come, been and gone - Théâtre des Salins

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come, been and gone - Théâtre des Salins
come, been and gone
Michael Clark Company
Danse • grande salle • 1 : 50
ven 25 jan. • 20 :30
directeur artistique Michael Clark
producteur executif Branislav Henselmann
producteur administratif Anne Schmitz, Jo Stendall
administrateur Chloe Seddon
projets spéciaux et documentation artistique Ellen Van Schuylenburch
assistant administratif Patrick Shier / directeur de production Jamie Maisey
assistant du directeur de production Adam Hooper / régisseur plateau Lucy Serjeant
lumière Sarah Brown / design sonore Andy Pink
video Tyrone Lebon / photo Jake Walters / PR Charles McDonald
coproduit par Dance Umbrella, barbicanbite09, Michael Clark Company, Edinburgh International Festival, Grand
Théâtre du Luxembourg et La Maison des Arts de Créteil.
Chorégraphe culte de la scène londonienne, Michael Clark est rarement invité en France.
Son travail intègre son goût pour la danse classique mêlé à une sensibilité contemporaine
plus complexe, embrassant vertu et vice, abandon et contrôle, grâce et embarras.
Construit principalement sur la musique de David Bowie et de ses collaborateurs majeurs
tels que Lou Reed et Brian Eno, et leurs influences (Velvet Underground et Kraftwerk),
Come, been and gone allie les codes du ballet classique, de la danse contemporaine, de la
mode, de la musique pop et du visual art. Clin d’œil aux années 70, c’est toute une
génération que peint Michael Clark à travers les tableaux successifs de come, been and
gone, celle du refus d’un monde rigide, de la revendication de la jouissance et de l’utopie,
de la drogue, de la jeunesse ou encore de la révolte.
Rock is my rock… Pour moi, le rock est fondamental, viscéral, il m’a construit en tant
qu’individu avant même d’influencer mon travail artistique.
Michael Clark
AUTOUR DU SPECTACLE
Stage de danse contemporaine samedi 26 janvier (niveau intermédiaire)
service éducatif - relations publiques
• responsable Murielle Lluch
04 42 49 00 20
[email protected]
• relations avec les écoles maternelles, élémentaires, visites du théâtre
Roland Rondini 04 42 49 00 21
[email protected]
• relations avec les collèges, lycées, l'enseignement supérieur, les associations
Daphné Tréfeu 04 42 49 00 22
[email protected]
• relations avec les C.E, les Maisons de quartiers, les associations
Stéphanie de Cambourg 04 42 49 00 27
À PROPOS DU SPECTACLE Michael Clark Company come, been and gone Salué par la critique, le spectacle come, been and gone de la Michael Clark Company a été créé principalement sur la musique de David Bowie. Il fait aussi la part belle au travail de deux autres collaborateurs essentiels de Michael Clark, Lou Reed et Brian Eno, et à certaines de ses influences, comme le Velvet Underground. « Rock is my rock – le rock est l’un des piliers de ma vie. Il a joué un rôle vital pour moi sur le plan personnel ; c’est le rock qui a fait de moi l’individu et l’artiste que je suis aujourd’hui. » Michael Clark Les actes ont plus de poids que les mots : c’est en partant de ce principe que Michael Clark est devenu chorégraphe. Son travail associe l’exigence de sa formation classique à une sensibilité plus complexe, plus contemporaine, alliant le vice et la vertu, le contrôle et l’abandon de soi, la gaucherie et la grâce. Il est réputé pour ses collaborations légendaires avec des artistes venus de la musique, de la mode et des arts visuels, notamment Wire, Bodymap, Leigh Bowery, Trojan et Sarah Lucas. 2 LES POINTS-­‐CLÉS Michael Clark est considéré comme l’un des meilleurs chorégraphes de la scène britannique contemporaine. • Son travail unique se caractérise par des chorégraphies à la croisée de la danse classique, de la danse contemporaine, de la mode, de la musique et des arts visuels. • La tournée de come, been and gone permet au public de découvrir un spectacle qui a fait salle comble notamment à Edimbourg, Venise, Londres (18 dates) et Berlin. • Les lumières ont été créées spécialement pour le spectacle par le cinéaste et concepteur lumières Charles Atlas, un collaborateur de longue date de Michael Clark qui a par ailleurs récemment travaillé avec Antony and the Johnsons sur un projet mêlant musique et projections vidéo en direct. La Michael Clark Company séduit tout particulièrement les amateurs et les professionnels de la danse, ainsi que les étudiants et les professeurs de danse et d’arts visuels ; mais aussi les passionnés de musique, d’art contemporain, de mode, et les amateurs de théâtre et de cinéma. REVUE DE PRESSE Michael Clark et la MCC « Il n’y a aucun danseur-­‐chorégraphe contemporain capable de passer avec autant de naturel de la rigueur de la danse classique au côté glamour et frivole du rock et de la mode. Clark a peut-­‐être besoin de la danse, mais c’est surtout la danse britannique qui a besoin de lui. » The Independent on Sunday « Clark est indubitablement l’un des créateurs de danse les plus importants du Royaume-­‐Uni » The Daily Telegraph, novembre 2007 3 « À la base de tout ce que Clark crée, il y a sa passion pour la grâce et la rigueur de la technique classique, mais il y a aussi son énergie brute et sa sensualité de danseur-­‐chorégraphe » Debra Craine, critique de danse principale du Times, 2007 (NB : cette citation n’est pas tirée du Times) « C’est l’iconoclaste de la danse britannique » The Independent on Sunday « Tracez un cercle reliant les Young British Artists, les marges les plus radicales du rock, le monde de la mode (Kate Moss est l’une des marraines de la compagnie) et celui de la danse classique établie (le deuxième parrain de la compagnie étant Mikhail Baryshnikov) et au milieu, bien installé, vous trouverez Michael Clark » The Daily Telegraph, octobre 2006 come, been and gone « …un spectacle de danse contemporaine extravagant et magnifique. » The Observer « …la danse est superbe et inspirée… inratable.» The Daily Telegraph « La précision des danseurs déborde presque de la scène » The Independent « Une soirée tonitruante, électrisante, un son retentissant, des images stimulantes, des danseurs impressionnants, précis et concentrés. Vous n’allez pas être transportés ; vous allez être éjectés de vos sièges. » The British Theatre Guide « come, been and gone enflamme la scène du Barbican avec cette tétralogie d’une qualité singulière et quasi infaillible – c’est une surprise et un émerveillement constants. » Financial Times 4 PHOTOGRAPHIES Cinq photographies de come, been and gone, sont signées par le photographe Jake Walters. Leurs titres correspondent aux noms des danseurs :
1. Benjamin Warbis 2. Oxana Panchenko et Clair Thomas 3. Melissa Hetherington 5. Simon Williams 4. Oxana Panchenko 5 BIOGRAPHIES Michael Clark Michael Clark, né en Écosse en 1962, commence la danse traditionnelle écossaise à l’âge de quatre ans. En 1975 il quitte l’Écosse pour Londres afin de poursuivre ses études à la Royal Ballet School, qui lui décerne l’Ursula Moreton Choreographic Award le dernier jour de ses études. En 1979, Clark rejoint le Ballet Rambert, où il travaille principalement avec Richard Alston qui crée des rôles pour lui dans Bell High (1979), Landscape (1980) et Rainbow Ripples (1981), puis deux solos, Soda Lake (1981) et Dutiful Ducks (1982). Lors d’une université d’été avec Merce Cunningham et John Cage, il travaille avec Karole Armitage, qui lui présente Charles Atlas. C’est en 1982 qu’il chorégraphie pour la première fois un concert, au Riverside Studios de Londres qui le nomme chorégraphe en résidence. Au cours des deux années qui suivent, Clark crée 16 nouvelles pièces pour lui-­‐même et ses amis, et pour plusieurs petites compagnies. Michael Clark Company voit le jour en 1984 avec deux spectacles: Do You Me ? I Did et New Puritans. La compagnie rencontre un succès immédiat et tourne dans le monde entier avec Not H.air (1984) et our caca phoney H. our caca phoney H. (1985). Pendant cette période, Clark travaille avec les stylistes de Bodymap, les artistes Leigh Bowery et Trojan, ainsi que The Fall, Laibach et Wire. Il crée des œuvres de grande envergure pour sa compagnie telles que No Fire Escape in Hell (1986), Because We Must (1987), et I Am Curious Orange (1988). Il crée par ailleurs des spectacles pour des compagnies de danse majeures, notamment Le French Revolting pour le Groupe de Recherche Chorégraphique de l’Opéra de Paris (1984), Angel Food pour l’Opéra de Paris (1985), Hail The Classical pour le Scottish Ballet (1985), Drop Your Pearls and Hog It, Girl pour le London Festival Ballet (1986), Swamp pour le Ballet Rambert (1986), Rights pour la Phoenix Dance Company (1989) et Bog 3.0 pour le Deutsche Oper Berlin (1992). Clark contribue également à de nombreuses œuvres audiovisuelles, comme par exemple Hail the New Puritan avec Charles Atlas (1984) et Because We Must (1989). Il chorégraphie et interprète aussi le rôle de Caliban dans Prospero’s Books (1991) de Peter Greenaway. En 1989 Clark crée Heterospective sur une commande de la galerie Anthony D’Offay à Londres. Après trois ans de commandes et de travail personnel il crée la version originale de Mmm… (1982), puis O en 1994. En 1998 il présente un nouveau spectacle, current/SEE, en collaboration avec Susan Stenger, Simon Pearson, Big Bottom et Hussein Chalayan. La création de ce spectacle a fait l’objet d’un documentaire de la BBC réalisé par Sophie Fiennes, The Late Michael Clark. Before and After: The Fall (2001) est la première collaboration de Clark avec l’artiste Sarah Lucas. En 2003, il crée le premier Satie Stud pour William Trevitt de la compagnie George Piper Dances ; il produit une soirée intitulée Would, Should, Can, Did pour le Barbican Theatre à Londres ; et il chorégraphie un solo pour Mikhail Baryshnikov, Rattle Your Jewellery. La même année, son spectacle OH MY GODDESS fait l’ouverture du 25ème anniversaire du festival London Dance 8 Umbrella à Sadler’s Wells. En 2004 Rambert Dance Company recrée Swamp, qui gagne en 2005 le prix Laurence Olivier en tant que Best New Dance Production. En 2005 Michael Clark devient artiste associé au Barbican Centre, à Londres, et il se lance dans le Stravinsky Project, une collaboration de trois ans visant à produire une trilogie d’œuvres sur des morceaux majeurs d’Igor Stravinsky. Il retravaille radicalement O et Mmm… pour ce projet, et présente en 2007 la partie finale de la trilogie, I Do. La première américaine du Stravinsky Project a lieu au Lincoln Center de New York en juin 2008. En juin 2009 Clark présente la première de come, been and gone à la Biennale de Venise, et le spectacle est en tournée mondiale depuis. Pendant l’été 2010 il a été artiste en résidence à la Tate Modern, à Londres, pour préparer une performance de grande envergure commandée pour le Turbine Hall. La première du spectacle, intitulé th, a lieu en juin 2011. Également en 2011, la Robert Gordon University Aberdeen décerne à Michael Clark un diplôme honoraire de Docteur ès Arts (Hon DArt) en reconnaissance de son remarquable travail dans les domaines de la chorégraphie et de la danse ; et Violette Editions publie la première monographie sur Clark, célébrant sa carrière de la fin des années 1970 jusqu’à aujourd’hui. Au printemps 2012, Michael Clark présente WHO’S ZOO?, un spectacle commandé spécialement pour la Whitney Biennial à New York. Charles Atlas Charles Atlas crée les lumières pour la Michael Clark Company depuis 1984, mais il est surtout connu depuis le milieu des années 1970 pour son travail en tant que cinéaste et vidéaste : il crée des œuvres de vidéo-­‐danse, des installations vidéos multi-­‐écrans, des long-­‐métrages documentaires, des œuvres vidéo pour la télévision et des performances électroniques en direct. Il est aussi réalisateur pour la série de PBS ART 21: Art of the 21st Century, qui a gagné un Peabody Award. Charles Atlas collabore avec de nombreux chorégraphes, danseurs et artistes performers, parmi lesquels Merce Cunningham, James Waring, Douglas Dunn, Karole Armitage, Philippe Decouflé, Michael Clark, DANCENOISE, Bill Irwin, John Kelly, Richard Move, Diamanda Galás, Marina Abramović, Mikhail Baryshnikov, Yvonne Rainer et Stanley Love. Il est cinéaste résident pour la Merce Cunningham Dance Company pendant dix ans (1974-­‐1983). Il travaille ensuite avec Cunningham sur des œuvres de vidéo-­‐danse, et documente une grande partie de son répertoire, jusqu’à Ocean en 2008, le film du chef-­‐d’œuvre éponyme créé en 1994. Atlas réalise par ailleurs plusieurs portraits de l’artiste performer et icône de mode Leigh Bowery : l’installation vidéo Teach (1998), le court-­‐métrage Ms. Peanut Visits New York (1999), l’installation vidéo multi-­‐écrans Dizzy Remix présentée à la galerie Kunstverein Hannover en Allemagne (2008) et le long-­‐métrage documentaire The Legend of Leigh Bowery (2002), sorti au cinéma aux États-­‐Unis en 2004 et maintenant disponible en DVD. Atlas crée plusieurs installations de grande envergure exposées au Whitney Museum of American Art, au Aldrich Museum for Contemporary Art dans le Connecticut, et au Centre Pompidou à Paris. Ses autres installations et œuvres vidéo ont été présentées dans des galeries et des musées à New York et à travers les États-­‐Unis et l’Europe, comme par exemple Tornado Warning! qui a été exposé à la galerie Vilma Gold à Londres (2008). 9 Depuis 2003, Atlas s’intéresse à la transmission vidéo en direct et à ses applications dans différents contextes. Instant Fame, exposé à la galerie Participant, Inc. à New York et recréé ensuite à Londres à la galerie Vilma Gold (2006), consiste en une série de portraits vidéo en temps réel d’artistes et de performers, créés en direct dans la galerie. Il est aussi à l’origine des projections vidéo en direct dans Turning, une collaboration avec Antony and the Johnsons dont la première a lieu à St. Ann’s Warehouse à Brooklyn en 2004, et qui tourne ensuite en Europe en 2006. Plus récemment il crée avec Mika Tajima/New Humans Today is Not a Dress Rehearsal (2009), une installation et performance continue de trois jours présentée au San Francisco Museum of Modern Art. Atlas travaille également avec le musicien Christian Fennesz sur une œuvre improvisée mêlant vidéo et musique qu’ils interprètent ensemble en Europe, et dernièrement au festival Romaeuropa en 2008. D’autres collaborations musicales l’amènent à présenter des œuvres à New York, au Canada et en Europe. Atlas reçoit trois « Bessie » (New York Dance and Performance) Awards, et en 2006 la Foundation for Contemporary Arts lui décerne son prix bisannuel, le John Cage Award. Stevie Stewart Stevie Stewart, la cofondatrice de la marque de mode novatrice et pointue Bodymap, est maintenant créatrice de costumes, scénographe, décoratrice et styliste pour les plus grands noms de la mode, de la musique, du cinéma et de la publicité. Elle commence à travailler avec Michael Clark en 1984, en créant des costumes mémorables pour plusieurs de ses spectacles. Dans le domaine du théâtre, elle réalise les costumes de Mother Courage and her Children de Jan Willhem Van Den Bosch pour la Graeae Theatre Company, et ceux de The Importance of Being Earnest, mis en scène par David Fielding au Bristol Old Vic. Pour le cinéma, elle crée les décors et les costumes de Ruby Blue de Jan Dunn, avec Bob Hoskins et Josiane Balasko ; les costumes de Flashbacks of a Fool de Baillie Walsh, avec Daniel Craig ; et les costumes et les décors de The Calling de Jan Dunn. Stevie Stewart crée également les costumes pour les tournées internationales de plusieurs musiciens, notamment Kylie Minogue (KYLIEX2008, Showgirl et Homecoming) et Britney Spears (The Circus Starring Britney Spears 2009 Tour). Ces dernières années, elle travaille avec William Baker sur le design et la production d’une ligne de maillots de bain et sous-­‐vêtements pour homme, B*Boy, et elle est aussi consultante et styliste pour de grandes maisons de couture italiennes. « La mode ne vit que pour ses éclairs de génie et cette saison, le retour du style révolutionnaire de Bodymap en est un. Au début des années 1980, leurs superpositions de jersey stretch qui épousaient les formes du corps, dessinées par Stevie Stewart et David Holah, ont contribué au renouveau de la mode anglaise. Cette année, les découpes et les rayures extensibles que l’on peut trouver dans les collections printemps-­‐été de marques comme Cacharel ou Louis Vuitton sont autant de clins d’œil à Bodymap. « Nous sommes contre la fadeur et le conservatisme… Nous sommes pour la passion » disait Stewart. Et sa quête continue, avec une carrière féconde en tant 10 que consultante, réalisatrice dans la publicité et décoratrice de plateau… Ce serait donc un moment opportun pour ressortir certaines de ses créations… » (Vogue Royaume-­‐Uni, mars 2003) Richard Torry Richard Torry rencontre Stevie Stewart et David Holah en 1978 à l’université Middlesex Polytechnic où ils font tous les trois leurs études. Alors qu’il est encore étudiant, il se fait repérer dans la rue par Malcolm McLaren, qui lui demande de passer une audition pour son nouveau groupe Bow Wow Wow. Torry échoue à l’audition, mais c’est ainsi qu’il rencontre Vivienne Westwood et qu’il commence à travailler pour elle. Il quitte Vivienne Westwood en 1981 pour lancer sa propre marque, Richard Torry, et, avec le soutien d’Hanae Mori, il travaille beaucoup au Japon. En Grande-­‐
Bretagne il est surtout renommé pour sa boutique The House of Beauty & Culture. En 1991 Torry met sa créativité au service de la musique et monte le groupe Un homme et une femme avec Louise Prey. Lorsqu’ils se séparent, il s’associe avec Leigh Bowery pour lancer Minty, avec l’ambition affichée de devenir le suprême « groupe de pop art ». Leur premier disque, Useless Man, est un gros succès en Europe, et devient numéro 2 des ventes en Hollande. Après le décès prématuré de Leigh Bowery, Torry crée le collectif de musique et de performance The OffSet avec Matthew Glamorre et Neil Kaczor. Il ouvre ensuite une boîte de nuit, Siren Suite, avec Glamorre et BIshi, et en 2001 ils lancent ensemble l’émission de radio Kash Krisis et ouvrent une autre boîte de nuit, Kashpoint. En 2002 Torry compose la bande-­‐son du film The Legend of Leigh Bowery de Charles Atlas. En 2008 la boutique de mode Kokon To Zai réédite certaines de ses créations datant des années 1980, et à l’automne 2009 The Tapeworm sort un enregistrement d’une série de conversations qu’il avait eues avec le réalisateur Derek Jarman entre 1979 et 1980. Torry participe à la production d’une petite collection pour The Old Curiosity Shop à Holborn, qui sort à l’automne 2010. Il contribue également à plusieurs projets musicaux avec l’artiste performer David Hoyle, co-­‐écrit le dernier disque de Bishi, One Nation, et en 2010, crée les costumes pour une section de come, been and gone à la demande de Michael Clark. 11 

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