Opération de transformation de bureaux et d`archives au 2ème

Transcription

DEPARTEMENT DE LA MOSELLE
COMMUNE DE MONTIGNY LES METZ (57)
MAITRE D’OUVRAGE
CENTRE DE GESTION DE LA MOSELLE
16, rue de l’Hôtel de Ville – BP 50229
57952 MONTIGNY LES METZ CEDEX
Tél. : 03 87 65 27 06 – Fax. : 03 87 50 69 32
Site Internet www.cdg57.fr
Opération de transformation de bureaux et
d’archives au 2ème étage du
CENTRE DE GESTION DE LA MOSELLE
10, rue de l’Hôtel de Ville
57952 MONTIGNY LES METZ CEDEX
D.C.E.
Cahier des Clauses Techniques Particulières
C.C.T.P. - LOT 08 ELECTRICITE
LES SOUSSIGNES RECONNAISSENT AVOIR PRIS CONNAISSANCE DES PAGES 1 à 35
L'ENTREPRISE
LE MAITRE D'OEUVRE
LE MAITRE D'OUVRAGE
Date :
Date :
CDG 57
"lu
et
accepté"
mention Cachet et signature :
Monsieur Le Président
manuscrite
Cachet et signature :
Maître d’œuvre :
Architecte DPLG :
BET GSI – Economiste – OPC - Fluides
66, rue de Tivoli - 57070 METZ QUEULEU
Tél : 03 87 36 52 56 - Fax : 03 87 74 54 98
Email : [email protected]
GUERRISI Antoine
204 Rue de Pont à Mousson
57950 MONTIGNY LES METZ
Tél. : 03 87 65 45 74 – Fax : 03 87 65 64 41
Email : [email protected]
JUILLET 2016
MONTIGNY LES METZ 10 Rue de l’hôtel de Ville
Transformation de bureaux et d’archives pour
Le Centre de Gestion de la Moselle
2
Lot n°08 : ELECTRICITE
PRESCRIPTIONS GENERALES
1
1.1
OBJET DU MARCHE
Le présent C.C.T.P. a pour objet de définir la nature et les conditions de mise en œuvre des
prestations à réaliser au titre du lot 08 – ELECTRICITE, dans le cadre des travaux de
transformation de bureaux au 2éme étage du CDG de la MOSELLE au 10 Rue de l’Hôtel de ville
à MONTIGNY LES METZ pour le compte du CENTRE DE GESTION DE LA MOSELLE (57).
Les travaux sont à réaliser sur le 2éme étage du bâtiment.
Les travaux porteront pour les courants forts sur :
- l’installation électrique des locaux (distribution et appareillage),
- l’appareillage d’éclairage,
- la réalisation de l’éclairage de secours,
- le réseau de terre et la mise à la terre d’équipements,
Les travaux porteront pour les courants faibles sur :
- l’installation d’une alarme incendie, SSI
- le réseau téléphonique et informatique,
- le réseau vidéo à raccorder
1.2
CONNAISSANCE DE L’ENSEMBLE DES C.C.T.P.
Ce C.C.T.P. ne peut en aucun cas être dissocié des autres C.C.T.P. des différentes spécialités qui
contribuent à la réalisation de l’ensemble du projet.
L’entrepreneur se reportera à ces autres C.C.T.P. ainsi qu’à l’ensemble des documents définissant les
prestations afin de cerner parfaitement l’étendue de ses propres prestations et de réaliser en toute
connaissance de cause et dans les meilleures conditions possibles, les travaux qui lui incombent.
1.3
CONNAISSANCE DES LIEUX
L’entrepreneur devra se rendre obligatoirement sur place pour constater l’état des lieux.
Par le fait de sa soumission, l’entrepreneur sera réputé avoir pris connaissance des lieux, s’être rendu
compte de la nature et de l’emplacement des travaux à réaliser, des conditions générales et locales et
des sujétions particulières consécutives à l’exécution des travaux envisagés.
1.4
3
ETENDUE DES TRAVAUX
L’entrepreneur devra la totalité des travaux nécessaires à la parfaite finition de tous ses ouvrages ;
ceux-ci sont définis par les pièces du marché et leurs annexes.
Ces travaux comprennent entre autres :
les études, dessins d’exécution et de détail des ouvrages,
-
les travaux préparatoires,
-
les échafaudages nécessaires,
-
les fournitures, transports et mise en oeuvre de tous les matériaux et matériels
nécessaires à la parfaite réalisation du projet, et des ouvrages décrits ci-après,
-
le nettoyage et l’enlèvement de toutes projections ainsi que tous déchets et gravois
résultant des travaux et leur enlèvement à la décharge,
-
la protection des ouvrages existants,
-
tous ouvrages destinés à assurer la sécurité des personnes.
1.5
LIAISON AVEC LES DIFFERENTS INTERVENANTS
S’agissant d’une opération de construction, l’entrepreneur devra tenir compte :
-
de la réalisation phase par phase des travaux,
-
de la liaison avec les autres corps d’état compte tenu des sujétions créées par les
travaux de ces corps d’état dans l’enceinte du chantier,
-
l’entreprise devra travailler en bonne intelligence avec les autres corps d’état et prendre
les mesures pour la liaison avec les autres corps d’état concernant les réservations,
scellements, percements, etc...
En plus des réunions de coordination, l’entrepreneur doit se coordonner directement avec
les autres corps d’état pour obtenir des renseignements qu’il juge utiles, ou fournir luimême des renseignements nécessaires aux autres corps d’état pour leur préciser leurs
travaux.
1.6
TEXTES OFFICIELS - REGLEMENTS - REGLES - NORMES
Les travaux de la présente spécialité seront soumis aux prescriptions de l’ensemble des textes
officiels français (lois, décrets, arrêtés, circulaires...) et les règlements, normes et textes officiels
concernant les types d’immeubles considérés.
Bien que ces différents textes ne soient pas matériellement joints au marché, ils seront considérés
comme acceptés par l’entrepreneur comme textes contractuels faisant partie intégrante du marché.
Ces textes comprennent notamment, sans que la liste figurant ci-dessous soit limitative :
1.6.1.1
4
Textes généraux et textes officiels
Le règlement de construction et les textes d’application parus à la date limite de l’offre.
1.6.1.2
Règlements et règles
Tous les D.T.U., sans exception, règles D.T.U. et prescriptions ayant valeur des D.T.U.,
conformément à la liste arrêtée par le C.S.T.B. à la date de remise de l’offre.
1.6.1.3
Normes
L’ensemble des normes françaises homologuées par l’Association Française de Normalisation
(A.F.N.O.R.).
1.7
PLANS D’EXECUTION
Avant mise en oeuvre des ouvrages prévus au présent C.C.T.P., l’entreprise soumettra au Maître
d’Oeuvre et au Bureau de Contrôle technique, en 2 exemplaires, les plans détaillés d’exécution des
dits ouvrages. Ces plans devront être signés de toutes les entreprises concernées par le détail. Les
travaux ne pourront être entrepris qu’après approbation de ces plans par le Maître d’Oeuvre et le
Bureau de Contrôle.
1.8
AVIS TECHNIQUES
L’entrepreneur présentera, avant mise en oeuvre, les avis techniques du C.S.T.B. des matériaux
utilisés.
1.9
ECHANTILLONS A FOURNIR
Des échantillons (en 3 exemplaires) de chaque matériau mis en oeuvre seront transmis au Maître
d’Oeuvre avant mise en oeuvre ; ils seront accompagnés des avis techniques du C.S.T.B. ou
agréments des assureurs et de toutes documentations précisant les caractéristiques des matériaux.
Il est à nouveau rappelé ici les dispositions générales à tous les corps d’état concernant la référence
des matériaux. Les matériaux sont donnés à titre indicatif pour permettre à l’entreprise de faire des
prix comparables, leurs équivalents sont acceptés à condition qu’il soit agréé par le Maître d’Oeuvre et
que l’entreprise donne tous les éléments permettant de trouver sa similitude.
Il est préférable que l’entreprise ait signalé cette modification de matériaux dans sa consultation afin
de la faire agréer avant le début du chantier.
Si cette modification intervient sur l’initiative de l’entreprise, ceci se fera aux risques et périls de
l’entreprise. Les matériaux pourront être refusés sans recours.
Tous les matériaux livrés devront être protégés, et livrés avec les temps de séchage réglementaire (8
semaines pour les parpaings), les ciments devront être protégés par bâchage et être à l’abri de
l’humidité.
5
1.10 GESTION DES DECHETS DE CHANTIER - DECHARGE - EVACUATION DES
GRAVOIS
Tous les gravois et matériaux provenant des travaux de construction, percements... seront évacués à
une décharge qui devra être trouvée par l’entrepreneur ; il en supportera tous les frais et taxes.
Il appartient à l’entrepreneur d’effectuer le tri des déchets de chantier et d’en faire la gestion par
nature, DIB, DIS, etc …
1.11 DECHARGE - EVACUATION DES GRAVOIS
Tous les gravois et matériaux provenant des travaux seront évacués à une décharge qui devra être
trouvée par l’entrepreneur ; il en supportera tous les frais et taxes.
Il appartiendra à l’entreprise de procéder à la gestion de ses déchets de chantier par nature de
déchets (DIB, DIS, etc …)et de les évacuer avec suivi de mise en décharge contrôlée.
1.12 PLANS DE RECOLLEMENT ET NOTICES TECHNIQUES
Après exécution des différents ouvrages, l’entrepreneur établira des plans de recollement. Il devra
fournir un contre-calque de ces plans et 2 exemplaires, ainsi que les notices techniques.
1.13 CONTROLES - ESSAIS - RECEPTION
En cours des travaux et à leur fin, le Maître d’Ouvrage procédera aux essais et contrôles en vue de la
réception de ceux-ci et à la vérification de leur conformité avec les pièces du marché.
L’entrepreneur mettra à la disposition du Maître d’Ouvrage tous les matériels et personnels dont il
pourrait avoir besoin pour effectuer les essais.
La réception est prononcée par le Maître d’Ouvrage à l’achèvement des travaux.
Pendant la période de garantie, l’entrepreneur est tenu de remplacer ou de réparer à ses frais, tous
éléments défectueux.
Etanchéité à l’air
Le présent marché consiste à réaliser un bâtiment ou un ensemble de bâtiment avec l’objectif
d’atteindre un niveau de performance d’étanchéité à l’air conforme à la réglementation en vigueur.
Une bonne perméabilité à l’air de l’enveloppe du bâtiment passe par une bonne compréhension
des enjeux.
C’est la qualité de travail de chaque entreprise qui sera garante de l’obtention des résultats
exigés.
6
Les entreprises auront collectivement et individuellement une obligation de résultat.
Premier contrôle d’étanchéité à l’air
Ce contrôle devra être effectué a l’achèvement des travaux de clos-couvert .
Ce premier contrôle permet de localiser les sources de fuite par générateur de fumée et
recherche visuelle.
Les titulaires des lots Gros Oeuvre, Charpente, Menuiseries extérieures, Etanchéité, Electricité,
Plâtrerie, Cloisons ainsi que les titulaires de tous lots ayant eu une intervention sur l’enveloppe
d’étanchéité devront être présents. La recherche de fuite vis à mettre en évidence les points
défectueux afin de corriger les défauts avant le test final.
En cas de point défectueux, il sera nécessaire de mettre en œuvre des mesures correctives des
défaults, et les mettre en œuvre sur tous les logements. Celles-ci seront totalement prises en
charge par les entreprises concernées, dans le cadre de leur marché de base. Celles-ci auront un
devoir de résultat.
Contrôle final d’étanchéité à l’air
Un test final à la reception du chantier sera effectué. Dans l’éventualité où le relevé ne
satisferait pas au niveau d’étanchéité à l’air requis, l’organisme chargé du test devra localiser les
sources de fuite par génerateur de fumée.
Les entreprises devront être présent et en mesure de démonter localement le parement
correspondant à la fuite pour identifier le défaut et le lot responsable dans le but d’apporter les
améliorations nécessaires.
NB : le contrôle final ne pourra être réalisé que dans les conditions climatiques (force du vent et
température) optimum,
Ainsi :
En cas de dépassement de la perméabilité, il sera nécessaire comme le test intermédiaire de
mettre en œuvre des mesures correctives de défauts.
Celles-ci seront totalement prises en charge par les entreprises concernées, dans leur marché
de base y compris tous les travaux de reprises et finitions. Celles-ci auront un devoir de résultat.
Contrôle complémentaire d’étanchéité à l’air
Un ou plusieurs tests complémentaires peuvent être nécessaires, soit à l’issue du premier
contrôle si les résultats sont très éloignés de l’objectif fixé d’étanchéité à l’air, et si la multiplicité
des sources de fuites ne permet pas de toutes les situer clairement, soit à l’issue du contrôle final
si l’objectif n’est pas atteint. Dans l’éventualité ou le relevé ne satisferait pas au nivea
u
d’étanchéité à l’air requis, l’organisme chargé du test devra localiser les source de suite par
caméra thermique et fumée.
Ces tests complémentaires seront pris en charge par les entreprises qui seront concernées par
les différentes sources de fuites, aux pourcentages des travaux à effectuer pour atteindre l’objectif.
Ces entreprises seront désignées par la maitrise d’œuvre
2
7
PRESCRIPTIONS TECHNIQUES PARTICULIERES
2.1
TEXTES OFFICIELS - REGLEMENTS - REGLES - NORMES
Les ouvrages du présent lot devront répondre aux conditions et prescriptions des documents
techniques qui lui sont applicables dont notamment les suivants :
2.1.1.1
Règlements et règles
Tous les D.T.U., sans exception, règles D.T.U. et prescriptions ayant valeur des D.T.U.,
conformément à la liste arrêtée par le C.S.T.B. à la date de remise de l’offre.
o D.T.U. 70 – installation électrique des bâtiments à usage collectif, bureaux et assimilés,
o D.T.U. 70.1 – NF P 80-201 : installation électriques des bâtiments à usage d’habitation,
o Décret 73-525 du 12 Juin 1973 et arrêté d’application du 22 Juin 1973 concernant
l’équipement téléphonique intérieur des immeubles.
o Décret n° 73-1007 du 31.10.1973, articles R.123-1 à R.123-55 du code de la construction.
o Règlement de sécurité contre l’incendie du 25 Juin 1980 et du 25 Mars 1965 par les articles
L16, L33, L34, L57 et L87 arrêté du 12.12.1984 paru au JO du 19.01.85
o Arrêté du 25.06.85 article EL.09 paru au JO du 14.08.85 et concernant les équipements des
locaux techniques.
o Instruction technique n° 248 du 03.03.1982.
o la circulaire du 13 décembre 1982 relative à la sécurité des personnes en cas de travaux de
réhabilitation ou d’amélioration des bâtiments d’habitation existants.
o Arrêté du 31 Janvier 1986 relatif à la protection contre l’incendie des bâtiments d’habitation.
o Code de la construction de l’habitation – libre I – titre II – section III – article R123-1 à R123-55
concernant la protection contre les risques d’incendie et de panique dans les immeubles
recevant du public.
o Décret du 14 novembre 1988 relatif à la protection des travailleurs.
Le bâtiment est assujetti au code du travail et au règlement de sécurité dans les établissements
recevant du public.
Si au cours des travaux de nouveaux règlements entraient en vigueur, l’entreprise sera tenue de s’y
conformer suivant les modalités d’applications de ces nouveaux règlements.
8
o Décret n° 2009-52 du 15 janvier 2009 relatif à l’installation de lignes de communications
électroniques à très haut débit en fibre optique dans les bâtiments neufs.
o Arrêté du 24 mai 2006 relatif aux caractéristiques thermiques des bâtiments nouveaux et des
parties nouvelles de bâtiments (RT 2005)
o Décret n° 2011-873 du 25 juillet 2011 relatif aux installations dédiées à la recharge des
véhicules électriques ou hybrides rechargeables dans les bâtiments et aux infrastructures
pour le stationnement sécurisé des vélos
o Arrêté du 20 Février 2012 relatif à l’application des articles R. 111-14-2 à R.111-14.5 du code
de la construction et de l’habitation.
2.1.1.2
Normes
L’ensemble des normes françaises homologuées par l’Association Française de Normalisation
(A.F.N.O.R.). et (UTE)
o
Norme NFC 14-100 - Installations de branchement de 1ère catégorie,
o
Norme NFC 15-100 – Règles d’installations électriques à basse tension édition 2002,
o
Norme NFC 90-120 - Antennes individuelles ou collectives de radiodiffusion sonore ou
visuelle.
o
La mise à jour de NFC 15-100 au 01/06/2003.
o
Norme NF-C-13-100- Postes de livraison
o
Norme NFS 61-950 et EN54.
o
Norme NF-C-12-101- Protection des travailleurs
2.2
REPERAGES ET TEINTES CONVENTIONNELLES
Les conducteurs seront repérés dans les conventionnelles de l’U.T.E. (Norme NF C 15100).
Chaque fois qu’un appareil doit pouvoir être identifié rapidement, il sera prévu une étiquette portant la
mention du circuit.
Les câbles d’alimentation porteront l’indication de leur destination.
2.3
2.3.1.1
9
DOCUMENTS GRAPHIQUES A FOURNIR
Durant les travaux
Avant mise en œuvre des ouvrages prévus au présent C.C.T.P., l’entreprise soumettra au Maître
d’Oeuvre et au Bureau de Contrôle technique, en 2 exemplaires, le dossier d’exécution desdits
ouvrages. Ce dossier devra être signé par toutes les entreprises concernées par le détail. Les travaux
ne pourront être entrepris qu’après approbation de celui-ci par le Maître d’Oeuvre et le Bureau de
Contrôle.
Les plans seront transmis au lot Gros-Œuvre afin qu’il puisse faire toutes les réservations nécessaires.
Ce dossier sera composé des pièces suivantes :
 Les plans indiquant :
l’implantation du matériel et de l’appareillage,
le parcours des canalisations avec caractéristiques et sections,
les détails de mise en œuvre cotés suivant la réalisation.
 Les schémas comportant :
le tracé unifilaire des circuits de distribution,
le tracé multifilaire des circuits de commande
les plans de borniers,
les caractéristiques des appareils de protection (calibre, PdC, etc…).
 Les documents suivants :
les références, caractéristiques, etc…, de tout l’appareillage,
le calcul des tensions de contact,
le calcul des courants de court-circuit,
le calcul des chutes de tension,
le carnet de câbles comprenant longueurs, sections, repérage, etc…,
Les calculs d’éclairement, conformes aux spécifications du C.C.T.P.
2.3.1.2
En fin de travaux
L’entreprise devra fournir le jour de la réception des travaux :
les plans et schémas des installations réalisées,
la documentation technique de tous les matériels installés,
le procès verbal d’essais selon documents COPREC n°1 et 2,
le dossier de maintenance (lorsque les normes applicables l’exigent),
Ces travaux devront en outre recevoir l’accord du CONSUEL et obtenir le label QUALITEL.
La réception ne pourra être prononcée qu’à cette condition.
2.4
10
DEMARCHES ET RELATIONS AVEC LES SERVICES TECHNIQUES
Il appartiendra à l’entrepreneur du présent lot d ’effectuer en temps utile, toutes démarches auprès
des administrations (EDF.,F.T....) pour obtenir toutes instructions, autorisations, accords, etc...
nécessaires à l’exécution des travaux.
Il devra notamment :
o
o
obtenir la réception, sans réserve, de l’ensemble des installations,
obtenir la mise sous tension des installations.
Une copie de toute correspondance sera adressée au Maître d’Oeuvre.
2.5
ESSAIS DE RECEPTION
La réception des l’installation sera faite le jour fixé pour la mise en service. Elle comportera les essais
spécifiés ci-dessous, ainsi que toutes les vérifications jugées convenables pour s’assurer de
l’exécution des ouvrages en conformité avec le marché.
Les essais comporteront :
o
o
o
o
un contrôle général de l’installation et du fonctionnement,
contrôle de la conformité de l’exécution,
essais d’isolement,
contrôle des dispositifs de protection.
L’entrepreneur d’électricité assistera à ces essais et contrôles en mettant à la disposition des
réceptionnaires tous le personnel, le matériel et l’appareillage pour effectuer les mesures nécessaires,
ainsi que les douilles et les ampoules nécessaires qui pourront être récupérées après la réception.
2.6
CONTROLE DE CONFORMITE
L’entrepreneur du présent lot remettra au Maître de l’Ouvrage avec copie au Maître d’Oeuvre en vue
de la remise en service par les services locaux de distribution de l’énergie, de la télédistribution et
ceux de F.T., la ou les attestations de conformité aux normes. Tous frais consécutifs à ces contrôles
seront à la charge de l’entrepreneur, y compris les frais de CONSUEL.
2.7
2.7.1.1
SPECIFICATIONS TECHNIQUES COURANTS FORTS
Supports
L’entreprise, avant la mise en œuvre de ses ouvrages, réceptionnera le support qui lui sera livré et
fera part de ses observations au Maître d’œuvre par écrit.
2.7.1.2
11
Sélectivité
La protection différentielle doit être assurée au plus près des utilisations. Il est rappelé que pour
assurer une continuité de service dans une distribution BT, tout défaut doit provoquer uniquement
l’ouverture du disjoncteur placé immédiatement en amont de ce défaut.
2.7.1.3
Matériel de l’appareillage électrique
Le matériel mis en œuvre sera conforme aux normes NF-USE ou la marque de qualité USE. En
l’absence de marque NF-USE ou USE, pour un matériel déterminé, la qualité du matériel utilisé doit
être garantie sur la présentation d’un certificat de conformité aux normes. Celui-ci sera délivré par un
organisme habilité.
L’entreprise devra fournir avant sa pose, les caractéristiques techniques et un PV d’essais du matériel
proposé.
Les schémas et l’implantation des matériels devront être examinés avant exécution.
Les chemins de câbles, tous raccords à la terre, sont en acier, les bords non coupants. Ils doivent
permettre l’adjonction de 30 % de volume de câbles supplémentaires. Les câbles seront disposés en
nappe et fixés individuellement par des colliers de type RILSAN.
Les canalisations desservant les points de consommation seront de type définis par les règles
d’utilisation des différentes canalisations suivant la nature des locaux et fixés par les normes NF-C 15100 entre autres.
o
Câble U1000 RO2V de section appropriée pour les distributions principales.
o
Câbles résistant au feu deux heures pour les équipements de sécurité.
o
Câble A05.VVU ou H07.VU ou R pour les distributions secondaires.
Les armoires générales seront de typer UNIVERS de chez HAGER ou équivalent, degré de protection
IP 43, IK 09 mini, classe II, couleur RAL 9002.
Elles seront prévues pour une exploitation rationnelle et réalisées en tôle d’acier 10/10e, revêtement
époxy. Elles comporteront :
o une porte avec serrure à clé,
o des organes de coupure, de protection, de signalisation et d’asservissements, modulaires à
fixation sur rail,
o des étiquettes en dilophane gravées pour le repérage des constituants et des circuits,
o un bornier repéré de départ des canalisations,
o la filerie placée à l’intérieur de goulottes en plastique et munies d’un couvercle, les fils souples
de câblage de qualité H07 VK seront munis d’embouts « porte repère » à chacune de leurs
extrémités. Les couleurs conventionnelles seront respectées,
o des plastrons servant de finition et de support au repérage,
o une place disponible laissée en réserve pour extension ultérieure et représentant 30 % du
nombre de modules occupés.
12
Les appareillages courants seront de type encastré, fixation par vis. Les types et les marques sont
indiqués sur les plans d’implantation ainsi que sur la légende jointe au présent C.C.T.P.
En aucun cas l’appareillage à griffes ne sera toléré.
L’appareillage sera posé à 1,30 m du sol sauf indications contraires.
Les appareillages de commande et protection seront choisis en tenant comte de leurs
caractéristiques :
- intensité nominale et intensité de calibrage
- pouvoir de coupure
- temps de réponse
- type de déclencheur
- adaptation au réseau
- dans le cas de relais réglages, la valeur du régime normal devra se situer au milieu de la
plage de réglage
- les disjoncteurs seront d’un modèle agréé par EDF
2.8
SPECIFICATIONS TECHNIQUES COURANTS FAIBLES
2.8.1
Supports
L’entreprise, avant la mise en œuvre de ses ouvrages, réceptionnera le support qui lui sera livré et
fera part de ses observations au Maître d’œuvre par écrit.
2.8.2
Matériel
Le matériel mis en œuvre sera conforme aux normes NF-USE ou la marque de qualité USE. En
l’absence de marque NF-USE ou USE, pour un matériel déterminé, la qualité du matériel utilisé doit
être garantie sur la présentation d’un certificat de conformité aux normes. Celui-ci sera délivré par un
organisme habilité.
L’entreprise devra fournir avant sa pose, les caractéristiques techniques et un PV d’essais du matériel
proposé.
Les schémas et l’implantation des matériels devront être examinés avant exécution.
Les chemins de câbles, tous raccords à la terre, sont en acier, les bords non coupants. Ils doivent
permettre l’adjonction de 30 % de volume de câbles supplémentaires. Les câbles seront disposés en
nappe et fixés individuellement par des colliers de type RILSAN.
Les canalisations desservant les points de consommation seront de type définis par les règles
d’utilisation des différentes canalisations suivant la nature des locaux et fixés par les normes NF-C 15100 entre autres.






fils de la série H07V0 sous gaine ICD 6 noyée dans la maçonnerie y compris accessoires de
pose et de raccordement,
câble U 1000 R02V en chemin de câble en plénum de faux-plafonds,
câble U 1000 R02V sur tube IRO en plénum de faux-plafond et apparent,
câble U 1000 R02 sous tubes encastrés pour les convecteurs électriques,
câble R2V de catégories C2-5G-1,52 1 pour les circuits d’alarme et d’éclairage de secours.
Rocade fibre optique 6 brins



13
Rocade téléphonique 112 paires
Rocade TV
Liaisons terminales capillaires cuivre cat. 6 Classe EA vers points d’accès
Attention : Pour les câbles cheminant en chemins de câbles dans les plénums de faux-plafonds,
toutes les connexions seront situées en encastré dans des boites de raccordement/dérivation coupefeu (plâtrées) et accessibles depuis l’intérieur des locaux.
Les appareillages courants seront de type encastré, fixation par vis. Les types et les marques sont
indiqués sur les plans d’implantation ainsi que sur la légende jointe au présent C.C.T.P.
En aucun cas l’appareillage à griffes ne sera toléré.
L’appareillage sera posé entre 0,90 et à 1,30 m du sol sauf indications contraires. (conformes à
l’accessibilité aux PMR).
2.8.3
Section des conducteurs
Les sections de conducteurs sont déterminées en tenant compte de la chute de tension, de
l’échauffement admissible, du réglage des appareils de protection et des tableaux de la norme C
15.100 concernant les canalisations électriques et des normes EN-54 (SSI) et 150-11 801, EN 50 173
câblages courants faibles.
L’entreprise fournira à la demande du Maître d’Ouvrage, toutes les notes de calcul nécessaires pour
juger de leur bien fondé.
2.8.4
Les armoires
Les armoires générales seront de type UNIVERS de chez HAGER ou équivalent, degré de protection
IP 43, IK 09 mini, classe II, couleur RAL 9002.
Elles seront prévues pour une exploitation rationnelle et réalisées en tôle d’acier 10/10e, revêtement
époxy. Elles comporteront :
o une porte avec serrure à clé,
o des organes de coupure, de protection, de signalisation et d’asservissements, modulaires à
fixation sur rail,
o des étiquettes en dilophane gravées pour le repérage des constituants et des circuits,
o un bornier repéré de départ des canalisations,
o la filerie placée à l’intérieur de goulottes en plastique et munies d’un couvercle, les fils souples
de câblage de qualité H07 VK seront munis d’embouts « porte repère » à chacune de leurs
extrémités. Les couleurs conventionnelles seront respectées,
o des plastrons servant de finition et de support au repérage,
o une place disponible laissée en réserve pour extension ultérieure et représentant 30 % du
nombre de modules occupés.
2.8.5
14
Baies de brassage
Chaque baie est équipée :
 D’une paire de panneaux latéraux à fermeture par clé
 De deux demi portes arrières, fermeture à clé
 De portes avant verre sécurit, fermeture à clé
 De 4 montants avant/arrière, réglables en profondeur (fixation des équipements par vis et
câbles capillaires)
 D’une ventilation naturelle (toit ajouré)
 De plusieurs étriers, fixés aux 2 montants avant, et destinés au guidage vertical des cordons
 De deux bandeaux de prises électriques
 D’un kit de mise à la terre
Un disjoncteur unipolaire + neutre 16A différentiels 30mA type SI assure la protection d’un circuit du
bandeau de prises de courant électrique (disjoncteur U+N 16A Type DT 40 ou équivalent équipé
différentiel 30mA Type Vigi TG 40 si ou équivalent).
15
DESCRIPTION DES OUVRAGES
3
3.1
GENERALITES
-
Tension 220 V entre phase et neutre dans les locaux.
-
L’entreprise devra l’évacuation des gravois, les scellements et les rebouchages.
-
Les travaux concernent :




L’équipement électrique des logements
l’installation électrique des parties communes,
L’installation d’éclairage extérieur,
La mise en place de contrôle d’accès aux immeubles
Section des conducteurs
Les sections de conducteurs sont déterminées en tenant compte de la chute de tension, de
l’échauffement admissible, du réglage des appareils de protection et des tableaux de la nome C
15.100 concernant les canalisations électriques.
L’entreprise fournira à la demande du Maître d’Ouvrage, toutes les notes de calcul nécessaires pour
juger de leur bien fondé.
En tout état de cause, dans les logements, les sections minimales imposées pour les câbles sont de :
o
1,5 mm² pour les circuits d’éclairage
o
2,5 mm² pour les circuits de prises de courant 16 A + T
o
6,0 mm² pour le circuit cuisson (circuit indépendant).
o
2,5 mm² pour les socles de prises de courant 16 A commandées
o
2,5 mm² pour les circuits de lave-vaisselle et lave-linge (circuits indépendants)
Chaque circuit devra comporter un conducteur de protection de couleur vert - jaune.
Le titulaire de ce lot devra demander les puissances électriques de tous les équipements aux corps
d'état intéressés (chauffage, climatisation, …).
3.2
16
ORIGINE DE L’INSTALLATION – LIVRAISON D’ENERGIE ELECTRIQUE
3.2.1.1
Origine de l’installation – Alimentation - Comptage
L’origine de l’installation est l’alimentation électrique (ERDF), située en gaine technique palière.
3.2.1.2
78 kVA
Livraison d’énergie électrique
Bilan de puissance : coefficients de foisonnement pris en compte, suivant l’état existant est de
Comptage TARIF JAUNE – 78 kVA.
3.3
DISTRIBUTION DES COURANTS FORTS
3.3.1.1
Livraison de l’énergie électrique
L’origine de l’installation est l’alimentation électrique (ERDF) en gaine technique palière à l’entrée 16.
3.3.1.2
Coffrets de branchement
Le coffret de raccordement de l’arrivée de l’électricité existant reste inchangé.
3.3.1.3
Alimentation d’immeuble
Entre coffret d’immeuble et pieds de colonne montante inchangé.
3.3.1.4
La colonne électrique de branchement
La colonne d’alimentation des services généraux (TGBT) est inchangée.
3.3.1.5
Téléreport
Téléreport du compteur du local inchangé.
3.3.1.6
17
Comptage tarif jaune
L’alimentation électrique depuis la pénétration dans les locaux jusqu’au coffret du TARIF
JAUNE reste inchangée.
Tableau support de comptage de TARIF JAUNE existant.
Position : en local technique du 2ème étage.
3.3.1.7
Mise à la terre
3.3.1.8
Constitution de la terre
La prise de terre existante est conservée.
3.4
TABLEAUX DE PROTECTION
3.4.1
TABLEAU GENERAL BASSE TENSION (TGBT)
Tableau existant au 2ème étage. Cette armoire de protection et de commande générale est équipée du
matériel suivant en puissance adaptée :






un inter général 4 pôles calibré à la puissance requise,
un sectionneur général complètement équipé, bloc à manque de tension asservie à un
coup de poing d’arrêt d’urgence à l’extérieur du bâtiment,
le départ des dérivations individuelles pour alimentation des tableaux divisionnaires
(inclus dans le TGBT) avec protections en tête par disjoncteurs différentiels 4 pôles de
protection.
un module de départ protégé pour l’alimentation détection incendie,
un bloc de télécommande de l’éclairage de sécurité,
réalisation de l’ensemble du câblage avec bornes de connexion, repérage des circuits et
toutes sujétions nécessaires au parfait achèvement de l’armoire en fonction des normes
C 14 100 et C 15 100.
Prestations à réaliser :
- Déconnexion des circuits vers l’entrée 10 (hors climatisation et chauffage)
- Fourniture et pose d’un disjoncteur de départ vers le TDI à installer en GT de l’entrée 10
Chiffrage : forfait pour l’ensemble T.G.B.T.
Position : à installer dans la GT du bureau
3.4.2
18
TABLEAU DIVISIONNAIRE - TDI
a)
un module de départ protégé par différentiel sélectif,
b)
trois modules de départ protégés par 2 disjoncteurs différentiels 300 mA et 1 disjoncteur
différentiel de 30 mA
a)
Les modules de protection de circuits par disjoncteurs divisionnaires pour les circuits
force, les circuits lumière et prises de courant, seront séparés et protégés par coupecircuits. En plus chaque circuit desservira 8 points lumineux ou 8 prises de courant au
maximum.
d)
Définition des circuits (suivant synoptique à présenter)
. Force
. Eclairage
. PC
. PC sur circuit ondulé (informatique)
Position :
TDI du 2ème étage à installer dans le local électrique de l’entrée 10, compris
liaison d’alimentation depuis le TGBT situé à l’entrée 16 avec circuit principal
et circuit électrique ondulé
Chiffrage :
Forfait
3.5
ALIMENTATIONS
Les alimentations seront réalisées en câble de la série U 1000 RO2V de section adaptée posé sous
fourreau encastré dans la maçonnerie ou sur chemin de câble horizontal et vertical.
Le présent lot prévoira les alimentations en attentes au droit des armoires des autres lots techniques,
selon les indications apportées par les différents lots.
Il devra vérifier lors de l’établissement des documents d’exécution, les puissances et les types
d’attentes nécessaires, et adapter ses installations en conséquence et sans plus-value.
Le présent lot prévoit également la fourniture, la pose et le raccordement amont des coffrets
interrupteurs de coupure extérieure réglementaire
3.5.1.1
Alimentation du Tableau SSI
A partir du TDI du 2ème étage jusqu’au Tableau SSI, situé dans la circulation du 2ème étage
l’alimentation de ce tableau par câble avec bornes en attente. Compris pose de gaines, chemins de
câbles.
Le courant délivré aura une tension de 220 V (monophasé).
Le raccordement sera alimenté et protégé sur un circuit spécifique avec disjoncteurs divisionnaires
normalisés de calibre adapté.
Chiffrage :
Pour le tableau SSI.
Position :
Tableau SSI dans la circulation.
3.5.1.2
19
Alimentation pour l’éclairage et prises de courant des bureaux et circulation
A partir du TDI du 2ème étage alimentation des circuits. Eclairage et prises des bureaux et circulations.
Compris pose de gaines, chemins de câbles.
Le courant délivré aura une tension de 220 V (monophasé).
Le raccordement sera alimenté et protégé sur un circuit spécifique avec disjoncteurs divisionnaires
normalisés de calibre adapté, en fonction du nombre de prises à desservir.
Chiffrage :
Pour l’ensemble des circuits dont un circuit prise dédié aux appareils
informatiques sera réalisé sur réseau électrique ondulé.
Position :
3.6
Pour l’ensemble de locaux à desservir.
APPAREILLAGE – EQUIPEMENTS - ELECTRIQUES
3.6.1
Equipements d’appareillage, fileries et alimentation
Tout l’appareillage sera :
-
de type MOSAIC 45 de chez LEGRAND ou équivalent pour les circulations, locaux de
bureaux et pour les sanitaires.
Principe de l’appareillage : Se reporter aux plans et tableaux d’équipement par pièce.
Chiffrage : par local, chiffrage pour l’équipement électrique des prises de courants, points
lumineux, appareillage de commandes (prises, interrupteurs, DCL, etc ...).
3.6.2
-
Plinthes électriques
Plinthes électriques compartimentées, courants forts, courants faibles, avec prises
incorporées de 10 cm de haut.
Chiffrage : en bureaux.
3.6.3
Appareils lumineux
3.6.3.1. Nomenclature détaillée des luminaires
Les appareils seront installés complètement en état de fonctionnement optimum pour obtenir les
niveaux d’éclairement réglementaire. Tous les accessoires seront prévus, pièces de fixation (visserie,
câbles de suspension,...) ainsi que les ampoules, tubes.
Les matériels préconisés seront des marques suivantes : SARLAM, MAZDA et PRISMA, ou
équivalent.
20
Niveau d’éclairement à respecter :
500 lux pour les vestiaires.
300 lux pour l’accueil.
250/400 lux pour les sanitaires.
350 lux pour les bureaux.
300/800 lux pour la tisanerie.
250/425 lux pour la chaufferie et locaux de traitement d’air.
300 lux pour locaux de stockage.
200 lux pour les locaux techniques.
250 lux pour les circulations, sas, dégagement, parkings.
150 lux en tout point des escaliers.
Appareillage : luminaires
Locaux
Dégagements et bureaux
Local archives et local technique
Appareillage
Plafonniers de marque SARLAM ou
équivalent à leds type DOWNLIGHT - Ø
230 mm de 25 W Réf. 498 091
encastrés
Plafonniers MAZDA PARK (2 x TFP 18W)
Plafonniers de marque SARLAM ou
équivalent à leds type DOWNLIGHT - Ø
Hall d'entrée d’accueil dans faux plafond 230 mm de 25 W Réf. 498 091
encastrés avec détecteurs de présence
21
3.6.3.2
-
Luminaires
Par local, chiffrage pour équipement des luminaires suivant tableau récapitulatif ci-après.
Voir tableau ci après
Eclairage
Luminaires
Prises
de
courant
16 A +T
2ème ETAGE ACCUEIL / HALL
6 PL à leds avec
détection de
présence
6
4
/
0
0
2ème ETAGE SAS D'ACCES
1 PL à leds avec
détection de
présence
1
1
/
0
1
CIRCULATION
5 PL à leds avec
détection de
présence
5
3
/
0
0
4 PL à leds en
SA
4
8
/
2
2
4 PL à leds en
SA
6
8
/
2
2
4
8
/
2
2
4
8
/
2
2
2
4
/
1
1
4
8
/
2
2
4
8
/
2
2
2
4
/
1
1
ARCHIVES
2 PL en simple
allumage au
plafond MAZDAPARK
2
1
/
0
0
Local gaine technique
courants forts
1 PL en SA
1
0
/
0
0
1
0
/
0
0
Circuits
Local
BUREAU 1
BUREAU 2
BUREAU 3
2ème ETAGE
BUREAU 4
BUREAU 5
BUREAU 6
BUREAU 7
BUREAU 8
Local gaine technique
courants faibles
6 PL à leds en
SA
4 PL à leds en
SA
2 PL à leds en
SA
4 PL à leds en
SA
4 PL à leds en
SA
2 PL à leds en
SA
1 PL en SA
Prise
force
Prise FT
RJ-45
Equipements
spécifiques RJ 45
Réseau
informatique
3.6.4
22
Equipement des locaux
3.6.4.1 Accueil
-
Equipement en éclairage commandé par détecteurs de présence.
-
Les points lumineux seront encastrés en faux plafonds. L’ensemble sera de classe II et
équipé de lampes à leds, de marque SARLAM modèle DOWNLIGHT – 230 mm Réf.
498.091 ou équivalent. Niveau d’éclairement requis 150 Lux.
-
Equipement avec 4 prises de courant.
-
Distribution : depuis le tableau TDI des SG, la distribution sera entièrement encastrée.
Position : 6 points lumineux pour l’accueil fonctionnant sur détecteur de mouvements.
Chiffrage : au forfait.
3.6.4.2. Circulations
-
équipé de 5 lampes à leds, de marque SARLAM modèle DOWNLIGHT – 230 mm Réf.
498.091 ou équivalent. - Niveau d’éclairement requis 150 Lux.
Equipement de 3 PC de 16 A+T
Position : circulation.
Chiffrage : au forfait pour le sas.
3.6.4.3. Sas d’accès
-
équipé de 1 lampe à leds, de marque SARLAM modèle DOWNLIGHT 230 mm Réf.
498.091 ou équivalent.
Niveau d’éclairement requis 150 Lux.
Equipement de 1 PC de 16 A+T
Position : sas d’accès.
Chiffrage : au forfait pour le dégagement.
3.6.4.4.
23
Bureaux
-
Equipement en éclairage commandé par simple allumage.
Les 2 ou 4 points lumineux seront encastrés en faux plafonds. L’ensemble sera de classe
II et équipé de lampes à leds, de marque SARLAM modèle DOWNLIGHT 230 mm Réf.
498.091 ou équivalent. Niveau d’éclairement requis 400 lux.
Equipement du local de 4 ou 8 PC de 16 A + T. Une ou deux PC seront réalisées sur le
circuit électrique ondulé, dédié aux appareils informatiques
Position : Bureau 1-3-4-6-7 avec 4 PL et 8 PC (2 postes de travail)
Bureau 2 avec 6 PL et 4 PC (1 poste de travail)
Bureau 5 et 8 avec 2 PL et 4 PC (1 poste de travail)
Chiffrage : au forfait pour le local
3.6.4.5
-
Local Archives
Alimentation d’un point lumineux équipé de plafonnier étanche MAZDA-PARK (2 x TFP 18 W)
en simple allumage avec interrupteur étanche à partir du tableau de protection des SG.
Niveau d’éclairement requis 150 Lux.
Equipement avec 1 PC de 14 A + T
Chiffrage : forfait pour local atelier.
3.6.4.6
Gaines techniques
-
Equipement en éclairage commandé par simple allumage.
Le point lumineux sera équipé de diffuseurs anti-vandales comprenant une verrine.
L’ensemble sera de classe II et équipé de lampes à leds, de marque SARLAM modèle
CHARTRES Réf. 724.503 ou équivalent. Niveau d’éclairement requis 150 lux.
Position : Gaines techniques courants faibles et courants forts.
Chiffrage : au forfait pour le local
3.6.4
Liaison équipotentielle
A réaliser conformément à la norme N.F.C. 15.1.00, paragraphe 413.1.6. (canalisations EF - EC Chauffage, gaz..., appareils sanitaires, huisseries métalliques et tous autres éléments conducteurs
métalliques).
Chiffrage : forfait pour les toilettes et local pause.
3.7
24
ECLAIRAGE DE SECURITE
L’éclairage de sécurité devra répondre aux objectifs suivants :
-
éclairer les circulations,
-
permettre une reconnaissance des obstacles,
-
signaler les issues et cheminements pour procéder à l’évacuation des locaux,
-
permettre l’intervention du personnel de sécurité.
L’éclairage de sécurité sera réalisé par des appareils d’éclairage :
-
avec pictogrammes internationaux conformes à la norme NF X 08-003,
-
avec inscription « sortie », « sortie de secours » ou flèche sur fond vert selon le cas.
Les blocs de balisage seront installés aux issues des salles et dégagements recevant plus de
50 personnes, ainsi qu’à tous les changements de direction et à chaque obstacle.
L’éloignement entre deux blocs de balisage ne devra pas excéder 15 m.
Un éclairage d’ambiance sera installé dans tous les locaux où l’effectif atteint 100 personnes
ou plus en rez-de-chaussée.
La distance maximale entre deux blocs d’éclairage d’ambiance ne sera pas supérieure à
quatre fois la hauteur du local dans lequel ils sont implantés.
Dans les locaux humides, les BS devront être au minium d’indice IP23, IK02.
3.7.1
Blocs autonomes type C
Les blocs autonomes seront conformes aux normes NF C 71-800 et 801, homologués NF
AEAS « BAES ».
Testables secteur présent et absent, à mémorisation des résultats par LED, ils seront équipés
d’un bloc batterie interchangeable sans nécessiter de coupure secteur, en toute sécurité pour
l’intervenant.
Ils présenteront en face avant une surface plane de 227 x 90 mm minimum permettant de
recevoir, les étiquettes autocollantes de signalisation.
Caractéristiques des équipements à mettre en oeuvre :
-
bloc autonome de balisage à teste automatique intégré SATI, saillie, à mémoire, flux
lumineux 60 lm à 5 minutes, autonomie 1 heure, type 608 25 de marque LEGRAND ou
équivalent.
Selon leur lieu d’implantation, ces blocs autonomes seront pourvus des dispositifs pour
fixation murale, en drapeau, en encastré ou en suspension.
25
Position :
Suivant plans d’équipement et de guidage.
Un bloc autonome sera posé dans chaque local archives
Chiffrage :
Forfait par bloc autonome
3.7.2
Blocs de secours à double fonction Evacuation
Les blocs autonomes seront conformes aux normes NF C 71-800 et 801-805-820,
homologués NF AEAS « BBEH » selon la norme NF-EN.60.598-2-22.
Testables secteur présent et absent, à mémorisation des résultats par LED, ils seront équipés
d’un bloc batterie interchangeable sans nécessiter de coupure secteur, en toute sécurité pour
l’intervenant. L’allumage est piloté par le déclenchement de l’alarme incendie.
Ils présenteront en face avant une surface plane de 227 x 90 mm minimum permettant de
recevoir, les étiquettes autocollantes de signalisation.
Caractéristiques des équipements à mettre en oeuvre :
-
bloc autonome de balisage à test automatique intégré SATI, saillie, à mémoire, flux
lumineux 60 lm, autonomie 1 heure, type 607.61 indice IP 20 de marque LEGRAND ou
équivalent.
Selon leur lieu d’implantation, ces blocs autonomes seront pourvus des dispositifs pour
fixation murale, en drapeau, en encastré ou en suspension.
Position :
Chiffrage :
3.7.3
a) suivant plans d’équipement et de guidage.
b) Un bloc autonome sera posé et en balisage de l’évacuation
a) forfait par blocs autonomes
Centrale et télécommande
Un boîtier de télécommande permettant la mise au repos automatique de la fonction
« évacuation » des blocs autonomes en cas de coupure volontaire de l’alimentation générale. Cette
télécommande sera installée à proximité de la coupure générale éclairage.
Capacité : 300 blocs
Autonomie secteur absent : 2 mois
Alimentation : 230 V – 50 Hz
Bloc portatif d’intervention installé dans le local technique TGBT, autonomie 1h30 sur batterie
Ni-Cd
 Alimentation 230 V
 Classe II




Position : dans le bureau
Chiffrage : forfait
3.7.4
26
Distribution et câblage
La distribution sera conforme au chapitre « Câblage distribution » ci-avant, y compris
raccordement sur la tableau de protection.
Chiffrage : forfait pour l’ensemble conformément à la réglementation.
3.8
EQUIPEMENTS DE CHAUFFAGE ELECTRICQUE
Les locaux sont chauffés par plaques de faux-plafonds rayonnantes de type ECOSUN. Dans
le principe, il y a lieu de déposer les plaques existantes avant transformation et de les reposer dans
les faux-plafonds neufs, ainsi que les alimentations électriques.
3.8.1
Dépose des cassettes rayonnantes
Dépose soignée des cassettes rayonnantes existantes pour ré-emploi.
Position : tous les locaux concernés.
Chiffrage : Forfait
3.8.2
Repose des cassettes rayonnantes
Pose des cassettes rayonnantes suivant la nouvelle distribution des locaux.
L’ensemble des cassettes d’un même bureau ou local sera relié par une alimentation électrique
jusqu’au local TGBT, où chaque bureau sera commandé par le serveur commun.
Position : Bureaux 3-4-5-6-7-8- Archives et circulations.
Chiffrage : par local
3.8.3
Régulation et câblages
Il s’agit du système CEZEMBRE des Ets DATA-THERM qui pilote depuis le serveur commun chaque
local, en fonction de la température de consigne.
Prestations :
a) Câblages à tirer depuis les bureaux 3-4-5-6-7-8-Archives et Circulation jusqu’au local de
commande (distant de 70 m environ)
b) Raccordements électriques par circuit de bureaux à l’armoire de commande
3.9
27
TRAVAUX DIVERS
3.9.1
Gestions des déchets de chantier – Evacuation des gravats
L’entreprise est responsable de l’évacuation de ses déchets, il ne sera pas installé de bennes
collectives.
Les déchets devront être triés suivant leurs natures (classe 1, classe 2, classe 3) avant leur
évacuation conformément à la loi du 13.07.92 applicable au 01.07.02.
Les déchets seront évacués (le Maître d’œuvre pourra réclamer les bons) vers les décharges
agrées aux frais exclusifs des entrepreneurs tous les jours, il ne sera toléré aucun stockage de
déchets sur le chantier.
Chiffrage : forfait pour l’opération.
3.9.2
Travaux en Régie
L'entreprise mettra à disposition du Maître de l'Ouvrage et du Maître d'Oeuvre, un ou plusieurs
compagnons pour exécution de travaux ponctuels non prévus dans les descriptions ci-dessus.
La facturation des travaux sera à établir suivant attachements contradictoires.
Position : sur instructions du Maître d'Oeuvre.
Chiffrage : tarif horaire.
COURANTS FAIBLES
3.10 TELEPHONE
3.10.1 Branchement cuivre des locaux
Chaque local (bureaux) sera relié à la réglette de distribution installée dans la gaine France
TELECOM, par un câble 4 paries aboutissant sur un coffret de communication
Le câble sera de la série 298, catégorie 5 selon la norme NF EN 50473.
La deuxième paire du câble sera en réserve de façon à permettre une extension ou une relève de
dérangement.
Les câbles seront posés :
-
Sous conduits isolant cintrable transversal élastique annelé (ICTA 3422) encastrés dans les
murs au moment de la construction
Sous conduits isolant cintrable annelé (ICA 3321) incorporés dans les cloisons, ou fauxplafonds
En plinthes élecrriques
28
Dérivations sous boîtes encastrées suivant le mode de pose.
Le tableau de communication sera équipé d’un module d’essais France TELECOM.
Chiffrage : Par bureaux
Position : Dans l’entrée de chaque local
3.10.2 Branchement fibre optique des locaux depuis BPO
Depuis la gaine télécommunication, fourniture et pose de conduits isolants cintrable transversal
élastique annelé (ICTA 3422) encastrés dans le mur au moment de la construction DTIO de la GTL ou
sous conduits isolant cintrable annelé (ICA 3321) incorporés dans les cloisons ou posés dans les faux
plafonds, ou en plinthes électriques.
Le présent lot devra le repérage de ses fourreaux avec son origine et son arrivée.
Chiffrage : à l’ensemble
Position : Depuis la gaine télécommunication jusqu’au DTIO de chaque bureau.
3.10.3 Colonne fibre optique
Travaux non prévus.
3.10.4 Equipement et installation des locaux
Chaque local recevra l’équipement suivant :
-
Une prise RJ 45 placée par poste de travail dans les bureaux
Un socle avec couvercle de protection avec en attente une fibre sous fourreau dans chaque
local
Les prises RJ 45 seront reliées individuellement au panneau de brassage, par un câble 4 paires.
Le pré-câblage optique sera relié au DTIO par câble optique répondant à la norme 2 FO IEC 60794-240. Le câble laissé en attente sera protégé par tous les moyens de la poussière, de l’humidité et des
dégradations.
Les prises RJ 45 seront de type grade 1 (catégorie 5) branchés en étoile de même marque et type
que l’appareillage électrique des locaux.
Le câble sera de grade 1 selon la norme NF EN 50441-1.
Les prises RJ 45 seront placées à proximité immédiate d’une prise de courant.
La prise optique sera installée à proximité immédiate d’une prise de communication RJ 45.
Les câbles seront posés :
-
Sous conduit isolant cintrable annelé (ICA 3321) incorporés dans les cloisons ou en faux
plafond ou sur plinthes électriques
Dérivations sous boîtes encastrées suivant le mode de pose.
29
Nota : les boîtes seront rendues parfaitement étanches contre les infiltrations d’air en provenance du
tableau électrique. Boîtes de chez LEGRAND, Type BATIBOX ENERGY ou techniquement
équivalent.
La prise RJ 45 seront fournies et posés par l’entreprise du présent lot qui devra prendre toutes
précautions pour la mise en place des boîtiers de fixation.
Chiffrage : à l’ensemble par type de local
Position : selon plan de principe
3.10.5 Baie de brassage
La baie sera équipée :
 D’une paire de panneaux latéraux à fermeture par clé
 De deux demi portes arrières, fermeture à clé
 De portes avant verre sécurit, fermeture à clé
 De 4 montants avant/arrière, réglables en profondeur (fixation des équipements par vis et
écrous cage)
 De 4 pieds de type vérins réglables
 D’un chemin de câble latéral, type chemin de câble en fil, pour guidage vertical et fixation des
câbles capillaires
 D’une ventilation naturelle (toit ajouré)
 De plusieurs étriers, fixés aux 2 montants avant, et destinés au guidage vertical des cordons
 De deux bandeaux de prises électriques
 D’un kit de mise à la terre
-
Un disjoncteur unipolaire + neutre 16A différentiels 30mA type SI assure la protection d’un
circuit du bandeau de prises de courant électrique (disjoncteur U+N 16A Type DT 40 ou
équivalent équipé différentiel 30mA Type Vigi TG 40 si ou équivalent).
Une liaison entre la baie de brassage installée dans le local technique sera réalisée jusqu’au
serveur du 2ème étage (entrée 16) passage en faux plafonds
Position : dans local technique
Chiffrage : pour l’ensemble.
30
3.11 VIDEOSURVEILLANCE
3.11.1 Câblage capillaire
La vidéo surveillance existante est conservée, pendant les travaux, il faudra déposer les équipements
existants et les reposer en état de service.
La distribution sera réalisée avec du câble cuivre 1 x 4 paires ou 2 x 4 paires, de type paires
torsadées (simple ou double), de type Cat. 6 générique (compatible Classe EA pour 500 Mhz),
d’impédance caractéristique 100 Ohms et de structure blindée F/UTP ou U/FTP.
Chiffrage :
pour le câblage de la vidéo existante.
3.12 ALARME INCENDIE
3.12.1 Système de détection incendie (SDI)
NOTA : Il s’agit de locaux relevant du code de travail et d’ERP de la 5ème catégorie.
L’installation comportera la fourniture et la pose d’un système composé d’un équipement de contrôle
et de signalisation ECS gérant les différents points de détection et d’un centraliseur de mise en
sécurité incendie gérant les foncions CMSI et une Unité de Gestion d’Alarme.
L’installation comprendra des batteries et une alimentation électrique de sécurité 48 V conforme à la
norme NFS 61-950 et de 8 batteries 12 V/12Ah.
Le CMSI permettra la gestion de plusieurs zones de diffusion d’alarmes et fonctions de mise en
sécurité.
L’ensemble devra être inaccessible au public. Pour ce faire, le titulaire du présent lot aura à sa charge
la fourniture et pose d’une armoire fermant à clé et disposant d’une porte vitrée.
Le système sera de marque :
o
SIEMENS SSI.2020-2/48.PC ou équivalent avec une CMSI de catégorie A de marque
SIEMENS type STT.20
Localisation : circulation du 2ème étage.
Chiffrage : forfait pour l’ensemble.
31
3.12.2 Renvoi téléphonique
Installation de renvoi d’alarme téléphonique avec dispositif d’identification du type d’alarme type
transmetteur vers d’autres téléphones. Le renvoi sera opéré par la ligne téléphonique, l’entreprise
devra mettre en œuvre un transmetteur dans l’accueil qui permettra la diffusion d’informations du
CMSI..
Position : dans l’accueil vers d’autres téléphones et vers le tableau répétiteur situé dans le
local informatique (entrée 16).
Chiffrage : forfait
3.12.3 Tableau répétiteur d’alarme
Fourniture et pose de tableau répétiteur d’alarme au RdC sur lequel sera reporté synthétiquement les
informations d’alarme feu provenant du système de détection incendie.
Le tableau répétiteur doit être un tableau Répétiteur d’Exploitation (TRE) pour permettre l’exploitation
délocalisée du SSI. Le TRE doit reprendre les informations du SDI et celles du SMSI.
Le système sera de modèle :
o
SIEMENS Type FS.20 ou équivalent
Localisation : dans local informatique à l’entrée 16.
Chiffrage : forfait par tableau.
3.12.4 Détecteurs incendie
3.12.4.1 Détecteurs thermo-vélocimétriques
L’installation comportera la fourniture et pose de détecteurs thermo-vélocimétriques équipés de deux
leds rouges. Ils détecteront des températures supérieures à 60 °C.
Le titulaire du lot devra la fourniture du socle pour les détecteurs.
Les détecteurs thermiques seront de marque :
o
SIEMENS Type FDT.221/FDB 221/FDB 291-C.LINE.PC ou équivalent.
Ils seront implantés en plafond des locaux concernés.
Position : 1 détecteur dans le local Archives.
Chiffrage : à l’unité selon descriptif
32
3.12.4.2 Diffuseur Visuel d’Alarme feu
L’installation comportera la fourniture et pose de diffuseur visuel d’alarme feu. Ils permettront la
signalisation visuelle de la détection de feux couvrants à évolution lente, dégageant une fumée visible
ou opaque. Le niveau de sensibilité doit être programmable.
Le titulaire du lot devra la fourniture du socle.
Les diffuseurs optiques seront de marque :
o
SIEMENS Type SOLISTA-LX-CEILING ou équivalent.
Ils seront implantés en plafond du local concerné.
Position : dans local Archives et sur porte du local Archives côté circulation.
3.12.5 Indicateurs d’action
Des indicateurs d'action seront placés à l'extérieur des locaux à surveiller pour permettre une
localisation rapide des alarmes.
Les indicateurs d’action seront de marque :
o
SIEMENS type FD.AI-92/330-PC ou équivalent.
Ils seront implantés en linteaux au-dessus des portes des locaux équipés de détecteurs de fumées.
Position : suivant le tableau et les plans joints en annexes local Archives
Chiffrage : à l’unité
3.12.6 Maintiens magnétiques
L’installation comportera la fourniture et pose de maintiens magnétiques 24 V pour les portes coupe
feu. L’équipement comprendra les consoles en aluminium à fixer sur parois support du bloc porte. La
double porte sera équipée d’un sélecteur de fermeture marque BRICARD série 1381.
Ils seront de marque :
o
SIEMENS Type MEA 20-AT ou équivalent.
Position : portes CF de recoupement des circulations
Chiffrage : à l’unité selon descriptif. Prévus sur porte DAS
33
3.12.7 Déclencheurs manuels
Ils seront du type Déclencheur manuel membrane Déformable,
de marque :
o SIEMENS type FDM-225-RP.CC ou équivalent.
Position :
3 déclencheurs manuels au 2ème étage
3.12.8 Diffuseur sonore et optique
Le diffuseur sonore non autonome sera audible en tout point du bâtiment, le son émis sera conforme
à la norme NF.S 32.0001.
Il sera hors de portée du public et des chocs par éloignement (hauteur minimum d’installation : 2,25
m) ou par interposition d’un obstacle.
Les sirènes seront de marque :
o
o
SIEMENS Type SY + EMBASE LUMINEUSE – PC ou équivalent
SIEMENS Type SIMPHONI-LX-WALL-BASE
Un diffuseur optique sera installé le chaque WC PMR et local Archives. (avec flash rouge)
Position :
2 diffuseurs sonores au 2ème étage
1 diffuseur optique en WC et Archives
Chiffrage : suivant D.Q.E., y compris asservissement sur déclencheurs manuels.
3.12.9 Modules adressables
Fourniture et pose de modules adressables 48 V Type MEA-20-48 de SIEMENS ou équivalent qui
permet de commander et de gérer les DAS des lcoaux. Chaque MEA20 comporte les éléments
suivants :





2 Lignes de télécommande (LT)
8 Lignes de contrôle (LC)
Entrée/sortie bus P
Entrée/sortie bus G
1 Sortie répétiteur par LC
Gestion des DC et FC sur la même ligne de contrôle par un câble 1 paire 9/10ème ou 8/10ème sans
écran.
Borniers débrochables pour le bus G, les LT, les LC et les sorties répétiteurs
Borniers non débrochables pour le bus P : câble section mas. 6 mm2
Boîtier avec embouts à gradin : 1 par câble
Adressage (1 à 32) suivant l’ordre de câblage des MEA 20
Sorties répétiteurs défaut d’organe par interface BDO20 :
Position : à proximité des organes DAS
Chiffrage : à l’unité
34
3.12.10 Câblage – Mise en service
La prestation comprend le câblage, la distribution, et la mise en service des différents matériels et
matériaux concourrant au système de sécurité incendie.
Le câblage concerne tout équipement du système de Sécurité incendie ainsi que le circuit de
commande des portes asservies.
Les câbles nécessaires au système de sécurité incendie seront indépendants des autres canalisations
et chemineront dans les compartiments spécifiques des chemins de câbles ou dans des fourreaux
distincts incorporées en dalles.
Les câbles d'alimentation des installations de sécurité sont de type CR1 (résistant au feu) et leurs
dispositifs de jonction et dérivation satisfont à l'essai au fil incandescent à 960°C
a) Câblage
A prévoir tout le câblage des équipements spécifiques pour l’alarme incendie.
La prestation comprendra le câblage par circuits desservis y compris boîtes de dérivation, tubes,
fourreaux et toutes sujétions, pour les circuits d’éclairage de secours et le circuit d’alarme.
L’asservissement de l’alarme incendie au SSI est dû par le présent lot.
Un satellite à plusieurs fonctions sera installé à l’étage, qui recevra les consignes « portes,
détecteurs… »
L’installation comprendra des modules isolateurs de coupe circuit pour les lignes principales des
détecteurs
Remise d’une attestation d’essai réalisée avec le fournisseur du matériel.
Chiffrage : forfait pour la prestation
b) Les asservissements


Asservissement éclairage de sécurité,
Asservissement des portes d’intercommunication d’ étages
Chiffrage : forfait pour les asservissements
c) Les modalités de réception techniques


Essais d’efficacité par foyer-type de site,
Feuilles d’autocontrôles de l’installateur,
Chiffrage : forfait pour les essais et contrôle
35
3.12.11 CMSI
A partir du tableau de protection général (le TGBT situé au 2ème étage entrée 16), réalisation du
branchement de l’alimentation électrique de la CMSI située dans la circulation de l’entrée 10.
Position : alimentation de la CMSI
Chiffrage : forfait
3.12.12 Tableau de report
Réalisation du branchement de l’alimentation électrique des tableaux de report situés dans le local
informatique de l’entrée 16 gardien, à partir du système SSI (ou depuis un EAE)
Position : alimentation du tableau de report
Chiffrage : forfait pour alimentation

Opération de transformation de bureaux et d`archives au 2ème

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