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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 13-25 17 Juin 2013
La citation de la semaine
« Enfant : fruit qu'on fit. »
Léo Campion
Avec ou sans Google Glass, cette start-up veut démocratiser la reconnaissance faciale
http://www.lesaffaires.com/blogues/julien-brault/avec-ou-sans-google-glass-cette-startup-sest-donnee-pour-mission-de-democratiser-la-reconnaissance-faciale/558504#.UbH4kXW-2m4
Imaginez un monde où, dans une conférence, vous êtes capable de nommer chacun des participants, tout en sachant assez de
choses sur eux pour leur demander des nouvelles de leurs enfants ou de leur dernier projet. Lorsqu’il a reçu ses Google Glass il y a 3
semaines, le développeur Jean-Luc David, PDG de Cardign, souhaitait faire de ce scénario une réalité. Or, le 29 mai, Google a
annoncé sur Google+ qu’aucune application Google Glass ayant des fonctionnalités de reconnaissance faciale ne serait approuvée.
« Je pense que Google prend des mesures pour s’assurer que Google Glass aura du succès sur le marché des consommateurs,
estime Jean-Luc David. Selon moi, l'entreprise estime que la reconnaissance faciale pourrait faire peur à leurs clients. »
Heureusement pour lui, le développeur franco-ontarien n’avait toutefois pas commencé à adapter Cardign, une application iPhone
de reconnaissance faciale, pour Google Glass. Déjà disponible dans l’App Store, Cardign se présente comme un gestionnaire de
contacts intégrant la reconnaissance faciale. Or, présentement, la reconnaissance faciale ne fonctionne qu’entre les utilisateurs de
l’application, ayant pris trois photos d’eux-mêmes à partir de cette dernière. Toutefois, Jean-Luc David m’a confié que son
application devrait pouvoir identifier quiconque a un profil sur les principaux réseaux sociaux d’ici trois à six mois. Pour ce faire, il
compte comparer les photos prises grâce à l’application à une banque de données contenant des millions de photos tirées des
réseaux sociaux, en raffinant la recherche grâce à la géolocalisation, entre autres choses.
Puisque les photos qu’il utilisera sont déjà accessibles au public, il ne voit pas en quoi son produit compromettra la vie privée des
gens : « L’opinion publique par rapport à la reconnaissance faciale va évoluer ; en fait, la vie privée en public, ça n’existe pas ; dans
les lieux publics, on est constamment filmé et, notamment à Londres, les forces de l’ordre ont recours à la reconnaissance faciale de
manière systématique. » Selon lui, ce n’est qu’une question de temps avant que Google ou Facebook finisse par lancer des
fonctionnalités de reconnaissance faciale. Malgré tout, il croit que Cardign pourra se démarquer, puisque l’application ne sera liée à
aucun réseau social en particulier, ce qui lui donnera un avantage.
Jean-Luc David, l’un de seuls développeurs canadiens à avoir des Google Glass (il fallait une adresse aux États-Unis pour s’en
procurer), n’est pas amer face à la décision de Google. Il a d’ailleurs le projet de développer une application Google Glass qui
donnerait accès aux données mesurées par des applications sportives comme RunKeeper.
Les smartphones de Samsung seraient les plus autonomes, et de loin
http://www.zdnet.fr/actualites/les-smartphones-de-samsung-seraient-les-plus-autonomes-et-de-loin-39791190.htm
Selon une étude réalisée pour le magazine allemand Computer Bild, les terminaux du sud-coréen trustent 7 des
10 places des smartphones les plus endurants.
Avec des écrans toujours plus grands et des processeurs toujours plus puissants, l'autonomie est devenue le grand point faible des
smartphones. Il devient rare de pouvoir passer la journée sans devoir recharger, un point gênant pour les pros qui ont un usage
intensif de ces terminaux. L'autonomie devient donc un critère de choix. Au-delà de la communication officielle des fabricants, le
magazine allemand Computer Bild a tenu à en avoir le coeur net. Quels sont les modèles les plus endurants ? Le résultat est sans
appel : Samsung occupe 7 des 10 places du classement (dont la première avec le Galaxy Note II) et Apple est désespérément
absent. Seuls Sony, LG et Huawei tirent leur épingle du jeu.
L'étude s'est attachée à mesurer plusieurs critères : l'autonomie en usage intensif, en veille, en temps de parole et pour l'écoute de
musique. Voici le classement relayé par Le Point.
1-Samsung Galaxy Note II
6-Samsung Galaxy Note
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 17 h
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 8 h
Autonomie en stand-by : 247 h
Autonomie en stand-by : 162 h
Autonomie en temps de parole : 29 h
Autonomie en temps de parole : 21 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 35 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 40 h
2-Samsung Galaxy S3
7-Huawei Honor
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 12 h
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 14 h
Autonomie en stand-by : 197 h
Autonomie en stand-by : 182 h
Autonomie en temps de parole : 18 h
Autonomie en temps de parole : 17 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 24 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 17 h
3-Sony Xperia J
8-Samsung Galaxy S3 LTE
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 15 h
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 10 h
Autonomie en stand-by : 168 h
Autonomie en stand-by : 174 h
Autonomie en temps de parole : 13 h
Autonomie en temps de parole : 16 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 23 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 25 h
4-Samsung Galaxy S4
9-Samsung Galaxy Ace 2
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 12 h
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 14 h
Autonomie en stand-by : 141 h
Autonomie en stand-by : 159 h
Autonomie en temps de parole : 20 h
Autonomie en temps de parole : 12 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 36 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 30 h
5-Samsung Ativ S
10-LG Optimus G
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 13 h
Durée d'utilisation lors d'un usage important : 12 h
Autonomie en stand-by : 179 h
Autonomie en Stand-by : 122 h
Autonomie en temps de parole : 16 h
Autonomie en Temps de parole : 16 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 16 h
Autonomie lors de l'écoute de musique : 26 h
Elon Musk's 'Hyperloop' Train Could Travel From LA to SF in 30 mn Flat
http://inhabitat.com/elon-musks-hyperloop-train-could-travel-from-los-angeles-to-san-francisco-in-30-minutes-flat/
Tesla Motor’s CEO Elon Musk recently revealed his plans for a new green
vehicle, dubbed the “Hyperloop” that could transport people from Los Angeles
to San Francisco in 30 minutes flat. Musk(who brought us PayPal and
the Tesla Model S electric car) recently discussed the new transit system,
which would be twice as fast as a plane, 3 to 4 times faster than a bullet
train, and entirely powered by solar energy.
Currently the fastest way to get from Los Angeles to San Francisco is by
plane, which takes about an hour. Tackling the trip in a car takes even longer
at around six hours, but if Musk’s new Hyperloop becomes a reality, travelers
could travel between the two California cities in as little as 30 minutes. “You
would go from downtown LA to downtown San Francisco in under 30 mn.
It would cost you much less than an air ticket than any other mode of transport,” Musk stated. Even better, Musk states that the
new transit system would rely solely on power from the sun. “I think we could actually make it self-powering if you put solar
panels on it, you generate more power than you would consume in the system. There’s a way to store the power so it would run
24/7 without using batteries.” The thought of having a new mode of transportation between the two cities that is reliable,
inexpensive, resistant to crashes and green seems almost too good to be true. Right now we have no idea what this would look like
(or a time frame), but Elon Musk expects to release more info in the coming weeks. Musk discussed the Hyperloop while sitting
down with Sarah Lacy at the first ever PandoMonthly event in Santa Monica, CA.
Samsung lance son chargeur sans fil "standard" pour le S4
http://www.01net.com/editorial/596987/mobile-samsung-lance-son-chargeur-sans-fil-standard-pour-le-s4/
Samsung commercialise le chargeur sans fil pour Galaxy S4. Il est compatible avec le standard Qi, ce qui permet
de recharger d'autres smartphones.
Il devient possible de charger sans fil le tout nouveau Galaxy S4. Samsung propose deux
accessoires complémentaires: la station d'accueil jouant le rôle de chargeur et la coque arrrière
de remplacement dont il faut équiper le smartphone, le temps de la recharge.
Ces deux produits ont été présentés aux Etats-Unis aux prix respectifs de $49,99 (chargeur) et
$39,99 (coque). Ils devraient arriver en Europe prochainement.
La bonne nouvelle est que le Coréen a choisi le standard Qi dont les spécifications sont définies
par un consortium (wireless power consortium) réunissant plusieurs dizaines d'industriels. Le
chargeur compatible Qi de Samsung peut donc charger d'autres smartphones également
compatibles avec ce standard (comme le Nexus 4).
La technologie fonctionne par induction (électro)magnétique entre deux équipements compatibles. Elle implique toutefois un délai de
chargement électrique plus élevé qu'avec un chargeur filaire classique mais un peu plus rapide que via un port USB.
La station d'accueil, légèrement incurvée, a une diode qui devient verte lorsque le smartphone est chargé. Une autre diode reste
jaune lorsque le téléphone est mal placé sur la station d'accueil.
Un écran "borderless" pour le smartphone MX3 de Meizu ?
http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-563862-ecran-borderless-smartphone-mx-3-meizu.html#ixzz2VdBvQTUO
Particulièrement populaire sur le marché chinois, le fabricant de smartphones Android Meizu plancherait sur
un nouveau terminal doté d'un écran de type « bord à bord ».
Sur le marché des smartphones, la société Meizu a fait parler d'elle en proposant tout d'abord des
smartphones aux airs d'iPhone ou des tablettes inspirées de l'iPad d'Apple. Le constructeur chinois a
cependant développé une famille de terminaux haut de gamme avec un excellent rapport qualité/prix.
Après le MX2, officiellement dévoilé au mois de novembre, Meizu plancherait ainsi sur le MX3. A ce jour
peu d'informations sont connues si ce ne sont quelques clichés volés et publiés sur la Toile. Le site
PandaApp.com rapporte notamment que le téléphone arborera un écran de type « bord à bord » avec une
très grande surface utile et de très fines bordures latérales du châssis. En dévoilant son Razr i, Motorola
employait le terme « plein écran ». Le Galaxy S4 ou le HTC One ont un design similaire.
Le Meizu MX3 serait doté d'une diagonale plus importante que son prédécesseur (4,4’’) et selon de
précédentes images des circuits imprimés internes, la dalle avoisinerait les 5,5’’. Meizu entrerait ainsi sur le
marché desphablets. Le terminal serait livré sur Flyme OS en version 3.0, une interface articulée autour
d'Android. Cette nouvelle version mettrait l'accent sur une meilleure ergonomie pour une utilisation d'une
seule main. Le smartphone embarquerait le processeur Exynos 5410 quad core de Samsung et sera doté
d'un appareil photo de 13 mégapixels. Meizu pourrait formuler une annonce dès le 13 juin.
Une tablette 10’’ sous Firefox OS est en préparation
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/une-tablette-sous-firefox-os-apercue-au-computex-140634/
Comme on l’évoquait il y a quelques temps, Mozilla travaille bien sur une tablette tactile qui tournera grâce à
Firefox OS. La fondation l’a confirmé lors du Computex.
Mozilla a confirmé officiellement sa collaboration avec Foxconn, entreprise chinoise qui
fabrique et assemble de nombreux produits électroniques comme l’iPad d’Apple. Le but est
de fabriquer une tablette 10’’ fonctionnant sous Firefox OS. Pour l’instant aucune
caractéristique n’a été donnée, ni même l’entreprise qui va concevoir le design de l’appareil.
La cible de ce nouveau produit sera large puisque la fondation souhaite vendre la tablette
dans les pays développés et dans les pays émergents.
Sur le salon du Computex, Engadget a d’ailleurs aperçu un prototype d’une tablette sous
Firefox OS sans pouvoir la prendre en main (et essayer d’en savoir plus) …
Lors de cette annonce, le président de Mozilla a également précisé que quatre autres appareils seraient lancés simultanément,
vraisemblablement des smartphones. On pourrait également voir prochainement des télévisions sous Firefox OS
Les marques semblent attendre ce nouveau système d’exploitation puisque cette année elles sont plusieurs à sortir un smartphone
sous l’OS de Mozilla. La patience est de rigueur puisque aucune date n’a été annoncée pour la première tablette Firefox.
ROG G750 : Asus présente son nouveau 17’’ pour joueurs
http://www.clubic.com/hardware/computex/actu-rog_g750_asus_presente_son_nouveau_17_pouces_pour_joueurs-563718.html#ixzz2VdJbvkrb
Asus a renouvelé à l'occasion du Computex son principal châssis portable dédié aux joueurs commercialisé sous
la marque ROG. Il présentait cette semaine le G750 qui inaugure un nouveau design, et se dote logiquement des
derniers composants en date.
Le G75, lancé en mai 2012, a désormais un successeur : le G750, lancé officiellement mardi
lors du Computex par Asus. Le taïwanais inaugure ici un châssis 17,3’’ proche dans la forme
de celui utilisé précédemment, mais doté de quelques nouveaux raffinements bienvenus. Le
changement le plus visible réside sans doute dans le clavier, de type chiclet et rétroéclairé,
désormais intégré sans démarcation à la paroi d'alu brossé qui constitue le revêtement
intérieur du portable. Cette paroi est légèrement incliné, de façon à faciliter le repos des
poignets pendant la frappe... ou le jeu, puisque tel est le positionnement de cette machine.
La configuration est donc à l'avenant, avec un couple Intel Core de 4e génération (Haswell
en Core i7) et carte graphique Nvidia GeForce GTX 700M. Différentes variantes seront
proposées, mais les versions les plus haut de gamme iront jusqu'au GTX 780M, + de 4 Go de
GDDR5. Pour le stockage, Asus propose deux emplacements 2,5’’, équipés au choix de deux
disques durs de 1 To fonctionnant en RAID, ou d'un couple disque dur / SSD de 256 Go).
La configuration standard disposera de 8 Go de mémoire vive, mais il sera possible de monter jusqu'à 32 Go. Asus a
vraisemblablement conservé ici ce qui faisait l'un des points forts du G75, à savoir l'intégration de quatre emplacements mémoire sur
la carte mère, dont deux sont laissés vacants et facilement accessibles à celui qui voudrait muscler sa machine. L'écran de type TN
affiche quant à lui 1920 x 1080 pixels et se voit protégé par un filtre anti-reflets. Du côté audio, on retrouve sans surprise
l'implémentation hauts parleurs et logiciel fourni SonicMaster d'Asus. La sortie casque profite quant à elle d'un amplificateur dédié.
Enfin, on pourra là encore selon les configurations profiter du WiFi 802.11ac ou du Thunderbolt.
Alimenté par une batterie 8 cellules de 89 Wh (5900 mAh), le G750 pèse environ 4 Kg. La disponibilité du G750 est annoncée
imminente (de l'ordre de quelques jours ou quelques semaines). Selon les configurations, le prix devrait varier de 1200 à €1800. Au
final, Asus livre une machine fort séduisante, et qui aura besoin de ces atouts pour s'imposer face à une concurrence également très
active, comme en témoignent les récentes annonces formulées par MSI (GT70, GS70) ou Gigabyte (P Series).
Galaxy S4 Zoom : Samsung dévoile son hybride smartphone / appareil photo
http://www.generation-nt.com/galaxy-s4-zoom-samsung-devoile-partiellement-son-hybride-smartphone-appareil-photo-actualite-1743912.html
Samsung adore titiller la curiosité des utilisateurs, et un nouveau cliché alimente aujourd’hui les spéculations
concernant le Galaxy S4 Zoom : un cameraphone à l’objectif énorme.
Si les dernières rumeurs concernant le Nokia EOS et son capteur 41 mégapixels à obturateur
suscitait beaucoup d’intérêt, Samsung vole désormais la vedette en présentant son Galaxy S4
Zoom hybride entre l’appareil photo compact et le dernier né des smartphones. Samsung a
dévoilé partiellement son dispositif, qui devrait être officialisé lors de la conférence de
Londres qui se tiendra le 20 juin prochain.
En attendant, il faut se contenter des clichés de l’appareil pris sous un angle qui laisse
supposer d’un objectif photo énorme et d’une coque retravaillée et plus volumineuse
permettant une meilleure prise en main. On ne peut s’empêcher de faire le rapprochement
de ce Galaxy S IV Zoom avec la gamme Galaxy S Camera. D’après SamMobile, le Galaxy S IV
Zoom proposera un écran 4,3’’ qHD super AMOLED, un processeur dual core 1,6 GHz, un
capteur photo 16 mégapixels avec zoom optique, 8 Go de stockage interne extensibles par
port microSD, une connexion Bluetooth 4.0 LE, Wi-Fi 802.11 a/b/g/n et A-GPS.
Contrairement aux Galaxy S cam, il sera possible de téléphoner avec l’appareil. Un pas de vis pour trépied est là, tout comme un
bouton facilitant la prise de clichés. Comme le Galaxy S 4, c’est Android 4.2.2 Jelly Bean qui tournera avec les ajouts TouchWiz.
Le Galaxy S5, premier smartphone de Samsung avec une coque en métal ?
http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-565054-galaxy-s5-premier-smartphone-samsung-coque-metal.html#ixzz2W79B27lk
Le Galaxy S4 est à peine sorti que le Galaxy S5 commence à faire parler de lui : selon une source proche de
Samsung, l'entreprise planche déjà activement sur ce nouveau terminal, prévu pour 2014. Une refonte
importante du design serait prévue.
Le succès fulgurant du Samsung Galaxy S4 – dont les ventes semblent néanmoins se ralentir – ne laisse aucun doute quant à
l'arrivée d'un nouveau modèle sur le marché l'année prochaine. Mais selon une source du site Android Geeks, Samsung planifierait le
rafraîchissement de ses gammes de terminaux autour de la sortie de ce nouveau smartphone, qui pourrait être le premier à être
doté d'une coque en aluminium. Ce « Design 3.0 », comme il semble être appelé en interne actuellement, troquerait le plastique
contre du métal : une première pour le constructeur, qui défendait encore il y a peu ses choix en matière de coques pour ses
terminaux, évoquant la facilité de production de masse des coques en plastique. Mais face aux critiques, et à une concurrence qui
mise désormais sur le métal – citons le HTC One et le Xperia Z de Sony – Samsung aurait finalement décidé de sauter le pas.
Ce choix aurait des avantages, mais également des inconvénients : le principal que l'on pourrait citer est la conception monocoque
qui accompagne généralement ce type de smartphones, et qui empêche d'accéder à la batterie, comme c'est le cas pour les modèles
actuels de Galaxy S. Il n'est donc pas certains que tous les adeptes des terminaux de Samsung adhèreront à l'idée.
Reste que cette rumeur naissante est pour l'heure bien loin de l'annonce du Galaxy S5, qui devrait avoir lieu l'année prochaine.
Gageons que, d'ici là, les éventuelles intentions de Samsung de troquer le plastique contre le métal referont parler d'elles.
Google : tirer la grimace à son smartphone pour le déverrouiller
http://www.generation-nt.com/google-tirer-grimace-son-smartphone-pour-deverrouiller-grace-reconnaissance-faciale-actualite-1743942.html
Google vient de déposer un brevet pour le déverrouillage d’un smartphone à l’aide de la reconnaissance faciale.
Google avait déjà apporté le déverrouillage d’Android Ice Cream Sandwich par la reconnaissance
faciale, mais depuis, la fonctionnalité avait été laissée de côté.
En fin d’année dernière, le géant du Web avait également breveté un système permettant à de multiples
utilisateurs de déverrouiller un unique smartphone à l’aide de leur visage.
Cette semaine, un nouveau brevet a été accordé à Google, portant sur la réalisation d’une combinaison de
grimaces permettant de déverrouiller l’accès à un système.
Concrètement, le brevet décrit une méthode dans laquelle un dispositif capture 2 clichés d’un utilisateur, puis
compare les différences entre les 2 images pour identifier les mouvements du visage et authentifier
l’utilisateur. À l’usage, c’est un nouveau système de déverrouillage par reconnaissance faciale qui demandera
à l’utilisateur de tirer la grimace, cligner des yeux, ouvrir la bouche, loucher ou tout autre mouvement de
l’expression du visage pour apporter davantage de sécurité dans le mécanisme d’authentification.
La double vérification permettra de bien établir que les images sont à la fois différentes, mais qu’il s’agit bien
de l’utilisateur autorisé à accéder au système. L’idée étant de multiplier les données et points caractéristiques
du visage de l'utilisateur. À terme, il devrait être plus facile de déverrouiller son smartphone avec un sourire ou en lui faisant les gros
yeux que d’avoir à retenir un code PIN.
Wiko Cink Five : un prix alléchant pour le smartphone français
http://www.generation-nt.com/wiko-cink-five-smartphone-francais-prix-tarif-caracteristiques-specifications-actualite-1740472.html
La société française Wiko, qui se fait connaître depuis peu grâce à des smartphones bien dotés et affichés à des
prix compétitifs, donne le coup d’envoi pour son modèle Cink Five aperçu fin mai au MedPi de Monaco.
Le Wiko Cink Five, smartphone 5’’ sous Android 4.1.2 Jelly Bean, a donc un prix. Il se positionne sous la
barre symbolique des €200, à €199 euros, et laisse le choix entre trois tons blanc, bleu et noir.
Pour l’animer, on trouve un processeur ARM Cortex-A7 quadruple cœur à 1,2 GHz (du MediaTek a priori)
et une mémoire vive 1 Go pour l’épauler.
Côté caractéristiques, on évoque un affichage multitouch avec une définition 1 280 x 720 pixels, une
compatibilité 3G+, deux logements SIM ( un uniquement en 2G ), des liaisons Wi-Fi N / Bluetooth 4.0, un
capteur dorsal 8 Mégapixels / Full HD avec flash LED, un capteur frontal 2 Mégapixels et un espace de 4
Go extensible par MicroSD.
Le tout dans des dimensions 14,5 x 7,4 x 1,1 cm pour un poids de 158 g, et alimenté par une batterie
Lithium-Ion à la capacité 2 000mAh pour jusqu’à 15 heures en 2G et 11 heures en 3G.
Sony Vaio Pro : deux ultrabooks ultralégers
http://www.clubic.com/pc-portable/ultrabook/actualite-563950-sony-vaio-pro-ultrabooks-ultralegers.html#ixzz2VjhoAy38
En marge du Computex, Sony a dévoilé une série de nouveautés, dont notamment deux ultrabooks très haut de
gamme et particulièrement légers, Vaio Pro 11 et 13.
Le constructeur japonais en profite également pour présenter son hybride Sony Vaio Duo
13, ainsi que de deux Vaio Fit-E, des notebooks tactiles plus imposants puisqu'ils
affichent sur 14 et 15,5’’. Les annonces les plus intéressantes concernent toutefois les
Vaio Pro 11 et 13, 2 ultrabooks de 11 et 13’’ annoncés par Sony comme étant les plus
légers du monde. Il faut dire qu'avec 870 g pour le modèle 11’’ et 1,06 Kg pour le 13’’,
Sony a frappé fort. L'utilisation de fibre de carbone n'est évidemment pas étrangère à cet
allègement. Toutefois, il est à craindre que Sony ait également rogné sur la capacité des
batteries pour en abaisser la masse, et donc celles de ses portables.
Le constructeur se veut toutefois rassurant et annonce non seulement des autonomies
respectives de 14 et 13 heures pour ses deux modèles, mais en plus des batteries
additionnelles qui prolongeront l'autonomie à 18 et 25 heures. Des chiffres qu'il conviendra de vérifier durant de prochains tests.
Ces deux ultrabooks mesurent tous deux 17,2 mm d'épaisseur, embarquent un écran composé d'une dalle IPS Full HD, et affichent
une fiche technique tout à fait similaire : processeur Haswell basse consommation Core i5-4200U ou Core i7-4500U (pour le Vaio Pro
13), puces NFC et TPM (pour les versions Windows Pro), Bluetooth 4.0 et Wi-Fi 802.11n pour la connectivité, lecteur de cartes
mémoire, sortie HDMI et deux ports USB 3.0. Vous noterez l'absence regrettable pour de tels produits d'un module 3G / 4G. On se
félicite en revanche de la présence d'un clavier chiclet rétroéclairé ou de celle d'un chargeur transformable en point d'accès Wi-Fi via
un adaptateur que l'on branche sur une prise Ethernet.
Les différences entre les deux portables : 4 Go de mémoire vive et un SSD de 128 ou 256 Go pour le modèle 11’’, contre 8 Go de
DDR3 et un SSD de 256 ou 512 Go pour la version 13’’. Notez que Sony a prévu de proposer une version tactile de son portable.
Comptez €1199 euros pour le Vaio Pro 11’’, et un minimum de €999 euros pour le modèle 13’’ .
La polémique autour de PRISM ne faiblit pas et s'internationalise
http://www.zdnet.fr/actualites/la-polemique-autour-de-prism-ne-faiblit-pas-et-s-internationalise-39791169.htm
Pas de répit pour les agences de renseignement américaines et les géants du net. Associations, lanceurs d'alertes
et même l'eurodéputée Françoise Castex entendent faire la lumière sur le scandale.
« L’affaire PRISM » n’a éclaté qu’avant-hier mais déjà les révélations se succèdent en cascade aux Etats-Unis, où tout est parti
d’une ordonnance classée "confidentiel" et récupérée par le journal britannique The Guardian.
On y apprenait ce mercredi qu’un juge du tribunal en charge de la supervision des opérations de renseignement a ordonné à
l’opérateur Verizon de livrer chaque jour l’ensemble des données d’appels de ses abonnés à la National Security Agency (NSA),
l’agence du renseignement intérieur aux Etats-Unis.
Verizon, les premières révélations Verizon a rapidement réagi à cette information, publiant une lettre à ses employés pour… ne
rien dire. En clair, l’opérateur se cache derrière l’ordonnance du tribunal, qui l’oblige à refuser toute communication sur le sujet. Il se
borne aux formules classiques sur son « attachement au respect de la vie privée de ses clients ».
De nouvelles informations ont rapidement complété et amplifié l’affaire, comme nous le rapportions ce matin : loin d’être un accident
de parcours des renseignements américains, n’impliquant qu’un seul opérateur téléphonique, il s’agit en fait d’une opération
structurée et ramifiée de surveillance. Des documents dévoilés par la cellule investigation du Washinton Post révèlent en effet que
NSA et FBI, la police fédérale américaine, espionnent directement les utilisateurs de neuf des plus gros services en ligne en piochant
à leur gré dans les bases de données de ces géants. L’affaire prend dès lors son nom définitif, « PRISM », du nom du programm e
secret d’extraction de données sur les serveurs de ces entreprises. Microsoft, Yahoo, Google, Facebook, PalTalk, AOL, Skype,
Youtube ou Apple sont concernés, rapporte le Washington Post. Lancé suite à la fermeture d’un programme de surveillance du
territoire sous l’administration de l’ancien président George W. Bush, PRISM permettrait à la NSA de contourner la sécurité des
serveurs des géants du numérique, pour extraire chats vidéo et audio, emails, documents et logs de connexion aux services.
Rien à signaler côté Renseignement Scandale ? Circulez, y a rien à voir, répond l’espion en chef des Etats-Unis, James
Clapper. Dans un communiqué de presse publié dans l’urgence, il critique même la publication du document confidentiel initial par
The Guardian, jugeant qu’il s’agit d’une « nuisance irréversible », et que les révélations de la presse sont « répréhensibles ».
Pour le directeur du renseignement américain, la NSA est également à blâmer. Pas pour la surveillance, sans qu’ils en soient
informés, de millions de citoyens américains ou étrangers, mais parce qu’elle a confirmé les informations de la presse, ce qui
constitue une « nuisance irréversible et durable contre notre capacité à identifier et à répondre aux nombreuses menaces auxquelles
fait face notre Nation ». Evidemment, de son point de vue, il ne s’agit que de « prévenir les attaques terroristes », et il affirme sans
peine que le renseignement américain respecte entièrement les libertés civiles… Ce qui reste à prouver. D’autant que pour lui, la
politique de récupération de données vise seulement « les non-Américains ». Voilà qui plaide pour un abandon des services Web
américains par les étrangers… Même si le Patriot Act n’avait déjà pas réussi à dégoûter la majorité des utilisateurs.
Pas d’inquiétude, donc, ce n’est pas la confiture américaine qui est visée. Le problème, relèvent plusieurs journaux américains, c’est
que Clapper n’offre aucune preuve de ce qu’il avance.
Comme d’habitude, les réactions ont été très hétérogènes au sein de la classe politique américaine, certains dénonçant l’atteinte aux
libertés civiles, d’autres préparant des propositions de loi pour empêcher de telles pratiques « sans cause de probabilité », d’autres
encore estimant ce mal nécessaire, à l’instar du sénateur républicain Lindsey Graham, dont les propos rapportés par la BBC : « Si
vous ne recevez pas d’appel d’une organisation terroriste, vous n’avez aucune inquiétude à avoir. »
La Maison blanche fait l’autruche pour l’instant, laissant les agences se débrouiller de la polémique. L’administration Obama a déjà
été déstabilisée par l’affaire des écoutes téléphoniques de journalistes d’Associated Press le mois dernier, et semble de toute façon
plus préoccupée par la façon dont de telles fuites arrivent dans la presse.
"Nos pires peurs se confirment" Du côté des défenseurs des libertés civiles, c’est la consternation. L’Electronic Frontier
Foundation (EFF), l’une des principales associations américaines, soupçonne les autorités de se livrer à ce genre de pratiques depuis
des années. Selon Mark Rumold, l’un des juristes de l’EFF interrogé par la BBC, la piste principale est « une cartographie des
communications domestiques » complète, qui concerne donc les appels « de millions et de millions de gens » et s’étend hors du
cadre légal permettant la surveillance au cas par cas des citoyens et des étrangers. Quatre lanceurs d’alertes, anciens de la NSA, ont
également réagi publiquement. Dans une interview au Huffington Post, ces ex-analystes estiment qu’ils alertent l’opinion depuis des
années sans succès. Kirk Wiebe est l’un d’eux. Consterné, lui aussi : « Nos pires peurs se confirment. »
Lors de leurs premières révélations sur un programme d’extraction des données il y a quelques années, ils avaient subi des
descentes du FBI, qui les soupçonnait d’avoir livré des informations confidentielles à la presse. Le sujet est particulièrement délicat
aux Etats-Unis, alors que se tient le procès du soldat Manning – seul procès à court terme lié aux affaires Wikileaks.
Qui ça, nous ? Nooooooon... Chez les géants du net concernés, on est dans la dénégation la plus totale. Anecdote, et ironie de
l’histoire, « Project Prism » désignait l’an dernier un projet de Facebook visant à gérer la big data collectée sur le réseau social et
stockée sur ses différents datacenters, basé sur Hadoop. Dans une réaction obtenue par The Next Web, Facebook dément donner
accès à ses serveurs aux autorités – ce qui confirmerait l’intrusion : « Nous ne donnons au gouvernement ni à aucune organisation
un accès direct aux serveurs Facebook. Quand des données ou informations sont demandées à Facebook sur des individus
spécifiques, nous passons en revue attentivement toute requête pour en juger la compatibilité avec les lois applicables, et ne
donnons des informations que dans la mesure où nous y sommes obligés par la loi. »
Dans le même article, Google confirme ne pas connaître et ne pas participer à PRISM. « Google n’a pas de « porte dérobée » [back
door, NDLR] pour permettre au gouvernement d’accéder aux données privées. » Lui aussi sort les éléments de langage usuels sur la
vie privée, et affirme, pour contrer la rumeur, ne participer à aucun autre programme, même sous un autre nom, ou fournir une API
de connexion au gouvernement. Idem chez Microsoft, qui a publié un communiqué sur la question : les requêtes sont examinées au
cas par cas et « si le gouvernement a un programme de sécurité nationale sur la base du volontariat pour collecter des données sur
les utilisateurs, nous n’y participons pas ». Yahoo a publié son propre communiqué dans le même sens, et Apple, dans une interview
à CNBC, affirme n’avoir « jamais entendu parler de PRISM » et ne donner aucun accès à ses serveurs aux autorités.
Une partie du mystère reste non élucidée : la NSA a-t-elle contourné la sécurité des géants, ou ceux-ci mentent-ils sur
leur participation au programme, par peur de l’effet d’une telle révélation sur leur image ou par obligation de silence ?
Les prochains jours seront évidemment critiques pour l’évolution de la situation, tant du point de vue politique qu’économique,
juridique ou législatif. Le programme PRISM, mis en place par le Protect America Act de 2007, qui autorise l’interception de données
sans mandat pour les communications à l’étranger, pourrait évoluer. Ou l’affaire s’étouffer.
Quel impact sur la France et l'Union européenne ? L’autre question qui subsiste, hors de caractère strictement national de
l’affaire, c’est l’impact sur les relations des Etats-Unis avec les autres pays, dont les citoyens sont espionnés grâce à l’utilisation de
programmes américains. « L’affaire va-t-elle prendre un tour diplomatique ? » se demande Numérama, qui s’interroge également sur
l’éventuelle transmission de données à l’Union européenne ou à la France. Il juge que « le contraire serait étonnant », mais pour
l’heure, rien n’est prouvé.
L'eurodéputée Françoise Castex, grande spécialiste des questions de vie privée en ligne, a cependant saisi la balle au bond et
demandé à l'exécutif européen « d'agir pour garantir la protection de la vie privée des ressortissants européens. »
Dans un communiqué, elle annonce saisir la Commission européenne et demande à celle-ci de « confirmer l'existence de telles
pratiques » et d'agir pour protéger les citoyens européens « en particulier sur le cloud face à la toute-puissance du Foreign
Intelligence Surveillance Amendment Act (FISAA) ». La VP de la Commission des affaires juridiques du Parlement européen en
profite pour plaider à nouveau pour l'émergence d'un marché européen de l'Internet, « alors que la législation européenne sur la
protection des données personnelles en cours de révision fait l'objet d'un lobbying insupportable des industries géants américains du
Net (sic), et ce, avec le concours du gouvernement américain ! »
BlackBerry quietly launches BES 10.1 in the cloud
http://www.zdnet.com/blackberry-quietly-launches-bes-10-1-in-the-cloud-7000015507/?s_cid=e539&ttag=e539
BlackBerry Enterprise Service got a big upgrade to version 10.1 this week and BlackBerry has also quietly
launched BES as a cloud service.
ZDNet recently learned that BlackBerry has quietly launched BES 10.1 as a service, as part of the launch of the latest update to the
BlackBerry Enterprise Service. The company hasn't broadcast a press release about this new development but has begun to talk
openly about it. "We are making BES 10.1 available as a cloud service and have several companies in trial," said Pete Devenyi,
BlackBerry's SVP of Enterprise Software. As we reported earlier, BlackBerry Enterprise Service 10.1 is expected to give the company
a boost as it rises to meet the demand for solutions to manage iOS and Android devices in a BYOD environment.
With service providers working hard to convince businesses to stop deploying their own servers and data centers and simply
purchase server capacity and enterprise apps on demand, it puts pressure on other application and server providers to do the same
in order to better integrate with these cloud solutions and to match up the business model for customers.
As messaging platforms like Microsoft Exchange push toward the cloud, it makes sense for BlackBerry, which helps securely deliver
Exchange and other enterprise services to mobile devices, to do likewise. "This is a major initiative for us," said Devenyi. "We're very
pleased with the progress we've made there and the interest from our customers."
Devenyi said BES 10.1 also delivers virtualization improvements for those who still want to run BES on their own servers and VMs.
Google rachète Waze
http://www.zdnet.fr/actualites/google-tiendrait-la-corde-pour-le-rachat-de-waze-39791215.htm
Également convoité par Facebook, l’éditeur du service de cartographie sur mobiles Waze serait proche d’un
accord avec Google qui serait prêt à dépenser $1,3 Bn.
C’est finalement Google qui aura le dernier mot dans la bataille pour l’acquisition de Waze. Selon le journal
israélien Globes (via Cnet.com), le géant de Mountain View serait tout proche de conclure le rachat pour
un montant de $1,3 Bn. Fondée en 2007, Waze édite un service de cartographie pour mobiles basé sur le
crowdsourcing fort de 47 millions d’usagers qui intéressait aussi beaucoup Facebook.
Le réseau social aurait offert $1 Bn pour cette entreprise, mais les négociations auraient échoué en raison
notamment de la nécessité pour l’équipe Waze, basée en Israël, de rejoindre le QG américain de
Facebook. On prêtait à Apple des vues sur Waze, mais Tim Cook a récemment démenti cette rumeur.
Google n’a pour le moment pas fait de commentaire sur ces informations. Cette opération constitue le 4ème plus gros rachat effectué
après ceux de Motorola Mobility en 2012 pour $12,5 Bn, DoubleClick en 2008 (3,1 Bn), et YouTube en 2006 pour $1,65 Bn.
Toshiba Excites with new high-resolution tablets
http://www.gizmag.com/toshiba-excite-pro-write-pure/27842/
Toshiba has announced three new additions to its Excite range of Android tablets, two of which beat the Retina
iPad and rival the Nexus 10 in terms of display resolution. All three run Android 4.2 (Jelly Bean) and will hit
Toshiba's online store on June 25, ahead of more widespread availability from July 7.
The Excite Pro and Write models are the first Toshiba tablets to feature
a native screen resolution of 2560 x 1600, and are powered by Nvidia's
Tegra 4 quad-core processor. The Pure has a lower display resolution and
sports a Tegra 3 power house, but is priced accordingly.
The Excite Pro features a sharp 10.1’’ PixelPure IPS display with a density
of 300 ppi. The processor is supported by 2 GB of DDR3 RAM and 32 GB of
internal storage, with microSD expansion. To the rear are quality Harman
Kardon stereo speakers, with DTS Premium Voice Pro audio processing
technology to offer bass-enhanced natural output and audio leveling.
There's a 1.2-megapixel webcam to the front, and an 8-megapixel F2.2 camera to the back, boasting high dynamic range and
panoramic capabilities and image stabilization technology. Completing the supplied specs are included micro-HDMI and micro-USB
ports. This model carries a suggested retail price of $499.99.
At the top of the Excite tree is the Write, which shares many of the same features as the Pro, but its display is topped by Corning
Gorilla Glass 2. This model is supplied with a TruPen digitizer for handwriting and note-taking (on the company's own TruNote app,
naturally). Toshiba says that, with help from 1,024 pressure points, the stylus/pen brings a pen and paper experience to tablet.
Pitched at students and mobile digital artists, the Write ships with a full version of ThinkFree Office Mobile for Android and benefits
from a TruCapture application that uses the tablet's 8-megapixel camera to record whiteboard content and convert it to a snapshot
for importing into presentations and documents. Its suggested retail is $599.99.
The last of the Excite tablets is the Pure. This model has a 1280 x 800 AutoBrite display, and includes 1 GB of DDR3 RAM and 16 GB
of solid state storage (with microSD expansion) to support that Tegra 3 mobile processor. There's a 3-megapixel front-facing camera
(no camera at the rear), and both micro-HDMI and micro-USB ports. The Pure carries a suggested retail price of $299.99.
Oracle lance Java EE 7, une offre plus flexible et plus moderne
http://www.silicon.fr/oracle-lance-java-ee-7-une-offre-plus-flexible-et-plus-moderne-86949.html
Support des technologies issues de l’HTML5, meilleure montée en charge, mise en œuvre simplifiée… voici
quelques une des nouveautés de Java EE 7.
Alliance surprise entre Atos... et Samsung
http://www.challenges.fr/entreprise/20130610.CHA0535/alliance-surprise-entre-atos-et-samsung.html#xtor=EPR-14-[Quot10h30]-20130610
Mariage de la carpe et du lapin ? La société française Atos et le coréen Samsung s'allient pour proposer des
solutions destinées aux besoins des entreprises et des services publics.
La société française de services informatiques Atos et le coréen Samsung, numéro un mondial des téléphones portables, ont
annoncé lundi 10 juin "un accord de coopération stratégique mondial" pour proposer des solutions destinées aux besoins des
entreprises et des services publics. Les deux groupes veulent proposer une gamme d'offre qui associe les innovations "grand public",
telles les tablettes, aux applications et technologies informatiques professionnelles dans la mobilité, l'affichage, le Big Data ou la
sécurité. Les offres conjointes incluront des solutions pour la vente au détail, la signalétique numérique dans les espaces de vente,
les véhicules connectés, ou pour la gestion des postes de travail incluant la mobilité.
iOS 7 : habillé pour le grand public, pensé pour l’entreprise
http://www.lemagit.fr/technologie/poste-travail/mobilite-poste-travail/2013/06/11/ios-7-habille-pour-le-grand-public-pense-pour-lentreprise/
Présenté en grande pompe à San Francisco, le nouvel OS mobile d’Apple intègre de nombreuses nouveautés qui
montrent que la firme sait écouter ses utilisateurs, grand public comme professionnels.
Un raz de marée de nouveautés. Avec cette version 7, Apple offre un grand coup de frais à son système d’exploitation mobile. Le
changement esthétique radical saute aux yeux. Surtout, il marque une rupture nette avec les versions précédentes à même de
combler la soif de nouveauté de certains. Plus généralement, avec iOS 7, Apple renouvelle son système d’exploitation mobile sans
pour autant casser l’essentiel de ses codes ergonomiques. Les habitués ne devraient pas de sentir perdus.
Des nouveautés attendues Apple offre enfin à son iOS des fonctionnalités attendues par ses utilisateurs les plus fidèles – dont
certaines inspirées des créations de la communauté dujailbreak ou de développeurs indépendants. Certaines applications très
officiellement distribuées par le magasin applicatif de la firme devraient ainsi également disparaître à brève échéance. Le centre de
contrôle illustre bien cette tendance : en le «tirant» d’un glissement de doigt depuis le bas de l’écran, on accède rapidement à des
paramètres jusqu’alors perdus au fond de l’application Réglages – mode avion, activation/désactivation des interfaces Wi-Fi et
Bluetooth, contrôle de lecture musicale et surtout fonction torche utilisant le flash de l’iPhone. On trouve même là des raccourcis aux
applications Horloge, Calculette et Appareil photo. Des raccourcis que l’on aimerait sûrement personnaliser mais rien ne dit hélas
qu’Apple le permettra. Nouveauté de Mac OS X 10.8, AirDrop, qui permet de partager rapidement, simplement et de façon sécurisée
des fichiers entre utilisateurs via Wi-Fi arrive également dans iOS 7, promettant de simplifier considérablement le transfert de
données entre Mac et iPhone ou iPad. Le multitâche a également été revu pour offrir un aperçu de chaque application ouverte, ou
encore pour autoriser et interdire l’actualisation en tâche de fond de certaines applications.
Et de petites perles pour les professionnels Mais de nombreuses nouveautés n’ont été que discrètement évoquées. Et parmi
celles-ci se cachent des fonctionnalités qui ne manqueront d’intéresser les entreprises. A commencer par le support des achats en
volume dans le magasin applicatif d’Apple, mais également une gestion simplifiée de l’enrôlement des terminaux au sein des
solutions de MDM (Mobile Device Management, gestion de parcs de terminaux mobiles). Un point qu’Apple devrait détailler plus tard,
au même titre qu’une capacité de SSO (Single Sign-On, ouverture de session consolidée) annoncée. Apple promet, avec iOS 7
d’améliorer la granularité des contrôles dans le cadre de politiques de BYOD avec la possibilité d’administrer les configurations des
applications ou encore de définir des VPN par application : des fonctionnalités que l’on trouve par exemple dans la solution
récemment annoncée de Citrix, Worx. Et puis Apple propose en plus des API qui pourront s’avérer très utiles en environnement
professionnel. Les développeurs d’applications métiers de logistique ou de CRM, notamment, apprécieront par exemple de pouvoir
intégrer à leurs réalisation cartographie et guidage, voire de profiter nativement d’interfaces de programmation pour la lecture de
codes-barres. Enfin, application critique s’il en est, le logiciel de courrier électronique d’iOS 7 promet de disposer d’une fonction de
recherche plus efficace. Et ce n’est pas un luxe.
How to build a corporate app store
http://www.zdnet.com/how-to-build-a-corporate-app-store-7000016545/?s_cid=e539&ttag=e539
British American Tobacco is to building a corporate app store to support personal and work devices.
The average employee increasingly carries a personal smartphone or computer that they use to get work done.
Letting staff access corporate information and systems from these devices in a way that doesn't risk breaching regulations or
security is something of a headache for companies.
British American Tobacco (BAT), the global tobacco company operating in 180 countries, is tackling this issue by building a corporate
app store, to provide staff with apps that tap into corporate systems in a secure fashion and run on a host of devices.
BAT support of BYOD began in 2010 when it made corporate email, then based on IBM Notes, available to Apple iPad devices.
Today thousands of BAT staff are able to run corporate apps from their personal devices. These apps are designed to run on their
device inside the Excitor Dynamic Mobile Exchange (DME) client.
Because apps are lightweight — built using modern web technologies, such as HTML5, CSS3, JQuery and Sencha — they will run on
any iOS or Android device from within the past couple of years, as well as from the desktop.
"Users can chop and change devices," said said Laurence Dale, lead mobile solution architect for BAT, at the Ovum BYOX World
Forum 2013 last week. The benefit of running apps in the secure container provided by Excitor DME is that BAT doesn't need to lock
down the employee's personal device, which can be used as normal. The Excitor DME client uses 256-bit AES encryption to
protect data both at rest and in transit. Staff log into the DME client to use the apps, and as more apps are made available
employees role-related apps should be made available.
To serve up data to these apps BAT built a backend platform, which can integrate with its corporate systems, such as SAP ERP
systems. This platform is currently in beta, and has an SDK that can be used to integrate it with other back-end systems. The
platform is designed to scale up in a modular fashion as demand builds for apps.
About 6,000 BAT users worldwide have access to the Excitor DME client and BAT has deployed its platform to its three tier one
datacentres to make it available globally. Server hosting, additional software licensing and helpdesk costs are charged back to
regional IT centres.
Email is currently the only app generally available, to about 1,000 users in EMEA and close to 1,000 in Asia Pacific and the Americas.
However, a limited number of users also have access to an internal contacts directory. Dale said BAT was now working on
integrating the platform with its SAP ERP system to serve new apps for specific departmental tasks.
Dale said that BAT had completed the hardest part of the job in building the platform to integrate with BAT's back-end systems, and
now it was a case of connecting more systems and adding more apps.
A team of about six people work on building the app store, including a web developer, a Java programmers, a UX specialist, an
HTML5 specialist and infrastructure expert.
A lot of work has gone into making sure apps scale and are comfortable to use on different sized form factors, according to Dale.
The business rationale for supporting the likes of personal iPhones and iPads is that "it's good for employee satisfaction", said Dale.
"These are devices that people want to work with so lets them be more proactive. Otherwise there is a risk of people running off and
doing their own thing and a general lack of control."
Microsoft delivers Windows Embedded Compact 2013
http://www.zdnet.com/microsoft-delivers-windows-embedded-compact-2013-7000016798/?s_cid=e539&ttag=e539
Microsoft has made the latest version of its embedded operating system generally available for small-footprint devices.
Microsoft on June 13 made the latest version of its Windows Embedded Compact operating system generally available.
Windows Embedded Compact 2013 is the successor to Windows Embedded CE. It is targeted at small-footprint devices used by
retail, manufacturing, healthcare and other vertical industries.
Late last year, Microsoft officials said to expect the final release of Windows Embedded Compact 2013 in the second quarter of 2013.
The 2013 release supports both X86 and ARM, and adds support for Visual Studio 2012. The latest Compact Embedded operating
system also includes general memory management and networking improvements, file-system performance improvements,
optimized startup with snapshot boot, built-in support for Wi-Fi, cellular and Bluetooth technologies, and a "seamless connection" to
Windows Azure, according to Microsoft officials. Windows Embedded Compact 2013 is one of several different embedded operating
system offerings Microsoft sells, each of which is aimed at a specific set of devices and developers.
To get the generally available release, users need to register here to obtain the toolkit and product activation key.
With Windows 8.1, Microsoft is aiming squarely at mobile devices
http://www.zdnet.com/with-windows-8-1-microsoft-is-aiming-squarely-at-mobile-devices-7000016704/?s_cid=e550&ttag=e550
Don't obsess over the Start button. In a world where desktop PCs are becoming dinosaurs, the real goal of
Windows 8.1 is to get Microsoft's operating system onto mobile devices.
If you want a graphic explanation of why Microsoft has focused on
mobile devices with Windows 8.1, just study this chart for a while.
The underlying data, gathered by the Pew Internet and American
Life Project in a series of studies, shows the percentage of U.S.
adults (18 years +) who own one of five different device types.
Four of those five lines are trending up. It's no accident that those
four lines represent mobile devices, while the one line trending
sharply down represents the decidedly non-mobile desktop PC.
That's the world that Windows 8.1 is going to encounter when it's
released later this year (a preview version is due in two weeks).
We are at the very beginning of a revolution in computing. That
revolution involves a profound transformation of what we think of
as a PC. It's already odd to think you would use just one device in
one location to create content, communicate and share with other people, and entertain yourself with music and movies. In a few
years that notion will feel as old as rotary phones and square TVs, and you’ll judge devices by how well they work together.
So how did we get here? Start at the left, in 2006. That was the year Microsoft introduced the much-mocked, misunderstood
Windows Vista. It was also the high-water mark for the desktop PC, which has been shrinking in popularity ever since. Pew hasn't
yet published survey results for desktop and laptop computers, but I suspect that 2013 numbers would show desktop PCs down
sharply and laptops flat. (And a side note: that 73 % figure for cell phones in 2006 is slightly misleading. Most of those phones were
of the dumb variety. If Pew had measured smartphones separately, the line would no doubt have started very low and then climbed
sharply starting in 2007 with the release of the iPhone. In 2013, Pew says, 56 % of American adults own a smartphone. That
number was probably less than 20 % in 2006.)
Skip forward to 2009, when Microsoft released Windows 7, and it's still a world dominated by PCs. At that point, notebooks and
netbooks and laptops combined were outselling desktop PCs, but the installed base was still dominated by desktops. Dedicated
ebook readers were just beginning to appear, and the iPad was still a year away. And now jump to 2013, with Windows 8 roughly
halfway through its first year, and look how things have changed. A decade ago, you had a PC (maybe two) and you probably had a
cell phone, which you used for making phone calls and not for Internet access. Today the average American adult has multiple
devices capable of doing PC-like things, including a smartphone and, increasingly, a tablet or ebook reader. And we expect to be
able to pick up any one of those devices and doing the kinds of tasks that used to be reserved exclusively for PCs.
Give Microsoft credit for spotting the rise of the tablet a year before it began. When they started planning Windows 8 in 2009, they
focused on making it a worthy engine for tablets the size of a small notebook PC. But they didn't think small enough, because the
real growth in tablets now is in the "bigger than a smartphone, smaller than a notebook" category.
That's where new Windows devices like the Acer Iconia W3-810 are intended to fit in. Its 8.1’’ screen is too small to
meet the original Windows 8 logo requirements. Even if you ignored that technicality, the initial release of Windows 8 wasn't
designed to run on a device that small. And to add the final insult, most configuration options require you to go back to the desktop,
which feels downright bizarre and decidedly not-touch-friendly on a device of this size. Windows 8.1 addresses all of those issues.
It specifically supports the 1280x800 resolution and screen size of this device, allowing two modern apps to run side by side.
Virtually every configuration option has been redone in a touch-friendly style that doesn't require visiting the desktop.
Imagine that Start screen flipped to its more natural portrait orientation and only a few icons on the screen: the Kindle app, Music,
Video, Mail, Skype. In that configuration, it's functionally not that different from an iPad Mini or a Kindle Fire or a Nexus 7.
The Acer lists for $380 with 32 GB of storage or $430 for 64 GB. Street prices will probably drop slightly thanks to online discounts,
making its price comparable to an iPad Mini but at least $100 more than a Nexus 7. Similar devices from other manufacturers will no
doubt appear around the same time as Windows 8.1, at the same or lower price points.
But that Windows 8.1 device can do something its competitors can't. It has the power to transform itself into a full-fledged desktop
PC, capable of running Microsoft Office and other desktop apps. Use the HDMI cable to connect a large monitor (or use the wireless
projection mode in Windows 8.1), add a Bluetooth keyboard and mouse, and you've temporarily turned this small tablet into a fullfledged desktop PC. Unplug the monitor and throw the tablet into your traveling bag and it's a mobile device again.
Microsoft's gamble is that Windows users will see that capability as a positive, rather than as needless complexity. They're betting
that frugal PC buyers will be attracted to the possibility of versatile devices. But in a world where we've become used to thinking of
small, cheap devices as disposable, single-purpose tools, can that philosophy succeed? We'll see.

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