACROBAT
5. 7.
de Adobe Photoshop® 6
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Enregistrement
d’une image au format
Acrobat PDF
READER®.
Ouverture de cette image protégée DANS ACROBAT®,
et enlever le mot de passe OUVERTURE, en servant
du mot de passe PROTECTION, puis enregistrement de l’image non protégée et ouverture dans
Photoshop®. Attention dans Photoshop® le document
PDF veut s’ouvrir en tant que PDF GÉNÉRIQUE, il faut
le forcer à s’ouvrir en tant que Photoshop® PDF afin
de retrouver tous les calques du document.
Export d’image avec
du texte, cas #1 :
Titre pixellisé pendant
l’enregistrement en TIFF,
comme avant
Photoshop® 6
Détail
Détail
Essai d’enregistrement d’une image au format
ACROBAT PDF en codage ZIP, puis en codage JPEG
QUALITÉ MAXIMALE, PUIS EN codage JPEG QUALITÉ
MINIMALE.
Ouverture des images dans ACROBAT READER®.
du texte, cas #2 :
Titre pixellisé pendant
l’enregistrement en PDF,
comme avant
Photoshop® 6
Détail
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 5
L’option DONNÉES VECTORIELLES est décochée
dans la boite des options du format PDF.
du texte, cas #3 :
Titre non pixellisé à
l’enregistrement en PDF
Une fois que la police est vectorisée dans Photoshop®,
par CALQUE…TEXTE…CONVERTIR EN FORME,
alors on peut l’enregistrer dans le document PDF, en
cochant l’option DONNÉES VECTORIELLE.
N.B. Pour pouvoir déformer une police il faut qu’elle soit
de TYPE 1 (POSTSCRIPT® = police vectorielle). On peut
convertir une police TRUETYPE en POLICE DE TYPE 1
en utilisant l’utilitaire TTCONVERTER®.
Détail
L’option DONNÉES VECTORIELLES doit être cochée,
et soit l’option INCORPORER LES POLICES cochée,
soit l’option VECTORISATION DU TEXTE cochée.
Quand on a incorporé les polices, on peut faire
la sélection du texte dans ACROBAT®.
Quand on a vectorisé les polices, on ne peut pas faire
la sélection du texte dans Acrobat®, mais on s’assure
que il n’y aura aucun problème liés aux polices. Quand
on ouvre à nouveau le document dans Photoshop®,
il est remarquable de constater que le texte n’est pas
vectorisé… il est toujours éditable.
du texte, cas #4 :
Titre vectorisé avant
l’enregistrement en PDF
Détail
Quand on a déformé du texte par enveloppe, il faut
le vectoriser avant l’enregistrement… Car le format
PDF ne permet pas l’incorporation de la police
utilisée dans du texte déformé.
du texte, cas #5 :
Paragraphes non pixéllisés
à l’enregistrement en PDF
Détail
Créer un bloc de paragraphe dans Photoshop®, y
coller du texte qui vient d’un logiciel de mise en
page ou de traitement de texte, comme INDESIGN®,
Word®, Xpress®, etc. Attention… du texte qui vient
de Acrobat® ne va pas se dérouler correctement,
cela demande un peu de travail dans Photoshop®
pour supprimer les SAUTS DE LIGNE FORCÉS.
Pour un paragraphe, toujours utiliser l’option
INCORPORER LES POLICES, jamais l’option
VECTORISATION DU TEXTE… Ce serait trop lourd
pour le matériel d’impression.
Pour rendre le texte du paragraphe plus lisible, affadir
ce qui est derrière le texte en créant juste en-dessous
du texte un CALQUE DE FORME avec une forme
géométrique ovale blanche et transparente, sans
STYLE DE CALQUE.
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 6
Dans Acrobat, version
complète, réalisation
d’un document PDF
multipage avec plusieurs
images qui viennent
de Photoshop®
Détail
Avec l’outil de recadrage de Photoshop®, et l’option
IMAGE DE PREMIER PLAN, recadrer trois autres
images et les enregistrer en PDF. En faire un document
PDF multipage. Dans ACROBAT®, insérer les pages
une à une, et aussi insérer un document qui est
lui-même multipage.
On pourrait aussi utiliser des pages qui viennent
de INDESIGN®, ILLUSTRATOR®, WORD® ou n’importe
quel autre logiciel.
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 7
5. Les calques :
5. 8.
Export de documents
au format Acrobat PDF
de Adobe Illustrator®
et de InDesign®
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Détail
Utilisation de l’EXPORTATION PDF incorporée dans
ces logiciels.
Utilisation de l’imprimante virtuelle ACROBAT
WRITER®.
Conversion d’un fichier POSTSCRIPT® EN PDF.
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 8
5. Les calques :
5. 9.
Les Calques associés :
Deuxième exercice
d’application
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Exercice avec le mannequin
Détail
5. Les calques
Version 12/01.
1 4 9
5. Les calques :
5. 10.
Le Traitement par lots
Détail
Les Scripts
de Photoshop®
cliquez sur OUI.
Créer un Script pour
changer le format
d’une série d’images…
L’option Priorité sur
les instructions Ouvrir et
Enregistrement du Script
Détail
et MAJUSCULE.
Première approche
des Scripts en analysant
les deux Scripts
de l’exercice avec
le mannequin, et en
recréant le premier
des deux Scripts
Détail
Créer un Script pour mettre
du texte sous une image
Détail
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 0
5. Les calques :
5. 11.
Les Groupes de calques
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Pour étudier ce qui va
suivre, ouvrez au fur et
à mesure de l’avancement
dans le texte les images
Elles sont au nombre de 7, et qui se trouvent dans
le dossier «Images_Groupes_de_Calques 2001»
Les Groupes de calques
servent à organiser
les calques dans la palette
des Calques…
Cependant, c’est un peu plus compliqué que
de simplement organiser les calques dans la palette.
En effet, lorsqu’on groupe des calques, il faut décider
de la manière dont les calques du groupe interagissent
(ou non) avec les calques qui sont en dessous-d’eux,
dans le groupe et aussi en dehors du groupe.
Voici quelques cas de figure qui résument comment
ça fonctionne…
Exemple 1
Le groupe :
MODE : NORMAL = les calques du groupe recouvrent
les pixels des calques qui sont en-dessous du groupe,
même si certains calques du groupe sont dans
un autre mode que le mode NORMAL.
Le calque de la tache arc-en-ciel :
MODE : DIFFÉRENCE, MASQUAGE : SANS, L’option
FUSIONNER LES EFFETS INTÉRIEURS EN TANT
QUE GROUPE n’est pas cochée dans les réglages
du calque, L’option FUSIONNER LES CALQUES
ÉCRÊTÉS EN TANT QUE GROUPE n’est pas cochée
dans les réglages du calque … Résultat : il interagit
avec les calques qui sont en-dessous de lui dans
le groupe, mais pas avec ceux en dehors du groupe,
parce que le mode du groupe est NORMAL, et pas
TRANSFERT.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 1
Le calque de la tache grise :
MODE : PRODUIT… Il interagit avec les calques qui
sont en-dessous de lui dans le groupe (il n’y en a pas
actuellement), il n’interagit pas avec les calques qui sont
en dehors du groupe, parce que le mode du groupe
est NORMAL, et pas TRANSFERT.
Exemple 2
Le changement par rapport à l’exemple 1 :
L’option FUSIONNER LES EFFETS INTÉRIEURS EN
TANT QUE GROUPE a été cochée dans les réglages
du calque de la tache arc-en-ciel…
Résultat :
en plus des pixels du calque, les STYLES DE CALQUES
de ce calque interagissent désormais avec les calques
qui sont en-dessous de lui dans le groupe,
mais pas avec ceux en dehors du groupe, parce
que le mode du groupe est NORMAL, et pas
TRANSFERT.
Exemple 4
Le calque de la tache arc-en-ciel est passé en
MASQUAGE : SUPERFICIEL… Résultat : le calque
de l’arc-en-ciel n’interagit plus avec les calques qui
sont en-dessous de lui dans le groupe, mail il interagit
toujours avec tous les calques qui sont en-dessous
du groupe.
Exemple 5
Le calque de la tache arc-en-ciel est passé en
MASQUAGE : PROFOND…
Résultat :
Le calque de l’arc-en-ciel n’interagit plus qu’avec
le calque de fond, plus avec aucun autre calque.
Exemple 6
Exemple 3
Le groupe est passé en MODE : TRANSFERT…
Résultat :
les calques du groupe interagissent toujours entre
eux mais aussi avec les pixels des calques qui
sont en-dessous du groupe, chacun avec leur
mode spécifique (DIFFÉRENCE pour le calque
de l’arc-en-ciel, PRODUIT pour le calque de la tache
grise).
un calque en MODE : NORMAL est associé au calque
de l’arc-en-ciel…
Résultat :
Il recouvre les pixels du calque de l’arc-en-ciel, quels
que soient les réglages du calque de l’arc-en-ciel.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 2
Exemple 7
L’option FUSIONNER LES CALQUES ÉCRÊTÉS EN
TANT QUE GROUPE est cochée dans les réglages
du calque de l’arc-en-ciel…
Résultat :
C’est comme si le CALQUE ASSOCIÉ était fusionné
avec le calque de l’arc-en-ciel, il interagit avec les autres
calques avec les mêmes réglages que le calque avec
lequel il est associé.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 3
5. Les calques :
Sélection hybride : par
Silhouette et par Tracé
vectoriel
5.12.
Les Sélections par
Détail
silhouette
Fillette.
Outils de maquillage.
cliquez sur OUI.
CALQUE…CACHE…SUPPRIMER LE CACHE NOIR
et MAJUSCULE.
Créer une Sélection par
silhouette
Détail
Arbre.
Outils de maquillage.
CURSEURS
D’ÉCRÊTAGE
des STYLES DE CALQUE.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 4
5. Les calques :
5.13.
pour l’examen
les calques
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 5
5. Parmi toutes ces affirmations à propos de l’option
UTILISER TOUS LES CALQUES de Photoshop®,
A. L’option UTILISER TOUS LES CALQUES
est une option qui est spécifique à l’outil
BAGUETTE MAGIQUE.
B. L’option UTILISER TOUS LES CALQUES
est une option qui existe pour tous les outils
de dessin.
C. L’option UTILISER TOUS LES CALQUES
est une option qui permet de dessiner sur
plusieurs calques en même temps.
D. L’option UTILISER TOUS LES CALQUES
est une option qui est disponible pour l’outil
BAGUETTE MAGIQUE, et également pour
l’outil TAMPON et pour l’outil DOIGT.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 6
Quand on enclenche l’option UTILISER TOUS
LES CALQUES de la BAGUETTE MAGIQUE, cela permet
de prendre en compte les pixels de tous les calques
visibles afin de générer une sélection.
Quand on enclenche cette option avec l’outil TAMPON
(= outil de DUPLICATION DE PIXELS), elle permet
de dupliquer des pixels en allant les chercher sur tous
les calques visibles, malgré que dans Photoshop®
on ne travaille que sur un seul calque en même
temps. Même chose avec l’outil DOIGT… Tous
les pixels de tous les calques sont pris en compte
pour créer l’effet.
La réponse A est fausse. L’option UTILISER TOUS
LES CALQUES n’est pas spécifique à la BAGUETTE
MAGIQUE, puisque le TAMPON et le DOIGT ont
également cette option.
La réponse B est fausse. L’option UTILISER TOUS
LES CALQUES n’existe pas pour tous les outils
de dessin.
La réponse C est fausse. Il n’est pas possible dans
Photoshop® de dessiner sur plusieurs calques en
même temps.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 7
3. Quand on amène un élément d’une image
vers une autre image, cet élément est modifié.
Parmi toutes ces affirmations, indiquez quelle est
la seule vraie.
A. Parfois l’élément s’adapte au
mode de création des couleurs de l’image
réceptrice.
B. Parfois des parties de l’élément ne sont
pas transférées parce qu’il est beaucoup plus
grand que l’image réceptrice.
C. Si la RÉSOLUTION des deux images est
différente, l’élément arrivé dans l’image
réceptrice est parfois composé d’un nombre
de pixels différent.
D. Si le facteur de zoom est différent sur
les deux images, l’élément arrivé dans l’image
réceptrice est parfois composé d’un nombre
de pixels différent.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 8
L’élément s’adapte parfois au mode de création
des couleurs de l’image réceptrice : quand dans
l’image qui contient l’élément qu’on veut transférer
les couleurs sont créées de la même manière que
l’image réceptrice, alors il n’y a évidemment pas
d’adaptation de l’élément au mode de création
des couleurs de l’image réceptrice. Mais quand
par exemple l’image réceptrice est en NIVEAUX
DE GRIS et qu’on y amène un élément en COULEURS
RVB, alors l’élément s’adapte au mode de gestion
des couleurs de l’image réceptrice… Dans ce cas
précis il devient en NIVEAUX DE GRIS.
La réponse B est fausse. Même si certaines parties
d’un élément transféré dépassent en dehors des limites
de l’image réceptrice, ces parties existent. Il suffit
de déplacer l’élément, ou de le redimensionner par
TRANSFORMATION MANUELLE, pour voir réapparaître
les parties qui dépassent.
La réponse C est fausse. La RÉSOLUTION, c’est-àdire le nombre de pixels sur une distance donnée,
n’influence pas le transfert d’un élément d’une image
à une autre. L’élément transféré a toujours le même
nombre de pixels qui le composent quand il est
dans son image originale ou quand il est arrivé dans
l’image réceptrice, même si ces deux images n’ont
pas la même RÉSOLUTION.
La réponse D est fausse. Le facteur de zoom n’influence
en rien le transfert d’un élément d’une image à
une autre.
5. Les calques
Version 12/01.
1 5 9
4. Quand on déplace une image dans une autre
image, en utilisant l’OUTIL DE DÉPLACEMENT
DE PIXELS, on peut faire en sorte que l’image
qu’on déplace arrive parfaitement centrée dans
l’image réceptrice. Pour cela, que faut-il faire?
Indiquez la seule bonne réponse parmi ces quatre
propositions.
A. Il faut enfoncer la touche ALT pendant
le déplacement.
B. Il ne faut rien faire, l’image qu’on déplace
est automatiquement centrée dans l’image
réceptrice.
C. Au début de l’opération de déplacement,
il faut que l’OUTIL DE DÉPLACEMENT soit
positionné au centre de l’image qu’on
déplace e, et à la fin du déplacement il faut
que l’OUTIL DE DÉPLACEMENT soit positionné
au centre de l’image réceptrice.
D.
Il
faut
enfoncer
la
touche
MAJUSCULE pendant le déplacement.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 0
est : D.
La réponse B est fausse. Si vous n’enfoncez pas
la touche MAJUSCULE pendant le déplacement,
alors l’image que vous déplacez arrive n’importe
où dans l’autre image.
La réponse C est fausse, même si théoriquement et
avec beaucoup de chance ça fonctionnerait.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 1
2. Un MASQUE DE FUSION, ça porte aussi un autre
nom. Parmi ces quatre propositions, indiquez
laquelle est la seule vraie.
A. Un MASQUE DE FUSION, ça s’appelle aussi
un MASQUE D’ÉCRÊTAGE.
B. Un MASQUE DE FUSION, ça s’appelle aussi
un MASQUE VECTORIEL.
C. Un MASQUE DE FUSION, ça s’appelle aussi
un MASQUE ASSOCIÉ.
D. Un MASQUE DE FUSION, ça s’appelle aussi
un MASQUE DE VISIBILITÉ.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 2
Un MASQUE DE FUSION, ça s’appelle aussi un MASQUE
DE VISIBILITÉ.
La réponse A est fausse. Les MASQUES D’ÉCRÊTAGE,
ça n’existe pas dans Photoshop®. Par contre ça existe
dans ILLUSTRATOR®, mais à mon avis ce terme
est mal choisi dans ILLUSTRATOR® car on ne peut
pas vraiment considérer que masquer une partie
d’un objet c’est masquer ses «crêtes». Les «crêtes»,
dans Photoshop®, ce sont les parties les plus claires
et les parties les plus foncées d’une image. Dans
Photoshop® on peut masquer une partie d’un objet en
écrêtant, ça se fait avec les CURSEURS D’ÉCRÊTAGE,
dans la boîte STYLE DES CALQUE. Il est probable
que MASQUES D’ÉCRÊTAGE soit une mauvaise
traduction de CLIPPING PATH, qui veut plutôt dire
en français TRACÉ DE DÉTOURAGE.
La réponse B est fausse. Un MASQUE DE FUSION
contient des pixels. Un MASQUE VECTORIEL,
bien que ressemblant assez bien à un MASQUE
DE FUSION dans le principe, contient quant à lui
des vecteurs. Les vecteurs, c’est une toute autre
approche de l’infographie que les pixels.
La réponse C est fausse. Un MASQUE ASSOCIÉ,
ça n’existe pas. Ce qui existe par contre ce sont
les CALQUES ASSOCIÉS. La fonction ASSOCIER
LES CALQUES permet de faire en sorte que les pixels
d’un calque ne soient visibles qu’aux endroits où il y
a des pixels au même endroit dans le calque qui se
trouve en dessous. Ca a donc un peu le même effet
qu’un masque, mais ça n’en est pas un.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 3
3. Il est possible de CHAÎNER un MASQUE DE FUSION
avec la PARTIE IMAGE d’un calque. Parmi ces quatre
explications sur l’intérêt de cette technique,
A. CHAÎNER un MASQUE DE FUSION avec
la PARTIE IMAGE d’un calque, cela permet
de supprimer le MASQUE DE FUSION automatiquement quand on supprime le calque.
B. CHAÎNER un MASQUE DE FUSION avec
de déplacer et TRANSFORMER en même
temps le MASQUE DE FUSION et la PARTIE
IMAGE du calque.
C. CHAÎNER un MASQUE DE FUSION avec
la PARTIE IMAGE d’un calque, cela empêche
l’effacement par erreur du MASQUE
DE FUSION.
D. CHAÎNER un MASQUE DE FUSION avec
d’ajouter un MASQUE VECTORIEL au calque
qui possède déjà un MASQUE DE FUSION.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 4
CHAÎNER un MASQUE DE FUSION avec la PARTIE
IMAGE d’un calque, cela permet de DÉPLACER
et TRANSFORMER en même temps le MASQUE
DE FUSION et la PARTIE IMAGE du calque.
La réponse A est fausse. Un masque de fusion se
supprime automatiquement quand on supprime
le calque sur lequel il se trouve.
La réponse D est fausse. Indépendamment du fait
qu’un MASQUE DE FUSION soit CHAÎNÉ avec
la PARTIE IMAGE d’un calque, on peut ajouter à ce
calque un MASQUE VECTORIEL en plus du MASQUE
DE FUSION qu’il possède déjà.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 5
2. Parmi toutes ces explications sur ce que sont
les CALQUES ASSOCIÉS, indiquez laquelle est
la seule valable.
A. Les CALQUES ASSOCIÉS, c’est une technique qui permet de pouvoir bouger et
transformer plusieurs calques en même
temps.
B. Les CALQUES ASSOCIÉS, c’est une technique
qui permet de faire en sorte que les pixels
d’un calque ne soient visibles qu’à condition
qu’il y ait des pixels au même endroit dans
le calque du dessous.
C. Les CALQUES ASSOCIÉS, c’est une technique qui permet d’appliquer des opérations
mathématiques entre les pixels d’un calque
et les pixels du calque d’en-dessous.
D. Les CALQUES ASSOCIÉS, c’est une technique qui permet de déplacer plusieurs
calques en même temps vers une autre
image en utilisant la fonctionnalité COLLER
SELON LES CALQUES.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 6
Pour faire en sorte que les pixels d’un calque ne
soient visibles qu’à condition qu’il y ait des pixels au
même endroit dans le calque du dessous, il faut que
le contenu de deux calques soient au même endroit
dans le document, puis il faut enfoncer la touche
ALT sur le clavier, la garder enfoncée et positionner
le pointeur entre les deux vignettes de ces deux
calques dans la palette des calques jusqu’à ce qu’on
voit apparaître le signe d’ASSOCIATION de calques,
et à ce moment il faut cliquer pour ASSOCIER ces
deux calques.
La réponse A est fausse. Pour pouvoir DÉPLACER
et TRANSFORMER plusieurs calques en même
temps, c’est le CHAÎNAGE DE CALQUE qu’il faut
utiliser.
La réponse C est fausse. Pour appliquer des opérations
mathématiques entre les pixels d’un calque et
les pixels du calque d’en-dessous, il faut utiliser
les MODES DE FUSION.
La réponse D est fausse. DÉPLACER plusieurs calques
en même temps vers une autre image en utilisant
la fonctionnalité COLLER SELON LES CALQUES,
c’est une technique qui est utilisée dans le logiciel
ILLUSTRATOR®, pas dans le logiciel Photoshop®. C’est
parce que dans ILLUSTRATOR® il est possible de sélectionner plusieurs objets qui sont sur des calques
différents. Par contre pour déplacer plusieurs
calques en même temps dans Photoshop® 6 il est
possible de les réunir en un GROUPE DE CALQUES
dans la palette des Calques, et de déplacer ce GROUPE
DE CALQUES d’une image à une autre.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 7
5. Pour qu’un CALQUE DE RÉGLAGE n’agisse
que sur les pixels du calque qui est en-dessous
de lui, et non pas sur tous les pixels de tous
les calques qui se trouvent en-dessous de lui, que
faut-il faire? Indiquez quelle est la seule bonne
réponse.
A. Il faut lui ajouter un MASQUE DE FUSION
et dessiner en noir dans ce MASQUE
DE FUSION.
B. Dès sa création, un CALQUE DE RÉGLAGE
contient un MASQUE DE FUSION. Il suffit dès
lors de dessiner en noir dans ce MASQUE
DE FUSION.
C. Il faut ASSOCIER le CALQUE DE RÉGLAGE
au calque précédent.
D. Dans la palette des Calques, il faut positionner le CALQUE DE RÉGLAGE juste
au-dessus d’un calque qui contient des pixels
pour que ce calque de réglage n’agisse que
sur les pixels de ce calque.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 8
Dans l’empilement des calques, dans la palette
des Calques, il faut positionner le CALQUE DE RÉGLAGE
au-dessus du calque sur lequel on veut qu’il agisse.
A ce moment le CALQUE DE RÉGLAGE agit toujours
sur tous les calques qui se trouvent en-dessous
de lui. Pour qu’il agisse uniquement sur le calque
qui est juste en-dessous de lui, il faut l’ASSOCIER
à ce calque qui se trouve en-dessous de lui. Pour
l’ASSOCIER, il faut positionner le pointeur dans
la palette des Calques entre la vignette de ce CALQUE
DE RÉGLAGE et la vignette du calque qui se trouve
juste en-dessous de lui, et il faut enfoncer la touche
ALT et la garder enfoncée, et quand on voit le signe
d’ASSOCIATION DE CALQUES il faut cliquer.
La réponse A est fausse. On ne peut ajouter un MASQUE
DE FUSION à un CALQUE DE RÉGLAGE, parce qu’il en
a déjà un dès le départ.
La réponse B est fausse. Le fait de dessiner en noir dans
le MASQUE DE FUSION d’un CALQUE DE RÉGLAGE
ne fait pas en sorte que ce CALQUE DE RÉGLAGE
n’agisse que sur les pixels du calque qui se trouve
en-dessous de lui. En réalité en dessinant en noir dans
le MASQUE DE FUSION d’un CALQUE DE RÉGLAGE,
ça fait en sorte que ce CALQUE DE RÉGLAGE n’agisse
qu’à certains endroits du document, mais toujours
sur tous les calques qui se trouvent en-dessous
de lui.
La réponse D est fausse. Un calque de réglage
agit d’office sur tous les calques qui se trouvent
en-dessous de lui.
5. Les calques
Version 12/01.
1 6 9
3. Quand on a dans une image d’une part un tracé
vectoriel dans la palette des tracés et d’autre
part un calque dans la palette des calques,
comment peut-on faire en sorte qu’une copie
du tracé vectoriel devienne le MASQUE VECTORIEL
du calque? Parmi ces propositions, indiquez
quelle est la seule bonne réponse.
A. Il suffit de déplacer la vignette du tracé et
de l’amener sur la vignette du calque.
B. Il suffit de générer une sélection
au départ du tracé, et d’aller ensuite
dans SÉLECTION…AJOUTER LE MASQUE
DU CALQUE…TOUT FAIRE APPARAÎTRE.
C. Il suffit d’activer le tracé dans la palette
des tracés, et d’aller ensuite dans
SÉLECTION…AJOUTER LE MASQUE
DU CALQUE…TOUT FAIRE APPARAÎTRE.
D. Il suffit d’activer le tracé dans la palette
des tracés, et d’aller ensuite dans
SÉLECTION…AJOUTER LE MASQUE
DU CALQUE…TRACÉ SÉLECTIONNÉ.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 0
est : D.
La réponse B est fausse. Ça fonctionnerait s’il s’agissait
d’un MASQUE DE FUSION, mais pas quand il s’agit
d’un MASQUE VECTORIEL.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 1
4. Quand on a dans une image un calque
qui contient un MASQUE DE FUSION, et qu’on
veut obtenir le même MASQUE DE FUSION sur
un autre calque de cette image, on peut procéder
de plusieurs manières. Parmi toutes ces propositions, indiquez quelle est la seule qui ne fonctionne
pas.
A. Générer une sélection au départ du MASQUE
DE FUSION en enfonçant la touche POMME (aussi
appelée touche COMMANDE) sur le Mac, ou
CTRL sur le PC, et en cliquant sur le MASQUE
DE FUSION. Ensuite activer le calque qui doit
recevoir une copie du MASQUE DE FUSION
de l’autre calque. Ensuite aller dans le menu
CALQUE…MASQUE DE FUSION…FAIRE
APPARAÎTRE LA SÉLECTION.
B. Générer une sélection au départ du MASQUE
DE FUSION en enfonçant la touche POMME (aussi
appelée touche COMMANDE) sur le Mac, ou CTRL
sur le PC, et en cliquant sur le MASQUE DE FUSION.
Ensuite activer le calque qui doit recevoir une copie
du MASQUE DE FUSION de l’autre calque. Ensuite
aller dans le menu SÉLECTION…MÉMORISER
LA SÉLECTION et choisir l’option COUCHE :
CALQUE MASQUE dans la boite de dialogue
qui s’ouvre.
C. Tout en enfonçant la touche ALT au clavier, utiliser
l’outil de DÉPLACEMENT DE PIXELS et faire glisser
l’icône du MASQUE DE FUSION d’une vignette à
une autre dans la palette des calques.
D. Activer le MASQUE DE FUSION à transférer,
ensuite faire SÉLECTION…TOUT SÉLECTIONNER, puis EDITION…COPIER. Ensuite créer
un MASQUE DE FUSION sur l’autre calque qui n’en
a pas encore puis faire EDITION…COLLER.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 2
C’est la seule méthode, parmi les quatre proposées,
qui ne fonctionnera pas pour transférer une copie
d’un MASQUE DE FUSION d’un calque à un autre.
Essayez les trois autres. Parmi les trois autres, c’est
celle de la réponse A qui me parait être la plus
intéressante, et c’est celle de la réponse D qui me
parait être la moins intéressante. Néanmoins elles ont
toutes les trois leur intérêt car elle vous permettent
de développer votre connaissance du logiciel, et
votre esprit d’exploration, qui est nécessaire pour
évoluer dans Photoshop®.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 3
4. Parmi tous ces logiciels de ADOBE®, lequel
n’utilise pas le principe des Calques :
A. InDesign®.
B. STREAMLINE®.
C. ILLUSTRATOR®.
D. ImageReady®.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 4
Les trois autres logiciels utilisent le principe des calques.
Et ça ressemble assez bien à la manière dont ça
fonctionne dans Photoshop®, heureusement pour
nous autres utilisateurs.
Il n’est pas étonnant que STREAMLINE® n’utilise
pas de calques. STREAMLINE® est un simple logiciel
de vectorisation d’image. Il sert à adapter des images
constituées de pixels, afin de les utiliser dans un logiciel
de dessin vectoriel comme ILLUSTRATOR®. Il ne
faudrait toutefois pas en déduire qu’on ne peut
pas utiliser des images constituées de pixels dans
ILLUSTRATOR®. On peut très bien créer dans
ILLUSTRATOR® des illustrations qui font intervenir des images constituées de pixels… Dans
ILLUSTRATOR® on peut faire des affiches.
STREAMLINE® est un logiciel qui ne fonctionne
pas extrêmement bien pour vectoriser des images.
C’est un logiciel qui a été racheté par ADOBE® et qui
a très peu évolué depuis sa première version. Il existe
des logiciels de vectorisation plus évolués, notamment
le logiciel Artline® (appelé «Silhouette» depuis 2001,
je crois) de la société belge Freesoft.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 5
1. Un calque qui contient une texture se trouve
au-dessus d’un calque qui contient un objet qui
présente du modelé. Parmi tous ceux-ci quel est
le seul MODE DE DESSIN (= mode d’application
des pixels d’un calque sur un autre) qui convient
si on veut vraiment donner l’impression que
l’objet est texturé avec la texture qui se trouve sur
le calque qui est au-dessus de lui :
A. ASSOCIATION.
B. SUPERPOSITION.
C. INCRUSTATION.
D. IMPRÉGNATION.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 6
est : C.
La réponse A est fausse. L’ASSOCIATION, ce n’est
pas un MODE DE DESSIN, c’est une technique
pour faire en sorte que les pixels d’un calque ne
soient visibles qu’à la condition qu’il y ait des pixels
au même endroit dans le calque qui se trouve
en-dessous de lui.
La réponse B est fausse. Le MODE DE DESSIN qui
s’appelle SUPERPOSITION ne donne pas l’impression
que la texture est incrustée.
La réponse D est fausse. L’IMPRÉGNATION n’est
pas un MODE DE DESSIN dans Photoshop®, ni
dans aucun autre logiciel graphique à ma connaissance.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 7
des calques dans Photoshop®, laquelle est
la seule vraie?
A. Il n’est plus possible d’ajouter des effets
spéciaux à un calque (tels qu’ombre portée ou
biseautage par exemple) à partir du moment
où on a déjà ajouté à ce calque un MASQUE
DE FUSION ou un MASQUE VECTORIEL.
B. On peut dessiner sur plusieurs calques
en même temps, il suffit pour
cela de les ASSOCIER.
C. Le fait de créer un calque n’alourdit pas
l’image. C’est le nombre total de pixels
contenu dans l’image qui influence le poids
informatique de l’image.
D. Quand on active un calque et qu’on
enclenche l’option PRÉSERVER LES ZONES
TRANSPARENTES, on ne sait plus dessiner
sur ce calque.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 8
C’est vrai que le fait de créer un calque n’alourdit
pas l’image. C’est le nombre total de pixels contenu
dans l’image qui influence le poids informatique
de l’image. Essayez de créer des calques vides,
et regardez dans le cartouche qui se trouve en
bas à gauche de la fenêtre de l’image. Là on vous
indique quel est le poids de l’image. Remarquez que
les calques vides que vous créez n’alourdissent pas
l’image. Par contre dès que vous dessinez sur ces
calques les chiffres changent.
La réponse B est fausse. L’ASSOCIATION, ça ne permet
pas de pouvoir dessiner sur plusieurs calques en
même temps, c’est une technique pour faire en sorte
que les pixels d’un calque ne soient visibles qu’à
la condition qu’il y ait des pixels au même endroit
dans le calque qui se trouve en-dessous de lui. Il n’est
pas possible de dessiner sur plusieurs calques en
même temps dans Photoshop®.
La réponse D est fausse. Quand on active un calque
et qu’on enclenche l’option PRÉSERVER LES ZONES
TRANSPARENTES, on ne sait plus dessiner sur
les parties transparentes de ce calque, mais on
sait encore dessiner sur le parties de ce calque qui
contiennent des pixels.
5. Les calques
Version 12/01.
1 7 9
6. Les tracés vectoriels :
6.1.
À quoi servent
les tracés vectoriels?
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Les tracés servent à 5
choses dans Photoshop®
Détail
A) Mettre au point une sélection.
B) Créer un TRACÉ DE DÉTOURAGE.
C) Guider un outil de dessin.
D) Créer un MASQUE VECTORIEL, depuis la version 6
de Photoshop®.
E) Créer une forme vectorielle en couleur,
depuis la version 6 de Photoshop® = CALQUE
DE FORME.
6. Les tracés vectoriels
Version 12/01.
1 8 0
Les points des droites
directionnelles (= tangentes
quand elle ne sont pas
cassées) sont en forme
de carrés posés sur leurs
pointes
6.2.
Premières manipulations
d’un Tracé vectoriel
cliquez sur OUI.
Détail
Ils n’apparaissent que lorsque les points de construction
sont sélectionnés avec la flèche blanche (outil
de SÉLECTION DIRECTE).
Ici, 20
et MAJUSCULE.
Modifier un tracé existant
avec la flèche noire, et
aussi avec la flèche
blanche
Détail
Les points d’ancrage : ce
sont les points par lesquels
le tracé passe
Détail
Version 12/01.
1 8 1
6.3.
Où placer le tracé…
sur le bord du sujet ou
un peu à l’intérieur
du sujet?
cliquez sur OUI.
Si on veut emmener l’objet
vers une autre image,
contracter la sélection pour
éviter d’emmener du décor.
Détail
Si le tracé est réalisé pour
créer un Détourage dans
une mise en page, créer
le tracé en mordant dans
l’objet
Détail
et MAJUSCULE.
Créer le tracé à cheval sur
le bord des objets quand
c’est pour les modifier dans
la même image
Détail
Version 12/01.
1 8 2
6.4.
Exportation d’une image
détourée avec un tracé
Dans les dernières versions de logiciels de mise en
page on peut désigner dans le logiciel de mise en
page quel est le tracé contenu dans l’image qui va
servir de TRACÉ DE DÉTOURAGE… Ce n’est pas très
prudent de laisser faire ce choix par la personne qui
fait la mise en page, il y a un risque d’erreur si plusieurs
tracés se ressemblent dans l’image.
vectoriel vers un logiciel
de mise en page
(= Tracé de détourage)
détourée, en EPS avec
Preview 8-bit
Détail
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Désigner le tracé qui va
servir de Tracé
de détourage
Détail
détourée, en EPS avec
Preview 1-bit
Détail
détourée, en TIFF
Détail
détourée, en PSD
Détail
Version 12/01.
1 8 3
Importation dans
InDesign®, XPress®,
Illustrator® des images
détourées enregistrées
en EPS avec Preview 8-bit,
en EPS avec Preview 1-bit,
en TIFF
Détail
Redimensionnement des images, en utilisant
l’outil de TRANSFORMATION MANUELLE dans
INDESIGN® et dans ILLUSTRATOR®, et la PALETTE
DES SPÉCIFICATIONS dans XPRESS®.
Modification du tracé de l’image TIFF dans le logiciel
de mise en page INDESIGN®.
Version 12/01.
1 8 4
6.5.
Les tracés qui génèrent
des sélections
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Quand on crée
une sélection au départ
d’un tracé, la première fois
ne pas utiliser le raccourciclavier
Détail
Passer par DÉFINIR UNE SÉLECTION pour vérifier
que le CONTOUR PROGRESSIF est à 0.
Version 12/01.
1 8 5
6.6.
Les sélections
qui sont converties en
tracés
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Nettoyer le logo scanné en utilisant la pipette blanche
et la pipette noire du réglage des COURBES ou
du réglage NIVEAUX.
Rendre éventuellement le logo flou pour épurer
le bord.
Export du tracé ainsi obtenu vers ILLUSTRATOR®.
Dans ILLUSTRATOR®, enlever les traits de coupe et
passer en affichage par contour. Travailler avec deux
fenêtres dans ILLUSTRATOR®.
Conversion d’un logo en
deux couleurs :
Photoshop® peut servir
pour vectoriser
Détail
Utiliser PLAGE DE COULEURS.
Convertir une sélection en
un tracé
Détail
Attention au nombre de points (réglable quand
on passe par le menu de la palette des Tracés pour
convertir en sélection).
Si le logo comporte plusieurs couleurs, alors
il vaut mieux utiliser un logiciel spécialisé dans
la VECTORISATION.
Réparer les frontières entre les couleurs dans
ILLUSTRATOR®, diviser les formes, effacer les bouts
superflus, gérer la surimpression en bougeant
les vecteurs.
Conversion d’un logo noir
et blanc : Photoshop® peut
servir pour vectoriser
Détail
Version 12/01.
1 8 6
6.7.
Combinaisons de Tracés
mémorisées en couches
Alpha
Exemple de la voiture dont toutes les parties sont
détourées.
Utiliser une ou plusieurs
portions de tracé pour faire
une opération avec
une sélection active
Détail
cliquez sur OUI.
Les raccourcis-clavier ne fonctionnent pas dans ce
cas… Toutes les portions de tracés de la vignette
sont prises en compte… Il faut passer par le menu
DÉFINIR UNE SÉLECTION.
et MAJUSCULE.
Créer des sélections en
combinant des tracés
Détail
Mémoriser en COUCHES ALPHA
les sélections ainsi
obtenues
Détail
Essais avec l’image du GSM.
Version 12/01.
1 8 7
6.8.
Le Contour du tracé
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Se servir d’un tracé comme
d’un guide à un outil
de dessin
Détail
Essais avec l’image «ambulance»… CONTOUR
DU TRACÉ avec ESTOMPAGE de l’outil de dessin…
Dans les OPTIONS DE STYLET de l’outil de dessin,
depuis la version 6 de Photoshop®.
Version 12/01.
1 8 8
6.9.
Éviter de créer un Tracé
de travail, plutôt créer
des tracés permanents.
Construction
Détail
des tracés vectoriels
Créer une vignette avant de commencer à tracer.
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
Quand on veut créer
un tracé dans la palette
des Tracés, ne pas utiliser
la plume qui permet
de créer un Calque
de Forme
Si on a déjà créé le tracé et que c’est un TRACÉ
DE TRAVAIL, alors on peut le convertir en tracé
permanent.
Expérimentation 1 : tracer
dans trois vignettes chaque
fois une Portion de Tracé
FERMÉE
Détail
Expérimentation 2 : tracer
dans trois autres vignettes
chaque fois une Portion
de Tracé NON FERMÉE
Détail
Détail
CALQUE
DE
FORME
=
nouvelle
de Photoshop® 6
option
Combiner les tracés
de plusieurs vignettes pour
créer une sélection
(vu précédemment durant
la formation)
Détail
Version 12/01.
1 8 9
Tracer dans une même
vignette plusieurs portions
de tracés FERMÉES
Détail
Choisir
la méthode d’interaction
d’une Portion de tracé dans
une vignette, après avoir
créé cette Portion de tracé
Détail
vignette plusieurs portions
de tracés NON FERMÉES
Sélectionner une des PORTIONS DE TRACÉ avec
la flèche noire dans une vignette puis modifier son
mode d’interaction.
Détail
vignette des Portions
de tracé en choisissant
une opération booléenne
autre que Exclusion… soit
Ajouter, Soustraire,
Intersection
Détail
Regarder la vignette du tracé dans la PALETTE
DES TRACÉS pour visualiser l’interaction qu’on
obtient.
Avant Photoshop® 6 l’opération booléenne entre
les tracés était toujours EXCLUSION, aussi appelée
ODD/EVEN, ou PAIR/IMPAIR = les tracés qui se
superposent créent des trous.
Transférer une Portion
de Tracé d’une vignette à
une autre, par Copier/Coller
Détail
L’option Associer, pour
réunir en un seul tracé
plusieurs Portions de Tracé
Détail
Définir une sélection au
départ d’une vignette qui
comporte plusieurs
Portions de tracé
Détail
Si une portion de tracé de la vignette est activée en
particulier, c’est seulement celle-là qui sera pris en
compte pour créer la sélection, parfois c’est ce qu’on
veut, parfois ce n’est pas ce qu’on veut.
Version 12/01.
1 9 0
Utiliser les flèches noire
et blanche pour modifier
des Portions de tracé
APRÈS les avoir créées
Méthode des débutants :
créer des Courbes
de Bézier en utilisant l’Outil
de Conversion de points
sur un tracé polygonal
Détail
Détail
Utiliser la flèche blanche
(avec son raccourci)
PENDANT qu’on crée
les tracés, pour modifier
la position des points
de construction
Détail
Ajout/suppression
de points après avoir créé
un tracé
Créer des segments puis ajouter les droites directionnelles à chaque point avec l’OUTIL DE CONVERSION…
Ce n’est pas une bonne méthode.
Méthode dite
de la Suppression
de la moitié de tangente
pour créer directement
des tracés courbes, qui ne
SONT PAS
de véritables Courbes
de Bézier.
Détail
Détail
L’option SUPPRESSION AUTOMATIQUE, depuis
Photoshop® 6.
Les Courbes de Bézier
ont une forme qui est
influencée par la position
de quatre points
Détail
En supprimant la moitié de tangente, ce ne sont pas
des véritables COURBES DE BÉZIER.
Utiliser la flèche blanche (avec son raccourci) pendant
qu’on crée le tracé, pour modifier la position de points
et des poignées de tangentes.
Utiliser le raccourci de la main pour bouger l’image
zoomée pendant qu’on crée le tracé.
Attention à créer les tracés avec le moins de points
possible = plus de précision et moins de problèmes
pour les logiciels qui vont devoir utiliser l’image.
Version 12/01.
1 9 1
Méthode de Adobe® pour
créer directement
des tracés courbes, qui
SONT
de véritables Courbes
de Bézier
Créer un Calque de réglage
Niveaux pour affadir
temporairement une photo,
pour mieux voir le tracé
pendant qu’on le crée
Détail
Détail
En créant des petites tangentes puis en utilisant
la flèche blanche (avec son raccourci) pour positionner
la première moitié de cette tangente, et en utilisant
si nécessaire l’OUTIL DE CONVERSION (avec son
raccourci ALT) pour rediriger la deuxième moitié
de tangente.
Réglage NIVEAUX : on bouge vers la gauche l’indicateur
blanc de la gamme de gris du haut et on bouge
vers la droite l’indicateur noir de la gamme de gris
du bas.
Transformation
manuelle de tracé par
le menu Edition…
Détail
La vignette du tracé doit être activée et un outil
de création de tracé activé dans la palette
des outils.
Pour les PORTIONS DE TRACÉS, il y a l’option AFFICHER
LE CADRE DE SÉLECTION… Quand on active
une portion de tracé avec la flèche noire, cette portion est
entourée d’un cadre de TRANSFORMATION MANUELLE,
c’est la TRANSFORMATION MANUELLE de la portion
de tracé.
Version 12/01.
1 9 2
6.10.
Les Masques vectoriels
Une image avec un MASQUE VECTORIEL est
enregistrée en PDF… Alors l’option DONNÉES
VECTORIELLES doit être cochée dans les options
du format PDF, sinon le bord de l’objet sera masqué
par des pixels, et non plus des vecteurs, donc ce
sera moins net, surtout si l’image est définie par
peu de pixels.
cliquez sur OUI.
Détail
et MAJUSCULE.
On a vu précédemment durant la formation comment
créer un STYLE DE CALQUE personnalisé.
Ajouter un Masque
vectoriel à un calque pixels
Détail
Choisir de créer un MASQUE VECTORIEL avec l’option
TOUT MASQUER quand on veut faire apparaître
un objet du calque, ou alors avec l’option TOUT
FAIRE APPARAÎTRE quand on veut faire un trou
dans le calque. Dans les deux cas il faut DÉSACTIVER
le MASQUE VECTORIEL pour créer le tracé tout
en ayant la possibilité de visualiser le contenu
du calque.
On peut emmener un calque vers une autre image
avec son MASQUE VECTORIEL. Cette même image
peut également contenir un MASQUE DE FUSION.
Exemple avec l’image Carac_11.
Choisir d’utiliser la plume
prévue pour créer
un Calque de Forme
Remarquez qu’en réalité un CALQUE DE FORME est
un CALQUE DE REMPLISSAGE avec un MASQUE
VECTORIEL et un STYLE DE CALQUE. Il en résulte
que parfois le STYLE DE CALQUE qu’on utilise laisse
apparaître le FOND DU CALQUE… Dans ce cas on
peut changer la couleur de remplissage du CALQUE
DE REMPLISSAGE, si nécessaire.
Choisir de créer un Calque
de Forme avec une Forme
géométrique vectorielle ou
avec une Forme
personnalisée
Détail
Les FORMES VECTORIELLES créée par l’utilisateur :
aller dans le menu EDITION…CRÉER UNE FORME
PERSONNALISÉE.
Version 12/01.
1 9 3
Utiliser un tracé
de la Palette des Tracés
en tant que Masque
vectoriel d’un Calque
pixels, ou d’un Calque
de remplissage, ou
d’un Calque de réglage, ou
en remplacement d’un tracé
d’un Calque de Forme.
Détail
Version 12/01.
1 9 4
6. Les tracés :
6.11.
pour l’examen
les tracés
Version 12/01.
1 9 5
5. Pendant qu’on est en train de créer un tracé
avec la plume, on peut utiliser un raccourci-clavier
pour utiliser temporairement l’outil FLÈCHE.
Quel est ce raccourci-clavier?
A. Il faut enfoncer la touche ALT.
B. Il faut enfoncer la touche POMME (aussi
appelée touche COMMANDE) sur les MAC,
ou CTRL sur les PC.
C. Il faut enfoncer la touche F.
D. Il faut enfoncer la touche MAJUSCULE.
Version 12/01.
1 9 6
est : B.
La réponse A est fausse. Le fait d’enfoncer la touche
ALT pendant qu’on est en train de créer un tracé avec
la plume appelle l’outil de CONVERSION DE POINTS,
qui sert soit à casser une tangente, soit à supprimer
une moitié de tangente, c’est selon la méthode qu’on
a choisi d’utiliser pour créer des tracés courbes :
soit la méthode de création de tracés courbes
par suppression de la moitié de tangente, soit
la méthode de création de tracés courbes préconisée
par ADOBE®.
La réponse D est fausse. Pendant qu’on crée un tracé,
la touche MAJUSCULE sert à faire en sorte que
le tracé se crée en étant calé sur des axes verticaux,
horizontaux et à 45 degrés. C’est utile quand on doit
retracer un plan ou des logos qui présentent des lignes
parfaitement horizontales ou verticales.
Version 12/01.
1 9 7
3. Les points de construction d’un tracé vectoriel
portent un autre nom. Indiquez lequel parmi ces
quatre propositions.
A. Les points de construction d’un tracé
vectoriel s’appellent aussi des points directionnels.
B. Les points de construction d’un tracé
vectoriel s’appellent aussi des points d’encrage.
C. Les points de construction d’un tracé
vectoriel s’appellent aussi des points d’ancrage.
D. Les points de construction d’un tracé vectoriel s’appellent aussi des points de Bézier.
Version 12/01.
1 9 8
Les points de construction d’un tracé vectoriel
s’appellent aussi des POINTS D’ANCRAGE. On
les appelle ainsi parce que le tracé est obligé de passer
par ces points, le tracé est comme attaché, ancré,
à ces points.
La réponse B est fausse. L’encrage, c’est le fait d’amener
de l’encre sur du papier. Ca n’a rien à voir avec
les COURBES DE BÉZIER.
La réponse D est fausse. On parle de COURBES
DE BÉZIER, mais les points de construction
d’une COURBE DE BÉZIER ne s’appellent pas pour
autant des POINTS DE BÉZIER.
Version 12/01.
1 9 9
4. Depuis la version 6 de Photoshop®, les tracés
servent à beaucoup de choses. Parmi toutes ces
affirmations sur l’utilisation des tracés vectoriels,
quelle est la seule fausse?
A. Les tracés vectoriels permettent de mettre
au point une sélection. Cela convient surtout
pour les sujets à bords nets.
B. Les tracés vectoriels permettent de réaliser
un TRACÉ DE DÉTOURAGE afin de rendre
une portion d’image transparente quand
cette image est utilisée dans un logiciel
de mise en page.
C. Les tracés vectoriels peuvent servir à guider
une multitude d’outils de dessin.
D. Les tracés vectoriels peuvent servir à
créer un MASQUE VECTORIEL, qui permet
de faire tout ce qu’il est possible de faire avec
un MASQUE DE FUSION, mais qui est plus
léger d’un point de vue informatique.
Version 12/01.
2 0 0
Les tracés vectoriels peuvent servir à créer un MASQUE
VECTORIEL, en effet, mais la suite de la réponse est
fausse : avec un MASQUE VECTORIEL on ne peut
pas faire tout ce qu’on peut faire avec un MASQUE
DE FUSION. Avec un MASQUE DE FUSION on peut
avoir plusieurs niveaux de transparence, pas avec
un MASQUE VECTORIEL. C’est pourquoi il est
possible de mettre à la fois un MASQUE DE FUSION et
un MASQUE VECTORIEL sur un même calque.
En ce qui concerne le poids informatique du MASQUE
VECTORIEL, il est vrai qu’il est généralement plus
léger que celui d’un MASQUE DE FUSION. Les points
de construction d’un MASQUE VECTORIEL, c’est
plus léger qu’une multitude de pixels d’intensités
lumineuses différentes comme on les trouve dans
les MASQUES DE FUSION.
Il est faux de dire que la réponse A est fausse.
Il est faux de dire que la réponse B est fausse.
Il est faux de dire que la réponse C est fausse.
Version 12/01.
2 0 1
5. Parmi toutes ces affirmations sur les tracés
vectoriels, quelle est la seule vraie?
A. Il vaut mieux ne pas créer trop de tracés
dans une image car cela l’alourdit.
B. Il est possible d’utiliser dans ILLUSTRATOR®,
et donc aussi dans Macromedia Flash®,
un tracé qu’on a créé dans Photoshop®.
C. Même s’il est techniquement
possible de dessiner plusieurs tracés dans
une même vignette, il vaut mieux n’en dessiner
qu’un, ainsi on peut facilement organiser son
travail en renommant chaque vignette pour
décrire le tracé qu’elle contient.
D. On ne peut modifier la forme d’un tracé
vectoriel que dans Photoshop®. Dans
un logiciel de mise en page, il n’est plus
possible de modifier le tracé vectoriel
de détourage d’une image.
Version 12/01.
2 0 2
Pour utiliser dans ILLUSTRATOR® un tracé vectoriel qui a
été créé dans Photoshop®, il faut aller dans Photoshop®
jusqu’à la ligne de commande EXPORTATION…TRACÉS
VERS ILLUSTRATOR®, dans le menu FICHIERS.
Par ailleurs, les tracés qui sont dans des fichiers au
format ILLUSTRATOR® peuvent être récupérés dans
Macromedia Flash®, pour créer des animations au
format SWF, le format Shockwave®.
La réponse A est fausse. Les tracés vectoriels, c’est
très léger, donc on peut en créer beaucoup dans
une image sans que cela l’alourdisse.
La réponse C est fausse. Quand on dessine plusieurs
tracés dans une même vignette de la palette des tracés,
c’est parce qu’on veut qu’ils interagissent ensemble.
Si on veut qu’ils n’interagissent pas ensemble alors on
les crée sur des vignettes différentes dans la palette
des tracés. Il ne s’agit donc pas d’un choix lié à
une certaine organisation du travail, il s’agit plutôt
d’un choix lié au résultat qu’on veut obtenir.
La réponse D est fausse. Quand on importe dans
le logiciel de mise en page INDESIgn® une image
enregistrée au format TIFF et que cette image
contient un TRACÉ DE DÉTOURAGE, alors on peut
encore modifier ce TRACÉ DE DÉTOURAGE dans
le logiciel InDesign®.
Version 12/01.
2 0 3
des tracés vectoriels de détourage, laquelle est
la seule vraie?
A. Dans Photoshop®, lorsqu’on détoure
un élément d’une photographie en vue
de l’utiliser dans une mise en page, il faut
faire en sorte que la couleur qu’on donne
au tracé soit du blanc.
B. Dans Photoshop®, lorsqu’on détoure
de l’utiliser dans une mise en page, il faut créer
le tracé légèrement à l’extérieur de l’élément
qu’on détoure parce qu’on sait que le procédé
d’impression en OFFSET va avoir tendance
à rétrécir la zone du sujet qui est visible dans
la mise en page, à cause du phénomène
d’engraissement des points de trame sur
le papier.
C. Dans Photoshop®, lorsqu’on détoure
le tracé légèrement à l’intérieur de l’élément qu’on détoure parce qu’on sait que
la flasheuse de films OFFSET ou l’imprimante
POSTSCRIPT® risque d’interpréter le tracé
et faire apparaître un peu du décor qui se
trouve dans la photographie originale autour
de l’élément détouré.
D. Dans Photoshop®, lorsqu’on détoure
le tracé à cheval sur le bord de l’élément.
Version 12/01.
2 0 4
est : C.
La réponse A est fausse. Les tracés de détourage
n’ont pas de couleur.
La réponse B est fausse. Le phénomène d’engraissement de points existe dans le procédé OFFSET,
mais il est absurde de dire que cela va rétrécir la zone
du sujet qui est visible dans la mise en page.
La réponse D est fausse. Comme c’est expliqué dans
la bonne réponse, la réponse C, il vaut mieux
créer le tracé légèrement à l’intérieur de l’élément
qu’on détoure parce qu’on sait que la flasheuse
de films OFFSET ou l’imprimante POSTSCRIPT®
risque d’interpréter le tracé et de faire apparaître
un peu du décor qui se trouve dans la photographie
originale autour de l’élément détouré.
Version 12/01.
2 0 5
3. Parmi toutes ces affirmations qui concernent
les tracés, laquelle est la seule fausse?
A. La première fois qu’on génère une sélection
au départ d’un tracé durant une séance
de travail, il vaut mieux ne pas la générer
en utilisant un raccourci-clavier. Il vaut
mieux plutôt utiliser la commande DÉFINIR
UNE SÉLECTION dans le menu de la palette
des tracés pour s’assurer que le CONTOUR
PROGRESSIF est bien réglé comme on
le veut. Une fois la première sélection
générée au départ du tracé en passant par
DÉFINIR UNE SÉLECTION, alors on peut
générer les sélections suivantes en utilisant
les raccourcis-clavier.
B. Lorsqu’on indique à Photoshop® quel
est parmi tous les tracés qui se trouvent
dans la palette des tracés celui qui va servir
de TRACÉ DE DÉTOURAGE, il y a un cartouche
à remplir qui s’appelle FLÈCHE. Si on indique
une valeur dans le cartouche, elle doit
être différente suivant qu’on imprime sur
une imprimante POSTSCRIPT® ou sur
une flasheuse. En réalité il vaut mieux laisser
ce cartouche vide, ainsi c’est le périphérique
d’impression qui choisira lui-même la valeur
qui lui convient le mieux.
C. Un tracé obtenu par conversion d’une sélection en tracé comporte toujours plus de points
de construction qu’un tracé créé manuellement de manière correcte. Si on ne
règle vraiment pas bien le réglage de tolérance
lorsqu’on convertit une sélection en tracé,
il arrive que le périphérique d’impression
POSTSCRIPT® affiche un code d’erreur,
tellement il y a de points de construction
dans le tracé.
D. Il est possible de vectoriser un logo avec
Photoshop®, il suffit de générer une sélection
au départ d’une des COUCHES CONSTITUTIVES de l’image du logo, puis de convertir
cette sélection en tracé. Ce n’est donc pas
intéressant d’acheter un logiciel spécialisé
dans la vectorisation puisqu’on peut obtenir
un résultat aussi bon avec Photoshop®.
Version 12/01.
2 0 6
Il est faux de dire que ce n’est pas intéressant d’acheter
un logiciel spécialisé dans la vectorisation puisqu’on
peut obtenir un résultat aussi bon avec Photoshop®.
En effet, les logos en plusieurs couleurs, c’est vraiment
difficile de les vectoriser avec Photoshop®. L’achat
d’un logiciel spécialisé dans la vectorisation s’impose
donc si on doit souvent vectoriser des logos en
plusieurs couleurs.
Il est faux de dire que la réponse A est fausse.
Il est faux de dire que la réponse B est fausse.
Il est faux de dire que la réponse C est fausse.
Version 12/01.
2 0 7
4. On peut mémoriser sous forme de COUCHES
ALPHA des sélections qu’on a obtenues en
combinant plusieurs tracés vectoriels. Indiquez
quelle est la seule réponse vraie parmi toutes
ces affirmations qui vantent l’intérêt de cette
technique :
A. Cela permet de supprimer ensuite
les tracés vectoriels et d’alléger ainsi
la taille de l’image.
B. Les sélections générées au départ
des COUCHES ALPHA n’auront pas le bord
crénelé caractéristique des sélections générées
directement au départ des tracés.
C. Lorsqu’il y a beaucoup de tracés à combiner
pour obtenir une sélection, il est intéressant de mémoriser cette sélection sous
forme de COUCHE ALPHA car si on doit
l’utiliser souvent on pourra ainsi accélérer
le travail.
D. Il est possible de transférer une COUCHE
ALPHA d’une image à une autre, mais pas
un tracé.
Version 12/01.
2 0 8
est : C.
La réponse A est fausse. Les sélections obtenues au
départ de tracés vectoriels puis mémorisées en tant
que COUCHES ALPHA sont très certainement plus
lourdes que les tracés qui ont servi à les générer.
La réponse B est fausse. Les sélections générées
au départ de tracés n’ont pas un bord crénelé
caractéristique. S’il est vrai que les tracés ont un aspect
crénelé dans Photoshop®, ce n’est en réalité qu’à
l’affichage sur l’écran qu’ils ont cet aspect crénelé.
En réalité les tracés vectoriels sont toujours très
précis.
La réponse D est fausse. Il est tout à fait
possible de transférer un tracé d’une image à
une autre, soit par cliqué-glissé de la vignette
du tracé vers une autre image, soit par cliqué-glissé
du tracé lui-même vers une autre image en utilisant
la FLÈCHE NOIRE de la palette des outils, soit encore
par Copier/Coller.
Version 12/01.
2 0 9
1. S’il y en a un, quel est l’avantage
de la méthode de création des tracés vectoriels
courbes qui est préconisée par ADOBE® par
rapport à la méthode de création des tracés
vectoriels courbes par suppression de la deuxième
moitié de tangente, qui est habituellement mise
en oeuvre dans les milieux graphiques? Indiquez
quelle est la seule bonne réponse.
A. La méthode préconisée par ADOBE® est
plus rapide.
B. La méthode préconisée par ADOBE® est
plus simple.
C. La méthode préconisée par ADOBE® est
plus précise.
D. La méthode préconisée par ADOBE®
n’apporte aucun avantage par rapport à
l’autre méthode.
Version 12/01.
2 1 0
La méthode de création des tracés courbes qui est
préconisée par ADOBE® crée des véritables courbes
de Bézier, c’est-à-dire que les tracés ont des segments
courbes qui sont définis par la position de quatre
points.
L’autre méthode de création des tracés, celle qui est
habituellement mise en oeuvre dans les milieux graphiques, c’est-à-dire la méthode de création de tracés
vectoriels courbes par suppression de la deuxième
moitié de tangente, crée des tracés dont chaque
segment courbe est défini par seulement trois points.
Avec cette méthode de la suppression de la deuxième
moitié de tangente les raccords entre les segments ne
sont pas mathématiquement corrects. S’il est vrai que
cela ne se voit pas quand il s’agit d’une impression
dans un magazine, il est probable que si le tracé
sert à réaliser de la découpe de vinyle les mauvais
raccords se verront, car dans le cas de la découpe
de vinyle les logos sont en général très grands.
La réponse B est fausse. La méthode de création
des tracés courbes qui est préconisée par ADOBE®
n’est pas plus simple à mettre en oeuvre que
l’autre méthode, celle qui est habituellement mise
en oeuvre dans les milieux graphiques, c’est-àdire la méthode de création de tracés vectoriels
courbes par suppression de la deuxième moitié
de tangente.
La réponse D est fausse. S’il est vrai que la différence
ne se voit pas quand il s’agit d’une impression dans
un magazine, il est probable que si le tracé sert à
réaliser de la découpe de vinyle la méthode préconisée
par ADOBE® donnera un résultat plus propre au
niveau des raccords entre les courbes, car dans
le cas de la découpe de vinyle les logos sont en
général très grands.
La réponse A est fausse. En réalité la méthode de création
des tracés courbes qui est préconisée par ADOBE® est
moins rapide que l’autre méthode, celle qui est habituellement mise en oeuvre dans les milieux graphiques,
c’est-à-dire la méthode de création de tracés vectoriels
courbes par suppression de la deuxième moitié
de tangente.
Version 12/01.
2 1 1
2. L’aspect d’un segment de courbe de Bézier est
défini par la position relative de :
A. 2 points.
B. 3 points.
C. 4 points.
D. 5 points.
Version 12/01.
2 1 2
L’aspect d’un segment de courbe de Bézier est défini
par la position de deux points de construction, ce sont
les points d’ancrage du tracé, et aussi par la position
de deux poignées de deux tangentes qui passent
chacune par un des deux points de construction.
Version 12/01.
2 1 3
1. Parmi toutes ces explications sur ce qu’est
un TRACÉ DE TRAVAIL, quelle est la seule vraie?
A. Il s’agit du tracé vectoriel de la palette
des tracés qui détermine quelles sont
les parties transparentes d’une image lorsqu’elle est vue dans un logiciel de mise
en page.
B. Il s’agit d’un tracé vectoriel temporaire qu’on
risque de perdre suite à une manipulation
malencontreuse.
C. Parmi tous les tracés vectoriels qui se
trouvent dans la palette des tracés, il s’agit
du tracé vectoriel qui a été modifié en
dernier lieu.
D. Parmi tous les tracés vectoriels qui se
trouvent dans la palette des tracés, il s’agit
du dernier tracé vectoriel qui a été créé.
Version 12/01.
2 1 4
Quand on n’a pas créé de vignette vide dans la palette
des tracés avant de commencer à créer le tracé dans
le document, alors le tracé arrive sur une vignette qui
s’est créée automatiquement dans la palette des tracés.
Cette vignette qui s’est créée automatiquement, c’est
la vignette d’un TRACÉ DE TRAVAIL, c’est un tracé qui
sera perdu quand on crée un autre tracé.
Pour créer un tracé qui reste en permanence dans
la palette des tracés, il faut d’abord créer une vignette
vide dans la palette des tracés, en cliquant sur le petit
bloc de feuille qui se trouve dans le bas de la palette
des tracés, et puis seulement créer le tracé dans
le document.
On peut aussi convertir un TRACÉ DE TRAVAIL en
un TRACÉ PERMANENT en emmenant la vignette de ce
TRACÉ DE TRAVAIL sur le petit bloc de feuille dans
le bas de la palette des Tracés.
La réponse A est fausse. Le tracé vectoriel de la palette
des tracés qui détermine quelles sont les parties
transparentes d’une image lorsqu’elle est vue
dans un logiciel de mise en page, c’est le TRACÉ
DE DÉTOURAGE.
La réponse C est fausse. Il n’y a rien dans Photoshop®
qui indique quel est le tracé qui a été modifié en
dernier lieu.
La réponse D est fausse. Il n’y a rien dans Photoshop®
qui indique quel est le tracé qui a été créé en dernier
lieu.
Version 12/01.
2 1 5
1. Un graphiste crée un tracé dans Photoshop®
puis l’exporte depuis Photoshop® au format
ILLUSTRATOR®. Lorsqu’il ouvre ce tracé dans
ILLUSTRATOR®, il ne voit rien. Parmi toutes ces
explications sur ce phénomène, laquelle est
la seule vraie?
A. Le tracé est vu en trop gros plan …
il suffit d’utiliser la loupe pour zoomer en
arrière et avoir ainsi une vue d’ensemble sur
le tracé.
B. Il faut aller sur le site INTERNET de ADOBE®
et rapatrier sur son disque dur un petit logiciel
qui va permettre le passage correct des tracés
de Photoshop® vers ILLUSTRATOR®.
C. Pour qu’il soit visible, il aurait fallu donner
une épaisseur au tracé dans Photoshop®,
avant de l’exporter vers ILLUSTRATOR®.
Il est toutefois encore temps de le faire dans
ILLUSTRATOR®.
D. Un tracé qui vient de Photoshop®
n’a jamais de couleur de remplissage ou
de couleur de contour. Il faut faire en sorte
que ILLUSTRATOR® affiche le tracé en
«fil de fer» pour le voir (mode CONTOUR
de ILLUSTRATOR®)
Version 12/01.
2 1 6
est : D.
La réponse B est fausse. Tout est fourni d’office
dans Photoshop® et dans ILLUSTRATOR® pour
que le transfert des tracés entre Photoshop® et
ILLUSTRATOR® se passe correctement.
La réponse C est fausse. Il n’est pas possible de donner
une couleur à un tracé qu’on exporte de Photoshop®
vers ILLUSTRATOR®.
Ici, 26
Version 12/01.
2 1 7
7. Formation
complémentaire :
7.1.
Que faire lorsqu’un outil
de dessin semble
ne plus fonctionner
dans Photoshop® :
quelques solutions
sont apportées durant
cette partie
de la formation en
prévention à
des situations particulières
rencontrées couramment
durant le travail avec ce
logiciel
cliquez sur OUI.
et MAJUSCULE.
L'image qui a été utilisée
pour simuler ces situations
est un photomontage
composé de deux
calques…
Le calque de FOND… C’est un décor enneigé.
Le calque 1… Ce sont des personnages entourés
de transparence.
Pour nos expérimentations, nous utilisons une image
qui comporte un calque car, comme nous le verrons
plus loin, les calques peuvent parfois être la cause
d'une impossibilité d'utiliser les outils de dessin.
Voici la liste des 10 situations particulières qui
vont être expliquées plus en détail dans les pages
qui suivent… En réalité il en existe plus, mais j’ai
laissé tombé ici celles qu’on rencontre vraiment
très rarement.
1. Lorsqu’un outil de dessin semble ne
pas fonctionner, vérifiez l’OPACITÉ de cet
outil.
2. Lorsqu’un outil de dessin semble ne pas
fonctionner, vérifiez son MODE DE DESSIN,
aussi appelé MODE D’APPLICATION
DES PIXELS.
3. Quand l'OPACITÉ du calque est vraiment
trop faible, on a l'impression que les outils
de dessin ne fonctionnent pas.
7. Formation complémentaire
Version 12/01.
2 1 8
fonctionner, vérifiez le MODE D’APPLICATION
du calque sur lequel vous dessinez.
1. Lorsqu'un outil de dessin
semble ne pas fonctionner,
vérifiez l'Opacité de cet
outil
fonctionner, vérifiez l’option PRÉSERVER
LES ZONES TRANSPARENTES du calque
sur lequel vous dessinez.
Lorsqu’un outil de dessin est réglé pour appliquer
la couleur à un faible pourcentage d’OPACITÉ,
alors on peut avoir l'impression que les pixels ne
s'appliquent pas sur l'image…
6. Lorsqu’un outil de dessin semble ne pas fonctionner, vérifiez que vous n’avez pas enclenché
par erreur le mode QUICKMASK®.
Il faut alors augmenter le réglage d’OPACITÉ dans
les options de cet outil de dessin. Ces options
apparaissent en haut de l’écran quand cet outil
de dessin est activé dans la palette des outils.
fonctionner, c’est parfois parce qu’une partie
de l’image est sélectionnée, et qu’on ne peut
pas dessiner ailleurs.
fonctionner, cela peut être dû aux particularités
de l’image sur laquelle on travaille : elle est
peut-être en mode BITMAP.
fonctionner, cela peut être dû aux OPTIONS
DU STYLET.
fonctionner, c’est peut-être parce qu’on a
fait en sorte qu’une partie du calque sur
lequel on essaye de dessiner n’apparaisse
pas dans l’image, en réglant ses CURSEURS
vérifiez son
Mode de dessin, aussi
appelé Mode d’application
des pixels
Dans la réalité, quand on applique une couleur avec
un outil de dessin sur une surface de travail, la couleur
a un aspect différent suivant le type de pigment qui
la compose et aussi suivant la matière de la surface
de travail… Dans Photoshop®, les MODES DE DESSIN,
ou MODES D’APPLICATION sont les réglages
qui vont permettre de recréer cette complexité
de la réalité.
Le réglage du MODE D'APPLICATION se trouve dans
les options de l'outil de dessin, en haut de l’écran.
D’ÉCRÊTAGE.
Version 12/01.
2 1 9
Quand on utilise un outil de dessin dans Photoshop®,
c’est comme si on amenait des pixels sur d’autres
pixels qui sont déjà dans l’image numérique sur
laquelle on travaille. Le MODE D’APPLICATION
de la couleur des pixels qu’on amène doit en
général être le mode NORMAL. Ainsi, les pixels que
l'outil de dessin amène sur la surface de travail s'y
appliquent d'une manière recouvrante, comme
de la gouache.
Le MODE D’APPLICATION d'un outil de dessin
est toujours réglé comme la dernière fois qu’on
a utilisé Photoshop® (sauf si on a remis à zéro
Photoshop® en le démarrant). Il est donc possible que
le MODE D’APPLICATION ne soit pas réglé en
mode NORMAL… d'où certaines difficultés à obtenir
ce qu’on veut sur l'image… Par exemple l'outil
de dessin semble être sans effet sur toute l’image,
ou sur certaines parties de l'image.
Nous allons provoquer le problème pour mieux
le comprendre.
Un outil de dessin doit être activé. Positionnez
le pointeur de la souris sur le cartouche qui indique
le MODE D’APPLICATION, en haut de l’écran, et enfoncez
le bouton de la souris pour faire apparaître la liste
de ces MODES D’APPLICATION. Dans la liste descendez,
par exemple, jusqu’à la ligne OBSCURCIR.
Avec le MODE D’APPLICATION réglé en OBSCURCIR,
la couleur des pixels que l'outil de dessin amène dans
l’image ne s'appliquera qu'aux endroits où elle est
plus foncée que la couleur des pixels de l'image…
elle ne s’appliquera que là où elle arrive à «obscurcir».
En dessinant avec du noir en mode OBSCURCIR,
on ne devrait donc avoir aucun problème, puisque
le noir devrait toujours arriver à «obscurcir» là où on
dessine… les pixels de l'image ont une luminosité qui
est forcément égale ou supérieure au noir.
Choisissez du noir pour la case d’échantillon de couleur
de premier plan, dans la palette des outils. Dessinez sur
l'image… vous constatez qu’il est possible de dessiner
sans problème avec du noir puisque le noir «obscurcit»
toujours les pixels de l'image. Par contre on n'arrivera
pas à dessiner avec de la couleur blanche en
mode OBSCURCIR puisque dans tous les cas elle sera
elle plus claire que n’importe lequel des pixels
de l'image… Essayez, sélectionnez du blanc pour
la case d’échantillon de couleur de premier plan, et
dessinez sur l'image. Vous voyez que l’outil de dessin n'a
aucun effet sur l'image : le blanc étant la couleur la plus
claire qui existe, elle n'arrivera donc jamais à «obscurcir»
aucune couleur de l'image… On n'arrivera jamais à
appliquer du blanc en mode OBSCURCIR.
Evidemment, dans la réalité on ne dessine pas
qu'avec du blanc et du noir. Dans le cas où on choisit
de dessiner avec une couleur qui n'est ni du blanc
ni du noir, le fait qu'elle se voit ou non sur l'image
dépendra du degré de luminosité de la couleur
et aussi du degré de luminosité des pixels sur
lesquels on essaie d'appliquer cette couleur. Parfois
la couleur qu'on applique se verra et parfois elle ne
se verra pas.
Dans les options de l’outil de dessin que vous
venez d’utiliser, enfoncez le bouton de la souris sur
le nom du MODE D’APPLICATION actuel : cela fait
apparaître une liste qui contient tous les autres
MODES D’APPLICATION qu'on peut utiliser. Descendez
jusqu'à la ligne ÉCLAIRCIR.
Avec le mode ÉCLAIRCIR, la couleur ne s'applique
dans l’image qu'aux endroits où elle est plus claire
que les pixels de l'image…
Dans la palette des Calques, cliquez sur le calque
de FOND. Nous allons expérimenter le dessin en
mode ÉCLAIRCIR sur l'image du décor de fond.
Version 12/01.
2 2 0
Sélectionnez du noir en tant que couleur de premier
plan. Dessinez sur l'image avec le Pinceau. Vous
voyez que le dessin n'a aucun effet sur l'image… On
n'arrivera pas à dessiner avec de la couleur noire en
mode ÉCLAIRCIR puisque la couleur noire ne sera
jamais plus claire que les pixels de l'image : la couleur
noire ne peut pas ÉCLAIRCIR l'image.
Maintenant sélectionnez du blanc comme couleur
de premier plan. On peut dessiner partout sur le décor
de fond avec du blanc puisque le blanc «Eclaircit»
les pixels de l’image. Bien entendu, les personnages
ne sont pas affectés par les traits qu’on amène sur
le décor qui est dans le calque de FOND, parce que
dans notre montage les personnages «flottent»
au-dessus du décor de fond, il sont sur un calque.
Remarquez comment la couleur noire apparaît
normalement, même en mode ÉCLAIRCIR, quand on
travaille sur les parties transparentes d’un calque…
Activez le travail sur le calque 1, cliquez sur la vignette
de ce calque dans la palette des Calques, et choisissez
du noir comme couleur de premier plan, et dessinez
sur l'image.
3. Quand l'Opacité
du calque est vraiment trop
faible, on a l'impression
que les outils de dessin ne
fonctionnent pas
Chaque calque possède son propre réglage d'OPACITÉ,
son «degré de transparence». Si on dessine sur
un calque dont l'OPACITÉ est trop faible, on ne voit
pas ce qu'on fait.
Pour comprendre le problème, nous allons créer
la situation… Dans la palette des Calques, activez
le travail sur le Calque 1 de notre image de démonstration. Ensuite déplacez le curseur de réglage
d’OPACITÉ pour le régler, par exemple, à 50%, ce
curseur apparaît quand on clique sur la petite flèche
qui pointe vers la droite, à côté de l’indication 100%
dans le haut de la palette des Calques.
Maintenant activez le Pinceau, et faites en sorte que
le noir soit la couleur de la case de premier plan
dans la palette des outils. Dessinez avec le Pinceau,
qui a son OPACITÉ réglée à 100% (ça se voit dans ses
options en haut de l’écran). Remarquez comment
les traits noirs ainsi que les autres pixels du calque
apparaissent partiellement transparents, à 50%
d’OPACITÉ… on pourrait avoir l’impression que
les outils de dessin ne fonctionnent pas bien.
vérifiez
le Mode d’application
du calque sur lequel vous
dessinez
Lorsque les traits que vous dessinez sur un calque
semblent être sans effet, il se peut que ce soit ainsi
parce que le MODE D’APPLICATION du calque n’est
pas le mode NORMAL…
Chaque calque possède son propre réglage
de MODE D’APPLICATION. Quand le MODE D’APPLICATION d'un calque est réglé sur NORMAL, les pixels
de ce calque sont recouvrants… Ils ne laissent
pas voir les pixels du ou des calque(s) qui sont
en-dessous… À condition toutefois que le réglage
OPACITÉ du calque soit à 100%, bien entendu…
l'OPACITÉ d’un calque est un autre paramètre
Version 12/01.
2 2 1
que nous avons déjà évoqué et qui est tout à fait
indépendant du MODE D’APPLICATION : quel que
soit le MODE D’APPLICATION d’un calque, le réglage
d’OPACITÉ de ce calque peut rendre plus ou moins
transparents les pixels de ce calque.
Pour démontrer que le MODE D’APPLICATION
d'un calque pourrait être la cause d'un problème
quand on utilise un outil de dessin, nous allons recréer
le problème… Activez le travail sur le calque 1 de notre
image qui nous sert d’exemple, puis choisissez
le MODE D’APPLICATION OBSCURCIR dans le menu
MODE D’APPLICATION de la palette des Calques. À
ce moment, dans notre montage photographique,
les pixels du calque 1 ne se voient qu'aux endroits où
ils sont plus sombres que les pixels du ou des calque(s)
qui se trouvent en-dessous… ils ne se voient que là où
ils arrivent à OBSCURCIR le photomontage.
Choisissez du blanc pour la case d'échantillon
de couleur de premier plan, dans la palette des outils.
Cliquez sur l'oeil en face du calque de FOND pour que ce
calque ne soit plus visualisé dans le document de travail.
Si vous travaillez avec une version de Photoshop®
qui est plus ancienne que la version 6, vous devrez
d'abord double-cliquer sur le mot FOND sur la vignette
du calque de FOND pour le convertir en un calque
véritable. En effet, pour une question de sécurité
il est normalement impossible de réaliser certaines
opérations sur un calque de FOND.
Quand l’oeil est enlevé en face de la vignette du calque
de FOND dans la palette des Calques, votre document
de travail vous montre alors le contenu du Calque 1
entouré d’un damier gris et blanc qui symbolise
la transparence dans Photoshop®.
Maintenant assurez-vous que vous travaillez bien
sur le calque du dessus… sa vignette est bleutée.
Assurez-vous aussi que vous avez réglé son MODE D’APPLICATION sur OBSCURCIR. Dessinez sur l'image
avec le Pinceau, en blanc… Vous constatez que
les traits que vous amenez sur ce calque sont visibles.
C'est normal : bien qu'ils soient très clairs, ils arrivent
encore à obscurcir ce qui se trouve en dessous de ce
calque, c'est-à-dire de la transparence.
Maintenant, cliquez pour faire réapparaître l'oeil en
face du calque de fond. Les traits blancs sont toujours
bien présents sur le calque 1 mais désormais ils ne
sont plus visibles dans votre document. C'est logique :
ils ne vont à aucun endroit réussir à OBSCURCIR
les pixels du calque qui se trouve en-dessous.
Assurez-vous que le calque du dessus est toujours
celui qui est activé et choisissez maintenant que son
MODE D’APPLICATION soit ÉCLAIRCIR. Désormais
les pixels du calque ne se voient dans l'image qu'aux
endroits où ils éclaircissent les pixels du ou des calque(s)
qui sont en-dessous… Autrement dit les pixels
de ce calque qui est réglé en MODE D’APPLICATION
ÉCLAIRCIR ne sont apparents qu'aux endroits où
les pixels du ou des calque(s) qui sont en-dessous
sont plus foncés.
Maintenant, choisissez que ce soit du noir dans la case
d'échantillon de couleur de premier plan dans la palette
des outils, et dessinez sur l'image avec le Pinceau…
Les traits noirs sont bien présents dans le calque mais
ils ne sont pas visibles : à aucun endroit ils ne vont
réussir à ÉCLAIRCIR les pixels du ou des calque(s)
qui se trouvent en-dessous.
Version 12/01.
2 2 2
Assurez-vous que le calque du dessus est toujours
celui qui est activé et pour la suite de la formation
réglez son MODE D’APPLICATION sur NORMAL.
On peut alors voir les traits noirs sur le calque.
vérifiez l'option Préserver
les zones transparentes
du calque sur lequel vous
dessinez
Chaque calque possède une option PRÉSERVER
LES ZONES TRANSPARENTES, qu’on enclenche en
activant un calque dans la palette des Calques (en
cliquant sur sa vignette), puis en cochant la case qui
représente un damier gris et blanc à côté du mot
VERROU. Le calque de FOND a d’office l’option
PRÉSERVER LES ZONES TRANSPARENTES cochée,
par sécurité, et il n’est pas possible de la décocher
à moins d’avoir transformé ce calque de FOND
en un calque véritable, comme nous l’avons fait
précédemment.
Si vous essayez de dessiner sur la partie transparente
d’un calque alors que l’option PRÉSERVER LES ZONES
TRANSPARENTES est cochée pour ce calque, alors rien
de ce que vous faites n'apparaîtra. Dans ce cas, il suffit
de décocher cette option pour pouvoir à nouveau
dessiner à n'importe quel endroit du calque.
Nous allons essayer… Activez le travail sur le calque
du dessus, en cliquant sur sa vignette dans la palette
des Calques, et ensuite cliquez sur la case de l'option
PRÉSERVER LES ZONES TRANSPARENTES. Un V
doit alors se trouver sur cette case. Dessinez sur
l'image et remarquez comment les traits du Pinceau
ne sont apparents qu'aux endroits où il y a déjà
des pixels… Les traits ne sont pas appliqués dans
les zones transparentes. On arrive donc à dessiner
sur les demoiselles, mais pas autour, là où il n'y a pas
de pixels dans le calque 1.
vérifiez que vous n'avez
pas enclenché par erreur
le mode QuickMask®
Quand on enclenche par erreur le mode QUICKMASK®,
on peut avoir l’impression qu’un outil de dessin ne
fonctionne plus bien…
Dans le bas de la palette des outils, il y a deux
boutons l’un à côté de l’autre… ce sont les boutons
QUICKMASK®. La plupart du temps c’est le bouton
de gauche qui est enclenché. Ainsi, les sélections
apparaissent en pointillés au-dessus de l’image.
Quand on enclenche le bouton de droite, les sélections
sont alors visualisées en SEMI-TRANSPARENCE
sur l’image, un peu comme une COUCHE ALPHA
quand on clique sur l’oeil en face de sa vignette
dans la PALETTE DES COUCHES.
Pour comprendre ça, nous allons recréer la situation…
Affichez la PALETTE DES COUCHES. Faites une sélection
sur l'image, par exemple avec l'outil de sélection
rectangulaire. La sélection est visible sur l’image
sous forme de pointillés. Maintenant passez à l'autre
manière de voir les sélections… Dans la palette
des outils, cliquez sur le bouton QUICKMASK®.
Résultat : la sélection est maintenant visible en
SEMI-TRANSPARENCE au-dessus de l'image, comme
si on l'avait mémorisée en tant que COUCHE
ALPHA et comme si on avait cliqué sur l’oeil en
face de la vignette de cette COUCHE ALPHA dans
Version 12/01.
2 2 3
la PALETTE DES COUCHES. D'ailleurs, si vous
observez la PALETTE DES COUCHES, vous constatez
qu’une sorte de COUCHE ALPHA est bien apparue
à la suite des COUCHES CONSTITUTIVES RVB
de l'image (couches Rouge, Verte et Bleue)… c’est
la couche du QUICKMASK®.
Si on essaye de dessiner sur l’image à ce moment,
alors on voit que quand on dessine en noir c’est
du rouge transparent qui arrive sur l’image.
C’est parce le travail est automatiquement activé sur
cette couche supplémentaire générée par le bouton
QUICKMASK®. Les trois COUCHES CONSTITUTIVES
RVB de l'image sont visibles : l'oeil est affiché en face
des trois couches, mais elles sont désactivées : leurs
vignettes n'apparaissent plus en bleu. Et il est alors
possible de modifier à l'aide d'un outil de dessin
la sélection rectangulaire que vous avez réalisée, ce
qui était impossible au moment où elle était encore
sous forme de pointillés.
Cliquez sur l'icône de gauche du QUICKMASK® dans
la palette des outils… vous revenez en mode "Standard"
pour l'affichage des sélections… La sélection
réapparaît sous forme de pointillés et non plus en
SEMI-TRANSPARENCE.
Le mode QUICKMASK®, c'est donc la TRANSFORMATION
temporaire d'une sélection en COUCHE ALPHA, afin
de pouvoir modifier cette sélection avec les outils
de dessin.
c'est parfois parce
qu’une partie de l’image est
sélectionnée, et qu'on ne
peut pas dessiner ailleurs
Quand un outil de sélection est activé dans la palette
des outils il peut arriver qu'on donne un petit "coup
de souris" intempestif dans l'image, sans s'en rendre
compte. Une sélection minuscule est alors créée
sur l'image et on ne peut dessiner que dans cette
sélection : tout le reste de l'image est préservé. C’est
quelque chose qui arrive inévitablement à tous
les débutants dans Photoshop®.
Nous allons recréer le problème pour mieux
le comprendre… Cliquez sur l'outil de sélection
rectangulaire dans la palette des outils.
Bougez la souris au-dessus de l'image, cliquez et
relâchez tout de suite le bouton de la souris …
Normalement, cette opération aurait dû générer
une petite sélection sur l'image. Mettez-vous à
la place du débutant qui ne s'est pas rendu compte
qu'il vient de créer une sélection.
Si on essaye de dessiner sur l'image, alors les traits
n'auront d'effet que dans la partie de l'image qui
est sélectionnée, qui est peut-être très petite et
discrète sur l’image.
Il est très simple de savoir s'il existe une sélection
sur une image, sans même devoir la chercher
sur l'écran quand elle est très petite : si on vous
propose de DÉSÉLECTIONNER dans le menu
SÉLECTION, c'est la preuve qu'il existe une sélection
sur l'image. A ce moment allez dans le menu
SÉLECTION…DÉSÉLECTIONNER.
Version 12/01.
2 2 4
cela peut être dû aux
particularités de l'image sur
laquelle on travaille :
elle est peut-être en
mode Bitmap
L'image sur laquelle nous avons travaillé jusqu'à
présent est en mode RVB : elle peut contenir
un peu plus de 16 millions de nuances de couleurs,
toutes créées par le mélange de 3 lumières dosées
différemment.
Nous allons maintenant modifier le mode de cette
image ; nous allons la convertir en une image au
mode BITMAP. Pour transformer une image qui
est au mode COULEURS RVB en une image au
mode BITMAP, il faut d'abord la transformer en
une image au mode NIVEAUX DE GRIS… Cliquez
sur le menu IMAGE, allez sur la ligne MODE et, dans
le sous-menu qui apparaît, de descendez jusqu'à
la ligne NIVEAUX DE GRIS.
Comme l'image contient des calques, un message
vous demande si vous voulez ou non réunir les calques
en un seul (= APLATIR les calques). Cela n’a pas
d’importance pour ce qu’on fait ici, les calques seront
de toute manière réunis en un seul quand l’image sera
au mode BITMAP, car une image au mode BITMAP
ne peut pas contenir de calques.
On peut maintenant convertir cette image
du mode NIVEAUX DE GRIS au mode BITMAP : Menu
IMAGE…MODE …BITMAP.
Une boîte de dialogue s'ouvre… choisissez de faire
une conversion selon la méthode DIFFUSION et
gardez la RÉSOLUTION que Photoshop® vous
propose. La RÉSOLUTION est la densité de pixels
sur une distance donnée, généralement et par
habitude cette distance est le pouce anglais =
2,54 centimètres.
Pour visualiser correctement une image au
mode BITMAP, il faut absolument qu'elle soit affichée
à une échelle de 100%. Double-cliquez sur la LOUPE
dans la palette des outils pour que l'échelle soit
100%. Le réseau de pixels de l'image correspond alors
exactement au réseau de points de l'écran : chaque
pixel de l'image s'affiche sur un point de l'écran,
ni plus ni moins.
Remarquez comment l'image en mode BITMAP est
entièrement constituée de pixels qui sont uniquement
noirs ou blancs : c'est parce que dans une image
Bitmap chacun des pixels est défini par un seul
interrupteur informatique, qu’on appelle un BIT
(de l’anglais BINARY DIGIT), et qui ne peut prendre que
deux positions : soit il est ouvert, soit il est fermé.
Cela a pour conséquence que dans une image en
mode BITMAP chaque pixel peut prendre une "couleur"
choisie dans une palette de seulement deux "couleurs" :
le noir ou le blanc.
Par contre dans le cas d'une image au
mode COULEURS RVB chaque point est défini par
24 interrupteurs informatiques… À ce moment
chaque pixel peut prendre une couleur choisie
dans une palette de 16 millions de couleurs (même
un peu plus en réalité).
Version 12/01.
2 2 5
Votre image au mode BITMAP aurait peut-être été
plus intéressante si elle avait comporté un plus grand
nombre de pixels sur une distance donnée. C'est
souvent le cas avec les images au mode BITMAP…
on peut se le permettre puisque chaque pixel
d’une image au mode BITMAP utilise 24 fois moins
d’interrupteurs informatiques (les «bits») qu’une image
au mode COULEUR RVB…
En général en publication les images qui représentent
des logos monochromatiques, c’est-à-dire les logos
qui sont totalement noirs ou totalement d’une autre
couleur, sont au mode BITMAP. Ces images de logos
ont une RÉSOLUTION, c’est-à-dire une densité
des pixels sur une distance donnée, qui est plus
de deux fois supérieure aux autres images… en
général la RÉSOLUTION d’une image au mode BITMAP
est de 800 pixels par pouce, tandis que la RÉSOLUTION
d’une autre image dans la même publication sera
de 300 pixels par pouce, ce qui représente 2, 6 fois
moins de pixels sur une DISTANCE d’un pouce, et 7, 1
fois moins sur une SURFACE d’un pouce carré.
Dans Photoshop® les images au mode BITMAP ne
peuvent avoir que des pixels noirs ou blancs, mais
quand ces mêmes images seront dans un programme
de mise en page, elles pourront être colorisées
en une couleur… le noir du logo pourra prendre
n’importe quelle autre couleur, et le blanc du logo
pourra devenir éventuellement transparent si on
le souhaite (cette dernière option se décide dans
Photoshop® au moment où on enregistre l’image
Bitmap au FORMAT Photoshop® EPS.
Utilisez le menu EDITION en haut de l'écran et
la commande ANNULER BITMAP qui devrait se trouver
en haut de ce menu pour annuler la conversion et
revenir ainsi à l'image en NIVEAUX DE GRIS. Ainsi,
nous allons pouvoir recommencer la conversion
avec cette fois-ci une RÉSOLUTION plus élevée. Si
le menu EDITION en haut de l'écran ne vous permet
pas d'annuler la conversion en BITMAP (peut-être
avez-vous réalisé d'autres actions dans Photoshop®
depuis la conversion en BITMAP), utilisez la palette
HISTORIQUE qui permet de revenir de plusieurs
étapes en arrière.
Allez
ensuite à nouveau dans le menu
IMAGE…MODE BITMAP. Dans la boîte de conversion
vers le mode BITMAP vous trouvez plusieurs indications
sur la manière dont la conversion peut s’effectuer…
ENTRÉE : c'est la RÉSOLUTION de l'image avant
qu'elle ne soit convertie en mode BITMAP (ENTRÉE :
72 ppp ou pixels par pouce, c'est-à-dire 72 pixels sur
une distance de 2, 54 cm). SORTIE : c'est la RÉSOLUTION
de l'image après sa conversion en mode BITMAP :
(SORTIE : 72 ppp). Pour augmenter la précision que
l'image aura lorsqu'elle sera en mode BITMAP, tapez
par exemple 200 en RÉSOLUTION de sortie.
Assurez-vous que la méthode de conversion est
toujours bien DIFFUSION. C’est une méthode qui
convient bien aux photographies, tandis que
la méthode SEUIL 50%, par exemple, conviendra
mieux pour les logos monochromatiques.
Une fois que l’image est convertie, double-cliquez
sur la LOUPE dans la palette des outils pour afficher
l'image à une échelle de 100%.
Revenons au sujet de ce chapitre, après quelques
informations sur les images au mode BITMAP…
Pourquoi les outils de dessin ne fonctionneraientils pas bien quand on travaille sur une image
au mode BITMAP?
Supposons que vous vouliez dessiner des nuances
dans les cheveux des personnages : double-cliquez sur
la case de la couleur de premier plan dans la palette
des outils… dans le SÉLECTEUR DE COULEURS qui
s’ouvre, choisissez un gris foncé… le SÉLECTEUR
Version 12/01.
2 2 6
est réglé en mode T, c'est plus facile pour choisir
les couleurs). Lorsque vous avez choisi votre nuance
de gris foncé, cliquez sur le Pinceau dans la palette
des outils et dessinez sur l'image… Vous remarquez
que les traits gris foncé sont noirs.
Maintenant double-cliquez sur la case de la couleur
de premier plan dans la palette des outils, et choisissez
un gris clair dans le SÉLECTEUR DE COULEUR.
Cliquez sur le Pinceau dans la palette des outils et
dessinez sur l'image. Vous remarquez que les traits
gris clair sont blancs.
Tout cela, c’est parce que vous travaillez sur une image
au mode BITMAP… Elle ne peut contenir que des pixels
totalement noirs ou totalement blancs.
Avec les images au mode BITMAP, il vaut donc
mieux avoir fait les retouches subtiles au moment où
elles sont encore au mode NIVEAUX DE GRIS.
cela peut être dû aux
Options du stylet
Il se pourrait que l'option EPAISSEUR : OPACITÉ
soit enclenchée. Dans ce cas, si vous appuyez trop
faiblement avec le stylet sur la tablette, le trait n'est
pas visible. Il suffit d'appuyer plus fortement pour
que les traits se marquent, ou de choisir l’option
EPAISSEUR : DÉSACTIVER à la place de EPAISSEUR :
STYLET dans la palette des options de l'outil
de dessin.
Il y a aussi la possibilité de faire varier l’EPAISSEUR
des traits avec le stylet… si elle est enclenchée EN
PLUS de l’option EPAISSEUR : OPACITÉ, et qu’on
n’appuie pas assez sur la tablette, alors ça ne fait
qu’empirer les choses… les traits sont encore moins
visibles dans l’image.
L’option COULEUR peut également poser problème…
et là ce sera peut être si on appuie beaucoup sur
le tablette! En effet, l’option COULEUR fait en sorte
qu’on dessine soit avec la couleur de la case de premierplan de la palette des outils, soit avec la couleur
de la case d’arrière-plan… c’est selon la pression
qu’on exerce avec le stylet sur la tablette.
Activez un outil de dessin dans la palette des outil . En
haut à droite sur l’écran vous devriez voir une icone
de Pinceau… Cliquez sur cette icone… Les options
qui concernent le STYLET et la TABLETTE GRAPHIQUE
sont là.
Version 12/01.
2 2 7
10. Lorsqu'un outil
de dessin semble ne pas
fonctionner, c’est peut-être
parce qu’on a fait en sorte
qu'une partie du calque
sur lequel on essaye
de dessiner n’apparaisse
pas dans l'image, en réglant
ses Curseurs d’écrêtage
Des traits de Pinceau qu'on amène dans un calque
n'apparaissent pas s'ils ont la même intensité que
les zones de ce calque qui ne peuvent pas s'afficher
suite aux réglages effectués dans les CURSEURS
D’ÉCRÊTAGE.
les voir qu'en réglant à nouveau les CURSEURS
D’ÉCRÊTAGE du calque… Double-cliquez à nouveau
sur la vignette du calque 1. Déplacez le curseur tout
à fait à droite : les robes des personnages ainsi que
les traits réapparaissent.
C'est exactement le même phénomène qui se produit
quand on rend invisibles les pixels sombres du calque,
en bougeant l’indicateur noir sur la gamme de gris
du haut dans les STYLES DE CALQUE : à ce moment
si on dessine sur le calque avec des tons sombres,
cela ne se verra pas, puisque les zones les plus foncées
auront été coupées.
Ici, 28
Pour provoquer ce problème ici, on pourrait décider
de créer un effet de transparence dans les vêtements
des personnages, qui sont dans la plage d'intensité
lumineuse des tons clairs, et faire apparaître la neige
du calque de fond à travers ceux-ci.
Double-cliquez sur le calque 1 qui contient les personnages. On obtient alors la boîte des STYLE DE CALQUE,
qu’on obtient aussi en allant dans le menu CALQUE…
STYLE DE CALQUES… OPTIONS DE FUSION.
Coupez les parties blanches pour rendre les vêtements
des personnages transparents : sur le curseur du haut
qui montre une gamme de gris, bougez vers la gauche
l’indicateur blanc de droite, qui représente les pixels
les plus clairs.
Maintenant voyons ce qu'il se passe si on essaie
de dessiner avec des tons clairs sur ce calque…
Choisissez le blanc en couleur de premier plan dans
la palette des outils. Dessinez sur l'image. Les traits
ne se marquent pas quand on dessine sur ce calque
puisque le blanc est coupé. Les pixels blancs sont
réellement appliqués sur le calque mais on ne pourra
Version 12/01.
2 2 8
8. Quelques exercices
d’application
8.1.
Exercices
avec les Couleurs
1. Créer une gamme de tons au départ d’une photographie, par la méthode de l’échantillonnage:
pipette et palette nuancier. Enregistrer et charger
un nuancier.
2. Créer des gammes de tons avec un programme
qui aide à choisir des harmonies de couleurs: HOT
DOOR® HARMONY® ou COLORTHEORY® pour
Photoshop®. Exportation des harmonies en tant
que nuancier de Photoshop®.
8. Quelques exercices d’application
Version 12/01.
2 2 9
d’application
8.2.
Exercices
avec les Instantanés
1. Modifier les bords d’une image pour leur donner,
par exemple, un aspect cRAYONné. Le but est
de créer des mises en page de catalogues qui
soient attrayantes: ouvrir l’image à traiter. Remplir
de la couleur de fond qui sera utilisée dans la mise
en page (RGB… ou en CMJN), récupérer l’image avec
une FORME DE BROSSE graphique de Photoshop®
ou avec une FORME DE BROSSE créée au départ
d’un scan de dessin. Si on va trop loin, dessiner avec
la FORME DE BROSSE pour appliquer la couleur
RGB… ou CMJN correspondant à la couleur de fond
dans la mise en page.
Version 12/01.
2 3 0
d’application
8.3.
Exercices
avec les Calques
1. Sur une photographie, atténuer le décor pour
mettre en valeur le sujet principal. Rendre le fond
flou en utilisant le filtre FLOU GAUSSIEN, ou le filtre
FLOU DIRECTIONNEL. Attention, le sujet principal
participe à la création du flou… C’est mieux quand
on le sélectionne et qu’on le copie sur un calque,
et qu’on sélectionne le fond (inverse du sujet) et
qu’on le copie sur un calque aussi. Le calque de fond
reste l’image non modifiée et on applique le flou
sur le calque qui contient le décor sans le sujet…
Ainsi le sujet ne participe pas à la création du flou.
Démo avec l’image DANSE_11 qui contient déjà
une COUCHE ALPHA pour réaliser la sélection sur
le personnage de l’avant-plan.
2. Avec un STYLET, tracer des dessins en lignes claires,
en s’aidant d’une photographie.
3. Adaptation infographique de la technique photographique du FLASH AU SECOND RIDEAU. Le but
est de procurer la sensation visuelle qu’un objet
photographié était en mouvement au moment
de la prise de vue. Exemple avec image VITESSE. On
pourrait aussi utiliser le module externe ANDROMEDA®
VELOCIRAPTOR®, mais il n’est pas tellement intéressant… On peut s’en sortir avec le Les outils
de Photoshop®. Voir comment faire une trajectoire
courbe en utilisant le filtre CISAILLEMENT.
Version 12/01.
2 3 1
d’application
8.4.
Exercices
avec les Filtres
1. Positionner parfaitement et facilement le centre
d’un flou RADIAL. Exercice avec la voiture en perspective
en mouvement.
Version 12/01.
2 3 2
9. Autres questions
de révision
9.1.
pour l’examen
Questions diverses
9. Autres questions de révision
Version 12/01.
2 3 3
4. Parmi toutes affirmations à propos
des méthodes d’interpolation des pixels proposées
dans la boite TAILLE DE L’IMAGE de Photoshop®,
A. L’interpolation AU PLUS PROCHE donne
le résultat le plus correct quand on modifie
le nombre de pixels d’une image.
B. L’interpolation PYRAMIDE donne le résultat
le plus correct quand on modifie le nombre
de pixels d’une image.
C. L’interpolation AU PLUS PROCHE donne
le résultat le plus correct quand on modifie
le nombre de pixels d’une image qui représente un graphique d’analyse.
D. L’interpolation
BICUBIQUE
est
la méthode d’interpolation la plus rapide quand
on modifie le nombre de pixels
d’une image.
Version 12/01.
2 3 4
Un graphique d’analyse, constitué de barres qui
représentent le résultat d’un sondage par exemple,
présente souvent des bords nets. Si on utilise
l’interpolation AU PLUS PROCHE quand on modifie
le nombre de pixels qui constituent ce graphique
d’analyse, alors il reste net. Par contre si on utilise
l’interpolation BICUBIQUE quand on modifie le nombre
de pixels qui constituent ce graphique d’analyse,
alors il devient flou.
Pourtant l’interpolation BICUBIQUE est la plus
performante quand il s’agit de modifier le nombre
de pixels d’une image photographique. C’est
parce que l’interpolation BICUBIQUE recrée
des pixels au départ des pixels de l’image, pour
minimiser les pertes de qualité qu’entraîne
le redimensionnement. Dans le cas d’une image
photographique, le léger flou qui en résulte n’est
pas gênant du tout.
L’interpolation PYRAMIDE n’existe pas. Il existe bien
un format d’image qui porte ce nom, et qui a été
popularisé par le logiciel Live Picture®. Ce format
d’image, utilisé avec les logiciels qui exploitent
la technologie d’affichage FITS®, permet de ne
charger dans les circuits de l’ordinateur que la partie
d’image sur laquelle on travaille. Cette caractéristique
permet de travailler rapidement des images qui
sont très lourdes d’un point de vue informatique,
des images pouvant aller jusqu’à 400 ou 500 Mégas,
voire même plus.
Le logiciel LIVE PICTURE®, qui exploitait la technologie
du format d’image PYRAMIDE, la technologie
d’affichage FITS®, est le seul logiciel qui ait jamais
constitué une menace sérieuse pour Photoshop® dans
les milieux professionnels. Il est aujourd’hui disparu,
victime comme d’autres logiciels d’une mauvaise
distribution. En disant cela je pense notamment au
logiciel de dessin ARTMIXER®, créé par le génial
ERIC WENDER qui a entre autres choses créé aussi
le logiciel BRYCE®.
Depuis la disparition du logiciel LIVE PICTURE® j’ai
vu un site INTERNET sur lequel il y avait un système
de zoom très performant sur les images, c’étaient
des oeuvres d’art. Ce système était basé sur la technologie du format PYRAMIDE, la technologie
d’affichage FITS®.
J’ai aussi vu un logiciel grand public,
distribué par BINUSCAN®, de MONACO SYSTEM®,
qui s’appelle WATCH AND SMILE®, et qui utilise aussi
la technologie d’affichage FITS®.
Depuis Photoshop® 6, on peut enregistrer des images
au format TIFF avec l’option PYRAMIDE. Pour avoir
cette option quand on enregistre une image au format
TIFF, il faut avoir coché la case qui s’appelle ACTIVER
LES OPTIONS D’ENREGISTREMENT TIFF AVANCÉES,
dans la boite de réglage qui apparaît quand on va
dans EDITION…PRÉFÉRENCES…ENREGISTREMENT
DES FICHIERS.
Le logiciel PAINTER® permet également d’enregistrer
au format Pyramide.
Version 12/01.
2 3 5
1. Depuis la version 6 de Photoshop® il est
possible d’intégrer du texte à des images en
faisant en sorte que ce texte soit considéré par
la flasheuse ou l’imprimante POSTSCRIPT® comme
étant un élément vectoriel. Le texte contenu
dans l’image est donc sorti sur les films OFFSET
ou sur le papier à la plus haute résolution que
la flasheuse ou l’imprimante peut gérer. Dans le cas
de la flasheuse cela peut aller jusqu’à une résolution
de 2400 dpi. Le reste de l’image, les pixels, sont
en général traités à une résolution de 300 dpi.
Quelle est la technologie qui permet de réaliser
cela? Indiquez la seule réponse valable parmi
ces quatre propositions.
A. La possibilité d’utiliser des polices
TRUETYPE dans Photoshop®.
B. La possibilité de vectoriser le texte dans
Photoshop®.
C. La possibilité d’exporter l’image en tant
que fichier DCS 2.0.
D. La possibilité d’exporter l’image en tant
que fichier PDF dans Photoshop®.
Version 12/01.
2 3 6
Depuis la version 6 de Photoshop® il est en effet
possible d’exporter une image au format PDF
(PORTABLE DOCUMENT FORMAT). Un document au
format PDF est capable de contenir une multitude d’informations de natures différentes… Des pixels,
des COUCHES ALPHA, des TRACÉS DE DÉTOURAGE,
des BLOCS DE TEXTE, des POLICES DE CARACTÈRE,
des ÉLÉMENTS VECTORIELS comme des logos.
Le PDF n’est pas qu’un format d’image, c’est en réalité
un langage de description de pages. On peut aussi
créer des fichiers PDF au départ de logiciels tels
que ILLUSTRATOR® et InDesign®. Il est probable
que dans les années à venir le PDF remplacera
certainement l’autre langage de description de pages
actuellement très répandu et plus ancien (1985),
le POSTSCRIPT®, qui tout comme le PDF a aussi
été mis au point par ADOBE®.
En enregistrant au format PDF, au départ
de Photoshop®, des images qui contiennent du texte
on conserve tout le détail des caractères qui composent
ce texte. Le texte n’est donc plus pixéllisé et flou
comme c’était le cas avec les versions précédentes
de Photoshop®.
La réponse A est fausse. Vous pouvez utiliser
des polices de type TRUETYPE dans Photoshop®,
mais vous comprendrez rapidement que Photoshop®
préfère des POLICES VECTORIELLES, ce qu’on
appelle des POLICES DE TYPE 1. Ce n’est pas
étonnant… Les POLICES DE TYPE 1 ont été mises
au point par ADOBE®. Avec les polices TRUETYPE
on ne peut pas déformer du texte dans Photoshop®,
en utilisant le nouveau système de déformation par
enveloppes qui est proposé depuis la version 6 de ce
logiciel. Tandis qu’avec des POLICES DE TYPE 1 c’est
possible. Dans de rares cas des polices TRUETYPE
ne s’intègrent pas bien à une image enregistrée au
format PDF. Tandis que des polices vectorielles ne
posent jamais de problèmes.
La réponse B est fausse. Il est possible de vectoriser
du texte dans Photoshop®, mais ce n’est pas spécifiquement cette technique qui permet de faire
en sorte que le texte contenu dans l’image soit
sorti sur les films OFFSET ou sur le papier à la plus
haute résolution que la flasheuse ou l’imprimante
peut gérer.
La réponse C est fausse. Le format DCS 2.0 (DESKTOP
COLOR SEPARATION) permet d’enregistrer une image
qui contient des COUCHES DE TONS DIRECTS. Mais
ce n’est pas cette technique qui permet de faire
en sorte que le texte contenu dans l’image soit
sorti sur les films OFFSET ou sur le papier à la plus
haute résolution que la flasheuse ou l’imprimante
peut gérer.
Version 12/01.
2 3 7
1. Parmi toutes les affirmations suivantes qui
parlent des fonctions de TRANSFORMATION
de Photoshop®, laquelle est la seule fausse?
A. Lorsqu’une sélection est active sur
une image, on peut aller dans le menu EDITION
et descendre jusqu’à la ligne de commande qui
s’appelle TRANSFORMATION MANUELLE.
B. Lorsque la vignette d’un tracé vectoriel
est activée, on peut aller dans le menu
EDITION et descendre jusqu’à la ligne
de commande qui s’appelle TRANSFORMATION
MANUELLE DU TRACÉ.
C. Lorsqu’une sélection est active sur
une image, on peut aller dans le menu
SÉLECTION et descendre jusqu’à la ligne
de commande qui s’appelle TRANSFORMER
LA SÉLECTION.
D. Lorsqu’un texte est sélectionné avec
l’outil texte, on peut aller dans le menu
TEXTE et descendre jusqu’à la ligne
MANUELLE DU TEXTE.
Version 12/01.
2 3 8
Parmi les quatre propositions c’est la seule affirmation
qui est fausse : il n’y a pas de menu qui s’appelle TEXTE.
Il y a bien un sous-menu qui s’appelle TEXTE,
dans le menu CALQUES en haut de l’écran, mais
il ne contient pas de ligne de commande qui
s’appelle TRANSFORMATION MANUELLE DU TEXTE.
Cette ligne de commande n’existe nulle part dans
Photoshop®.
Pourtant
il
est
possible
d’effectuer une
TRANSFORMATION MANUELLE sur du texte. Il suffit
que l’outil TEXTE NE SOIT PAS ACTIVÉ dans la palette
des outils, et que ce ne soit pas non plus un des outils
de création de tracés vectoriels qui soit activé dans
la palette des outils. Par exemple on active l’OUTIL
DE DÉPLACEMENT dans la palette des outils. Alors
à ce moment il est possible d’aller jusqu’à la ligne
MANUELLE dans le menu EDITION, et d’agrandir,
de rétrécir, de tourner le texte, ou bien encore de
le pencher, mais toutefois pas de le tordre comme on
peut le faire quand on modifier des pixels.
Version 12/01.
2 3 9
des
raccourcis-clavier,
laquelle
est
la seule fausse?
A. Les raccourcis-clavier sont souvent
les mêmes dans la version anglaise
d’un logiciel et dans la version française.
B. Les raccourcis-clavier permettent parfois
d’accéder à des fonctions d’un logiciel qui sont
autrement inaccessibles par les menus.
C. Les raccourcis-clavier sont différents
suivant qu’on utilise un ordinateur avec
un clavier européen ou avec un clavier
anglo-saxon.
D. Les raccourcis-clavier permettent d’accéder plus rapidement aux fonctionnalités
d’un logiciel.
Version 12/01.
2 4 0
Parmi ces quatre affirmations à propos des raccourcisclavier, seule celle de la réponse C est fausse. En effet,
il est faux de dire que les raccourcis-clavier sont
différents suivant qu’on utilise un ordinateur avec
un clavier européen ou avec un clavier anglo-saxon.
Les touches ne sont pas positionnées au même
endroit sur un clavier européen et sur un clavier
anglo-saxon, cependant les touches qu’il faut
enfoncer pour enclencher un raccourci-clavier sont
les mêmes.
Version 12/01.
2 4 1
3. Parmi tous ces termes, lequel ne peut en
aucun cas désigner une photographie qui a été
retouchée dans Photoshop® :
A. Image BITMAP.
B. Image MATRICIELLE.
C. Image EX NIHILO.
D. Image NUMÉRIQUE.
Version 12/01.
2 4 2
Par définition une image EX NIHILO est une image qui
a été créée au départ de rien, au départ d’un document
vierge dans Photoshop®. Quand on commence
un travail dans Photoshop® au départ d’une photographie il ne s’agit donc pas d’une image EX
NIHILO.
Par contre une photographie retouchée dans
Photoshop® peut très bien être appelée une image
BITMAP. La traduction française de IMAGE BITMAP est
IMAGE MATRICIELLE, c’est le nom qu’on donne aux
images qui sont constituées de pixels. En français,
le terme anglais est plus souvent utilisé que le
terme français.
Une photographie retouchée dans Photoshop® est
évidemment aussi une image NUMÉRIQUE.
Version 12/01.
2 4 3
5. Parmi toutes ces explications sur ce
qu’est un MODULE EXTERNE, laquelle est
la seule vraie?
A. C’est une option qu’on ajoute à un logiciel
pour que plus de personnes puissent l’utiliser
en même temps sur un réseau intranet.
B. C’est un logiciel qui ajoute des fonctionnalités à un autre logiciel.
C. C’est un appareil connecté à l’ordinateur
afin d’étendre ses capacités.
D. C’est un mécanisme qu’on ajoute à
un trépied d’appareil photo numérique
pour pouvoir prendre des prises de vue
adaptées à la création de panoramiques en
réalité virtuelle.
Version 12/01.
2 4 4
Un MODULE EXTERNE est un logiciel qui ajoute
des fonctionnalités à un autre logiciel. Généralement
les MODULES EXTERNES ont été créés pour
Photoshop® par d’autres firmes indépendantes
de ADOBE®. Les MODULES EXTERNES fonctionnent
également avec d’autres logiciels qui permettent de
manipuler les images constituées de pixels… Ces
logiciels sont par exemple ADOBE AFTEREFFECTS®,
ADOBE PREMIERE®, COREL PAINTER®, JASC PAINT
SHOP PRO®, ULEAD PHOTOIMPACT®, etc.
Les
firmes
indépendantes
qui
créent
ces
MODULES EXTERNES sont, parmi les plus connues…
EXTENSIS®, ALIEN SKIN®, XAOS®. Ces firmes
sont appelées TIERCES PARTIES dans le jargon
de l’informatique, THIRD PARTY en anglais. Et
les MODULES EXTERNES sont appelés en anglais
des PLUG-IN’S. En français on les appelle aussi parfois
des EXTENSIONS, dans certains logiciels.
Version 12/01.
2 4 5
2. Parmi toutes ces affirmations à propos du prix
d’un logiciel en version française, laquelle est
la seule vraie?
A. Un logiciel en version française coûte
souvent plus cher que la version anglaise.
B. Un logiciel en version française coûte
souvent le même prix que la version
anglaise.
C. Un logiciel en version française coûte
souvent moins cher que la version
anglaise.
D. Un logiciel en version française coûte
souvent moins cher que la version anglaise
quand on l’achète dans un pays francophone.
Version 12/01.
2 4 6
On paye les frais de traduction, qui ne sont pas
amortis par un grand nombre de licences vendues.
Il y a au moins deux raisons à cela. La première
est que dans les pays européens francophones le
piratage est très répandu. Vous connaissez sans doute
plein de gens qui ont le logiciel Photoshop® chez
eux… Combien possèdent une licence en règle?
Ensuite il y a aussi le fait que dans l’autre grand pays
francophone, le Québec, les logiciels sont utilisés
principalement en version anglaise.
La réponse B est fausse.
Version 12/01.
2 4 7
3. Quand Photoshop® a-t-il été commercialisé
pour la première fois?
A. 1985.
B. 1987.
C. 1989.
D. 1991.
Version 12/01.
2 4 8
Photoshop® a été commercialisé pour la première
fois en 1989.
ILLUSTRATOR® est plus ancien : 1987.
En 2004, le graduat en TECHNIQUES INFOGRAPHIQUES
de la HAUTE ECOLE ALBERT JACQUARD accueillera
pour la première fois des étudiants qui auront le même
âge qu’un des logiciels qu’ils étudieront.
Version 12/01.
2 4 9
de ADOBE POSTSCRIPT®, laquelle est
la seule vraie?
A. C’est un langage informatique de description de page.
B. C’est un ancien logiciel de mise en page,
moins évolué que INDESIGN®.
C. C’est un ancien logiciel d’illustration vectorielle moins évolué que ILLUSTRATOR®.
D. C’est un langage informatique qui permet
l’automatisation du travail entre les logiciels
graphiques ADOBE®.
Version 12/01.
2 5 0
est : A.
La réponse B est fausse. Toutefois, il existe d’autres
logiciels de mise en page plus anciens et moins évolués
que INDESIGN®… Notamment ADOBE PAGEMAKER®,
qui tout comme le logiciel MACROMEDIA FREEHAND®,
a été créé à l’origine par la firme ALDUS®. Au début
de la Publication Assistée par Ordinateur (PAO), en
1986, ALDUS PAGEMAKER® était le seul logiciel
disponible pour faire de la mise en page. Plus tard
ADOBE® a racheté la firme ALDUS®.
Version 12/01.
2 5 1
1. On peut créer une ou plusieurs lignes droites
avec un outil de dessin dans Photoshop®, sans
même devoir utiliser un tracé comme guide à
l’outil de dessin. Parmi toutes ces affirmations à
ce sujet, laquelle est la seule vraie?
A. Pour créer une ligne droite avec un outil
de dessin dans Photoshop® il faut désactiver
l’option MAIN LIBRE, qui est une option qui
existe pour tous les outils de dessin.
D. Pour créer une ligne droite avec un outil
de dessin dans Photoshop® il faut cliquer
une fois seulement pour indiquer à
Photoshop® où commence la ligne qui va
être droite. Ensuite, sans enfoncer le bouton
de la souris, il faut positionner le pointeur
à l’endroit où la ligne doit finir, et il faut
enfoncer la touche MAJUSCULE au clavier,
la garder enfoncée et cliquer … à ce moment
la ligne droite se trace.
B. Pour créer une ligne droite avec un outil
de dessin dans Photoshop® il faut activer
l’option LIGNES DROITES, qui est une option
qui existe pour tous les outils de dessin.
C. Pour créer une ligne droite avec un outil
de dessin dans Photoshop® il faut enfoncer
la touche MAJUSCULE, la garder enfoncée
et bouger le pointeur sur l’image. La ligne
qui se crée est alors bien droite car la touche
MAJUSCULE est une touche de contrainte.
Lorsque la ligne droite est tracée comme
on le souhaite, il faut relâcher la pression
sur le bouton de la souris et ensuite seulement relâcher la pression sur la touche
MAJUSCULE au clavier.
Version 12/01.
2 5 2
est : D.
La réponse A est fausse. C’est dans COREL PAINTER®
qu’il y a pour les outils de dessin une option qui
s’appelle MAIN LEVÉE.
La réponse B est fausse. C’est dans COREL PAINTER®
qu’il y a pour les outils de dessin une option qui
s’appelle LIGNES DROITES.
La réponse C est fausse. Enfoncer la touche
MAJUSCULE, la garder enfoncée et bouger le pointeur
sur l’image, çà fonctionne mais les lignes droites ne
peuvent être que verticales ou horizontales, ce n’est
donc pas une fonctionnalité intéressante.
Version 12/01.
2 5 3
2. Parmi toutes ces explications à propos du PAS
d’un outil de dessin, quelle est la seule exacte?
A. C’est le réglage qui permet de dessiner
des traits pointillés avec un outil
de dessin.
B. C’est le réglage du lissage des pixels qui
permet de faire en sorte que les traits ne
présentent pas un aspect crénelé.
C. Quand on dessine un trait dans Photoshop®,
ce que fait Photoshop® en réalité c’est
répéter plusieurs fois la forme de la brosse. En
réglant le pas sur 10% par exemple, la FORME
DE BROSSE est répétée tous ses dixièmes
de diamètre tout au long du trait.
D. Au plus on augmente le réglage de PAS
d’un outil de dessin, au plus les parties
transparentes du calque sur lequel on dessine
sont préservées des effets de cet outil.
Donc seules les parties non transparentes
des calques, c’est-à-dire là où il y a déjà
des pixels, sont affectées par un outil de dessin
dont le PAS est réglé à 100%.
Version 12/01.
2 5 4
est : C.
La réponse A est fausse. C’est vrai que lorsqu’on
règle le PAS d’un outil de dessin sur une valeur
élevée on obtient des pointillés, mais le but de ce
réglage n’est pas d’obtenir des traits pointillés. La
réponse C explique mieux ce qu’est le PAS d’un
outil de dessin.
La réponse B est fausse. Il est vrai qu’en diminuant le
PAS d’un outil de dessin on peut obtenir des traits
plus lisses, surtout quand on utilise des grosses
formes de brosse. Mais dans ce cas il ne s’agit pas
d’atténuer l’aspect crénelé caractéristique des traits
constitués d’une succession de pixels, il s’agit plutôt
d’atténuer l’aspect irrégulier des traits constitués
d’une succession d’une forme de brosse répétée.
La réponse D est fausse. Cette explication est fausse
et absurde. Elle mélange le concept de PAS avec le
concept PRÉSERVER LA TRANSPARENCE, alors qu’il
n’ont rien à voir l’un avec l’autre.
Version 12/01.
2 5 5
3. Comment crée-t-on une FORME DE BROSSE
personnalisée dans Photoshop®? Parmi toutes ces
solutions proposées, quelle est la seule vraie?
A. Il faut dessiner la FORME DE BROSSE sur
papier, la numériser avec un scanner, puis
l’envoyer par email à ADOBE®. Ensuite assez
rapidement on reçoit par email un fichier à
copier dans le dossier de Photoshop®, plus
précisément dans le dossier FORMES. Dès
qu’on relance Photoshop® on trouve dans
la palette des FORMES la FORME DE BROSSE
qu’on avait créée. Le service est gratuit mais
uniquement réservé à ceux qui possèdent
une licence en règle de Photoshop®.
B. Il faut créer une sélection autour de la partie
d’image qui contient une image de la forme
qu’on veut utiliser avec un outil de dessin,
ensuite il faut aller dans le menu EDITION et
activer la ligne CRÉER UNE FORME.
C. Il faut créer une sélection autour
de la partie d’image qui contient une image
de la forme qu’on veut utiliser avec un outil
de dessin, ensuite il faut aller dans le menu
de la palette des FORMES et activer la ligne
NOUVELLE FORME.
D. Il faut ouvrir une image de la FORME
DE BROSSE qu’on veut utiliser avec
un outil de dessin, en activant la ligne
de commande OUVRIR dans le menu
de la palette des FORMES.
Version 12/01.
2 5 6
Pour que ça fonctionne, il faut savoir que la sélection
doit être rectangulaire, et avoir un CONTOUR
PROGRESSIF réglé sur 0.
La réponse C est fausse. La ligne de commande
NOUVELLE FORME dans le menu de la palette des
FORMES sert à créer une forme de brosse standard
de Photoshop®, pas une forme de brosse qui a
capturé une partie d’image.
La réponse D est fausse. Il n’y a pas de ligne de
commande qui s’appelle OUVRIR dans le menu de
la palette des FORMES. Il existe bien une ligne de
commande qui s’appelle CHARGER LES FORMES…
Cette ligne de commande sert à charger des bibliothèques de formes qui se trouvent sur un disque
dur ou sur un cd-rom.
Version 12/01.
2 5 7
5. Vous vous trouvez dans la version
anglaise du logiciel Photoshop®, ou vous lisez
un article de presse qui parle de la version anglaise.
Et à un certain moment vous voyez le mot LAYERS.
De quoi s’agit-il?
A. Il s’agit des COUCHES CONSTITUTIVES
des images.
B. Il s’agit des COUCHES DE SÉLECTIONS
MÉMORISÉES.
C. Il s’agit des tracés vectoriels.
D. Il s’agit des CALQUES.
Version 12/01.
2 5 8
LAYERS est le nom qui est donné aux CALQUES dans la
version anglaise de Photoshop®. Pourtant, le mot anglais
LAYERS se traduit par COUCHES en français.
A mon avis LAYERS est un terme plus approprié
pour désigner ce que sont les calques, car dans
Photoshop® les calques agissent vraiment comme
des strates empilées qui servent à construire des
images.
La réponse A est fausse. Les COUCHES CONSTITUTIVES
des images sont appelées CHANNELS dans la version
anglaise de Photoshop®. CHANNEL veut dire CANAL
en anglais. Encore une fois le terme anglais me
parait plus approprié que le terme français, car les
COUCHES CONSTITUTIVES des images agissent
vraiment comme des CANAUX qui contiennent les
trois constituants primaires des couleurs. Décrire
ainsi la couleur par trois constituants primaires est
une des manières de simplifier la description des
couleurs en infographie. L’autre manière c’est la
TABLE D’ALLOCATION DES COULEURS, ou LOOKUP
TABLE, qui est plutôt utilisée avec les images pour
le MULTIMEDIA ou l’INTERNET.
La réponse B est fausse. Les COUCHES DE SÉLECTIONS
MÉMORISÉES sont appelées COUCHES ALPHA, ou
ALPHA CHANNELS en anglais.
La réponse C est fausse. Un tracé vectoriel est appelé
PATH en anglais, ou CLIPPING PATH quand il s’agit
d’un tracé de détourage.
Version 12/01.
2 5 9
2. Parmi ces propositions, quelle est la seule définition valable pour expliquer ce qu’est
le PRESSE-PAPIER?
A. C’est une fonctionnalité de Photoshop®
qui permet de ramener tous les calques
d’une image en un seul. Cela permet
d’enregistrer l’image dans un format qui
n’accepte pas les calques, comme le FORMAT
Photoshop® EPS par exemple.
B. C’est une partie des circuits de l’ordinateur qui est utilisée quand on fait passer
des informations d’un logiciel à un autre
ou d’un logiciel à lui-même, en utilisant
les fonctionnalités de COPIER/COLLER.
C. C’est une fonctionnalité de Photoshop® qui
permet de prévisualiser sur l’écran la dégradation des couleurs qui surviendra lorsque
l’image sera imprimée en OFFSET.
D. C’est un système qui permet de récupérer
de l’espace-mémoire afin de pouvoir travailler
sur des images très lourdes. Pour cela, il suffit
d’aller dans le menu EDITION…PURGER
PRESSE-PAPIER.
Version 12/01.
2 6 0
Quand on va dans le menu EDITION…COPIER,
EDITION…COUPER ,
EDITION…COLLER ,
EDITION…COLLER DEDANS, on utilise le PRESSEPAPIER qui est en effet une partie des circuits
de l’ordinateur qui est utilisée quand on fait passer
des informations d’un logiciel à un autre ou d’un logiciel
à lui-même. Il s’agit là d’une définition très simplifiée
du PRESSE-PAPIER, il faut tout de même le dire.
La réponse D est fausse. C’est vrai que le fait d’aller
dans le menu EDITION…PURGER PRESSE-PAPIER
permet parfois de récupérer de la mémoire afin
de pouvoir travailler sur des images très lourdes. Mais
il est faux de dire que le but du PRESSE-PAPIER est
de permettre de récupérer de la mémoire, comme
la réponse le laisse entendre.
La réponse A est fausse. Pour ramener tous les calques
d’une image en un seul, il faut utiliser la ligne de
commande APLATIR, dans le menu Calques en
haut de l’écran ou dans le menu de la palette des
Calques. C’est vrai que le FORMAT Photoshop® EPS
ne permet pas d’enregistrer une image avec des
calques. Il n’y a que deux formats qui permettent
d’enregistrer des images avec des calques, ce sont les
FORMATS Photoshop® et PHOTOSHOP PDF. Il n’est
toutefois pas nécessaire d’APLATIR une image avant
d’aller dans la boite ENREGISTRER SOUS quand
on veut enregistrer cette image dans un format
qui n’est pas capable d’intégrer les calques… En
effet, dans la boite ENREGISTRER SOUS, il suffit de
décocher l’option CALQUES pour qu’au moment
de l’enregistrement les calques soient tous ramenés
en un seul.
La réponse C est fausse. Pour prévisualiser sur l’écran
la dégradation des couleurs qui surviendra lorsque
l’image sera imprimée en OFFSET, il faut aller dans le
menu AFFICHAGE et enclencher l’option COULEURS
DE L’ÉPREUVE.
Version 12/01.
2 6 1
4. Une PALETTE GRAPHIQUE, c’est :
A. Un ordinateur très puissant et coûteux, qui
est souvent conçu pour ne faire fonctionner
qu’un seul logiciel spécialisé dans la création
graphique.
B. Une plaque qu’on raccorde à l’ordinateur et
qui permet de dessiner à l’aide d’un stylet.
C. La gamme des couleurs qu’un écran peut
afficher.
D. Une plaque qu’on raccorde à l’ordinateur
et qui permet de réaliser des mélanges
de couleurs virtuelles.
Version 12/01.
2 6 2
Ces ordinateurs spécialisés, qui souvent ne peuvent
faire tourner qu’un seul programme, sont appelés
des PALETTES GRAPHIQUES. Les marques les plus
connues sont QUANTEL®, EVS®, ARRY®.
Les stations de travail comme les SILICON GRAPHICS®
ne sont pas des PALETTES GRAPHIQUES, parce que
ce sont des ordinateurs polyvalents, qui peuvent faire
tourner une multitude de logiciels.
La réponse B est fausse. Attention à ne pas confondre
PALETTE GRAPHIQUE et TABLETTE GRAPHIQUE…
les TABLETTES GRAPHIQUES, c’est ce qu’on utilise
à la place de la souris pour dessiner sur un ordinateur.
La réponse C est fausse. La gamme des couleurs
qu’un écran peut afficher, ça s’appelle l’ESPACE
COLORIMÉTRIQUE.
Version 12/01.
2 6 3
9. Autres questions
de révision
9.2.
pour l’examen
Questions sur
les couleurs
Version 12/01.
2 6 4
4. Parmi toutes ces affirmations sur les couleurs
PANTONE® dans Photoshop®, laquelle est
la seule fausse?
A. Pour pouvoir utiliser les couleurs PANTONE®
sur une image dans Photoshop®, il faut aller
dans le menu FENÊTRES…BIBLIOTHÈQUES
DE COULEURS…PANTONE®.
B. Lorsqu’on choisit de travailler avec
des couleurs PANTONE® dans Photoshop®,
il est indiqué CVC à côté de la référence
PANTONE®, cela veut dire COMPUTER VIDEO
COLOR. Cela nous rappelle que l’aspect
des couleurs PANTONE® sur l’écran ne
correspond pas nécessairement à l’aspect
qu’elles auront sur le papier.
C. Une couleur PANTONE® devient une couleur
RVB dès qu’on l’utilise avec un outil de dessin
sur une image dont le mode de création
des couleurs est le mode RVB.
D. Il existe des encres métallisées de différentes
couleurs dans la gamme des couleurs
PANTONE®.
Version 12/01.
2 6 5
Parmi les quatre propositions c’est la seule fausse.
En effet, c’est dans Illustrator® qu’on peut aller
dans FENÊTRES…BIBLIOTHÈQUES DE NUANCES…
PANTONE® pour pouvoir utiliser des couleurs
PANTONE® sur une image.
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse B
est fausse.
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse
C est fausse.
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse
D est fausse.
Version 12/01.
2 6 6
1. Parmi ces quatre propositions, indiquez
quelle est la seule qui décrit correctement ce
qu’est la GESTION DES COULEURS :
A. Cela consiste à se créer une gamme
de couleurs et à se limiter à ne travailler qu’avec
ces couleurs pour créer une illustration.
B. Cela consiste à éviter d’utiliser des couleurs
trop vives qui ne serait pas imprimables par
le procédé OFFSET à cause de la limitation
des encres et du papier.
C. C’est un procédé qui permet qu’une image
s’imprime sur le papier en ayant un aspect
très proche de celui qu’elle a sur l’écran
de l’ordinateur.
D. C’est un procédé qui permet de faire en
sorte qu’une image puisse être intégrée à
un site INTERNET.
Version 12/01.
2 6 7
est : C.
La réponse A est fausse. Cette manière de faire est
bien connue des artistes, mais il ne s’agit pas de la
bonne définition pour décrire ce qu’est la GESTION
DES COULEURS.
La réponse B est fausse. Ce n’est pas une bonne
définition pour décrire ce qu’est la GESTION DES
COULEURS. Toutefois c’est vrai qu’il est préférable
de ne pas choisir d’utiliser des couleurs trop vives
quand on conçoit un document qui va être imprimé
en OFFSET avec seulement les quatre encres de
base Cyan, Magenta, Jaune et Noire qui sont utilisées
généralement dans ce procédé d’impression. Pour
s’aider à utiliser des couleurs qui font partie de la
gamme des couleurs imprimables en OFFSET, on
peut avoir recours à une véritable gamme PANTONE®
QUADRI imprimée, ou à des planches imprimées
en OFFSET qui montrent des milliers d’échantillons
de couleurs qui sont réellement imprimables en
OFFSET.
La réponse D est fausse. Pour qu’une image puisse
être intégrée à un site INTERNET, il faut qu’elle soit
enregistrée soit au format PNG, soit au format JPEG,
soit au format GIF.
Version 12/01.
2 6 8
9. Autres questions
de révision
9.3.
pour l’examen
Questions sur
Photoshop® et
les relations avec
les autres programmes
Version 12/01.
2 6 9
1. Parmi toutes ces fonctionnalités graphiques, trois
n’existent que dans COREL PAINTER®. Quelle est
la seule qui n’existe que dans Photoshop®?
A. On peut enclencher l’option DÉFINIR
dans le menu MOTIF pour pouvoir dessiner
automatiquement des motifs sans raccords
visibles.
B. Pour faire en sorte qu’une image numérique
crée un motif sans raccords visibles quand on
juxtapose plusieurs répétitions de cette image,
on peut utiliser la fonction TRANSLATION
du menu FILTRES…DIVERS afin d’amener
les bords de l’image vers le milieu
de l’image, pour pouvoir corriger facilement
le raccord.
C. On peut modifier la taille de la brosse en
enfonçant les touches POMME (aussi appelée
touche COMMANDE) et ALT (sur Mac) ou CTRL
et ALT (sur PC) et en effectuant en même
temps un cliqué-glissé sur l’image.
D. Il est possible de dupliquer en perspective
des zones d’images, en utilisant la fonction
PERSPECTIVE de l’outil de DUPLICATION
DE PIXELS.
Version 12/01.
2 7 0
Parmi les quatre propositions, il s’agit de la seule
fonctionnalité graphique qui n’existe que dans
Photoshop®. Les trois autres n’existent que dans
PAINTER®.
Version 12/01.
2 7 1
5. Pour arriver à transférer de Photoshop® vers
le logiciel PAINTER® une image qui contient
des calques et retrouver ces calques dans le logiciel
PAINTER®, il faut satisfaire à une condition. Parmi
ces quatre propositions de réponse, indiquez
laquelle est la seule vraie.
A. Dans Photoshop®, il faut enregistrer
l’image au format RIFF, qui est le format
natif du logiciel PAINTER®.
B. Dans PAINTER®, il faut ouvrir l’image
en spécifiant qu’il s’agit d’une image
Photoshop®.
C. Pour que le transfert des calques fonctionne, il faut avoir copié auparavant
les modules externes de Photoshop®
dans le dossier des modules externes
de PAINTER®. Ainsi PAINTER® intègre
les fonctionnalités d’acquisition et d’exportation de tous les formats d’images connus
par Photoshop®.
D. Dans Photoshop®, il faut transformer en
des calques pixels tous les effets dynamiques
de calques qui sont spécifiques à Photoshop®
et qui auraient été utilisés dans l’image,
car ces effets dynamiques sont spécifiques
à Photoshop® et ne sont pas gérés par
PAINTER®.
Version 12/01.
2 7 2
Il faut transformer en des calques pixels tous les effets
dynamiques de calques qui sont spécifiques à
Photoshop® et qui auraient été utilisés dans l’image, car
ces effets dynamiques sont spécifiques à Photoshop®
et ne sont pas gérés par PAINTER®.
Les calques de Photoshop sont reconnus par PAINTER®,
mais pas tous les «ajouts» aux calques.
Ces ajouts aux calques sont…
• Calques avec masquage par CALQUES
ASSOCIÉS,
• Calques avec masquage par MASQUE
DE FUSION
(toutefois la version 6 de PAINTER® comprend
les MASQUES DE FUSION de Photoshop®)
VECTORIEL
• Calques avec STYLES DE CALQUES
• CALQUES DE TEXTE ÉDITABLE
• CALQUES DE REMPLISSAGE
• CALQUES DE FORME
Une partie de cette formation est consacrée au
passage des informations de Photoshop® à PAINTER®,
et inversement.
La réponse B est fausse. PAINTER® est capable d’ouvrir
des images enregistrées au FORMAT Photoshop®.
Mais il ne suffit pas qu’une image soit au FORMAT
PHOTOSHOP pour querelle puisse être ouverte par
PAINTER®. Comme il est indiqué dans la bonne
réponse, la D, il faut transformer en des calques
pixels tous les effets dynamiques de calques qui
sont spécifiques à Photoshop® et qui auraient été
utilisés dans l’image, car ces effets dynamiques
sont spécifiques à Photoshop® et ne sont pas gérés
par PAINTER®.
La réponse C est fausse. Il est vrai que bon nombre des
modules externes de Photoshop® sont compréhensibles par PAINTER®, mais ce qui expliqué dans la
réponse C ne fonctionne pas. Avant la version 6 de
PAINTER® il est possible d’indiquer où se trouve le
dossier des modules externes de Photoshop®, afin
que PAINTER® utilise aussi les modules externes
qui se trouvent dans ce dossier. Cela se fait par le
menu EDITION…PRÉFÉRENCES…EXTENSIONS dans
PAINTER®. Je n’ai pas retrouvé cette option dans
la version 6 de Painter, cela veut dire qu’il faudrait
donc copier le contenu du dossier des MODULES
EXTERNES de Photoshop® dans le dossier des
MODULES EXTERNES de PAINTER®, dossier qui porte
le nom EXTENSIONS. Ce n’est d’ailleurs pas la seule
chose intéressante que je n’ai pas retrouvée en passant
de la version 5 à la version 6 de PAINTER®.
La réponse A est fausse. Le format RIFF est le FORMAT
NATIF de PAINTER®, c’est-à-dire le format spécifique
à ce logiciel, le seul format capable d’intégrer
toutes les spécificités de ce logiciel… EXTENSIONS
DYNAMIQUES DE PAINTER®, TEXTE ÉDITABLE DE
PAINTER®, etc. Mais contrairement à ce qui est dit
dans la réponse, il n’est pas possible d’enregistrer
une image au format RIFF au départ de Photoshop®.
Pour information : RIFF signifie RASTER IMAGE
FILE FORMAT.
Version 12/01.
2 7 3
1. Parmi toutes ces affirmations sur les formats
d’images dans Photoshop®, laquelle est
la seule fausse?
A. Dans Photoshop®, parmi la liste de tous
les formats dans lesquels on peut enregistrer
une image seuls les FORMATS Photoshop®
et Photoshop® PDF sont capables d’intégrer
les calques.
B. Dans Photoshop®, parmi la liste de tous
une image seuls les FORMATS Photoshop®
et Photoshop® PDF sont capables d’intégrer
les effets spéciaux dynamiques tels que
l’OMBRE PORTÉE et le BISEAUTAGE par
exemple.
C. Dans Photoshop®, parmi la liste de tous
une image seul le FORMAT Photoshop® est
capable d’intégrer une sélection qui a été
mémorisée en tant que COUCHE ALPHA.
D. Dans Photoshop®, parmi la liste de tous
une image il y en a certains avec lesquels
il n’est pas possible d’enregistrer des images
qui sont au MODE CMJN.
Version 12/01.
2 7 4
Parmi les quatre affirmations, celle de la réponse C
est la seule fausse. En effet, il y a d’autres formats
qui sont capables d’intégrer une sélection qui a été
mémorisée en tant que COUCHE ALPHA, notamment
les format TIFF, TARGA (une seule COUCHE ALPHA
toutefois pour le format TARGA). N.B. TARGA = TGA.
TIFF = TAGGED IMAGE FILE FORMAT.
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse A
est fausse.
est fausse.
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse D
est fausse. Les images au mode COULEURS CMJN,
dont les couleurs sont créées par quatre COUCHES
CONSTITUTIVES Cyan, magenta, jaune et Noir,
conviennent pour être utilisées sur des systèmes
d’impression qui impriment en plusieurs passages
successifs. C’est le cas de l’OFFSET ou de l’HÉLIOGRAVURE. Seuls les formats d’images qui sont utilisés
par les programmes de mise en page sont capables
d’enregistrer des images en quatre COUCHES
CONSTITUTIVES CMJN.
Version 12/01.
2 7 5
du transfert d’informations entre les logiciels
graphiques, laquelle est la seule fausse?
A. En utilisant la fonction FICHIER…IMPORTER
de Photoshop®, il est possible d’importer
dans Photoshop® un logo ou une illustration qui ont été créés en couleurs dans
ILLUSTRATOR®. Ce document ILLUSTRATOR®
est redimensionnable sans perte de qualité
jusqu’au moment où on le pixellise.
B. Il est possible d’importer dans ILLUSTRATOR®
une image bitmap qui a été créée dans
Photoshop®, pour s’en servir comme
modèle.
C. Il est possible d’importer dans
COREL PAINTER® une image bitmap qui a
été créée dans Photoshop® et qui comporte
des calques.
D. Dans ILLUSTRATOR®, on peut intégrer
dans une forme vectorielle une image bitmap
qui a été créée dans Photoshop®. Il n’est
toutefois pas possible d’intégrer une même
image dans plusieurs formes en même
temps.
Version 12/01.
2 7 6
Parmi les quatre affirmations, celle de la réponse D
est la seule fausse. Dans Illustrator® on peut en effet
intégrer une même image dans plusieurs formes en
même temps. Il suffit au préalable d’avoir ramené
toutes ces formes au même niveau dans l’empilement
des formes, en les mettant dans un système de
TRACÉ TRANSPARENT (dans ILLUSTRATOR® : menu
OBJETS…TRACÉS TRANSPARENTS…CRÉER). Ainsi
on peut faire en sorte qu’une image apparaissent
uniquement dans les lettres d’un titre, ce titre pouvant
être utilisé dans Illustrator® ou exporté sans perte de
détail vers un logiciel de mise en page, pour réaliser
une première page de magazine par exemple.
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse C
est fausse. Comme on l’a dit précédemment, il
faut toutefois avoir pixéllisé tous les «ajouts» aux
calque…
Ces ajouts aux calques sont…
• Calques avec masquage par CALQUES
ASSOCIÉS,
DE FUSION
(toutefois la version 6 de PAINTER® comprend
les MASQUES DE FUSION de Photoshop®)
VECTORIEL
• Calques avec STYLES DE CALQUES
• CALQUES DE TEXTE ÉDITABLE
• CALQUES DE REMPLISSAGE
• CALQUES DE FORME
Il est faux de dire que l’affirmation de la réponse A est
fausse. Depuis Photoshop® 6 il est même possible de
conserver en permanence un logo en vectoriel dans
le document Photoshop®, pour autant que ce logo ne
comporte pas beaucoup de couleurs différentes. Ca se
fait par des opérations de COPIER/COLLER successifs
de ILLUSTRATOR® à Photoshop®… Une opération
de COPIER/COLLER par couleur du logo.
est fausse. En double-cliquant dans ILLUSTRATOR®
sur un calque qui contient une image qui vient de
Photoshop®, on a accès aux options des calques
de ILLUSTRATOR®, dont l’option qui permet de
transformer le calque en un CALQUE-MODÈLE… A
ce moment on ne peut plus modifier le calque, et
on a la possibilité de l’affadir afin de mieux voir les
constructions vectorielles qu’on amène sur d’autres
calques au-dessus.
Version 12/01.
2 7 7
5. Dans la gamme des logiciels ADOBE®, il y a
un logiciel de mise en page professionnel qui
s’appelle INDESIGN®. Parmi ces quatre propositions,
indiquez quelle est le seul autre fabricant qui a
créé un logiciel de mise en page professionnel
de qualité similaire.
A. PAGEMAKER®.
B. QUARK®.
C. AUTODESK®.
D. XPRESS®.
Version 12/01.
2 7 8
Le fabricant de logiciels QUARK® a créé le logiciel de
mise en page XPRESS®, utilisé mondialement pour
réaliser la mise en page de la plupart des publications
grand public. QUARK® a créé d’autres logiciels,
mais c’est moins connu. Ce sont des logiciels très
spécialisés… Il y a notamment le logiciel Wrapture®,
qui permet de créer le design d’emballages de
produits.
La réponse D est fausse. C’est un vilain piège que
j’ai tendu aux étudiants. Dans la question il est
demandé le nom du fabricant qui a créé un logiciel
de mise en page professionnel de qualité similaire
à INDESIGN®… C’est QUARK®. Ce n’est donc pas
le nom du logiciel lui-même, XPRESS®, qu’il faut
donner comme réponse à cette question.
La réponse A est fausse. PAGEMAKER® n’est pas
un fabricant de logiciels, c’est un logiciel de mise
en page de la gamme de ADOBE®, mais dont le
développement a été stoppé en 2000, au profit
de l’autre logiciel de mise en page de ADOBE® :
INDESIGN®. A l’origine PAGEMAKER® était un produit
de la firme ALDUS®, pionnière de la publication
professionnelle sur micro-ordinateurs, en 1986.
La firme ALDUS® a finalement été rachetée par
ADOBE®.
La réponse C est fausse. La firme AUTODESK® s’est
plutôt spécialisée dans les produits pour l’architecture
et la mécanique. C’est d’ailleurs sous ce label que
la première version du logiciel 3DSTUDIO® a été
commercialisée en 1990. A l’époque j’étais étudiant
à l’école d’Infographie de Valenciennes. Je peux
témoigner qu’à l’arrivée de 3DSTUDIO® il n’aura
pas fallu deux mois avant que tous les étudiants
soient convaincus par 3DSTUDIO® et oublient bien
vite le logiciel 3D que les enseignants leur avaient
appris : MECANORMA ARTWORK®, qui datait déjà
de 1986, il faut le dire pour sa défense. Depuis je ne
peux m’empêcher de penser que l’émergence d’une
nouvelle technologie graphique révolutionnaire est
inévitable tôt ou tard. Si ça s’est passé une fois, il n’y a
pas de raison que cela ne recommence pas.
Version 12/01.
2 7 9
2. Photoshop® est livré depuis la version 5.5 en
bundle avec un autre logiciel. Quel est cet autre
logiciel? (Bundle = offre promotionnelle dans
laquelle deux logiciels sont vendus ensemble pour
le prix d’un)
A. ADOBE PRESSREADY®.
B. ADOBE IMAGEREADY®.
C. ADOBE TRAPWISE®.
D. ADOBE STREAMLINE®.
Version 12/01.
2 8 0
ADOBE IMAGEREADY® est un logiciel spécialisé
dans la préparation des images pour une utilisation
sur INTERNET.
La réponse A est fausse. ADOBE PRESSREADY® est
un logiciel qui permet d’imprimer avec une bonne
qualité sur des imprimantes jet d’encre grand public
des documents issus de programmes de mise en
page professionnels comme ADOBE INDESIGN®
ou QUARK XPRESS®.
La réponse C est fausse. ADOBE TRAPWISE® est un
logiciel peu connu de ADOBE®. Il permet de gérer
le recouvrement des encres dans les documents
vectoriels tels que ceux qui sont créés avec le
logiciel ILLUSTRATOR®. La plupart des utilisateurs
de ILLUSTRATOR® qui impriment sur des systèmes
d’impression en plusieurs passages, comme l’OFFSET
ou l’HÉLIOGRAVURE, gèrent manuellement le recouvrement des encres dans le logiciel ILLUSTRATOR®.
Avec des fichiers simples c’est encore possible mais
avec des fichiers plus complexes c’est très difficile.
Heureusement il y a aussi la possibilité de demander
à la flasheuse de films OFFSET, et surtout à son
RIP qui la pilote, de gérer automatiquement le
recouvrement des encres. Pour information : RIP =
RASTER IMAGE PROCESSING.
La réponse D est fausse. ADOBE STREAMLINE® est
un logiciel de vectorisation d’images bitmap. Il n’est
pas vendu en bundle avec Photoshop®. Il est surtout
utile pour travailler avec ILLUSTRATOR®.
Version 12/01.
2 8 1
9. Quelques questions
de révision
supplémentaires
9.4.
pour l’examen
Questions sur la mémoire
dans Photoshop®
Version 12/01.
2 8 2
2. Dans le bas à gauche de la fenêtre d’une image,
il y a un cartouche qui indique des valeurs. On peut
régler ce cartouche pour qu’il indique les valeurs
qui concerne le document, cela se fait en utilisant
le menu qui se trouve juste à côté du cartouche.
A ce moment deux valeurs sont visibles, qu’est-ce
qu’indique la valeur de gauche? Indiquez la bonne
réponse parmi ces quatre propositions.
A. C’est la taille qu’occupe dans la RAM
le document.
B. C’est la taille qu’occuperait dans la RAM
le document si on aplatissait les calques.
C. C’est la taille qu’occupent dans la RAM
tous les documents ouverts.
D. C’est la taille qu’occupera sur le disque dur
le document lorsqu’il sera enregistré.
Version 12/01.
2 8 3
C’est la taille qu’occuperait dans la RAM le document
si on aplatissait les calques.
La réponse A est fausse. La taille qu’occupe dans
la RAM le document, avec ses calques, est indiquée
par le chiffre de droite.
La réponse C est fausse. La taille qu’occupent dans
la RAM tous les documents ouverts, on la voit quand
on demande l’affichage FICHIERS DE TRAVAIL dans
le cartouche qui se trouve en bas à gauche de la
fenêtre de l’image.
La réponse D est fausse. La taille qu’occupera sur
le disque dur le document lorsqu’il sera enregistré
sera différente suivant le format de fichier qu’on
choisira au moment de l’enregistrement… TIFF
SANS COMPRESSION, TIFF AVEC COMPRESSION,
JPEG, Photoshop® EPS, etc. Il n’est donc pas possible
de la prévoir.
Version 12/01.
2 8 4
3. Une image de 1000 pixels sur 2000 est
redimensionnée pour qu’elle n’ait plus que 500
pixels sur 1000. Est-ce qu’elle occupera moins
de place dans la RAM? Indiquez la seule bonne
réponse parmi ces quatre propositions.
A. Après redimensionnement, elle occupera
autant de RAM qu’avant.
B. Après redimensionnement, elle occupera
deux fois moins de RAM qu’avant.
C. Après redimensionnement, elle occupera
quatre fois moins de RAM qu’avant.
D. Après redimensionnement, elle occupera
huit fois moins de RAM qu’avant.
Version 12/01.
2 8 5
Quand on diminue par deux les dimensions d’une
surface en largeur et en hauteur, on diminue par
quatre cette surface. Les images ne font pas exception
à cette règle qu’on étudie à l’école primaire.
Version 12/01.
2 8 6
2. Lorsqu’on se trouve à court de mémoire
pour appliquer certains effets sur une image
dans Photoshop®, il existe plusieurs solutions.
Parmi toutes celles-ci laquelle est totalement
inacceptable?
A.
Réduire
temporairement
la taille de la MÉMOIRE CACHE, en allant dans
le menu EDITION…PRÉFÉRENCES…MÉMOIRE
CACHE.
B. Réduire le nombre de pixels qui définissent l’image, en allant dans le menu
IMAGE…TAILLE DE L’IMAGE.
C. Aller dans le menu EDITION…PURGER, et
purger autant d’éléments que nécessaire,
voire même tout.
D. Réduire temporairement le nombre
de couleurs qui définissent l’image, en allant
dans le menu IMAGE…MODE…COULEURS
INDEXÉES.
Version 12/01.
2 8 7
Quand on va dans le menu IMAGE…MODE…COULEURS
INDEXÉES, la qualité de l’image se dégrade franchement… On passe d’une image en 16 millions de
couleurs à une image qui a maximum 256 couleurs.
Il devient donc impossible de continuer à faire de la
création sur une image en COULEURS INDEXÉES.
C’est donc la solution la plus inacceptable parmi
les quatre qui sont proposées pour compenser
un manque de mémoire quand on doit appliquer
certains effets sur une image.
Version 12/01.
2 8 8
10. Quelques sites
internet
10. Quelques sites internet
Version 12/01.
2 8 9
11. Index
11. Index
Version 12/01.
2 9 0
Version 12/01.
2 9 1

Cours Photoshop 12_0..

Transcription

Documents pareils

Photoshop : 3D - Soft Formation

Plan de formation Photoshop

Atelier Photoshop Cs2 - Ecole Doctorale de Géographie de Paris

Photoshop Initiation

Contenu Photoshop 5.5

gerer la video et l`animation d`objets 2d et 3d avec photoshop

preparation de l`image pour le site web

Module de formation Photoshop - niveau 1

realiser une affiche ou un flyer pour un evenement

Créer un plan 3D à partir des niveaux de gris