stabilité et duree

Notre réussite commune :
stabilité et durée
NOUVELLES HENRI MAIRE
Quand on pense à la vente
directe, on se demande souvent
s’il est possible d’y faire carrière ?
JEAN-YVES LEHNER
Bien sûr, c’est tout-à-fait
possible ! Surtout quand on
vend du vin.
N.H.M.
Comment cela ?
Le n°1 de la vente
directe de Vins Fins,
HENRI MAIRE, qui
est aussi l’un des plus
importants viticulteurs
de France, accroît sa
force de vente.
Jean-Yves LEHNER,
Directeur Général,
aborde avec franchise la
question de la stabilité
et explique pourquoi il
a besoin de représentants désireux de
faire carrière.
J.Y.L
Le vin est un produit renouvelable. Pour cette raison,
l’existence même et le développement d’HENRI MAIRE
dépendent d’une clientèle
fidèle et stable.
Or comment fidélise-t-on une
clientèle ?
N.H.M.
Avec un produit et un service
de qualité, non ?
J.Y.L
Bien sûr, et de ce côté, nous
avons ce qu’il faut. Mais aussi
avec des représentants stables.
Ce qui veut dire que notre
intérêt bien compris est d’aider
au maximum nos conseillers à
se stabiliser chez nous.
N.H.M.
Votre raisonnement est solide...
Et ceux qui parviennent à se
stabiliser, à quoi le doivent-ils ?
J.Y.L
Tout d’abord, il faut savoir
que la vente est un métier
difficile, qui permet d’ailleurs,
pour cette raison, de gagner
fort bien sa vie.
Tout le monde peut y tenter sa
chance, d’autant plus qu’aucun
diplôme n’est exigé, car les
qualités humaines y sont
prioritaires.
N.H.M.
Et quelles sont ces qualités ?
J.Y.L
D’abord la puissance de
travail et la ténacité. Comme
dans le sport de compétition,
celui qui gagne est souvent
celui qui refuse de baisser les
bras.
En outre, bien sûr, la vivacité
d’esprit, la capacité d’adaptation, le sens de l’observation,
la psychologie, sans perdre de
vue l’objectif final, qui est de
conclure.
Et, à plus long terme, la capacité
de gérer un portefeuille, donc
également des qualités administratives.
N.H.M.
A vous entendre, on dirait
qu’un bon vendeur est un être
parfait ?
J.Y.L
C’est en tout cas quelqu’un à
qui je tire mon chapeau, car il
ne doit sa réussite qu’à luimême.
En effet, dans une entreprise
qui fonctionne bien, un
vendeur est responsable de
ses résultats.
Il jouit d’une grande indépendance : à lui de savoir utiliser
judicieusement cette liberté.
N.H.M.
En somme, la vente est une
excellente école de la vie ?
J.Y.L
C’est vrai, elle peut aider à
surmonter sa timidité, elle
apprend à être à l’aise dans
toutes les circonstances.
Celui qui réussit durablement
dans la vente est capable de
réussir aussi sa vie.
N.H.M.
Jusqu’ici, le tableau est idyllique.
Mais ce métier présente aussi
des inconvénients.
Par exemple, les déplacements ?
J.Y.L
Quels déplacements ? L’avantage de la clientèle particulière,
c’est qu’elle est concentrée sur
une zone peu étendue. On est
chez soi tous les soirs, et
même souvent pour déjeuner.
Pas besoin non plus de changer
de région : ce métier, on peut
le pratiquer près de chez soi.
Et vous connaissez l’importance de la stabilité pour les
enfants.
N.H.M.
Il y a tout de même des frais ?
J.Y.L
Bien sûr, mais peu élevés,
vous l’avez compris, et
d’ailleurs déductibles dans la
déclaration de revenus.
L’important, c’est d’abord ce
que l’on gagne !
N.H.M.
Ah oui tiens ! Parlons-en !
J.Y.L
Quand on choisit ce métier,
c’est pour être payé selon ses
mérites, donc ses résultats,
d’où la logique de la commission. Mais pour aider le
débutant à démarrer et l’aider,
encore une fois à se stabiliser,
nous avons conçu un mécanisme de rémunération sécurisant lors des premiers mois.
Ainsi, dès le début, un représentant motivé, donc travailleur
et tenace, est assuré d’un
minimum de revenus.
N.H.M.
Et ensuite ?
J.Y.L
Ensuite, le développement du
fichier, les recommandations
de clients et l’accroissement
de l’efficacité personnelle
procurent des gains de plus en
plus importants.
N.H.M.
Autrement dit, vos représentants ont intérêt à rester
longtemps chez vous ?
J.Y.L
C’est leur intérêt autant que le
nôtre. La réussite financière,
mais aussi le meilleur équilibre possible entre l’argent et
la qualité de la vie, ils y
parviennent progressivement.
Les débuts nécessitent beaucoup de travail, ne le cachons
pas. Mais celui qui sait se
montrer persévérant se crée
une situation enviable.
N.H.M.
Un peu comme s’il montait sa
propre affaire en somme ?
J.Y.L
Exactement. A ceci près qu’il
n’a pas besoin de s’endetter.
En outre, plus il gagne, plus il
rapporte à l’entreprise. Voilà
pourquoi nous voulons des
représentants qui entrent chez
nous pour y rester.