dossier de presse - Fondation Bemberg

FONDATION BEMBERG
DOSSIER DE PRESSE
MUSÉE
2012
1
SOMMAIRE
LA FONDATION BEMBERG EN BREF
3
APERÇU DE LA COLLECTION
4
GEORGES BEMBERG : UN HUMANISTE DU XXème SIECLE
6
DIX-SEPT ANS D’ENRICHISSEMENT DES COLLECTIONS
8
POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES DERNIERS DONS DU FONDATEUR
9
L’HÔTEL D’ASSÉZAT
10
RAYONNEMENT CULTUREL
13
FICHE PRATIQUE
14
Visuels disponibles sur demande.
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LA Fondation
Bemberg EN BREF
Inaugurée en janvier 1995 par son créateur, M. Georges Bemberg (1916-2011) et
M. Dominique Baudis, alors maire de Toulouse, la FONDATION BEMBERG est abritée dans l'un
des plus beaux bâtiments Renaissance de Toulouse, entièrement rénové par la municipalité et
la Fondation, l'Hôtel d'Assézat.
Etablissement privé et autonome, la FONDATION
BEMBERG présente les collections de tableaux et
d'objets d'art réunis par M. Bemberg au cours de sa
vie. A l'origine, la FONDATION BEMBERG était
surtout riche en peintures de la Renaissance (signées
Clouet, Cranach, Le Tintoret, Véronèse...) et de
l'Ecole Française Moderne, avec notamment l'un des
plus importants ensembles au monde d'œuvres de
Pierre Bonnard. La FONDATION comptait également
lors de son ouverture des bronzes, des reliures et
différents objets d'art témoignant de la sûreté et de
l'éclectisme du goût de celui qui les a choisis.
Depuis,
ce
noyau
primordial
s’est
trouvé
considérablement enrichi.
La FONDATION BEMBERG a su très vite s'enraciner dans la vie culturelle de Toulouse et de sa
région, avec la création d'un service éducatif qui a déjà accueilli plus de 150 000 enfants et
adolescents, de visites à thème, de cours d’histoire de l’art le samedi matin, et de diverses
activités.
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APERÇU DE LA COLLECTION
Ce qui distingue la collection Bemberg et en fait tout le
charme et la personnalité est qu’elle n’est rien d’autre que
le reflet fidèle du goût et du tempérament de son auteur.
Celui-ci a choisi chaque tableau, chaque objet, pour sa seule
beauté et l’émotion que sa contemplation éveillait en lui.
Parmi les œuvres appartenant désormais à la Fondation,
figurent près de deux-cent tableaux anciens, plus de deux-cent tableaux et dessins modernes,
ainsi que plus de cent-cinquante bronzes, des livres anciens et une très importante collection
de meubles et objets d’art des XVIème, XVIIème et XVIIIème siècles.
Dans les œuvres représentant les deux principaux courants de peinture de la collection (La
période allant du XVIème au XVIIIème siècle d’une part, et l’École Française Moderne de
l’autre), se retrouvent un équilibre, une richesse de coloris et une délicatesse qui témoignent
du sens esthétique très sûr et de la profonde sensibilité artistique de celui qui les a réunies.
Parmi les tableaux les plus anciens, on
remarque une Vierge à l’enfant due à l’atelier
de Van der Weyden. Le XVIème siècle est
présent avec cinq œuvres de Cranach, quatre
portraits de Benson, un portrait de Charles IX
dû à l’atelier de François Clouet. Les écoles
flamande et hollandaise des XVIème et XVIIème
siècles sont représentées avec notamment des
œuvres
de
Pourbus,
Vermeyen,
Floris,
Brueghel, Van Goyen, Wouwerman, Van
Dyck, Pieter de Hooch et plusieurs autres
artistes majeurs. L’école vénitienne est quant
à elle particulièrement bien représentée avec
cinq tableaux du Tintoret, un Bassano, un
Titien, trois Véronèse, quatre œuvres de
Canaletto, cinq de Guardi, un Tiepolo et un
superbe Longhi. Résultat des efforts de
M. Bemberg dans les années qui ont suivi l’ouverture du musée, le XVIIIème n’est pas en reste
avec les principaux maîtres du temps de Louis XV et Louis XVI.
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Quant à elle, la collection moderne compte d’abord un ensemble de
plus de trente toiles de Bonnard, d’une variété et d’une richesse
exceptionnelles : la découverte de ce peintre a en fait marqué une
étape importante dans l’évolution de la sensibilité artistique de
Georges Bemberg, et fortement influencé ses choix ultérieurs.
Enfin, pratiquement tous les grands noms de l’École Française
Moderne figurent dans la collection abritée au second étage qui, de
Boudin à Matisse, comprend aussi Degas, Dufy, Gauguin, Monet,
Marquet, Signac, Vlaminck, Vuillard, et bien d’autres, offrant ainsi
un véritable panorama de la plupart des courants de la peinture
moderne : impressionniste, pointilliste, fauve.
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GEORGES BEMBERG : UN HUMANISTE DU XXème SIECLE
Après s’être illustrée au XVIIIème siècle à la tête de la
communauté luthérienne de la ville de Cologne d’où
elle est originaire, la famille de Georges Bemberg s’est
établie dans les années 1850 en Argentine, pour y
développer des activités industrielles. Depuis lors, elle
a également toujours entretenu des liens étroits et
privilégiés avec la France.
Mais Georges Bemberg, élevé en France et imprégné
de culture française, appartenait d’abord à la lignée
universelle des humanistes.
Dès son plus jeune âge, il manifesta un goût prononcé
pour les beaux objets et c’est alors qu’il était étudiant à
Harvard qu’il éprouva son premier “coup de cœur” pour une gouache de Pissarro, remarquée
chez un marchand new-yorkais et acquise pour 200 dollars.
De ce jour, naquit une passion qui devait ne pas s’éteindre.
Georges Bemberg constitua ainsi sa collection au fil des ans, ne se laissant guider que par son
goût personnel et par ses moyens financiers, qui lui interdirent parfois d’acquérir les œuvres
qu’il convoitait ! Cependant sa famille, grande amie des arts (l’un de ses oncles, peintre, mort
prématurément, fut même l’élève de Picasso), l’encouragea et l’aida toujours dans son
entreprise.
D’abord à New York, puis à Paris après la guerre, Georges Bemberg se familiarisa avec le
marché de l’art, se liant avec les marchands de tableaux, parcourant les ventes. C’est à Paris
qu’il découvrit Bonnard, pour qui il éprouva immédiatement un engouement définitif, et dont
il acquit plus de trente toiles. Plus tard, dans les années 1960, il se passionna pour les
bronzes, dont nombre de beaux spécimens figurent dans sa collection.
Sensible à toutes les formes de création artistique, Georges Bemberg fut également très tôt
attiré par la musique et la littérature.
Pianiste averti, il envisagea un moment de devenir compositeur, notamment sous l’influence
de Nadia Boulanger (dont la présence momentanée à Cambridge lui fit préférer Harvard à
Yale !), et chez qui il côtoya de nombreux compositeurs américains. Mais le tempérament
éclectique de cet amateur éclairé ne s’accommoda pas de l’exclusivité “sacerdotale”
qu’exigeait une carrière musicale.
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C’est finalement dans la création littéraire que se lança Georges Bemberg ; diplômé de
Harvard en littérature comparée anglaise et française, familier des cercles littéraires de
Nouvelle Angleterre, il rencontra les plus grands auteurs comme John Dos Passos ou Edmund
Wilson. À son tour, il publia différents ouvrages : des pièces de théâtre, dont certaines furent
jouées aux États-Unis, ainsi que des romans, rédigés les uns en anglais, les autres en français,
favorablement accueillis par la critique.
Jusqu’à ses derniers jours, Georges Bemberg partagea son existence entre Paris, New York et
Buenos Aires. Sa passion pour la peinture ne faiblit jamais et il continua jusqu’à sa mort à
consacrer une partie de son temps à la recherche d’œuvres s’harmonisant avec son esthétisme
personnel.
Sans héritier direct, Georges Bemberg s’était, à la fin des années 1980, inquiété du futur de ce
qui était devenu, au fil de sa vie, une collection d’une qualité et d’une variété rares.
C’est alors que lui est venue l’idée de créer une Fondation, seul moyen de préserver sa
collection dans son intégrité, tout en permettant au public d’y accéder.
En
proposant
d’Assézat
à
de
la
mettre
disposition
l’Hôtel
de
sa
Fondation, la municipalité de Toulouse
répondait au vœu de Georges Bemberg :
disposer d’un lieu hors du commun, où
abriter
les
œuvres
et
les
objets
témoignant d’une vie toute entière
consacrée à la recherche artistique.
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DIX-SEPT ANS D’ENRICHISSEMENT DES COLLECTIONS
Désireux de parfaire encore l’œuvre engagée avec la
création de la FONDATION qui porte son nom, M.
Bemberg, pendant dix-sept ans, a eu à cœur de rechercher
de nouvelles œuvres, de nature à accroître de manière
significative les collections présentées au public.
C’est ainsi que près des centaines de nouvelles pièces de
grande qualité sont venues enrichir le fonds originel. Il
s’agit d’une part de nombreuses peintures, mais
également
d’objets
divers,
meubles,
bronzes
et
tapisseries, qui contribuent à accentuer le caractère
intimiste propre à la FONDATION BEMBERG.
Citons ici quelques-unes des peintures anciennes les plus
remarquables récemment accueillies à la Fondation :
XVIème siècle : Le TINTORET (J. Robusti, dit) (Venise, 1518-1594) : Portrait de
gentilhomme. XVIIème siècle : Jan VAN GOYEN (Hollande, 1596 - 1656) Vue d'une rivière
XVIIIème siècle : Georges ROMNEY (Anglais, Dalton-in-Furness, 1734 - Kendal, 1802) :
Portrait de Miss Frances Elisabeth Sage.
Mais la collection d’art moderne s’est elle aussi
enrichie à la suite du décès de M Bemberg d’autres
œuvres
d’artistes
prestigieux
et
l’on
citera
notamment des œuvres de : Giovanni BOLDINI,
Berthe
MORISOT,
BERAUD,
Albert
Louis
VALTAT,
MARQUET,
Jean
Jean-Louis
FORAIN, Henri-Edmond CROSS, Maximilien
LUCE, Paul-César HELLEU, Albert LEBOURG,
Pierre BONNARD, Honoré DAUMIER, Raoul
DUFY, Henry MOORE, Emil NOLDE et d’un
ensemble exceptionnel en France de dix peintures
de Walter SICKERT.
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POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES
DERNIERS DONS DU FONDATEUR
Avec le décès survenu l’été dernier de son créateur et
président, M Georges Bemberg, la FONDATION
BEMBERG aborde une nouvelle phase de son
existence, avec l’arrivée d’une importante collection
que le généreux mécène a léguée à son musée. Ce legs
va permettre au public de découvrir de nouvelles
œuvres venant compléter les différents ensembles de la
collection. L’enrichissement notable de celle-ci s’est
fait sur quatre axes précis : les reliures anciennes,
l’école française moderne, le XVIème siècle européen, et enfin le XVIIIème siècle français. En
effet, si un important ensemble d’œuvres de cette époque était déjà présent à la Fondation, ce
lien entre les collections anciennes (XVIème et XVIIème siècles) et les œuvres des XIXème et
XXème siècles se trouve aujourd’hui renforcé. Les nouvelles œuvres du XVIIIème siècle allient
peinture, mobilier et arts décoratifs, et des meubles viennent désormais agrémenter aussi les
collections modernes, donnant ainsi au visiteur une idée vivante de l’intérieur d’un grand
collectionneur. Dans le mobilier qui vient répondre par sa sobriété aux couleurs des tableaux,
on
notera
de
Delanois,
entre autre les estampilles
Birckle,
Nicolas
Petit,
Georges
Jacob, Leleu ou Beauvau.
Ces
sont accompagnés par un
meubles
groupe
d'objets d'art où brillent
différentes
pièces rares. Outre cette
nouvelle
collection
siècle,
la
enrichie,
du
XVIIIème
Fondation s’est également
comme nous avons déjà eu
l’occasion de le souligner, de diverses peintures du XVIème siècle aussi bien que de l’époque
moderne.
Grâce au souhait altruiste de M Georges Bemberg, la FONDATION BEMBERG présente
désormais un demi-millénaire d'évolution artistique
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L’HÔTEL D’ASSÉZAT
L’Hôtel d’Assézat appartient depuis plus de cent ans à la ville de Toulouse et abrite les
Académies et Sociétés savantes.
Il fut construit dans la seconde moitié du XVIème siècle, pour Pierre Assézat, négociant
enrichi par le commerce, alors florissant, du pastel. Venu d’Espalion au début du XVIème
siècle pour rejoindre ses frères aînés déjà associés à ce commerce, Pierre Assézat en devint
l’héritier et le successeur en 1545. Marié à la fille d’un capitoul, receveur général de la reine
douairière, Eléonore d’Autriche, il accéda au Capitoulat en 1552.
Dès 1551, il avait commencé à acquérir les terrains nécessaires à la construction d’une
“grande maison”. Le 26 mars 1555, il conclut un bail à besogne avec le maître-maçon, Jean
Castagné et l’architecte sculpteur, Nicolas Bachelier, pour la construction du corps de logis
formé de deux ailes perpendiculaires reliées par l’escalier. A la mort de Nicolas Bachelier, en
1557, son fils Dominique dirigea les travaux du pavillon d’entrée, de la galerie ouverte sur la
cour et enfin, de la “coursière” qui anime le mur mitoyen aveugle. En 1761, les descendants
de Pierre Assézat vendirent l’hôtel au baron de Puymaurin, qui modernisa façades et
appartements.
L’hôtel d’Assézat nous parvient donc après deux campagnes de travaux bien distinctes :
- à la Renaissance appartiennent la composition générale, le dessin des façades, la
superposition des ordres dorique, ionique et corinthien, l’importance donnée à tous les
éléments d’architecture par l’emploi de la pierre ;
- au XVIIIème siècle, les fenêtres à meneaux ont été remplacées par de grandes fenêtres au
premier niveau, pour éclairer les salons nouvellement créés.
- au XIXème siècle, après avoir été transformé en entrepôts et bureaux, l’Hôtel d’Assézat fut
acheté par la banque Ozenne et légué en 1895 à la ville de Toulouse.
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RÉNOVATION ET
AMÉNAGEMENT DE L’HÔTEL
D’ASSÉZAT
C’est au terme d’une étude de plusieurs
années qu’a pris forme le projet de
réhabilitation de l’hôtel d’Assézat, ainsi
que celui de son aménagement en vue
d’abriter la FONDATION BEMBERG.
En effet, ce bâtiment dans lequel seul le
strict minimum de travaux d’entretien courant avait été fait depuis la fin du XIXème siècle, se
trouvait en 1990 dans un état précaire exigeant une rénovation complète - tandis qu’il fallait
en étudier la potentialité pour y définir de nouveaux espaces, adaptés à l’exposition des
œuvres de la collection Bemberg.
Les travaux, commencés en mai 1993, se sont achevés début 1995, et la FONDATION a ouvert
ses portes dans un bâtiment entièrement rénové et réaménagé en fonction de sa nouvelle
vocation culturelle.
La restauration du bâtiment ainsi que le ravalement de l’ensemble des façades, placés sous la
responsabilité de l’architecte en chef des Monuments Historiques, ont été pris en charge par
la Ville de Toulouse.
L’architecte spécialiste en muséologie, chargé par la FONDATION BEMBERG des
aménagements intérieurs, a conçu ceux-ci avec le souci de conditions optimales de vision, de
conservation et de sécurité.
La réalisation des travaux a été confiée à des entreprises
locales choisies pour leur capacité à mettre en œuvre à la fois
les techniques les plus traditionnelles de restauration et les
équipements
les
plus
performants
en
matière
de
climatisation, de sécurité et d’éclairage.
Mis à part les locaux techniques, pédagogiques et administratifs, le rez-de-chaussée, deux
étages de l’hôtel d’Assézat, et depuis septembre 2001, son extension adjacente sont consacrés
à la présentation des œuvres qui composent la collection.
Le rez-de-chaussée est réservé à l’accueil, ainsi qu’à un comptoir de vente de livres et de
catalogues et une salle de conférence
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Le premier étage est aménagé dans un style évoquant
volontairement la vocation première de l’hôtel d’Assézat,
celle d’une maison particulière, alliant la sobriété des
matériaux nobles à la chaleur des coloris. Des étoffes
sont d’ailleurs venues récemment réchauffer les murs et
donner aux œuvres un cadre proche de leur cadre
originel.
Le second étage, d’un caractère plus
dépouillé, abrite les toiles modernes,
avec une salle entièrement consacrée à
Bonnard et une autre aux Fauves.
Enfin, les salles voûtées du premier soussol, d’une surface de 200 m2, ont été
aménagées pour accueillir des événements,
ce qui constitue un atout supplémentaire
pour faire de l’hôtel d’Assézat un lieu
vivant et renouveler constamment l’intérêt
des Toulousains, comme celui des visiteurs
de passage, pour sa visite.
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RAYONNEMENT CULTUREL
La FONDATION BEMBERG a su très vite s’enraciner dans la vie
culturelle de Toulouse et de la région, à travers de nombreuses
activités de nature à intéresser un public toujours plus large.
A l’intention des plus jeunes, la FONDATION BEMBERG s’est
dotée d’un service éducatif depuis mars 1996. D’abord réservé
aux classes maternelles et primaires, celui-ci s’adresse
désormais également aux élèves du secondaire et de
l’enseignement supérieur. C’est ainsi que depuis sa création,
plus de 150 000 enfants et adolescents ont découvert les œuvres
de la Fondation. Les activités pédagogiques s’articulent autour de deux axes : visite du musée
avec fiche d’exploration et découverte approfondie par l’intermédiaire d’un atelier d’arts
plastiques ou d’outils audiovisuels. L’éventail des
thèmes proposés permet de multiplier les approches :
arts et civilisations, mouvements artistiques, peintres,
thèmes picturaux, etc.
Toujours dans le souci de permettre au public
d’enrichir ses connaissances, sont organisées des
visites à thème et des conférences d’histoire de l’art.
De mai à octobre, un salon de thé accueille les amateurs sous la voûte fraîche de la loggia,
alors que toute l’année, les salles du sous-sol sont offertes en location aux organisateurs de
congrès et aux entreprises de la région, désireux de recevoir leurs hôtes dans un cadre hors du
commun.
Enfin, la FONDATION BEMBERG jouit
déjà
d’une
forte
réputation
internationale, comme en témoignent
les demandes de prêts émanant des
musées les plus prestigieux du monde
entier.
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FICHE PRATIQUE
Adresse :
Directeur :
Fondation Bemberg
Hôtel d’Assézat
Place d’Assézat
31000 TOULOUSE
Téléphone : 05 61 12 06 89
Télécopie : 05 61 12 34 47
Courriel : [email protected]
Monsieur Philippe CROS
Conditions de la visite :
Tous les jours, sauf le lundi, y compris le dimanche - de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h
Nocturne le jeudi jusqu’à 21h
Prix d’entrée : 6 €
Groupes de plus de 20 personnes : 3,50 €
Visites commentées : à 15 h 30, durée 1 heure 15. Mardi, jeudi et samedi : le premier étage,
les Anciens. Mercredi, vendredi et dimanche : le second étage, les Modernes.
Ajouter 3,50 € au prix d’entrée.
Rendez-vous sur demande pour les groupes (possibilité d’ajouter une visite de la cour de
l’hôtel ou de faire l’une ou l’autre des visites à thèmes).
Les cars doivent stationner allée des Soupirs, entre le canal et le Grand Rond.
Conférences d’histoire de l’Art : dispensées le samedi matin (programme sur demande)
Service éducatif :
Un service éducatif propose différentes activités (jeu-visite, questionnaire, atelier) suivant
l’âge des enfants. Pour tous renseignements, contacter Mme Pistre.
Ce service s’adresse aux écoles, collèges et lycées ou aux particuliers dans le cadre des
“Mercredis - Fondation”.
Courriel : [email protected]
Location : Possibilités de location aux professionnels des salles Monuments Historiques du
sous-sol et de la salle de conférence.
Courriel : [email protected]
Salon de thé : Ouvert sous la loggia de mai à octobre.
Site Internet : www.fondation-bemberg.fr
Métro et parking : Esquirol
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