Dossier de presse - Le Château d`Eau
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Dossier de presse - Le Château d`Eau
Le Château d’Eau pôle photographique de Toulouse 40ans 1974 -2014 de photographie Dossier de presse Exposition de photographie Being Beauteous Anne-Lise Broyer – Marie Maurel de Maillé – Amaury da Cunha – Nicolas Comment présentée dans le cadre de Graphéine, festival organisé par PinkPong / réseau des lieux de diffusion de l’art contemporain de Toulouse et son agglomération. du 5 novembre au 4 janvier 2015 Vernissage le mercredi 5 novembre 2014 à partir de 18h00 à 20h30 Exposition coproduite avec le Musée de La-Roche-Sur-Yon Contact presse : Laurence Mellies - [email protected] - 05 61 77 09 40 Le Château d’Eau 1, Place Laganne 3 1 3 0 0 To u l o u s e +33(0)5 61 77 09 40 wwwgaleriechateaudeau.org Communiqué de presse Toulouse le 3 octobre 2014 Being Beauteous Anne-Lise Broyer – Nicolas Comment – Amaury da Cunha – Marie Maurel de Maillé Le Château d’Eau présente du 5 novembre au 4 janvier 2015 l’exposition de quatre jeunes photographes dont le désir est de faire dialoguer leurs images pour en faire rejouer la forme. Ils ont choisi différents axes tels que rassembler leurs visions simultanées, faire éclater les séries, retrouver les images sœurs, créer des brèches et faire coïncider des hypothèses . En tenant compte des caractéristiques du lieu, l’accrochage est pensé comme le lieu d’une rencontre : entre les images, entre les auteurs, mais aussi comme un territoire ouvert, dans lequel la musique pour Nicolas Comment, l’écriture pour Amaury da Cunha, le dessin pour Anne-Lise Broyer, la vidéo pour Marie Maurel de Maillé sont convoqués. L’édition occupant une part privilégiée dans leur démarche, un espace, partie intégrante de l’exposition est dédié aux livres, recueils, disques publiés par chacun. À l’origine, ce titre énigmatique qui pourrait peut-être éclairer notre désir d’être ensemble et notre manière de faire. Car c’est d’abord «le mystère» qui nous attire — dans la singularité de nos parcours, selon des modalités différentes, liées à la spécificité de nos histoires et de nos rencontres. Avec toute la prudence requise — dans un monde ironique et toujours contaminé par l’ère du soupçon — c’est la question du sensible qui nous rassemble. Et avec lui, un rapport particulier aux images. Traversée incertaine, tâtonnante, hypothétique dans les franges du réel, dans ses vestiges, dans ses zones d’ombres, ses couleurs franches ou incertaines, nos images cherchent à renouer un dialogue avec ce qui à nos yeux souffre bien trop souvent d’indifférence. Ainsi, il nous semble que cette énigme de la Présence soit peu représentée dans le champ des arts visuels. La photographie aujourd’hui est bien trop souvent occupée à vouloir transformer le monde en signaux de vérités et à réifier les apparences en figures de banalités.* Car l’image photographique, pour nous, n’est ni une boîte à messages, ni une machine à produire des preuves. Ce qui exclut de nos champs de représentations tout ce qui relève des classifications. Nous ne faisons pas de reportage, ni de portraits, encore moins d’images d’architectures. Nous faisons des images pour redonner à la question de l’errance toute sa richesse, et sa valeur. Pour nous, la photographie est bien une discipline médiane : à la croisée des chemins. Quelque part entre la littérature et les arts plastiques. Ce qui ouvre des pistes de croisements que nous affectionnons : Poésie, musicalité, fiction... Mais au final c’est toujours la question du regard qui reste essentielle à nos yeux. Renouer avec l’attention, tenter d’acquérir une certaine acuité c’est rendre à nouveau possible un acte de liaison et de partage. Un art de l’adhésion au monde. Une aventure rétinienne qui cherche ses sources aux confins d’une expérience intérieure, mais aussi dans le foisonnement de la matière du monde. Un refus du feuilleton, du storytelling, de la distraction ; en somme, il s’agit bien de (re)mettre le réel au premier plan, dans toute sa nudité, son mystère, sa beauté. Being Beauteous... Anne-Lise Broyer – Nicolas Comment – Amaury da Cunha – Marie Maurel de Maillé * Dans l’histoire de la photographie, nous avons pourtant quelques figures de références. Deux aventures continuent d’éclairer la nôtre. D’abord le bel effort des Cahiers de la photographie (1980/1990), qui ont légitimé une «pratique buissonnière» de la photographie dans laquelle nous nous reconnaissons. Mais aussi la figure atypique de Bernard Lamarche-Vadel, critique d’art et écrivain, qui reste un repère essentiel pour nous : en défendant ce qu’il appelait «L’atelier photographique Français» (Arnaud Claass, Magdi Senadji, Bernard Plossu, Denis Roche...) il a circonscrit un territoire singulier de la photographie — une photographie, consciente de son histoire, mais libérée de ses usages. Cette dimension «ustensilaire» de la photographie contre laquelle il n’a jamais cessé de pester. Anne-Lise Broyer - www.annelisebroyer.com Naissance en 1975. Enfance vers Mâcon, Anne-Lise Broyer intègre l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris puis l’Atelier National de Recherches Typographiques. Elle fréquente les bibliothèques et les salles de cinéma. Se situant dans une pratique singulière de la photo- graphie, empruntant volontiers les sentiers du graphisme, du dessin et de l’écriture, elle cherche par cette hybridation à mettre en place une sorte de littérature photographique. Là où l’écrivain sortirait son carnet, elle sort son appareil et fabrique une image en noir et blanc le plus souvent, comme pour retrouver le gris du texte. Elle a très vite compris que la photographie n’avait d’intérêt pour elle que dans ce questionnement permanent qu’elle peut entretenir avec les autres arts : la littérature et le cinéma bien sûr, mais aussi la musique, le dessin. Elle questionne les zones de frottements, d’intersection des médiums, les conjuguant dans leurs limites, les rapprochant, les distordant... Il n’en demeure pas moins que son attachement à la littérature conditionne un amour du livre : faire dialoguer les images entre elles (l’entre-image), jouer sur les formats, les silences, les blancs, les rythmes... Le livre est comme une scénographie en miniature, dont on retrouve l’expression agrandie dans ses expositions. Son travail véhicule une part de mystère, mais peut-être que son secret (si elle en a un) ne réside pas tant du côté de la chose vue que du côté de celui qui regarde. Parallèlement, elle a collaboré avec le musicien-chanteur, Rodolphe Burger, le photographe Nicolas Comment et avec le cinéaste André S Labarthe, notamment en tant que commissaire de l’exposition Le Chat de Barcelone... Ses ouvrages sont publiés aux éditions Filigranes, aux éditions Nonpareilles et aux éditions Verdier. Chacune de ses publications est l’occasion pour elle de dialoguer avec un auteur Pierre Michon, Bernard Noël, Jean-Luc Nancy, Julien Mérieau... Une Histoire sans nom a reçu le Prix d’aide à l’Édition aux Rencontres d’Arles 2002. Son travail, régulièrement exposé en France et à l’Étranger, est représenté par La Galerie Particulière (Foucher-Biousse) à Paris et à Bruxelles. Expositions personnelles (extrait) 2014 — Vermillon, Comptoirs arlésiens pour la jeune photographie, Arles 2013 — Au Roi du bois, Sala Rekalde, Bilbao, Espagne — Au Roi du bois & Vermillon, Salas de armas, Pampelune, Espagne 2012 — Leçons de Sainte-Victoire & Vermillon, La Galerie Particulière, Paris — Carnet d’A., Artothèque de Vitré 2011 — Au Roi du bois, TEA, Musée d’art contemporain, Tenerife — Des Journées entières dans les arbres, Artothèque de La Roche-sur-Yon — Quatrain, Carte blanche à Anne-Lise Broyer, Musée de La Roche-sur-Yon 2009 — Anne-Lise Broyer, Galerie VU’ (Paris) 2008 — Le Courage des Oiseaux, L’Imagerie (Lannion) 2007 — Lieux-dits, Maison d’art Bernard Anthonioz (Nogent-sur-Marne) 2005 — Le ciel gris s’élevant (paraissait plus grand), Galerie du théâtre Granit, Belfort Monographies 2013 — Regards de l’égaré, texte de Bernard Noël (éditions Nonpareilles) 2012 — Vermillon, texte de Pierre Michon (éditions Verdier / Nonpareilles) 2011 — Carnet d’A., texte de Julien Mérieau (éditions Nonpareilles) 2008 — Au Roi du bois, chapitre II (Filigranes Éditions) 2007 — Le Ciel gris s’élevant (paraissait plus grand), texte de Jean-Luc Nancy (Filigranes Éditions) 2006 — Fading avec Nicolas Comment (Filigranes Éditions) 2003 — Une histoire sans nom, texte de Alain Coulange (Filigranes Éditions). Prix d’aide à l’édition Rencontres d’Arles. 2001 — C’est maquis, texte de Nicolas Comment (Filigranes Éditions) Résidences (extrait) 2011-2013 — Académie de France à Madrid, Casa de Velazquez en tant que membre artiste, Espagne 2011 — résidence « NEKaTOENEa » au Domaine d’Abbadia, Drac Aquitaine, Hendaye 2010 — résidence «Voyons-voir, art contemporain et territoire » au Domaine de Saint Ser 2007-2008 — résidence à Naples sur l’invitation de l’Institut français 2005-2006 — résidence à Prague via un programme de Culturesfrance Nicolas Comment - www.nicolascomment.com Photographe et auteur-compositeur, Nicolas Comment est né en 1973. Son travail photographique est représenté par la galerie Vu’ (Paris) et la galerie 127 (Marrakech). Il vit et travaille à Paris. En 2001, il publie aux éditions Filigranes son premier livre de photographies : La desserte, suivi par Le point en 2003 et A*** en 2004. Diverses expositions personnelles et collectives en France et à l’étranger lui permettent alors de donner à voir son travail que l’écrivain Bernard Noël définit comme un « journal du regard ». Durant cette période, il élabore peu à peu un « style » photographique singulier et intimiste, notamment en collaboration avec Anne-Lise Broyer avec qui il a crée la revue Saison aux éditions Filigranes et publie en 2006 le livre Fading. En 2005, sa rencontre avec Rodolphe Burger (Kat Onoma) le rapproche du monde de la musique jusqu’à ce que le producteur Jean-Louis Piérot (Les Valentins etc.) lui propose de l’accompagner dans la réalisation d’un projet musical personnel dont le CD-livre Est-ce l’Est ? (Berliner romanze), paru en 2008, constitue le premier volet. En 2010, il sort un premier album de chansons, Nous étions Dieu (Kwai- dan), produit par Marc Collin (Nouvelle vague) et qui sera salué par l’ensemble de la presse : « Un album racé » (Libération), « Une sortie proche du tour de force » (Magic), « Premier album fascinant » (Les in- rockuptibles), etc... En 2012, suite à la publication du livre La visite, il adapte en musique (avec Xavier Waechter ) le dernier recueil de poèmes du critique d’art et écrivain Bernard Lamarche-Vadel : Retrouvailles, qui sort en 2012 sur le label de jazz Bonsaï music. La même année, il expose à la galerie Vu’ en compagnie du chanteur-photographe Gérard Manset et publie le livre Mexico City Waltz, fruit d’une résidence photographique effectuée au Mexique. Actuellement en phase de finalisation d’un second album solo, il prépare conjointement une exposition et un livre de photographies Noli me Tanger[e] réalisées dans la ville de Tanger (Maroc), à paraître à l’automne 2014. Expositions personnelles (sélection) 2014 — Noli Me Tanger[e], galerie 127 (Marrakech), Institut français de Tanger (Maroc) 2012 — Mexico City Waltz, galerie Vu’, Paris 2011 — Mexico City Waltz, Artothèque du Musée des Beaux Arts de Brest 2010 — La visite, Centre Atlantique de la Photographie, Brest — La visite (Hommage à Bernard Lamarche-Vadel), Galerie de l’artothèque de Vitré 2009 — Berliner romanze, Centre Atlantique de la photographie, Brest — Berliner romanze, Mois de la photographie à Berlin, Paris/Berlin 2003 — L’oiseleur, Galerie 2yk, Berlin 2002 — La desserte, L’imagerie, Lannion Monographies 2012 — Mexico City Waltz (Filigranes Éditions) 2010 — La visite, préface de Danielle Robert-Guedon, (Filigranes éditions) 2008 — Est-ce l’Est ? (Berliner romanze), CD-livre, (Filigranes éditions) 2006 — Fading avec Anne-lise Broyer (Filigranes Éditions / Institut Français de Prague) 2004 — A*** (suivi de L’oiseleur), texte de Bernard Noël (Filigranes Éditions) 2003 — Le point, préface de Bernard Noël (Filigranes Éditions) 2001 — La desserte, postface d’André S. Labarthe (Filigranes Éditions) Discographie (sélection) 2012 — Retrouvailles LP album (N. Comment & X. Waechter), Bonsaï / Harmonia Mundi 2010 — Nous étions Dieu, LP album (10 titres), Kwaidan records/Discograph 2008 — Est-ce l’Est ? (Berliner romanze), CD-livre (EP 6 titres), Filigranes éditions Résidence (sélection) 2014 — Riad Denise Masson, Marrakech (Maroc) 2013-2014 — Institut français de Tanger, Tanger (Maroc) 2010-2011 — Cité internationale des Arts (Paris) 2010 — Alliance française de Mexico (dans le cadre de l’année du Mexique en France) 2009 — Artothèque de Vitré, dans le cadre d’un hommage à Bernard Lamarche-Vadel 2005-2006 — résidence à Prague via un programme de Culturesfrance. Amaury da Cunha - www.amaurydacunha.com & http://saccades-images.blogspot.com/ Amaury da Cunha est né à Paris en 1976. Après des études de lettres, il entre à l’École Nationale supérieure de la photographie d’Arles (diplômé en 2000). Son travail oscille entre photographie et écriture. Il a publié de nombreux textes critiques sur la photographie et sur la littérature, notamment dans «Le Monde des livres». En 2009, il publie son premier livre d’images et des textes, Saccades, aux éditions Yellow Now. En novembre 2012, à l’occasion de sa première exposition personnelle à Paris dans le cadre du mois de la photo, les éditions Le Caillou Bleu publient Après tout. En juin 2014, sort Les oiseaux favorables, un livre qui mêle un texte de fiction par Stéphane Bouquet et ses photographies récentes. Expositions personnelles (sélection) 2014 — Après tout, Fotografia Europea Festival (Reggio Emilia, Italie) 2013 — Après tout et Insert, galerie Voies off, Arles — Festival photographique en Condroz, Belgique — Mélanges, 2006-2013, exposition personnelle dans le cadre de la thématique «Étre humain», promenades photographiques de Vendôme — Après tout, espace Ikono, Bruxelles 2012 — Après tout dans le cadre du mois de la photo, à Paris, l’Espace Lhomond. Soutien de Pierre Bergé. Commissariat de Rémi Coignet. Monographies 2014 — Les Oiseaux favorables en collaboration avec Stéphane Bouquet (éditions les Inaperçus) 2013 — 6 photographies «en cours», (éditions derrière la salle de bain) — Reste le rouge, poème, (éditions derrière la salle de bain) 2012 — Après tout, photographies & textes (éditions Le Caillou bleu) — L’infatigable en collaboration avec Emmanuel Saulnier (éditions du Regard) 2009 — Saccades, photographies & textes (Éditions Yellow Now) Marie Maurel de Maillé - www.mariemaurel.com Marie Maurel de Maillé est née à Lyon en 1978. Elle étudie à l’École des Beaux-Arts de Saint- Etienne, ainsi qu’à la Faculdade de Belas Artes de Porto où elle développe un travail d’installations mêlant vidéo et photo- graphie. Ses recherches qui s’articulent autour d’images fantômatiques, dédoublées, de présences qui toujours se retirent, son rapport étroit avec la littérature et la poésie l’amènent à tisser des liens privilégiés avec la photographie. Elle constitue alors un corpus de photographies, regroupées pour la plupart en série, qui interroge notre relation au monde des images et met en doute le seuil fragile qui sépare la réalité de la fiction en concentrant son attention sur des phénomènes déjà constitués en représentations. Elle expose en France et à l’étranger : à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris, Au centre d’art image/imatge à Orthez, aux Rencontres Inter- nationnales de la Photographie d’Arles, au Musée de la Littérature Roumaine de Bucarest, au Centre Culturel Français de Iasi, à Photo España, au Casino Luxembourg, au centre d’art La Chapelle Saint- Jacques à Saint-Gaudens. Elle participe également à des résidences : Quartiers d’Octobre aux Sub- sistances à Lyon, à la Collection Lambert en Avignon, au Pavé dans la Mare à Besançon, aux Rencontres photographiques de Niort, au domaine d’Abbadia à Hendaye, au Centre National de Recherche Mihai Eminescu en Roumanie. Elle est pensionnaire de la Casa Velasquez de 2011 à 2012. Elle publie deux livres : L’Estran aux éditions Filigranes en 2010, et Raiponce aux éditions nonpareilles en 2013. Expositions personnelles 2013 — A mari usque ad mare, Galerie Temps Présents, Nantes 2010 — L’Estran, Image/Imatge (Orthez) 2006 — Elégie, Galerie DOMUS Université Claude Bernard Lyon 1 — Elégie, Centre Culturel Français de Iasi (Roumanie) — Elégie, Centre Culturel Français de Cluj (Roumanie) — Elégie, Musée de la Littérature Roumaine de Bucarest Monographies 2013 — Raiponce (éditions Nonpareilles) 2010 — L’Estran (Filigranes Éditions) Résidences 2011-2012 — Académie de France à Madrid, Casa de Velazquez en tant que membre artiste, Espagne 2012 — Écritures de lumière, Image/Imatge (Orthez) 2011 — Écritures de lumière, Collection Lambert (Avignon) 2009 — Boursière de La Casa de Velázquez 2008 — Art et espace au collège, Le Pavé dans la Mare (Besançon) — résidence « NEKaTOENEa » au Domaine d’Abbadia, Drac Aquitaine, Hendaye 2006 — Centre d’art contemporain CAN XALANT (Matarò) 2005 — Pépinières Européennes pour Jeunes Artistes — Memorial Mihai Eminescu Ipotesti (Roumanie) 2004 — Rencontres photographiques d’été de Niort, résidence avec Joan Fontcuberta 2001 — Quartiers d’Octobre, Les Subsistances (Lyon) Visuels à disposition Tous les visuels de ce dossier sont à votre disposition par mail, sur demande. Ils sont libres de droit dans le cadre d’une annonce de l’exposition «Being Beauteous» présentée au Château d’Eau du 5 novembre au 4 janvier 2015. Le respect des œuvres des artistes est demandé et ces visuels ne doivent pas subir de recadrage lors de leurs reproductions. Being Beauteous - © Anne-Lyse Broyer, Amaury da Cunha, Marie maurel de Maillé, Nicolas Comment © Marie Maurel de Maillé Taormina, 2008 © Anne-Lise Broyer Anne-Lise, Madrid, 2011 © Anne-Lise Broyer L’oiseleur, 2004 © Nicolas Comment Arbre © Amaury da Cunha © Amaury da Cunha