Pigmentation, hormones et soleil

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Pigmentation, hormones et soleil
NEWSLETTER N°4 – Le chloasma
LE CHLOASMA
Pigmentation, hormones et soleil
Les problèmes de pigmentation ont très souvent un rapport avec le niveau d’exposition au soleil du
sujet. Cela ressemble à une lapalissade, mais il est bon de rappeler au début de l’été les ravages
d’une exposition déraisonnable.
Dans le cas du chloasma, ou masque de grossesse, le soleil joue un rôle déclencheur, à part égale
semble-t-il avec les hormones de grossesse. On peut se protéger du soleil, certes, mais quand le mal
est fait ? Quelle approche pour une femme enceinte ? Dans le traitement du chloasma, la
phytothérapie a toute sa place et devrait être donnée en première intention.
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Elatium Dépigmentant
Elatium Dépigmentant agit grâce à l’acide gallique, un tanin présent naturellement dans
la noix de galle, qui est à la fois un antioxydant et un anti-tyrosinase très actif. Il inhibe la
surproduction de mélanine globalement, mais aussi localement car il est plus actif sur les
zones les plus pigmentées : il réduit le contraste plus encore qu’il n’éclaircit.
Il n'induit pas de dépigmentation autour de la zone concernée, n’est pas irritant, et ne
contient pas de composant photo-sensibilisant. Elatium Dépigmentant peut être utilisé
sur les peaux noires pour unifier la pigmentation. Il n’agit pas sur les grains de beauté et
ne dessèche pas la peau.
La formule ne contient que le strict nécessaire, ce qui laisse plus de place pour les actifs
végétaux, et évite les réactions d’intolérance : pas de paraben, pas de parfum, pas de
produit d’origine pétrolière. Attention, elle ne contient pas non plus de filtre solaire.
Elatium Dépigmentant
Flacon airless de 50ml - 24€
S.A.R.L. ELATIUM – 5 rue Denis Papin 63110 Beaumont - +33 4 73 77 90 62 – [email protected]
NEWSLETTER N°4 – Le chloasma
Dermatologie et phytothérapie aux Antilles
Questions au Dr Catherine Fauvel, dermatologue et phytothérapeute en Guadeloupe
Dr Fauvel, comment êtes-vous venue à la phytothérapie ?
Je suis venue à la phytothérapie par l’intermédiaire de l’homéopathie. Ayant fait mes études
d’homéopathie et prescrivant des remèdes homéo d’origine végétale, j’ai commencé à regarder les
plantes d’un peu plus près, leur physique, leur lien avec un possible ressenti émotionnel, puis petit à
petit leur pouvoir guérisseur non pas sur un plan énergétique mais structurel.
Que pensez-vous que la phytothérapie apporte à votre pratique de la dermatologie ?
La phytothérapie pour moi est un moyen très efficace de traiter différentes maladies sans avoir
d’effets secondaires comme en allopathie. Elle a un territoire d’action beaucoup plus important car
on peut agir aussi bien sur un plan structurel qu’émotionnel.
Y-a-t-il des particularités dans la pratique de la dermatologie aux Antilles ?
Je ne pense pas qu’il y ait des particularités dans ma pratique aux Antilles par rapport à la
métropole. Les maladies sont les mêmes. Toutefois les laboratoires de phytothérapie devraient faire
plus attention dans la composition des produits. C’est un pays chaud et humide donc attention aux
crèmes qui peuvent tourner comme une mayonnaise, à la conservation des produits vu la chaleur.
Les populations antillaises sont-elles plus réceptives à la phytothérapie qu’en métropole ?
Les populations antillaises sont-elles plus réceptives ? Je dirais oui et non. Oui car autrefois ils se
soignaient avec les plantes récoltées, faisaient des tisanes etc…Non car ils ne connaissent pas les
plantes disons de métropole. De plus l’arrivée des médicaments allopathiques a fait qu’ils ont fini
par oublier. Nous sommes une société de l’instant, tout doit aller vite, les résultats aussi. La
phytothérapie n’est pas remboursée et s’adresse donc à des gens qui ont les moyens, qui assument
leur santé.
La pharmacopée antillaise est-elle couramment utilisée par la médecine locale ?
J’ai du mal à répondre à cette question car je ne connais pas bien la pharmacopée antillaise. Les
personnes capables de la diffuser ne semblent pas vouloir coopérer au vu des démarches que j’avais
entreprises en arrivant aux Antilles. Dans les familles ils utilisent pas mal les plantes mais sans savoir
vraiment les conséquences de leur prescription. Ca me paraît être de l’à-peu-près. Il existe un
laboratoire en Guadeloupe PhytObôkaz qui commercialise des produits à base de plantes des
Antilles et qui semble être une référence pour les Antillais. Le problème est que l’on ne sait rien sur
son mode préparatoire, par conséquent moi je ne le prescris pas.
Pour finir, que pensez-vous d’une approche topique de la phytothérapie telle que nous la
mettons en œuvre à Elatium ?
L’approche topique de la phytothérapie me ravit car les patients qui consultent un dermatologue
ont du mal à se contenter d’un traitement par voie générale, ils réclament très souvent une crème.
La phytothérapie locale a l’avantage d’être naturelle, ce qui importe beaucoup à l’heure actuelle.
J’ai remarqué que les patients faisaient beaucoup plus attention à la composition des produits suite
aux parabènes. Je suis très contente des produits Elatium, ils sont très bien tolérés, ont une bonne
efficacité s’ils sont bien ciblés. N’hésitez surtout pas à les multiplier.
Merci Dr Fauvel.
S.A.R.L. ELATIUM – 5 rue Denis Papin 63110 Beaumont - +33 4 73 77 90 62 – [email protected]
NEWSLETTER N°4 – Le chloasma
La 1ère Journée Elatium
Nouvelles rencontres amicales, discussions passionnées, échange de
recettes de cuisine… ces Journées nous ont apporté encore plus que
prévu !
Merci à vous tous qui avez participé avec allant et bonne humeur, même
dans les ronces des Bois de la Comté, même sous le soleil impitoyable de
la Provence !
Nous espérons tous vous revoir bientôt pour d’autres Journées d’échange
et de partage autour de la phytothérapie.
Dans la prochaine Newsletter…
Pendant les vacances, pas de fiche médicale. Nous nous retrouverons en
septembre, pour une rentrée pleine de nouveautés et de projets.
Toute l'équipe Elatium vous souhaite un très bel été !
S.A.R.L. ELATIUM – 5 rue Denis Papin 63110 Beaumont - +33 4 73 77 90 62 – [email protected]