Magazine municipal n° 411 - Novembre 2011 (pdf - 4,08
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LE MAGAZINE MUNICIPAL DE VOTRE VILLE - N°411 - NOVEMBRE 2011 Changer autmont Rue des Écoles et de la Galère : concertation et explications… Photo : ON/VTC La remise des prix des Maisons fleuries Hautmont Capitale de Noël : le programme se dévoile www.mairie-hautmont.fr L’BILLET D’ZÉPHYRIN Y ’s’épasse nin eune semaine sans découvrir qu’din telle ou telle école, qu’des « ncidents » dramatiques pou certains, nos arrivent’é in pleine face. Des injures, des vols et des viols sous l’menace d’coutieaux et mainme d’armes so sont révélés. Cerise d’su l’gatieau certains parints s’in prentent’é aux maîtres (qui n’sont pu maîtres dé rin) et donnenent’é ainsi l’bon exempe à leu progéniture ! Et chacun d’braire din s’coin pindant qu’les enseignants sont insultés pas des garnements qui jussent’é « au dur ». Et là d’su certains parints r’prochent’é aux maîtres d’es foute de tout et dé n’pinser qu’aux vacances…. Heureusemint tout çoulà n’est que l’fait d’eune minorité. Dieu merci, y’a co des geins qui bossent’é vraiemint et des inseignants qu’ont leur métier à cœur et ça s’voit aux résultats des examens. Y faut quand mainme partir d’un principe et yète lucide. On a toudi constaté et connu qu’les élèves sont différents. Pou certains « ça rinte tout seu », pou d’zautes c’qui z’apprentent’é aujourd’hui c’est complètemint oublié el lendemain et y n’y peuvent’é rin. Et par-contre on connaît des gamins très brillants qui finalemint , loin s’en faut, n’ont jamais percé. Alors qué d’zautes, peu doués soit-disant, fourt habiles d’leux mains, ont appris un métier d’sus l’tas et sont dévnus des as et ont prospéré avec bonheur ! Quand on y réfléchi bin, avec les moyens d’communication actuels, y n’est nin étonnant qu’eune bonne part d’el jonnesse s’mette à rêver à des situations d’in haut d’l’échelle. Et souvint incouragés pa des parints qui, yeusses, et c’est normal, rêventent’é étou d’vire leu progéniture réussir mieux sachant qu’y n’ont nin « s’té poussés à l’école ». Y Croyenent ‘é bin faire et y ont raison. Les débouchés, ? ça c’est eune aute question ! Et y faut surtout détecter et orienter chacun selon ses aptitudes in gardant les pieds d’su terre. Avec l’âge des geins comme nous, souvint grands-parints, qu’ont vu les évolutions, des situations boulversées restent’é souvint rêveurs. Commint conseiller, parler, discuter posémint avec c’qui leu est l’pu cher au monde ? Tout l’problème est drôla. Eune chose s’ra toudi vraie, avec d’el ténacité et du courage, nin d’raison d’en nin sin sortir !!! SOMMAIRE Page 2 : L’billet d’Zéphyrin Page 3 : Stationnements : des règles incontournables Page 4 : Les élus à la rencontre des Hautmontois Page 5 : Le départ de P. Fontaine receveur-percepteur Page 6 : Remise des récompenses des Maisons fleuries Page 7 : Histoire de l’abattoir Page 8 : La rue Gambetta (2ème partie) Page 9 : Vie économique Page 10 : Bientôt les festivités de Noël ! Page 11 : A savoir Page 12 : La ville à votre service 2 ZOOM Emotions fluviales pour nos aînés Directeur de la publication : Christophe FORIEL. Directeur de la publication honoraire : Gérard VANACHTER Rédaction : Bernard BERNARD, avec la collaboration de Bernard Bondue. Secrétariat de rédaction : Catherine SCHOTTEY Crédit photos : Mairie d’Hautmont. Conception & Réalisation : VTC Multimedia - Bavay Pour toutes remarques ou suggestions : [email protected] OFFICIELLEMENT STATIONNEMENTS ET AUTRES… QUESTIONS ET RÉPONSES POUR MIEUX VIVRE ENSEMBLE Régulièrement nous revenons sur un problème récurrent qui se pose en ville - comme partout d’ailleurs - ou un sens simple mais vrai du civisme pourrait régler les problèmes de circulation. Questions-réponses sur le sujet… 1) Ai-je le droit de stationner en double file ? Non. Même pour une courte durée, le stationnement en double file est interdit par le code de la route et passible d’une contravention de 2ème classe (35 euros), voire d’une mise en fourrière. Curieusement, stationner en double file est autorisé pour les deux-roues. 2) Ai-je le droit de stationner sur un trottoir ? 6) Ai-je le droit de stationner sur ma sortie de garage personnelle ? Oui. Stationner devant votre garage est autorisé puisque vous ne gênez que vous-même. Attention, si votre rue est en zone bleue, cela ne vous dispense pas d’apposer un disque de stationnement sur votre voiture (et de respecter la durée de stationnement accordée) ou d’apposer sur la planche de bord le ticket de parking si la zone est payante. Bref, si vous avez la chance d’avoir un garage, le mieux est encore de l’utiliser. S N O I T S E U Q S E S N O P RÉ Non. Stationner ou s’arrêter en montant sur un trottoir est considéré comme un stationnement gênant puisque cela peut entraver la marche des piétons ou les obliger à marcher sur la chaussée. Le tarif ? Une amende de 2ème classe (35 euros). Bien entendu, stationner à cheval ou sur le trottoir est autorisé si les emplacements sont matérialisés. 3) Ai-je le droit de m’arrêter sur un emplacement pour handicapés ? Non. Seules les voitures dont le propriétaire est titulaire d’une carte de GIG (grand invalide de guerre) ou GIC (grand invalide civil) peuvent stationner sur un emplacement réservé aux handicapés. Le fait de souffrir d’un handicap momentané ou de transporter une personne handicapée ne donne pas droit à un tel emplacement. La sanction ? Une amende de 4ème classe (135 euros) et une éventuelle mise en fourrière. 4) Ai-je le droit de me garer sur un arrêt d’autobus ? Non. Même un simple arrêt temporaire sur un espace réservé aux transports en commun est interdit. Stationnement comme arrêt sont passibles d’une amende de 4ème classe (135 euros). 5) Ai-je le droit de stationner sur un emplacement réservé aux livraisons ? Oui & Non. Pas besoin de posséder une camionnette pour se garer sur un emplacement réservé aux livraisons, à la condition expresse d’avoir quelque chose ... à livrer. Le stationnement est autorisé le temps de charger ou de décharger le véhicule. Pas question donc de se servir d’un tel emplacement pour un déménagement. L’utilisation abusive d’un emplacement livraison est passible d’une amende de 2ème classe. Vous risquez également une mise en fourrière. 7) Ai-je le droit de me garer sur un passage piéton ? Non. Arrêt comme stationnement sur un passage piéton sont passibles d’une amende de 2ème classe (35 euros). Attention à ne pas « mordre » sur le passage. Une seule roue sur les bandes blanches vous vaudra une amende de 1ère classe (17 euros). 8) Ai-je le droit de m’arrêter n'importe où pour faire descendre ou monter un passager ? Oui & Non. S’arrêter brièvement le temps de permettre à un passager de monter ou de descendre de votre voiture est toléré, à condition que vous restiez au volant et que votre arrêt n’ait pas lieu dans un endroit dangereux (carrefour, virage...). * Dans les autres cas, le stationnement est fixe quand les emplacements sont délimités (aménagements ou peinture au sol). Stationnement Des règles à respecter O utre les stationnements illicites en ville et aux abords des écoles il est aussi regrettable de constater que le changement de côté de stationnement s’effectue dans certaines rues selon le bon vouloir de chacun et s’étale parfois sur deux ou trois jours, avec toute la gêne qui en découle. Un peu de civisme serait le bienvenu également dans ce cas de figure pour le bien commun. L’amende encourue en cas de non-respect de la loi est de la première catégorie. Il faut en effet savoir que dans la plupart des rues * de la commune, le stationnement se fait sous le régime « unilatéral alterné » (du 1er au 15 : côté numéro impairs des immeubles ; du 16 au dernier jour : du côté des numéros pairs). Le changement s’opère le dernier jour de chaque période entre 20 h 30 et 21 heures. 3 RÉNOVATION URBAINE Toujours la même démarche d’écoute et de dialogue avec les riverains concernés Complexe Ferry, rue de la Galère et des Ecoles : les élus sur le terrain C ’est une volonté forte du maire d’ Hautmont : les élus, lors de chaque chantier d’importance vont à la rencontre des habitants des quartiers concernés, au travers de réunions publiques où chacun est invité. Après le regard sur l’évolution des chantiers, dans une franche convivialité, parole est donnée aux administrés pour qu’ils exposent leurs remarques et leurs interrogations. « Il y a 7000 logements à Hautmont. Nous ne pouvons être derrière chacun de vous. Si vous avez quelque chose à nous dire faites remonter l’info que ce soit sur le terrain, lors des permanences des élus ou lors de réunions de ce type » : souligne le maire. Cela relève d’une certaine démocratie participative qui devrait s’imposer plus souvent ailleurs. Le jeudi 21 octobre dernier une soixantaine de riverains du superbe complexe Ferry - appelé à regrouper en janvier les écoles Ferry et Les Tilleuls - et des rues qui l’entourent, à savoir celle de la Galère et celle des Ecoles étaient conviés à une réunion très ouverte. C’est peu de dire que ce complexe scolaire est une réussite. Pourtant le challenge n’était pas mince : édifier un bâtiment de ce type en un endroit où la dénivellation est pregnante relevait d’un lourd pari. Une tâche dont s’est acquitté avec brio l’architecte. Le site, aéré, fonctionnel et en phase avec les dernières exigences en la matière, s’élève sur deux niveaux. Le bas sera réservé aux six sections de maternelles, le haut étant dévolu aux huit classes de primaire. Un ascenseur reliera les deux niveaux. Si bien évidemment la ville est restée décisionnaire dans le schéma final, là-aussi la concertation avec l’équipe enseignante a prévalu dans l’élaboration du projet. Dans le même esprit de ce qui s’est fait à Victor-Hugo, vitrine désormais de la ville en matière de 4 politique scolaire. L’investissement est à la hauteur puisque cette réalisation à coûté quelque 4, 5 M d’euros. Soit le même que pour le complexe Hugo. Le maire s’y attarde : « C’est exceptionnel d’avoir inauguré sur un peu plus d’un an deux complexes scolaires du même type, avec pour la commune un coût remarquable ». Le complexe scolaire Ferry ouvrira ses portes à la rentrée de janvier. Ce dernier est quasiment opérationnel mais les lourds travaux des rues avoisinantes imposent ce report d’ouverture, initialement prévue après les vacances de la Toussaint… Restait l’autre morceau de choix de la soirée : l’évolution des travaux des « C’est exceptionnel d’avoir inauguré sur un peu plus d’un an deux complexes scolaires » rues de la Galère et des Ecoles. Après avoir remercié les riverains pour leur patience mise parfois à rude épreuve, suite à la lourdeur de ce chantier conséquent, Joël Wilmotte, Daniel Devins et les autres intervenants impliqués dans ce schéma novateur annoncèrent que les travaux de la rue de la Galère seront finalisés le 15 novembre prochain et que pour la rue des Ecoles il faudra compter un mois de plus, soit vers le 15 décembre. Là-aussi la configuration des lieux et l’extrême vétusté des divers réseaux souterrains, notamment ceux des raccordements à l’assainissement, ont révélés bien des surprises. C’est qu’il ne suffit pas de poser un enrobé sur le sol pour en faire une route digne de ce nom. Des études poussées et un long travail en amont sont indispensables avant d’enfouir les réseaux EDF, Eau et Force, téléphonie, gaz et évacuations des eaux usées, pose des candélabres, le tout compliqué encore par des obligations environnementales des plus strictes. Dans la foulée de nombreux échanges constructifs furent initiés entre tous, sans qu’aucune question ne soit éludée… Stationnement : la pierre d’achoppement C ’est l’un des points qui vit nombre de riverains interpeller les élus : le stationnement ou plutôt l’anarchie qui dans ces rues prévaut trop souvent. Par commodité, par négligence, par paresse ou simplement par mépris de l’autre on gare son véhicule un peu n’importe comment. Ce qui a le don d’indisposer fortement les riverains ici plus qu’ailleurs, au vu des chantiers. « Insupportable et inadmissible » tonnent les élus, qui optent plus encore pour la répression. Mais le maire de souligner la multiplication des voitures dans les familles, sans que l’on puisse agrandir les rues en poussant les maisons. Heureux ! divers aménagements sécurisés, notamment rue des Juifs (une soixantaine de places de parking) sont appelés à mieux réguler tout cela, ici et là. Reste que les réfractaires seront par essence… réfractaires. A moins que les amendes de 135 euros n’en fassent des citoyens exemplaires… ACTUALITÉS À LA FAVEUR D’UNE MÉTÉO DE LA PARTIE BEAU SUCCÈS DE LA FOIRE-BROCANTE SAINTE-WAUDRU I nitiée il y a quelques années, la foire-brocante Sainte-Waudru est déjà devenue le rendez-vous automnal de référence en la matière. Servie par une météo qui s’était montrée engageante, elle a attiré de nombreux chalands. Les exposants du dimanche côtoyaient en bonne intelligence les professionnels. Chaussures, vêtements, métiers de bouche et autres étaient ainsi à la disposition des nombreux passants, en quête d’une bonne affaire. Il était temps car la mauvaise saison est arrivée… NOS SÉNIORS À LA FÊTE À LA DÉCOUVERTE DE L’ASCENSEUR-FUNICULAIRE DE TRÉPY-THIEU L es seniors à Hautmont on les aime ! A l’occasion de l’arrivée du futur port fluvial à Hautmont, la municipalité, sous la houlette d’Evelyne Glacet, organisait une nouvelle fois une sympathique balade en bateau, le dimanche 16 octobre dernier. Il s’agissait de découvrir l’imposant funiculaire de Trépy-Thieu, en Belgique. Partis en fin de matinée, nos seniors avaient embarqué juste après le déjeuner. Emotions au programme. « Ah ! c’est formidable. Il faut voir cela. Quelle architecture et quelle belle ambiance entre nous » : nous confia, la mine réjouie, une participante visiblement ravie. De fait la journée passa très vite. Un succulent goûter offert à Mons finalisa ce sympathique moment. AVEC LA MAISON DE QUARTIER DU BOISDU-QUESNOY « INCITER LES PERSONNES ISOLÉES À VENIR NOUS REJOINDRE ! » S "Ce type d'action est déjà mené par la MDBQ et d'autres comme ici au Clair Repos" ympathique initiative de Jan Sroka. Il est vrai que c’est un habitué du genre, rompu au contact humain. « Ne restez pas à la maison. Bougez-vous. Et s’il le faut on vient vous chercher ! » : c’est par cette formule engageante qu’il s’adresse aux personnes seules ou isolées, âgées ou non. Celui qui préside aux destinées de la fameuse Maison de quartier du BDQ déborde d’énergie généreuse pour expliquer son discours : « Ceux qui veulent se distraire, se rencontrer, de s’adonner aux mille jeux de table, discuter le bout de gras, ceux-là on les attend. Cela crée des liens entre les générations et nos animatrices et cuisinières leur proposent mille choses pour rompre avec un quotidien parfois morose ». Toutes affaires cessantes rapprochez-donc cette Maison connue au 124 avenue Leclerc, les mardis et vendredis de 14 h à 16 h 30. Contact Jan Sroka 03 27 62 69 17. IL OFFICIA DURANT PLUS DE CINQ ANS À HAUTMONT PATRICE FONTAINE RECEVEUR-PERCEPTEUR NOMMÉ À LA COURNEUVE R écemment la municipalité, ses collègues de travail et ses proches ont mis à l’honneur Patrice Fontaine, receveur-percepteur de la ville qui officia à Hautmont durant plus de cinq ans. Il rejoint l’agglomération de La Courneuve en prenant du galon puisque nommé Inspecteur divisionnaire de finances publiques. C’est lui et ses collègues qui eurent à gérer l’aspect financier de notre formidable mutation urbaine, permise par l’ANRU en même temps qu’aider la Chambre Régionale des Comptes dans ses traditionnels contrôles comptables. Une tâche qui n’était pas mince au vu des sommes brassées. Depuis le 12 septembre dernier c’est Régis Teneul qui a pris sa succession, au fil d’une carrière prometteuse… 5 ACTUALITÉS L’engouement ne se dément pas… Les Hautmontois (et Hautmontoises !) étaient cette année encore plusieurs centaines à avoir répondu à l’invite municipale lors du fameux concours annuel des maisons fleuries. Dotée de bons d’achat et autres récompenses, la remise des prix s’est déroulée le mercredi 19 octobre dans la grande salle de bal du centre culturel Maurice-Schumann. Grand moment de convivialité entre les élus et ceux qui ont la main verte et un sens vrai de l’esthétisme, cette remise a vu nombre de participants recevoir leur lot par les élus, sous la houlette de Joël Wilmotte et de son adjoint à la communication Christophe Foriel. Mais déjà dans les chaumières l’on pense au pendant hivernal de cette opération : les maisons décorées de Noël… Concours des maisons fleuries 2011 Des maisons ou les corolles sont reines Voici la liste des participants qui se sont distingués et ce par ordre croissant : 6 Patricia Bidois, Thérèse Devin, Coraline Peere, Patrick Philippe, Ryan Preux, Josiane Botteau, Amandine Mignot, Elisabeth Wairy, Julien Issaad, Andrée Wairy, Michel Fialek, Muriel Masseron, Zaquia Issaad, Jules Borgniez, Franck Druez, Murielle Oleynik, Béatrice Burtey, Angélique Deneubourg, Pamela Gabet, Ingrid Brissez, Gérard Halgrain, Maryline Boutebba, Béatrice Cailleaux, Arlette Vandenberghe, Edith Bacq, Stéphanie Rousseau, Françoise Lasseron, Jocelyne Louvrier, Claude Vilette, Jean-Marie Rousseau, Jacques Collet, Isabelle Devin, Jean-Yves Detourbe, Laeticia Guyot, Marcelle Lesterquy, Jean-Paul Villain, Véronique Stos, Jennifer Hoscheck, Gilles Terriez, Noella De Decker, Maryane Weber, Annick Lismonde, Sylvie Bernaux, Pierrette Dubois, Monique Chauwel, Philippe Tuccela, Véronique Lautrey, Myriam Lebegue, Agnès Hurreau, Yvonne Gregoire, Régine Delire, Wanda Simon, Sylvie Guny, Suzanne Cornut, Odette Desnoyelle, Thérèse Halgrain, Alain Plouvier, Christiane Beauvillain, Jean-Claude Nicaise, Mohamed Chibi, Sandrine Detourbe, Micheline Mutelle, Dominique Linke, Geneviève Foubert, Martine Hainaut, Emmanuelle Kulej, Gaëlle Merveaux, Véronique Marteau, Mohamed Quembasse, Solange Philippe, Maryse Lesterquy, Christophe Leprohon, Edith Giancou, Nathalie Daenen, Marie- Antoinette Pierret, Au Chalet Fleuri, Raymonde Duvette, Francine Cordier, Christian Matout, Corinne Disy, Sylvie Dehenne, Jacqueline Hucken, Laurent Vidrequin, Josiane Hurreau, Laeticia Roland, Marie Carlier-Lekim, Martine Mignot, Patricia Bouin, Dalila Boutchiche, Freddy Rousseau, Olivier Leroy, Miranda Gosset, Brigitte Delchambre, Daniele Grard, Giovanni Raia, MarieClaude Portier, Xavier Regnier, Philippe Lasseron, Karine Hedin, Gisèle Michaux, Jeannine Nolet, Angélique Ply, Jean-Claude Page, Marie-France Besin, Michel Beriot, Ginette Bertiaux, Muriel Bernier, Dorothée Midoux, Séverine Ysmal, Michel Preux, Sandra Frejean, Annie Caruso, José Ferreira De Sousa, Jacqueline Bondue, Patricia Brissez, Odette Lefebure, Liliane Preux, Sonia Rousseau, Martine Bosch, Francine Sallard, Céline Dufraine, Elisabeth Coulon, Corinne Bavay, Chantal Jacobs, Josiane Wattier, Bernadette Guerbinot, Cathy Lahcem, Pascal Maertens, Viviane Detourbe, Auguste Dubois, Armelle Deville, Paul Devouge, Micheline Regnier, Jacqueline Lambert, Danielle Dufour, Daniel Hautcoeur, Didier Tourtois, Sandra Brouet, Jacqueline Louillet, Elodie Naveau, Patricia Pascal, Régine Moularde, Cathy Bulteau, Andrée Mignot, Yvette Delaunois, Virginie Ramart, André Leseine, Nathalie Roulez, Marie-Françoise Gauchet, Ginette Redelberger, Eliane Zegai, Virginie Vandenboren, Guy Delcroix, Jean-Claude Schollaert, Alexandre Thorrion, Chantal Carion, Gilbert Brasseur, Monique Navez, Yolande Daenen, Léona Bravo, Béatrice Deconinck, Claudette François, Jacques Brisson, Jessica Lefefevre, Chantal Dufour, Marie-Thérèse Piette, Said Biri, Andrée Fregans, Valérie Midoux, Joël Malaquin, Huguette Facon, Joel Margerain, Maryline Luyckfasssel, Barbara Blairon, Paulette Cazorla, Virginie Isorez, Martine Isorez, Rolande Nolet, Claude Berquin, Yves Jacquart, Bryan Mahodeau, Alain Harnould, Michel Voisin, Christine Arnould, Bernard Soigneux, Raymond Hetoin, François Dussart, Claude Bernard, Louise Dangelot, Odette Louillet, Danielle Wienecke, Hélène Hlas-Filleur, Franck Philippe, Nadine Vandenbroeck, Colette Brissez, Chantal Marlair, Jacqueline Perez, Martine Caudrelier, Pierre Daenen, Régis Deffolin, Francine Deverchin, Chantal Vancornewal, Roger Breant, Roger Delporte, Andrée Douylliez, Madeline Vekeman, Monique Wienecke, Odette Demanet, Josette Petiau, Danielle Druez, Claudine Durenne, Jacques Goreux, Béatrice Boulanger, Jean-Claude Deflorenne, Noël Tesson, Edmonde Becar, Josiane Vanleuven, Ingrid Diot, Jean-Pierre Detournay, Nadine Lannois, Patrick Desclain, AnneMarie Lannoy, Monique Deconinck, Aline Douai, Edith Cauchefer, Jacques Hulin, Christophe Fialek, Bruno Fosse, Agnès Lebrun, André Fournier, Lucien Louas, Ecole Boez. Nos félicitations à tous… PATRIMOINE L’ABATTOIR D’HAUTMONT L e 16 janvier 1883, le conseil municipal décide ment, notamment pour des raisons pratiques, 48 de la construction d’un abattoir. En professionnels l’utilisant alors. effet, celle-ci devenait indispensable pour une De plus, cette fermeture entrainerait la perte des ville qui, à l’époque, accueillait plus de 9000 emplois de deux artisans tueurs, un préposé à la habitants. salubrité, un bouvier ou encore un vétérinaire insLes charcutiers et bouchers ne manquaient pas à pecteur, visitant deux fois par jour l’abattoir pour Hautmont mais les conditions s’assurer des bonnes conditions sanitaires. d’hygiène de leurs propres tueries pour animaux On peut également noter qu’un projet de modernin’étaient pas au rendez-vous. sation était alors à l’étude, concernant notamment La mise en service d’un abattoir municipal perla réfrigération. mettait donc un meilleur contrôle sanitaire de la Malgré cela, l’abattoir d’Hautmont est fermé le 16 viande. juin 1974 sur décision du conseil municipal. Avec une construction évaluée à 72 800 francs, Cette fermeture s’inscrit dans le cadre de la cet abattoir disposait d’une certaine restructuration du plan modernité avec, notamment, des Un abattoir municipal d’équipement cuves de décantation permettant le des abattoirs publics et permettait un meilleur de la fermeture des étatraitement des eaux usées. Lorsque leurs capacités devinrent non-inscrits contrôle sanitaire de la blissements trop restreintes, il fut décidé de la dans cette liste, cette viande. construction d’un égout reliant ces dernière étant établie par cuves à la Sambre. Cette décision fut la Préfecture. prise 30 ans après la construction de l’abattoir, En 1977, le bâtiment est démoli pour laisser place soit le 12 avril 1913. à l’actuel centre de secours. Le 12 septembre 1929, l’abattoir se modernise en- La dénomination de la rue bordant ce centre est core un peu plus avec l’installation de l’électricité un clin d’oeil à l’histoire : la rue de l’abattoir. dans ses locaux. Mais les ennuis commencent à compter de 1963. En effet, certaines archives Gaëlle Le Gouèze attestent d’un projet de fermeture de l’abattoir. Archives municipales Le « Plan en équipement d’abattoirs publics » arrêté par le Gouvernement ne retient que 639 abattoirs et celui d’Hautmont n’en fait pas partie. Le syndicat des bouchers Hautmontois de l’époque souhaite le maintien de cet établisse- 7 NOS RUES Poursuivons notre périple au travers des rues de la ville. Aujourd’hui la deuxième partie du sujet consacré à la rue Gambetta… S En 1832, l'épidémie fait des ravages importants à Paris. En six mois, 18.042 victimes décèdent dont 12.733 en avril alors que la population parisienne maladies graves. Des aménagements ultérieurs (1902) permettront d'héberger des personnes âgées. Le 29 mars 1890, le maire Alfred Deharveng, donne lecture d'une lettre du ministre de l'Intérieur faisant remarquer que l'étude ne prévoit pas de séparation entre "les fiévreux et les blessés ni entre les sexes ni l'isolement des contagieux". Le conseil décide donc de renvoyer le projet à la commission des travaux. Au cours du mois d'août de la même année, le président du conseil municipal avertit, non sans raison "qu'il y a lieu d'abord de faire le choix d'un terrain pour son emplacement". Il propose 2 parcelles de terrain, l'une appartenant à M. Collet Aimé et l'autre à M. Guillain Auguste. L'ensemble est accepté par 13 voix pour et 7 abstentions. Dès que les plans de l'architecte Léon Legrand sont définitivement approuvés, responsables municipaux envisagent un agrandissement. Pour répondre à la loi sur l'assistance médicale gratuite et hospitalière, il est nécessaire d'augmenter la surface des locaux. Comme l'infirmerie a été financée entièrement par la ville sans aide de l'état ni du département, et en reconnaissant l'utilité d'un agrandissement, le conseil décide de ne couvrir les nouvelles dépenses qu'à hauteur de 40.000F (141.600€ environ). Il explique son choix par le fait que la commune est comprise dans le camp retranché de Maubeuge et par conséquent les nouvelles salles seront utiles en temps de guerre. Il précise également que la commune subventionne l'hôpital à raison de 4.000F (14.160€ environ) par an et qu'en plus, elle lui verse chaque année de 10 à 12.000F compte moins d'un million d'habitants. (la ville de l'âge industrielle Yves Lequin édition Point) En parallèle au développement des villes industrielles, la tuberculose prend de l'ampleur du fait des mauvaises conditions de logement et du manque d'hygiène des locaux professionnels. En 1947, le dispensaire d'hygiène social d'Hautmont dénombrait 38 tuberculeux sur 179 consultants.. Lorsque la question de la santé cesse d'être une affaire individuelle pour devenir un problème collectif, les municipalités prennent en charge son application. C'est dans ce contexte que le 3 mars 1888 le maire, M. Pigé Louis, demande à l'architecte, M. Neveu, l'étude d'une infirmerie de 30 lits pour les accidentés du travail et les personnes atteintes de un emprunt de 61.846F remboursable en 30 ans est voté. La fin de l'année 1890 voit quelques modifications au projet initial suite aux observations faites par la commission des bâtiments civils. Le coût de l'opération s'élève alors à 66.100F (233.994€ environ) Le 6 juillet 1891, le premier magistrat accompagné de deux adjoints (MM. Delhaye et Loiseau Casimir) pose la première pierre en présence de nombreuses personnalités. Une réception provisoire a lieu en octobre 1892 tandis que la définitive est présentée en mars 1893. Enfin, Sadi Carnot, président de la République, donne, le 3 juillet 1893, l'autorisation à la ville d'administrer l'établissement. A peine entre-t-il en activité que les lits sont tous occupés. Le 19 décembre 1893 les (environ 42.480€) pour venir en aide aux plus nécessiteux. Monsieur Paul Collet, maire de la ville, présentera le procèsverbal de réception de l'agrandissement en avril 1904. L'hôpital ne cessera par la suite d'évoluer, de se moderniser, chaque premier magistrat amenant sa contribution. Il s'équipera d'appareils de radiographie et d'un bloc chirurgical. Il verra également l'ouverture d'un service de soin aux brûlés. ur la rive gauche, la rue débute rue de Boussières, au pied du pont enjambant les voies du chemin de fer près du passage inférieur piétonnier. Celui-ci remplace le passage à niveau. Elle se termine à la limite de la commune vers Neuf-Mesnil un peu au delà du lieu-dit "le Blanc Pignon". Il n'est pas un Hautmontois qui, en parlant de cette rue, n'évoque l'hôpital. L'infirmerie hospice: Encore dans les années 1880, les épidémies de choléra ne sont pas rares. L'insalubrité des villes et les eaux souillées non évacuées par un réseau d'égouts en sont les causes principales. 8 Merci à Robert Nigeon. Texte issu de « Hautmont, les rues de son histoire » édité par La Mémoire d’Hautmont et l’auteur VIE ÉCONOMIQUE AGENCE « DURET EXPERTISE » DE L’IMPORTANCE DES DIAGNOSTICS IMMOBILIERS… D epuis quelques années, le législateur durcit singulièrement les lois qui régissent les ventes et les locations immobilières pour les particuliers, en exigeant des diagnostics immobiliers, également applicables pour le tertiaire et le collectif. Cela va de nouveau évoluer en apportant encore plus de précision dans les contrôles (nouveau texte de loi pour début 2012). Ces diagnostics portent notamment sur la présence d’amiante, de plomb, sur l’état du circuit électrique ou celui du gaz, sur les performances énergétiques de l’habitation ou l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Conséquence logique et… incontournable : l’émergence de spécialistes patentés qui délivrent les précieux sésames. En l’absence de l’un ou de l’autre, et lors de la signature de l’acte de vente, le vendeur non professionnel sera responsable au titre des vices cachés en cas d’apparition d’un dommage et risque quelconque. L’acheteur pourra alors se retourner contre lui et exiger, soit l’annulation de la vente et la restitution intégrale du prix, soit une réduction de celui-ci. Frank Duret, 38 ans, originaire d’Hautmont a vu dans cette évolution législative une belle opportunité. Après avoir été durant dix-sept ans, chef de chantier puis chef de projet dans les secteurs industriels et tertiaires, il a profité de sa période de chômage pour se reconvertir dans ce métier qui le passionne, et a franchi le pas en créant sa propre affaire. On le voit tout cela est très encadré. Mais ce dont Franck Duret est sans doute le plus fier c’est sa maîtrise parfaite de l’infiltrométrie (pour l’obtenDiagnostics* DPE * Amiante * Plomb (CREP)* Electricité Gaz Assainissement ERNT * Vente Location Oui Oui Oui Non Oui Oui Oui Non Oui Non Oui Non Oui Oui tion du Label BBC* puis RT2012*) : « Derrière la formule « Mesure de Perméabilité à l’air » se cache simplement un test (Blower-door en Anglais) qui permet de mesurer un débit de fuite d’air (polluant) rentrant dans un bâtiment et de situer les fuites, à l’aide d’un produit fumigène injecté avec une certaine pression. On découvre les endroits à colmater, avec à la clef un gain des plus appréciables en matière d’économie d’énergie. Mais là-aussi la législation se durcit ». Depuis le 1er octobre dernier la RT2012 * concerne les logements collectifs et tertiaire neufs. En 2013 cette disposition s’appliquera à toutes les nouvelles constructions. On l’imagine fort bien le travail ne manque pas. Ce qui laisse fort peu de temps à notre homme pour s’adonner à sa passion favorite : la moto… Il sera présent au Salon de l’Habitat qui se tiendra à Maubeuge les 13 – 14 et 15 avril prochains à l’Espace Sculfort. Agence Duret Expertise 03 27 62 39 32 ou 06 22 11 70 30. Net : [email protected] Remarque : Durée de validité : Tous les biens 10 ans PC* avant le 01/07/97 A vie (si pas de modifications du bien) PC* avant le 01/01/49 1 an à la vente et 3 ans à la location Installation de + 15 ans 3 ans Installation de + 15 ans 3 ans A chaque transaction A chaque transaction A chaque transaction 3 mois Diagnostics* : Suivant la réglementation en vigueur. DPE* : Diagnostic de Performance Energétique Amiante* : Constat avant vente, Avant travaux, Avant démolition. CREP* : Constat de Risque d’Exposition au Plomb ERNT* : Etat des Risques Naturel et Technologique PC* : Permis de construire 9 ÉVÉNEMENT F DU JEUDI 15 AU LUNDI 19 DECEMBRE La ville renoue avec sa belle histoire d’amour .. ` avec le Pere Noel Déjà Noël se profile. Depuis quelques semaines, Tour des Sites et le comité Foire-Corso, sous l’égide de la municipalité, préparent dans l’ombre cet incontournable rendez-vous des Hautmontois – et des autres – avec le scintillement féérique de « Hautmont Capitale de Noël ». Moment magique et festif unique dans la région, il réserve cette année encore de nombreuses surprises. Jeudi 15 18h : Feu d’artifice 19h-21h : Accès à la maison du Père Noël et 15h-21h : Noël City et le festival des glaces (sculpSéances photos ture sur glace) 16h-18H : Inauguration officielle de Noël City 2011 et 19h00-21h00 : Accès au conte de Noël (2 représentations /j – salle de spectacle c.culturel) ouverture du 1er festival des Glaces + Cocktail 19h00-22h00 : accès au Restaurant des Champs Inaugural à la maison du Père Noël Elysées et animations musicales (salle de bal) 18h : Feu d’artifice 18h30-21h : Les cristaux de Noël (spectacle multiDimanche 18 média toutes les 1/2 h à l’église) 19h-21h : Accès à la maison du Père Noël située au 11h-22h : Noël City et le Festival des Glaces 15h-21h : Accès à la maison du Père Noël et Centre de Noël City et séances photos 19-22h : Accès au restaurant « des Champs Elysées » séances photos 17h-22h : Les cristaux de Noël (spectacle multiméet Animations musicales (salle de bal du Centredia toutes les 1/2h à l’église) Culturel) 18h : Feu d’artifice 19h-21h : Accès au Conte de Noël Vendredi 16 (2 représentations/j – salle de spectacle du 15h-22h : Noël city et le festival des Glaces c.culturel) 17h-21h : Accès à la maison du Père Noël et 19h-22h : Accès au Restaurant des Champs Elysées séances photos et animations musicales (salle de bal) 18h : Feu d’artifice 18h30-22h00 : Les cristaux de Noël (spectacle multiLundi 19 média toutes les 1/2h à l’église) 15h-22h : Noël city et le festival des glaces 19h-21h : Accès au Conte de Noël (Salle de Spec17h-22h : Les cristaux de Noël (spectacle multimétacle du C.Culturel – 2 représentations/ j) 19h-22h : Accès au Restaurant des Champs Elysées dia toutes les 1/2h à l’église) 18h : La grande parade lumineuse et sa clôture et Animations musicales (salle de bal) pyrotechnique 19h-21h : Accès à la maison du Père Noël et Samedi 17 séances photos 15h-22h : Noël City et le Festival des Glaces 19h-22h : Accès au restaurant des Champs Elysées 16h30-18h45-20h15 : Gospel Lights (3 représentaet animations musicales. tions) F F F 10 E VIE ASSOCIATIVE AGENDA À SAVOIR l Une nouvelle infirmière vient de s’installer à Hautmont. Il s’agit de Sabrina DE BRUYNE au 175 Rue du Fort Tel : 06.24.33.22.06. Soins à domicile tous types. l Réservistes volontaires. Conditions d’accès : tout jeune Français volontaire fille ou garçon. Etre âgé de 18 ans au moins. Avoir participé à la journée d’appel de préparation à la défense. Ne pas avoir été condamné par la justice. l Vous connaissez des difficultés dans la gestion de la vie de tous les jours, vous êtes à la recherche d’une maison de retraite, vous souhaitez avoir des renseignements pour votre retraite, constituer un dossier de retraite complémentaire, vous rencontrez des difficultés administratives, vous recherchez une aide à domicile, un soutien dans la prise en charge d’un malade ... L’équipe du CLIC du Val de Sambre est à votre service tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Le mardi le CLIC est ouvert sans interruption. Ce service gratuit, financé par le Conseil Général, s’adresse aux personnes de plus de 60 ans, à leur famille et leur entourage. Les professionnels du secteur (infirmiers, services d’aide à domicile, hôpitaux, CCAS, ...) sont aussi régulièrement en relation avec le CLIC et travaillent de concert avec ses équipes pour favoriser le confort des personnes de plus de 60 ans. En cas de difficulté de mobilité, une intervenante à domicile peut réaliser des visites directement chez la personne. N’hésitez pas à contacter le 03 . 27 . 56 . 16 . 44 CLIC du Val de Sambre - 226, rue d’Hautmont 59600 Maubeuge. l Poubelle cassée, volée, nouvelle dotation ? T : 0 825 800 789 l Lancement des Illuminations de la ville pour « Hautmont Capitale de Noël 2011 » Le coup d’envoi se déroulera le vendredi 18 novembre prochain à 18 heures. Venez nombreux ! l Le vendredi 11 novembre : Journée Nationale du Souvenir des Anciens Combattants. Le 93ème anniversaire de l’Armistice de 1918 sera commémoré après un rassemblement fixée à 10 h 45 devant la mairie. Le défilé conduira au square de Verdun, avenue Marcel-Aimé ou des gerbes seront déposées. INFOS UTILES l ACCUEIL DES PERSONNES AGÉES l Foyer " Clair Repos " T : 03 27 66 20 15 Maison de retraite de l'hôpital d'Hautmont T: 03 27 63 60 24 SAMU 15 l POMPIERS 18 l POLICE 17 l CENTRE HOSPITALIER Hopital d'Hautmont T : 03 27 63 60 20 l MÉDECINS CANTON D’HAUTMONT OUVERTURE DU BUREAU DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 11H30 ET DE 14H30 À 18H30 Depuis 2005 fonctionne le Service de Régulation Libérale Urgent pour le département du Nord Un numéro unique 03 20 33 20 33 l PHARMACIENS Le service des gardes est modifié en raison d’un regroupement des secteurs de garde d’Hautmont et d’Aulnoye dû à la nouvelle convention avec la sécurité sociale. Veuillez suivre les instructions affichées sur la vitrine de votre pharmacien l SERVICES Euromed T : 03 27 67 76 26 l AMBULANCIERS 15 Dimanches et jours fériés de 8h à 20h et les nuits de 20h à 8h CINÉMA BIENVENUE À BORD 1 H 30. AVEC FRANCK DUBOSC ET VALÉRIE LEMERCIER VENDREDI 4 NOVEMBRE 20 H 30 SAMEDI 5 NOVEMBRE 15 H ET 20 H 30 DIMANCHE 6 NOVEMBRE 16 H LE PARADISIO UN MONSTRE À PARIS 1 H 22. ANIMATION. MERCREDI 9 NOVEMBRE 15 H NOVEMBRE PAS DE SÉANCES LES SAMEDI 12 ET DIMANCHE 13 NOVEMBRE PAS DE CINÉMA POUR RAISON DE TRAVAUX DU LUNDI 14 NOVEMBRE AU DIMANCHE 4 DÉCEMBRE 10 INCLUS 11 LA MAIRIE VOUS ACCOMPAGNE DANS VOTRE QUOTIDIEN SERVICES CCAS DÉCHÈTERIE SAINT-RÉMY-DU-NORD Espace Chauwel rue de Louvroil LES HORAIRES D’HIVER Inscriptions Bons alimentaires de fin d’année les 14 et 15 novembre 2011 de 9 h à 11 h et de 14 h à 16 h. Demandeurs d’emploi ou bénéficiaires du RSA socle. 1 OCTOBRE AU 31 MARS LUNDI 14H à 18H MERCREDI 9H à 18H JEUDI 14H à 18H SAMEDI 9H à 18H DIMANCHE 9H à 12H Se munir : carte d’identité, titre de séjour, attestation Pôle Emploi récente, attestation CAF récente, Avis d’imposition ou non imposition 2010, justificatifs de toutes les ressources du foyer, justificatif de résidence à Hautmont supérieure à 12 mois. HAUTMONT Centre Culturel Maurice Schumann Samedi 12 Novembre 2011 à 19h Spectacle hommage à Mme Edith Piaf et M Serge Gainsbourg par le groupe vocal Hautmont Mélody Le poinçonneur et le moineau Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans Petite restauration sur place Réservation, organisation : Comité Foire Corso - Espace Chauwel T : 03.27.62.59.72 Entrée : 5€ Photo : ON/VTC Aucune inscription ne se fera en dehors des jours et heures indiqués ci-dessus. MAIRIE D’HAUTMONT Place du Général de Gaulle T : 03 27 63 64 70 ESPACE CHAUWEL CCAS T : 03.27.62.59.54 SERVICE URBANISME T : 03.27.62.59.62 D.S.U. (Développement Social Urbain) T : 03 27 62 59 71 F : 03 27 62 59 70 BIBLIOTHÈQUE JEAN-JAURÈS 16, rue Nationale T : 03 27 68 76 26 PISCINE T : 03 27 63 82 11