MEN AT WORK, GO SLOW
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MEN AT WORK, GO SLOW
TM PROJECT Thierry Micouin Danseur, chorégraphe, vidéaste MEN AT WORK, GO SLOW ! Création 2010 / 2011 T.M. project 3 place du Parlement 35000 Rennes / 06 60 93 78 14 / 02 30 02 79 06 Administration: Lucie Montier / +33 (0)6 72 76 59 02 / [email protected] Thierry Micouin: [email protected] / www.thierrymicouin.com Association Loi 1901Siret: 508 972 817 00011 – Code APE : 9001Z N° de licence d’entrepreneur de spectacle : 2-1032005 Conception, réalisation vidéo et interprétation Thierry Micouin Scénographie et aide à la mise en scène Julien Jeanne Création musicale Christophe Van Huffel Création lumière Alice Gill-Kahn Production Association T.M.Project Coproduction Culturesfrance / Villa Médicis Hors les murs Musée de la Danse - CCNRB - Rennes La Criée Centre d’Art Contemporain - Rennes Danse à tous les étages - Rennes Avec le soutien de DRAC Bretagne Ville de Rennes Forme performative Date de création: 15 octobre 2010 Musée de la Danse - CCNRB - Rennes Durée envisagée : Une heure Forme Installation vidéo Du 28 octobre au 13 novembre 2011 La Criée - Centre d’Art Contemporain - Rennes 3 Projet de création Men At Work, Go Slow ! La prostitution masculine se situe au cœur de la thématique. La volonté d’aborder ce sujet a émergé lors de ma réflexion sur la problématique identitaire amorcée avec la création de mon premier solo, W.H.O. Cette prochaine création me permettra d’approfondir et d’enrichir encore ce questionnement. En effet la prostitution masculine, majoritairement homosexuelle, a de multiples liens avec la question de l’identité sexuelle dont elle peut en être autant la cause que la conséquence. Cette création sera le fruit d’une élaboration en plusieurs étapes, entre deux grandes villes, Paris et New York. Lauréat du programme Culturesfrance/Hors les murs (Villa Médicis) pour l’année 2009, j’ai choisi New York comme ville de résidence pour débuter ce projet, préciser ma réflexion et amorcer concrètement un travail de mise en perspective artistique entre la prostitution et la question du corps et de la performance. Je savais, avant d’arriver à New York, qu’internet avait révolutionné l’industrie du sexe et en particulier de la prostitution. Ce terme est d’ailleurs de plus en plus remplacé par le mot escorting moins péjoratif et surtout moins illégal. New York, qui ne dort jamais, est la ville de la prestation de service par excellence. On peut y trouver de tout en «delivery» même le plus illégal. C’est également la ville ou le nombre de sites internet d’escorting est le plus élevé, témoignant ainsi de l’importance de la demande, en particulier touristique. Dans les grandes métropoles occidentales il n’y a pratiquement plus de rues ou de quartiers réservés à la prostitution masculine alors qu’il existe toujours des rues pour les filles, les travestis et transsexuels. A New York, on peut encore trouver quelques escorts dans des sous-sols ou des arrières salles de DVD stores ou sex shop. Malgré leur devanture très hétérosexuelle se trouvent des cabines ou pour quelques dollars sont diffusés sur un écran des films pour adultes et ou des hommes peuvent avoir des rapports sexuels et quelquefois traînent des garçons qui monnayent leur corps. Ces garçons sont pour la majorité étrangers, souvent clandestins, ne parlent pas la langue et n’ont pas les moyens d’avoir un ordinateur et une connexion internet. Les tarifs sont d‘ailleurs bien en dessous des tarifs pratiqués sur internet. La quasi majorité des garçons travaillent maintenant chez eux par l’intermédiaire de sites spécialisés. Le plus important, rentboy.com compte presque 53 000 adhérents. Chaque escort doit payer pour insérer un profil avec photo. 60 dollars par mois pour un profil simple. 300 dollars par mois pour que le profil apparaisse immédiatement sur la page d’accueil du site. Le client contacte directement l’escort et après accord sur les termes du contrat, la transaction se fait, soit chez le client, soit chez l’escort ou parfois dans un hôtel ou un sauna. Il existe également plusieurs sites qui s’apparentent à des agences (chelseaboy.com, ...). Dans ce cas, le client ne contacte pas directement l’escort mais l’agence et lui verse une commission sur la transaction. En règle générale, l‘heure est facturée 200 dollars et les tarifs montent si le client désire une nuit, un week-end ou plus. Mes contacts avec les escorts se sont fait exclusivement par internet. Il n’a pas été facile d’éviter de passer pour un client, un journaliste ou un policier et surtout pas toujours facile de les convaincre de filmer leur visage. J’ai rencontré et filmé à New York 10 escorts : Mark, Justin, Inaki, Bryan, Brandon, Heihul, Jan, Jordan, Kevin et Tommy. « Le Gros Plan a le pouvoir d’arracher l’image aux coordonnées spatio-temporelles pour faire surgir l’affect en tant qu’exprimé. » G. Deleuze. New York, septembre 2009 - Mark / Heihul, / Inaki _Portraits et vidéo Chaque interview a été réalisée dans l’appartement de l’escort, son espace de travail et s’est déroulée en trois temps : • L’interview filmée d’une durée de une à deux heures sur leur parcours, leur choix, leur identité et le lien qu’ils font entre leur activité et la performance. A travers le médium de la vidéo, le récit de vie constitue un matériau de création artistique à part entière. Il ne s’agit en aucun cas d’un documentaire ou d’un reportage. Le véritable portrait d’un Homme étant son visage, il est filmé en gros plan (close-up) afin de capter l’expression de toute intériorité, toute émotion. Montrer le visage permet également d’éviter l’écueil de la stigmatisation de cette activité. • Me référant aux «Screen tests» d’Andy Warhol j’ai proposé ensuite à chaque interviewé de rester 5 minutes face caméra sans parler. Etre eux-mêmes dans un certain relâchement corporel était la seule consigne. • Une troisième part du tournage était de filmer leur lieu de travail, leur appartement, leur chambre, leurs accessoires. Je voudrai extraire et monter environ 10 minutes de chaque interview. Un protocole très précis est envisagé pour le montage des séquences. A la fin de la captation je demandais quels mots clés ou images l’escort avait retenu de ses paroles et/ou de notre entretien. Je m’en inspirerai ensuite pour réaliser le montage et la transposition plastique, phase finale du travail sur l’image. Ainsi le récit devient mouvant, se fait écho d’une structure non figée entre moi-même et l’escort, lui laissant, dans une certaine mesure, le choix d’intervenir dans l’image qu’il donne à voir de lui-même. Même si j’utilise les technologies numériques de montage et de retouche d’images, je tiens à rester dans une démarche artisanale par l’utilisation de projection d’encre et de peinture, de collages, de découpages. Il était important pour moi de filmer également New York à travers ce sujet. Je me suis essentiellement centré sur la captation d’images masculines de rues, de travailleurs de rue, de ponts, de structures métalliques de lieux publics masculins. Ce film, tel un carnet de route, mêle ces vues de New York, les visages des escorts, leur lieux de travail ainsi qu’une courte chorégraphie réalisée dans la rue avec Mark. L’univers sonore aura une place importante dans cette création. Une collaboration a été entamée avec Christophe Van Huffel pour la composition musicale. Deux formes liées _Une forme performative La scénographie reprendra certains éléments des studios photo ou plateaux de tournage : deux cyclos blancs sur lesquels seront projetés des images, Trois projecteurs sur pieds et cinq téléviseurs seront disposés dans l’espace. Comment s’exposer en tant qu’objet de désir ? La chorégraphie sera inspirée dans sa première partie des photographies d’escorts prises sur différents sites internet. Projections fantasmées du désir masculin pour un autre homme et fortement stéréotypées, ces photographies rappellent certains travaux d’artistes officiellement ou officieusement homosexuels. Les mêmes poses, regards, costumes se retrouvent dans les œuvres de R. Mappelthorpe, D. Hockney, T. Heakins, D. Trullo, D. Michals .... Dans une deuxième partie l’espace sera rempli des voix des escorts et de leurs témoignages. Un corps seul, celui du danseur, miroir et transmetteur de ces identités multiples. Le cliché d’un corps à louer qui parfois se soumet, se cambre et se révulse. Un travail corporel et plastique utilisant une quantité importante de matière gélifiée est envisagé. Cette matière à forte connotation sexuelle est aussi extrêmement adhérente et glissante. Elle colle mais ne permet pas d’attraper, de s’accrocher, de garder pour soi. Tous ces mots reviennent dans les paroles des prostitués quand ils évoquent la convoitise des clients. Il est fréquent qu’un client tombe amoureux d’un prostitué et désire le garder pour soi, «le sauver». L’intermédiaire de l’argent fait que l’inverse est très rare. Ainsi, le prostitué glisse pratiquement toujours entre les mains du client et ne s’accroche jamais. Images de répétition / Rennes, juin 2010 _Une forme installation-vidéo Je souhaiterai recréer le décor et l’ambiance bleutée et moite d’un sous-sol de «DVD store» avec ses téléviseurs et ses cabines dans lesquelles s’isolent les hommes pour regarder des films à caractère pornographique en glissant des dollars dans la fente allouée à cet effet. Sur ces écrans seraient diffusées les interviews. Le public pourrait s’isoler dans chaque cabine et, pour créer une certaine intimité, écouter ces confessions par l’intermédiaire d’un casque. La prostitution ayant une relation évidente avec la performance, l’intervention d’un corps et sa représentation au sein de cette installation vidéo me semble indispensable. Elle souligne cette idée de jeu dont font part les garçons interviewés, cette idée d’un autre je, d’un autre moi et ainsi d’une transformation. _Calendrier de production Le Musée de la Danse (Centre Chorégraphique National de Rennes et de Bretagne) produit MEN AT WORK, GO SLOW dans le cadre de plusieurs accueils studio. Un studio a été mis à la disposition de Thierry Micouin à la Ménagerie de Verre, en Août 2010, et ce par le biais d’ARCADI et du soutien de Jean-François Munnier. Date de pré-première : 15 octobre 2010 Musée de la Danse - CCNRB Une résidence à Brest aura lieu durant 15 jours en Avril 2011, suivie d’une ouverture publique. Diffusion envisagée L’Etoile du Nord - Paris. La Ménagerie de verre - Paris. Thierry Micouin Chorégraphe « … J’éprouve un intérêt particulier pour la pensée toujours en questionnement de cet artiste, remarquable danseur et vidéaste particulièrement investi dans la recherche et la création.. » Irène Filiberti. Après des études de médecine, Thierry Micouin se forme au théâtre puis à la danse, notamment auprès de l’équipe du Tanztheater Wuppertal et de Peter Goss. Il est interprète pour Philippe Minyana, Karine Saporta, Félix Ruckert, Mié Coquempot, Jesus Hidalgo, Valérie Onnis et Osman Khelili. C’est à l’occasion de la création de Cantieri en 2002, qu’il rejoint le CCNRB et Catherine Diverrès. Cette chorégraphe évidemment, comme Dominique Mercy et Malou Airoudo associés au Tanztheater Wuppertal, sont les trois piliers fondamentaux, fondateurs de son identité de danseur. Ils l’inscrivent dans la spécificité d’un travail ancré profondément, non seulement sur la technique mais aussi sur la perception de l’espace, la matérialisation du temps et l’exploration profonde de la mémoire et de l’imaginaire. Parallèlement à son activité de danseur, Thierry Micouin développe un travail de création et de recherche sur l’image et la vidéo. C’est en 2001, à Palerme en Sicile, lors de la création de la pièce Cantieri de Catherine Diverrès qu’il aborde ce travail sur un plan professionnel. Il réalise Carnet de route, un film témoignant de la nécessité immédiate, pour le danseur et vidéaste, de capter les moments intenses de recherches en lien avec la Sicile, en s’approchant au plus près de ses habitants d’une manière sensitive et sensuelle. Mêlant images de répétitions et d’incursions dans la ville, cette réalisation fut le point de départ d’une recherche artistique fondée sur le récit, le témoignage et là aussi, la mémoire. La terra, une autre réalisation plus lyrique fut incluse dans Cantieri. De même en 2005, Runaway, un film expérimental de trois minutes, fut projeté dans la chorégraphie de Catherine Diverrès, Alla Prima. En 2004, les deux films, Carnet de route et La terra furent présentés dans le cadre de la programmation «Vidéo Danse», au Centre Georges Pompidou à Paris et à Séville en Espagne. En octobre 2006, il crée et interprète un premier solo, W.H.O, avec l’aide du CCNRB/Catherine Diverrès. Cette création marque une nouvelle étape dans le parcours de l’artiste. En 2008, ce spectacle a été présenté dans le cadre de la programmation «Et Moi ?» au Théâtre le Colombier à Bagnolet puis lors du festival «Artdanthé», au Théâtre de Vanves. En juillet 2008, Thierry Micouin est invité en Inde par Michel Lestréhan. Il y réalise le film projeté tout au long du spectacle Kalam / terre. En 2009, Thierry Micouin est lauréat du programme Culturesfrance - Hors les murs (Villa Médicis). Cette même année, à nouveau dans le cadre de «Vidéo Danse» au Centre Georges Pompidou à Paris, sont programmées les captations du solo W.H.O et de L’ombre dans l’eau, spectacle créé en 2008 par Thierry Micouin avec une classe de CM2 de l’école Duchesse Anne à Rennes. En 2010, Boris Charmatz propose à Thierry Micouin d’être artiste en résidence à l’école Picardie à Rennes pour créer avec deux classes de CM2 Le petit musée de la danse. Il sera également interprète dans la prochaine création de Boris Charmatz, Levée des conflits. Julien Jeanne Scenographie - aide a la mise en scene Après des études d’hôtellerie et de géomètre au Havre, il se dirige et se forme en autodidacte vers les techniques circassiennes en particulier à la manipulation d’objets, puis vers la danse classique et contemporaine au conservatoire de Rouen. En 2004, il suit la formation Ex.e.r.ce au Centre chorégraphique national de Montpellier dirigé par Mathilde Monnier. Il travaille en tant que danseur et performeur dans le champ de la danse (Andy De Groat, la cie Etant Donné et Salia Senou & Seydou Boro), des arts plastiques (Marcel Dinahet) et du théâtre (Séverine Fontaine). Depuis son arrivée à Rennes en septembre 2005, il développe ses projets au sein de l’association Index : Trois petits points processus exploratoire composé de trois modules tout est une question de point de vue (2005), transit (2006), et une installation chorégraphique du nom de 10 cm d’écart (2008). En janvier 2009, il réalise la publication en visage, en paysage dans le cadre du dispositif « des artistes en résidence à l’école » avec le centre d’art La Criée à Rennes. Depuis avril 2009, il est à deux reprises invité par le CCNRB : lors de l’inauguration du Musée de la danse où il assiste Boris Charmatz pour accompagner un groupe amateur dans La fonte des individus et dans le cadre d’une commande où il réalise un événement entre exposition, installation et performance autour des HÉLIOGRAVURES de Léon Ferrari (plasticien argentin). Actuellement, Il est dans la mise en œuvre d’une prochaine création Un effleurement qui sera présenté au Festival Artdanthé en février 2011. Christophe Van Huffel Création musicale Christophe Van Huffel a été membre du groupe Tanger de 1994 à 2008. Il est aussi le collaborateur, musicien et directeur d’orchestre (Olympia 2009, Cité de la Musique 2010) de Christophe. Ils ont réalisé ensemble son dernier album «Aimer ce que nous sommes» sorti en 2008. Il a réalisé les bandes originales pour : «Le Plan du film» d’Orlan (2001), «Nuit Bleue» d’Ange Leccia (2009), a participé à celles de «Song» d’Antoine Barraud (2007), «Le Syndrome du Titanic» de Nicolas Hulot (2009) et «Tirez sur le Caviste» d’Emmanuelle Bercot (TV 2009). Il a créé aussi les espaces sonores pour les boutiques Balenciaga Paris, New-York, Los Angeles, Milan, Londre, Cannes. Depuis 2002, il collabore régulièrement avec Dominique Gonzalez-Foerster : «Exotourisme», MNAM, Centre George Pompidou (2002) ; conception d’un Atelier de création radiophonique (ACR - France Culture) «Satellite Bleu Palace» (2003) ; «Utopia Station», Biennale de Venise (2003); «Espace Odyssée», Cité de la Musique (2004); «Promenade», MNAM (2007), Guggenheim NY (2008). Il a participé comme musicien au spectacle de danse «Peplum» de Nasser Martin- Gousset de 2006 à 2008. Pour le travail autour de Men at work, go slow !, Christophe Van Huffel collaborera avec Jullia Pello et Darlene Lin. Julia Pello est née en 1981 à Saint-Petersbourg-Russie. Artiste basée à NewYork, vidéaste, écrivain travaillant sur des projets d’installations multimedia et de performances live, elle est aussi auteur de paroles de chansons. Darlene Lin est née en 1982 à Chicago-USA. Artiste basée à NewYork travaillant principalement comme photographe et vidéaste, elle a collaboré à des projets audio-vusuels avec Zerkalo et Weltgeist et couramment à des installations multimédia avec la vidéaste Julia Pello. Elle est aussi musicienne et chanteuse. Alice Gill-Kahn Création lumière Après des études littéraires, et de théâtre, Alice Gill-Kahn intègre en 2004 la formation PRISME dédié aux différents métiers technique du spectacle vivant. Ce cadre privilégié de formation continue, l’amène à acquérir un savoir faire à travers une multiplicité d’expériences dans des salles de spectacles et de concerts à Rennes, à la Comédie Française, l’Opéra Garnier ainsi qu’au festival de cinéma Travelling. Dans une évidence, elle décide de se spécialiser dans l’éclairage au sein de L’institut général des techniques du spectacle de Grenoble et du Théâtre De Bobigny MC 93. En 2007, elle travaille dans différentes structures, tels que le Théâtre National de Bretagne, le Musée de la danse et Le Triangle plateau pour la danse à Rennes. Elle évolue au sein de plusieurs compagnies dans les arts de la rue avec L’affaire Foraine, du théâtre avec les compagnies Ni Plus Ni Moins (création Petits boulots pour vieux clown, Mickey la Torche) et Les Moutons Noirs (L’Avare). En août 2009, elle rencontre dans une première collaboration Julien Jeanne à la mise en lumière du projet Héliogravures au Musée de la Danse, ainsi que pour la pièce Un Effleurement dans le cadre de la création 2010/2011. T.M. Project La compagnie Créée en 2008, elle a pour vocation de faire le pont entre le parcours de Thierry Micouin à Rennes, au sein du CCNRB (Centre Chorégraphique National de Rennes et de Bretagne) pendant 8 ans et ses nouveaux projets de création. Elle affirme aussi la volonté de l’artiste de transformer son expérience artistique et humaine, reliant la danse et sa recherche sur l’image avec des projets de sensibilisation et de transmission auprès de différents publics. En lien avec cet objectif, Thierry Micouin souhaite poursuivre ses collaborations artistiques déjà existantes et enrichir son approche de l’apport de nouvelles rencontres, tout en fédérant une équipe plus étroitement associée à ses projets. Contacts Direction artistique Thierry Micouin + 33 (0)6 60 93 78 14 [email protected] Administration Lucie Montier + 33 (0)6 72 76 59 02 [email protected] Association loi 1901 / Président: Matthieu Vételé / Siège social: 3, Place du Parlement 35000 Rennes Numéro SIRET: 508 972 817 00011 / Code APE : 9001Z / Licence d’entrepreneur du spectacle : 2-1032005 / Date d’obtention : 21 janvier 2010 Nom du titulaire de la licence: Matthieu Vételé